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Journal articles on the topic 'Brebis laitières'

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BOCQUIER, F., P. GUILLOUET, and F. BARILLET. "Alimentation hivernale des brebis laitières : intérêt de la mise en lots." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 19–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4101.

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Abstract:
Les techniques simplifiées d’alimentation collective mettent rarement en péril la santé des brebis ou leur productivité apparente, car de nombreuses régulations physiologiques leurs permettent de s’adapter aux excès ou aux déficits alimentaires. Mais elles conduisent à un gaspillage d’aliments concentrés ou à une baisse de production selon le niveau initial de performance de chaque brebis. La mise en lots des animaux en fonction de leurs besoins alimentaires est un moyen de mieux ajuster les apports alimentaires aux performances de production attendues. Les principaux facteurs de variation des besoins sont décrits et leur intérêt comme critère pour la constitution de lots homogènes est discuté. Deux essais de mise en lots ont été réalisés. Le premier comparait deux troupeaux de performances moyennes identiques, l’un dans lequel les brebis étaient conduites ensemble (Mélangées, n=96), l’autre dans lequel les brebis étaient réparties en deux lots selon leur production laitière (Séparées-Bas, n=48 et Séparées-Haut, n=48). Au sein de chaque groupe les apports en concentrés ont été ajustés pour satisfaire les besoins de 85 % des brebis, les fourrages étant distribués à volonté. Après 100 jours d’essai les consommations totales de fourrages et de concentrés ont été identiques ainsi que les productions laitières moyennes ( Mélangées : 171 vs Séparées : 175 l/100j). Pour économiser des concentrés, il aurait fallu diminuer plus fortement les apports aux brebis du lot Bas. C’est ce que nous avons fait dans un deuxième essai où les apports de concentrés ont été soit identiques pour toutes les brebis (conduite classique, n=67), soit ajustés selon la production laitière, grâce à un distributeur automatique de concentré. Sur la période expérimentale, les productions laitières moyennes ont été identiques (Classique : 284,6 l/180j vs Ajusté : 282,2 l/180j), avec une distribution plus faible de concentré de 51 kg par brebis lorsque les apports sont ajustés. Les perspectives d’utilisation de telles techniques d’alimentation en lot dépendront des développements de l’identification électronique et de l’automatisation du contrôle de performances.
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BOCQUIER, F., and G. CAJA. "Production et composition du lait de brebis : effets de l’alimentation." INRAE Productions Animales 14, no. 2 (April 16, 2001): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3734.

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Abstract:
Le niveau d’alimentation est un des facteurs d’élevage qui affecte la production et la composition du lait chez la brebis laitière. La production laitière augmente avec le niveau d’alimentation et inversement, alors que les effets sur la composition du lait sont moins nets. Le taux butyreux du lait est généralement corrélé négativement au bilan énergétique des brebis, alors que le taux protéique est corrélé positivement avec celui-ci : un niveau d’alimentation élevé diminue généralement la teneur en matières grasses du lait et augmente légèrement la teneur en protéines. La distribution de grandes quantités de concentrés, qui est un moyen simple d’augmenter l’apport d’énergie dans la ration, risque de provoquer une chute des taux butyreux et protéique et, secondairement, entraîne une réorientation des flux d’énergie vers le dépôt de gras corporel. Lorsque la brebis n’a pas atteint son potentiel de production, l’augmentation de la teneur protéique de la ration augmente la production de protéines du lait, mais sans modification du taux protéique du lait. L’utilisation de certains nutriments tels que les matières grasses ou les acides aminés protégés semble intéressante comme moyen d’accroître les teneurs en matières grasses et/ou protéiques du lait, mais peu d’expériences ont été effectuées sur brebis laitières et l’intérêt de ces nutriments est encore mal connu. Dans les conditions pratiques d’élevage de brebis laitières, généralement alimentées en groupes, les effets de l’alimentation sont souvent masqués par d’autres facteurs d’élevage connus pour modifier eux-mêmes la composition du lait. Il est donc nécessaire de prendre en compte la variabilité individuelle (stade de lactation notamment) pour définir la stratégie d’alimentation qui permette de maîtriser la composition du lait collecté.
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VERMOREL, M. "Emissions annuelles de méthane d’origine digestive par les ovins, les caprins et les équins en France." INRAE Productions Animales 10, no. 2 (April 7, 1997): 153–61. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3991.

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Abstract:
Les résultats des mesures de production journalière de méthane des principaux types d’herbivores à l’aide de chambres respiratoires ont permis de modéliser les émissions de méthane selon l’espèce, le stade physiologique, la composition du régime et le niveau d’alimentation. Après l’évaluation des quantités annuelles de méthane émises par les bovins en France, présentée dans un article précédent, celles émises par les ovins, les caprins et les équins ont été calculées pour chaque type d’animal à partir des apports alimentaires recommandés en tenant compte de la nature des fourrages et de la composition des régimes ingérés à chaque période de l’année. Les émissions annuelles moyennes de méthane d’une brebis allaitante (16,7 m3) et d’une brebis laitière (17,8 m3) sont voisines de celle d’une chèvre (22,9 m3). Elles représentent respectivement 13 % de celles d’une vache allaitante ou d’une vache laitière. Celles d’une agnelle et d’une chevrette d’élevage (8 m3) sont voisines. Celle d’un agneau de boucherie élevé en bergerie avec un régime riche en aliments concentrés est le tiers de celle (2,9 m3) d’un agneau de boucherie élevé à l’herbe. L’émission de méthane par kg de lait produit est en moyenne de 77 litres pour une brebis, 38 litres pour une chèvre et 30 litres pour une vache laitière. Par kg de carcasse produit, l’émission de méthane est en moyenne de 60 litres pour les agneaux des races laitières sevrés précocement et de 1160 litres pour les agneaux élevés sous la mère, contre 300, 580 et 1 040 litres pour les taurillons des races laitières, des races à viande et les boeufs de 40 mois (y compris la production de méthane de la mère dans le cas des races à viande). Par kg d’aliment consommé, la production de méthane des équins est 3 à 4 fois plus faible que celle des ruminants. C’est pourquoi leurs émissions annuelles de méthane sont en moyenne de 23 à 27 m3 pour les chevaux de sport et de loisir, de 42 m3 pour les juments de trait reproductrices et de 14 à 20 m3 pour les poneys et ponettes. Ainsi, les émissions totales annuelles de méthane par les herbivores s’élèvent à un peu plus de 2 milliards de m3, dont 91 % par les bovins, 7 % par les ovins, 1 % par les caprins et 0,6 % par les équins.
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BARILLET, F., and F. BOCQUIER. "Le contexte de production des ovins laitiers en France : principaux objectifs de recherche-développement et conditions de leur mise en oeuvre." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 17–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4183.

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Abstract:
En France, l’élevage des ovins laitiers repose sur des productions typiques, agneaux de lait et fromages de brebis à AOC, permettant le maintien d’une population rurale et le développement industriel dans trois régions de montagne aussi différentes que le sud du Massif Central (Rayon de Roquefort), les Pyrénées Atlantiques et la Corse. Dans les années 70, l’avenir de ces productions passait par une amélioration de la productivité des brebis, des troupeaux et du travail (particulièrement de la traite). Ces objectifs sont largement atteints : la taille moyenne des troupeaux a triplé entre 1970 et 1990, et la production laitière des brebis a doublé, avec l’émergence d’éleveurs spécialisés livrant leur lait, tandis que la tradition des fromages fermiers se perpétue dans certaines zones de production. L’impact de la génétique et de la physiologie animale a été déterminant dans cette évolution remarquable, dans trois domaines complémentaires : mécanisation de la traite, maîtrise de la reproduction, sélection des races locales dans leur bassin respectif. Ainsi en 1990, 75% du lait de brebis produit en France provient d’élevages en contrôle laitier, ce qui constitue un atout déterminant au plan international. Logiquement, de nouveaux objectifs de recherche-développement se font jour pour la décennie 90, dans un contexte où l’on verra se renforcer la relation entre terroirs de production, races locales, systèmes de production et fromages de brebis en AOC. Ces nouveaux objectifs et leurs conditions de mise en oeuvre sont décrits dans cet article. On peut noter en particulier la volonté des partenaires professionnels de renforcer l’interface entre la recherche et le développement avec l’officialisation du Comité National Brebis Laitières en 1991.
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Mbayahaga, J., C. Baudoux, S. N. M. Mandiki, J. L. Bister, R. Branckaert, and R. Paquay. "Parametres de reproduction et de production des petits ruminants locaux au Burundi." Animal Genetic Resources Information 20 (April 1996): 55–69. http://dx.doi.org/10.1017/s1014233900000870.

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Abstract:
RésuméL'étude des performances de reproduction des chèvres et des brebis burundaises réalisée en station pendant plusieurs années montre que ces deux espèces atteignent une productivité intéressante estimée à 25 et 33 kg de poids vif par an respectivement. Mais celle-ci est très réduite en milieu rural et est comprise entre 9 et 27 kg. La grande hétérogénéité des performances individuelles permet d'envisager une action de sélection rapide et efficace qui, selon les résultats enregistrés, devrait porter surtout sur les capacités laitières et la vitesse de croissance dans les deux espèces et sur la prolificité chez la brebis.
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LAMBERT-DERKIMBA, A., F. CASABIANCA, and E. VERRIER. "L’inscription du type génétique dans les règlements techniques des produits animaux sous AOC : conséquences pour les races animales." INRAE Productions Animales 19, no. 5 (December 14, 2006): 357–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.5.3502.

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Abstract:
L’intégration d’un critère racial dans le règlement technique des produits animaux sous AOC est en nette augmentation depuis les années 90. Elle concerne aujourd’hui l’intégralité des fromages AOC au lait de brebis, la majorité des AOC carnées, environ la moitié (en quantité) de la production de fromage AOC au lait de vache et le tiers de celle de fromage de chèvre AOC. Des logiques régionales apparaissent clairement, traduisant ainsi les différentes conceptions de l’AOC portés par les acteurs de ces filières. Dans le cas de la production fromagère, nous avons estimé que l’équivalent de 6,5 % des vaches laitières et d’environ un tiers des brebis laitières sont mobilisées par des AOC. L’analyse détaillée selon les races révèle une grande diversité de situations. Les atouts de ce lien race/AOC sont analysés. Il apparaît que la race peut contribuer à la typicité des produits et permet ainsi d’étayer la notion d’origine, mais qu’elle peut, dans certains cas, n’être qu’un simple alibi marketing. On souligne l’importance de la cohérence entre règlement technique, pratiques d’élevage et aptitudes des animaux. A quelques exceptions près (race dédiée à une AOC), les interactions entre les collectifs de race et de produit demeurent complexes ; les conséquences en matière d’orientation génétique des races en sont discutées.
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Gargouri, A. "Production et composition du lait de brebis : effets de l’apport de lipides protégés." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 3 (March 1, 2005): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9931.

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Abstract:
Une base de données sur les effets de l’apport des lipides protégés (savons de calcium à base d’huile de palme principalement) a été constituée pour qualifier la réponse de la production et de la composition du lait chez les brebis laitières. D’une façon générale, l’incorporation de ce type de supplément n’affecte pas la quantité de lait commercialisable, entraîne une augmentation du taux butyreux (+ 21 p. 100) et une dépression du taux protéique (– 4 p. 100). Ces réponses sont très variables et dépendent de la quantité de supplément lipidique et du stade de lactation des brebis. Les meilleures réponses sont observées avec un niveau d’ingestion de savon calcique proche de 150 g/jour/ brebis administrés en début de lactation. La composition en acides gras du lait est presque toujours modifiée par les lipides protégés, avec notamment une diminution de la proportion des acides gras courts et moyens, et un accroissement des acides gras longs. La vitesse de croissance des agneaux élevés par les brebis supplémentées n’est pas modifiée durant la période d’allaitement.
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ROUEL, J., J. BONY, G. LAIGNEL, G. LIENARD, and M. THERIEZ. "Dans une exploitation laitière, un troupeau ovin complémentaire. Mise au point d’un système de production en ferme expérimentale." INRAE Productions Animales 8, no. 5 (October 24, 1995): 341–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4148.

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Abstract:
L’existence des quotas laitiers dans l’Union Européenne depuis 1984 entraîne une modification des conditions de développement des exploitations laitières. Sans attribution de références supplémentaires, l’augmentation du rendement laitier par vache entraîne une réduction du nombre de vaches qui peut rendre disponible une partie des surfaces fourragères pour d’autres productions. Lorsque les céréales ne sont pas envisageables, les choix d’une production alternative sont réduits et se limitent à l’élevage d’autres herbivores, génisses, mâles engraissés, bovins allaitants, ovins. Dans les zones de montagne où l’élevage ovin est déjà présent, comme dans le Massif Central, les éleveurs laitiers peuvent plus facilement entreprendre cette production. L’article présente les résultats d’une étude en ferme expérimentale sur cinq années (de 1989-90 à 1993-94), dont l’objectif a été la mise au point d’un système de production ovin adapté aux contraintes et exigences d’un élevage laitier intensif, et qui tienne également compte des possibilités de commercialisation des agneaux. L’expérience a été menée dans un domaine INRA situé dans les Monts d’Auvergne à 1 000 mètres d’altitude. Les brebis sont de race rustique (Limousines). La complémentarité économique avec les vaches laitières permet de concevoir un système ovin moins productif qu’en élevage spécialisé, mais il doit être moins exigeant en travail, tout en facilitant l’entretien du territoire : le système finalement adopté repose sur un seul agnelage par brebis et par an ayant lieu en juillet-août, avant le début des premiers vêlages en octobre. Le travail est réparti. Une partie des repousses estivales des prairies peuvent être réservées aux brebis allaitantes. On peut produire à l’herbe des agneaux légers (2 à 2,5 mois) pour les marchés du Sud Européen, avec très peu de concentré (44 kg par brebis et par an en moyenne sur 3 ans). Les résultats techniques et économiques obtenus sont comparés à ceux d’un groupe d’éleveurs spécialisés ovins situés dans les mêmes zones du Massif Central Nord et ayant des brebis de race rustique. Plus que le système mis au point, il faut retenir la démarche et les réflexions générales qui peuvent être dégagées de cette expérimentation.
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Bocquier, F., F. Barillet, P. Guillouet, and M. Jacquin. "Prévision de l'énergie du lait de brebis à partir de différents résultats d'analyses : proposition de lait standard pour les brebis laitières." Annales de Zootechnie 42, no. 1 (1993): 57–66. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19930106.

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LE DU, J., J. F. COMBAUD, P. LAMBION, Y. DANO, G. GUIONNEAU, and P. ROLLAND. "Productivités horaires du trayeur dans deux installations de traite de petites dimensions pour brebis laitières." Annales de Zootechnie 35, no. 2 (1986): 161–72. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19860205.

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FRAYSSE, J., F. BARILLET, G. LAGRIFFOUL, and F. BOCQUIER. "Brebis laitières : impact de la structure du troupeau et autres facteurs d’élevage sur la composition chimique du lait livré." INRAE Productions Animales 9, no. 3 (June 17, 1996): 201–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.3.4048.

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Abstract:
Le but de l’analyse des données laitières à l’échelle du troupeau est d’identifier des facteurs non génétiques de variation de la composition chimique du lait produit et d’estimer leurs effets. L’analyse présentée permet notamment d’apprécier l’impact de la structure du troupeau, induit par les flux d’entrée et de sortie des brebis du troupeau trait. Ces effets globaux de structure du troupeau, qui peuvent se caractériser par la vitesse de constitution du troupeau et la stabilité de l’effectif trait, sont la résultante de facteurs élémentaires comme le mois d’agnelage, l’âge et le stade de lactation. Une simulation d’élevages pyrénéens montre que les écarts de taux butyreux et protéique annuels peuvent atteindre respectivement 3,3 g/l et 1,6 g/l en faveur d’un troupeau théorique où toutes les brebis seraient traites du début à la fin de la période de livraison, comparé à un troupeau de même taille se constituant lentement et dont l’effectif varie constamment. Plus généralement, la méthode d’analyse proposée vise à estimer l’importance respective de divers facteurs d’élevage, outre les effets propres de la structure du troupeau. Ainsi, l’analyse réalisée sur les données de 253 élevages du Rayon de Roquefort montre des effets significatifs de facteurs de structure du troupeau pouvant expliquer des écarts d’environ 1,9 g/l et 1,3 g/l respectivement pour les taux butyreux et protéique annuels, tandis que l’on met en évidence simultanément un effet favorable de la présence d’ensilage dans la ration hivernale, d’environ 2,0 g/l pour le taux butyreux annuel.
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GELÉ, M., S. MINERY, J. M. ASTRUC, P. BRUNSCHWIG, M. FERRAND-CALMELS, G. LAGRIFFOUL, H. LARROQUE, et al. "Phénotypage et génotypage à grande échelle de la composition fine des laits dans les filières bovine, ovine et caprine." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 255–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3072.

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Abstract:
Les acteurs des filières laitières bovine, caprine et ovine françaises se sont regroupés dans le programme PhénoFinlait autour d’un but commun : caractériser la composition du lait en Acides Gras (AG) et protéines afin de la maîtriser. La quantification des AG et des protéines devait être possible à grande échelle et à moindre coût avant d’identifier des leviers permettant d’adapter cette composition à la demande. PhénoFinlait s’est organisé autour de trois objectifs : i) caractériser précisément la composition du lait, ii) phénotyper et génotyper une large population de femelles sur l’ensemble du territoire français et iii)identifier les leviers génétiques et alimentairespermettant de maîtriser cette composition. La spectrométrie dans le Moyen InfraRouge (MIR) a été choisie comme méthode de quantification à haut débit des composants du lait. Elle permet la quantification précise en routine de 15 à 27 AG, des quatre caséines et des deux protéines majeures du lactosérum. Une collecte de données de grande ampleur a été mise en œuvre dans plus de 1 500 élevages bovins, caprins et ovins. Les données de production laitière, les spectres MIR du lait, les informations sur le stade physiologique des femelles et sur la composition de l’alimentation des troupeaux ont été recueillies. Plus de 12 000 vaches, chèvres et brebis ont été génotypées. Finalement, plus de 800 000 données représentatives des situations de l’élevage français ont été stockées dans une base de données destinée à l’étude du déterminisme génétique de la composition en AG et en protéines du lait, et des facteurs d’élevage l’influençant.
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DEDIEU, B., G. SERVIERE, and C. JESTIN. "L’étude du travail en exploitation d’élevage : proposition de méthode et premiers résultats sur les systèmes mixtes vaches laitières et brebis en Margeride." INRAE Productions Animales 5, no. 3 (July 29, 1992): 193–204. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.3.4233.

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Abstract:
Les exploitations associant vaches laitières et brebis viande en Margeride (Massif Central) sont considérées comme très contraignantes en travail. La méthode utilisée pour décrire le travail consiste à identifier, à partir d’entretiens : 1) les différentes catégories de main-d’oeuvre intervenant sur l’exploitation (cellule de base : travailleurs permanents sauf retraités ; bénévoles : retraités, participants ponctuels ; entraide ; salariat temporaire), 2) les temps consacrés à trois grands groupes de travaux (d’astreinte : soins quotidiens aux troupeaux ; de saison : cultures et entretien des parcelles, récoltes, manipulations périodiques des troupeaux ; rendu : contrepartie de l’entraide reçue), 3) le temps restant disponible à la cellule de base pour effectuer d’autres tâches nécessaires au fonctionnement de l’exploitation et disposer de temps libre. Dans les douze exploitations étudiées, les temps de travaux d’astreinte et de saison apparaissent très importants en moyenne, et sont surtout très variables (de 1 à 3). Le temps disponible calculé par personne de la cellule de base varie de 1 à 10. Des éléments d’analyse des écarts observés sont présentés : pratique du gardiennage, objectifs techniques ambitieux mal adaptés aux bâtiments vétustes, moindre recherche d’efficacité du travail dans les cas où la main-d’oeuvre permanente est pléthorique, importance de la contribution du bénévolat.
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Bouy, Michel, Laurène Fito-Boncompte, Elina Harinck, Sanne Lukkes, and Félix Heckendorn. "Échecs de traitements anthelminthiques à base d’éprinomectine sur des petits ruminants : résistance ou voie d’administration inappropriée ?" Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 13, no. 50 (2021): 54–58. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/50054.

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Abstract:
Face à une suspicion de résistance des strongles gastro-intestinaux à l’éprinomectine dans deux troupeaux (chèvres et brebis laitières) de la Drôme, des tests de résistance ont été mis en place. Dix animaux dans l’élevage ovin et 23 animaux dans l’élevage caprin ont reçu une dose d’éprinomectine injectable par voie sous-cutanée après pesées individuelles. Des coproscopies individuelles ont été réalisées avant le traitement et 14 à 17 jours après le traitement. Le test a mis en évidence une résistance réelle à l’éprinomectine dans l’élevage de chèvre (FECRT=23%) tandis que dans l’élevage ovin, le traitement montre une efficacité normale (FECRT=99%). Dans l’élevage caprin, l’éprinomectine a été utilisée depuis 2016 deux fois par an sur l’intégralité du troupeau puis, à partir de 2018 en traitement sélectif. On constate donc l’apparition d’une résistance 5 ans après le début d’utilisation de cette molécule. Dans l’élevage ovin, c’est plutôt la voie d’administration (voie topique) qui semble responsable d’une faible efficacité du traitement initial. En élevage laitier de petits ruminants, l’éprinomectine étant aujourd’hui la seule molécule utilisable avec un temps d’attente lait nul, il est impératif de prévenir l’apparition de résistances et de contrôler le maintien d’activité de cette molécule.
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Nicourt, Christian, and Jacques Cabaret. "Les éleveurs face aux risques épizootiques répétés. le cas exemplaire des éleveurs de brebis laitières du pays basque confrontés a l’agalactie contagieuse." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176, no. 1 (2023): 50–63. http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.18249.

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Abstract:
Le Pays basque est particulièrement frappé par différentes épizooties qui affectent les élevages ovins. La configuration de ces élevages, c’est à dire leur petite taille, leur grande densité dans la région, leurs différentes manières d’élever les animaux se distinguent des normes habituelles d’élevage des brebis en France et semble contribuer à cette expression des maladies. L’alimentation des animaux ne provient pas majoritairement des exploitations, mais de pâtures collectives aux coûts de location modiques, gérées par des collectivités territoriales. Dans ce contexte, les épizooties mettent les éleveurs à l’épreuve, en leur imposant des contraintes drastiques, qui ne leur permettent plus d’utiliser ces pâtures. Qu’en est-il alors de leurs manières de travailler et d’être ensemble sous cette contrainte ? En prenant le cas d’une de ces épizooties particulièrement présente au Pays basque -l’agalactie contagieuse -après avoir examiné les manières singulières de travailler de ces éleveurs, nous analyserons comment ils sont vulnérabilisés par la survenue de l’agalactie contagieuse et enfin comment sa gestion publique est source de tensions.
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Dell'Orto, V., V. Chiofalo, G. Savoini, A. Zumbo, and C. Sgoifo-Rossi. "Effet de l'injection de somatotropine bovine recombinée (rbST) sur les performances de brebis laitières. Influence de la nature de l'aliment concentré." Annales de Zootechnie 45, no. 4 (1996): 377–83. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19960410.

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Chiofalo, V., G. Savoini, V. Dell'Orto, and A. Zumbo. "Effet de l'administration de somatotropine bovine recombinée (rbST) chez les brebis laitières alimentées avec des rations contenant des constituants glucidiques de différentes dégradabilités." CrossRef Listing Of Deleted DOIs 43, Suppl. 1 (1994): 61s—62s. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19940594.

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Chiofalo, V., G. Savoini, V. Dell'Orto, and A. Zumbo. "Effet de l'administration de somatotropine bovine recombinée (rbST) chez les brebis laitières alimentées avec des rations contenant des constituants glucidiques de différentes dégradabilités." Annales de Zootechnie 43, Suppl. 1 (1994): 61s—62s. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19940594.

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MARTIN, B., M. LHERM, and C. BÉRANGER. "Évolutions et perspectives de l’élevage des ruminants dans les montagnes françaises." INRAE Productions Animales 27, no. 1 (April 2, 2014): 5–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3050.

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La marginalisation progressive de l’agriculture de montagne constatée jusque dans les années 1970 a pu être globalement enrayée grâce au dynamisme des acteurs montagnards et aux politiques de soutien mises en place par les pouvoirs publics. Les exemples de réussites locales comme celles des montagnes du Beaufortain ou de l'Aubrac ne doivent cependant pas occulter les fortes disparités qui perdurent au sein et entre les différents massifs montagneux, ni le nécessaire soutien des pouvoirs publics qui ont mis en place depuis 40 ans différentes formes de soutiens spécifiques, ou bénéficiant majoritairement à l’élevage de montagne. A l’heure actuelle, en France, 16% des exploitations et 14% des surfaces agricoles sont situées en zone de montagne. La superficie des exploitations de montagne diffère peu de celles de plaine mais leur potentiel économique est plus faible, en lien avec la forte proportion de surfaces fourragères qui nourrissent respectivement 17, 23 et 48% du cheptel national de vaches laitières, de vaches allaitantes et de brebis. L’analyse des évolutions structurelles et productives des exploitations de montagne révèle une dynamique plutôt positive : la SAU montagnarde s'est relativement bien maintenue par rapport aux risques encourus et le nombre d’exploitations et d’actifs agricoles a diminué moins vite qu’en plaine. A l’heure actuelle, malgré les soutiens publics, le revenu des éleveurs reste nettement plus faible en montagne qu’en plaine et les disparités se sont renforcées récemment. A l’avenir, le renforcement prévu des soutiens publics permettra de combler une partie de ce différentiel, mais la revalorisation des aides ne doit pas masquer que les perspectives de l’élevage de montagne sont liées avant tout aux dynamiques des acteurs locaux qui disposent d’atouts pour réduire les coûts de production et surtout pour valoriser mieux les richesses de leurs terroirs encore insuffisamment exploitées dans certaines zones ; la qualité des produits, de l’environnement, des paysages et de la culture.
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RICORDEAU, G., L. TCHAMITCHIAN, J. C. BRUNEL, T. C. NGUYEN, and D. FRANÇOIS. "La gestion des populations : La race ovine INRA 401 : un exemple de souche synthétique." INRAE Productions Animales 5, HS (July 30, 2020): 255–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4300.

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Abstract:
Pour augmenter la productivité du troupeau ovin français, l’INRA a créé la souche synthétique INRA 401 en croisant la race Berrichon du Cher (bonnes aptitudes bouchères mais peu prolifique, peu maternelle, toison blanche) avec la race Romanov (très prolifique, maternelle, mais faibles aptitudes bouchères et toison colorée). La procréation de 4 générations successives (1970 - 1980) a mis en évidence l’absence d’hétérosis et de régression de la taille de portée de la F1 à la F4. La lignée obtenue présente une taille moyenne de portée de 2 agneaux par mise bas (sur brebis de 3 ans), une excellente fertilité à contre-saison, une bonne viabilité des agneaux à la naissance. A partir de 1980, le troupeau a été soumis à la sélection, d’abord sur la prolificité seule puis sur la prolificité et la valeur laitière et, depuis 1989, sur prolificité, valeur laitière, caractères de croissance et caractères bouchers. La souche a été diffusée en fermes par la vente de béliers utilisés en croisement d’absorption sur brebis croisées Romanov x race locale, et ce sur 4 générations. Ce programme concernait en 1990, 152 élevages (28 000 brebis) réunis au sein d’une association des éleveurs utilisateurs : l’AUSI 401.
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BROCHARD, M., K. DUHEN, and D. BOICHARD. "Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait"." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 251–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3071.

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Abstract:
Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait Avant-propos Le lait est un produit animal complexe à l’origine de multiples valorisations en alimentation humaine : laits de consommation incluant les laits infantiles, fromages, beurres, crèmes, yaourts, desserts et boissons lactées, ingrédient dans une grande diversité de pâtisseries et de plats cuisinés, etc. Il s’agit donc d’un pilier de l’alimentation humaine y compris à l’âge adulte et ce depuis des milliers d’années. Toutefois, les demandes des consommateurs et de la société ont évolué rapidement ces dernières années et les exigences en matière de qualité des produits se sont complexifiées (Le Bihan-Duval et al 2014). Tout d’abord du point de vue du consommateur, en particulier occidental, l’alimentation doit désormais répondre à une diversité d’attentes. A la demande en « quantité » d’après-guerre, se sont en particulier ajoutées des exigences sanitaires, des exigences organoleptiques, de traçabilité du produit, des exigences nutritionnelles, et après une période « nutrition - santé » (Cniel 2011), une exigence croissante de « naturalité ». De plus, du point de vue du citoyen, la qualité intègre l’environnement, le bien-être animal, les conditions de production. Une partie des consommateurs a d’ailleurs évolué vers une stratégie d’achat « responsable » (Cniel 2011). Simultanément, le lait, bien que bénéficiant d’une image traditionnellement et majoritairement favorable à plusieurs titres, est confronté ces dernières années à des remises en causes parfois virulentes (allergies, intolérances, rejet des matières grasses saturées et trans…) qui s’installent probablement durablement dans les rapports des consommateurs avec le lait (Cniel 2011). Malgré ce contexte exigeant et changeant, jusqu’à aujourd’hui, au-delà des quantités totales en matières grasses et protéiques, peu de dispositifs sont disponibles et mis en œuvre pour suivre, qualifier, voire piloter la composition fine du lait « en sortie de ferme ». Le lait a suivi, avec le développement du secteur laitier, un processus de standardisation conformément au principe du « lait apte à toute transformation », devenant une matière première à laquelle l’application de procédés de fabrication variés donne de la valeur. Ce constat est à moduler pour les filières AOP fromagères. La composition fine du lait, en particulier la variabilité des profils en acides gras et en protéines, n’est pas ou peu valorisée, ni au niveau de la production, ni au niveau de la transformation. Dans le contexte actuel, traiter le lait de manière indifférenciée peut être contre-productif, en particulier si l’on reconsidère la richesse intrinsèque de la matière première « lait » et le fait que la composition du produit final reflète largement la composition du lait d’origine (Lucas et al 2006). Le lait « en sortie de ferme » se situe à la charnière entre l’amont et l’aval des filières laitières et, à ce titre, est idéalement placé pour être une source importante de compétitivité et d’adaptabilité des filières laitières dans leur globalité. Le sujet de la composition fine du lait a bien entendu fait l’objet de travaux bien avant que le programme PhénoFinlait ne soit imaginé et mis en œuvre. Ainsi, les liens entre alimentation et profil en acides gras (Chilliard et al 2007, Couvreur et al 2007, Hurtaud et al 2007) ou encore les variants génétiques des lactoprotéines majeures (Grosclaude et al 1987, Grosclaude 1988) ont été étudiés généralement à partir de dispositifs expérimentaux. Ces connaissances ont servi de point de départ et d’assurance sur la faisabilité et l’intérêt d’engager un programme à grande échelle. L’ambition de PhénoFinlait était alors de transposer ces connaissances et hypothèses en élevages privés avec une grande diversité de systèmes d’alimentation et de coupler cela à une analyse conjointe du déterminisme génétique afin d’apporter aux éleveurs et à leurs filières des outils et des réponses globales. De nombreuses nouvelles références étaient bien évidemment à établir, mais l’un des enjeux majeurs portait et porte toujours sur les possibilités de transfert aux filières. Les développements à la fois de la spectrométrie dans l’infra-rouge et de la sélection génomique ont ouvert de nouvelles portes en matière d’accès à la composition fine du lait à coûts réduits et d’analyses de ses déterminants génétiques.Les travaux pionniers de la Faculté Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux (Soyeurt et al 2006) ont ainsi ouvert la voie à l’estimation de nombreux composants fins du lait à partir d’une exploitation plus fine des données d’absorbance de la lumière dans le Moyen Infra-Rouge (MIR) principalement. Le principe est simple : la spectrométrie MIR, utilisée pour estimer les taux de matière grasse et protéique en routine dans les laboratoires d’analyse du lait, peut aussi être utilisée pour quantifier individuellement certains composants fins. Des modèles de prédiction sont développés à partir d’un jeu d’échantillons caractérisés à la fois à l’aide d’une méthode d’ancrage et par un spectre MIR. Ces modèles sont ensuite appliqués aux données spectrales telles que celles produites dans le cadre des analyses laitières habituelles de paiement du lait à la qualité et de contrôle laitier. Plusieurs dizaines d’acides gras et protéines peuvent ainsi être estimés avec une précision satisfaisante et à un coût additionnel modeste par rapport aux analyses déjà réalisées en routine. Parallèlement, les avancées dans le domaine de la génomique permettent d’analyser et d’exploiter plus rapidement et plus finement le déterminisme génétique des caractères. Là encore, le principe est relativement simple : deséquations d’estimation du potentiel génétique des animaux pour les différents caractères sont établies à partir d’une population de référence (animaux génotypés et caractérisés d’un point de vue phénotypique). Cette population peut être de taille beaucoup plus restreinte que celle nécessaire pour mettre en œuvre une évaluation génétique « classique ». Par ailleurs, les équations produites permettent de déterminer le potentiel génétique d’un animal sans pour autant qu’il dispose lui-même (ou ses descendants) de phénotype mesuré (Robert-Granié et al 2011). L’un des enjeux en sélection est alors de concevoir et de mettre en œuvre des programmes de caractérisation phénotypique de populations de référence, ce que l’on a appelé des programmes de « phénotypage » à plus ou moins grande échelle. Le programme PhénoFinlait est l’un des premiers grands programmes de phénotypage à haut débit (Hocquette et al 2011) avec ses caractéristiques : phénotypage fin sur la composition du lait, dans des systèmes d’élevage caractérisés, en particulier, par l’alimentation, préalable à un génotypage à haut débit des animaux suivis. Face à ces enjeux pour la filière laitière et ces nouvelles potentialités techniques et scientifiques, les filières laitières bovine, caprine et ovine, les acteurs de l’élevage (conseil en élevage et laboratoires d’analyse du lait) et de la génétique (entreprises de sélection et de mise en place d’insémination), les instituts de recherche et de développement (Inra, Institut de l’Elevage, Actalia) et APIS-GENE ont décidé de se constituer en consortium afin d’unifier leurs efforts et de partager leurs compétences et réseaux. Le consortium, avec le soutien financier d’APIS-GENE, de l’ANR, du Cniel, du Ministère de l’Agriculture (fond dédié CASDAR et Action Innovante), de France AgriMer, de France Génétique Elevage, du fond IBiSA et de l’Union Européenne, a initié début 2008 un programme pour :- analyser la composition fine du lait en acides gras et en protéines par des méthodes de routine et des méthodes d’ancrage ultra-résolutives (protéines) ;- appliquer ces méthodes à grande échelle sur une diversité de systèmes et de races représentatives de la diversité de la ferme France afin d’identifier des facteurs influençant la composition fine du lait ;- optimiser la valorisation des ressources alimentaires et génétiques par le conseil en élevage ;- initier une sélection génomique. Au-delà de ces objectifs, le programme PhénoFinlait a été envisagé comme un investissement majeur et collectif pour les filières laitières françaises afin de leur permettre de conserver ou de développer des avantages compétitifs par la possibilité de mieux valoriser la composition fine et demain ultrafine (grâce à des méthodes plus fines encore que la spectrométrie MIR) du lait. Les bases de données et d’échantillons ont ainsi vocation à être exploitées et ré-exploitées pendant plusieurs années au fur et à mesure des demandes des filières et de l’avancée des connaissances et des technologies d’analyse du lait. D’autres pays se mobilisent également sur cette problématique : Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Danemark et Suède, Italie, Belgique, etc. Ce dossier de la revue Inra Productions Animales fait état des principales productions issues à ce jour du programme PhénoFinlait. Il n’a pas vocation à couvrir exhaustivement les résultats produits. En particulier, nous ne présenterons pas systématiquement l’ensemble des résultats pour l’ensemble des espèces, races et composants. Néanmoins, nous nous sommes attachés à présenter à travers trois articles de synthèse et un article conclusif les principales avancées permises par ce programme à partir d’exemples pris dans les différentes filières. Gelé et al, débutent ce dossier par une présentation du programme dans ses différents volets, depuis la détermination des élevages et animaux à suivre jusqu’à la collecte et la conservation d’échantillons (de lait et de sang), en passant par l’enregistrement en routine des spectres MIR, des conditions d’alimentation, le prélèvement d’échantillons de sang puis, plus tard, le génotypage sur des puces pangénomiques. Cet article développe plus particulièrement la méthodologie mise en place pour déterminer la composition du lait en acides gras etprotéines à partir de spectres MIR. Enfin, il dresse un bilan des données collectées, permettant d’actualiser les références sur la caractérisation des troupeaux, des femelles laitières, des régimes alimentaires, et du profil des laits produits dans les trois filières laitières françaises. Legarto et al, présentent ensuite les résultats relatifs à l’influence des facteurs physiologiques (stade de lactation...), alimentaires (à travers des typologies de systèmes d’alimentation), raciaux et saisonniers, sur les profilsen acides gras. Ces résultats mettent en évidence de nombreuses sources de variation de la composition du lait qui pourront être exploitées à différentes échelles : animal, troupeau et bassin de collecte. Enfin, Boichard et al, présentent une synthèse de l’analyse du déterminisme génétique des acides gras d’une part et des protéines d’autre part. Cette synthèse aborde les estimations de paramètres génétiques tels que l’héritabilité et les corrélations génétiques entre caractères de composition fine entre eux, et avec les caractères de production. Ces résultats permettent en particulier de définir les potentialités de sélection ainsi que les liaisons génétiques à considérer. Ces analyses ont aussi permis de mesurer l’importance du choix de l’unité d’expression des teneurs (en pourcentage de la matière grasse ou protéique, ou en pourcentage dans le lait). Dans une dernière partie, cet article présente les analyses de détection de QTL avec une analyse des co-localisations entre races, entre composants et avec des gènes majeurs connus. RéférencesBoichard D., Govignon-Gion A., Larroque H., Maroteau C., Palhière I., Tosser-Klopp G., Rupp R., Sanchez M.P., Brochard M., 2014. Déterminisme génétique de la composition en acides gras et protéines du lait des ruminants. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 283-298. Chilliard Y., Glasser F., Ferlay A., Bernard L., Rouel J., Doreau M., 2007. Diet, rumen biohydrogenation, cow and goat milk fat nutritional quality: a review. Eur. J. Lipid Sci. Technol., 109, 828-855. Cniel, 2011. Lait, produits laitiers et société : France 2025 – Prospective collective. Note de synthèse sur les évolutions probables, juillet 2011. Couvreur S., Hurtaud C., Marnet P.G., Faverdin P., Peyraud J.L., 2007. Composition of milk fat from cows selected for milk fat globule size and offered either fresh pasture or a corn silage-based diet. J. Dairy Sci., 90, 392-403. Gelé M., Minery S., Astruc J.M., Brunschwig P., Ferrand M., Lagriffoul G., Larroque H., Legarto J., Martin P., Miranda G., Palhière I., Trossat P., Brochard M., 2014. Phénotypage et génotypage à grande échelle de la composition fine des laits dans les filières bovine, ovine et caprine. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 255-268. Grosclaude F., Mahé M.F., Brignon G., Di Stasio L., Jeunet R., 1987. A Mendelian polymorphism underlying quantitative variations of goat αS1-casein. Génét. Sel. Evol., 19, 399-412. Grosclaude F., 1988. Le polymorphisme génétique des principales lactoprotéines bovines. Relations avec la quantité, la composition et les aptitudes fromagères du lait. INRA Prod. Anim., 1, 5-17. Hocquette J.F., Capel C., David V., Guemene D., Bidanel J., Barbezant M., Gastinel P.L., Le Bail P.Y., Monget P., Mormede P., Peyraud J.L., Ponsart C., Guillou F., 2011. Les objectifs et les applications d’un réseau organisé de phénotypage pour les animaux d’élevage. Renc. Rech. Rum., 18, 327-334. Hurtaud C., Peyraud J.L., 2007. Effects of feeding camelina (seeds or meal) on milk fatty acid composition and butter spreadability. J. Dairy Sci., 90, 5134-5145. Le Bihan-Duval E., Talon R., Brochard M., Gautron J., Lefevre F., Larzul C., Baeza E., Hocquette J.F., 2014. Le phénotypage de la qualité des produits : enjeux de société, scientifiques et techniques. In : Phénotypage des animaux d’élevage. Phocas F. (Ed). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 223-234. Legarto L., Gelé M., Ferlay A., Hurtaud C., Lagriffoul G., Palhière I., Peyraud J.L., Rouillé B., Brunschwig P., 2014. Effets des conduites d’élevage sur la composition en acides gras du lait de vache, chèvre et brebis évaluéepar spectrométrie au moyen infrarouge. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds).Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 269-282. Lucas A., Rock E., Chamba J.F., Verdier-Metz I., Brachet P., Coulon J.B., 2006. Respective effects of milk composition and the cheese-making process on cheese compositional variability in components of nutritionalinterest. Lait, 86, 21-41. Robert-Granié C., Legarra A., Ducrocq V., 2011. Principes de base de la sélection génomique. In : Numéro spécial, Amélioration génétique. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M. (Eds). INRA Prod. Anim., 24, 331-340. Soyeurt H., Dardenne P., Dehareng F., Lognay G., Veselko G., Marlier M., Bertozzi C., Mayeres P., Gengler N., 2006. Estimating fatty acid content in cow milk using mid-infrared spectrometry. J. Dairy Sci., 89, 3690-3695.
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Jacquiet, Philippe, D. Cheikh, A. Thiam, and Mamadou Lamine Dia. "La trypanosomose à Trypanosoma evansi (Steel 1885), Balbiani 1888 chez les petits ruminants de Mauritanie : Résultats d'inoculation expérimentale et d'enquêtes sur le terrain." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 4 (April 1, 1993): 574–78. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9412.

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Abstract:
Afin de préciser le rôle éventuel des petits ruminants dans l'épidémiologie de la trypanosomose à Trypanosoma evansi dans le Sud mauritanien, on a procédé à l'inoculation expérimentale d'une brebis et d'une chèvre par une souche locale de T. evansi isolée d'une chamelle laitière, et à des enquêtes dans des troupeaux de petits ruminants du Sud Trarza qui côtoient au pâturage des troupeaux de dromadaires souvent très contaminés. L'inoculation expérimentale a permis de confirmer que la brebis et la chèvre (races locales) sont réceptives. Seule la brebis a manifesté une sensibilité (amaigrissement et avortement). Pendant 220 jours après inoculation, le sang de la chèvre est resté infectant pour la souris. Chez la brebis, en revanche, on a pu constater l'alternance de phases infectantes et de phases "silencieuses". Sur le terrain, 207 frottis sanguins de caprins et 174 frottis d'ovins sont négatifs ainsi que 1O9 sérums de caprins et 78 d'ovins. Il semble donc que les petits ruminants ne jouent aucun rôle dans l'épidémiologie de la trypanosomose à T. evansi et ce, en dépit de leur réceptivité à l'inoculation expérimentale.
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Benyoucef, MT, and A. Ayachi. "Mesure de la production laitière de brebis Hamra durant les phases d'allaitement et de traite." Annales de Zootechnie 40, no. 1 (1991): 1–7. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19910101.

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MAHIEU, M., G. AUMONT, and G. ALEXANDRE. "Élevage intensif des ovins tropicaux à la Martinique." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 21–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3974.

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Abstract:
Les principales zones d’élevage de la Martinique reçoivent moins de 2 m d’eau par an, avec une saison sèche marquée. La zone d’élevage la plus importante est située sur le Périmètre Irrigué du Sud-Est (PISE : 10 % de la SAU de l’île). L’objectif général de la Station d’Essais en Cultures Irriguées (SECI), qui dépend du Conseil Général de la Martinique, est de mettre à la disposition des agriculteurs et éleveurs du PISE des techniques adaptées à l’environnement technico-économique local. La SECI étudie depuis une quinzaine d’année, avec le soutien scientifique et technique de l’INRA, l’élevage des moutons de la population ovine à poil locale, en conditions intensives (irrigation des pâtures, système de reproduction à 3 luttes par an…). Les premières études (1981-1985) ont montré la capacité des ovins locaux à répondre à l’intensification de la production fourragère par l’irrigation : augmentation de la production individuelle des brebis de 50 %, du chargement de 300 %. La marge brute supplémentaire apportée par l’intensification était de l’ordre de 12 000 F/ha. Entre 1987 et 1992 nous avons évalué la possibilité d’utiliser le Cynodon nlemfuensis (C.n.) comme alternative au Digitaria decumbens (D.d.). L’analyse des performances d’élevage a démontré la supériorité du D.d. sur le C.n. pour la production ovine (2,25 vs 1,61 agneaux sevrés par brebis et par an, 1250 vs ; 966 kg vif sevrés par ha et par an). Si les taux de reproduction (fertilité 88 vs 85%, prolificité 180 %) ne diffèrent pas significativement, la mortalité des agneaux au sevrage est doublée (10,4 vs 22,3 %), et les performance de croissance sont diminuées (GMQ 10-30 : 175 vs 147 g/j GMQ 30-70 : 137 vs 120 g/j), pour D.d et C.n., respectivement. La longévité des brebis sur C.n. a aussi fortement diminué à partir de la seconde année d’expérimentation, l’âge moyen du troupeau passant de 4 à 3 ans. La mesure de la production laitière des brebis mères de jumeaux confirme l’intérêt de D.d. production 0-30 j : 47,6 vs 39,0 kg de lait ; production 0-70 j : 87,1 vs 71,7 kg de lait, pour D.d. et C.n., respectivement. Cependant l’analyse montre que les différences de production laitière exprimées par les mères n’expliquent pas toutes les différences de croissance des agneaux liées au fourrage, et qui pourraient aussi être dues à un parasitisme plus intense, à des dépenses d’énergie de déplacement plus importantes, à une consommation d’herbe plus faible, voire à une toxicité du C.n. signalée par quelques auteurs.
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Ravary-Plumioën, Bérangère. "Examen échographique de l’appareil urinaire chez les bovins sevrés : quelle place dans l’approche clinique du praticien ?" Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 11, no. 42 (2019): 29–37. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/42029.

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Abstract:
L’examen échographique de la mamelle chez les ruminants (vaches, chèvres et brebis) permet d’apprécier les différentes structures du trayon et de la glande mammaire. Cet examen est très facile à réaliser dans les élevages, en utilisant un échographe portable et en comparant le quartier ou trayon supposé atteint avec son homologue contro-latéral. Il apporte des informations complémentaires à la simple palpation de la mamelle, voire l’analyse bactériologique du lait et le California Mastitis Test. Cet article résume la technique d’exploration échographique du trayon et de la glande mammaire, avec les images normales attendues et son application clinique en présentant les principales affections pouvant ainsi être mises en évidence. Ainsi, l’échographie de la mamelle peut être utilisée pour détecter des anomalies localisées ou diffuses en région du trayon à l’origine d’une gêne à l’écoulement du lait, mais aussi une mammite, ou des atteintes du parenchyme mammaire plus difficiles à apprécier par palpation. Outre le diagnostic, l’échographie apporte des éléments importants en termes de décision thérapeutique et de pronostic de récupération d’une production laitière satisfaisante.
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Bocquier, F., S. Ligios, G. Molle, and S. Casu. "Effet de la photopériode sur la production, la composition du lait et sur les consommations volontaires chez la brebis laitière." Annales de Zootechnie 46, no. 5 (1997): 427–38. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19970505.

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LEONTOWICZ, Hanna. "Influence d'un sirop de glucose sur la digestibilité de la ration chez les brebis et sur la production laitière de vaches." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 285–86. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870252.

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BOCQUIER, F., M. THÉRIEZ, G. KANN, and C. DELOUIS. "Influence de la photopériode sur la partition de l'énergie nette entre la production laitière et les réserves corporelles chez la brebis traite." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 389–80. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860271.

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Portolano, Baldassare, Massimo Todaro, Raffaella Finocchiaro, Pietro Giaccone, and Giulio Pagnacco. "Évaluation par analyse multivariate de la conformation de la mamelle chez la brebis Valle del Belice en relation avec la production laitière." Annales de Zootechnie 48, no. 5 (1999): 381–88. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19990505.

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CHEMINEAU, P., G. KHALDI, N. LASSOUED, Y. COGNIÉ, J. THIMONIER, P. POINDRON, B. MALPAUX, and J. A. DELGADILLO. "Des apports originaux sur l’« effet mâle », une technique agro-écologique de maîtrise de la reproduction des brebis et des chèvres, fruits d’une longue collaboration scientifique entre la Tunisie, le Mexique et la France." INRA Productions Animales 30, no. 5 (June 29, 2018): 427–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.5.2273.

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Abstract:
Les recherches sur la maîtrise de la reproduction des brebis et des chèvres ont abouti à des traitements hormonaux de synchronisation des chaleurs très largement utilisés. Leurs coûts sont supportés par la valeur ajoutée de la production laitière et le progrès génétique rapide permis par l’insémination artificielle associée à la synchronisation. Les éleveurs des pays en développement ne disposent pas des mêmes moyens financiers et des programmes de coopération conduits avec les chercheurs de ces pays portent sur des moyens moins coûteux de synchronisation, comme « l’effet mâle » qui ne nécessite que des manipulations de lots d’animaux, sans intervention hormonale. En France, l’effet mâle ne suscite d’intérêt que chez les éleveurs et professionnels ovins et caprins en Agriculture Biologique. Pendant plus de 20 ans, des programmes de coopération scientifique entre la France, la Tunisie et le Mexique ont permis de mieux connaître les mécanismes physiologiques de la réponse à l’effet mâle et les conditions de son utilisation. Ils ont produit de nombreuses publications et permis le développement de techniques durables de maîtrise de la reproduction, adoptées avec succès par les éleveurs tunisiens et mexicains. L’émergence récente de préoccupations environnementales a changé le point de vue des professionnels français, désormais plus soucieux de durabilité de leurs systèmes. Les informations accumulées lors de ces programmes internationaux de coopération sont maintenant utiles dans les systèmes d’élevage français et européens, pour accélérer la mise au point de nouvelles techniques alternatives à l’utilisation des traitements hormonaux.
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Labussière, J., PG Marnet, JF Combaud, M. Beaufils, and FA de la Chevalerie. "Influence du nombre de corps jaunes sur la libération d'ocytocine lutéale, le transfert du lait alvéolaire dans la citerne et la production laitière chez la brebis." Reproduction Nutrition Development 33, no. 4 (1993): 383–93. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19930407.

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Zénabou, AGANI, BOKO K. Cyrille, AKOUEDEGNI C. Guénole, SIDI IMOROU Habirou, BELLO Orou Daouda, HOUNDONOUGBO M. Frédéric, DOSSOU Joseph, and BABATOUNDE Séverin. "Préparations galactogènes utilisées par les agroéleveurs au Bénin : espèces végétales, proportions d’organes impliqués et production laitière chez les vaches Borgou." Journal of Applied Biosciences 157 (January 31, 2021): 16161–71. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.157.2.

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Abstract:
Objectif : Au Bénin, la production de lait des vaches locales ne permet pas de couvrir les besoins nutritionnels de la population. Pour l’améliorer, les agroéleveurs font recours à des recettes galactogènes. Cette étude évalue leur efficacité sur la production laitière des vaches de race Borgou. Méthodologie et Résultats : Au Bénin, une enquête réalisée auprès de 534 éleveurs a permis de recenser 286 recettes galactogènes utilisées par les agroéleveurs. Sur la base d’une classification numérique des recettes citées par au moins 20 % des enquêtés, dix (10) recettes ont été retenues pour des enquêtes approfondies. Bobgunnia madagascariensis, Euphorbia balsamifera, Curcubita maxima sont fréquemment impliquées dans les préparations galactogènes. Les racines et les graines sont les organes les plus utilisés. Les graines de Vigna unguiculata ou d’Arachis Hypogea sont toujours associées aux préparations. La production laitière est plus élevée après administration aux vaches et peut atteindre 2,5 litres par jour. Conclusion et application des résultats : L’étude confirme l’efficacité des préparations galactogènes utilisées par les agroéleveurs pour améliorer la production laitière des vaches locales. Il est intéressant de constater que les espèces végétales (Bobgunnia madagascariensis, Curcubita maxima, Euphorbia basalmifera) fréquemment utilisées sont présentes dans la flore béninoise. Les graines de Vigna unguiculata ou d’Arachis Hypogea sont toujours associées aux préparations galactogènes. Les racines et les graines sont les organes les plus utilisés. Quelle que soit la recette utilisée, la production du lait est plus élevée après administration des préparations aux vaches (P < 0,05) et peut toutefois atteindre 2,5 litres contre 1,5 par jour relevée en élevage semi-intensif pour les races locales. Le gain laitier suite à l’administration des recettes s’étale entre 0,6 et 1,1 litre par jour. Il ne reste maintenant qu’à identifier pour les recettes la forme galénique la mieux adaptée aux conditions socio-économiques de ces éleveurs traditionnels. Mots-clés : Bobgunnia madagascariensis, Euphorbia balsamifera, Curcubita maxima, recette galactogènes, vaches Borgou, Bénin. Agani et al., J. Appl. Biosci. 2021 Préparations galactogènes utilisées par les agroéleveurs au Bénin : espèces végétales, proportions d’organes impliqués et production laitière chez les vaches Borgou 16162 Galactogenic formulations used by agro-pastoralists in Benin: plant species, proportions of organs involved, and milk production in Borgou cows. ABSTRACT Objective: In Benin, the milk production of local cows does not cover the nutritional needs of the population. To improve it, agro-pastoralists use galactogenic formulations. This study evaluates their effectiveness on the milk production of Borgou cows. Methodology and Results: In Benin, a survey of 534 breeders identified 286 galactogenic formulations used by agro-breeders. Based on a numerical classification of the formulations cited by at least 20% of respondents, ten (10) formulations were retained for in-depth investigations. Bobgunnia madagascariensis, Euphorbia balsamifera, Curcubita maxima were frequently involved in these galactogenic preparations. The roots and seeds are the most used organs. The seeds of Vigna unguiculata or Arachis Hypogea were also always associated with preparations. Milk production was higher after administration to cows and could reach 2.5 litres per day. Conclusion and application of the results: The study confirms the effectiveness of galactogenic feed formulations used by agro-breeders to improve milk production in local cows. It is interesting to note that the plant species (Bobgunnia madagascariensis, Curcubita maxima, Euphorbia basalmifera) frequently used are present in the Beninese flora. The seeds of Vigna unguiculata or Arachis Hypogea are always associated with galactogenic preparations. The roots and seeds are the most used organs. Whatever the recipe used, the milk production is higher after administration of the formulas to the cows (P <0.05) and can however reach 2.5 litres against 1.5 per day observed in semi-intensive breeding for local breeds.. The milk gain from the administration of the recipes ranges from 0.6 to 1.1 litres per day. All that remains now is to identify the dosage form best suited to the socio-economic conditions of these traditional breeders for the recipes. Keywords: Bobgunnia madagascariensis, Euphorbia balsamifera, Curcubita maxima, galactogenic recipe, Borgou cows, Benin.
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Osman, Mona A., Véronique Alary, Mustafa Khalil, Ahmed Elbeltagy, Jean-François Tourrand, and Charles-Henri Moulin. "Adaptability and suitability of local cattle breeds in Egypt: Farmers and actors’ perceptions and practices of the cattle value chain." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 3 (February 15, 2017): 95. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31192.

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Abstract:
L’Egypte, où la température moyenne augmenterait de 1 à 1,5 °C au cours des deux prochaines décennies, serait particulièrement exposée au changement climatique dans la zone méditerranéenne. La majorité des travaux de recherche sur les caractères adaptatifs des animaux se sont concentrés sur les ovins et les caprins dans les zones non-irriguées, avec un faible intérêt pour les systèmes d’élevage dans les zones irriguées, alors que les gros ruminants – bovins et buffles – assurent l’essentiel de l’apport en lait et viande de l’Egypte. De plus, la recherche sur l’amélioration génétique pour augmenter la production a ignoré les races bovines locales, telle que la Baladi qui semble être en voie de disparition. A partir d’entretiens individuels et collectifs menés dans deux gouvernorats de l’Egypte, la présente étude visait à décrire la situation de la race locale Baladi, à partir des perceptions et pratiques des acteurs de la filière (dont les éleveurs, commerçants et fournisseurs de service), et d’en tirer des perspectives pour son devenir. D’après les entretiens, la Baladi serait adaptée et plus résistante à des conditions difficiles, en particulier aux températures chaudes extrêmes, à des périodes de carence alimentaire, et à certaines maladies, en particulier la fièvre aphteuse. Cependant, il n’y a pas d’organisation ou d’action collective pour préserver ou promouvoir cette race en raison de son faible niveau de production laitière, bien que la viande soit très appréciée dans les zones rurales et pourrait être à l’origine d’un potentiel marché de niche.
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PERIER, A., F. BOCQUIER, G. KANN, and J. MARTINET. "Influence de la photopériode et des apports énergétiques pendant la gestation sur les taux plasmatiques de la prolactine, de l'hormone de croissance et de l'hormone placentaire lactogène puis sur la production laitière de la brebis traite." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 391–92. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860272.

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Nsangou, A. S., D. A. Mbah, C. L. Tawah, T. K. Manchang, G. S. Bah, Y. Manjeli, C. A. Njehoya, Y. Mfopit, and C. Nguetoum. "Amélioration génétique bovine par voie de croisement et de sélection en Afrique Tropicale : Expériences du Cameroun." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 17, no. 1 (November 2, 2021): 19–41. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v17i1.2.

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Abstract:
Ce travail passe en revue les résultats des travaux de recherches sur l’amélioration génétique des zébus locaux (Goudali, White et Red Fulani) par voie de sélection et de croisement avec les races exotiques (Holstein, Montbéliarde, Brahman américain, Jersiais, Tarentaise, Limousine et Charolaise). Ces travaux ont été conduits depuis 1952 dans les Centres de Recherches Zootechniques de Wakwa et Bambui par l’Institut de Recherches Zootechniques (IRZ, aujourd’hui connue sous le nom de l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement) du Cameroun, en système d’élevage semi-intensif dans les zones des hautes savanes guinéennes et des hauts plateaux de l’Ouest Cameroun. Les données proviennent des rapports d’activité et de consultations, des publications scientifiques et des entrevues. L’objectif est de ressortir les résultats saillants utiles pour les décideurs politiques, les chercheurs et les éleveurs. Les principaux résultats montrent que le potentiel laitier des croisés est généralement supérieur (>4 litres) à celui des races locales (>3,5 litres). Les génotypes ayant moins de 75% de sang exotique sont les plus performants en lait et viande. Les causes de mortalité par ordre d’importance sont nutritionnelles (36,8%), accidentelles (29,6%), pathologiques (21,1%), parasitaires (7,7%) et reproductives (4,8%). Par rapport aux autres produits de croisement, les croisés Holsteins ont été plus lourds à la naissance (34,75 kg) avec une vitesse de croissance plus élevée (0,46 kg), une production laitière plus élevée (5,47 ± 0,17 litres), plus précoces (40,87 mois) et moins susceptibles au stress Nuenvironnemental. Pour la filière bovin-à-viande, les performances de viande de la race synthétique Wakwa sont légèrement supérieures à celles des zébus Goudali sélectionnés dans le cheptel local. Cependant, le taux de susceptibilité à la dermatophilose est estimé à 71,0%, 34,4% et 5,0% chez le pur, ½ et ¼ sang Brahman, respectivement. La sélection massale du zébu Goudali (variété Ngaoundéré) et la race synthétique Wakwa a permis d’obtenir des progrès génétiques significatifs, soient, respectivement, 8,60 kg et 20,40 kg. Cependant, les corrélations génétiques négatives entre les effets directs et maternels montrent que le progrès génétique serait davantage plus important si la sélection était concentrée sur les performances directes et maternelles. Les expériences d’insémination artificielle menées à la SODEPA et à « Tadu Dairy Cooperative Society»montrent que l’industrie laitière est une entreprise rentable avec un rapport bénéfice-coût de 4,21. This work reviews the results of research on the genetic improvement of local zebus (Gudali, White and Red Fulani) through selection and crossbreeding with exotic cattle breeds (Holstein, Montbeliard, American Brahman, Jersey, Tarentaise, Limousine and Charolais). This work was started since 1952 by Institute of Animal Research (IRZ, now known as the Institute of Agricultural Research for Development) at the Wakwa and Bambui Research Centers, under semi-intensive management conditions in the high Guinea savannah areas of the Adamawa Plateau and the highlands of West Cameroon. Data were obtained from activity and consultation reports, scientific publications and interviews. The objective is to highlight salient findings that are useful for policy makers, researchers and livestock producers. The main results show that the milk potential of crosses is generally higher (>4 liters) than that of local breeds (>3.5 liters). Genotypes with less than 75% exotic blood had the best milk and meat production performance. The reported causes of mortality in order of importance are nutritional (36.8%), accidental (29.6%), pathological (21.1%), parasitic (7.7%) and reproductive (4.8%). Compared to the others crosses, Holstein crosses were found to be relatively heavier at birth (34.75 kg) with a higher growth rate (0.46 kg), higher daily milk production (5.47 ± 0.17 liters), earlier maturing (40.87 months), but more adapted to the breeding conditions and less susceptible to environmental stress. For the beef industry, the meat performance of the synthetic Wakwa breed is slightly better than that of the Gudali zebus selected from the local herd. However, the susceptibility rate to dermatophilosis was estimated at 71.0%, 34.4% and 5.0% in pure, ½ and ¼ blood Brahman, respectively. Individual selection of the Gudali zebu (Ngaoundéré subtype) and the synthetic Wakwa breed has resulted in significant genetic progress, 8.60 kg and 20.40 kg, respectively. However, the negative genetic correlations between direct and maternal effects showed that genetic progress would be more important if selection was concentrated on direct and maternal performance. Artificial insemination experiments conducted at SODEPA and Tadu Dairy Cooperative Society showed that the dairy industry is a profitable enterprise with a benefit-cost ratio of 4.21.
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LAGRIFFOUL, G., E. MORIN, J. M. ASTRUC, F. BOCQUIER, C. De BOISSIEU, P. HASSOUN, J. LEGARTO, P. G. MARNET, J. L. POULET, and F. BARILLET. "Panorama de la production de lait de brebis en France et son évolution depuis 50 ans." INRA Productions Animales 29, no. 1 (July 5, 2019). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2512.

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Abstract:
Au cours des 50 dernières années, la production de lait de brebis en Francea progressé en moyenne de 3,6% par an pou atteindre 275 millions de litres. Partant du constat des années 1970 qui identifiait la traite mécanique, les conditions d’élevage et le potentiel génétique laitier des brebis comme les principaux verrous techniques au développement de la production, les grandes évolutions dans ces trois domaines sont retracées. Les solutions techniques, fruits d’un continuum historique entre la recherche et le développement, ont pris en compte les particularités des systèmes d’élevage de brebis laitières comme la pratique de l’allaitement avant la traite des brebis, la taille des élevages, une production saisonnée basée sur la valorisation de l’herbe dans trois territoires de montagnes et se sont appuyées sur l’organisation d’un service global de conseil aux éleveurs. Les travaux d’adaptation aux spécificités ovines, de simplification des pratiques et plus récemment les automatismes ont permis de développer des systèmes de traite performants. L’amélioration génétique des cinq races de brebis laitières françaises repose sur des programmes de sélection efficaces dans leurs bassins de production respectifs en lien avec des systèmes d’élevage diversifiés et des produits de qualité. Si à l’échelle européenne, la France n’est que le cinquième pays producteur de lait de brebis, elle demeure le leader en matière d’encadrement technique avec 60 % des brebis dans des élevages en suivi technique.
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BARILLET, F., G. LAGRIFFOUL, P. G. MARNET, H. LARROQUE, R. RUPP, D. PORTES, F. BOCQUIER, and J. M. ASTRUC. "Objectifs de sélection et stratégie raisonnée de mise en oeuvre à l'échelle des populations de brebis laitières françaises." INRA Productions Animales 29, no. 1 (July 5, 2019). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2514.

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Abstract:
L’un des facteurs limitants identifiés dans les années 1950 était le potentiel laitier insuffisant des races de brebis traites en France, qui a initié la collaboration entre profession et recherche qui perdure depuis. Après une phase initiale où les deux stratégies génétiques possibles, croisement ou race pure, ont été explorées, la profession a fait le choix dans les années 1970 de la sélection de chaque race locale dans son terroir de production avec son fromage d’Appélation d’Origine Protégée. La réussite de la sélection des cinq races locales concernées est le fruit d’une démarche raisonnée et optimisée dans l’espace (gestion pyramidale) et dans le temps (la quantité de lait, puis les aptitudes fromagères du lait, puis les caractères fonctionnels de la sphère mammaire), et de la mise en oeuvre d’objectifs de sélection cumulatifs à l’échelle de chacune des populations concernées. Cette démarche est validée par des va-et-vient permanents entre élevages privés et expérimentaux, ou des expérimentations dans les élevages privés : elle a permis de proposer des solutions inédites comme le contrôle laitier qualitatif ponctuel pour les taux butyreux et protéiques, puis pour les comptages de cellules somatiques, tout en permettant de comprendre l’originalité de milieux de sélection induits par le pilotage global au troupeau, susceptible de favoriser des réponses génétiques indirectes durables (capacité d’ingestion, vitesse de traite et aptitude à la monotraite des brebis) bien exploitées par les éleveurs. Cette démarche balisée n’interdit pas de sortir du cadre quand il s’agit de répondre à un objectif stratégique et imprévu, comme la résistance à la tremblante dans les années 1990. La diversification pour chacune des cinq races locales de nouveaux objectifs de sélection (aptitude à la monotraite quotidienne, longévité fonctionnelle, persistance laitière, résistance aux strongles gastrointestinaux) est susceptible d’intervenir avec le démarrage depuis 2015 de la sélection génomique des brebis laitières françaises.
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BARILLET, F., P. HASSOUN, J. M. ASTRUC, G. LAGRIFFOUL, and E. MORIN. "DOSSIER : « Brebis laitières en France : 50 ans de recherche et de développement »." INRA Productions Animales 29, no. 1 (July 5, 2019). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2513.

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HASSOUN, P., C. ALLAIN, P. G. MARNET, E. GONZALEZ-GARCIA, H. LARROQUE, E. VANBERGUE, F. DESSAUGE, et al. "La monotraite quotidienne appliquée en brebis laitières de race Lacaune : Synthèse de cinq années de recherche." INRA Productions Animales 29, no. 1 (July 5, 2019). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2516.

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Abstract:
Une série d’expérimentations a été conduite pour mesurer l’impact de la monotraite à l’échelle de la lactation de brebis laitières de race Lacaune. La production de lait et sa composition, la physiologie et la morphologie de la mamelle, l’ingestion et le métabolisme énergétique ont été mesurés tout au long de la période de traite, du sevrage au tarissement. L’impact de la monotraite a été modélisé à l'échelle de l'exploitation et du bassin de production. La perte de lait a été de 14 % chez les multipares comme les primipares. Selon la ration offerte, le taux butyreux a diminué ou a eu tendance à augmenter, alors que le taux protéique n’a pas été modifié ou a augmenté en lien avec une augmentation des protéines solubles. Les quantités ingérées n’étaient pas différentes entre brebis en traite biquotidienne et monotraite, ce qui a entraîné un bilan énergétique positif supérieur pour ces dernières. Cela s’est traduit par des taux d’acides gras non estérifiés rapidement plus bas et de leptine supérieurs. La mamelle a été perturbée dans les premiers jours de monotraite, mais a rapidement retrouvé son intégrité du fait d’une bonne plasticité sans aucune conséquence sur sa santé. Au niveau de l’exploitation, la monotraite entraîne une perte de revenu qui peut être compensée en tout ou partie par un passage en monotraite à un stade plus tardif ou un allongement de la période de traite. Des travaux complémentaires conduits à l’échelle de l’exploitation permettraient de mieux préciser les répercussions de cette pratique à ce niveau et à celui du bassin de production.
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Nicourt, Christian, and Jacques Cabaret. "Les éleveurs face aux risques épizootiques répétés. Le cas exemplaire des éleveurs de brebis laitières du Pays basque confrontés à l’agalactie contagieuse." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176 (2023). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.71030.

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Abstract:
Le Pays basque est particulièrement frappé par différentes épizooties qui affectent les élevages ovins. La configuration de ces élevages, c’est à dire leur petite taille, leur grande densité dans la région, leurs différentes manières d’élever les animaux se distinguent des normes habituelles d’élevage des brebis en France et semble contribuer à cette expression des maladies. L’alimentation des animaux ne provient pas majoritairement des exploitations, mais de pâtures collectives aux coûts de location modiques, gérées par des collectivités territoriales. Dans ce contexte, les épizooties mettent les éleveurs à l’épreuve, en leur imposant des contraintes drastiques, qui ne leur permettent plus d’utiliser ces pâtures. Qu’en est-il alors de leurs manières de travailler et d’être ensemble sous cette contrainte ? En prenant le cas d’une de ces épizooties particulièrement présente au Pays basque - l’agalactie contagieuse - après avoir examiné les manières singulières de travailler de ces éleveurs, nous analyserons comment ils sont vulnérabilisés par la survenue de l’agalactie contagieuse et enfin comment sa gestion publique est source de tensions. Mots-clés : élevage ovin, épizooties, agalactie, estives, tensions sociales, Pays basque
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