Academic literature on the topic 'Belles-mères – Dans la littérature pour la jeunesse'

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Journal articles on the topic "Belles-mères – Dans la littérature pour la jeunesse"

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Bleton, Paul. "Les genres de la défaite." Études françaises 34, no. 1 (March 15, 2006): 61–86. http://dx.doi.org/10.7202/036092ar.

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Abstract:
Résumé Belles-lettres, littérature militaire, littérature populaire, journaux et magazines, littérature jeunesse : il s'agit d'examiner le statut de la mémoire dans la littérature française thématisant la guerre entre 1870 et 1914. Pour suturer la blessure de la défaite, la France semble s'en remettre à un Grand Récit nouveau avec, pour principes cicatrisants, le récit discret de l'écume de l'Histoire. Toutefois, échappaient à cet optimisme du Grand Récit les représentations fréquentes d'une Armée ridicule, perverse ou révoltante, parfois vaincue, souvent rappelée à la fragilité de son soldat.
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Franchini, Pauline. "vies sans fards : la représentation des femmes dans la littérature de jeunesse de Maryse Condé." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 10 (January 5, 2022): 51–64. http://dx.doi.org/10.29173/af29432.

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Abstract:
Cet article propose une étude de la représentation des personnages féminins et de la domination de genre dans trois romans pour la jeunesse de Maryse Condé : Rêves amers (réédition de Haïti chérie), Savannah Blues et La Belle et la Bête, une version guadeloupéenne. L’analyse de personnages communs à ses romans pour la jeunesse et pour les adultes semble montrer que la littérature enfantine de Maryse Condé cherche a priori à édulcorer ou passer sous silence certaines violences sexuelles en opérant des modifications et des suppressions surprenantes. Mais cette apparente auto-censure ne doit pas masquer la très puissante relecture et la remise en question audacieuse de quelques archétypes féminins dans ses romans pour jeune public. Entre mères défaillantes et marâtres reproduisant les oppressions de race et de classe sur leurs domestiques, ces fictions bousculent les stéréotypes, en particulier autour de la maternité et de la figure de la potomitan ou la mère-courage antillaise. Maryse Condé questionne aussi l’imaginaire colonial et patriarcal attaché à la figure de la « belle mulâtresse » ou la « beauté des îles ».
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Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Abstract:
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Zagamé, Antonia. "Lire pour la première fois. La découverte de la littérature dans quelques fictions pédagogiques de la deuxième moitié du XVIIIe siècle (Rousseau, Madame de Genlis)." Le Monde français du dix-huitième siècle 3, no. 1 (July 9, 2018). http://dx.doi.org/10.5206/mfds-ecfw.v3i1.4377.

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Abstract:
« Lire pour la première fois » : Les fictions pédagogiques de Rousseau et Madame de Genlis prévoient une rencontre avec la littérature toute autre que celle envisagée selon le schéma d’éducation traditionnel, qui privilégie à cette époque un apprentissage littéraire « précoce ». Dans l’Emile (1761) et Adèle et Théodore (1782), la découverte des œuvres littéraires, entièrement orchestrée par le pédagogue, est en effet retardée dans le temps. Emile lit son premier livre, Robinson Crusoé, à douze ans, avant les Vies parallèles de Plutarque et les Fables de La Fontaine à dix-huit ans. Mais ces trois textes sont envisagés avant tout pour leur contenu didactique et Emile ne découvrira véritablement les différents genres des Belles-lettres qu’à vingt ans. Quant à Madame de Genlis, elle imagine un parcours de lecture progressif permettant de conduire la jeune Adèle d’ouvrages conçus pour la jeunesse, à la découverte des chefs-d’œuvre de la littérature à partir de seize ans, une fois nourrie de la lecture d’auteurs de second ordre. La fiction permet ainsi aux deux écrivains d’imaginer ce que serait le regard d’un jeune homme ou d’une jeune femme privés des principaux ouvrages des Belles-Lettres jusqu’à un âge avancé, et les découvrant au moment où leur intelligence et leur sensibilité sont parvenues à pleine maturité. Rousseau envisage un système d’imprégnation spontanée de l’objet culturel pour un être qui va changer l’ordre social, tandis que Genlis procède par gradation pour une femme qui s’intègrera à l’ordre social.
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Dissertations / Theses on the topic "Belles-mères – Dans la littérature pour la jeunesse"

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Foucault, Jean. "Au-delà des mèresS : modernité des personnages et de l'imagerie d'Hector Malot, écrivain pour la jeunesse." Paris 13, 1998. http://www.theses.fr/1998PA131004.

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Abstract:
L'analyse porte sur les trois livres pour la jeunesse ecrits par hector malot (1830-1907) : sans famille, en famille et romain kalbris. C'est une lecture approfondie de ces oeuvres qui est proposee, dans la perspective ouverte par bakhtine et todorov. Pour ce dernier, alors que l'interpretation recherche dans le texte ce qu'il a de plus authentique, la lecture part du sens multiple de celui-ci, et conduit a lui donner sens c'est -a-dire signification et direction. Il y a donc pluralite de lectures possibles, dans une relation de comprehension critique. La lecture ainsi comprise met ici au jour deux structures profondes : - le rapport aux meres et a la famille. Les enfants-heros sont a la recherche de leur mere pour deux d'entre eux (romain, en fugue et remi, abandonne) ou au retour dans le pays du pere pour le troisieme (perrine). Leurs peres sont toujours-deja absents (morts avant le debut du recit ou peu de temps apres). Les oncles et tantes ont un role majeur dans leur vie, dans un sens negatif. Ces romans integrent ainsi cette "structure elementaire de la parente" qu'analysera plus tard levi-strauss. - le rapport a l'autre : "l'autre" est percu positivement, souvent vecu de l'interieur, que ce soit le nomade, a travers le saltimbanque ou l'etranger, italien ou anglais. C'est ainsi que remi, le heros de sans famille, est anglais et perrine, heroine d'en famille, est franco-indienne. L'analyse de "l'imagerie" (roget bellet) conforte cette lecture d'un auteur encore meconnu, ami de jules valles, remarque par taine, zola, et qui nous presente sans complaisance le monde du travail. En conclusion il apparait que les recits tiennent un discours tres moderne, tres ouvert sur la societe. Les heros d'hector malot nous font parcourir une "france sensible" (pierre sansot) : ils sont du pays de leurs emotions
This study bears on the three novels which were written for a young public by hector malot. We propose to follow the principles initiated by bakhtine and tedorov, i. E. Reading these books in-depth. According to tedorov, the "interpretative method" aims at finding in the text what is most authentic in it , whereas this "reading-in-depth" takes off from a range of analysis of the text and eventually gives it "sense", i. E. Meaning and direction. Thus we find a variety of methods in a relation of critical comprehension. Two underlying structures come to the surface from such a reading of these three books : - the hero / heroin's relation with his / her mother and family. The heroes, all of them children, are all looking for their mothers (remain is on the run and remi is an abandoned child) or coming home to their father's native country (perrine). The fathers are absent (they either died just before or just after the story begins). Uncles and aunts play a major part in their lives, generally in a negative way. These novels take into account this "elementary structure of relationship / parenthood" which would later be analysed by levi-strauss. - the relations to so-called aliens. The alien, the "other" person is perceived in a positive way, be it travellers, such as a travelling artist or a foreigner, italian or english. Thus, remi, the hero of sans famille is english, and perrine, the heroin of en famille is both french and indian. The study of images (or of the "imagerie" - a word coined by roger bellet) reinforces the idea of a still little-known writer, a friend to jules valles, who was noticed by both taine and zola and who never shied from a description of the world of workers. To conclude, these novels appear very modern and society conscious. Hector malot's heroes take us through a "sensitive france" (as pierre sensot put it) : the children belong to the country of their emotions
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Weibel, Apolline. "Bad Mothers and Wicked (Step)Monsters. Ambivalence, Violence, and Subversion of the Mother/Daughter Plot in Contemporary Fairy-Tale Retellings." Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030031.

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Abstract:
Alors que les contes de fées cherchent désormais à émanciper leurs héroïnes du carcan des genres, le maternel se distingue par son immuabilité, prisonnier de dyades manichéennes et d’intrigues monosémiques comme Blanche-Neige de son cercueil. Cette thèse propose donc une relecture contemporaine du rôle de la belle-mère, centrée sur son rapport ambivalent à la maternité. La résistance de cette figure à toute subversion révèle en effet un enracinement profond de la violence matrilinéaire dans le genre : l’ubiquité de cette mauvaise mère – qui emprisonne et empoisonne – est symbolique d’un maternel en tension, où l’intrigue mère/fille ne peut qu’être tragique. La coexistence narrative de cette dyade est ainsi rendue impossible par l’indifférenciation des corps et sujets féminins imposée par le canon patriarcal, toute existence du Soi impliquant nécessairement un évincement de l’Autre. Dès lors, les rapports matrilinéaires se trouvent compliqués par l’apparition de dynamiques destructrices dans la diégèse : la marâtre désire ingérer – et ainsi (ré)absorber – le corps de la fille ; celle-ci réagit en adoptant une attitude matrophobe. C’est alors que réapparaît la mère originelle, qui se place en double inversé de la marâtre, permettant ainsi le clivage des figures maternelles. Le reflet de cette autre-mère inquiète et aliène la marâtre, pour qui l’absence de lien biologique avec l'héroïne est preuve de son infériorité. C’est cependant par le prisme de cette non-filiation qu’une subversion de la tragédie matrilinéaire est possible, l’hybridité du rôle de la belle-mère permettant la création d’alternatives protéiformes, ambivalentes et inclusives à l’intrigue matrilinéaire
While fairy-tales now strive to emancipate their heroines from the constraints of gender and genre, the maternal remains strikingly immutable, confined by Manichean dyads and monosemic plots like Snow White by her coffin. Therefore, this thesis proposes a contemporary interpretation of the wicked stepmother’s role through the prism of her ambivalent relationship to the maternal. The resistance of this figure to subversion attempts reveals a profound anchoring of matrilineal violence within the genre: the ubiquity of this cruel mother—who poisons and imprisons—is indeed evidence of a tension-laden institution where the mother/daughter plot can only ever be tragic. The diegetic coexistence of this dyad is rendered impossible by the lack of borders between female bodies and subjects within the patriarchal canon, any existence of a Self inevitably requiring the erasure of the Other. Matrilineal relations are further complicated by the emergence of destructive dynamics within the diegesis: the stepmother wishes to ingest—and thus (re)absorb—the daughter’s body, and the latter reacts by assuming a matrophobic attitude. It is then that the biological mother reappears, functioning as the stepmother’s inverted double and implementing the splitting of maternal figures. The reflection of this other-mother unsettles and alienates the stepmother, for whom the absence of biological bond with the heroine is evidence of her utter inferiority. However, it is also through the prism of non-filiation that a subversion of the mother/daughter tragedy becomes possible, the hybridity of the stepmother allowing the creation of protean, ambivalent and inclusive alternatives to the maternal plot
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Di, Cecco Daniela. "Entre femmes et jeunes filles, le roman pour adolescentes en France et au Québec." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0029/NQ27131.pdf.

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Books on the topic "Belles-mères – Dans la littérature pour la jeunesse"

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Alice, Butaud, ed. La mère Noël: Une pièce en 3 actes. Paris: L'École des loisirs, 2012.

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Entre femmes et jeunes filles: Le roman pour adolescentes en France et au Québec. Montréal: Éditions du Remue-ménage, 2000.

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Wilson, Jacqueline. 3 filles et 12 coups de minuit. Paris: Hachette jeunesse, 2006.

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Book chapters on the topic "Belles-mères – Dans la littérature pour la jeunesse"

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Pederzoli, Roberta. "Belles, intelligentes, courageuses et… fabuleuses." In Être une fille, un garçon dans la littérature pour la jeunesse (2), 261–74. Presses Universitaires de Bordeaux, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pub.33813.

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