Academic literature on the topic 'Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis"

1

Macdonald, Douglas, and Debora L. VanNijnatten. "La politique canadienne en matière de changements climatiques et l'influence nord-américaine." Revue Gouvernance 7, no. 1 (February 8, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1039137ar.

Full text
Abstract:
Cet article porte sur l’influence du contexte nord-américain sur la politique canadienne relative aux changements climatiques à l’aide de trois indicateurs : les actions ou les déclarations qui expriment la volonté des gouvernements canadiens de mettre en oeuvre une coopération transfrontalière en matière de politique climatique, les actions ou les déclarations d’acteurs privés qui ont pour but de demander aux gouvernements du Canada d’harmoniser leurs politiques avec celles des États-Unis, et le degré de convergence des politiques des deux pays. Les auteurs en concluent qu’au Canada, le contexte nord-américain a considérablement influencé les politiques relatives aux changements climatiques aux échelons fédéral, provincial et intergouvernemental (fédéral-provincial), bien que cette influence se soit exercée d’une manière différente aux niveaux intergouvernemental et infranational et que des facteurs politiques, économiques et institutionnels intérieurs soient intervenus.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Monika, Salzbrunn. "Migration." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.059.

Full text
Abstract:
En anthropologie, la migration, du mot latin migratio, signifie en principe un déplacement physique d’un être humain (migration humaine), bien que des déplacements non-humains soient aussi qualifiés de migrations (migration animale, migration de plantes, migration de planètes etc.). Suite à la généralisation de l’État-nation comme forme d’organisation politique au 19e siècle, on distingue surtout la migration transnationale (qui implique le déplacement d’au moins une frontière nationale) et la migration interne (à l’intérieur de frontières étatiques). Par ailleurs, ces migrations peuvent prendre la forme d’une migration pendulaire (mouvement de va-et-vient), circulaire (mouvement en cercle), saisonnière (migration de travail influencé par les saisons agricoles) ou durable, menant à une installation et une naturalisation. Parmi les causes, on a longtemps souligné les migrations de travail alors que les cas de migrations climatiques et forcées augmentent de façon significative : migrations imposées par le contexte, notamment politique, par exemple pendant une guerre civile ou encore déplacements engendrés par des changements climatiques comme une sècheresse ou l’avancement du désert dans la zone du Sahel. Le tourisme est parfois considéré comme une forme volontaire de migration à courte durée. Jusqu’à présent, peu de travaux lient les réflexions sur les migrations avec celles sur la mobilité (Ortar, Salzbrunn et Stock, à paraître). Certaines recherches sur l’ethnicité (Barth 1999 [1969]) et la transnationalisation ainsi que de nouvelles catégories statistiques développées au niveau gouvernemental témoignent du fait que certaines personnes peuvent être considérées ou perçues comme migrant-e-s sans avoir jamais effectué un déplacement physique au-delà des frontières nationales de leur pays de naissance. Ainsi, aux Pays-Bas et en Belgique, dans le discours politique, on distingue parfois autochtones (grec, littéralement terre d’ici) et allochtones (grec, littéralement terre d’ailleurs). Au Pays-Bas, on entend par allochtone une personne qui y réside et dont au moins un parent est né à l’étranger. Ce terme était destiné à remplacer le terme « immigré », mais il continue à renvoyer des résidents (voire des citoyens) à (une partie de) leur origine. Le terme allemand « Migrationshintergrund » (littéralement background migratoire) pose le même problème. L’anthropologie s’intéresse de facto dès l’émergence de la discipline aux migrations, notamment dans l’étude de sociétés pastorales (en focalisant les déplacements des éleveurs et de leurs troupeaux) ou dans l’analyse des processus d’urbanisation (suite à la migration du monde rural vers les villes). En revanche, l’anthropologie des migrations et de la transnationalisation n’émergent que dans les années 1990 en tant que champ portant explicitement ce nom – d’abord dans le monde anglophone (Glick Schiller N., Basch L. et C. Blanc Szanton 1992, Hannerz U. 1996), et ensuite dans le monde francophone (Raulin A., D. Cuche et L. Kuczynski 2009 Revue Européenne des Migrations internationales, 2009, no. 25, vol. 3), germanophone (Pries L. 1996), italophone (Riccio 2014), hispanophone, lusophone etc.. La traite des esclaves et les déportations de millions de personnes d’Afrique Sub-Saharienne vers l’Europe et les Amériques, qui ont commencé au 17e siècle et duré jusqu’en 1920, ont été étudiées dans le cadre de l’anthropologie marxiste (Meillassoux 1986) puis par des historiens comme Olivier Pétré-Grenouilleau (2004) ou encore par Tidiane N’Diaye (2008), ce dernier ayant mis l’accent sur la longue et intense implication de commerçants arabes dans la traite négrière. La violente « mission civilisatrice » ou campagne de conquête coloniale a très souvent été accompagnée d’une mission de conversion au christianisme, ce qui a fait l’objet de publications en anthropologie depuis une trentaine d’années sous l’impulsion de Jean et John Comaroff (1991) aux Etats-Unis, et plus récemment en France (Prudhomme 2005). Selon les contextes régionaux, l’une ou l’autre forme de migration a été étudiée de manière prépondérante. En Chine, les migrations internes, notamment du monde rural vers les villes, concernent presque autant de personnes dans l’absolu (229,8 millions en 2009 selon l’Organisation internationale du Travail) que les migrant-e-s transnationaux dans le monde entier (243,7 millions en 2015 selon les Nations Unies/UN International Migration Report). Le pourcentage de ces derniers par rapport à la population mondiale s’élève à environ trois pour cent, ce qui semble en décalage avec la forte attention médiatique accordée aux migrant-e-s transnationaux en général et aux réfugiés en particulier. En effet, la très grande majorité des déplacé-e-s dans le monde reste à l’intérieur des frontières d’un État-nation (Withol de Wenden C., Benoît-Guyod M. 2016), faute de moyens financiers, logistiques ou juridiques (passeport, visa). La majorité des réfugiés politiques ou climatiques reste à l’intérieur des frontières nationales ou dans un des pays voisins. Ainsi, selon l’UNHCR/ l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, sur les 65,3 millions de personnes déplacées de force, 40,8 millions étaient des déplacé-e-s internes et seulement 3,2 millions des demandeur-e-s d’asile en 2015. L’urbanisation croissante qui s’opère dans le monde suscite une augmentation de la migration de travail, notamment en Chine. Dans cet État, le système d’enregistrement et d’état-civil (hukou) limite l’accès aux services sociaux (santé, école, etc.) à la commune de naissance : un changement de résidence est soumis à des conditions restrictives, ce qui engendre une perte de droits élémentaires pour des dizaines de millions de migrants ruraux ne possédant pas de permis de résidence (Jijiao 2013). En France, jusqu’au tournant culturel (qui marque une bifurcation de la focale de la recherche vers les appartenances culturelles et religieuses des personnes étudiées) dans les années 1990, les sciences sociales des migrations, notamment la sociologie des migrations, ont surtout étudié les conditions et rapports de travail, les inégalités sociales ou encore la politique du logement et les inégalités spatiales (Salzbrunn 2015), conduisant ainsi à une très forte focalisation sur les rapports de classe et sur les conditions de vie des immigré-e-s des anciennes colonies. La migration des personnes hautement qualifiées n’a en revanche été que peu étudiée. Après la chute du mur de Berlin, les « appartenances multiples » (concept central de l’ouvrage de Yuval-Davis, Viethen et Kannabiran 2006), notamment religieuses (Capone 2010), ont été privilégiées comme objet de recherche. Cette tendance, accompagnée par un climat politique de plus en plus xénophobe dans certains pays européens, a parfois pointé vers une « ethnicisation » de la religion (Tersigni, Vincent et Willems, à paraître). Le glissement de perception d’une population de la catégorie des « travailleurs immigrés » ou « Gastarbeiter » (littéralement « travailleurs invités ») vers celle de « musulmans » s’inscrit dans un processus d’altérisation, sous-entendant dans les deux cas qu’il s’agit d’un groupe homogène marqué par les mêmes caractéristiques, et ignorant de ce fait la « diversité au sein de la diversité » (Vertovec 2010), notamment les différences en termes de niveau de formation, de genre, d’âge, de statut juridique, de préférence sexuelle, du rapport aux discours et pratiques religieux etc. Beaucoup d’études se sont ainsi focalisées sur des groupes fondés sur le critère d’une nationalité ou d’une citoyenneté commune, ce qui a été critiqué comme relevant d’un « nationalisme méthodologique » (Glick Schiller et Caglar 2011). Même le nouveau champ de recherches consacré aux espaces sociaux transnationaux (Basch, Glick Schiller et Szanton Blanc 1992 ; Salzbrunn 2016) a parfois été (auto-)critiqué pour la reproduction des frontières nationales à travers une optique transnationale. Ont alors émergé des réflexions sur une relocalisation de la migration (Glick Schiller et Caglar 2011) et sur l’enracinement spatial de la migration dans des espaces sociaux translocaux (Salzbrunn 2011). Bien que la moitié de la population migratoire soit féminine, les aspects de genre n’ont été étudiés que très tardivement (Morokvasic-Müller 1984), d’abord dans un contexte de regroupement ou de liens familiaux maintenus pendant la migration (Delcroix 2001 ; Kofman 2004 ; Kofman et Raghuram 2014), puis dans celui des approches féministes du développement (Verschuur et Reysoo 2005), de la migration du travail et des frontières genrées (Nouvelles Questions Féministes 26, 2007). En effet, les dynamiques internationales dans la division du travail engendrent une chaîne globale des soins (« global care chain ») qui repose essentiellement sur les femmes, que ce soit dans le domaine médical, de la pédiatrie ou des soins aux personnes âgées. La réflexion sur la division internationale du travail reproductif a été entreprise par Rhacel Parrenas (2000) et développée par Arlie Hochschild (2000). On peut obtenir une vue d’ensemble des projets européens consacrés au genre et à la migration, voir les résultats du projet européen GEMMA. Enhancing Evidence Based Policy-Making in Gender and Migration : http://gemmaproject.seminabit.com/whatis.aspx En anthropologie politique, l’évolution de systèmes politiques sous l’impact d’une migration de retour, a été étudiée dans un contexte postcolonial (von Weichs 2013). De manière générale, les réflexions menées dans un contexte études postcoloniales de ce type n’ont été entreprises que tardivement en France, et ce souvent dans une optique très critique, voire hostile à ces débats (L’Homme 156, 2000). Parmi les autres sujets traités actuellement en anthropologie des migrations se trouvent les inégalités sociales et spatiales, les dynamiques religieuses transnationales (Argyriadis et al. 2012), les réfugiés et leurs moyens d’expressions politiques et artistiques (Salzbrunn 2014) ou musicales (Civilisations 67, 2018 ; Salzbrunn, Souiah et Mastrangelo 2015). Enfin, le développement conceptuel du phénomène de transnationalisation ou des espaces sociaux translocaux, voire le retour à la « localisation de la migration » (titre de l’ouvrage de Glick Schiller et Caglar 2011) sont des réponses constructives à la question : Comment étudier les migrations dans des sociétés super-diverses (Vertovec 2011) sans réifier leurs appartenances ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis"

1

Gadani, Giulia. "Désastres, politique et économie : l'interaction entre les cyclones tropicaux, les opinions politiques et la croissance économique." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2024. http://www.theses.fr/2024COAZ0030.

Full text
Abstract:
Cette dissertation vise à combler d'importantes lacunes dans l'étude de l'impact des cyclones tropicaux sur (i) la croissance économique infranationale ; (ii) le lien entre les cyclones tropicaux et la polarisation politique ; et (iii) la relation entre les nouvelles sur le changement climatique et les opinions des individus. Premièrement, les cyclones tropicaux causent des dommages et des préjudices considérables, et la proportion des tempêtes les plus intenses devrait augmenter avec le réchauffement futur. Les analyses précédentes étaient limitées à des régions spécifiques, à des niveaux de pays ou à des dangers uniques liés aux cyclones tropicaux, principalement la vitesse du vent. Chapitre 1 évalue l'effet combiné des trois principaux dangers des cyclones tropicaux—la vitesse du vent, l'onde de tempête et les pluies—sur la croissance macroéconomique infranationale à l'échelle mondiale. À cette fin, nous combinons des données d'intensité des cyclones tropicaux modélisées spatialement avec des données de croissance économique provenant de 1.642 régions infranationales pour les années 1980-2020. Nous mettons en évidence que, bien que la vitesse du vent entraîne les plus grandes pertes macroéconomiques, il est important de tenir compte des deux autres dangers. L'onde de tempête cause d'autres pertes, tandis que l'effet des pluies est bénéfique jusqu'à un certain seuil de précipitations. Deuxièmement, la littérature a examiné l'impact des extrêmes climatiques sur les préférences politiques, mettant en évidence un déplacement positif vers des positions environnementales et démocrates. Cependant, elle n'a pas abordé les effets potentiellement polarisants sur l'opinion publique. Chapitre 2 examine la relation entre les cyclones tropicaux et la polarisation politique aux États-Unis, offrant de nouvelles perspectives sur ce sujet. Pour ce faire, nous utilisons la base de données du Cooperative Election Study pour l'idéologie politique et des données modélisées sur la vitesse maximale du vent pour mesurer les dommages causés par les tempêtes pendant la période 2010-2018. Nous constatons que les cyclones tropicaux particulièrement destructeurs sont associés à une augmentation de la polarisation politique au sein de la population. En particulier, les démocrates présentent une augmentation des opinions libérales, tandis que les républicains s'orientent vers des opinions plus conservatrices. Troisièmement, la littérature existante a montré que les actualités sur le changement climatique influencent positivement l'acceptation de sa réalité. Cependant, il n'a pas été examiné si ces actualités contribuent à une plus grande stabilité des opinions, en tenant compte à la fois de l'acceptation et du déni du changement climatique. Chapitre 3 aborde une avenue inexplorée en se concentrant sur la question de savoir si les actualités sur le changement climatique renforcent l'adhésion à l'opinion de l'individu et écartent les perspectives opposées concernant la réalité du changement climatique parmi les résidents américains. J'utilise les données historiques d'enquêtes sur plus de 9.000 individus recueillis durant les années paires de la période 2010-2014. J'ai constaté qu'une plus grande exposition aux actualités sur le climat augmente la probabilité d'avoir (i) une acceptation stable du changement climatique parmi les démocrates ; (ii) un déni stable du changement climatique parmi les républicains ; (iii) un déni instable du changement climatique parmi les démocrates ; et (iv) une acceptation instable du changement climatique parmi les républicains
This dissertation aims at closing important research gaps in the study of (i) the effect of tropical cyclones on subnational economic growth; (ii) the linkage between tropical cyclones and political polarization; and (iii) the relation between climate change news and individuals' opinions. First, tropical cyclones cause substantial damage and harm, and the proportion of the most intense storms is projected to increase under future warming. Previous analyses are limited to specific regions, country levels, or single tropical cyclone hazards, mainly wind speed. Chapter 1 assesses the compound effect of all three main tropical cyclone hazards—wind speed, storm surge, and rainfall—on subnational macroeconomic growth globally. To this end, we combine spatially modeled tropical cyclone intensity data with economic growth data from 1,642 subnational regions for the years 1980-2020. We find that while wind speed induces the largest macroeconomic losses, accounting for the other two hazards is important. Storm surges cause further losses, whereas the effect of rainfall is beneficial up to a certain rainfall amount. Second, previous literature has examined the impact of extreme events on political preferences, highlighting a positive shift towards environmental and Democratic positions. However, it has not addressed the potential polarizing effect on public opinion. Chapter 2 investigates the relation between tropical cyclones and political polarization in the United States, offering new insights into this topic. To do so, we use the Cooperative Election Study database for political ideology and scientific maximum wind-speed modeled data for measuring storm damage over the 2010-2018 period. We find that extremely damaging tropical cyclones are associated with increased political polarization within the population. Specifically, Democrats exhibit an increase in liberal opinions, while Republicans shift towards more conservative views. Third, existing literature has shown that climate change news positively influences the acceptance of climate change. However, there has been no examination of whether climate change news contributes to greater stability in opinions, taking into account both acceptance and denial of climate change. Chapter 3 addresses an unexplored avenue by focusing on whether climate change news reinforces adherence to the individual's opinion and discards opposing perspectives about the existence of climate change among U.S. residents. I use individuals' historical survey data on over 9,000 individuals collected during the even years of the 2010-2014 period and find that greater exposure to climate news increases the probability of having (i) stable climate change acceptance among Democrats; (ii) stable climate change denial among Republicans; (iii) unstable climate change denial among Democrats; and (iv) unstable climate change acceptance among Republicans
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Lefèvre, Mathias. "Les firmes transnationales et l'institution social-historique du changement climatique." Phd thesis, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00169596.

Full text
Abstract:
Notre thèse porte sur les firmes transnationales dont les activités sont mises en cause dans le problème du changement climatique. Elle traite de leurs actions relativement au processus politique engagé par les Etats au début des années 1990 et de leur influence sur la définition des solutions à apporter au problème. Plus précisément, dans le cadre d'une réflexion plus large sur l'institution social-historique du problème - le fait qu'il est institué, moyennant l'imaginaire, dans et par des sociétés particulières, à un moment donné de leur histoire et pour un certain temps -, et considérant la période allant de 1989 à 2001, nous avons voulu élucider deux choses. D'une part, pourquoi, pour (ou contre) quoi et comment ces firmes ont agi (la cause, la fin et la teneur de leurs actions) par rapport au processus politique. D'autre part, dans quelle mesure ces actions (faisant valoir un certain " pouvoir relationnel "), mais aussi le seul fait qu'elles existaient (situation dont elles tirent un " pouvoir institutionnel "), ont eu des effets sur ce processus et, plus particulièrement, sur la définition des solutions. Le choix d'analyser ces acteurs " non-étatiques " majeurs a résulté de deux motivations entremêlées. Celle, principale, de démontrer la nécessité de tenir compte de ces grandes firmes (en sus des Etats, des institutions interétatiques et d'autres acteurs non-étatiques) pour pouvoir comprendre l'évolution du processus politique, et ainsi de remédier au défaut d'études sur le sujet. Par ailleurs, celle de contribuer, en filigrane, à la compréhension de la façon dont le capitalisme, en tant que régime social (type spécifique d'institution de la société) ne pouvant exister que dans et par l'entreprise, affronte ce problème qui, plus que tout autre problème écologique, le met profondément en question, c'est-à-dire le menace.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Benchora, Inessa. "Impact of Transition Risk on Stock Returns." Electronic Thesis or Diss., Orléans, 2024. http://www.theses.fr/2024ORLE1010.

Full text
Abstract:
Le risque de transition, inhérent au passage vers une économie sobre en carbone, présente des défis et opportunités significatifs pour les marchés financiers. Cette thèse vise à quantifier et à analyser l’influence de ce risque sur les rentabilités boursières, en tenant compte des évolutions réglementaires, technologiques et des préférences des consommateurs et investisseurs. Prenant part dans un premier temps au débat sur la mesure la plus adéquate pour approximer la contribution des entreprises au risque de transition, nous proposons dans le chapitre 1 d’utiliser les émissions de carbone vérifiées pour évaluer l’impact du risque de transition sur les entreprises participant à l’EU ETS. Nos résultats montrent que le système d’échange de quotas modifie le profil risque-rendement des actions, ce qui peut fournir une incitation financière à prendre en compte les émissions dans les décisions d’investissement. Ensuite, conscient du rôle pivot des banques centrales dans la transition vers une économie sobre en carbone, le chapitre 2 propose une évaluation de l’empreinte environnementale de la politique monétaire des États-Unis vis-à-vis du risque de transition. La principale conclusion de non-neutralité de la politique monétaire américaine, favorisant les entreprises polluantes, mène au troisième chapitre. Celui-ci, portant sur les États-Unis également, explore la manière dont le risque de transition est pris en compte dans la valorisation du marché et comment la réglementation climatique peut influer sur cette intégration. Nos résultats suggèrent que l’impact à long terme des lois américaines sur la relation entre émissions de carbone et rendements boursiers nécessite un renforcement pour assurer sa pérennité. Actuellement, les mesures législatives ont un effet plus marqué à moyen terme, mais leur durabilité reste incertaine. En conclusion, ces chapitres ont pour but de permettre une meilleure intégration du risque de transition dans l’évaluation des actions par les investisseurs qui habiliterait les autorités réglementaires et les acteurs du marché financier à élaborer des politiques plus adéquates et à instaurer des dispositifs préventifs face à ce risque
Transition risk, inherent in the shift to a low-carbon economy, presents significant challenges and opportunities for financial markets. This thesis aims to quantify and analyze the influence of this risk on stock returns, taking into account regulatory, technological, and consumer and investor preference developments. Taking part initially in the debate on the most appropriate measure to approximate a company’s contribution to transition risk, in Chapter 1, we propose the use of verified carbon emissions to assess the impact of transition risk on companies participating in the EU ETS. Our results show that the emissions trading system alters the risk-return profile of stocks, which can provide a financial incentive to consider emissions in investment decisions. Next, recognizing the pivotal role of central banks in the transition to a low-carbon economy, Chapter 2 provides an evaluation of the environmental footprint of U.S. monetary policy concerning transition risk. The main conclusion of non-neutrality in U.S. monetary policy, favoring polluting companies, leads to the third chapter. This chapter, also focused on the United States, explores how transition risk is taken into account in market valuation and how climate regulation can influence this integration. Our results suggest that the long-term impact of U.S. laws on the relationship between carbon emissions and stock returns needs strengthening to ensure its sustainability. Currently, legislative measures have a more pronounced effect in the medium term, but their sustainability remains uncertain. In conclusion, these chapters aim to enable a better integration of transition risk into stock evaluation by investors, which would empower regulatory authorities and financial market participants to develop more suitable policies and preventive measures against this risk
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Gagnon, Pierre-André. "Changements climatiques et modernisation écologique : un nouveau discours sous Barack Obama?" Mémoire, 2013. http://www.archipel.uqam.ca/5915/1/M13192.pdf.

Full text
Abstract:
En arrivant à la Maison-Blanche en 2008, Barack Obama promettait de s'attaquer de manière décisive aux changements climatiques. En plus de proposer une politique climatique ambitieuse, le nouveau président articulait cette politique de façon originale. En effet, il la présentait comme étant un moyen de satisfaire les intérêts économiques et sécuritaires des États-Unis. Certains auteurs ont suggéré qu'en adoptant une telle conception de la lutte aux changements climatiques, Obama se serait en fait approprié un discours environnemental particulier, celui de la modernisation écologique. Ce discours avance l'idée selon laquelle les enjeux environnementaux et économiques sont compatibles. Bien que l'hypothèse de ces auteurs s'avère intéressante, elle n'a jamais été démontrée de manière rigoureuse dans la littérature scientifique. Ce mémoire cherche à combler ce vide en posant la question suivante : « Dans quelle mesure le discours environnemental tenu par Barack Obama durant son premier mandat à propos des changements climatiques peut-il être apparenté à celui de la modernisation écologique? ». La thèse avancée est que même si durant la campagne présidentielle de 2008 et au début de son mandat son discours environnemental présentait quelques idées centrales de la modernisation écologique, celles-ci apparaissaient de moins en moins souvent dans son discours à partir de 2010, et ce, jusqu'aux élections de 2012. Afin de démontrer cette proposition, une analyse de discours d'un corpus de dix textes a été réalisée. La comparaison des résultats de cet exercice a permis de constater que le discours environnemental d'Obama cadrait effectivement au début de ses quatre années au pouvoir avec la modernisation écologique, mais que celle-ci a ensuite perdu en importance dans les propos de l'occupant de la Maison-Blanche. De plus, vers la fin de son mandat, Obama a embrassé le discours prométhéen, soit un discours qui prétend que la protection de l'environnement ne peut que nuire à la prospérité économique et qu'il faut donc prioriser cette dernière. Enfin, il a été démontré que l'échec du Sénat à adopter l'American Power Act de 2010, les élections de mi-mandat de 2010 ainsi qu'une série de circonstances s'étant produites en 2011 permettraient en partie d'expliquer l'évolution de discours du président. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : changements climatiques, modernisation écologique, Barack Obama, analyse de discours, États-Unis
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Book chapters on the topic "Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis"

1

McCright, Aaron M., Riley E. Dunlap, and Valérie Lacroix. "Chapitre 8. Déni organisé et polarisation politique autour des changements climatiques aux États-Unis." In Controverses climatiques, sciences et politique, 173–94. Presses de Sciences Po, 2012. http://dx.doi.org/10.3917/scpo.belan.2012.02.0173.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Reports on the topic "Changements climatiques – Aspect politique – États-Unis"

1

Warin, Thierry. Vers une économie de données : réflexions pour hausser la productivité de l’économie québécoise à l’heure de la révolution des données. CIRANO, September 2023. http://dx.doi.org/10.54932/csxq4709.

Full text
Abstract:
Afin de combler les écarts de richesse du Québec avec ses nombreux partenaires, une réorientation stratégique, impulsée par l’économie des données, semble impérative. Cette transition stratégique devrait s'organiser autour d’une prompte mutation vers une économie axée sur les données, dans le contexte des changements climatiques et de la nouvelle politique industrielle des États-Unis. Il convient de concevoir un modèle de développement qui dépasse la simple augmentation de la production, et qui capitalise sur l'intégration économique du Québec à l'échelle internationale. Face aux impératifs du 21e siècle, le Québec se doit de consolider sa position en tant qu'économie compétitive, écologique et réactive. Néanmoins, l'implémentation d'une telle réorientation nécessite une entente et une collaboration étroite entre diverses parties prenantes, incluant les institutions gouvernementales, le tissu entrepreneurial et la population. Au regard des défis environnementaux et sociaux en constante évolution, cette transformation profonde n'est pas seulement préférable, mais également indispensable.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography