Journal articles on the topic 'Bois de chauffage – Environnement'

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Mbikay Kadima, Pierrot. "Enquête sur l’impact socio-environnemental de l’utilisation de bois et stratégies de remédiation dans les ménages de la ville de Kisangani (Province de la Tshopo) en République Démocratique du Congo." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 2, no. 4 (February 10, 2022): 516–23. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i4.58.

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Abstract:
Cette étude avait pour objectifs l'évaluation de l’impact socio-environnemental de l'utilisation du bois dans les ménages de Kisangani, province de la Tshopo, en République Démocratique du Congo, ainsi que l'identification et l'analyse des stratégies de remédiation susceptible d’atténuer leurs impacts. A cet effet, l'étude a visé à comprendre les pratiques actuelles des ménages en matière d'utilisation du bois en vue de proposer des recommandations pour une utilisation plus durable des ressources forestières. Il ressort de cette étude que l'utilisation du bois est une source d'externalités négatives dans les ménages de Kisangani notamment elle provoque des maladies telles que la pneumonie, l’irritation des surfaces oculaires (conjonctivite allergique), la bronchopneumonie et conduit aussi à la récession forestière, à la perte de produits forestiers non ligneux, au dérèglement climatique, etc. En conclusion, la présente étude souligne la nécessité d'adopter des stratégies de remédiation durables. Les résultats mettent en évidence l'urgence de sensibiliser la communauté sur des pratiques de gestion forestière responsable et de promouvoir l'utilisation d'alternatives écologiques. La collaboration entre les autorités locales, les ONG et la population locale est essentielle pour préserver l'environnement tout en répondant aux besoins énergétiques des ménages. Mots clés: Déforestation, bois de chauffage, ménage, environnement, Kisangani
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Godmaire, Hélène, and Quentin Galvez. "Le bois de chauffage utilisé dans les campings de la Montérégie : un vecteur potentiel de propagation de l’agrile du frêne." Entomologie 137, no. 2 (May 10, 2013): 34–40. http://dx.doi.org/10.7202/1015489ar.

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Abstract:
L’agrile du frêne (Agrilus planipennis) est un insecte ravageur exotique qui s’attaque et tue toutes les espèces de frênes. Depuis sa détection à Carignan en Montérégie en 2008, la région fait l’objet de surveillance, car le potentiel destructeur de l’insecte est immense. Un des plus grands risques de dispersion de l’agrile du frêne réside dans le déplacement de produits infestés, en particulier du bois de chauffage. Dans le cadre de cette étude, nous nous sommes penchés sur les déplacements du bois de chauffage en Montérégie en interrogeant les commerçants de bois ainsi que les usagers et les propriétaires de camping. Le but de l’étude a été de documenter ces déplacements de bois de chauffage afin d’évaluer s’il existe réellement un risque et, dans l’affirmative, d’identifier des pistes de solution. L’enquête a révélé qu’il y avait un manque de connaissance de l’agrile du frêne et des risques qu’il pose tant chez les propriétaires de camping que chez les campeurs. Elle a aussi montré qu’environ 20 à 30 % des campeurs apportaient leur propre bois de chauffage, une voie potentielle de dispersion de l’insecte. Nous avons éprouvé beaucoup de difficultés à entrer en contact avec les commerçants, de sorte que nous devons revoir notre stratégie de collecte d’information pour cette catégorie d’utilisateurs. En conclusion, la mise sur pied d’une campagne d’information et de formation intensive s’avère essentielle afin de mobiliser tous les intervenants du milieu. De la même manière, la création d’un système de traçabilité du bois permettrait d’assurer qu’aucun bois infesté ne soit déplacé sur le territoire de la Montérégie.
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Pinon, Jean. "Les travaux forestiers vus par les peintres." Revue forestière française 72, no. 3 (June 30, 2020): 233–46. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5323.

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Abstract:
De nombreux travaux forestiers ont été peints, essentiellement par les impressionnistes. Peu d’actes sylvicoles sont illustrés, la majorité des toiles portant sur la récolte de bois (grumes, bois de chauffage). Le transport des bois est assuré par l’homme seul ou avec le recours à la traction animale, souvent en condition hivernale sur sol enneigé ou rivière gelée, ou par le flottage. Le bois énergie constitue une priorité jusqu’à la fin du XIXe siècle. La transformation des produits forestiers en forêt concerne le charbon de bois et la sève d’Érable. Les techniques modernes d’exploitation forestières ne sont guère illustrées.
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Chatonnet, Pascal, Jean-Noël Boidron, and Monique Pons. "Incidence du traitement thermique du bois de chêne sur sa composition chimique. 2e partie : évolution de certains composés en fonction de l'intensité de brûlage." OENO One 23, no. 4 (December 31, 1989): 223. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1989.23.4.1722.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">Au-delà de son action de cintrage, le chauffage du bois de chêne provoque une thermodégradation de certains de ses composants. Les auteurs étudient l'influence de l'intensité de brûlage du bois de chêne sessile <em>Quercus sessilis</em> sur certains composés extractibles. Afin de se rapprocher des conditions d'extraction par un vin, le bois brûlé à différents degrés est placé au contact d'une solution hydroalcoolique modèle.</p><p style="text-align: justify;">La thermolyse des principaux polymères pariétaux du bois, produit de nombreux composés volatils et odorants (aldéhydes furaniques, phénols volatils, aldéhydes phénols, phényl cétones). La concentration en β-méthyl-y-octalactone augmente notablement avec le chauffage du bois et simultanément les tanins hydrolysables sont en partie dégradés.</p><p style="text-align: justify;">La chauffe légère ne produit que de faibles variations. La chauffe moyenne correspond au maximum de synthèse de la majorité des composés aromatiques étudiés. A partir et au-delà de la chauffe forte, les réactions de thermodégradation, mais très vraisemblablement aussi une modification de la structure de la lignine vers une forme moins réactive, entraînent une diminution de l'ensemble des composés extractibles.</p>
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Aleon, D. "Traitement phytosanitaire du bois par chauffage a coeur." EPPO Bulletin 34, no. 1 (April 2004): 133–38. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.2004.00709.x.

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Delwaide, Ann, and Louise Filion. "Coupes forestières effectuées par les Indiens et par la Compagnie de la Baie d’Hudson à Poste-de-la-Baleine, Québec subarctique." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 87–96. http://dx.doi.org/10.7202/032667ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Depuis plus de deux siècles, les Indiens Cris et les employés de la Compagnie de la Baie d'Hudson ont exploité la forêt de la région de Poste-de-la-Baleine (Nouveau-Québec, 55°17'N, 77°47'0), notamment sur la terrasse au sud de la grande rivière de la Baleine. L'analyse dendrochronologique a permis la datation des coupes forestières depuis 1865, soit par l'augmentation de la croissance radiale des survivants, soit par l'âge des reprises de dominance apicale sur les arbres taillés ou par l'âge des cicatrices causées aux arbres par les coups de hache. Quelque 200 sites de camps et aires de coupe ont été cartographies et ont pu être datés précisément. Trois grandes périodes de fréquentation de la forêt ressortent de l'analyse. Pendant la période antérieure à 1954, la reconstitution de l'histoire des coupes révèle que la fréquentation de la forêt par les Cris était essentiellement estivale. Des coupes importantes ont aussi été effectuées pour le chauffage des établissements de la Compagnie de la Baie d'Hudson. La période 1954-1973 se caractérise par une occupation de plus en plus continuelle du territoire par les Indiens. Les coupes s'intensifient à proximité du village, une quantité importante de bois y étant transporté pour le chauffage domestique. Enfin, on observe depuis 1973 une diminution importante du nombre et de l'étendue des coupes sur tout le territoire, cette période marquant la substitution du chauffage au bois par le chauffage à l'huile dans les habitations du village.
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Katembera Ciza, Salomon, Jean-Fiston Mikwa, Augustin Cirhuza Malekezi, Valéry Gond, and Faustin Boyemba Bosela. "IDENTIFICATION DES MOTEURS DE DÉFORESTATION DANS LA RÉGION D’ISANGI, RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (March 17, 2015): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31264.

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Abstract:
La présente étude analyse la perte du couvert forestier dans la zone du projet pilote REDD+ intégré d’Isangi entre 2002 et 2010. La région est l’une des zones de la République démocratique du Congo où les ressources naturelles sont soumises à une forte pression anthropique. Cette étude a permis, grâce aux techniques de détections multi-temporelles des chan- gements combinées aux enquêtes menées sur le terrain, de cartographier les différentes classes d’occupation des sols mais aussi de déterminer les zones les plus affectées par la perte du couvert forestier. Le taux annuel de déforestation est évalué à 0,13 % (330 ha par an) et les émissions associées représentent envi- ron 196 000 tonnes de CO2 par an. Les résultats des entretiens auprès des villa- geois indiquent que les principales causes de la déforestation et de la dégra- dation des forêts sont l’agriculture itiné- rante sur brûlis et l’exploitation de bois (bois de chauffage, charbon de bois et bois de construction). Les préconisations afin de ralentir le phénomène de défores- tation dans la région sont d’améliorer la production agricole, de formaliser l’ex- ploitation de bois et de diversifier les sources d’approvisionnement des pro- duits ligneux.
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BRUN, F., V. DUBOIS, and C. BOUTIN. "L’emploi du broyat de bois, une solution durable pour traiter les eaux ménagères ?" 3, no. 3 (March 22, 2021): 37–53. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202103037.

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Abstract:
L’emploi de broyat de bois pour le traitement des eaux ménagères tend à s’amplifier en France depuis une décennie dans un contexte favorable à la séparation à la source des effluents liquides et au développement de filières issues de l’économie circulaire. Le broyat de bois est un terme générique qui englobe différents types de fragments de bois d’origine industrielle ou produit par des artisans, des agriculteurs ou des particuliers. Il se décline en bois énergie, bois broyés ou particules du bois avec des usages aussi très variés comme le paillage ou le chauffage. Cet article se focalise sur l’efficacité potentielle du broyat de bois pour le traitement des eaux ménagères par filtration. Il est proposé d’apporter une analyse physique et chimique de ce matériau dont la nature est évolutive contrairement au sable habituellement employé qui est inerte. Dès lors, une analyse croisée (i) de mesures physiques (granu - lométrie, densité, porosité et capacité d’absorption), (ii) de mesures chimiques (carbone, azote, phosphore et teneurs en : cendres, extractibles, lignine, cellulose et hémicelluloses) et (iii) d’observations de filtres en fonctionnement est réalisée. Les mesures portent essentiellement sur quatre broyats de bois dont les évolutions, à la suite d’un apport d’eaux ménagères, sont comparables deux à deux en échantillons frais ou utilisés pendant plusieurs années. À partir de l’ensemble de ces éléments, l’étude montre l’absence de la nécessité de fixer des bornes aux courbes granulométriques du broyat de bois à utiliser. Selon leur granulométrie initiale, les quatre broyats de bois évoluent, soit vers un matériau plus fin, soit vers un matériau plus grossier, pour tendre vers une granulométrie unique. L’étude conclut également à la conservation dans le temps de conditions hydrauliques favorables aux écoulements par un maintien de la capacité d’absorption initiale du massif filtrant. De plus, même si la porosité initiale diminue, les proportions sont suffisamment faibles pour ne pas avoir d’impact sur les écoulements.
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Belhoste, Jean-François. "Le projet de flottage des bois d'Évreux en 1725." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 15–30. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.910.

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Le projet d'un canal au long de l'Iton pour le flottage des bois d'Evreux vers Paris et Rouen, formulé dès 1725, procède de l'accroissement des besoins de Paris en bois pour le chauffage et l'artisanat. L'extension de la zone d'approvisionnement de Paris fait en général reculer les forges, d'où de graves conflits, qu'il est nécessaire de neutraliser. En outre, comme le bois est taxé en ville, son transport doit être bon marché ; c'est pourquoi le flottage s'impose. Le duc de Bouillon, propriétaire du Comté d'Evreux, possède de très grandes forêts. Il en fait abattre les futaies, qui se reconstituent en taillis, ce qui le place dans la dépendance des maîtres de forges du Pays d'Ouche. Pour échapper à leurs ententes, il souhaite vendre ses bois à Paris et fait étudier le projet du canal de l'Iton en 1725. Des experts calculent prix de revient et bénéfices. L'essentiel du coût de transport (80%) est lié à la remontée de la Seine. Un dossier technique précis est établi pour le flottage et l'emprise du canal, dont le coût total doit dépasser 81 .000 livres. Le projet suscite l'opposition de tous les riverains : seigneurs, meuniers et marchands. L'intérêt de la sidérurgie locale, menacée de ruine, prévaut. L'Intendant bloque le projet et les bois restent aux mains des maîtres de forges. Le canal, finalement construit vers 1750, sert seulement au transport des bois de marine et non à l'approvisionnement de Paris
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Randriambololona, Hery, Frédéric Dubois, and Christophe Petit. "Modélisation du comportement mécanique différé du bois en environnement variable." Revue Française de Génie Civil 6, no. 7-8 (January 2002): 1333–57. http://dx.doi.org/10.1080/12795119.2002.9692412.

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GUILLEMINE, D. "Un projet de chauffage bi-énergie "bois et fuel" dans une école forestière." Revue Forestière Française, no. 2 (1995): 162. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26640.

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Office national des forêts, Département Commercial Bois. "Les ventes de bois des forêts publiques en 2021." Revue forestière française 73, no. 6 (October 27, 2022): 665–79. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.7207.

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Abstract:
Dans un environnement économique très porteur et une belle mobilisation en volume, le chiffre d’affaires bois des forêts publiques gagne 28 % à 538 millions d’euros en 2021. Les prix de tous les résineux, du Chêne et du Hêtre augmentent nettement alors que la crise du scolyte régresse et que le merrain ne se redresse qu’en fin d’année. Le prix unitaire apparent s’accroît de 14 %. Les volumes fournis en contrats d’approvisionnement progressent de 10 %.
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Ravix, André-Laurent. "Les comportements d'innovation dans l'artisanat de production industrielle." Revue internationale P.M.E. 1, no. 3-4 (February 16, 2012): 277–94. http://dx.doi.org/10.7202/1007885ar.

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Cet article analyse les comportements d'innovation dans deux secteurs de l'artisanat industriel du sud-ouest de la France, les secteurs «métaux-électricité» et «bois-ameublement». Deux types de comportements sont mis en évidence, l’un fondé sur une logique entrepreneuriale et l'autre sur une logique technique. Les apports d'une théorie de l'innovation qui insiste sur les aspects qualitatifs et organisationnels de la création de technologie sont utilisés pour suggérer des politiques publiques de l'innovation dans ce contexte. Ces politiques prennent en compte l'articulation entre l'organisation et le marché et l'insertion des entreprises dans une trsÿectoire technologique avec environnement donné ou dans un processus de création de technologie qui modifie leur environnement.
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Bangirinama, Frédéric Bangirinama, Bonaventure Nzitwanayo, and Paul Hakizimana. "UTILISATION DU CHARBON DE BOIS COMME PRINCIPALE SOURCE D’ÉNERGIE DE LA POPULATION URBAINE : UN SÉRIEUX PROBLÈME POUR LA CONSERVATION DU COUVERT FORESTIER AU BURUNDI." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 45. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31301.

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La question de l’énergie domestique reste une préoccupation majeure dans le monde, en particulier dans les pays en développement où la majorité de la popu- lation utilise le bois de chauffage, le char- bon de bois et les résidus agricoles pour satisfaire leurs besoins énergétiques liés à la cuisson des aliments. Au Burundi, où le bois constitue la principale source d’éner- gie domestique avec 96,6 % du bilan énergétique global, le charbon de bois est consommé à 77 % par la population urbaine. Selon une enquête menée sur les grands axes routiers, 56 548 tonnes et 13 552 tonnes de charbon de bois sont respectivement consommées par la population urbaine de Bujumbura et Gitega, soit un total de 70 100 tonnes. La consommation annuelle estimée s’élève à 104 718 tonnes de charbon de bois pour la seule population urbaine. Cette consommation par la population de Gitega et Bujumbura entraîne une perte annuelle de 3 505 à 4 673 ha de couvertforestier, soit annuellement entre 5 236 et 6 980 ha si l’on extrapole ces chiffres à l’ensemble de la population urbaine du Burundi. À ce rythme, le couvert forestier du Burundi, estimé à 171 625 ha, pourrait disparaître dans 25 à 33 ans. Pour garan- tir la durabilité du système d’approvi- sionnement énergétique de la population urbaine burundaise, de nouvelles tech- niques et pratiques doivent être adoptées, comme la plantation d’arbres le long des axes routiers, la régénération naturelle assistée, la recherche d’espèces et varié- tés mieux adaptées et plus rentables, le recours aux énergies renouvelables, la valorisation énergétique des déchets et l’amélioration de l’efficience énergétique (foyers améliorés, par exemple).
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Boissiere, Jean. "Marché au bois en ville, en France, à l'époque moderne : quelques remarques." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 31–49. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.911.

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La notion de marché au bois n'est pas très facile à cerner, au sens strict du terme, c'est-à-dire un lieu public désigné comme tel et où se négocie, dans le cadre urbain, le produit des coupes forestières. A l'époque moderne on trouve plus couramment dans la nomenclature des références au marché à grains, aux chevaux, à la viande, voire aux herbes mais ce n'est qu'exceptionnellement que l'on désigne les lieux de vente des bois par l'expression de marché. Pourtant il y a là, au XVIIIe siècle notamment, un secteur qui prend de plus en plus de place dans la satisfaction des besoins des populations. La demande en bois de chauffage, pour ne parler que de lui, ne cesse de grandir et elle s'accompagne de préoccupations croissantes de la part de ceux qui cherchent à y répondre, marchands ou échevins, dont celles de l'acheminement et du stockage ne sont pas les moindres. Le second, notamment, fait appel à des ports et des chantiers qui, l'exemple parisien en témoigne abondamment, peuvent devenir, pour peu que la tension monte en ville, des lieux de contestation sinon de violence. C'est que, comme pour les grains, volumes et prix doivent être sous contrôle plus ou moins apparent selon l'importance des enjeux et, notamment, de la clientèle à satisfaire.
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Dalo, Patrice. "Quelle vision des forêts pour les défenseurs de l’environnement par rapport aux effets du réchauffement climatique ?" Revue forestière française 74, no. 2 (June 23, 2023): 223–27. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7597.

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La société se préoccupe de plus en plus de questions forestières essentiellement sous l’angle de la protection de la nature, ou sous sa forme moderne, de la préservation de la biodiversité. Les attentes de la société s’expriment à travers un tissu associatif fédéré en particulier par France Nature-Environnement. Les préoccupations les plus souvent exprimées concernent les coupes rases, la protection d’espèces emblématiques et l’introduction d’espèces exotiques, tout en reconnaissant l’importance du contexte de changements climatiques de plus en plus prégnant. Ces préoccupations doivent trouver leur place dans un dialogue apaisé avec les gestionnaires forestiers dans le cadre de concertations régionales et nationales. Messages clésFrance Nature Environnement défend un modèle de concertation autour de la gestion multifonctionnelle.Dans ce modèle, les services de production (de bois) et de protection (de la biodiversité) sont pris en compte.
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Vion-Delphin, François. "L'approvisionnement en bois de chauffage d'une capitale provinciale au XVIIIe siècle : le cas de Besançon." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 51–74. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.912.

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During the 18th century, heating in Besançon was one of the city Magistrate's greatest concerns, a concern as well for the province's Intendant. In order to satisfy ever-increasing demand linked to the city population's doubling in size during the century (from 17,000 inhabitants in 1709 to 32,000 in 1791), municipal forestry property was highly insufficient and timber had to be brought in from the outside. Routes were not designed for regular transportation of heavy timber convoys, and therefore the Doubs river was used to float cut timber upstream. From 1701 to 1726, numerous conflicts opposed the «Grand-Maitre des Eaux et Forets» and the Intendant ; the «Grand Maitre» feared that the communities of upper Besançon would damage their forest land in order to send larger quantities of wood for heating purposes, while the Intendant, supported by the urban Magistrate, was concerned with insuring a regular supply, and thus avoiding public complaint. This serious problem was resolved between 1726 and 1735 by the decision to use timber from communities of the Val de la Barbeche for urban heating, as well as timber from communities of the entire Baume area. This wood was auctioned by the Grand-Maitre for the communities' profit, with the buyers responsible for floating the logs on the Doubs toward the timber port of Rivotte, at Besançon. River currents were studied in order to facilitate passage and each year, more than 1000 hectares were thus destined for Besançon heating. Difficulties were not totally resolved, however, and at the end of the century, the city still did not benefit from adequate reserves, in the event of an extremely rude winter ; this question of supply remained a major concern up through the 19th century.
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Allemand, Nadine, and Jean-Pierre Chang. "Évolution des émissions de certains polluants atmosphériques en France métropolitaine." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 114, no. 2 (April 10, 2024): 8–19. http://dx.doi.org/10.3917/re1.114.0008.

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Abstract:
L’évolution des émissions de certains polluants atmosphériques entre 1990 et 2022 et la contribution des grands secteurs émetteurs sont le sujet de cet article avec un éclairage spécifique sur le secteur industriel et la production d’énergie. Les polluants considérés sont le SO 2 , les NOx, les COVNM et les PM 2,5 . Ces quatre polluants font l’objet d’engagements de réduction des émissions, mis en place par le Protocole de Göteborg amendé de 2012 de la Convention de la Commission pour l’Europe des Nations unies (CEENU) et par la directive européenne 2284/2016 relative à la Réduction des émissions de certains polluants atmosphériques, repris dans le Plan national de Réduction des Émissions de Polluants Atmosphériques ou PREPA. La France a réussi à tenir ses engagements de réduction des émissions totales de SO 2 , NOx, COVNM et PM 2,5 à partir de 2020. La diminution des émissions de ces quatre polluants est significative dans l’ensemble des secteurs émetteurs. Les émissions des secteurs de la production d’énergie et de l’industrie manufacturière étaient très importantes dans les années 1990. Aujourd’hui, leurs contributions dans les émissions totales sont bien moindres face au transport routier et à l’agriculture pour les NOx, au chauffage domestique au bois pour les PM 2,5 et au chauffage domestique au bois et à l’agriculture pour les COVNM. Les émissions de l’industrie de l’énergie ont diminué de 80 % en NOx et de 96 % en PM 2,5 entre 1990 et 2021. Pour l’industrie manufacturière des réductions de 58 % en NOx et 61 % en PM 2,5 ont été obtenues sur la même période. Ces réductions peuvent s’expliquer en partie par des baisses des niveaux de consommation de combustible dans la production d’électricité ou de baisse de l’activité dans certains secteurs industriels, mais rapportées à l’unité de consommation de combustible ou unité de production, les émissions ont diminué sous l’impulsion des réglementations mises en œuvre et notamment la directive Émissions industrielles qui a imposé le recours aux meilleures techniques disponibles ou équivalent. Pour 2030, les actions de réduction devront se poursuivre pour assurer le respect des prochains engagements, notamment pour les NOx et les PM 2,5 .
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Husson, Jean-Pierre. "Les difficultés d'approvisionnement en bois de chauffage des villes lorraines à la fin du XVIIIe siècle. Essai de géographie historique." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 75–87. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.913.

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Abstract:
Après 1770, les villes lorraines, confrontées à une croissance démographique importante, sont gênées, dans leur développement, par de graves difficultés d'approvisionnement en bois de feu. La multiplication des usines à feu et la diffusion du taillis-sous-futaie, provoquée par la généralisation des pratiques sylvicoles françaises, se conjuguent pour expliquer une rapide mais inégale détérioration de la situation. Cet essai de géographie historique a pour but de présenter une analyse critique des sources utilisées, d'apprécier l'étendue des pressions exercées sur la couverture forestière et d'esquisser un état des disparités paysagères, nées de la juxtaposition d'espaces dégradés ou sous-exploités.
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Roche, Daniel. "De la forêt exploitée à la forêt protégée et urbanisée. Quelques réflexions sur le bois et la ville." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 3–11. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.907.

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Abstract:
Le large éventail des disciplines représentées et des périodes envisagées par les intervenants a permis au colloque qui s'est tenu à St Cloud en novembre 1988 d'étudier sur un millénaire les rapports entre le bois et la ville et d'en esquisser à la fois les constantes, les évolutions et les ruptures. Il a mis en évidence les traits majeurs de ce qui fut une civilisation du bois, à la ville autant que dans les campagnes. La vie citadine ancienne ne peut en effet se passer du bois : pour la construction des maisons, pour le chauffage domestique et la cuisine, pour une multitude de métiers artisanaux et de commerces. La constante croissance urbaine et l'essor des activités également exigeantes de la proto-industrialisation (forges, verreries...) posent avec de plus en plus d'acuité, à partir du XVIIIe siècle surtout, le problème de l'approvisionnement en bois des villes. Pour y faire face, les autorités municipales et provinciales d' Ancien Régime s'efforcent d'améliorer les voies de ravitaillement (essentiellement le flottage sur cours d'eau ou canaux) ou d'obtenir le monopole de la production d'une zone forestière plus ou moins proche et, d'une façon générale, de contrôler le marché pour répondre, si possible, aux besoins et aux intérêts économiques en présence tout en freinant la hausse des prix du bois. Durant les siècles médiévaux et modernes, le rapport entre la ville et la forêt est donc essentiellement utilitaire mais il est marqué aussi d'une charge symbolique ambivalente : le bois est un organisme vivant, valorisé encore par les références chrétiennes, mais la forêt est le refuge de forces maléfiques. Elle n'est donc pas considérée comme un espace de loisir pour les citadins, sinon sous forme de la chasse seigneuriale et royale. Les XIXe et XXe siècles voient au contraire, avec la révolution industrielle, naître, se développer, et prévaloir même sur le souci traditionnel de l’exploitation économique, l’idée que la forêt est, par excellence, l'espace où les citadins peuvent venir passer régulièrement des loisirs régénérateurs et formateurs sur les plans physiologique, moral, esthétique, social : il faut donc à la fois l'aménager en conséquence et la protéger contre la prolifération urbaine et ses dangers, voire même restaurer la nature sylvicole originelle. Ainsi, au terme d'un parcours millénaire, l'on assiste à l'inversion totale du rapport entre la forêt et la ville.
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Owona Ndongo, Pierre André, Régis Peltier, Ibrahim Linjouom, Dominique Louppe, Georges Smektala, Vincent Béligné, Raphaël Njoukam, Bernard Tieche, and Lucie Félicité Temgoua. "Plantations de bois d'oeuvre en zone équatoriale africaine : cas de l'arboretum de l'Enef de Mbalmayo au sud du Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20421.

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Abstract:
Aux abords de l'École forestière de Mbalmayo au Cameroun, un arboretum a été installé à partir de 1956. Il a été suivi et protégé par plusieurs générations d'enseignants avec l'appui de diverses agences de coopération. À l'occasion du cinquantième anniversaire de sa création, une étude y a été menée sur quinze parcelles afin de mesurer leurs principaux paramètres dendrométriques et de pouvoir estimer leur productivité en bois d'oeuvre. Les peuplements de bété, Mansonia altissima, de framiré, Terminalia ivorensis, et de wengé, Milletia laurentii, présentent une bonne production ligneuse qui augure de belles perspectives pour le reboisement. Les parcelles, au départ monospécifiques, abritent à présent une régénération naturelle variée d'espèces ligneuses et herbacées. Ces résultats permettent de justifier une reprise des plantations de bois d'oeuvre en zone de forêt dense humide d'Afrique centrale. Les grandes plantations industrielles, qui ne sont plus aujourd'hui prioritaires, cèdent utilement la place à de petites plantations individuelles ou à des boisements collectifs ou communaux plus étendus. Le Programme sectoriel Forêt et Environnement financé par un mécanisme de remise de la dette doit y contribuer. (Résumé d'auteur)
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Bellande, Alex. "Haïti dans le marché mondial du bois aux 19ème et 20ème siècles : Commerce et environnement." Journal of Haitian Studies 22, no. 1 (2016): 130–46. http://dx.doi.org/10.1353/jhs.2016.0030.

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Bassène, César, Mariama Dalanda Diallo, Bakary Diaité, Aliou Diop, and Aliou Guissé. "Caractéristiques de la végétation herbacée d’une parcelle mise en défens dans le Ferlo Nord au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 3 (September 17, 2020): 207–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31895.

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Abstract:
Cette étude se propose d’évaluer les caractéristiques de la végétation herbacée dans le Ferlo Nord au Sénégal. La végétation joue un rôle essentiel dans la vie des populations sahéliennes car elle constitue une ressource fourragère très importante pour les animaux. Elle est aussi très utilisée par la population locale comme bois de chauffage, bois d’oeuvre et dans l’alimentation. C’est ainsi que la gestion durable des ressources végétales d’une localité nécessite la connaissance de la flore pour appuyer les politiques de développement durable. C’est à cet effet que des inventaires de la strate herbacée ont été réalisés sous couvert et hors couvert sur une parcelle de cinq hectares mise en défens. La méthodologie d’inventaire adoptée a été la technique du « tour de champ » sur une période de quatre ans (2014–2017). Les résultats ont permis de dénombrer 66 espèces réparties dans 43 genres et 20 familles. Parmi ces espèces, les dicotylédones ont été dominantes avec 46 espèces (69,7 %), alors que les monocotylédones n’ont été représentées que par 20 espèces (30,3 %). Les familles les plus représentatives ont été les Poaceae avec 17 espèces, suivies des Fabaceae avec 7 espèces et des Malvaceae avec 6 espèces. Les thérophytes ont représenté 91 % des types biologiques, alors que les chaméphytes et les géophytes n’ont représenté que 4,5 % chacun. Au plan biogéographique, les espèces d’affinités africaines et pantropicales ont été dominantes avec respectivement 30,3 % et 24,2 % des espèces de la flore.
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Faliarivola, Manoa L., Aristide Andrianarimisa, Marie Jeanne Raherilalao, and Steven M. Goodman. "Diversité des Arthropodes de sous-bois des forêts sèches de Madagascar." Bulletin de la Société entomologique de France 127, no. 3 (2022): 233–50. http://dx.doi.org/10.32475/bsef_2194.

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Abstract:
Diversity of understory arthropods in the dry forests of Madagascar. The arthropods of Madagascar are among the most poorly known animal groups on the island. The principal objective of this study was to determine the diversity of this group at three different localities in lowland dry forests of western Madagascar. The three sites, all inventoried during the dry season in 2017, include: the Ankarafantsika National Park (16°18’S, annual rainfall: 867 mm) in the northwest; the forest of the Centre National de Formation, d’Études et de Recherches en Environnement et Forestier (CNFEREF) at Kirindy (20°04’S, annual rainfall: 555 mm) in the central west; and the Tsimanampesotse National Park (24°01’S, annual rainfall: 334 mm) in the extreme southwest. Malaise and pit-fall traps were used to capture arthropods and 24 orders belonging to 133 families were identified. The community at Ankarafantsika was the most diverse with 19 orders and 89 families with a more balanced taxonomic representation, while Tsimanampesotse had 18 orders and 69 families and Kirindy CNFEREF had 17 orders and 70 families. Calculated similarity between the different sites at the family level was relatively high, while that at the order level relatively low even given a certain level of homogeneity was noted between the three localities. The composition of arthropods in the dry forests of Madagascar varies according to local conditions, which include bioclimatic factors, and the characteristics of the vegetation at the three localities.
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Arsène, EWOSSAKA, KOUBOUANA Felix, AYESSA LECKOUNDZOU, and MAYIKA Ivan Arnold. "Processus Technologique de Fabrication Du Contre-Plaque." Forestry & Agriculture Review 2, no. 1 (February 4, 2021): 37–51. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.72.

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Abstract:
It should be remembered that in the Congo Basin, investments in new wood processing plants or in the extension of existing ones are still very limited. In addition, the 3 wood products exported from this region are mainly sawn timber, veneers, and plywood. It should be noted that despite some timid existing opportunities, some companies operating in the Congo Basin are struggling to invest in wood processing and therefore do not effectively contribute to the development of national and sub-regional economies. To better capitalize on these opportunities, it is important to create a business environment conducive to new investments in advanced wood processing. Ultimately, this study made it possible to assimilate the techniques and processes of obtaining veneers and plywood successfully through the technology of the machines developed, with the application of our theoretical knowledge in order to gain experience of professionally enhanced intellectual capacities. The plywood production is fixed at 6,651 m3; 8,452 m3 respectively in 2011 and 2012 showing a gradual increase in the order of 1,801 m3 due to strong demand from the local market. With regard to the annual volume of veneers obtained, the yield of veneers and plywood obtained were the following R1 ≈ 44% and R2 ≈ 30%. Exports of peeled veneers recorded a drop of 8.20% in volume, reaching 25,893.244 m3 in 2019 against 28,206.341 in 2018. However, peeled veneers each ranked 4th, in order reached 25,893.244 m3 or 2.60%. Okoumé, with 391,030,067 m3, or 39.31% of the total volume, was the main forest species among the various exported products, out of more than sixty exported concerned. Rappelons que dans le Bassin du Congo, les investissements dans les nouvelles usines de transformation du bois ou dans l’extension de celles existantes restent encore très limités. En outre, les 3 produits de bois exportés de cette région, sont majoritairement les bois sciés, les placages et les contreplaqués. Soulignons qu´en dépit de quelques timides opportunités existantes, certaines entreprises opérant dans le Bassin du Congo peinent à investir dans la transformation du bois et de ce fait, ne contribuent pas efficacement au développement des économies nationales et sous-régionales. Pour mieux capitaliser ces opportunités, il s´avère important de créer un environnement d´affaires propice aux nouveaux investissements dans la transformation poussée du bois. En effet depuis l’année 2000, le Congo s’était doté de la loi forestière, loi n° 16 - 2000 du 20 novembre 2000 portant code forestier qui consacre la gestion durable des forêts garantissant une exploitation soutenue des bois et une conservation des écosystèmes ; et jusqu’à la promulgation de la nouvelle loi forestière n°33 – 2020 du 8 juillet 2020 portant code forestier qui aborde de nouvelles questions climatiques et environnementales ; le développement et la diversification de la transformation constitue l’une des principales stratégies pour la mise en œuvre de cette politique, avec une utilisation rationnelle des bois, avec une valeur ajoutée plus importante du secteur forêt – bois et la création de plus d’emplois.
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Bakehe, Novice Patrick. "L’effet de l’exposition au bois de chauffage sur la santé respiratoire et sur la participation au marché du travail au Cameroun." Revue française d'économie Vol. XXXVI, no. 2 (October 27, 2021): 163–95. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.212.0163.

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Suma, Sophie. "Que nous dit la maison de La petite maison dans la prairie ?" Radar, no. 7 (June 15, 2022): 107–14. http://dx.doi.org/10.57086/radar.508.

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Abstract:
La petite maison dans la prairie est l’une des séries américaines des années 1970-80 les plus diffusées au monde. Le paysage de son imagerie est composé de prés fleuris et de puritanisme, mais aussi de maisons en bois, un environnement fait d’objets visuels prenant la forme de « constructions visuelles du champ social » (Mitchell, 2005). En reproduisant en série l’image de colons qui s’installent légitimement sur ces terres avec leurs cabanes, ces représentations s’inscrivent dans le « champ de la visualité » (Mirzoeff, 2011). L’objectif est ici de déconstruire l’image positive et dominante de la log-cabin du pionnier américain comme symbole des self-made men, représentée par les productions artistiques, en lui préférant une représentation plus critique, plutôt comme l’objet matériel de la colonisation naturalisante des pionniers sur les territoires amérindiens. Que nous dit alors la log-cabin de la représentation des pionniers de l’Ouest américain et de leur identité ?
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Henry, Auréade, and Marc Bobœuf. "Environnement ligneux et gestion du bois de feu au cours du Mésolithique au Clos de Poujol (Campagnac, Aveyron)." Bulletin de la Société préhistorique française 113, no. 1 (2016): 5–30. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2016.14717.

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Dubiez, Emilien, Cédric Vermeulen, Jean-Philippe Tonneau, Timothée Yamba Yamba, Baby Mvolo, and Adélaïde Larzillière. "Le paysage comme outil d'aménagement des terroirs villageois." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 11. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20534.

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Abstract:
La gestion de la ressource bois énergie en périphérie des grands centres urbains est devenue une préoccupation de premier ordre en Afrique centrale. À une demande croissante en bois énergie correspondent des auréoles de déforestation de plus en plus larges. Les communautés villageoises situées dans cette auréole vivent aujourd'hui dans un environnement à ce point dégradé que les écosystèmes forestiers et les biens et services associés y ont presque disparu. La surexploitation de ces espaces nécessite entre autres de repenser l'aménagement des terroirs villageois. Cette étude présente une démarche d'élaboration de plan simple de gestion de terroirs villageois. L'article discute la pertinence d'une approche d'aménagement fondée sur le paysage perçu et vécu par les populations. L'organisation sociale de la communauté, ses pratiques et ses modes de régulation d'accès à la ressource sont des éléments qui structurent le paysage. Ils se traduisent dans une typologie locale de l'espace employée au quotidien. Cette typologie a été mobilisée pour une meilleure appropriation des concepts d'aménagement par les communautés et pour une mise en ¿uvre plus effective. À contre-courant de la foresterie communautaire développée depuis plusieurs années en Afrique centrale, cette approche est structurée autour d'un processus participatif, progressif et itératif. Elle permet d'amener des groupes endogènes à intégrer leur vision de l'espace dans les prises de décision, à faciliter les débats autour de la question de l'aménagement de leur terroir et à contribuer à la reconstitution d'espaces forestiers dégradés.
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Morin-Rivat, Julie. "Des arbres et des hommes : nouvelles perspectives sur les relations entre l’Homme et son environnement dans les forêts humides d’Afrique centrale à l’Holocène récent." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31501.

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Abstract:
Traditionnellement, les études paléoécologiques menées en Afrique centrale ont documenté l’évolution de la végétation, en particulier le rôle du climat dans le façonnage des paysages forestiers tropicaux. Ces études restent néanmoins peu nombreuses, en raison des conditions d’accès au terrain et de la grande diversité en matière d’espèces végétales. En outre, la relation entre l’homme et son environnement y demeure un champ d’investigation relativement récent. Conduite dans une optique pluridisciplinaire, entre archéologie et écologie, cette thèse s’intéresse aux activités humaines passées dans le nord du bassin du Congo et à leur impact sur les forêts telles que nous les voyons aujourd’hui. L’analyse du cadre spatio-temporel des activités anthropiques dans l’Intervalle de la Sangha montre l’ampleur du manque de connaissances sur cette présence humaine. Elle souligne également l’absence d’occupations humaines entre ~1300 et 600 BP dans la zone d’étude. Une méthodologie est donc proposée pour combler ces lacunes, basée sur l’acquisition et l’analyse statistique des restes botaniques carbonisés trouvés dans les sols. Les résultats montrent une opposition spatiale entre espaces domestiques et agricoles. La combinaison d’endocarpes de palmier à huile carbonisés et de tessons de céramique indiquerait la présence de villages, tandis que la présence de charbons de bois supposerait davantage l’existence de champs. Par ailleurs, le rassemblement et l’analyse d’importants jeux de données (i. e. paléoécologiques, archéologiques, historiques et dendrologiques), centrés sur l’Intervalle de la Sangha et couvrant le dernier millénaire, soulignent l’effet des changements d’usage des terres sur la régénération de quatre populations d’arbres héliophiles actuellement exploités pour leur bois (Erythrophleum suaveolens, Pericopsis elata, Terminalia superba et Triplochiton scleroxylon). Les résultats mettent particulièrement en exergue le rôle de la colonisation européenne à partir de la deuxième moitié du 19e siècle dans ces changements, et le déficit de régénération de ces populations d’héliophiles depuis cette période. Ainsi, ce travail souligne l’importance de la chronologie, de l’identification des activités humaines passées au sein des forêts denses humides et de l’impact de l’histoire humaine récente sur les paysages forestiers d’Afrique centrale. Enfin, nous identifions plusieurs lacunes et proposons des pistes de recherche, notamment en direction des gestionnaires forestiers.
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Salavert, Aurélie, Muriel Boulen, Sylvie Courbay, Alexa Dufraisse, A. Amposta, Françoise Bostyn, Claude Constantin, et al. "Environnement végétal et collecte du bois de feu au Néolithique dans le sud du bassin de l’Escaut (5 200-2 200 BC)." Bulletin de la Société préhistorique française 115, no. 4 (2018): 701–31. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2018.14945.

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Salavert, Aurélie, Muriel Boulen, Sylvie Courbay, Alexa Dufraisse, A. Amposta, Françoise Bostyn, Claude Constantin, et al. "Environnement végétal et collecte du bois de feu au Néolithique dans le sud du bassin de l’Escaut (5 200-2 200 BC)." Bulletin de la Société préhistorique française 115, no. 4 (2018): 701–31. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2018.14945.

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Lacroix, Laurier. "Le séjour montréalais du graveur français Rodolphe Bresdin, 1873-1877." Les Cahiers des dix, no. 60 (March 10, 2011): 129–64. http://dx.doi.org/10.7202/045770ar.

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Abstract:
Rodolphe Bresdin (1822-1885) est une figure connue et appréciée de la gravure en France. Ses œuvres au style détaillé le place au confluent de plusieurs courants de la pensée esthétique en Europe au XIXe siècle. Proche du milieu littéraire, il incarne la figure de l’artiste bohème, tel que l’a dépeint Champfleury dans sa nouvelle Chien-Caillou (1845), appellation qui devint son pseudonyme. La carrière de Bresdin est marquée par l’itinérance. Dans son désir de trouver un environnement stable et peu coûteux pour vivre et créer l’amène à émigrer au Canada en 1873. Cet aspect de sa carrière a intéressé les nombreux chercheurs européens et américains qui l’ont étudié, mais l’accès aux sources rendait leur travail difficile. Un article paru dans La Presse le 28 octobre 1905 fournit des indices qui permettent de reconstituer quelques-uns des jalons du séjour de l’artiste et de sa famille (il avait 6 enfants) à Montréal. J’ai pu ainsi retracer une partie du réseau dans lequel Bresdin s’est inséré, principalement d’autres néo-canadiens d’origine française et identifier quelques nouvelles œuvres. Des aspects jusqu’alors inédits de son travail prennent forme, alors qu’on le voit s’intéresser à la caricature et à la gravure sur bois. Bresdin s’adonne également à l’enseignement tout en acceptant une commande pour les sulpiciens. Découragé par le manque de travail il retourne à Paris au printemps de 1877.
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Hocquet, Jean-Claude. "L’Adriatique, golfe de Venise? Commerce, ports et relations à la fin du Moyen Âge." Anales de la Universidad de Alicante. Historia Medieval, no. 23 (May 26, 2022): 13. http://dx.doi.org/10.14198/medieval.20224.

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Abstract:
Aux xive et xve siècles, Venise, placée favorablement en Méditerranée, à proximité des grands fleuves et de cols alpins qui conduisent en Lombardie ou en Allemagne et en Flandre, tente d’imposer un monopole de navigation et de commerce à la mer Adriatique considérée comme son Golfe. Elle bénéficie de son avance technique et de son organisation (l’Arsenal), de ses bateaux (nefs coques, galères), de ses connaissances financières, de sa richesse et de l’expérience acquise par ses marchands sur les places du Levant comme à l’Ouest. Cité sans campagne (ville sans contado), elle fait venir de l’extérieur, par la mer ou par les fleuves, tout ce qui est nécessaire à sa population (matériaux de construction, bois de chauffage, et tout le vivre, céréales, vin, huile et bétail) et à son industrie navale ou textile (draperie et soierie), elle craint de manquer et met à contribution une vaste partie de l’Europe, Pourtant, elle se heurte à de graves difficultés en Adriatique même, à la piraterie, aux puissances riveraines, aux ports concurrents, Raguse et Ancône, à l’intrusion du capital et de marchands toscans dans les ports de Dalmatie, elle cherche à appliquer son monopole aux territoires qu’elle domine politiquement et qui constituent son empire, mais, par peur de la contrebande qui ruinerait ses recettes douanières et fiscales, elle réduit l’activité maritime et commerciale de ses territoires-sujets. Les marchands vénitiens font certes commerce où ils veulent mais dès qu’ils entrent en Adriatique, ils doivent se rendre à Venise avec leurs marchandises et non dans un autre port. Venise semble forte de sa puissance assise sur des points d’appui solides et sur la faiblesse de ses adversaires : si Gênes n’est plus une menace, de nouveaux dangers menacent en Adriatique même, les Turcs ottomans contre qui Venise commence à mener d’épuisantes guerres.
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Hardy, Jean-Pierre. "Quelques aspects du niveau de richesse et de la vie matérielle des artisans de Québec et de Montréal, 1740-1755." Revue d'histoire de l'Amérique française 40, no. 3 (August 20, 2008): 339–72. http://dx.doi.org/10.7202/304467ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'étude vise à comparer le niveau de richesse et quelques aspects de la vie matérielle des artisans de Québec et de Montréal à l'aide principalement des inventaires après décès. Les fortunes mobilières révèlent qu'il existe dans une ville comme dans l'autre deux groupes d'artisans bien distincts : les plus démunis — près de 60 % — avec moins de 700 livres en biens mobiliers, et les plus à l'aise dont la valeur des mêmes biens dépassent les 800 livres pour atteindre parfois 2 000 livres. En ajoutant à ces biens le numéraire, les créances, les dettes et surtout les biens fonciers et immobiliers, il apparaît clairement que les fortunes les plus imposantes sont plus nombreuses dans la capitale. En effet, on y est moins nombreux à posséder sa maison, mais elle est généralement en pierre et vaut de trois à cinq fois plus que celle en bois de Montréal. On y possède aussi des pièces d'argenterie et du numéraire pour une valeur beaucoup plus considérable. Enfin, parmi les artisans qui peuvent investir, ceux de Québec préfèrent la maison de pierre alors que ceux de Montréal choisissent plutôt la terre, en général de moindre valeur. La quantité, la qualité et la variété des biens mobiliers opposent beaucoup moins les artisans des deux villes que fortunés et moins fortunés. En effet, que l'on regarde le système de chauffage, la batterie de cuisine, la vaisselle, le mobilier de la salle commune ou de la chambre à coucher et les objets de décor, les écarts apparaissent frappants entre les deux groupes. Il n'y a évidemment rien de très surprenant à cette opposition entre riches et moins riches mais la comparaison a le mérite de dépeindre des intérieurs domestiques qui se distinguent à plusieurs égards en même temps que d'identifier les domaines de consommation privilégiés des plus à l'aise des artisans.
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Veluk Gutierrez, Felipe, Ronnie De Camino, and Alejandro Imbach. "Cartographie des aires prioritaires pour la restauration des paysages forestiers et l'amélioration des moayens de subsitance ruraux sur l'Altiplano de San Marcos au Guatemala." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, no. 313 (September 1, 2012): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20498.

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Abstract:
Le projet de recherche a été mené au sein de trois petits bassins versants localisés dans l'altiplano du département de San Marcos, dans la région Sud-Ouest du Guatemala. L'objectif principal était d'analyser les attributs spatiaux du territoire et de cartographier les aires prioritaires pour aider les parties prenantes aux prises de décision de mise en oeuvre de futurs efforts régionaux de développement, d'aménagement et de conservation des ressources naturelles. Ce travail a pris en compte différents outils et approches techniques tels que: la restauration du paysage forestier (Rpf), les milieux de vie durables, les services écosystémiques, le système d'information géographique (Sig) et l'analyse décisionnelle avec de multiples critères spatiaux. Cette cartographie a identifié et mis en exergue trois lignes stratégiques de Rpf en accord avec chaque modèle spatial ainsi créé, qui sont par ordre d'importance croissante, l'aménagement et la conservation des résidus forestiers, le reboisement ou la régénération de terres dégradées et, surtout, la mise en place de systèmes agroforestiers. Chaque modèle a été établi à partir d'attributs géographiques spécifiques en accord avec les besoins élémentaires des moyens de vie et aussi à partir des données spatiales disponibles. En outre, différents services écosystémiques ont été mis à profit pour orienter la construction de la structure cartographique, parmi lesquels: l'approvisionnement en bois énergie et bois d'oeuvre, la régulation hydrique, la protection des sols et la réduction des risques de glissement de terrain et le gel, la production/sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Le Sig s'est avérée être un outil assez puissant et innovant pour comprendre et intégrer le large et complexe réseau de facteurs et/ou lignes de force (mosaïque d'usage du sol, moyens de vie locaux, relations et enjeux sociaux, parmi d'autres caractéristiques géographiques) qui définissent le paysage et ses habitants et consolident ainsi les futurs efforts ou plans régionaux de Rpf. L'analyse spatiale et l'identification d'aires prioritaires à choisir pour la Rpf constituent ainsi les éléments clés d'appui auprès des responsables locaux et des décideurs en vue de l'usage optimal de leurs ressources techniques et financières afin d'élaborer un avenir le plus durable possible vis-à-vis des communautés et de leur environnement.
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Lavoie, Martin, and Pierre J. H. Richard. "Paléoécologie de la tourbière du lac Malbaie, dans le massif des Laurentides (Québec) : évaluation du rôle du climat sur l’accumulation de la tourbe." Géographie physique et Quaternaire 54, no. 2 (October 2, 2002): 169–85. http://dx.doi.org/10.7202/004843ar.

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Résumé Des analyses microfossiles (pollen, rhizopodes, charbons de bois) et des macrorestes végétaux ont été réalisées sur trois profils d'une tourbière du massif des Laurentides, au Québec. Les objectifs sont de reconstituer la succession de la végétation locale et les conditions hydrologiques qui ont présidé à l'accumulation de la tourbe en trois points d'échantillonnage, afin d'en inférer certaines conditions du climat, notamment sous l'angle du régime hydrique. Des conditions hydrologiques locales contrastées se sont établies entre les différents secteurs de la tourbière durant son développement. Sauf au cours de l'Holocène supérieur, les analyses paléobotaniques n'ont pas révélé d'influences hydriques claires de nature climatique sur l'accumulation de la tourbe. Le dépôt des premiers sédiments organiques a débuté au sein d'un petit étang vers 10 300 ans BP (années étalonnées) dans un environnement de toundra arbustive, plus de 2000 ans après le retrait régional des glaces. À l'Holocène inférieur, après des conditions climatiques initiales rigoureuses, l'augmentation des températures semble avoir été déterminante sur la productivité végétale et sur la dynamique de l'entourbement. De 8000 jusque vers 3000 ans BP, un ralentissement généralisé du rythme de l'accumulation sédimentaire s'est produit dans l'ensemble de la tourbière. Il est attribué en partie à une décomposition anaérobique par des cyanobactéries fixatrices d'azote. Une importante reprise de l'entourbement vertical est survenue au cours des trois derniers millénaires, sans doute en réponse à l'établissement de conditions climatiques plus fraîches et plus humides.
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Garba, Y., E. Jobe, E. A. Adeola, and I. R. Muhammad. "Challenges and threats to rangeland utilization and appropriate intervention indicators for sustainable livestock production in North Bank Region of The Gambia." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 6 (January 18, 2022): 321–31. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3320.

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Abstract:
The North Bank Region (NBR) of The Gambia rangeland is composed of shrubby vegetation with few widely spaced trees and undergrowth forbs and grass species on a flat terrain. A study was conducted to ascertain the challenges and threats to rangelands utilization by livestock in NBR, and to identify appropriate intervention indicators for sustainable rangeland livestock production in the region.A multi-stage sampling technique was employed to select 200 respondents from the seven districts in the NBR. Data obtained from the study were analyzed using descriptive statistics. Majority (94.9%) of the respondents were not satisfied with the current condition of their rangelands. A large number (54.3%) of the respondents noted crop cultivation as a source of rangeland encroachment. Other sources of rangeland encroachment in NBR noted by the respondents were transhumance grazing, bush burning and firewood fetching. Provision of water is the most intervention of interest in NBR as opined by 46.9% of the respondents, while 16.9% recommended pasture establishment for sustainable rangeland livestock production. Challenges faced by livestock keepers and context-specific areas of intervention were highlighted. The study revealed a decline in rangeland forage resources in NBR of The Gambia. Crop farming was found to be the major cause of rangeland encroachment. Priority should be given to rangeland development and protection for sustainable livestock production in The Gambia. La région de la rive nord (RRN) des parcours de la Gambie est composée d'une végétation arbustive avec peu d'arbres largement espacés et de sous-bois et d'espèces d'herbes sur un terrain plat. Une étude a été menée pour déterminer les défis et les menaces à l'utilisation des pâturages par le bétail dans la NBR, et pour identifier les indicateurs d'intervention appropriés pour une production animale durable sur les parcours dans la région. Une technique d'échantillonnage à plusieurs degrés a été utilisée pour sélectionner 200 répondants dans les sept districts de la RRN. Les données obtenues à partir de l'étude ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives. La majorité (94,9%) des répondants n'étaient pas satisfaits de l'état actuel de leurs parcours. Un grand nombre (54,3 %) des répondants ont indiqué que la culture des cultures était une source d'empiètement sur les parcours. Les autres sources d'empiètement sur les parcours dans la RRN notées par les répondants étaient le pâturage de transhumance, le brûlage de brousse et le ramassage de bois de chauffage. L'approvisionnement en eau est l'intervention la plus intéressante dans la RRN, comme l'ont exprimé 46,9% des personnes interrogées, tandis que 16,9% ont recommandé l'établissement de pâturages pour une production animale durable sur les parcours. Les défis auxquels sont confrontés les éleveurs et les domaines d'intervention spécifiques au contexte ont été mis en évidence. L'étude a révélé un déclin des ressources fourragères des parcours dans la RRN de la Gambie. L'agriculture s'est avérée être la principale cause de l'empiètement des pâturages. La priorité devrait être donnée au développement et à la protection des parcours pour une production animale durable en Gambie.
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CANDELIER, Kévin, and Jean-François TRÉBUCHON. "Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 349 (October 11, 2021): 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

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Abstract:
Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
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Gauthier, Benoît. "SWEENY, Robert, avec la collaboration de Grace LAING HOGG et Richard RICE, Les relations ville/campagne : le cas du bois de chauffage. Montréal, Groupe de recherche sur l’histoire des milieux d’affaires de Montréal, Éditions du MBHP, 1988. cx-347 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 43, no. 3 (1990): 430. http://dx.doi.org/10.7202/304828ar.

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ALI MOUSSA, Aïssatou, Aimé Christian NDIH, and Madi ALI. "Typologie des élevages de lapins dans la zone sahélienne du Cameroun : cas de la ville de Maroua." Journal of Applied Biosciences 185 (May 31, 2023): 19393–401. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.185.3.

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Abstract:
Objectif : La présente étude a pour finalités : (i) de décrire de façon systémique les pratiques cunicoles locales de 135 élevages choisis de manière empirique (technique boule de neige), en relation avec l’espace de l’élevage, les risques physiques induits pour l’animal, les caractéristiques des locaux (nature de construction) et les outils utilisés ; (ii) de faire la typologie de cet élevage. Méthodologie et résultats : Le diagnostic de la pratique cunicole met en évidence une activité exclusivement secondaire, caractérisée d’élevage de diversification pour 90% de la population éleveurs, dont (70%) le font pour le commerce et (30%) pour l’autoconsommation. Le niveau d’étude des cuniculteurs influence les descripteurs de la réussite de l’élevage cunicole. À cet égard, les acteurs les plus instruits 31% (universitaires) opérationnalisent mieux le mode d’élevage. La cuniculture se fait aussi bien en zone urbaine (69%) que périurbaine (31%). Par ailleurs, les lapins sont élevés dans des bâtiments d’élevages (67%), dont le matériel de construction préférentiel est le bois (33%), la terre battue (36%) et la tôle (30%) mais la construction des cages fait appel au métal (81%), tandis que 33% sont élevés en plein air. La majorité des cuniculteurs (80%) formulent eux-mêmes leur provende contre 20% qui utilisent les restes de cuisine. Cette ration est combinée à trois sources de fourrage, fanes d’arachide (72%), les tiges de neem (17,9%) et les herbes saisonniers (10,1%). Les lapines ont présenté un cycle de reproduction moyenne de trois mises bas par an (51,6 %) avec une taille de la portée moyenne de six lapereaux (52,1 %) pour un sevrage qui se fait soit naturellement (75%) par la lapine ou programmé par l’éleveur (en fonction du poids (19%) ou de l’âge des lapereaux (6%). Si un plan de prophylaxie existe (57,7 %), les contraintes majeures portent préférentiellement sur les pathologies (75%) et l’approvisionnement en aliment (68%). Au demeurant, il s’est dégagé trois groupes d’élevages portés par les caractéristiques de l’éleveur, la conduite de l’élevage et les contraintes associées à la cuniculture. Conclusion et application des résultats : La présente étude met en pole position l’influence du niveau d’étude et de la formulation alimentaire sur la pratique technique cunicole dans un environnement concurrentielle avec d’autres élevages. Ces résultats pourraient justifier davantage le choix et l’attrait de la cuniculture comme activité. Mots clés : lapin, cuniculture, espèces non conventionnelles, élevage 19393 Moussa et al., J. Appl. Biosci. Vol : 185, 2023 Cameroun : cas de la ville de Maroua Typologie des élevages de lapins dans la zone sahélienne du Typology of rabbit farms in the sahelian zone of Cameroon: case of the city of Maroua ABSTRACT Objective: The present study was initiated with the following aims: (i) to describe in a systemic way the local rabbit practices of 135 farms chosen empirically (snowball technique), in relation to the space of the farm, the physical risks induced for the animal, the characteristics of the premises (nature of construction) and the tools used; (ii) to make the typology of this breeding. Methodology and results: The analysis of the rabbit practice highlights an exclusively secondary activity, characterized as diversification breeding for 90% of the stockbreeding population, of which (70%) do it for trade and (30%) for self-consumption. The level of education of rabbit breeders influences the descriptors of the success of the rabbit breeding. In this respect, the most educated actors 31% (university) operationalize more the farming method. Rabbit breeding is done in both urban (69%) and peri-urban (31%) areas. Otherwise, rabbits are bred in livestock buildings (67%), whose preferred construction material is wood (33%), beaten earth (36%) and sheet metal (30%) but the construction of cages used metal in (81%), while 33% are bred outdoors. The majority of rabbit breeders (80%) formulate their own feed against 20% who use kitchen waists. This ration is combined with three sources of fodder, peanut haulms (72%), neem stalks (17.9%) and seasonal grasses (10.1%). The does presented an average reproduction cycle of three farrowings per year (51.6%) with an average litter size of six young rabbits (52.1%) for weaning which is done either naturally (75%) by rabbit or programmed by the breeder depending on the weight (19%) or the age of the young rabbits (6%). If a prophylaxis plan exists (57.7%), the major constraints are related preferentially to pathologies (75%) and food supply (68%). Moreover, three groups of farms emerged, driven by the characteristics of the breeder, the management of the farm and the constraints related to rabbit breeding. Conclusion amd application of results: The present study puts in pole position the influence of the level of study and the food formulation on the rabbit technical practice in a competitive environment with other farms. These results could further justify the choice and the attractiveness of rabbit farming as an activity. Key words: rabbit, rabbit farming, unconventional species, husbandry
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"Bois, environnement et société." Revue Forestière Française, no. 3 (2003): 193. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5175.

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Reynders, M. "Esquisse de la sylviculture et de la recherche forestière au Rwanda et au Burundi avant 1961." Silva Gandavensis 51 (October 16, 1986). http://dx.doi.org/10.21825/sg.v51i0.930.

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Abstract:
Dans des pays pauvres et à forte densité de population comme le Rwanda et le Burundi, l'approvisionnement en bois de chauffage et en bois de service constituent le plus grand problème. La sylviculture et la recherche forestière sont donc surtout conçues en fonction de ces besoins prioritaires, sans négliger toutefois des activités forestières en vu de la production de bois d'œuvre.
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Autret, Erwan. "L'impact local du chauffage au bois. Approche par modélisation de la dispersion atmosphérique." Pollution atmosphérique, N°209 (2011). http://dx.doi.org/10.4267/pollution-atmospherique.575.

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Brandelet, Benoît, Christophe Rose, Julien Landreau, Caroline Rogaume, Lionel Druette, and Yann Rogaume. "Influence de pratiques réelles d’utilisations sur les émissions d’un appareil de chauffage domestique au bois." Pollution atmosphérique, N°236 (2018). http://dx.doi.org/10.4267/pollution-atmospherique.6482.

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Waziri, Mwinyi, Lebisabo Bungamuzi, Kanyama Joseph, Rammeloo Jan, NshimbaSeya Wa Malale, and Degreef Jérôme. "Culture de Pleurotus tuber-regium (Fr.) Singer sur substrat ligno-cellulosique en République Démocratique du Congo." Tropicultura, no. 1 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1695.

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Abstract:
Cette étude a concerné la culture sur pailles de riz et sciure de bois de Gilbertiodendron dewevrei de Pleurotus tuber-regium, espèce fongique tropicale appréciée pour sa saveur et ses propriétés médicinales. Les blancs ont été obtenus localement par isolement de spores de spécimens récoltés dans leur environnement naturel aux environs de Kisangani (RD Congo). La formation de sporophores est conditionnée à celle de sclérotes 14 jours au préalable. Trois poussées ont été enregistrées avec un rendement total de 42,25 % qui peut être considéré comme très satisfaisant et de loin supérieur au rendement économique de 20 % généralement reconnu pour qu’un substrat soit jugé approprié à la production de champignons.
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Doucet, Jean-Louis. "Palabres autour des arbres : des discours sur leur intelligence aux dérives de l’anthropomorphisme." BASE, 2020, 203–6. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18707.

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Abstract:
L’intelligence des arbres est un sujet qui passionne les populations urbaines. Elle fait l’objet d’un débat animé entre les différents acteurs du secteur forestier. La présente note vise à objectiver ce débat en synthétisant les connaissances récentes sur le sujet. Elle montre que les arbres peuvent communiquer entre eux, soit via des molécules volatiles, soit via des échanges souterrains, notamment grâce à un réseau mycorhizien. Les arbres peuvent aussi percevoir la lumière et les sons. Ils peuvent donc s’adapter à un environnement changeant, ce qui traduit une certaine forme d’intelligence. Néanmoins, renoncer à l’exploitation du bois sur cette base ne peut être justifié. Cela se traduirait par des impacts environnementaux dont la portée est occultée par les détracteurs de l’exploitation forestière.
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Badjaré, Bériname, Kouami Kokou, Nadédjo Bigou-lare, Dabitora Koumantiga, Ayitre Akpakouma, Macomba Bétidé Adjayi, and Georges Abbévi Abbey. "Étude ethnobotanique d’espèces ligneuses des savanes sèches au Nord-Togo : diversité, usages, importance et vulnérabilité." BASE, 2018, 152–71. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.16487.

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Abstract:
Description du sujet. Au Nord-Togo, particulièrement en milieu rural, les populations utilisent des biens d’espèces ligneuses et des services écosystémiques pour satisfaire des besoins multiples. Dans un environnement marqué par une déforestation accrue, se développe une pression anthropique croissante avec une incidence sur la vulnérabilité et la valorisation de ces ressources. Objectifs. Cette étude sur la diversité et les usages des ligneux permet d’apprécier la richesse floristique des terroirs et d’évaluer, à partir de quatre paramètres, la vulnérabilité des espèces répertoriées et connues des populations en zone de savane sèche. Méthode. L’approche méthodologique est basée sur des enquêtes ethnobotaniques et socio-économiques menées auprès de 14 groupes ethniques par interview individuel et au sein de « focus groups ». Les analyses ont porté sur des calculs de fréquences et d’indices de valeurs d’usage et d’importance des espèces répertoriées. Résultats. Au total, 149 espèces ligneuses utiles ont été identifiées et réparties en 45 familles. Neuf principaux usages reconnus sont relevés : alimentaire (69 espèces), médicinal (91 espèces), bois-énergie (57 espèces), fourrager (57 espèces), artisanal (37 espèces), soins hygiéniques (36 espèces), bois de service (40 espèces), rituel ou magico-spirituel (35 espèces) et cosmétique (26 espèces). Ces usages portent essentiellement sur les feuilles, racines, fruits, graines, fleurs, bois et écorces. Sur l’ensemble des espèces répertoriées, 42 (28 %) présentent un risque élevé de vulnérabilité, celle-ci étant évaluée sur base de quatre paramètres : la fréquence de citation, le nombre d’usages différents, l’organe collecté et le mode de collecte. Conclusions. L’étude montre que l’utilisation des espèces ligneuses varie selon le milieu géographique et la valeur d’importance des espèces explique la vulnérabilité de celles-ci dans la savane sèche.
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Kalloum, Slimane, Mostefa Khelafi, Mohammed Djaafri, Ahmed Tahri, and Abdelkader Touzi. "Etude de l’influence du pH sur la production du biogaz à partir des déchets ménagers." Journal of Renewable Energies 10, no. 4 (December 31, 2007). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v10i4.756.

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Abstract:
Les déchets de matières organiques proviennent essentiellement des industries agroalimentaires (des activités domestiques, d’abattoirs,…) et des eaux résiduaires urbaines. Ces déchets constituent une nuisance environnementale à prendre en charge pour la sauvegarde durable de notre environnement. La valorisation de cette matière organique serait une solution judicieuse pour atténuer leurs effets nocifs. Par ailleurs, l’application d’un procédé de bioconversion, ‘la digestion anaérobie’, offre la possibilité de combiner le traitement de ces déchets et la production d’une énergie renouvelable qui est le biogaz. Ce gaz riche en méthane CH4 possède un pouvoir énergétique élevé et peut être utilisé dans de nombreuses applications comme: le chauffage, la cuisson, la production d’électricité, l’éclairage et en tant que biocarburant et pouvant être injecté dans le réseau de gaz de ville. Notre travail consiste à étudier la digestion anaérobie des déchets ménagers (déchets de cuisine) et plus particulièrement l’influence du pH sur le rendement en biogaz. Durant cette étude, nous avons aussi suivi l’évolution des paramètres des la pollution à savoir, la DCO et la DBO5, ainsi que le volume du biogaz produit en fonction du temps avec un pH ajusté et aussi avec un pH non ajusté. Les résultats obtenus ont permis de démontrer la possibilité de produire une quantité importante de biogaz inflammable pendant une courte durée pour le digesteur à pH ajusté (milieu favorable pour l’activité bactérienne) par rapport au digesteur à pH non ajusté.
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M’Sellem, Houda, and Djamel Alkama. "Le confort thermique entre perception et évaluation par les techniques d’analyse bioclimatique - Cas des lieux de travail dans les milieux arides à climat chaud et sec-." Journal of Renewable Energies 12, no. 3 (October 26, 2023). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v12i3.154.

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Abstract:
Le confort est une notion globale: chaleur et froid, lumière, bruit, paysage, eau, verdure, prestige…. et autre, sont autant d’éléments définissant plusieurs paramètres climatiques, esthétiques, psychologiques du confort. Le confort est également la sensation subjective qui n’existe pas en lui-même. Ce n’est que par l’inconfort qu’on peut l’apprécier. Cette appréciation est différente selon la société et pour une même société suivant les individus. Des chercheurs commencent à défier l’hypothèse d’universalité, et à discuter que le fait de ne pas prendre en compte les dimensions culturelles, sociales, économiques et climatiques dans l’évaluation du confort, conduit à une exagération dans la définition des besoins pour le chauffage et la climatisation, c’est grâce à l’application universelle des outils d’évaluation du confort thermique qu’un inconfort thermique important est perçu par les sujets considérés. De ce fait, il n’existe pas de combinaison parfaite de conditions de confort du moment que celles-ci ne sont pas forcement reliées au contexte, qu’il y’a interaction entre les sensations et différence d’appréciation d’un individu à un individu, et d’une société à une autre. Toutefois, les définitions théoriques de la notion de confort s’accordent toutes sur l’importance du confort thermique. Celui-ci constitue le sujet du présent article. En effet des travaux récents sur la notion de confort adaptatif mettent en avant les variations du lieu et du temps individuelles, conduites par des stratégies personnelles qui peuvent être d’ordre physiologique, psychologique, social, culturel et comportemental. A l’inverse des réponses physiologiques qui peuvent être mesurées de manière objective, la détermination des réponses subjectives des sens dépend de la propre évaluation de la personne soumise à un environnement donné. Cette évaluation n’est pas unique, mais varie avec les individus, et également pour un même individu selon différentes périodes. Entre objective et subjective la détermination de la notion du confort thermique et la finalité du travail est d’arriver à améliorer la méthode d’évaluation du confort thermique par l’analyse des différents paramètres intervenants quantitativement et qualitativement. Donc, l’accent sera mis sur l’évaluation réelle du confort thermique dans les lieux de travail de différents types et d’une zone concernée par un climat extrême, dans le but d’adopter des solutions accessibles aux architectes, avec des moyens qui leur sont familiers.

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