Academic literature on the topic 'Capitalisme – Idéologie'

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Journal articles on the topic "Capitalisme – Idéologie":

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de Montbrial, Thierry. "Idéologie française, capitalisme et chômage." Commentaire Numéro83, no. 3 (1998): 709. http://dx.doi.org/10.3917/comm.083.0709.

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Barilari, André. "Capital et idéologie: Thomas Piketty (Le Seuil 2019)." Gestion & Finances Publiques, no. 6 (November 2019): 100–108. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2019.6.013.

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Abstract:
Thomas Piketty livre une histoire des inégalités justifiées par des idéologies successives. Après les sociétés « trifonctionnelles », la crise des sociétés de propriétaires, l’hyper capitalisme, l’impuissance de la social-démocratie , il prône un socialisme fédératif ou « participatif » qui repose sur une vision très optimiste de la société.
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Rodrigues, Lucie. "Une lecture psychanalytique des thèses de l’accélération du temps à l’ère capitaliste." Cliniques méditerranéennes 108, no. 2 (November 29, 2023): 223–35. http://dx.doi.org/10.3917/cm.108.0223.

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Abstract:
Dans ses travaux, Hartmut Rosa propose de réfléchir au « sentiment d’accélération du temps » caractéristique selon lui de notre modernité. Il associe l’émergence et la récurrence de ce sentiment aux transformations sociales, politiques, économiques et technologiques de notre temps marqué par l’expansion du capitalisme comme système économique, comme idéologie et comme matérialité. L’angle d’approche est d’abord phénoménologique, mais se constitue comme une analyse critique de notre modernité. Notre propos ici ne vise pas à discuter directement les thèses énoncées, mais plutôt à nous demander ce que la psychanalyse pourrait saisir de ce questionnement. Pouvons-nous considérer que le capitalisme, comme matérialité et comme discours, est susceptible d’influencer notre rapport au temps ? Quelles sont les questions que posent le « sentiment d’accélération du temps » à la psychanalyse ? La psychanalyse peut-elle contribuer, et si oui comment, aux réflexions actuelles sur le temps – entendu ici d’abord comme un éprouvé, un affect ? Et enfin, y a t-il un enseignement à tirer de ces réflexions pour nous orienter dans la clinique ?
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Bernier, Bernard. "Construction d’un espace national et identité ethnique : le cas du Québec 1930-1970." Culture 1, no. 1 (May 19, 2021): 103–9. http://dx.doi.org/10.7202/1077281ar.

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Abstract:
Le nationalisme québécois sous Duplessis était surtout le fait de la petite-bourgeoisie cléricale, issue de la crise de 1837-38, qui avait la mainmise sur le pouvoir d’État provincial. Ce nationalisme de nature réactionnaire et défensif, fut utilisé par Duplessis pour assurer la pénétration du capital américain. Le développement du capitalisme qui s’ensuivit allait à la longue, entraîner la baisse du pouvoir de la petite-bourgeoisie cléricale. Le nationalisme contemporain, conséquence de ce développement, va plutôt se concentrer sur la nécessité de créer un État et un territoire national québécois. Il s’agit donc d’une idéologie offensive promue par une bourgeoisie nationale en formation pour laquelle l’appareil d’État demeure l’outil privilégié.
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Alves Silva Junior, Humberto. "INDÚSTRIA CULTURAL E IDEOLOGIA." Caderno CRH 32, no. 87 (December 31, 2019): 505. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v32i87.32099.

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Abstract:
<p>O trabalho parte da análise de conteúdo para abordar as discussões sobre o conceito de indústria cultural cunhado e analisado por Theodor Adorno e Max Horkheimer e seu desdobramento no livro Teoria Estética de Adorno, em especial sobre o cinema. O conceito compreende o caráter comercial e o modo de produção industrial das produções culturais no capitalismo, tratadas, inclusive, como mercadorias e suas consequências sobre o público, atuando principalmente como instrumento de manipulação ideológica na visão adorniana. Entretanto, em Teoria Estética, o autor avança a discussão e admite que, apesar da presença da ideologia, a indústria cultural poderia também desenvolver um espaço alternativo para produções massificadas. Posteriormente, Frederic Jameson, inspirado no trabalho de Adorno, traçou linha semelhante, ao perceber que os produtos da indústria cultural não seriam apenas ideológicos. Para além de Adorno, afirmava que eles também poderiam ser utópicos, pois a cultura de massa atrai o público com promessas coletivas e individuais de um futuro melhor.</p><p> </p><p>CULTURAL INDUSTRY AND IDEOLOGY</p><p>This article, based on content analysis, analyzes the discussions about the concept of cultural industry coined and analyzed by Theodor Adorno and Max Horkheimer and its unfolding in the book Adorno’s Aesthetic Theory, especially cinema. The cultural industry or mass culture comprises the commercial character and industrial mode of production of cultural productions in capitalism, treated even as commodities and their consequences to the public, acting mainly as an instrument of ideological manipulation in the adornian view. However, in Aesthetic Theory, Adorno advances the discussion and admits that despite the presence of ideology, the cultural industry could also develop an alternative space to mass productions. Later Frederic Jameson, inspired by Adorno’s work, draws a similar line in which he realizes that the products of the cultural industry would not only be ideological, and in addition to Adorno, he asserted that they could also be utopian, as mass culture attracts the public with collective and individual promises of a better future.</p><p>Keywords: Ideology. Emancipation. Movie theater. Mass culture. Frankfurt School.</p><p> </p><p>INDUSTRIE CULTURELLE ET IDÉOLOGIE</p><p>De l’analyse de contenu, analyse les discussions sur le concept d’industrie culturelle inventé et analysé par Theodor Adorno et Max Horkheimer et son déploiement dans le livre La théorie esthétique d’Adorno, en particulier le cinéma. L’industrie culturelle ou culture de masse comprend le caractère commercial et le mode de production industriel des productions culturelles du capitalisme, même traitées comme des marchandises et leurs conséquences pour le public, agissant principalement comme un instrument de manipulation idéologique selon la vision adornienne. Cependant, dans la théorie de l’esthétique, Adorno fait avancer la discussion et admet que, malgré la présence d’une idéologie, l’industrie culturelle pourrait également développer un espace alternatif aux productions de masse. Plus tard, Frederic Jameson, inspiré par le travail d’Adorno, tire un trait similaire dans lequel il réalise que les produits de l’industrie culturelle ne seraient pas seulement idéologiques. En plus d’Adorno, il a affirmé qu’ils pourraient aussi être utopiques promesses collectives et individuelles d’un avenir meilleur.</p><p>Mots-clés: Idéologie. Émancipation. Cinéma. Culture de masse. École de Frankfurt.</p>
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Lux, André. "Les ligues néo-malthusiennes françaises de 1896 à 1939 : idéologie de droite sous un manteau ouvriériste." Articles 27, no. 2 (March 25, 2004): 199–219. http://dx.doi.org/10.7202/010249ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Bien qu'ils se disent socialistes et soient présentés comme tels pair Francis Ronsin dans son livre La grève des ventres, les dirigeants des ligues néo-malthusiennes françaises (1896-1939), Paul Robin en tête, se font de la pensée de Malthus une conception tronquée en présentant sa « loi de population » comme une loi naturelle s'imposant à tous les régimes sociaux. Sous le couvert d'attaques virulentes contre la droite pronataliste, ils subissent nettement l'influence (droitière de la Malthusian League anglaise, au point de reléguer à l'arrière-plan l'utopie révolutionnaire et la lutte contre le capitalisme. Cette affirmation repose sur la mise en évidence de la proche parenté des textes de leurs quatre périodiques avec ceux des deux journaux nnensuels de la Malthusian League sur un certain nombre de thèmes reliés aux méfaits de la surpopulation et au seul remède efficace, celui de l'adaptation des comportements individuels — par la contraception — au déterminisme incontournable de la loi de population.
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Bernier, Bernard. "Les classes sociales et le Japon. Idéologie de la communauté nationale et inégalités sociales." II. Éclairages nationaux er comportements politiques, no. 49 (June 30, 2004): 113–29. http://dx.doi.org/10.7202/007909ar.

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Abstract:
Résumé La présence de classes sociales au Japon a été niée à partir de divers points de vue, soit que l’on insiste sur le caractère communautaire du pays, soit que l’on décrive la société japonaise comme homogène. Dans cet article, je défends la position que l’on peut appliquer au Japon, historiquement et à l’heure actuelle, une analyse de classes, les classes étant définies ici par la position dans les rapports socio-économiques. Avant 1868, la division de la société en classes faisait partie de l’idéologie officielle des autorités politiques. Cette division a officiellement disparu avec le changement de régime de 1868, mais des classes distinctes se sont maintenues à la fois dans le secteur agricole et dans le nouveau secteur industriel. Les réformes de 1945-1948 ont modifié la situation, notamment en produisant de plus faibles écarts de revenus et en redéfinissant les rapports internes aux entreprises. Mais des différences essentielles au niveau des revenus et du pouvoir dans les entreprises ont été maintenues. De plus, le contrôle politique dans la société entière et dans les grandes entreprises, fleurons du capitalisme japonais, a été renforcé dans les mains d’une minorité. Les différences de salaires et de contrôle politique indiquent la présence de personnes se situant différemment dans les rapports sociaux, donc de classes sociales.
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Falardeau, Jean-Charles. "L'origine et l'ascension des hommes d'affaires dans la société canadienne-française." Articles 6, no. 1 (April 12, 2005): 33–45. http://dx.doi.org/10.7202/055248ar.

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Abstract:
La présente étude est d'abord d'intérêt historique. Notre objectif est de décrire les conditions dans lesquelles a pris naissance et a progressé, au Canada français, une catégorie socialement visible de marchands, d'hommes d'affaires et d'industriels. On a appelé bourgeoisie, dans les sociétés européennes, cette classe de marchands, de commerçants, d'entrepreneurs et d'hommes de loi identifiés avec le capitalisme et qui, depuis le XIXe siècle, ont assumé le pouvoir politique. Le terme de « bourgeoisie » a aussi servi à désigner des variétés fort diverses de groupes sociaux investis de prestige ou jouissant d'une forme ou une autre d'influence idéologique ou de pouvoir effectif sur des secteurs plus ou moins vastes d'une société. Dans certains contextes, bourgeoisie a été purement synonyme d'élite. Sans compter qu'« être bourgeois » signifie aussi une manière d'être et une façon de penser socialement. Pour autant qu'il faut, en définitive, réserver le terme de bourgeoisie à un univers social qui constitue proprement une classe et qui possède une conscience de classe, nous ne pouvons l'appliquer à ceux dont nous comptons parler. Ceux-ci ne se sont que très lentement manifestés comme une catégorie sociale distincte. À la différence de ce qui s'est passé dans la société américaine et dans la société anglo-canadienne où, très tôt, les commerçants et les grands entrepreneurs ont acquis une position de premier plan comme élite de puissance, les hommes d'affaires canadiens-français ont mis du temps à apparaître, à s'affirmer, et encore davantage à participer à l'élaboration des décisions collectives. Ce n'est qu'à une époque toute récente qu'ils ont accédé à la structure des classes dirigeantes de la société canadienne-française. Nous verrons donc ce groupe comme une catégorie sociale en devenir — un devenir qui a été freiné par deux facteurs principaux : 1° le plafonnement des structures économiques canadiennes par la présence dominatrice et coercitive des Anglo-Saxons ; 2° une idéologie canadienne-française unitaire qui, à compter de la seconde moitié du XIXe siècle, a valorisé la stabilité et l'ordre sous toutes ses formes — ecclésiastiques, politiques et sociales — et qui, du même coup, a privilégié les activités intellectuelles ou agricoles par opposition aux activités économiques. Selon C. Wright Mills et Raymond Aron, c'est la structure des catégories dirigeantes, des constellations de privilégiés suprêmes, qui, plus que le rapport des classes, « détermine l'essence des régimes économico-politiques » et permet une comparaison sociologiquement valable entre les sociétés contemporaines. Les catégories dirigeantes au Canada français n'ont pas encore fait l'objet d'étude systématique. Analyser la genèse et le rôle historique de l'une des moins bien connues d'entre elles rapprochera notre société de la possibilité d'une telle comparaison.
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Ouellet, Fernand. "Nationalisme canadien-français et Laïcisme au XIXe siècle." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 47–70. http://dx.doi.org/10.7202/055163ar.

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Abstract:
Le nationalisme canadien-français a eu la réputation d'avoir fait mauvais ménage avec tous les courants de pensée et tous les mouvements susceptibles de promouvoir une société laïque dans le Québec. Son allergie passée au capitalisme. au libéralisme, à la démocratie et aux tendances socialisantes relève pour une large part de cette problématique. Son absence d'affinités avec le capitalisme commercial et industriel ne venait elle pas en dernier ressort de ce que la bourgeoisie fut pendant longtemps dans d'autres sociétés le principal moteur, avec les intellectuels, du laïcisme ? Quant au libéralisme, son caractère essentiellement laïc et bourgeois n'avait rien de bien rassurant pour une idéologie qui fondait ses valeurs sur la terre et l'Église. Il en est ainsi de la démocratie, formule assise sur le droit naturel, sur la souveraineté populaire, plutôt que sur le droit divin des rois et les privilèges des classes. Enfin, si le nationalisme canadien-français parut aussi obstinément fermé au renforcement de l'appareil étatique, c'est certainement parce que l'État pouvait représenter, au même titre que la bourgeoisie, un des véhicules les plus puissants du laïcisme. Par contre, le nationalisme canadien-français ne s'est-il pas plus spontanément lié au cléricalisme, à l'ultramontanisme, aux idéaux théocratiques et, pour employer une expression chère à M. Michel Brunet, à l'agriculturisme ? Ces caractéristiques presque actuelles d'un nationalisme éminemment conservateur, voire même réactionnaire, apparaissent davantage comme l'aboutissement d'une évolution, pleine à certains moments de sursauts et de contestations, que comme une donnée inscrite d'emblée à l'origine de notre nationalisme. Même si, depuis le début du XIXe siècle, le nationalisme canadien-français paraît avoir été en conflit ouvert avec toutes les idéologies porteuses de laïcisme, il n'en est pas moins vrai que cette confrontation n'a pas toujours abouti à un rejet en bloc. On peut même évoquer, si on en juge par les dehors ou par les tiraillements des consciences, quelques moments importants où s'exprime une association assez étroite avec le libéralisme et la pensée démocratique. Le parti canadien et son successeur légitime, le parti patriote, ne prétendaient-ils pas au titre de libéral et de démocratique ? Reste à connaître cependant les rapports réels qui existaient entre le nationalisme des patriotes et leur laïcisme. Autrement dit, existe-t-il avant 1837 un mouvement laïc possédant une certaine autonomie? Dans quelle mesure le nationalisme dit libéral ou démocratique accordait-il la prééminence aux libertés individuelles sur les droits collectifs ? Ne s'agissait-il pas en fin de compte, plutôt que d'un nationalisme libéral ou démocratique, d'un national-libéralisme n'utilisant par conséquent les idées nouvelles que pour mieux atteindre certains objectifs proprement conservateurs ? Après les travaux faits sur cette période, il existe encore beaucoup d'obscurité et de confusion autour des croyances et des attitudes de ceux qui furent à l'origine de notre première aventure séparatiste. Aussi importe-t-il de ne pas se laisser aveugler par le panache, par les déclarations sonores, de ne pas prendre le mythe pour la réalité. Il reste cependant que l'échec des insurrections de 1837-38 a donné un dur coup au mouvement laïc. Après 1837, pendant que le nationalisme s'identifie de plus en plus, en dépit des options multiples qu'il recouvre, au cléricalisme et à l'ultramontanisme, s'affirme un mouvement d'essence proprement libérale. Né au cours de la décennie 1840-50, l'Institut canadien de Montréal mène pendant vingt-cinq ans une lutte acharnée en faveur du laïcisme. Puis, au moment même où, dans l'affaire Guibord, il venait de remporter une éclatante victoire légale, il doit s'effacer. À l'heure de Mgr Bourget, suffit-il que Londres soit d'accord pour que le Québec le devienne ? Puis, le siècle se termine avec les luttes pour la reconnaissance du parti libéral. Là encore les forces de l'ordre, de la tradition, de la conformité aux valeurs établies l'ont emporté haut la main. Comment expliquer ces défaites successives du mouvement libéral et des tendances laïques ?
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Santos González, Yissel, and Geidy Morfa Hernández. "La Revolución cultural de 1968. La emergencia de una lucha social plural." Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, no. 10 (December 3, 2018): 21–42. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i10.2550.

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Abstract:
Las condiciones geopolíticas actuales son las de un capitalismo en crisis, que se advierte a partir de las últimas décadas del pasado siglo XX, cuando ésta adquiere la condición de crisis civilizatoria. Se debe al debilitamiento de todas las estructuras de reproducción capitalista que hasta ese momento habían funcionado como aparatos sustentadores del sistema. El año 1968 marca la ruptura con las formas anteriores de reproducción ideológica y cultural del sistema capitalista en su dominación liberal. A partir de entonces, se produce un auge en la acción colectiva en forma de movimientos sociales que marcarían hitos en las formas de hacer política.El alcance mundial del 68 se debe el florecimiento de varios procesos de deslegitimación de ciertas nociones acerca de la visión burguesa del mundo, como la sexualidad, la libertad, las nociones tradicionales y también muy restrictivas de la democracia, la educación, las costumbres, etc. También por el cuestionamiento de la política, al significar la crisis definitiva de la vieja izquierda tradicional. Las nuevas formas de lucha surgidas, lo hacen bajo el espíritu antisistémico de esa época. Una de las principales diferencias con los movimientos pre68 está en el carácter de las reivindicaciones. El de estas nuevas formas de acción colectiva incluye principios locales, plurales y universales, como la lucha por la paz, el medio ambiente, la justicia social, las críticas al racismo, al machismo, a la xenofobia, al pensamiento colonizador. Es la crítica y transformación de toda práctica de segregación y discriminación social.Palabras clave: Revolución cultural, Geocultura liberal burguesa, Movimientos antisistémicos, Luchas antidiscriminatorias The Cultural Revolution of 1968. The emergence of a plural struggleSummaryThe current geopolitical conditions are those of a capitalism in crisis, which is noticed from the last decades of the last XX century, when this acquires the status of a civilizing crisis. It is due to the weakening of all the capitalist reproduction structures that until then had functioned as supporting devices of the system. The year 1968 marks the break up with the previous forms of ideological and cultural reproduction of the capitalist system in its liberal domination. From then on, there is a boom in collective action in the form of social movements that would become a milestone in the ways of doing politics.The global reach of the ‘68’ is due to the flourishing of several processes of the loss of legitimacy of certain notions about the bourgeois world view, such as sexuality, freedom, traditional notions and also very restrictive of democracy, education, customs, etc. Also by the questioning of politics, by signifying the definitive crisis of the old traditional left. The new forms of struggle that emerged arise under the anti-systemic spirit of that period. One of the main differences with the pre68 movements is in the nature of the claims. These new forms of collective action include local, plural and universal principles, such as the struggle for peace, the environment, social justice, criticism of racism, machismo, xenophobia, and colonizing thinking. It is the criticism and transformation of all practices of segregation and social discrimination.Keywords: Cultural Revolution, Bourgeois liberal geoculture, Anti-systemic movements, Anti-discriminatory struggle La Révolution culturelle de 1968. L’urgence d’une lutte plurielleRésuméLes conditions géopolitiques actuelles sont celles d’un capitalisme en crise qui est constaté à partir des dernières décennies du XXe. siècle quand la crise acquière la condition de crise civilisatrice. Cela est provoqué par l’affaiblissement de toutes les structures de reproduction capitaliste qui jusqu’à ce moment-là avaient fonctionné comme des dispositifs sustentateurs du système. L’année 1968 marque la rupture avec les formes antérieures de reproduction idéologique et culturelle du système capitaliste dans sa domination libérale. À partir de ce moment-là, il arrive un apogée dans l’action collective sous forme de mouvements sociaux qui allaient marquer des événements importants dans les formes de faire politique.La portée mondiale du 68 est due à l’essor de quelques procès de non légitimation de certaines notions à propos la vision bourgeoise du monde, comme la sexualité, la liberté, les notions traditionnelles et aussi très restrictives de la démocratie, l’éducation, les coutumes, etc. De même, à cause du questionnement de la politique quand elle signifie la crise définitive de la vieille gauche traditionnelle.Les nouvelles formes de lutte qui ont surgi, surgissent sous l’esprit antisystématique de cette époque. Une des principales différences avec les mouvements avant 68 consiste dans le caractère des revendications. Le caractère de ces nouvelles formes d’action collective comprend des principes locaux, pluriels et universels, comme la lutte pour la paix, l’environnement, la justice sociale, les critiques au racisme, au machisme, à la xénophobie, à la pensée colonisatrice. C’est la critique et la transformation de toute pratique de ségrégation et de discrimination sociale.Mots clés: Révolution Culturelle, Geo-culture libérale bourgeoise, Mouvements anti systémiques, Luttes anti discriminatoires.

Dissertations / Theses on the topic "Capitalisme – Idéologie":

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Papageorgiou, Elisaveth. "Idéologie, fétichisme et représentation. Mutations du capitalisme et intelligibilité du monde contemporain." Thesis, Paris 8, 2019. http://www.theses.fr/2019PA080001.

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Abstract:
Cette thèse interroge les apports de la critique marxiste de l’idéologie quant à l’intelligibilité dumonde contemporain devant un double paradoxe qui marque notre époque. Ce paradoxe consisted’une part dans la proclamation de la fin de l’idéologie et, d’autre part, dans la montée d’uneimpuissance politique qui alimente des nouvelles formes de mélancolie.Si la critique marxiste de l’idéologie, en tant que problématisation de la relation entre lesformes de conscience et les conditions de production de l’existence sociale, a contribué àl’intelligibilité du monde forgé par la modernité capitaliste en tant que champ de lutte etde transformation, les mutations du capitalisme la confrontent à ses limites.La totalisation du capital efface les distinctions qui fonctionnaient comme repères pour lacartographie de la totalité sociale et engendre une nouvelle expérience de la réalité ; lemonde prend la forme d’une surface plate et vitrifiée qui nous renvoie l’image de notreimpuissance à la pénétrer. Cette expérience privilégie le versant imaginaire de l’idéologieexprimé sous la forme d’une opposition binaire et amplifie le trait de la mélancolie enajoutant au versant de la tristesse celui de l’intensité.Si l’on veut dès lors confronter les formes de conscience aux conditions de production del’existence sociale dans la configuration socio-historique du capitalisme tardif, laquelleefface les limites entre les deux registres, la reconfiguration tant du mode de productionque de l’idéologie s’avère nécessaire. Les travaux de Fredric Jameson allant dans ce sensopèrent un renouvellement important de l’herméneutique marxiste
This dissertation examines the contribution of Marxist critique of ideology in understandingthe contemporary world in the face of a double paradox that characterizes our era. Thisparadox consists, on one hand, in the proclamation of the end of ideology, and on the other inthe rise of political powerlessness that nurtures new forms of melancholy.If the problematization of the relationship between forms of consciousness and the conditionsof production of social existence has helped to understand the world of capitalist modernity asa field of struggle and transformation, the changes capitalism is undergoing confronts marxistcritique of ideology with its limits.The totalization of capital relations cancels the conceptual distinctions that have hithertofunctioned as markers for the mapping of the social whole, and generates a new experience ofreality; the world takes the form of a flat and glazed surface that reflects the picture of ourinability to penetrate, to fathom it. This experience favours the imaginary aspect of ideologythat is expressed in the form of binary oppositions while, at the same time, accentuates theaspect of melancholy by adding intensity to sadness.Consequently, if one wants to juxtapose forms of consciousness and the conditions ofproduction of social existence within the socio-historical setting of late capitalism that blursthe limits between them, it is necessary to reconsider both the mode of production andideology. Along that line, the work of Fredric Jameson marks an important renewal of Marxisthermeneutics. The mode of production can henceforth also be considered in terms of theproduction of signs and representations that constantly remodel the lived experience of thedominant mode of production. Ideology is not only limited to its imaginary aspect asexpressed by the binary oppositions, but appears also in the form of symbolic acts throughwhich the subjects become part of collective structures, social synchrony, as well as historicaldiachrony
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Viguier, Elsie. "Pub/Antipub, deux visions du monde ? : sociologie des visions du monde à partir des discours de professionnels de la publicité et de militants antipublicitaires." Phd thesis, Université de Grenoble, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00947666.

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Abstract:
En m'intéressant aux discours de deux groupes en opposition, les antipublicitaires et les publicitaires, j'ai tenté de construire une sociologie de leurs visions du monde et de rapprocher ces analyses des concepts d'idéologie et d'utopie. L'approche est qualitative, elle privilégie l'observation non participante auprès de collectifs militants et l'analyse de discours produits lors d'entretiens semi-directifs ou à l'occasion de publications des acteurs concernés. Ce travail sociologique s'organise autour du triptyque soi, l'autre, le monde. La vision de soi, ou encore le discours sur soi, en tant qu'individu et en tant que collectif, déploie les questions d'identification, d'efficacité, de plaisir, de vocation et d'engagement. A travers deux figures vocationnelles, celle du combattant et celle de l'artiste, l'acteur renforce son identité personnelle, dans le sens d'une définition de soi, en légitimant le rôle qu'il se donne au sein de la société. Ainsi, l'autolégitimation prend place dans la construction de la croyance collective et enclenche le processus de légitimation d'une conception du monde, qu'elle soit en accord ou en rupture avec le système existant. Le regard posé sur l'autre renvoie à une définition et une désignation de l'adversaire, mais le discours révèle aussi une certaine instrumentalisation de l'autre, l'autre pensé comme un moyen de se faire entendre et d'acquérir une légitimité aux yeux du public. Enfin, les notions qui se trouvent interrogées dans cette présentation de soi et de l'autre sont dès lors confrontées à un discours plus général, un regard sur le monde et la société. Le discours se fait constructeur d'évidences en affirmant ce qui est et ce qui doit être. La publicité devient ainsi l'élément sur lequel s'amorce une réflexion critique envers le système économique libéral. Idéologie et utopie sont ainsi analysées comme deux dynamiques à la fois opposées et complémentaires, comme si en fin de compte regarder le monde, c'était déjà mettre en œuvre une volonté de le mettre en ordre.
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Farias, Sass André Filipe de. "L'identité narrative dans une société de projets : lectures croisées entre Paul Ricoeur et Luc Boltanski." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2023. http://www.theses.fr/2023EHES0185.

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Abstract:
Notre recherche propose une interprétation critique du système économique capitaliste qui se présente à la société actuelle comme une nouvelle idéologie qui entend conditionner l'identité des sujets en la réduisant à leurs déterminations. À partir de l’interprétation de l’ouvrage « Le nouvel esprit du capitalisme » de Luc Boltanski et Ève Chiapello, on observe l’émergence d’une société qui se développe dans une épistémologie des réseaux. Dans cette nouvelle dynamique du corps social, la verticalité des hiérarchies traditionnelles est remplacée par l'horizontalité des interactions guidées par des projets temporaires. Ce nouvel esprit du capitalisme est chargé de forger la « cité par projets », une cité symbolique, avec sa propre logique et ses valeurs qui s’imposent comme une injonction morale inculquée aux sujets. Nous observons comment cette nouvelle configuration sociale génère des transformations dans les relations humaines, notamment dans leurs aspirations esthétiques et développe une dynamique relationnelle mettant l'accent sur la capacité à établir des connexions. Ce nouvel esprit oppressif du capitalisme finit par réduire et affecter l’estime de soi, c’est-à-dire les capacités humaines à interpréter leur existence à travers leur puissance : parler, agir, raconter et s’imputer comme sujet responsable de ses actes. Dans la cité par projets, l’individu est réduit à l’équation projectiviste de la vie qui prend sens en fonction de sa capacité de connexion. Dans ce contexte de société en réseau, nous cherchons à établir un dialogue avec l'œuvre philosophique de Paul Ricœur, fondée fondamentalement sur son ouvrage « Soi-même comme un autre ». Notre intention est de présenter le concept d’identité narrative comme un outil de sauvetage de l’identité personnelle, captive de l’idéologie capitaliste. Ricœur semblait vouloir montrer combien il existe une force heuristique dans l’histoire que chacun raconte de soi-même, force qui, en dernière analyse, est pratique. Le sauvetage de l’identité personnelle par la médiation narrative opère une dénonciation subversive des formes d’humiliation humaine déclenchées par la cité par projets. L’identité narrative devient ainsi, d’autre part, une résistance au mouvement accéléré de la vie qui cherche à limiter l’action humaine au seul temps de travail. Si dans un cas la cité par projets prive délibérément le sujet de la capacité de produire sa propre conscience morale, dans l'autre l'identité narrative appelle à la reconnaissance un sujet qui se met en relation avec soi-même et avec l'autre et, donc, capable d’interpréter son existence elle-même
Our research offers a critical interpretation of the capitalist economic system that is presented to today's society as a new ideology that aims to condition people's identities by reducing them to its decisions. Based on the interpretation of the work "Le nouvel esprit du capitalisme" by Luc Boltanski and Ève Chiapello, we observe the emergence of a society that is developing in an epistemology of networks. In this new dynamic of the society, the verticality of traditional hierarchies is replaced by the horizontality of interactions guided by temporary projects. This new spirit of capitalism is responsible for forging the "cité par projets" (project-based city), a symbolic city, with its own logic and values that are imposed as a moral injunction inculcated in the individuals. We can see how this new social configuration generates transformations in human relations, especially in their aesthetic aspirations, and develops a relationship dynamic with an emphasis on the ability to establish connections. This new oppressive spirit of capitalism ends up reducing and affecting self-esteem, in other words, human capacities to interpret their existence through their potential: to speak, act, narrate and impute themselves as individuals responsible for their actions. In the project-based city, the individual is reduced to the projectivist equation of life, which becomes meaningful based on their ability to connect. In this context of a networked society, we seek to establish a dialog with the philosophical work of Paul Ricœur, fundamentally from his work “Soi-même comme um autre”. Our intention is to present the concept of narrative identity as a tool for rescuing personal identity, which has been captivated by capitalist ideology. Ricœur seemed to want to show how there is a heuristic force in the story that each individual tells about themselves, a force that is ultimately practical. The rescue of personal identity through narrative mediation is a subversive critique of the forms of human humiliation unleashed by the project-based city. Narrative identity thus becomes, secondly, resistance against the accelerated movement of life that aims to limit human action to a time that is merely work-related. If, in one case, the project-based city steals the individual's ability to produce their own moral conscience, in the other, narrative identity calls for the recognition of a person who places him/herself in relation to their own self and the other, and is therefore capable of interpreting their own existence
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Silva, Sonia da. "Décadence et imaginaire littéraire dans les romans de Drieu La Rochelle : la représentation du corps." Thesis, Metz, 2009. http://www.theses.fr/2009METZ014L.

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Abstract:
En s'employant par la plume au redressement de la France, Pierre Drieu la Rochelle s'inscrit dans la lignée des écrivains et des penseurs qui ont dénoncé la décadence – Paul Bourget et, surtout, Barrès et Nietzsche, les deux maîtres qu'il se reconnaît. "Je me suis trouvé comme tous les autres écrivains contemporains devant un fait écrasant : la décadence", écrit-il dans la préface de Gilles, citant volontiers Aragon, Céline, Malraux ou encore Montherlant, ces écrivains et intellectuels de l'entre-deux-guerres avec lesquels il partage une certaine fraternité prophétique. Si Drieu a vécu et envisagé les rapports de sa création littéraire avec l'idéologie et la politique à travers le prisme de la convulsion du temps provoquée par la crise de l'antimodernisme et de l'antiparlementarisme, il affronte ce qu'il considère être un «fait écrasant» en pratiquant une "observation systématique". Dans "son œuvre de satire", cette référence obsédante à la décadence, qu'il décèle plus particulièrement dans le corps individuel et social, fait l'objet de transfigurations littéraires qui visent toutes à la dénoncer. Pour essayer de cerner les enjeux d'une telle représentation, qui se situe à la jonction de l'idéologie et de la littérature, il est nécessaire d'analyser les fondements de l'imaginaire de la décadence inhérents à la période de l'entre-deux-guerres. À ce prix, il devient possible de distinguer l'unité et la cohérence de l'œuvre de Drieu, articulée autour de cette décadence que l'on doit considérer comme un "fait d’imagination" (Pierre Citti) et cristallisée autour d'un motif central : le corps
In reflecting on and reasoning about the decline of his country, Pierre Drieu la Rochelle appears as an heir to those writers and theoreticians who denounced its decadence, including Paul Bourget but principally Barrès and Nietzsche, the two masters with whom he identifies. "Je me suis trouvé comme tous les autres écrivains contemporains devant un fait écrasant : la décadence", writes the novelist, in the preface to Gilles. Thus he gladly cites Aragon, Céline, Malraux and Montherlant, who were all writers and intellectuals of the interwar years, and with whom Drieu shares some kind of prophetic fraternity. Drieu foresees the interaction of his literary creativity with ideology and politics through the lens of the convulsion of time, occasioned by the crises of antimodernism and antiparliamentarism. Consequently he faces what he considers to be a "crashing fact" in practising a "systematical observation". In his "satirical work", his insistent reference to decadence, which he detects in both the individual and collective body, is subjected to literary metamorphosis ; this imagery betrays his intimate obsession. In order to grasp what is at stake in such a mental representation, situated at the intersection of ideology and literature, it is necessary to understand first of all the foundations of the imagination of decadence, inherent in the troubled world of the interwar years. This is necessary in order to set apart the unity and the coherence of Drieu's work, focused on this decadence to be considered as an "fait d’imagination" (Pierre Citti) and made real through a central topic : the body
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Deshayes, Thierry. "La construction discursive de la justice et des injustices spatiolinguistique.s dans le capitalisme contemporain : l’exemple de l’action et de l’organisation communautaires à Verdun - Montréal." Thesis, Rennes 2, 2020. http://www.bu.univ-rennes2.fr/system/files/theses/2020theseDeshayesTComplet.pdf.

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Abstract:
Cette recherche se propose de problématiser et d’interroger empiriquement la justice spatiolinguistique en sociolinguistique urbaine. Cette dernière notion, inspirée de celle de justice spatiale en géographie et en études urbaines, permet effectivement au chercheur de devoir interroger, au-delà des « inégalités », « discriminations », de l’« exploitation » ou de la « ségrégation » observées « sur le terrain », le travail de théorisation politique sous-jacent à partir duquel il les identifie comme telles. La justice spatiolinguistique constitue également une façon d’aborder la pluralité des conceptions de la justice des partenaires de la recherche autant que la façon dont s’instituent discursivement les injustices spatiolinguistiques et dont peut aussi s’instituer, par les pratiques langagières, des réalités spatiolinguistiques plus justes. Empiriquement, la justice spatiolinguistique est interrogée ici dans le contexte de l’action et de l’organisation communautaires dans l’arrondissement Verdun de Montréal au Québec. Dans une perspective à dominante marxienne, en problématisant centralement la question des institutions, des sujets et de l’idéologie, il s’agit alors d’étudier la façon dont l’espace urbain du capitalisme avancé et la gouvernementalité néolibérale contemporaine affectent le travail des acteurs de l’organisation communautaire. Dans la perspective croisée de la sociolinguistique urbaine prioritaire, de la linguistique sociale et des sociolinguistique critique et politique, ces phénomènes de justice et d’injustices spatiolinguistiques sont observées à travers l’étude des mises en mots des transformations spatiales, à travers les territorialisations sociales et sociolinguistiques des interlocuteurs de la recherche, notamment via la méthode de l’Analyse du Discours à Entrée Lexicale (ADEL) ainsi qu’à travers l’étude catégorielle de leurs « actes de discours » contre-interpellants, « scénographies », « discours rapportés » et autres pratiques langagières critiques
This research problematizes and questions empirically the theoretical concept of spatiolinguistic justice, developed in French urban sociolinguistics. This term spatiolinguistic justice, inspired from spatial justice as used in critical geography and urban studies, requires that the researcher inquire his own political theorization behind his use of terms such as “inequality” “discrimination” “exploitation” and “segregation”, terms that are often considered as observed “realities” rather than as discursively constructed. Spatiolinguistic justice also allows the researcher to examine the diversity of approaches to justice as expressed by participants in ethnographic research, and the way justice and injustice are discursively institutionalized through language practices. In this thesis, spatiolinguistic justice is investigated through community action and organization in Verdun (a borough of Montreal) in Quebec. Adopting a (mainly) Marxian perspective to problematize institutions, ideology/ideologies and subjects, the purpose of this study is to examine the way capitalist urban space and neoliberal governmentality affect community organizing actors and their discourse. Weaving together theorization in urban sociolinguistics, social linguistics, critical sociolinguistics and political sociolinguistics, this study approaches spatiolinguistic justice and injustice through the analysis of discourse on spatial transformation and through social and sociolinguistics territorialisation. This is done through a lexical entry method to discourse analysis but also through the study of the participants’ counter-interpelling “discourse acts”, “discursive scenography”, “reported speech” and other approaches to critical analysis of language practices
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Bihay, Thomas. "De l'idéologie des industries créatives aux politiques de reconfiguration territorialisées : le cas du territoire métropolitain lyonnais." Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSE2029/document.

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Abstract:
Cette recherche porte sur la façon dont les industries créatives, appréhendées en tant qu’idéologie et théorie scientifiquement construite, se déploient de manière non linéaire de l’international au local à travers les discours et pratiques d’acteurs hétérogènes (politiques, industriels, culturels…) jusqu’à leur opérationnalisation dans le cadre de politiques de reconfiguration du territoire local. Ces dernières désignent les politiques visant à transformer durablement la représentation d’un territoire donné. Pour ce faire, l’étude se concentre sur le cas du territoire métropolitain lyonnais, emblématique de plusieurs processus à l’œuvre depuis une quarantaine d’années (mondialisation, développement des TICN, décentralisation, métropolisation...) et des politiques de reconfiguration menées sur d’autres territoires (Berlin, Reims, Lille…). L’analyse se déploie en trois temps.Tout d’abord, nous analysons comment les industries créatives sont définies et promues à travers les discours d’institutions internationales, nationales et locales (Unesco, DCMS, France Créative…). Trois types de discours se distinguent : ceux à visée entrepreneuriale explicite ; ceux abordant les industries créatives comme un ensemble de secteurs liés aux industries culturelles, auxquels sont adjoints quelques autres plaçant la « créativité » au cœur de leurs activités ; enfin, les discours les appréhendant comme le pilier central du développement territorial. Ces types de discours institutionnels ont cependant encommun d’entrer en résonnance avec ceux des promoteurs du nouvel esprit du capitalisme. Ensuite, nous accordons une attention particulière aux discours et pratiques des professionnels de la reconfiguration territoriale, à savoir ceux de la communication publique et territoriale auxquels s’ajoutent désormais ceux du marketing territorial. Ces professionnels constituent des intermédiaires contribuant à la diffusion des industries créatives par la promotion de présupposés, pratiques et agencements entrant en résonnance avec ceux diffusés dans les discours institutionnels. Si un lexique, des notions et méthodes issues des sciences de gestion supplantent les références faites à la créativité et aux politiques territoriales axées sur l’innovation et la créativité, un décalage s’opère cependant entre leurs discours et leurs pratiques effectives.Enfin, nous nous intéressons à la façon dont les industries créatives sont réinvesties dans le cadre de politiques de reconfiguration territoriale du territoire métropolitain lyonnais pour en susciter et diffuser une représentation créative. La réflexion s’articule ici sur la façon dont ces politiques portent sur une triple reconfiguration territoriale (tangible, réticulaire et symbolique). En particulier, nous nous intéressons à l’opérationnalisation des grands événements culturels et artistiques, des projetsd’aménagement du territoire et de réseaux d’acteurs mis en place sur le territoire dans l’objectif d’en susciter une représentation créative. Les pratiques et agencements mis en place sur ce territoire s’inscrivent dans la continuité ou entrent en résonnance avec ceux prescrits dans les discours institutionnels et dans ceux des professionnels de la reconfiguration territoriale.En définitive, nous montrons comment l’idéologie des industries créatives se déploie à travers les discours et pratiques d’acteurs hétérogènes qui entrent en résonnance et, de ce fait, contribuent à renforcer cette idéologie. Notre étude prête attention aux circulations, qui ne sont pas uniquement descendantes ou prescriptives mais qui sont aussi des réappropriations et des interprétations des industries créatives par ces acteurs. Les logiques propres aux acteurs étudiés sont mises en évidence, tout en soulignant comment leurs discours et pratiques entrent en interaction
This research focuses on how creative industries, apprehended as ideology and scientifically constructed theory, deploy in a non-linear way from the international to the local through the discourses and practices of heterogeneous actors (political, industrial, cultural ...) to their operationalization as part of local territory policies of reconfiguration. These refer to policies aiming at transforming the territory image. This work focuses on the metropolitan area of Lyon, which is emblematic of several processes taking place for forty years (globalization, development of ICT, decentralization...) and reconfigurationpolicies conducted in other territories (Berlin, Reims, Lille...). The analysis deploys in three steps.First, we analyse how the creative industries are defined and promoted through institutional discourses (Unesco, DCMS, Creative France...). Three types of discourses are distinguished: those with explicit entrepreneurial goals; those addressing the creative industries as ensemble of sectors related to cultural industries, to which are added few others placing "creativity" at the heart of their activities; finally, the discourses that apprehend creative industries as the central pillar of territorial development. Nonetheless, these types of institutional discourses have in common to resonate with those of the promoters of the New Sprit of Capitalism.Then, we pay particular attention to discourses and practices of professionals of the territorial reconfiguration, namely those of the public and territorial communication to which are added those of the territorial marketing. These professionals are intermediaries who contribute to the diffusion of the creative industries by promoting assumptions, practices and arrangements resonating with those disseminated in institutional discourses. If a lexicon, notions and methods from management sciencessupplant references to creativity and territorial policies focusing on innovation and creativity, a gap between their discourses and their actual practices exists.Finally, we are interested in the way in which the creative industries are reinvested in the territorial reconfiguration policies of the metropolitan area of Lyon in order to create and disseminate a creative image. The reflection is articulated here on the way in which these policies are related to a triple territorial reconfiguration (tangible, reticular and symbolic). In particular, we are interested in the operationalization of major artistic and cultural events, spatial planning projects and stakeholder networks taking place on the territory aiming generating creative image. The practices and arrangements realized on the territory are in continuity or resonate with those prescribed in the institutional discourses and those of the professionals of the territorial reconfiguration.In the end, we show how the ideology of the creative industries deploys through discourses and practices of heterogeneous actors that resonate and, as a result, contribute to reinforce this ideology. Our study pays attention to circulations, which are not only downward or prescriptive but are also re-appropriations and interpretations of the creative industries by those actors. The logics of the actors studied are stressed, while showing how their discourses and practices are in interaction
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Floret, Arthur P. J. "Le changement social et l'État moderne en Mongolie." Thèse, 2009. http://hdl.handle.net/1866/4087.

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Abstract:
Ce mémoire propose une analyse socio-historique d'un cas extrême de changement social par son ampleur et sa rapidité: l'apparition ex-nihilo, à partir des années 1990, d'une population de plus de 100 000 mineurs artisanaux en Mongolie. Pour ce faire, il offre, premièrement, des outils théoriques au lecteur pour comprendre la tension entre permanence et mouvement qui anime les sociétés humaines. Deuxièmement, il identifie les tendances récurrentes de l'histoire mongole pour rendre le présent plus intelligible. Troisièmement, il détaille les principales caractéristiques contemporaines de ce nouveau phénomène, ainsi que ses potentialités pour le proche avenir. Mais surtout, à chaque étape, il construit une théorie locale et partielle du changement social, qui montre l'impact croissant de l'État moderne et de son idéologie du progrès et de la rationalité dans la vie de tous les individus, qui laisse les plus marginaux d'entre eux de plus en plus dépourvus d'influence sur leur environnement.
This paper outlines a socio-historic analysis of an extreme case of social change in Mongolia in the 1990s, which saw the sudden emergence of more than 100 000 artisanal miners. The first chapter discusses the relevant concepts which assist to develop an understanding of the tensions between stability and movement in human societies and how this in turn produces change. The next chapter identifies the recurring trends of Mongolian history and how that contributes to the present situation. The final chapter details the characteristics of this phenomenon and how it might develop in the near future. This paper proposes a new theory that, applied to this specific case, illustrates the impacts of the modern state on each individual and how it diminishes control from the marginalised groups of society.
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Pacha, Valencia Emil. "Masculinité en crise : transformation des pratiques et des représentations de la masculinité chez les jeunes salariés japonais." Thèse, 2013. http://hdl.handle.net/1866/10029.

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Abstract:
Durant la deuxième moitié du 20e siècle, divers aménagements structurels ont amené l’idéologie du système d’entreprise japonais à être acceptée globalement, non seulement comme un modèle légitime, mais aussi comme un modèle à suivre (et à poursuivre). Figure emblématique de ce système, le « salaryman » – employé masculin régulier des grandes entreprises ou administrations japonaises – s’est imposé au sein de la société japonaise. L’idéologie que véhicule le système d’entreprise a dès lors été interprétée par quelques auteurs comme un discours hégémonique, une image culturellement dominante du travail et de la vie quotidienne au Japon. Aujourd’hui, à la suite d’une conjoncture économique particulière fruit de la crise économique des années 1990, l’image du salaryman s’effrite et son caractère hégémonique tend à se fragmenter pour laisser place à de nouvelles pratiques et à de nouvelles valeurs souvent antagonistes avec les discours et les représentations du travail et de la masculinité qui ont dominé jusqu’alors. Une analyse historique et une enquête de terrain (entrevues semi-directives) nous montreront à la fois pourquoi le salaryman peut être compris comme un discours hégémonique et comment les nouvelles pratiques et représentations des jeunes japonais témoignent du caractère nouvellement fragmentaire de l’image du salaryman en contexte de crise. Ces résultats nous amèneront à considérer plus globalement l’implication des transformations du système d’emploi dans le changement social au Japon.
During the second half of the twentieth century, several structural processes have led the ideology of the Japanese employment system to be globally accepted, not only as a legitimate system, but as a model to be followed and pursued as well. The “salaryman”, the iconic figure of this system – that is the male employee of the big Japanese corporations or administrations – has been imposed into Japanese society as a unique model of masculinity. The ideology conveyed by the employment system has then been seen by a few authors as a hegemonic discourse, a culturally dominant image of work and daily life in Japan. Today, following the economic conjuncture caused by the economic crisis of the 1990s, the image of the salaryman is crumbling and is loosing its hegemonic value to give way to new practices and values antagonistic with the previous discourses and the representations of work and masculinity. A historical analysis and a field survey (semi-structured interviews) would show us how the salaryman can be analysed as a hegemonic discourse and why the new practices and representations of the young Japanese men reflect the newly fragmentary nature of the image of the salaryman within a crisis context. These results will lead us to more broadly consider the implications of the transformations of the Japanese employment system in the social change in Japan.

Books on the topic "Capitalisme – Idéologie":

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Zinoviev, Aleksandr. L' occidentisme: Essai sur le triomphe d'une idéologie. Paris: Plon, 1995.

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Clouscard, Michel. Néo-fascisme et idéologie du désir: Genèse du libéralisme libertaire. Bordeaux: Castor astral, 1999.

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Corm, Georges. Le nouveau gouvernement du monde: Idéologies, structures, contre-pouvoirs. Paris: Découverte, 2010.

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Wuthnow, Robert. Communities of discourse: Ideology and social structure in the Reformation, the Enlightenment, and European socialism. Cambridge, Mass: Harvard University Press, 1989.

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Ramonet, Ignacio. Nouveaux pouvoirs, nouveaux maîtres du monde: Un monde sans cap. Saint-Laurent [Québec]: Fides, 1996.

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6

Baudrillard, Jean. Pour Une Critique De L'Economie Politique Du Signe. Gallimard-Jeunesse, 1995.

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Piketty, Thomas. Capital et idéologie. SEUIL, 2019.

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Turner, Bryan S., Stephen Hill, and Nicholas Abercrombie. Dominant Ideologies (RLE Social Theory). Taylor & Francis Group, 2014.

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9

Turner, Bryan S., Stephen Hill, and Nicholas Abercrombie. Dominant Ideologies (RLE Social Theory). Taylor & Francis Group, 2014.

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10

Turner, Bryan S., Stephen Hill, and Nicholas Abercrombie. Dominant Ideologies (RLE Social Theory). Taylor & Francis Group, 2014.

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Book chapters on the topic "Capitalisme – Idéologie":

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Roman, Sébastien. "Chapitre 7. Imaginaire social, néo-capitalisme, et idéologie." In Nous, Machiavel et la démocratie, 225–48. CNRS Éditions, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.51820.

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2

HELLER, Monica, and Grégoire ANDREO-RAYNAUD. "Langues et mondialisation en temps de crise." In Langue(s) en mondialisation, 249–62. Editions des archives contemporaines, 2022. http://dx.doi.org/10.17184/eac.5287.

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Abstract:
Dans cette conférence-débat, M. Heller opère un retour réflexif sur les questions sur lesquelles elle a travaillé durant sa carrière et qui continuent de nourrir son travail sociolinguistique, comme les idéologies linguistiques ou la marchandisation des langues. La conférencière se penche sur les enjeux sociaux des pratiques langagières traitées comme des ressources par les locuteurs et les institutions publiques et privées. Cette contribution souhaite mettre en évidence et illustrer comment les crises périodiques du capitalisme que nous connaissons font évoluer les problématiques sociales autour des langues. Dans la deuxième partie du texte, elle aborde, au gré des questions de l'auditoire, la question des pratiques ethnographiques en ligne, des terrains de recherche actuels ainsi que la relation entre la sociolinguistique européenne et nord-américaine.

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