Academic literature on the topic 'Civilisation – Autriche – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Civilisation – Autriche – 20e siècle":

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Poitras, Dave. "Une mise en scène du rapport à la nation en Cacanie." Eurostudia 9, no. 1 (September 29, 2014): 22–39. http://dx.doi.org/10.7202/1026718ar.

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Abstract:
Je me penche dans cette article sur le rapport à la nation mis en scène par Robert Musil dans L’homme sans qualités, tel qu’il aurait pu être vécu à la veille de la Grande Guerre en Autriche-Hongrie : un empire déclinant, à cheval entre la nouvelle Europe des États-nations et l’ancienne Europe des empires. En me penchant sur cet aspect du roman, je tente de comprendre les relations divergentes qu’entretiennent deux des personnages envers la nation. L’exercice me permet de mettre de l’avant un portrait romancé du vécu d’individus témoins des transformations politico-administratives européennes au début du 20e siècle. Dans le confort d’un salon, loin des champs de bataille et des assemblées seigneuriales ou législatives, se jouent en toute banalité les derniers instants de vie d’un Empire, dont les principaux acteurs préfère se cantonner à un système impérialiste désuet et impopulaire, plutôt que d’écouter l’appel à l’État-nation du peuple, tel qu’il prévaut ailleurs en Europe.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?

Dissertations / Theses on the topic "Civilisation – Autriche – 20e siècle":

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Scherer, Solène. "Das Haus am Ring : construction et reconstruction de l'Opéra de Vienne, monument symbole de l'Autriche." Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2022. https://dante.univ-tlse2.fr/s/fr/item/32286.

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Abstract:
À l’instar d’autres grands bâtiments en Europe centrale, l’Opéra de Vienne est endommagé durant la Seconde Guerre mondiale par des bombardements détruisant une grande partie de sa structure originale. Reconstruit et rouvert en moins de dix ans, il accompagne le retour à la souveraineté de l’Autriche, se faisant d’une certaine manière le miroir de la reconstruction nationale. Partant de la construction de l’Opéra, pour remonter les étapes de sa destruction, puis de sa reconstruction, ce travail de thèse propose une exploration et une synthèse des problématiques de mémoire et de transmission inhérentes à la notion de monument et ce qu’on appelle en France, le patrimoine L’étude minutieuse des chantiers de construction entre 1860 et 1869 et de reconstruction entre 1945 et 1955, ainsi que de la période intermédiaire permet de saisir l’évolution du statut de monument de l’Opéra et la place qu’il a occupée dans les discours autour de l’État, la nation, la culture et l’identité au fur et à mesure que l’Autriche contemporaine s’est construite. D’un chantier à l’autre, l’Opéra est un symbole reflétant la relation qu’entretiennent Vienne et l’Autriche avec leur histoire et leur territoire. Le choix de reconstruire les parties détruites en 1945 de manière contemporaine réactualise le statut de l’Opéra et fait co-habiter deux architectures et deux époques. L’Opéra est un édifice-palimpseste sur lequel se greffe toute une dimension mythique, les anecdotes historiques et les légendes participent à un grand récit autour de l’institution, qui brouille la frontière entre fiction et réalité. En croisant les archives de l’État, de la ville de Vienne, celles des architectes employés sur les chantiers du bâtiment avec des sources imprimées – presse, critiques, livres, mémoires –, on parvient à dessiner de manière précise les contours de ce monument, qui frappe par l’ampleur de sa dimension discursive, tant les discours en ont forgé le statut. Aujourd’hui dans ses murs comme par sa mise en valeur, l’Opéra incarne toujours une certaine histoire de l’Autriche et il alimente encore l’image qu’on se fait du pays à l’international
Like other significant buildings in central Europe, the Vienna State Opera was damaged during World War II bombings, thus destroying a great part of its original structure. Rebuilt less than ten years after, the re-opening of the Opera was symbolic of Austria regaining control of its sovereignty, thus reflecting the national reconstruction of the country. Going from the building of the Opera house, then through the stages of its destruction, to finally look at the rebuilding process, this thesis is an exploration and a synthesis of the questions of memory and transmission inherently connected to the notion of monument, and of what we call in France, patrimoine. The meticulous study of construction works during its building between 1860 and 1869, and through reconstruction between 1945 and 1955, but also in the time between these periods, enables to understand the evolution of the Opera regarding its status and the role it had in debates centered on culture, identity and the nation. From one construction work to another, the Opera is a symbol mirroring the perspective of Vienna and Austria on their history and territory. To rebuild the parts destroyed in 1945 in a contemporary way renews its status as a monument. The Opera house is a "palimpsest building” and the mythical dimension of the building, fed by historical events and legends, participates in a collective narrative which blurs the limits between fiction and reality. By cross-referencing state archives, those of architects employed in the Opera’s construction works and printed sources, we manage to have a clear perspective on this building, which was also forged by what was said about it. To this day, the Vienna State Opera embodies a certain history of Austria, and still influences the way we see the country abroad
Während des Zweiten Weltkriegs wurde auch die Wiener Staatsoper wie andere große Gebäude in Mitteleuropa durch Bombenangriffe beschädigt, die einen großen Teil ihrer ursprünglichen Struktur zerstörten. Nach dem in weniger als zehn Jahren abgeschlossenen Wiederaufbau und der Wiedereröffnung begleitete die Oper die Wiedererlangung der Souveränität Österreichs und war in gewisser Weise ein Spiegelbild des nationalen Wiederaufbaus. Vom Bau des Opernhauses, über seiner Zerstörung bis zu dem anschließenden Wiederaufbau, strebt diese Dissertation eine Erforschung und Synthese der Probleme der Erinnerung und der Vermittlung an, die mit dem Begriff des Denkmals und dem, was man in Frankreich als „patrimoine“ bezeichnet, einhergehen.Die sorgfältige Untersuchung der Bauarbeiten zwischen 1860 und 1869 und des Wiederaufbaus zwischen 1945 und 1955 sowie der Zeit dazwischen ermöglicht es, die Entwicklung des Denkmalstatus der Oper und die Stelle, die die Oper in den Diskursen um Staat, Nation, Kultur und Identität eingenommen hat, zu erfassen, während das zeitgenössische Österreich aufgebaut wurde.Von einer Baustelle zu der nächsten ist das Opernhaus ein Symbol, das die Beziehung Wiens und Österreichs zu ihrer Geschichte und ihrem Territorium widerspiegelt. Die Entscheidung, die 1945 zerstörten Teile auf zeitgenössische Weise wiederaufzubauen, aktualisiert den Status des Opernhauses. Historische Anekdoten und Legenden sind Teil einer großen Erzählung über die Institution, die die Grenzen zwischen Fiktion und Realität verwischt. Durch die Verknüpfung der Archivdokumente des Staates, der Stadt Wien, sowie der Architekten, die auf den Baustellen des Gebäudes beschäftigt waren, mit gedruckten Quellen - Presse, Kritiken, Bücher, Memoiren – ist es gelungen, die Konturen dieses Denkmals genau zu umreißen, das durch das Ausmaß seiner diskursiven Dimension auffällt, da die Diskurse seinen Status geprägt haben. Die Oper verkörpert auch heute noch eine bestimmte Geschichte Österreichs und prägt das internationale Bild des Landes
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Adjanor, Lepoutre Myriam. "Conquête et colonisation dans la conscience mexicaine : 1810-1970." Lille 3, 1992. http://www.theses.fr/1992LIL3A001.

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Monnier, Gérard. "Architecture et culture en France de 1918 à1950." Paris 1, 1986. http://www.theses.fr/1986PA010564.

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Abstract:
La thèse se propose de dégager les contenus culturels qui fondent la modernité de la production architecturale française de 1918 a 1950. L'enquête porte sur la culture des partenaires, maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre, et sur la dimension culturelle des procédures et des pratiques qui ont pour objet l'architecture, comme la représentation des projets, la forme de l'édition. L'hypothèse de départ est que la modernité de l'architecture ne se réduit pas à l'emploi de nouvelles techniques constructives et à la mise au point de nouvelles formes, mais qu'elle est le résultat d'une convergence de ces données avec des critères culturels. L'inventaire porte sur les domaines de la culture artistique, de la culture du machinisme, des pratiques modernes de l'information. Il montre l'irruption dans l'architecture, sur un fond de crise des valeurs du luxe traditionnel, des critères d'efficacité du machinisme, des valeurs liées aux loisirs, et des exigences du confort obtenu par des réseaux de fluide et d'énergie. Le décor cède la place à l'équipement, l'ornement au message textuel. Ces valeurs deviennent des enjeux pour des groupes de professionnels, comme une nouvelle génération de décorateurs, regroupés dans l'u. A. M. Dans une dernière partie, l'analyse porte sur les modalités historiques de la période ; la crise economique, la guerre puis la reconstruction conduisent à des conflits où la culture du machinisme subit une éclipse provisoire, au profit de la "culture d'atelier" des architectes. Dans les années cinquante, dans les conditions d'une production de masse de l'habitation, la "synthèse des arts" et surtout un "art domestique moderne" viennent au premier plan.
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Letourneux, Matthieu. "Poétique du roman d'aventures entre civilisation et sauvagerie : 1860-1920." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040180.

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Abstract:
Le roman d'aventures est un genre fictionnel majeur des XIXe et XXe siècles dans la plupart des pays occidentaux où, malgré les spécificités nationales, se dessinent des propriétés communes qui l'inscrivent dans la tradition du "romance" : organisation des événements violents selon le couple des mésaventures et de l'Aventure qui fournit au genre forme et thèmes, et importance du dépaysement. Le roman d'aventures se situe au croisement d'autres genres romanesques, dont il se distingue par son usage particulier de l'événement aventureux et du dépaysement. Il détermine un espace imaginaire confrontant les valeurs de la civilisation (société, ordre, loi, raison) et de la sauvagerie (nature, force, énergie vitale, chaos) dans une dialectique indépassable. Le genre, pour faire jouer sur un plan différent ces valeurs antagonistes, développe une esthétique de la mauvaise foi, évacuant la sauvagerie par le manichéisme, l'irréalisme du récit, ou une rhétorique de la dénégation
The romance of adventure was a major popular genre during the XIXth and XXth centuries in western countries where, despite national specificities, some common properties clearly appeared, belonging to the romance tradition : violent events organized according to the structure of misadventures and Adventure, which provides its shape and themes, and exotism. .
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Blanc, Floriane. "La diffusion commerciale des techniques de prédiction en France au XXème siècle : quel danger pour la société contemporaine ?" Saint-Etienne, 2003. http://www.theses.fr/2003STET2100.

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Abstract:
L'étude est consacrée à une réification voulue représentative de ce que les contemporains du XXème siècle ont désigné tardivement sous le vocable "le secteur de la voyance". Ainsi, l'objet de l'étude est ce qui apparaît comme une croissance exponentielle, en terme d'échanges contre rétribution, de l'ensemble des procédés qui diffère de la "raison" dite "rationnelle" et dont le but est de fournir des informations de façon anticipée. L' "activité de prédiction" est subséquemment définie comme l'ensemble des formes de relations établies entre deux individus, quelle que soit la façon dont le lien est établi, lorsque la relation a pour but de la part d'un des deux protagonistes de mettre à la disposition du "sujet-demandeur", contre rémunération, des informations concernant "l'avenir" du sujet. Par l'examen puis l'analyse des composantes de l'activité qu'il a été possible de reconstituer, il s'agit de déterminer si l'activité représente un danger pour la société contemporaine
The object of the enquiry is the broadcasting of the prediction techniques in it commercial variety during the Twentieth century in France. First, the researches were for build up a new analyse about the relationship between a consumer and a "clairvoyant" whatever the way the consumer try to "inform" of his "future". Then, the scientific interest is to find out the sociological, historical, and philosophical- in the largest meaning of the term- aspects of this activity. Finally, each capital means to clarify each aspect. The problematical of the study is a simple question : Is that a danger for the contemporary society ?
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Rodrigues, Denis. "L'enseignement de la civilisation hispanique en France : discours et idéologie des manuels à l'usage du second cycle : 1949-1985." Rennes 2, 1989. http://www.theses.fr/1989REN20021.

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Abstract:
Apres une introduction générale qui propose un historique de l'enseignement de la civilisation hispanique en France, cette thèse analyse le discours et l'idéologie des manuels scolaires du 2nd cycle produits entre 1949 et 1985. Elle fait apparaître deux grandes périodes : 1949 1969 et 1969 1985. La première partie démontre que jusqu'en 1969, la pédagogie s'appuie sur une description géographique et historique de l'espace avec pour fondement idéologique les grands principes républicains d'unité de la nation et d'unité du corps social, pédagogie qui apparaît également élitiste, anachronique et moralisatrice. La deuxième partie analyse les options populistes et tiers-mondistes prises à partir de 1969 pour décrire les effets sociaux de la dictature franquiste et la réalité sociale, politique et culturelle en Amerique Latine. Cette pédagogie qui s'estompe a son tour au milieu des années 1980 s'inspire idéologiquement de la philosophie des droits de l'homme : elle est concrètement anti-franquiste et anti-américaine et considère l'expérience cubaine comme le recours possible aux situations infrahumaines que connait le continent latino-américain dans son ensemble. L'auteur fait également apparaître par le biais d'un calcul de fréquence d'apparition des auteurs sollicites que les sources des compilateurs de manuels font émerger jusqu'en 1969, la figure de M. De Unamuno et depuis 1969, celle de P. Neruda
After a general introduction which proposes a history of Spanish civilisation teaching in France, this thesis analyses the speech and ideology in the second cycles-schoolbooks, produced between 1949 and 1985. It makes appear two main periods: 1949 1969 and 1969 1985. The first part shows that, until 1969, this teaching is found on the geographical and historical description of Spain, based on the great republican principles : unity of the nation, unity of the social body; teaching which is anachronic and moralizing. The second part analyses the populist and third-world options taken from 1969 to describe the social effects of the franquist dictatorship, and the social, cultural and political reality of south-American. This teaching is ideologically based on the human rights philosophy : it is concretely antifranquist and anti-American and considers the Cuban experience as a possible solution to infrahuman situations of south-America. The author makes appear with a frequency analyse that, among the different sources of the compilers, two main figures emerge, M. De Unamuno until 1969, P. Neruda, between 1969 and 1985
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Sgard, Fabien. "De la double monarchie à la deuxième présidence autrichienne de l'U. E. : la vocation européenne de l'Autriche (1867-2006)." Littoral, 2006. http://www.theses.fr/2006DUNK0158.

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Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la construction européenne est en marche afin de faire cohabiter dans le même espace des Etats autrefois antagonistes tels que la France ou l’Allemagne. Mais alors que depuis bientôt soixante ans les gouvernants européens s’évertuent à vouloir créer une entité complexe avec ses propres institutions, au XIXe siècle, il existait déjà un tel espace dans lequel cohabitaient pas moins de treize nationalités. Cet espace était celui formé par la double monarchie austro-hongroise qui permettait aux différentes nationalités d’Europe centrale de coexister au sein de la même entité. De ce fait, les différentes institutions élaborées par les hommes politiques austro-hongrois ne pourraient-elles pas servir de modèle à suivre ou à éviter pour les actuels penseurs de l’Europe ? Certes, la monarchie austro-hongroise n’a pas résisté aux difficultés engendrées par le problème des nationalités qui menèrent à sa dissolution suite à la Première Guerre mondiale. Toutefois, la vocation européenne présente dans l’espace habsbourgeois s’est perpétuée à l’héritière de la double monarchie, la République d’Autriche. Bien que cette dernière demeurât longtemps éloignée de la politique européenne à cause, notamment, du traité de neutralité adoptée en 1955 sous la pression de l’U. R. S. S. Afin de recouvrer son indépendance effective, l’Autriche, depuis qu’elle a adhéré à l’Union européenne en 1995, semble retrouver la position dominante que possédait l’Autriche-Hongrie avant sa dissolution. Cette volonté de « domination » en Europe centrale s’est notamment exprimée au cours des deux présidences autrichiennes de l’Union européenne en 1998 et 2006
Since the end of the World War II, the construction of Europe has united different states that used to be conflicting. That’s the way France and Germany go. While the concerned governments have tried to achieve the project of an entity with its own institutions for nearly sixty years, a close idea was already existed in the 19th-century, melting at least thirteen nationalities of Central Europe, formed by the Austro-Hungarian dual monarchy to give them a chance to coexist in a same group. That’s how we can ask ourselves if the several institutions developed by the Austro-Hungarian politicians can be a useful example for the actual European decision-makers. Due to the difficulties caused by the nationality problem, the Austro-Hungarian monarchy has been disbanded, but passed the European feeling that was already going around to its successor: the Republic of Austria. Even if it has been pushed aside from European policy for a long time because of, notably, the Declaration of Neutrality from 1955 that the USSR imposed to regain its independence, Austria has probably managed to reach the same position of strength since its entry in 1995 in the European Union as the Austria-Hungarian monarchy succeeded to possess before it dies after the First World War. The will that the countries of Central Europe can be under its rule has been felt during the two last Austria’s European Union Council Presidencies in 1998 and 2006
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Cagneau, Irène. "Discours sur la sexualité à Vienne et à Berlin (1900-1914) : une analyse comparative." Paris 3, 2008. http://www.theses.fr/2008PA030024.

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Abstract:
Etudier les discours sur la sexualité à Vienne et à Berlin entre 1900 et 1914 implique une double perspective de recherche. D’une part, il s’agit de s’intéresser aux sources et aux témoignages les plus divers de cette période dans les domaines socio-culturel, religieux, scientifique, juridique, intellectuel et artistique, d’autre part il s’agit de mettre en regard deux grandes métropoles de l’aire germanophone, deux sites de la modernité, Vienne, capitale d’un Empire qui se désagrège progressivement, ville érotisée qui oscille entre tradition et modernité, rêve et réalité, et Berlin, métropole en plein essor, ville de contrastes, à la fois austère et fascinante, soumise à l’autorité et fortement sexualisée. Dans un premier temps, les grands discours institutionnels sur la sexualité, ceux de l’Eglise, de la science et de l’Etat sont analysés dans cette étude de même que les oppositions qu’ils suscitent, particulièrement dans les écrits de Karl Kraus et les revues intellectuelles berlinoises. Il apparaît que rien n’est laissé au hasard : le disparate sexuel est passé au crible, classé et codifié afin que rien n’échappe au contrôle des instances normatives. Dans un deuxième temps, ce travail invite à l’exploration de l’univers littéraire et artistique de Vienne et de Berlin et montre comment le disparate sexuel, pourtant soigneusement mis sous surveillance, s’expose – progressivement ou brutalement – aux regards. Si l’on relève des oppositions flagrantes dans la manière de montrer la sexualité à Vienne et à Berlin, les artistes se rejoignent sur une problématique commune : l’expression de l’angoisse, du déséquilibre et de la souffrance de l’être humain dans un monde menacé
If you want to study the discourses on sexuality in Vienna and Berlin between 1900 and 1914, it then implies to carry on researches in a double perspective. On the one hand, the question is to look at the diverse sources and accounts of this period in the socio-cultural, religious, scientific, legal, intellectual and artistic fields. On the other hand, the question is to compare two big cities of the German-speaking area, two sites of modernity : Vienna, the capital of a declining empire, an erotised city oscillating between tradition and modernity, dream and reality and Berlin, an expanding metropolis, a city of contrasts, both austere and fascinating, subjected to authority and strongly sexualized. In a first part, the institutional discourses made by the church, the science and the state about sexuality are analysed in this study along with the oppositions they raise, particularly in Karl Kraus’s writings and in the intellectual reviews of Berlin. Nothing is left at random : the sexual disparity is examined closely, classified and codified so that nothing remains out of control from the normative instances. In a second part, this work explores the literary and artistic universe of Vienna and Berlin and shows how the sexual disparity, yet carefully watched on, shows itself progressively or violently. If there are obvious contrasts in the way of showing sexuality in Vienna and Berlin, the artists have in common the expression of the human being’s anguish, unsteadiness and suffering in a threatened world
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Cariani, Gianni. "Une france russophile ? : découverte, réception, impact : la diffusion de la culture russe en france de 1881 a 1914." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1998. http://www.theses.fr/1998STR20025.

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Abstract:
De 1881 a 1914, un important courant russophile s'est manifeste et exprime en france. Cette russophilie a associe une double dimension politique et culturelle. La diffusion de la culture russe s'inscrit dans cette dynamique. Elle trouve un echo favorable et surtout durable lors de la crise d'identite qui caracterise la societe francaise des annees 1880-1890. Il est indeniable que l'usage de la culture russe a ete politique. La formation d'un pole culturel russe en france, preparation de l'opinion publique francaise a l'alliance franco-russe, contribue a depasser l'image fragmentaire et lacunaire de l'empire russe qui a dominee la quasi totalite du xixe siecle. L'integration de la culture russe a l'aire culturelle francaise est largement redevable du contexte diplomatique europeen. La russomanie qui sevit et submerge la france de 1886 a 1897 indique nettement, qu'au-dela de la decouverte des grands romanciers, l'enjeu se situe au croisement des champs politique et culturel. Les annees 1898-1914 marquent le depassement de cette situation ambigue. L'usage politique de la culture russe s'efface pour ceder la place a une perception dans laquelle l'oeuvre est apprehendee en elle-meme au-dela du contexte diplomatique. Au temps de la decouverte, de 1881 a 1897, succede le temps de la reconnaissance, de 1898 a 1914. L'interpretation de la culture russe durant ces dernieres annees n'est plus partiale et assujettie, mais montre une diversite des jugements, une pluralite du discours. Le temps de la reconnaissance est marque par l'accessibilite globale a l'aire culturelle russe envisagee au-dela d'un usage militant et proselyte, renouvelant, par ailleurs, la vision du monde jusqu'alors predominante, comme l'atteste l'evolution de la querelle du nationalisme et du cosmopolitisme
From 1881 to 1914, a considerable russophile trend emerged and made his mark in france. This russophilia combined a dual dimension, both political and cultural. The spreading of the russian culture fit into this dynamic and was met with a favourable and overall lasting reception during the identity crisis which characterised the french society of the 1880s-1890s. There is no doubt that the use of the russian culture has been political. The formation of a russian cultural pole in france - in preparation of french public opinion for the franco-russian alliance -, contributed to the overstepping of the fragmentary and deficient picture of the russian empire which had dominated almost all the 19th century. The integration of the russian culture into the french cultural sphere is considerably indebted to the european diplomatic context. The russomania raging and overcoming france from 1886 to 1897 clearly shows that beyond the discovery of the great novelists, the stake was standing at the junction of political and cultural fields. The period 1898-1914 indicates that this ambiguous situation had been overcome. The political use of the russian culture disappeared to give way to a perception in which the work of art is grasped for itself, beyond the diplomatic context. The time of discovery - from 1881 to 1897 - was replaced by the time of acknowledgement - from 1898 to 1914. The interpretation of the russian culture in the last years was no more biased nor subjugated, but shows a diversity of judgements, a plurality of discursive reasoning. The time of acknowledgement was marked by global accessibility to the russian cultural sphere, viewed beyond a militant and proselyte use; renewing, moreover, the vision of the world which had been predominant until then, as attested by the evolution of the quarrel on nationalism and cosmopolitanism
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Bernard, Agnès. "L'éducation des élites en Autriche : les lycées catholiques viennois de 1848 à 1938, entre résistances et adaptations." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA082290.

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Abstract:
Jusqu'au milieu du 19ème siècle, l'enseignement secondaire autrichien était entièrement assuré par les ordres catholiques dans les lycées (Gymnasien) et centré sur les langues anciennes. 1848 marque le début d'une politique éducative nouvelle où cet enseignement se modernise et est désormais confié aussi à des gymnases lai͏̈ques. Ce travail entreprend d'analyser la manière dont les lycées catholiques viennois traversent ces difficultés et d'étudier les changements qu'elles entrainent dans la formation des couches supérieures de la population. L'analyse s'organise selon trois perspectives : le problème du statut, la nature du recrutement, la spécificité de l'enseignement dispensé. Elle montre que les lycées catholiques viennois étudiés ont su, pendant cette période, conserver une place quantitativement marginale, mais qualitativement importante dans la société. Elle souligne la complexité de ces institutions et de met en lumière les problématiques qui traversent cette époque
Until the middle of the 19th century, Austrian secondary education was taken care of by the Catholic orders in colleges (Gymnasien) and focused on ancient languages. 1848 is the beginning of a new modern education policy in which this teaching is taken care of by non-religious colleges. This work analyses the way through which Viennese Catholic colleges face these difficulties and studies the changes the latter cause in the formation of the upper layers of the population. The analysis and gets organized according to three perspectives: the status issue, the nature of recruitment, the specificity of the teaching given there. This work shows that the studied Viennese Catholic colleges were able to maintain a quantitatively marginal but qualitatively important position within the Austrian society. It underlines the complexity of these institutions and throws the light on the various issues of this era

Books on the topic "Civilisation – Autriche – 20e siècle":

1

Rioux, Marcel. Un peuple dans le siècle. Montréal: Boréal, 1990.

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2

Bouchard, Serge. L' homme descend de l'ourse. [Montréal]: Boréal, 2001.

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3

Bouchard, Serge. L' homme descend de l'ourse. Montréal, Qué: Boréal, 1998.

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4

Roncayolo, Marcel, and Thierry Paquot. Villes et civilisation urbaine: XVIIIe-XXe siècle. Paris: Larousse, 1992.

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5

Simard, Marc. Histoire du XXe siècle: Affrontements et changements. 2nd ed. Montréal: Chenelière/McGraw-Hill, 2002.

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6

Simard, Marc. Histoire du XXe siècle: De Sarajevo à Sarajevo. Montréal: Chenelière / McGraw-Hill, 1997.

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7

Michel, Richard. La pensée contemporaine: Les grands courants. 3rd ed. Lyon: Chronique sociale de France, 1986.

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8

Bouchard, Serge. De la fin du mâle, de l'emballage et autres lieux communs. [Montréal]: Boréal, 1996.

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9

Paquette, Claude. Demain, une caricature d'aujourd'hui: Comprendre ce qui est pour construire ce qui sera. Victoriaville, Qué: Éditions NHP, 1996.

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10

Chamberland, Paul. En nouvelle barbarie. Montréal: Éditions de l'Hexagone, 1999.

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