Academic literature on the topic 'Catégories Visuelles'

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Journal articles on the topic "Catégories Visuelles"

1

Scott, David. "La structure sémiotique de l'allégorie." Protée 33, no. 1 (May 12, 2006): 39–48. http://dx.doi.org/10.7202/012265ar.

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Abstract:
Résumé En retenant la définition de l'iconicité proposée par Tony Jappy, à savoir « l'ensemble des propriétés qualitatives, formelles, hérité de son objet dynamique par un signe donné », cette intervention proposera une analyse sémiotique d'une allégorie visuelle, en l'occurrence celle constituée par l'icône nationale Britannia. L'allégorie (plastique) est un discours visuel qui se construit en utilisant des signes visuels. Le but de mon analyse est d'interroger le processus de la sémiose activé par l'allégorie visuelle quand il prend la forme, comme c'est le cas avec Britannia, d'une icône complexe. Utilisant les catégories et la terminologie de Peirce, mon texte poursuit l'analyse sémiotique de Britannia en se concentrant surtout sur la structure des inférences que l'allégorie, en tant que signe, invite de la part de l'interprétant, et de la contrainte qu'elle exerce sur le processus d'interprétation. Car l'allégorie, en proposant entre signe et objet un parallélisme plus systématique et plus fermé que la métaphore pure, appelle une activation plus suivie des diverses logiques d'inférence proposées par Peirce que sont la déduction, l'induction et l'abduction. L'analyse est étayée par un corpus d'illustrations qui, en montrant les diverses formes visuelles que prend l'icône Britannia, souligne un paradoxe à l'intérieur de l'allégorie visuelle - la mobilité dans l'unité, sur le plan de l'interprétation et sur le plan de la représentation.
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2

Bobrie, François. "Les représentations visuelles des biens et des services par leurs marquages : les fondements sémiotiques d’un langage des marques." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 33, no. 3 (May 15, 2018): 147–69. http://dx.doi.org/10.1177/0767370118768518.

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Abstract:
Alors que la littérature marketing s’est abondamment intéressée au concept de « Marque » ( brand), elle a délaissé l’étude du marquage ( branding) dans ses dimensions figuratives les plus concrètes. Cet article est dédié à une enquête sémiotique sur la nature des marquages et sur les principes théoriques qui rendent compte de leurs constructions visuelles. Après avoir décrit les outils conceptuels mobilisés, nous montrons à partir d’exemples que le marquage est avant tout la source d’un récit de l’objet marqué et qu’il ne peut pas se résumer à une somme de stimuli, même codés. Puis à partir d’un échantillon de bouteilles de différents crus de Bordeaux et du Beaujolais, nous montrons comment les marquages comme langage visuel permettent de raconter toutes les nuances d’un positionnement et d’une segmentation à l’intérieur d’une même catégorie puis de se différencier entre catégories. En conclusion, nous soulignons l’intérêt heuristique d’une étude sémiotique pour comprendre et maîtriser l’efficacité d’une stratégie de marquage.
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Haicault, Monique. "La méthodologie de l'image peut-elle être utile à la recherche en sciences sociales?" Sociedade e Estado 17, no. 2 (December 2002): 529–39. http://dx.doi.org/10.1590/s0102-69922002000200014.

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Abstract:
Si l'image n'a pas encore toute la place qui devrait lui revenir dans le champ des méthodologies en Sciences Sociales, c'est d'abord parce que son langage utilise un système de signes qui lui est spécifique, distinct de l'oral et de l'écrit. La méthodologie de l'image doit forger ses propres règles de collecte de données audiovisuelles, ses codes d'analyse et d'interprétation, afin de donner un sens sociologique à la " banalité " de ce qui est observé et enregistré. Elle doit aussi se plier aux conditions d'un média audiovisuel pour montrer des résultats de recherche dans un montage cohérent. L'article montre comment la réflexion s'alimente en particulier des apports de la Sémiologie et de ceux de l'Ecole de Palo Alto. Par sa nature épistémologique ce travail pousse la recherche sociologique à interroger ses catégories de collecte de données visuelles, à réajuster ses indicateurs, à préciser les objectifs de ce qu'elle veut transmettre. La méthodologie de l'image est donc utile à la production de connaissances en Sociologie. A partir d'exemples tirés des réalisations de l'auteure, l'article montre comment le corps, l' espace et le temps sont des catégories de la pratique sociale particulièrement adaptées aux approches audiovisuelles. Le corps au "Travail Domestique" ou en "Télétravail", l'espace dans "La gestion ordinaire de la vie en deux", "L'apprentissage du temps", au fondement de la prime socialisation.
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4

Mithout, Anne-Lise. "Les musiciens aveugles itinérants au Japon du Moyen Âge au XXe siècle." Canadian Journal of Disability Studies 8, no. 6 (December 19, 2019): 87–107. http://dx.doi.org/10.15353/cjds.v8i6.581.

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Abstract:
Au Japon, il existe depuis les temps antiques une forte association entre déficience visuelle et musique. Les musiciens aveugles ont à la fois marqué la culture populaire, en inspirant de nombreux personnages de fiction, et apporté une contribution majeure à l’histoire littéraire et musicale du Japon. Cet article est une revue de littérature qui vise à explorer pourquoi et comment la figure du musicien aveugle a marqué l’imaginaire historique au Japon. Le terme « aveugle » employé dans ce texte n’est pas à entendre comme une catégorie médicale visant à définir les personnes concernées par leurs capacités visuelles, mais comme une catégorie de l’imaginaire collectif qui tend à associer ces personnes dans une communauté de destins. On montre que les diverses figures de musiciens aveugles visibles à travers l’histoire du Japon sont en grande partie le produit d’une autodéfinition par les communautés d’aveugles elles-mêmes qui ont travaillé à se construire et à faire reconnaître une identité spécifique. Elles donnent à voir des expériences vécues de la déficience visuelle qui peuvent différer de ce qu’on appelle aujourd’hui une « situation de handicap ».
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5

Mungas, Dan, Cindy L. Ehlers, and Dale Blunden. "Age Differences in Recall and Information Processing in Verbal and Spatial Learning." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 10, no. 4 (1991): 320–32. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800011351.

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Abstract:
RÉSUMÉLes différences selon l'âge dans les apprentissages verbaux et spatiaux et le traitement des informations obtenues ont été testées à partir de deux exercices d'apprentissage portant respectivement sur des listes verbales de mots et sur des listes visuo-spatiales. Les réminiscences ont été évaluées au cours de cinq essais d'apprentissage et les mêmes instruments de traitement de l'information et de stratégie organisationnelle ont été utilisés à partir des deux types d'exercice ci-haut mentionnés. Des sujets normaux, divisés en trois groupes d'âge de 24 sujets chacun, ont été comparés sur la base de ces instruments. Tant les essais que les types de tâches (verbales vs spatiales) ont permis d'observer des différences significatives selon l'âge et ce, pour la moyenne de toutes les réminiscences. Par rapport aux apprentissages verbaux et aux apprentissages spatiaux, l'âge n'a pas présenté de différences significatives. De plus, il n'y a pas eu de modèles différents de réminiscences selon les groupes d'âge au cours des essais d'apprentissage. Par contre l'âge a été relié à des types de mesures dites d'agglomération, mesures destinées à évaluer l'organisation de l'information selon des catégories sémantiques verbales ou visuelles. Au cours d'essais antérieurs d'apprentissage et sur des sujets plus jeunes, on avait abouti à de plus hauts niveaux d'agglomération. Les instruments verbaux et spatiaux d'agglomération ont donné les mêmes résultats. En ce qui concerne l'ordre, dans le temps, de présentation de l'information, l'âge n'avait rien à voir avec les différences d'organisation des essais. Les résultats présentent le même type de différences reliées à l'âge, dans les listes d'apprentissages verbales ou spatiales. Cela nous prouve que l'apprentissage verbal aussi bien que l'apprentissage spatial repose sur un traitement de l'information requérant beaucoup d'efforts.
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Riboni, Ulrike Lune. "Vidéos de violences policières : la « preuve par l’image » ?" Communication & langages N° 215-216, no. 1 (September 22, 2023): 159–79. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.215.0159.

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Abstract:
Les « vidéos de violences policières » sont au cœur d’âpres débats en France depuis le mouvement des Gilets jaunes initié en 2018 et font l’objet d’une attention renouvelée un peu partout dans le monde, comme aux États-Unis récemment avec la mort filmée de George Floyd. Elles sont au cœur de débats de sens et mettent en cause l’évidence probatoire dont elles seraient porteuses en échouant souvent à soutenir la version des victimes dans les procès pénaux. Pour autant, leur incidence sur le débat public paraît tangible. L’article s’attache à interroger la catégorie de preuve visuelle à la lumière de cet objet protéiforme désigné comme « vidéo de violences policières ». En quelle mesure les images constituent-t‑elles une preuve et pour qui ? Quelles conditions socio-techniques sont nécessaires ? De quoi sont-elles la preuve ? Des caractéristiques visuelles aux usages et aux discours, il s’agit de saisir comment ces images interrogent la catégorie même de preuve.
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Colas-Blaise, Marion. "La sémiotique plastique de Floch et la sémiotique visuelle contemporaine : entre filiation et dépassement." Estudos Semióticos 19, no. 2 (August 17, 2023): 121–39. http://dx.doi.org/10.11606/issn.1980-4016.esse.2023.206695.

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Abstract:
Cet article focalise l’attention sur la sémiotique plastique et, plus particulièrement, sur la schématisation semi-symbolique, c’est-à-dire sur la corrélation entre des catégories du plan de l’expression et du plan du contenu, pour en montrer tout l’intérêt et inviter à son dépassement. Mettant les hypothèses à l’épreuve de tableaux de Georges Laurent, nous visons à établir des filiations à partir des travaux des pionniers de la sémiotique visuelle, surtout de Floch, de Greimas et de Thürlemann, afin de souligner le fait que certains développements de la sémiotique visuelle contemporaine (focalisation sur la matérialité du tableau, sur sa texture et sur son support, analyse tensive de la catégorie, approche dynamiciste des processus sémiosiques et pensée de la variation) s’autorisent directement des avancées considérables réalisées dans les années soixante-dix à quatre-vingt-dix, mais aussi réexaminent les bases qui ont été jetées.
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Cuny, Cécile, Alexa Färber, and Anne Jarrigeon. "« L’urbain par l’image ». Retour sur la fabrique d’un objet éditorial collectif." Communication & langages N° 215-216, no. 1 (September 22, 2023): 101–19. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.215.0101.

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Abstract:
L’ouvrage collectif L’urbain par l’image, collaborations entre arts visuels et sciences sociales (Creaphis, mars 2020) ouvre la boite noire des pratiques de collaboration entre artistes, chercheuses et chercheurs. Il déplie leurs arrangements matériels, leurs temporalités, leurs objets, leurs techniques, leurs références et catégories. Sa maquette, délibérément expérimentale, a été réalisée avec un éditeur particulièrement attentif aux spécificités de chaque projet et à leur dimension visuelle. Nous revenons ici sur la fabrique de cet objet éditorial. Les choix esthétiques et de médiation qu’il active offrent une entrée privilégiée pour questionner les transformations du statut de l’image dans la recherche urbaine. Dans cet espace de pratiques, l’analyse des multiples articulations d’un travail collaboratif contextualisé permet de réinterroger les potentialités de l’image et ses actualisations.
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Després-Lonnet, Marie, and William Spano. "Prescriptions visuelles de l’habiter urbain. Le rôle des documents visuels dans la communication autour de projets de réhabilitation." Communication & langages N° 215-216, no. 1 (September 22, 2023): 59–82. http://dx.doi.org/10.3917/comla1.215.0059.

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Abstract:
À une époque marquée par le souci de repenser la ville et les modes de vie qui lui sont associés, certains quartiers voient leur organisation et leur développement profondément transformés. Ainsi, le motif de la « smart city » ou ville « intelligente » amène politiques, architectes, journalistes et urbanistes à projeter sur les quartiers « en rénovation » diverses représentations visuelles qui s’appuient sur le bâti existant pour produire des « insertions », destinées à montrer comment les constructions à venir prendront place dans le lieu choisi. L’analyse des images mobilisées par chaque catégorie d’acteurs et des textes qui les accompagnent, permet de montrer que les zones concernées sont prises en tension entre différentes prescriptions d’usages et formes d’habiter ces lieux qui passent notamment par la mise en scène de ce que sont ou seraient les habitants et les occupants légitimes des lieux.
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Pruneau, Diane, Omer Chouinard, Jean-Pierre Musafiri, and Claire IsaBelle. "Les facteurs qui influencent le désir d'action environnementale dans les communautés." Articles 26, no. 2 (October 10, 2002): 395–414. http://dx.doi.org/10.7202/000128ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude traite des facteurs socioculturels et pédagogiques qui motivent le désir d'action environnementale. Elle a été menée auprès de quatre groupes sociaux d'une communauté côtière. Les sujets ont participé à diverses activités d'éducation relative à l'environnement qui ont contribué à l'accomplissement d'actions de restauration. La collecte des données s'est déroulée selon l'approche du récit de vie et par entrevues semi-structurées. Faite par trois juges à partir de catégories établies a priori, avec ouverture sur des catégories émergentes, l'analyse des données indique que les principaux facteurs de motivation ont été l'observation visuelle du problème, la réception d'informations, l'impression de la réalisabilité de la tâche, le sens de la solidarité et l'attente de récompenses personnelles consécutives à l'action.
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Dissertations / Theses on the topic "Catégories Visuelles"

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Letendre, Robert. "Étude des relations entre stratégies visuelles et opérations intellectuelles d'écoliers de 12 à 13 ans soumis à des messages filmiques et des images fixes caractérisés par quatre (4) catégories particulières de syntagmes." Doctoral thesis, Université Laval, 1989. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29411.

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Spriet, Céline. "The development of visual object categorization." Electronic Thesis or Diss., Lyon 1, 2024. http://www.theses.fr/2024LYO10231.

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Abstract:
La catégorisation visuelle se situe à l'interface entre "voir" et "penser". Des études en IRM fonctionelle (IRMf) ont décrits une organisation de la voie ventrale en fonction des catégories visuelles, plus particulièrement en fonction des entités animées et inanimées, qui se distinguent en catégories plus fines. Comment cette organisation spécifique se met en place chez l'Humain? Cette thèse présentent 4 études adressant cette question. Dans un premier temps, j’émets l'hypothèse que les premières catégories que les nourrissons représentent sont contraintes par ces dimensions organisant la représentation des objets dans le cortex visuel, et j'étudie le rôle de la maturation cérébrale et de l'expérience dans cette représentation. Ensuite, je vais m'intéresser à l'impacte de la vitesse de présentation des images sur la représentation des catégories animées et inanimées au cours de la première année de vie ainsi que plus tard, au cours de la vie adulte. J'étudierai également les propriétés visuelles ayant un rôle dans la catégorisation entre animés et inanimés chez l'adulte. Les résultats montrent que les nourrissons sont d'abord attirés par des propriétés visuelles non catégorielles (ne donnant pas lieu à une catégorisation des objets), comme la taille des images, avant d'être complétement dépendant des propriétés catégorielles lors de leur exploration des objets, représentant tout d'abord les catégories animées et inanimées. Cette transition entre propriétés non-catégorielles à propriétés catégorielles est essentiellement limitée par la maturation cérébrale. La première catégorisation entre animés et inanimés devient de plus en plus rapide avec le développement des nourrissons, et peut être basée sur des propriétés visuelles de bas niveau, bien que renforcée par la quantité de propriétés visuelles disponibles. Je suggère que la maturation cérébrale permet aux nourrissons de représenter de plus en plus de propriétés visuelles, leur permettant de représenter plus de catégories, et des catégories mieux définies. La maturation permet également une accélération de la catégorisation entre animés et inanimés avec l'âge. Une partie de cette catégorisation est en réalité déjà basée sur des propriétés visuelle de bas niveau, qui co-varient avec les catégories, mais le comportement des adultes n'est influencé par les catégories qu'à partir du moment où les images contiennent suffisamment de propriétés visuelles
Visual object categorization is at the interface between "seeing" and "thinking". Evidences from functional MRI (fMRI) studies have described an organization of the ventral stream by visual categories, especially between animate and inanimate entities, that decomposed into finer-grained distinctions. How does this specific organization come about in humans? This thesis presents a set of 4 studies addressing this issue. First, I will hypothesize that the first categories infants represent are constrained by these dimensions organizing object representation in the visual cortex (chapter 3) and study the role of brain maturation and experience in this representation (chapter 4). Then, I will investigate how the speed of presentation influences the animate/inanimate categorization in the first year of life and in adulthood (chapter 5), and what visual features act in this categorization in adults (chapter 6). Results show that infants will first be attracted by non-categorical visual features such as the size of stimuli, before completely relying on categorical features, representing first the animate and inanimate entities. This transition is essentially limited by the brain maturation. This first big categorization gets faster and faster with age, and can be based on low-level visual features, although the more features available, the better the categorization. I suggest that the brain maturation help infants to represent more and more visual features when growing up, allowing them to represent more (finer-grained) categories. This maturation also elicit an acceleration of the representation of the big animate/inanimate categorization with age. Part of this big categorization is actually already possible based on lower-level visual features that covariate with the categories, but adults’ behavior gets influenced by categories only when enough features are presented in the image
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Koenig, Alexis Roger. "Comment le sens est-il extrait de l'information visuelle ? : le système visuel exploré des catégories à la conscience." Toulouse 3, 2012. http://thesesups.ups-tlse.fr/1749/.

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Abstract:
Comment le sens est-il extrait de l'information visuelle ? Cette thèse est focalisée sur la capacité du système visuel d'humains et de singes à extraire et représenter l'information visuelle sur différents niveaux de complexité. Nous avons étudié différent niveaux de représentations visuelles, de la production de représentations visuelles primaires jusqu'à l'élaboration de représentations visuelles conscientes. Ce manuscrit présente six travaux dans lesquels nous avons exploré : (1) les attributs visuels nécessaires pour réaliser la tâche de catégorisation ultra rapide chez l'homme et le singe au moyen de méthodes psychophysiques, (2) la dynamique spatio-temporelle de l'attention visuelle chez l'homme au moyen de méthodes psychophysiques, (3) les corrélats neuronaux des représentations de haut niveau en EEG grâce au développement d'une nouvelle technique appelée SWIFT, (4) les corrélats neuronaux de la conscience visuelle dans la rivalité binoculaire en EEG, (5) la synchronie des signaux cérébraux en fonction de la reconnaissance consciente au moyen d'enregistrements intracrâniens chez des patients épileptiques et (6) les corrélats neuronaux associés à la prise de conscience chez le singe au moyen d'enregistrements intracrâniens. Les résultats de ces travaux nous ont permis d'ébaucher un modèle de la perception visuelle cherchant à dissocier l'attention et la conscience
How does sense emerges in the visual system? In this thesis we will be focused on the visual system of human and non-human primates and their large capacity of extract and represent visual information. We studied several levels of visual representations from those related to the extraction of coarse visual features to the emergence of conscious visual representations. This manuscript presents six works in which we explored: (1) the visual features necessary to perform ultra-rapid visual categorization in monkeys and humans using psychophysics, (2) the spatio-temporal dynamics of visual attention in humans using psychophysics, (3) the neural correlates of high-level visual representations using EEG tanks to the development of an innovative technique called SWIFT, (4) the neural correlates of visual consciousness under binocular rivalry using EEG, (5) the synchrony of brain signals as a function of conscious recognition using intracranial electrodes implanted in epileptic patients and (6) the neural correlates associated with conscious perception in monkeys using intracranial electrodes. The results of these works allowed outlining a tentative model of visual perception aimed to dissociate attention and consciousness
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Keïta, Luc. "Approche développementale et neuropsychologique de processus visuo-attentionnels : traitements global et local selon la catégorie." Lyon 2, 2007. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2007/keita_l.

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Abstract:
Notre thèse porte sur l'implication de processus attentionnels dans les traitements global et local de stimuli visuels complexes et s'appuie sur des données comportementales issues d'expériences présentant des stimuli hiérarchisés en champ visuel divisé. Nous montrons l'influence d’un processus de haut niveau, qui module l'implication de mécanismes latéralisés selon leur spécialisation pour l'analyse globale ou locale, mais aussi pour des catégories (Lettre / Dessin d'objet). Nous étudions aussi le processus attentionnel permettant d'alterner le traitement des détails et de la forme globale et montrons qu'il s’appuie sur plusieurs opérations : l’une d'elles, la désélection du mode d'analyse inapproprié, s'appuie sur un mécanisme d'inhibition qui se distingue par une dominance de l'hémisphère droit. La sélection d'un niveau est enfin étudiée à travers les effets d'interférence induits par l'information concurrente située au niveau devant être inhibé. Après le Chapitre I proposant 8 expériences sur ces processus auprès de jeunes adultes, le Chapitre II étudie leur mise en place avec 2 expériences chez des enfants de 6 à 10 ans. Les 2 expériences du Chapitre III isolent enfin des anomalies spécifiques à des types de dyslexie différents. Les enfants atteints de dyslexie avec des troubles phonologiques majeurs présentent une latéralisation hémisphérique fonctionnelle anormale pour traiter les catégories Lettre et Dessin d'objet, alors qu'un déficit spécifique du mécanisme d'inhibition d'information issue du niveau local caractérise les enfants dyslexiques sans trouble phonologique. La spécificité de ces déficits conforte l'hypothèse d’un trouble des représentations linguistiques dans le premier type de dyslexie, et l'existence d'un autre type de dyslexie, caractérisé par des troubles de l'attention visuo-spatiale dont cette recherche contribue à préciser la nature
Our doctoral dissertation concerns the involvement of neural mechanisms of attention on global and local processing and is based upon behavioral data from experimentation presenting hierarchically organized stimuli in divided visual fields. We have shown the influence of high-level processing which modulates the involvement of lateralized mechanisms according to their specialization for global or local analysis as well as for categories (Letter/Object). We have also studied the neural mechanism that allows switching attention between processing details and the global form, which we have shown it to rely on several mechanisms: one of which, unselecting the inappropriate analysis mode, relies on an inhibition mechanism that is differentiated by its right hemisphere dominance. The selection of a processing level was then studied through the effects of interference inferred by concurrent information situated on a level needing to be inhibited. Chapter I presents 8 experiments on these mechanisms for young adults, Chapter II studies their implementation with 2 experiments among children from 6 to 10 years old. The 2 experiments from Chapter III isolate specific anomalies in different types of dyslexia. Children suffering from dyslexia with major phonological disorders present an abnormal functional hemispheric lateralization for processing the Letter and Object categories, whereas a specific deficit of an inhibition mechanism for information on a local level characterize dyslexic children without phonological disorders. The specificity of these deficits reinforces the hypothesis of a linguistic representation disorder in the first type of dyslexia, and the existence of another type of dyslexia characterized by visuo-spatial attention difficulties
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Koenig, Roger. "Comment le sens est-il extrait de l'information visuelle ? Le système visuel exploré des catégories à la conscience." Phd thesis, Université Paul Sabatier - Toulouse III, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00736494.

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Abstract:
Comment le sens est-il extrait de l'information visuelle ? Cette thèse est focalisée sur la capacité du système visuel d'humains et de singes à extraire et représenter l'information visuelle sur différents niveaux de complexité. Nous avons étudié différent niveaux de représentations visuelles, de la production de représentations visuelles primaires jusqu'à l'élaboration de représentations visuelles conscientes. Ce manuscrit présente six travaux dans lesquels nous avons exploré : (1) les attributs visuels nécessaires pour réaliser la tâche de catégorisation ultra-rapide chez l'homme et le singe au moyen de méthodes psychophysiques, (2) la dynamique spatio-temporelle de l'attention visuelle chez l'homme au moyen de méthodes psychophysiques, (3) les corrélats neuronaux des représentations de haut niveau en EEG grâce au développement d'une nouvelle technique appelée SWIFT, (4) les corrélats neuronaux de la conscience visuelle dans la rivalité binoculaire en EEG, (5) la synchronie des signaux cérébraux en fonction de la reconnaissance consciente au moyen d'enregistrements intracrâniens chez des patients épileptiques et (6) les corrélats neuronaux associés à la prise de conscience chez le singe au moyen d'enregistrements intracrâniens. Les résultats de ces travaux nous ont permis d'ébaucher un modèle de la perception visuelle, cherchant à dissocier l'attention et la conscience.
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Suchocka-Chainay, Hanna. "Asymétrie entre les catégories naturelles et les artefacts dans les tâches de dénomination et de reconnaissance visuelle : la pathologie Alzheimer et le fonctionnement normal." Lyon 1, 1998. http://www.theses.fr/1998LYO1T077.

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Crouzet, Sébastien. "Jeter un regard sur une phase précoce des traitements visuels." Phd thesis, Université Paul Sabatier - Toulouse III, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00505864.

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Abstract:
L'objectif de cette thèse a été d'étudier la dynamique des traitements cognitifs permettant la reconnaissance rapide d'objets dans les scènes naturelles. Afin d'obtenir des réponses comportementales précoces, nous avons utilisé un protocole de choix saccadique, dans lequel les sujets devaient diriger leur regard le plus rapidement possible vers l'image contenant l'objet cible parmi deux images affichées à l'écran. Ce protocole a d'abord permis de mettre en évidence des différences de temps de traitement entre les catégories d'objets, avec un avantage particulier pour la détection des visages humains. En effet, lorsque ceux-ci sont utilisés comme cible, les premières saccades sélectives apparaissent dès 100 ms ! Nous nous sommes donc intéressés aux mécanismes permettant une détection aussi rapide et avons montré qu'un attribut bas-niveau pourrait être utilisé pour détecter et localiser les visages dans notre champ visuel en une fraction de seconde. Afin de mieux comprendre la nature des représentations précoces mises en jeu, nous avons mené deux nouvelles études qui nous ont permis de montrer que les saccades les plus rapides ne seraient pas influencées par les informations contextuelles, et seraient basées sur une information rudimentaire. Enfin, j'ai proposé un modèle simple de décision, basé sur des différences de temps de traitement neuronal entre catégories, qui permet de reproduire fidèlement nos résultats expérimentaux. L'ensemble de ces résultats, mis en perspective avec les connaissances actuelles sur les bases neuronales de la reconnaissance d'objet, démontre que le protocole de choix saccadique, en donnant accès à une fenêtre tempo- relle inaccessible jusqu'alors par les études comportementales, s'avère un outil de choix pour les recherches à venir sur la reconnaissance rapide d'objets.
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Book chapters on the topic "Catégories Visuelles"

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ZHANG, Hanwei, Teddy FURON, Laurent AMSALEG, and Yannis AVRITHIS. "Attaques et défenses de réseaux de neurones profonds : le cas de la classification d’images." In Sécurité multimédia 1, 51–85. ISTE Group, 2021. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9026.ch2.

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Abstract:
L’apprentissage automatique utilisant des réseaux neuronaux profonds appliqués à la reconnaissance d’images fonctionne extrêmement bien. Néanmoins, il est possible de modifier intentionnellement et très légèrement les images, modifications quasi invisibles à nos yeux, pour leurrer le système de classification et lui faire classer dans une catégorie visuelle erronée tel ou tel contenu. Ce chapitre dresse un panorama de ces attaques intentionnelles, mais aussi des mécanismes de défense visant à les déjouer.
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2

Doria, Corinne. "Chapitre 10. À la recherche de la vision normale. Mesurer l’acuité visuelle au XIXe siècle." In Le normal et le pathologique : des catégories périmées ?, 215–29. Éditions Matériologiques, 2022. http://dx.doi.org/10.3917/edmat.armin.2022.01.0215.

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Conference papers on the topic "Catégories Visuelles"

1

Sonesson, Göran. "Rhetoric from the standpoint of the Lifeworld." In Le Groupe μ : quarante ans de rhétorique – trente-trois ans de sémiotique visuelle. Limoges: Université de Limoges, 2010. http://dx.doi.org/10.25965/as.3106.

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Abstract:
La rhétorique du point de vue du monde de la vie La rhétorique de l’image dont parlait Barthes, reprise d’une manière beaucoup plus systématique dans les travaux du Groupe µ, n’est qu’une partie de la rhétorique classique, l’elocutio, mais c’est aussi celle qui a dominé dans l’Occident pendant ces derniers 500 ans. À l’extérieur de la sémiotique, cependant, le renouveau de la rhétorique à l’époque contemporaine tend à concevoir cette dernière comme la science qu’étudie la communication. Or, nous savons que la sémiotique a souvent été identifiée comme étant la science de la communication, et un autre candidat à ce titre est sans doute l’herméneutique. Alors que ces trois disciplines ont toutes trait au processus entier, elles le conçoivent dans une perspective chaque fois différente. La rhétorique prend le point de vue du créateur du message : il demande comment il faut s’exprimer pour obtenir l’adhérence de l’autre. L’herméneutique prend le point de vue du récepteur : sa question porte sur les moyens pour comprendre le message de l'autre. La sémiotique prend une position intermédiaire aux deux autres, c’est-à-dire au sein de la phase allant de l’artefact à sa concrétisation : elle demande quelles sont les ressources disponibles pour faire se produire le processus. À une telle rhétorique informée par la sémiotique la contribution du Groupe µ a été de toute première importance. Cependant, l’investigation des ressources disponibles, qui sont différentes dans le cas de l’image que dans celui de la langue, peut recevoir une base plus certaine en partant du monde de la vie, dans le sens de la phénoménologie, qui est aussi celui de l’écologie dans le sens de Gibson et le monde naturel tel que le comprend Greimas. Si l’on veut comprendre la manière dont la divergence est produite dans les images, il faut commencer par considérer ce qui est donné pour acquis, dans le sens à la fois de ce qui est normal, et de ce qui est normatif. Dans le monde de la vie, il y a certaines choses qui ont tendance à se présenter ensemble, en contiguïté ou comme des parties d’un tout (désormais, la factorialité). C’est la dimension indicielle. Mais le sens commun s'attend également à ce que les choses qui apparaissent ensemble soient suffisamment différentes pour pouvoir être distinguées, sans aller à l'extrême opposé de s’exclure mutuellement (une observation qui peut être entendue comme une généralisation de ce que le Groupe µ dit sur la norme de l’image, la homomatérialité et la hétéroformalité). En ce sens, il y a une rhétorique de trop de ressemblance ainsi que de trop de différence. Nous appellerons ceci la dimension iconique. Une troisième rhétorique prend son point de départ dans le caractère de signe de l'image. Nos attentes sont déçues tant en trouvant une trop grande partie de la réalité dans l'image qu’en rencontrant des niveaux supplémentaires de fiction au sein du contenu pictural. On peut appeler ceci la dimension symbolique. Enfin, les images remplissent des fonctions différentes dans une société donnée et sont, en raison de ce fait, imputables à diverses catégories, donnant ainsi lieu à une quatrième rhétorique dans laquelle nos attentes, en ce qui concerne les catégories sociales auxquelles les images sont assignées, ne sont pas remplies. On peut parler ici d’une dimension de catégorisation socioculturelle. Avant d’aborder les figures rhétoriques, ou ce qui en tient lieu, il est cependant nécessaire de discuter dans quelle mesure les ressources des images comprennent une part de dispositio, dans d’autres termes, une structure argumentative. Si nous définissons une affirmation comme étant une construction verbale, alors il est trivialement vrai que les images ne peuvent rien affirmer. Toutefois, si nous définissons une affirmation plus simplement comme une opération, au moyen de laquelle une propriété particulière est assignée à une entité particulière, alors il est possible pour l'image de faire des affirmations à la façon des images. Or, même ceci peut sembler impossible, s’il est vrai que les images, comme on l’a souvent dit, ne font que reproduire le monde de notre expérience. Au contraire, il faut admettre que les images peuvent se servir des arguments qui, dans le sens de Perelman, s’appuient sur la structure de la réalité ou servent à changer cette structure-là. Il s’ensuit que les transformations homogènes, contrairement à ce que suggère le Groupe µ, font aussi partie de la rhétorique, mais de la rhétorique de la dispositio. Considérée comme l’une des transformations possibles à partir du monde de la vie, la première dimension de la rhétorique correspond plus directement à la rhétorique telle qu’elle a été conçue par le Groupe µ, mais en retournant aux fondements jetés par la sémiotique phénoménologique proposée dans Pictorial concepts (1989). Contrairement au Groupe µ, nous proposons de distinguer les transformations portant sur la factorialité (la relation des parties au tout) et celles concernant la contiguïté. C’est « l’objet indépendant », dans le sens de James Gibson, qui fait la différence entre la contiguïté et la factorialité : il s’agit d’un degré d’intégration plus ou moins poussée. En fait, il y a sans doute des cas intermédiaires entre l’objet indépendant avec ses parties et la constellation arbitraire, mais ces cas-là sont aussi qualitativement vécus : le jeu, la série, l’ensemble. La rhétorique, de ce point de vue, relève de la méréologie, la science des parties et du tout, formalisée par Lesniewski en tirant son inspiration de Husserl et de Twardowski. Notre deuxième observation concerne la nature de l’opération nous faisant passer du monde de la vie à l’image. Dans la majorité de cas, l’opération rhétorique, pour fonctionner, à besoin non pas d’une absence de ce qui est attendu ou de la présence de quelque chose qui n’est pas attendu, mais des deux à la fois. Rares sont les cas (surtout s’agissant de la contiguïté) où une simple absence peut créer un effet de rhétorique. Dans les termes de la rhétorique générale d’abord conçue par le Groupe µ, la substitution est une opération rhétorique plus sûre que l’addition ou la suppression. D’autre part, dans le cas de la factorialité, l’effet est tellement différent selon les relations entre le tout et les parties qu’il faut spécifier la nature du rapport de la partie au tout. Il faut surtout distinguer le cas où quelque chose est ajouté à un tout qui est déjà en soi un objet indépendant, et le cas où les parties font partie d’un autre objet indépendant que le tout qui est perçu. Nos attentes peuvent être déçues par d’autres opérations que l’absence ou la présence d’un élément. Il peut y avoir une contradiction entre l’élément attendu et l’élément réellement présent. C’est la dimension iconique de la rhétorique. Les images, il est vrai, ne peuvent pas présenter des contradictions proprement dites, mais elles peuvent comporter toute sorte de manifestations d’une ressemblance ou d’une différence plus grande que ce que l’on a anticipé. Cet effet est présent dans plusieurs exemples considérés par le Groupe µ, sans que la spécificité de l’opération soit prise en compte. S’agissant d’un signe, en l’occurrence d’une image, il y a toujours un risque de confusion entre le signe et ce qui est signifié, et il est possible d’en tirer une rhétorique. À un extrême, le signe peut incorporer des objets réels ; à l’autre extrême, il peut contenir d’autres signes, notamment d’autres images, comme c’est le cas avec les images représentant d’autres images. Il s’agit donc de la dimension symbolique de la rhétorique. Finalement, la catégorisation des signes, dans ce cas les images, peut donner lieu à une rhétorique plus clairement socioculturelle. Les images peuvent être catégorisées en tenant compte de leur manière de construction, de la fonction qu’elles sont censées remplir dans la société, ou de leur manière de circuler à l’intérieur de la société. Les attentes qui peuvent être déçues dans ces cas ne concernent pas seulement l’appartenance de certaines images à des catégories particulières, mais surtout la combinaison de certaines catégories de construction avec certaines catégories de fonction et certaines catégories de circulation. Toute l’aventure du modernisme dans l’art plastique peut être conçue comme un vaste geste rhétorique à partir de la notion d’art à la fin du 18e siècle : une peinture à l’huile (construction) circulant dans des salons, des galeries et des musées (circulation) ayant pour but de produire un effet de plaisir esthétique (fonction). Dans le présent texte, j'ai suggéré que, contrairement aux signes verbaux, les images sont immédiatement rhétoriques, parce qu'elles nous offrent en même temps leur similitude et leur différence par rapport au monde de la perception. Par conséquent, j'ai fait observer que la rhétorique des images doit être fondée sur les structures de perception telles qu’elles apparaissent au sens commun, surdéterminées par le monde de la vie socioculturel spécifique. La dimension primaire de la rhétorique de l’image, l’indexicalité, dérive sa signification d'un écart par rapport à l'intégration relative des voisinages, des objets indépendants et des totalités de niveaux supérieurs. Elle peut concerner la contiguïté ou la factorialité, mais elle suppose d'habitude à la fois la présence de quelque chose d’inattendu et l'absence de quelque chose de prévu. L’iconicité, qui détermine la deuxième dimension, est fondée sur l'expectative d'une différenciation relative des objets du monde, qui ne suppose pas trop de similitude, ni trop de dissimilitude. La troisième dimension dépend du caractère fictif de l’image comme signe, dont les niveaux peuvent être confondus soit par une expérience trop directe, soit par des degrés de fiction trop nombreux. Finalement, la quatrième dimension concerne l'image en tant qu’objet social, faisant partie de certaines catégories de construction, de circulation, et de fonction. L'avantage de cette conception, par rapport au modèle de Groupe µ auquel il est endetté, consiste en son attention plus proche aux structures de la perception du sens commun.
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2

Le Guern, Odile. "Image de … Entre individu et catégorie, de la logique à la rhétorique." In Le Groupe μ : quarante ans de rhétorique – trente-trois ans de sémiotique visuelle. Limoges: Université de Limoges, 2010. http://dx.doi.org/10.25965/as.3087.

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3

Andersson, Fred. "Groupe µ and “the system of plastic form” -for an evaluation-." In Le Groupe μ : quarante ans de rhétorique – trente-trois ans de sémiotique visuelle. Limoges: Université de Limoges, 2010. http://dx.doi.org/10.25965/as.3097.

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Abstract:
Le Groupe µ et "le système de formes plastiques” -à propos d’une évaluation- L’objectif de cet article est de fournir quelques exemples et de proposer certains éclaircissements qui peuvent contribuer à la compréhension de la théorie du signe plastique conçu par le Groupe μ. Plus précisément, l’article porte sur les éléments de la théorie en question qui constituent une analyse du système de la forme tant qu’elle est distincte du système de la couleur et du système de la texture. Dans l’espoir de faire connaître quelques-uns des fondations et des implications de ce système de forme plastique, principalement aux lecteurs anglo-saxons, l’article tente également de clarifier sa place au sein de la théorie générale du signe visuel articulé par Groupe μ dans son Traité du signe visuel (1992). La première section de l’article traite de la notion esthétique générale de forme et de sa relation avec d'une part la notion de forme/formation visuelle et de l'autre la notion de forme sémiotique telle qu’elle a été développée par Hjelsmlev. On prend note du risque que les visées d’une sémiotique plastique puissent être indûment confondues avec celles du formalisme dans l'esthétique. Selon l’avis de l’auteur, les études de sémiotique visuelle ne sauraient bénéficier de ce genre de confusion, mais devraient plutôt tenter de maintenir sa distance par rapport aux conjectures et luttes de pouvoir dans le(s) monde(s) de l'art. La deuxième section explique la distinction faite par le Groupe μ entre le signe iconique et le signe plastique, conçus comme des couches séparées du signe visuel. Selon le Groupe μ, le signe iconique forme une structure triadique contenant le signifiant, le type et le référent. Il y a des similarités entre cette conception et le triangle d’Ogden & Richards. Or, la notion du Type a des implications plus vastes que la conception d’Ogden & Richards, selon lesquels il existe une image très générale qui met en relation symbole/signifier et référent – le type est ici le résultat de modélisations et de catégorisations, et il est valable aussi bien pour le signe iconique que pour le signe plastique. Par définition, le signe plastique manque de référent : la relation entre un motif et ses variations dépend donc uniquement du rapport Signifier/Type. Sur la base de cette relation Signifier/Type, les signes plastiques apparaissent, selon le Groupe µ, aux trois niveaux de la sémiose, sur le niveau purement plastique, sur le niveau extravisuel (ou symbolique), et dans une interaction avec le signe iconique sur le niveau iconico-plastique. La troisième section de l’article explique le système de forme plastique telle qu’elle est conçue par le Groupe μ. Le système est constitué par trois « formemes » (ou catégories), à savoir position, dimension et l'orientation. Il est conçu en termes de figures apparaissant dans un plan restreint. Comme les relations fondamentales dans le plan sont celles entre le centre - la marge, le haut - le bas et la gauche - la droite, le système de positions alternatives (par exemple marginal, au-dessus et au centre) est isomorphe au système d'autres orientations (par exemple vers l'intérieur, d'en haut vers le centre). Le système d'autres dimensions/tailles, par contraste, est défini par le biais de la fonction de la taille de la figure en relation à la taille du plan de l’image et le point focal. Ces valeurs plastiques de position, de dimension et d’orientation sont les signifiants du système. Ils sont liés à leurs signifiés de la manière suivante : la position à l’attraction, la dimension à la domination, l'orientation à l'équilibre. Cette corrélation est validée par les auteurs au moyen d’une démonstration visuelle. Dans la quatrième et dernière section de l’article, des observations sont faites au sujet des répercussions plus vastes ainsi que des applications du système. Conformément à la visée du propre Groupe µ à surmonter les limitations qui résultent de la spécialisation de disciplines telles que la psychologie de la perception, l'auteur soutient que des systèmes théoriques comme celui du système plastique peut fournir un cadre interdisciplinaire qui facilite l’évaluation à la fois des données scientifiques et des discours philosophiques généraux concernant le monde visuel. En ce qui concerne des applications plus proches, l'auteur estime que les théories du sens visuel et de la rhétorique du Groupe μ, si elles étaient plus largement connues, contribueraient considérablement à la compréhension de l'importance du sens plastique dans la communication visuelle et au développement des méthodes pédagogiques pour la description et l’interprétation de l'image.
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