Academic literature on the topic 'Canada – 1763-1867 (Régime anglais)'

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Journal articles on the topic "Canada – 1763-1867 (Régime anglais)":

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Galarneau, Claude. "Les conditions de la vie politique en Angleterre au XVIIIe siècle." Articles 3, no. 3 (April 12, 2005): 347–60. http://dx.doi.org/10.7202/055142ar.

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Abstract:
La loi de 1791 introduisit au Canada français les institutions parlementaires britanniques. Ce nouveau régime avait été demandé par les marchands anglais du Canada alors que les seigneurs canadiens et le clergé lui étaient peu favorables. Quant aux habitants des campagnes et aux artisans des villes, on peut supposer qu'ils n'avaient point d'opinion sur la question et qu'ils ne possédaient aucun élément qui leur permît de porter un jugement. À Londres, la demande des marchands attendait depuis 1788 lorsque Pitt l'inscrivit aux débats des Communes en 1791. C'est le danger des répercussions de la Révolution française sur les rives du Saint-Laurent qui semble avoir poussé Pitt à donner cette constitution aux Canadiens. Cette loi, comme chacun sait, divisait le Canada en deux provinces, pourvues de leur chambre d'assemblée respective, composée de députés élus dans des comtés et des bourgs et selon des règles assez semblables à celles qui prévalaient en Angleterre à ce moment. Les premières élections furent tenues en 1792. Comme les Canadiens français ne connaissaient pas le régime parlementaire, ce sont les Anglais établis au Canada depuis 1763 qui implantèrent le régime britannique et qui initièrent les Canadiens à la vie politique. Pour cette raison, il est de souveraine importance de connaître les conditions de la vie politique en Angleterre au XVIIIe siècle, afin de bien comprendre dans quel état ce régime parlementaire et électoral britannique s'est implanté chez nous. C'est le jeu des institutions plus que leurs principes et les rouages politiques plus que les constitutions qui retiendront notre attention au cours de cette analyse.
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Harvey, Fernand. "La vie culturelle à Québec (1791-2008)." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 251–81. http://dx.doi.org/10.7202/038127ar.

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Abstract:
Entreprendre l’analyse de la vie culturelle d’une ville équivaut à dégager les paramètres de son identité. Au fil des décennies, les arts et les lettres connaissent des périodes de créativité et de stagnation, compte tenu du dynamisme des acteurs culturels. À quoi s’ajoute le contexte économique et politique qui conditionne, pour une bonne part, l’ampleur et la qualité de cette vie culturelle. Le cas de Québec est ici examiné sur une période de deux siècles, soit de 1791, au moment où la ville devient la capitale du Bas-Canada, jusqu’à 2008, année du 400e anniversaire de sa fondation. Quatre sous périodes sont identifiées : la ville coloniale du régime anglais où les influences étrangères et locales façonnent la nouvelle personnalité culturelle de Québec (1791-1866), la capitale culturelle du Canada français et la valorisation du régionalisme (1867-1945), la ville qui cherche sa voie entre la tradition et la modernité (1946-1969), et finalement Québec comme second pôle culturel du Québec (1970-2008).
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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Labrecque, Marie France. "Féminicide." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.011.

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Abstract:
Le recours au terme féminicide, dans son sens premier, a pour but de souligner la spécificité de certains meurtres de femmes. Ce premier sens rejoint celui du terme anglais femicide utilisé et diffusé largement à partir des années 1990. La définition la plus élémentaire est celle selon laquelle le femicide est le meurtre misogyne de femmes par des hommes (Radford et Russell 1992: xi). L’évènement emblématique correspondant à cette définition est celui des meurtres de l’École polytechnique de l’Université de Montréal, le 6 décembre 1989, alors que 14 femmes ont été ciblées explicitement parce qu’elles étaient des femmes et abattues par un homme qui, sur le site même, s’est donné la mort. Plus précisément, comme l’écriront Caputi et Russell (1992: 15), le femicide est le point d’aboutissement ultime d’un continuum de violence et de terreur incluant une large variété d’abus verbaux et physiques, et s’exerçant spécifiquement à l’endroit des femmes. En d’autres termes, on peut parler de femicide lorsque le viol, par exemple, ou encore l’esclavage sexuel, l’inceste, l’hétérosexualité forcée, les mutilations génitales ou celles effectuées au nom de la beauté comme la chirurgie esthétique, provoquent la mort d’une femme. Cette définition est encore largement utilisée, particulièrement dans le monde anglo-saxon, et elle demeure fondamentale. Cependant, il est possible et souhaitable d’y ajouter d’autres dimensions qui relèvent davantage de la structure sociale plus large, notamment en y introduisant plus explicitement le concept de genre. Il revient aux latino-américaines d’avoir proposé des définitions qui tiennent compte de ces dimensions en même temps qu’elles ont imposé le terme féminicide, une traduction littérale du terme espagnol feminicidio. Pour des auteures comme Fregoso et Bejarano (2010), l’adhésion au terme féminicide plutôt que fémicide, est une posture politique qui reconnaît l’apport du « Sud global », c’est-à-dire l’apport des chercheures et activistes de cette région du monde. Ainsi, la Mexicaine et ex-députée du Parti de la révolution démocratique, Marcela Lagarde, considère que le féminicide est une forme extrême de violence de genre. Trois facteurs sont à l’œuvre et se combinent pour rendre possible le féminicide : premièrement, le manque de respect des droits humains des femmes, notamment en ce qui a trait à leur sécurité; deuxièmement, l’impunité dont bénéficient les meurtriers et, troisièmement, l’irresponsabilité des autorités et surtout de l’État. Elle affirme même que le féminicide est un crime d’État (Lagarde 2010: xxiii). La posture de Lagarde découle dans une large mesure du cas de la ville de Ciudad Juárez au Mexique (voir également Labrecque 2012). Il s’agit d’une ville située à la frontière entre le Mexique et les États-Unis où, entre le milieu des années 1990 et 2006, moment où Lagarde a énoncé sa définition du féminicide, il s’était produit plus de 300 meurtres de femmes, ce qui représentait une proportion plus élevée que dans des villes au profil équivalent. Les meurtres à Ciudad Juárez ont tôt fait de marquer l’imaginaire collectif, surtout parce que les cadavres étaient retrouvés sur les terrains vagues ou dans le désert, que les femmes avaient été violées et torturées, et que leur corps avait été cruellement mutilé. C’est d’ailleurs ce qu’une chercheuse comme Monárrez Fragoso a appelé le « féminicide sexuel systémique », le distinguant du même coup du féminicide intime (évitant ainsi le détournement de sens que produit l’expression « crime passionnel »), et aussi du féminicide en raison d’occupations risquées ou stigmatisées. Ces distinctions entre les divers types de féminicides, et globalement leur différenciation d’avec les assassinats de femmes plus généralement, ont une finalité juridique, soit de faire en sorte que les coupables soient punis de façon spécifique (Monárrez Fragoso 2009: 10). Certes, tous les meurtres de femmes commis dans le monde ne sont pas des féminicides et il importe de tenir compte du contexte dans lequel ces meurtres se produisent. Dans certains pays, il règne une violence structurelle qui se traduit par toutes sortes d’autres types de violence y compris à l’intérieur des foyers. Or la sécurité des citoyens en général et celle des femmes en particulier relève de l’État. Dans la mesure où la violence structurelle est tolérée ou même provoquée et entretenue par l’État, on peut affirmer que ce dernier porte la responsabilité des meurtres de femmes, qu’ils se produisent dans des lieux publics ou au sein de leur foyer. On voit que la ligne de démarcation entre les féminicides et les meurtres de femmes est souvent très ténue ou même inexistante selon le contexte. Si on peut attribuer au déficit d’État le fait que des pays comme le Salvador, la Jamaïque, le Guatemala et l’Afrique du sud présentent les taux les plus élevés de féminicides au monde (Small Arms Survey 2012), comment expliquer qu’il s’en produise dans des pays développés comme, notamment, le Canada? La Gendarmerie royale du Canada, à partir de données d’abord colligées par l’Association des femmes autochtones du Canada (AFAC 2010), a confirmé qu’entre 1980 et 2014, quelque 1049 femmes autochtones avaient été tuées et 174 étaient disparues (GRC 2015). Comparés aux moyennes nationales, ces données révèlent notamment que le taux d’homicides chez les femmes autochtones du Canada est sept fois plus élevé que chez les femmes non-autochtones. L’État canadien est certes un État de droit, il n’en comporte pas moins certaines caractéristiques patriarcales et coloniales héritées des siècles antérieurs. La plupart des Premières nations du Canada sont encore régies par la Loi sur les Indiens émise en 1867. Bien que les articles discriminatoires à l’égard des femmes aient été amendés, l’esprit de la loi continue de planer au-dessus de ces dernières de sorte que leur vie semble valoir moins que celle de leurs consœurs non-autochtones. En d’autres termes, en plus du facteur « genre », les facteurs « classe » et « race » - celle-ci étant entendue comme construction sociale – sont à l’œuvre. En somme, les définitions du féminicide ouvrent sur deux voies convergentes et complémentaires : celle de l’analyse intersectionnelle de la violence qui se base sur la prise en compte simultanée de la classe, du genre et de la race, et celle des revendications sur le plan légal et institutionnel qui confrontent plus directement l’État. Cette dernière voie a ses exigences propres, dont celle de l’urgence : on a certes besoin de la recherche et de l’analyse pour comprendre ce qui se passe, mais on a également besoin d’outils pratiques (tels que des législations) pour dénoncer les crimes et exiger réparation. En ce sens, depuis 2010, le féminicide a été défini comme un crime spécifique dans le code pénal d’un certain nombre de pays en Amérique latine. Il s’agit là d’une avancée remarquable pour les femmes, mais elle est de loin insuffisante sur les plans de l’équité et l’égalité de genre

Dissertations / Theses on the topic "Canada – 1763-1867 (Régime anglais)":

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Trépanier, Anne. "La permanence de la refondation dans l'imaginaire et l'identitaire politiques des Canadiens : de la Nouvelle-France au Canada moderne (1663-1867)." Doctoral thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/18041.

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Larue, Richard. "La crainte de l'égalité : essai sur un fondement symbolique de l'État au Canada 1791-1867." Doctoral thesis, Université Laval, 1990. http://hdl.handle.net/20.500.11794/17623.

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Pépin, Karine. "La noblesse canadienne de la Conquête à la Grande Guerre : identité et devenir d'un groupe élitaire (1760-1918)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL006.

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Abstract:
Lors d'une conférence prononcée en 1922, Louis Alexandre Taschereau, premier ministre du Québec et d'ascendance noble, fait l'apologie de la noblesse canadienne en insistant sur le fait qu'elle occupe toujours le premier rang de la société. À l'inverse, une certaine historiographie (Ouellet, 1966; Brunet 1969 ; Séguin, 1970) a prétendu que le groupe nobiliaire a perdu son autorité dès la Cession de la Nouvelle-France. Il est indéniable que la noblesse s'est transformée lorsque la période préindustrielle a peu à peu laissé place à l'ère industrielle, mais dans quelle mesure? Cette thèse poursuit l'objectif d'établir un portrait du devenir de l'ensemble des familles nobles d'origine française restées au Canada, de la Cession de la Nouvelle-France jusqu'à la Première Guerre mondiale, en portant une attention particulière à ses comportements démographiques et matrimoniaux ainsi qu'aux parcours professionnels et à l'identification à ses lignées ancestrales.Si la Cession nécessite une adaptation, la deuxième moitié du XIXe siècle constitue un choc encore plus important. De nombreuses familles nobles ont connu un glissement social, mais ce processus s'est effectué progressivement dans le temps et à des moments différents selon les cas. Surtout, l'ensemble des thèmes étudiés convergent vers un noyau de familles ayant réussi à conserver une position élitaire et à maintenir une autorité locale, régionale et, dans quelques cas, nationale, voire plus rarement, impériale. Des caractéristiques du régime français persistent au sein de ce sous-groupe restreint, telle que la propriété foncière et la valeur du service. Celui-ci fait aussi preuve d'adaptation, par exemple sur le plan professionnel et du choix des conjoints. Alors que de nombreuses familles déclinent au fil du XIXe siècle, des initiatives identitaires émergent parallèlement chez celles s'étant maintenues, qui revendiquent une appartenance à une lignée le plus souvent en voie d'extinction démographique
In a 1922 conference, Louis Alexandre Taschereau, of noble descent and Prime Minister of Quebec, insisted that Canadian aristocracy still occupied at that moment the highest social rank. On the other hand, some historians claimed that aristocrats had declined in tandem with the Cession of New France in 1763 (Ouellet, 1966; Brunet, 1969; Séguin, 1970). In fact, it is undeniable that nobility metamorphosed as the pre-industrial period gradually made its way to the Industrial Era. In that respect, how did aristocracy evolved ? From the Cession of New France to the First World War, the present thesis aims to analyse the becoming of noble families of French descent who stayed in Canada. Indeed, this study focuses on their respective demographic and matrimonial background, as well as their career paths and their identification with their ancestral lineages.If the Cession required adaptation the second half of the 19th century constituted an even more significant shock as aristocracy lost its bearing. This came as a challenge to aristocrats who had to reinvent themselves in order to maintain their high social status. Many noble families progressively experienced a social shift over time and at various moments throughout different events. But all the studied themes converge toward a core of families who succeeded in retaining an elite position and maintaining local, regional and, sometimes national, and somewhat rarely, imperial authority. We observe that characteristics of the French regime persist within this restrictive subgroup, such as land ownership and the value of service. These aristocrats also adapted their career paths and choices of spouse. While aristocracy declined over the course of the 19th century, identity initiatives emerged among those who remained noble, claiming to belong to an aristocracy lineage, that often was on the verge of demographic extinction
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Leblanc, Monique. "Introduction de la ceinture fléchée chez les amérindiens : création d'un symbole de statut social." Doctoral thesis, Université Laval, 1996. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28479.

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Giral, Gisela. ""Supplient très humblement-- We humbly beg--" : les pétitions collectives et le développement de la sphère publique au Québec, 1764-1791." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30084/30084.pdf.

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Abstract:
Ce mémoire porte sur la contribution des pétitions collectives au développement de la sphère publique québécoise de la seconde moitié du XVIIIe siècle. À cette fin, plusieurs notions ont été mises en relation : le public, la sphère publique, l’opinion publique, les espaces de sociabilité. La présente étude est basée sur une analyse détaillée de quelque 278 pétitions collectives depuis la mise en place du gouvernement civil en 1764 jusqu’à la création du système parlementaire en 1791. En l’absence d’institutions représentatives traditionnelles, la pratique de pétitionner collectivement aux autorités coloniales est devenue un outil essentiel pour influencer les décisions politiques et administratives. Pratique de longue date en Angleterre, mais rare en Nouvelle-France, les pétitions collectives ont permis la participation d'un large groupe de la population de la colonie dans la sphère publique coloniale : les anciens et les nouveaux sujets, les hommes et les femmes, les élites et les gens ordinaires.
This thesis examines the contribution of collective petitions to the development of Quebec's public sphere in the second half of the eighteenth century. It examines these using the concepts of public, public sphere, public opinion, and spaces of sociability. The study is based on a detailed analysis of some 278 collective petitions from the establishment of civil government in 1764 until the creation of the parliamentary system in 1791. In the absence of traditional representative institutions, collective petitioning to colonial authorities became an essential tool for influencing political and administrative decisions. A long-standing practice in England but rare in New France, collective petitioning allowed for the participation of a broad swathe of the colony's population in the colonial public sphere: old and new subjects, men and women, elites and ordinary people.
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Duquet, Pascal. "La controverse historique entourant la survie du titre aborigène sur le territoire compris dans les limites de ce qu'était la province de Québec en 1763." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ38075.pdf.

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