Academic literature on the topic 'Bruit parasite'

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Journal articles on the topic "Bruit parasite"

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Kyeremeh, Ransford, Samuel Antwi-Baffour, Max Annani-Akollor, Jonathan Kofi Adjei, Otchere Addai-Mensah, and Margaret Frempong. "Comediation of Erythrocyte Haemolysis by Erythrocyte-Derived Microparticles and Complement during Malaria Infection." Advances in Hematology 2020 (August 24, 2020): 1–5. http://dx.doi.org/10.1155/2020/1640480.

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Abstract:
Background. Due to the sustained morbidity and mortality that malaria-associated anaemia imposes on patients, malaria is still a global threat, most especially, to residents in sub-Saharan Africa. Merozoite invasion and destruction of erythrocytes, a target for this study, have been necessary due to its unique nature and also since the erythrocytes suffer the most brunt of malarial infection leading to anaemia. The issue of malaria anaemia has to do with why uninfected RBCs get destroyed and even more so than infected ones. Studies have proposed that cytophilic anti-RSP2 (ring surface protein 2—merozoite rhoptry protein 2) antibodies present in sera enhance phagocytosis of RSP2-tagged RBCs by macrophages either directly or via complement, while others have proposed transfer of RSP2 to both infected and uninfected RBCs which may render them susceptible to phagocytosis. What is missing is the agent involved in the transfer of these parasite-induced surface proteins onto the uninfected RBCs, i.e., the mediator molecules. Considering the intracellular location of the parasite in the parasitophorous vacuolar membrane and the absence of a transport mechanism such as the Golgi apparatus within the mature RBC, since the latter has no nucleus, we propose that erythrocyte-derived microparticles (EMPs) may be the possible mediators. Aim. This study aimed at examining the immunological interactions between EMPs released during malarial infections and host erythrocytes that may lead to their lysis possibly through complement mediation. Methods. This was an experimental study during which malarial EMPs were isolated by differential centrifugation of malaria-positive plasma. This was followed by cell-based in vitro assays where malaria-positive EMPs were added to uninfected blood group “O” negative erythrocytes in the presence of complement and haemolysis checked for. Results and Conclusion. At a fixed volume of 50 μL complement, there were statistically significant (p<0.01) increases in mean percentage haemolysis as the volume of EMPs increased. Similarly, at a fixed volume of 50 μL EMPs, there were statistically significant (p<0.01) increases in mean percentage haemolysis with increasing volumes of complement. This was an indication that both complement and EMPs contribute significantly to uninfected erythrocyte haemolysis during malaria infection.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Michielse, Maarten. "Musical Chameleons: Fluency and Flexibility in Online Remix Contests." M/C Journal 16, no. 4 (August 11, 2013). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.676.

Full text
Abstract:
While digital remix practices in music have been researched extensively in the last few years (see recently Jansen; Navas; Pinch and Athanasiades; Väkevä), the specific challenges and skills that are central to remixing are still not well understood (Borschke 90). As writers like Demers, Lessig, and Théberge argue, the fact that remixers rework already existing songs rather than building a track from scratch, often means they are perceived as musical thieves or parasites rather than creative artists. Moreover, as writers like Borschke and Rodgers argue, because remixers make use of digital audio workstations to produce and rework their sounds, their practices tend to be seen as highly automated, offering relatively little by way of musical and creative challenges, especially compared to more traditional (electro)acoustic forms of music-making. An underestimation of skill is problematic, however, because, as my own empirical research shows, creative skills and challenges are important to the way digital remixers themselves experience and value their practice. Drawing from virtual ethnographic research within the online remix communities of Indaba Music, this article argues that, not despite but because remixers start from already existing songs and because they rework these songs with the help of digital audio workstations, a particular set of creative abilities becomes foregrounded, namely: ‘fluency’ and ‘flexibility’ (Gouzouasis; Guilford, “Creativity Research”, Intelligence, “Measurement”). Fluency, the way the concept is used here, refers to the ability to respond to, and produce ideas for, a wide variety of musical source materials, quickly and easily. Flexibility refers to the ability to understand, and adapt these approaches to, the ‘musical affordances’ (Gibson; Windsor and De Bézenac) of the original song, that is: the different musical possibilities and constraints the source material provides. For remixers, fluency and flexibility are not only needed in order to be able to participate in these remix contests, they are also central to the way they value and evaluate each other’s work.Researching Online Remix ContestsAs part of a larger research project on online music practices, between 2011 and 2012, I spent eighteen months conducting virtual ethnographic research (Hine) within several remix competitions hosted on online music community Indaba Music. Indaba is not the only online community where creative works can be exchanged and discussed. For this research, however, I have chosen to focus on Indaba because, other than in a remix community like ccMixter for example, competitions are very much central to the Indaba community, thus making it a good place to investigate negotiations of skills and techniques. Also, unlike a community like ACIDplanet which is tied explicitly to Sony’s audio software program ACID Pro, Indaba is not connected to any particular audio workstation, thus providing an insight into a relatively broad variety of remix practices. During my research on Indaba, I monitored discussions between participants, listened to work that had been uploaded, and talked to remixers via personal messaging. In addition to my daily monitoring, I also talked to 21 remixers more extensively through Skype interviews. These interviews were semi-structured, and lasted between 50 minutes and 3.5 hours, sometimes spread over multiple sessions. During these interviews, remixers not only talked about their practices, they also shared work in progress with me by showing their remixes on screen or by directing a webcam to their instruments while they played, recorded, or mixed their material. All the remixers who participated in these interviews granted me permission to quote them and to use the original nicknames or personal names they use on Indaba in this publication. Besides the online observations and interviews, I also participated in three remix competitions myself, in order to gain a better understanding of what it means to be part of a remix community and to see what kind of challenges and abilities are involved. In the online remix contests of Indaba, professional artists invite remixers to rework a song and share and discuss these works within the community. For the purpose of these contests, artists provide separate audio files (so-called ‘stems’) for different musical elements such as voice, drums, bass, or guitar. Remixers can produce their tracks by rearranging these stems, or they can add new audio material, such as beats, chords, and rhythms, as long as this material is not copyrighted. Remixers generally comply with this rule. During the course of a contest, remixers upload their work to the website and discuss and share the results with other remixers. A typical remix contest draws between 200 or 300 participants. These participants are mostly amateur musicians or semi-professionals in the sense that they do not make a living with their creative practices, but rather participate in these contests as a hobby. A remix contest normally lasts for four or five weeks. After that time, the hosting artist chooses a winner and the remixers move on to another contest, hosted by a different artist and featuring a new song, sometimes from a completely different musical genre. It is partly because of this move from contest to contest that fluency and flexibility can be understood as central abilities within these remix practices. Fluency and flexibility are concepts adopted from the work of Joy Paul Guilford (“Creativity Research”, Intelligence, “Measurement”) who developed them in his creativity research from the 1950s onwards. For Guilford, fluency and flexibility are part of divergent-production abilities, those abilities we need in order to be able to deal with open questions or tasks, in which multiple solutions or answers are possible, in a quick and effective way. Within creativity research, divergent-production abilities have mainly been measured and evaluated quantitatively. In music related studies, for example, researchers have scored and assessed so-called fluency and flexibility factors in the music practices of children and adults and compared them to other creative abilities (Webster). For the purpose of this article, however, I do not wish to approach fluency and flexibility quantitatively. Rather, I would like to show that in online remix practices, fluency and flexibility, as creative abilities, become very much foregrounded. Gouzouasis already alludes to this possibility, pointing out that, in digital music practices, fluency might be more important than the ability to read and write traditional music notation. Gouzouasis’ argument, however, does not refer to a specific empirical case. Also, it does not reflect on how digital musicians themselves consider these abilities central to their own practices. Looking at online remix competitions, however, this last aspect becomes clear.FluencyFor Guilford, ‘fluency’ can be understood as the ability to produce a response, or multiple responses, to an open question or task quickly and easily (“Creativity Research”, Intelligence, “Measurement”). It is about making associations, finding different uses or purposes for certain source materials, and combining separate elements into organised phrases and patterns. Based on this definition, it is not difficult to see a link with remix competitions, in which remixers are asked to come up with a musical response to a given song within a limited time frame. Online remix contests are essentially a form of working on demand. It is the artist who invites the audience to remix a song. It is also the artist who decides which song can be remixed and which audio files can be used for that mix. Remixers who participate in these contests are usually not fans of these artists. Often they do not even know the song before they enter a competition. Instead, they travel from contest to contest, taking on many different remix opportunities. For every competition, then, remixers have to first familiarise themselves with the source material, and then try to come up with a creative response that is not only different from the original, but also different from all the other remixes that have already been uploaded. Remixers do not consider this a problem, but embrace it as a challenge. As Moritz Breit, one of the remixers, explained to me: “I like remixing [on Indaba] because it’s a challenge. You get something and have to make something different out of it, and later people will tell you how you did.” Or as hüpersonique put it: “It’s really a challenge. You hear a song and you say: ‘OK, it’s not my taste. But it’s good quality and if I could do something in my genre that would be very interesting’.” If these remixers consider the competitions to be a challenge, it is mainly because these contests provide an exercise of call and response. On Indaba, remixers apply different tempos, timbres, and sounds to a song, they upload and discuss work in progress, and they evaluate and compare the results by commenting on each other’s work. While remixers officially only need to develop one response, in practice they tend to create multiple ideas which they either combine in a single eclectic mix or otherwise include in different tracks which they upload separately. Remixers even have their own techniques in order to stimulate a variety of responses. Some remixers, for example, told me how they expose themselves to a large number of different songs and artists before they start remixing, in order to pick up different ideas and sounds. Others told me how they prefer not to listen to the original song, as it might diminish their ability to move away from it. Instead, they download only one or two of the original stems (usually the vocals) and start improvising around those sounds, without ever having heard the original song as a whole. As Ola Melander, one of the remixers, explained: “I never listen to it. I just load [the vocals] and the drum tracks. [....] I have to do it [in] my own style. [….] I don’t want that the original influences it, I want to make the chords myself, and figure out what it will sound like.” Or as Stretched Mind explained to me: “I listen to the vocal stem, only that, so no synths, no guitars, just pure vocal stems, nothing else. And I figure out what could fit with that.” On Indaba, being able to respond to, and associate around, the original track is considered to be more important than what Guilford calls ‘elaboration’ (“Measurement” 159). For Guilford, elaboration is the ability to turn a rough outline into a detailed and finished whole. It is basically a form of fine tuning. In the case of remixing, this fine tuning is called ‘mastering’ and it is all about getting exactly the right timbre, dynamics, volume, and balance in a track in order to create a ‘perfect’ sounding mix. On Indaba, only a select group of remixers is actually interested in such a professional form of elaboration. As Moritz Breit told me: “It’s not that you have like a huge bunch of perfectly mastered submissions. So nobody is really expecting that from you.” Indeed, in the comment section remixers tend to say less about audio fidelity than about how they like a certain approach. Even when a critical remark is made about the audio quality of a mix, these criticisms are often preceded or followed by encouraging comments which praise the idea behind the track or applaud the way a remixer has brought the song into a new direction. In short, the comments are often directed more towards fluency than towards elaboration, showing that for many of these remixers the idea of a response, any response, is more important than creating a professional or sellable track.Being able to produce a musical response is also more important on Indaba than having specific musical instrument skills. Most remixers work with digital audio workstations, such as Cubase, Logic Pro, and Pro Tools. These software programs make it possible to manipulate and produce sounds in ways that may include musical instruments, but do not necessarily involve them. As Hugill writes, with these programs “a sound source could be a recording, a live sound, an acoustic instrument, a synthesizer, the human body, etc. In fact, any sounding object can be a sound source” (128). As such, remix competitions tend to draw a large variety of different participants, with a wide range of musical backgrounds and instrument skills. Some remixers on Indaba create their remixes by making use of sample libraries and loops. Others, who have the ability, also add sounds with instruments such as drums, guitars, or violins, which they record with microphones or, in the case of electronic or digital instruments, plug directly into their personal computers. Remixers who are confident about their instrument skills improvise around the original tracks in real-time, while less confident players record short segments, which they then alter and correct afterwards with their audio programs. Within the logic of these digital audio workstation practices, these differences are not significant, as all audio input merely functions as a starting point, needing to be adjusted, layered, combined, and recombined afterwards in order to create the final mix. For the contestants themselves these differences are also not so significant, as contestants are still, in their own ways, involved in the challenge of responding to and associating around the original stems, regardless of the specific techniques or instruments used. The fact that remixers are open to different methods and techniques does not mean, however, that every submission is considered to be as valid as any other. Remixers do have strong opinions about what is a good remix and what is not. Looking at the comments contestants give on each other’s work, and the way they talk about their practices during interviews, it becomes clear that remixers find it important that a remix somehow fits the original source material. As hüpersonique explained: “A lot of [remixes] don’t really match the vocals (…) and then it sounds not that good.” From this perspective, remixers not only need to be fluent, they also need to be flexible towards their source material. FlexibilityFor Guilford, flexibility is the readiness to change direction or method (Intelligence, “Measurement”). It is, as Arnold writes, “facilitated by having a great many tricks in your bag, knowing lots of techniques, [and] having broad experience” (129). In music, flexibility can be understood as the ability to switch easily between different sounds, rhythms, and approaches, in order to achieve a desired musical effect. Guilford distinguishes between two forms of flexibility: ‘spontaneous flexibility’, when a subject chooses himself to switch between different approaches, and ‘adaptive flexibility’ when a switch in approach is necessary or preferred to fit a certain task (“Measurement” 158). While both forms of flexibility can be found on Indaba, adaptive flexibility is seen as a particularly important criterion of being a skilled remixer, as it shows that a remixer is able to understand, and react to, the musical affordances of the original track. The idea that music has affordances is not new. As Windsor and De Bézenac argue, building on Gibson’s original theory of affordances, even in the most free expressive jazz improvisations, there are certain cues that make us understand if a solo is “going with” or “going against” the shared context, and it is these cues that guide a musician through an improvisation (111). The same is true for remix practices. As Regelski argues, any form of music rearranging or appropriation “requires considerable understanding of music’s properties – and the different affordances of those properties” (38). Even when remixers only use one of the original stems, such as the vocals, they need to take into account, for example, the tempo of the song, the intensity of the voice, the chord patterns on which the vocals are based, and the mood or feeling the singer is trying to convey. A skilled remixer, then, builds his or her ideas on top of that so that they strengthen and not diminish these properties. On Indaba, ironic or humoristic remixers too are expected to consider at least some of the basic features of the original track, such as its key or its particular form of musical phrasing. Remixes in which these features are purposely ignored are often not appreciated by the community. As Tim Toz, one of the remixers, explained: “There’s only so much you can do, I think, in the context of a melody plus the way the song was originally sung. […] I hear guys trying to bend certain vocal cadences into other kinds of grooves, and it somehow doesn’t work […], it [begins] to sound unnatural.” On Indaba, remixers complement each other when they find the right approach to the original track. They also critique each other when an approach does not fit the original song, when it does not go along with the ‘feel’ of the track, or when it seem to be out of key or sync with the vocals. By discussing each other’s tracks, remixers not only collectively explore the limits and possibilities of a song, they also implicitly discuss their abilities to hear those possibilities and be able to act on them appropriately. What remixers need in order to be able to do this is what Hugill calls, ‘aural awareness’ (15): the ability to understand how sound works, both in a broad and in-depth way. While aural awareness is important for any musician, remixers are especially reliant on it, as their work is centred around the manipulation and extension of already existing sounds (Hugill). In order to be able to move from contest to contest, remixers need to have a broad understanding of how different musical styles work and the kind of possibilities they afford. At the same time they also need to know, at a more granular level, how sounds interact and how small alterations of chords, timbres, or rhythms can change the overall feel of a track. ConclusionRemix competitions draw participants with a wide variety of musical backgrounds who make use of a broad range of instruments and techniques. The reason such a diverse group is able to participate and compete together is not because these practices do not require musical skill, but rather because remix competitions draw on particular kinds of abilities which are not directly linked to specific methods or techniques. While it might not be necessary to produce a flawless track or to be able to play musical material in real-time, remixers do need to be able to respond to a wide variety of source materials, in a quick and effective way. Also, while it might not be necessary for remixers to be able to produce a song from scratch, they do need to be able to understand, and adapt to, the musical affordances different songs provide. In order to be able to move from contest to contest, as true musical chameleons, remixers need a broad and in-depth understanding of how sound works in different musical contexts and how particular musical responses can be achieved. As soon as remixers upload a track, it is mainly these abilities that will be judged, discussed, and evaluated by the community. In this way fluency and flexibility are not only central abilities in order to be able to participate in these remix competitions, they are also important yardsticks by which remixers measure and evaluate both their own work and the achievements of their peers.AcknowledgementsThe author would like to thank Renée van de Vall, Karin Wenz, and Dennis Kersten for their comments on early drafts of this article. Parts of this research have, in an earlier stage, been presented during the IASPM International Conference for the Study of Popular Music in Gijon, Spain 2013. 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Dissertations / Theses on the topic "Bruit parasite"

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Calvet, Sébastien. "Contribution à la réduction de l'émission parasite des micro-contrôleurs en CMOS sub-micronique." Toulouse, INSA, 2003. http://eprint.insa-toulouse.fr/archive/00000266/.

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Abstract:
La prise en compte des contraintes de la compatibilité électromagnétique (CEM) au niveau des équipements électroniques se répercute aujourd'hui sur les circuits intégrés : l'objectif de cette étude est de contribuer à la réduction des émissions parasites des microcontrôleurs dès leur conception à MOTORALA. Nous décrivons les origines des émissions parasites dans les circuits CMOS et les méthodes de mesures associées (IEC61967). Nous présentons un modèle ICEM d'émission parasite en cours de normalisation (IEC 62014-3) auquel nous avons contribué et décrivons la méthodologie mise en place à MOTOROLA pour en extraire les paramêtres. Nous validons cette approche par des comparaisons entre mesures d'émission et simulations issues du modèle. Nous décrivons enfin un composant REGINA que nous avons conçu pour tester et valider les règles de conception faible émission. Nous proposons des modifications du flux de conception du composant pour améliorer son comportement et ses outils de simulation
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Mourad, Hussein. "Mise en œuvre d’une méthodologie pour l’étude de rayonnement parasite basse fréquence de panneaux solaires sur des capteurs situés en zone proche." Limoges, 2007. https://aurore.unilim.fr/theses/nxfile/default/60bd8d91-54c9-4c60-a501-e14879bb1cd2/blobholder:0/2007LIMO4011.pdf.

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Abstract:
DEMETER (Detection of Electro-Magnetic Emissions Transmitted from Earthquakes Regions) est le premier microsatellite développé par le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales). Son objectif est d’étudier les perturbations de l’ionosphère associées à l’activité sismique ou volcanique. Le satellite possède des sondes très sensibles qui ont pour rôle de mesurer les fluctuations du champ magnétique terrestre. Pour un fonctionnement normal du satellite, il est important que le bruit électromagnétique généré par la structure elle-même et en particulier par les panneaux solaires soit suffisamment faible pour ne pas perturber les mesures des sondes. Les travaux présentés dans cette thèse s’inscrivent dans la contribution à l’étude du rayonnement parasite basse fréquence de panneaux solaires en champ proche. L’analyse topologique de la distribution des courants de mode commun et de mode différentiel à travers les différents chemins de câblage des cellules solaires permet la construction d’un réseau de dipôles électriques équivalents du système et le calcul du champ électromagnétique rayonné en un point donné de son environnement par sommation vectorielle de toutes les contributions dipolaires
DEMETER (Detection of Electro-Magnetic Emissions Transmitted from Earthquakes Regions) is the first microsatellite developed by the CNES (Centre National d’Etudes Spatiales). Its objective is to study the disturbances of the ionosphere associated with the seismic or volcanic activities. The satellite has very sensitive probes which have to measure the fluctuations of the terrestrial magnetic field. For a normal operation of the satellite, it is important that the electromagnetic noise generated by the structure itself and in particular by the solar panels is sufficiently weak not to disturb measurements of the probes. The work presented in this thesis falls under the contribution to the study of low frequency parasitic radiations of solar panels in the near field. The topological analysis of the distribution of the currents of common mode and differential mode through the various ways of wiring of the solar cells allows the construction of a network of equivalent electric dipoles of the system and the calculation of the electromagnetic field radiated in a given point of its environment by vectorial summation of all dipolar contributions
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Putot, Sylvie. "Calcul des capacités parasites dans les interconnexions des circuits intégrés par une méthode de domaines fictifs." Phd thesis, Université Joseph Fourier (Grenoble ; 1971-2015), 2001. http://www.theses.fr/2001GRE10015.

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Abstract:
Cette these presente une methode performante pour le calcul des capacites parasites dues aux interconnexions des circuits integres. Il s'agit de calculer la charge des conducteurs, comme la derivee normale a la surface de ces conducteurs, du potentiel solution de l'equation de laplace sur des couches horizontales, la valeur du potentiel etant fixee constante sur chaque conducteur. La difficulte de la resolution numerique provient de la complexite des structures : sur une portion de circuit d'une surface d'un centimetre carre et d'une hauteur de quelques microns, il peut y avoir plus d'un kilometre d'interconnexions, c'est-a-dire de fils conducteurs enchevetres. Une methode de domaines fictifs avec multiplicateurs de lagrange surfaciques est utilisee. Elle donne une formulation mixte du probleme, couplant le potentiel sur un domaine parallelepipedique contenant le circuit, et la charge a la surface des conducteurs. Nous en proposons une approximation, qui tient compte du saut du gradient du potentiel a travers la surface des conducteurs dans la discretisation du potentiel, tout en menant a un systeme que l'on peut resoudre par une methode rapide. Cette approximation garantit une bonne convergence du calcul de la charge vers la valeur reelle, sans condition de compatibilite contraignante entre les maillages de volume et de surface. Une implementation efficace en dimension 3, avec laquelle nous avons effectue des tests numeriques sur des structures reelles, permet de montrer l'interet de la methode, en temps de calcul et en place memoire.
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Desvard, Ludovic. "Modélisation des bruits parasites à l'intérieur d'un habitacle automobile." Lyon, INSA, 2009. http://theses.insa-lyon.fr/publication/2009ISAL0044/these.pdf.

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Abstract:
L’objectif de cette thèse est d’améliorer la connaissance des bruits parasites à l’intérieur d’un habitacle automobile. L’émergence de ces bruits est une problématique récente résultant des progrès réalisés pour diminuer le niveau sonore dans l’habitacle. Ces bruits apparaissent aléatoirement et sont générés par des contacts non-voulus entre deux structures. Les deux principales familles de bruits parasites sont étudiées dans ce document : les bruits de grésillement induits par des impacts aléatoires et les bruits de grincement générés par des frottements. Pour l’étude du grésillement, un modèle complet reproduisant des bruits réalistes est développé sur des structures simples. Ce modèle permet de calculer la pression acoustique dans le domaine temporel à partir du déplacement relatif entre les deux structures. Simultanément, un banc expérimental adéquat est mis en place pour évaluer la modélisation et créer une base sonore expérimentale. Après une validation partielle du modèle par rapport aux grandeurs physiques, une étude perceptive est menée afin de déterminer une loi quantifiant la gêne induite par les bruits de grésillement. Cette loi autorise le calcul d’un indice de gêne à partir du signal acoustique. Le modèle est ainsi validé. Les bruits de grincement ont fait l’objet d’une étude expérimentale et perspective. Un moyen d’essai dédié est mis en place afin de générer des bruits de grincement réalistes. Le nature complexe et aléatoire de ce phénomène est mise en évidence expérimentalement. Par suite , une étude perceptive a permis d’élaborer une loi de gêne. Enfin, le modèle de grésillement est utilisé pour corriger le logiciel industriel Nhance. BSR dédié à la prédiction des bruits parasites sur des structures automobiles complexes. Après l’identification des paramètres clefs du bruit de grésillement, une méthodologie est proposée pour traduire les résultats du logiciel en termes de gêne perçue
The aim of this thesis is to improve the knowledge in the automotive annoying noises. The emergence of theses noises is a recent problem due to the decrease of the global sound level in a cockpit. These annoying noises appear randomly and are due to unwanted contacts. This document deals with the two main families of automotive annoying noises which are : rattle noises coming from random normal contacts and squeak noises coming from random friction contacts. For the rattle study, a complete model on simple structures is developed. This model allows to generate realistic automotive rattle noises. The acoustic pressure in time domain is computed from the relative displacement between the two structures. In the same time, a dedicated test bench is set up to evaluate the modelling and to create experimental rattle noises. The modelling is partially validated with respect to physical parameters. A perceptive study is performed to define a law to quantify the annoyance induced by rattle noises. This law is used to compute an annoyance indicator directly from the acoustic pressure signal. Thus, the model is validated. Squeak noises are experimentally investigated. A test bench is developed to generate realistic squeak noises. The complex and random characteristics of these noises is shown thanks to this test bench. A perceptive study is also performed on theses noises in order to establish a law to compute the annoyance induced by squeak noises. Finally, the modelling is used to correct an industrial software dedicated to the prediction of squeak and rattle issues on full realistic automotive units. After the identification of the key parameters of rattle noises, a methodology is proposed to translate the software's results into perceived annoyance
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Belhadj, Abdenabi. "Etude des effets parasites et des mécanismes de dégradation du transistor à effet de champ à haute mobilité électronique." Limoges, 1990. http://www.theses.fr/1990LIMO0092.

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Abstract:
Les avantages en termes de performances microondes du transistor a effet de champ a haute mobilite electronique sont prealablement etudies. Puis une investigation des principaux effets parasites penalisant l'integration monolithique est menee et le role du residuel accepteur de la couche tampon de gaas est identifie. Une solution technologique attenuant les effets a basse temperature du piege dx est egalement validee. Enfin une etude de fiabilite montre que les durees de vie obtenues se situent au niveau de l'etat-de-l'art actuel du mesfet gaas
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Maëstre, Stéphan. "Étude de courants parasites dans les imageurs CMOS à pixels actifs et de leurs effets induits." Toulouse, ENSAE, 2003. http://www.theses.fr/2003ESAE0019.

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Abstract:
Ce travail effectué au sein du laboratoire CIMI (Conception d'lmageurs Matriciels Intégrés) de SUPAERO porte sur l’étude de différents courants parasites dans les capteurs d'images CMOS à pixels actifs (APS). La première partie s’axe sur l’étude du courant thermique et son origine. Le comportement de différents types de pixels vis-à-vis de ce courant ainsi que l'influence de la température y sont présentés. La deuxième partie s’axe plus particulièrement sur un phénomène jusqu’à maintenant peu étudié dans les capteurs d’images CMOS : l'impact des porteurs chauds. L’intérêt pour ce phénomène est né de l'observation de phénomènes parasites concernant le temps de rétention de la capacité de jonction intra pixel. Nous avons en effet constaté que la décroissance de la tension aux bornes de la photodiode se comportait de façon anormale lorsque le pixel était sélectionné. Il est montré que toutes les technologies étudiées (CMOS 0,7um, CMOS 0,5 um, CMOS 0,35um, CMOS O,25um) présentent le même phénomène parasite. Notre intérêt s’est donc porté sur ce phénomène parasite et nous montrons qu’une production de porteurs chauds par l'électronique du pixel est à son origine. Il est mis en évidence que le circuit de lecture à l'intérieur même du pixel génère des porteurs minoritaires supplémentaires lorsque celui-ci est sélectionné (la collection de ces charges parasites par les zones photosensibles dégradant la réponse des pixels). Parmi les paramètres influents sur la production de ces charges on peut noter le temps de sélection des pixels, les tensions de polarisation ou encore les courants de polarisation. Des simulations physiques grâce à l'outil ISE-TCAD mettent en évidence que le transistor à l'origine de ces phénomènes est le transistor suiveur intra-pixel. De plus, la présence d'émission de lumière (électroluminescence) exposée dans la dernière partie de cette thèse le confirme. L’impact de porteurs minoritaires supplémentaires générés par ionisation par impact secondaire ou par électroluminescence (intervenant principalement à fort niveau de signal) est ainsi montré sur la réponse des pixels. De plus, les précautions à prendre pour minimiser cet impact sont exposées.
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Aupetit-Berthelemot, Christelle. "Etude des effets parasites du transistor à haute mobilité électronique (HEMT) sur InP pour applications micro-optoélectroniques." Limoges, 1998. http://www.theses.fr/1998LIMO0042.

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Augier, Pascal. "Mise en évidence de la présence de structures parasites dans les transistors MOS : Conséquences sur l'utilisation du bruit en 1/f pour caractériser les défauts induits par irradiation." Montpellier 2, 1993. http://www.theses.fr/1993MON20050.

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Abstract:
L'irradiation de structures elementaires cmos a permis de mettre en evidence la presence de transistors parasites, certains etant specifiques a la technologie, d'autres etant lies au layout. Leur influence, en plus de limiter la tenue en dose de ces dispositifs, rend difficile l'utilisation du bruit en 1/f pour caracteriser les defauts induits par irradiation. Des composants depourvus de ces structures parasites (sans bords) sont choisis. Une correlation de l'evolution de l'amplitude du bruit en 1/f avec l'apparition de charges piegees dans l'oxyde et la creation d'etats d'interface est proposee pour des transistors mos de puissance a canal n et y a canal p
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Moreau, Maxime. "Modélisation haute fréquence des convertisseurs d'énergie : application à l'étude des émissions conduites vers le réseau." Phd thesis, Ecole Centrale de Lille, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00579671.

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Abstract:
Ces travaux de recherche portent sur la problématique CEM (Compatibilité Electromagnétique) en électronique de puissance. Cette étude s'intéresse particulièrement à la modélisation HF (haute fréquence) des convertisseurs d'énergie dans le but d'étudier la propagation des perturbations conduites vers le réseau avec ou sans l'utilisation du RSIL (Réseau Stabilisateur d'Impédance de Ligne). Une première partie présente les outils de modélisation des sources de perturbation dans les convertisseurs statiques.La seconde partie est consacrée à la modélisation HF d'un système d'entraînement à vitesse variable. L'onduleur de tension triphasé est représenté par trois générateurs équivalents afin de reconstituer le découpage des tensions de sortie. Un modèle HF du câble blindé de 4 conducteurs tenant compte de la dissymétrie est ensuite proposé. Les résultats de simulation ont été validés par des relevés expérimentaux. La comparaison montre qu'il est possible de modéliser correctement le comportement HF du dispositif jusqu'à 20MHz.Une troisième partie porte sur la propagation des perturbations conduites vers le réseau sans RSIL. Il a fallu pour cela déterminer et modéliser l'impédance du réseau. L'influence du pont redresseur à diodes sur la propagation des perturbations de mode commun a ensuite été étudiée. Les résultats de simulation montrent que l'impact de ces perturbations sur la tension réseau est prépondérant lorsque le pont redresseur est à l'état bloqué. Les résultats expérimentaux ont permis de valider cette étude. Ce travail se termine par une étude préliminaire sur l'association de deux convertisseurs connectés localement à une même source d'énergie
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Volkoff, Anne-Nathalie. "Recherches de base pour l'élaboration d'un milieu artificiel brut assurant le développement de Trissolcus basalis (Woll. ) (Hymenoptera, Scelionidae), parasitoi͏̈de oophage de Nezara viridula L. (Hemiptera, Pentatomidae)." Toulouse, INPT, 1990. http://www.theses.fr/1990INPT020A.

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Abstract:
La recherche d'un milieu artificiel brut pour le parasitoide oophage trissolcus basalis (woll. ) nous a conduit a etudier certains points de sa biologie in vivo. Il s'est avere qu'au cours du developpement embryonnaire, des granules puis des teratocytes sont liberes dans l'hote. Leur role sur le developpement larvaire, qui comprend trois stades, est encore a rechercher. En revanche, le suivi du comportement de ponte a permis de mettre en evidence l'injection par la femelle, avant le depot de l'uf, d'une substance qui agit indirectement sur le developpement preimaginal en modifiant l'organisation et la qualite trophique du vitellus hote. Les tests in vitro ont montre que la presence d'hemolymphe et/ou de vitellus hote est necessaire pour le developpement du parasitoide. Les meilleurs resultats (rendement et duree) ont ete obtenus avec un milieu contenant de l'hemolymphe de manduca sexta et un melange d'acides amines libres, ce qui indique un desequilibre en aminoacides de l'hemolymphe de lepidoptere utilisee. Les seules nymphes obtenues dans un milieu artificiel l'ont ete a partir de l2 agees dissequees de l'hote naturel; des adultes ont pu se former, mais seulement lorsque les l3 etaient a l'air libre. Ces resultats semblent indiquer qu'un facteur nutritionnel propre a l'hote ainsi que les echanges gazeux ont un role sur les processus de nymphose et de formation des adultes
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Books on the topic "Bruit parasite"

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Vasilescu. Bruits et signaux parasites. Dunod, 1999.

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Book chapters on the topic "Bruit parasite"

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Jayakumar, Angelina, and Zahir Osman Eltahir Babiker. "Malaria." In Tutorial Topics in Infection for the Combined Infection Training Programme. Oxford University Press, 2019. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780198801740.003.0072.

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Abstract:
Malaria is a tropical parasitic infection of the red blood cells caused by the protozoal species Plasmodium falciparum, P. vivax, P. ovale, P. malariae, and P. knowlesi. It is transmitted through the bite of the female Anopheles mosquito. The average incubation period is twelve to fourteen days. Congenital and blood-borne transmissions can also occur. P. falciparum and P. vivax account for most human infections but almost all deaths are caused by P. falciparum, with children under five years of age bearing the brunt of morbidity and mortality in endemic countries. P. falciparum is dominant in sub-Saharan Africa whereas P. vivax predominates in Southeast Asia and the Western Pacific. P. ovalae and P. malaria are less common and are mainly found in sub-Saharan Africa. P. knowlesi primarily causes malaria in macaques and is geographically restricted to southeast Asia. While taking a blood meal, the female anopheline mosquito injects motile sporozoites into the bloodstream. Within half an hour, the sporozoites invade the hepatocytes and start dividing to form tissue schizonts. In P. vivax and P. ovale, some of the sporozoites that reach the liver develop into hypnozoites and stay dormant within the hepatocytes for months to years after the original infection. The schizonts eventually rupture releasing daughter merozoites into the bloodstream. The merozoites develop within the red blood cells into ring forms, trophozoites, and eventually mature schizont. This part of the life cycle takes twenty-four hours for P. knowlesi; forty-eight hours for P. falciparum, P. vivax, P. ovale; and seventy-two hours for P. malariae. In P. vivax and P. ovale, some of the sporozoites that reach the liver develop into hypnozoites and stay dormant within the hepatocytes for months to years after the original infection. The hallmark of malaria pathogenesis is parasite sequestration in major organs leading to cytoadherence, endothelial injury, coagulopathy, vascular leakage, pro-inflammatory cytokine production, and tissue inflammation. Malaria is the most frequently imported tropical disease in the UK with an annual case load of around 2000. P. falciparum is the predominant imported species, and failure to take chemoprophylaxis is the commonest risk factor.
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Timponi, André. "Au « pays des parasites ». Bruits, distorsions et imaginaire technique aux débuts de la radiophonie." In Soundspaces, 79–88. Presses universitaires de Rennes, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.59590.

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