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Academic literature on the topic 'Banque mondialle'

Author: Grafiati
Published: 7 September 2022

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Journal articles on the topic "Banque mondialle"

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Londeix, Pauline, and Marcela Viera. "vih & Banque mondiale." Vacarme 85, no. 4 (2018): 80. http://dx.doi.org/10.3917/vaca.085.0080.

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2

Schoepfer, Isabelle, and Joëlle Salomon Calvin. "Banque mondiale: la ville reconsidérée." Géo-Regards 3, no. 1 (2010): 9–23. http://dx.doi.org/10.33055/georegards.2010.003.01.09.

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Abstract:
Dans cet article, nous discutons l’hypothèse d’un tournant urbain de la Banque mondiale, hypothèse formulée à la suite de la publication du World Development Report 2009 (WDR). À travers une analyse quantitative et qualitative des WDR de 1978 à 2010, complétée par des entretiens auprès d’experts de la Banque mondiale, notre approche vise à décrire et à expliquer la relation à la ville de cette influente organisation internationale.
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3

Ehrhart, Christophe. "Croissance, redistribution et lutte contre la pauvreté : l’évolution non linéaire de l’approche de la Banque mondiale." L'Actualité économique 82, no. 4 (September 18, 2007): 597–641. http://dx.doi.org/10.7202/016405ar.

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Abstract:
RésuméCet article passe en revue 60 années d’activités de la Banque mondiale, en mettant l’accent sur les variations dans le temps de son attitude face au combat contre la pauvreté. Durant les années cinquante et soixante, la Banque mondiale considérait que le meilleur moyen de lutter contre la pauvreté consistait à créer les conditions d’une croissance la plus forte possible en procédant à des investissements lourds dans les infrastructures physiques. Toutefois, devant la persistance de la pauvreté de masse et de fortes inégalités dans bon nombre de pays en développement malgré des performances assez satisfaisantes en termes de croissance, la Banque mondiale plaça, dès la fin des années soixante, et pour la première fois, « la guerre contre la pauvreté » au centre de son agenda puis elle s’efforça d’élaborer, pendant les années soixante-dix, de nouvelles stratégies de croissance qui soient plus favorables pour les pauvres. Sous l’ère de l’ajustement structurel, la vision de la Banque mondiale a connu également de nombreuses modifications. Durant la première moitié des années quatre-vingt, dans un contexte de crise de la dette, la Banque mondiale a été conduite à reléguer l’objectif de réduction de la pauvreté au second plan, au profit de la restauration des équilibres macroéconomiques et du potentiel de croissance des pays en difficulté. Cependant, en réponse à la critique des coûts sociaux de ses programmes d’ajustement, l’institution financière internationale a réaffirmé son engagement à lutter contre la pauvreté en accordant, dès la fin des années quatre-vingt, une plus grande importance aux conséquences sociales de l’ajustement à court terme et surtout en proposant par la suite de nouvelles stratégies de lutte contre la pauvreté à long terme.
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4

Chavagneux, Christian. "Banque mondiale : l'esprit de révolte." L Economie politique 27, no. 3 (2005): 5. http://dx.doi.org/10.3917/leco.027.0005.

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5

Lafourcade, Olivier, and Michèle Guerard. "Banque mondiale et ajustement structurel." Revue d'économie financière 4, no. 1 (1994): 355–67. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1994.5638.

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Lauwerier, Thibaut, and Abdeljalil Akkari. "Repenser l’influence de la Banque mondiale sur les politiques d’éducation de base en Afrique de l’Ouest francophone." Articles 46, no. 3 (May 16, 2012): 343–62. http://dx.doi.org/10.7202/1009170ar.

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Abstract:
L’analyse de la littérature sur l’influence de la Banque mondiale dans les politiques nationales d’éducation fait ressortir, dans la plupart des cas, de nombreuses lacunes théoriques et méthodologiques qui ne permettent pas de saisir finement cette influence, en particulier en Afrique de l’Ouest francophone. C’est pourquoi cet article, après avoir présenté les grandes tendances de la littérature sur la question, donne quelques pistes pour repenser l’influence de la Banque mondiale et propose des exemples à partir de pays spécifiques, le Mali et le Sénégal.
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GRIGORYAN, LOUISA, and AMISSI M. MANIRABONA. "Lutter autrement contre la corruption transnationale: potentiel et défis du système de sanctions de la Banque mondiale." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 58 (October 6, 2021): 142–93. http://dx.doi.org/10.1017/cyl.2021.20.

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Abstract:
RésuméDepuis le milieu des années 1990, les principales Banques multilatérales de développement (BMD) jouent un rôle actif dans la lutte contre la corruption transnationale. La Banque mondiale (BM), suivie par les autres grandes banques régionales de développement, ont mis au point un système de sanctions appliqué aux entreprises et individus qui se livrent à des pratiques de corruption dans le cadre des projets d’investissements qu’elles financent. Les cinq grandes BMD ont récemment harmonisé leurs stratégies de lutte contre la corruption dans leurs opérations, en adoptant des définitions harmonisées des pratiques répréhensibles et des principes et directives communs pour les enquêtes. En 2010, ces dernières ont établi un système d’application mutuelle des décisions d’exclusion. Il s’agit clairement de mesures considérables prises au niveau multilatéral qui contribuent à lutter contre le problème de la corruption. Il est donc pertinent d’évaluer leur efficacité. Après avoir procédé à un examen approfondi et à une analyse critique du système de sanctions de la BM, le présent article conclut que malgré son importance, il n’est pas encore à la hauteur de ses ambitions de sanctionner et dissuader les acteurs internationaux corrompus. Par conséquent, l’article propose des solutions visant à améliorer ce système dont la nécessité n’est plus à démontrer.
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Chavagneux, Christian. "Trois scénarios pour la Banque mondiale." L Economie politique 30, no. 2 (2006): 5. http://dx.doi.org/10.3917/leco.030.0005.

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Chavagneux, Christian. "FMI, Banque mondiale : le tournant politique." Revue d'économie financière 70, no. 1 (2003): 209–18. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2003.4833.

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Cling, Jean-Pierre, Mireille Razafindrakoto, and François Roubaud. "La Banque mondiale, entre transformations et résilience." Critique internationale 53, no. 4 (2011): 43. http://dx.doi.org/10.3917/crii.053.0043.

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Dissertations / Theses on the topic "Banque mondialle"

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Sou, Ngadoy Ngaba. "La Stratégie de la banque mondiale." Grenoble 2 : ANRT, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb376012992.

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DELFORGE, COSTE ISABELLE. "Les cofinancements avec la banque mondiale." Paris 11, 1993. http://www.theses.fr/1993PA111014.

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Abstract:
Le financement du developpement postule. Dans les pays les moins nantis, une aide des etats que la banque mondiale a vocation a favoriser. Bien que tres active dans certains pays en developpement d'afrique ou d'amerique latine, la banque mondiale doit faire appel a d'autres acteurs de financement tels les banques multilaterales de developpement (bid, bad. . . ), les organismes de credit a l'exportation, les banques commerciales. Cette demarche de cofinancement donne a la banque mondiale un role de catalyseur sachant respecter les differents objectifs de chaque copreteur. Le developpement du cofinancement doit s'effectuer grace a l'elargissement de son champ d'application : il doit servir des projets hautement prioritaires sur le plus grand espace possile. La 1ere partie expose les principes et methodes selon lesquels les organismes operent. Dans la 2eme partie, sont presentes les differents contrats du cofinancement. Les divergences entre les copreteurs font surgir des contrats differents. La banque mondiale met en place ces contrats en s'assurant de l'efficacite du projet dans la procedure du "cycle du projet". Les contrats sont de nature juridi que differente : de droit public ou de droit prive. Les copreteurs s'entourent de garanties de plus en plus fortes en creant des liens juridiques important entre leur contrat : la clause de defaut croise par exemple. Le cofinancement serait parfait s'il parvenait a mettre en vigueur un contrat unique entre les copreteurs disposant tous de meme suretes et etant garantis par la banque mondiale : le depart est donne par la naissance des prets "b"
Financing of development requires in the less provided countries a help from states which the bird is inclined to promote. Although it is very active in certain african or latin american developing nations, the bird needs to call upon other actors of financing's services like multilateral banks for development (bid, bad. . . ), organizations for export credits, commercial banks. This approach of financing gives the bird a leading role able to respect the different aims of each colender. The development of cofinancing has to be realized thanks to an increasing of its field : it must be useful for highly priority projects on the largest possible area. The first part discribes principles and methods according to which the organizations act. The different contracts of cofinancing are presented in the second part. The divergences between colenders give rise to different contracts. The bird proposes these contracts being sure that the projet is effective in th "cycle of project" proceedings. Contracts are from different juridical kinds piblic law or private law. Colenders protect themselves by more and more effective guarantees by creating important juridical links between their contracts : the "cross default" claude for example. Cofinancig would be perfect if it wcould implement a single contract between colenders, all of them having the same securities and being guaranteed by the bird : the beinning is the birth of the b-loans
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3

Sou, Ngadoy Ngaba. "La stratégie de la banque mondiale." Paris 9, 1986. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1986PA090038.

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Abstract:
La stratégie est un vieux mot du vocabulaire militaire qui a connu une longue évolution depuis l'antiquité grecque. Aujourd'hui, son emploi s'est développé à tel point qu'il prend une signification différente selon qu'il est utilisée par les militaires, les hommes politiques ou les théoriciens de la gestion. . . . Grace aux travaux de nombreux auteurs, dont Tabatoni et ses collaborateurs, ce concept a aussi pénètre le monde des organisations. La stratégie peut ainsi s'appliquer à la banque mondiale qui est une organisation de type particulier et sert à caractériser son comportement. Pour identifier cette stratégie, nous avons eu recours à une démarche empirique qualifiée d'approche externe. Cette démarche s'est appuyé sur l'étude des manifestations des fonctions de base, des structures administratives et organisationnelles, des procédures d'informations et des différentes caractéristiques de la banque. La stratégie nous est apparue comme un ensemble de manœuvres orientées vers des domaines qualifies de stratégiques. Elle se présente sous la forme d'un système compose de plusieurs sous-systèmes. Ce système stratégique constitue la stratégie d'emphysème ou stratégie d'infiltration de la banque. Elle est caractérisée par une relative cohérence. Cette cohérence n'apparait que par rapport aux objectifs réels de la banque. Bien qu'elle soit soumise à de nombreuses contraintes issues de l'environnement interne et externe de la banque, elle traduit l'aptitude de celle-ci à s'adapter à son environnement. Elle s'attache à révéler les lignes directrices et les phases successives du développement des activités de la banque qui apparait finalement comme le lieu privilégié d'affrontement de multiples acteurs aux objectifs souvent divergents.
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Thériault, Dimitri. "Et si Machiavel avait été banquier? : une étude sur l'allocation des prêts de la Banque mondiale." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31887.

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Abstract:
Cette recherche étudie l’allocation des prêts de la Banque mondiale à l’aide de données de panel couvrant 115 États au maximum et trois périodes : guerre froide (1973-1990), post-guerre froide (1991-2000) et post-11 septembre (2001-2013). Parmi nos découvertes, nous trouvons que plus un État reçoit un montant élevé de prêts, plus il se rapproche de la politique étrangère des États-Unis. Cependant, peu importe la période, les récipiendaires des prêts de la Banque mondiale sont en moyenne plus près de la politique étrangère de la Russie que de la politique étrangère des États-Unis. Nous soutenons que ces résultats impliquent que les prêts de la Banque sont utilisés pour acheter et récompenser des appuis ou des abstentions aux Nations unies pour quelques résolutions seulement et non pas pour l’ensemble des résolutions votées au cours d’une session. En outre, nous trouvons qu’à la suite du 11 septembre 2001, plus un récipiendaire de prêts de la Banque mondiale a reçu un montant important d’assistance militaire américaine, plus le montant des prêts qu’il reçut de la Banque fut important. Bien que ce dernier résultat soutienne la thèse que les attentats du 11 septembre aient amené les États-Unis à utiliser la Banque mondiale pour soutenir ses intérêts comme durant la guerre froide, nous trouvons que la Banque apparaît avoir laissé moins de place aux considérations politiques dans l’allocation de ses prêts après la dislocation de l’URSS et plus significativement entre 2001 et 2013. Mots clés : Banque mondiale, AID, BIRD, Institutions multilatérales de développement, aide, assistance militaire, affinité politique
This research studies the allocation of World Bank loans with panel data covering up to 115 countries over three time periods: Cold War (1973-1990), post-Cold War (1991-2000), and post-September 11 (2001-2013). Among our findings, we show that the more a state receives a large amount of loans by the World Bank, the more it supports the US foreign policy. At the same time, our data reveals that recipients of World Bank loans are on average closer to Russian foreign policy than American foreign policy for all periods under consideration. We argue that these results provide evidence that World Bank’s loans are used to buy and reward supports or abstentions for specific resolutions in the United Nations rather than for all the ones adopted in a session. Our study furthermore indicates that after September 11 terrorist attacks, World Bank recipient countries receiving the greatest amount of US military assistance were also the ones receiving the largest loans by the Bank. Although this supports the thesis that the events of 9/11 led the United States to use the World Bank in their national interests as during the Cold War, we find that the Bank appears to have limited political considerations in the allocation of its loans after the collapse of the USSR and especially between 2001 and 2013. Keywords : World Bank, IBRD, IDA, multilateral development institutions, aid, military assistance, political affinity
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Fonseca, Marília. "La Banque mondiale et l'éducation au Brésil (1977-1990)." Paris 5, 1992. http://www.theses.fr/1992PA05H032.

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Abstract:
La coopération technique et financière de la banque mondiale (BIRD) à l'éducation brésilienne débute en 1971. A partir de ce moment, la banque a financé 5 projets pour le développement de l'éducation primaire et secondaire qui correspondent à un montant de 102 millions de dollars. Toutefois, à cause de facteurs issus de la nature des actions internationales auxquels s'ajoutent les problèmes de l'organisation institutionnelle brésilienne, la mise en pratique de projets internationaux provoque des difficultés d'ordre politique, administratif et financier a l'administration éducative, ce qui les a rendu particulièrement chers pour la pays et inefficaces pour le secteur éducatif
The technical and financial support of the World Bank to the Brazilian education started in 1971. Since then the bank financed five projects for the development of primary and secondary education. These projects amount to 102 million dollars. However, given the nature of international cooperation and the problems of Brazilian institutional organization, the materialization of international projects has faced educational administration with political, administrative and financial difficulties. This has made the projects expensive for the country and inefficient for education
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Boilève, Félix. "Une "Banque du savoir" ? Enquête sur la nature et la politique de l'expertise de la Banque mondiale." Thesis, Université Paris sciences et lettres, 2020. http://www.theses.fr/2020UPSLM023.

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Abstract:
Dans les années 1990, suite aux conséquences jugées néfastes des programmes d’ajustement structurel et de certains projets qu’elle a financés, la Banque mondiale est confrontée à une crise sans précédent. L’institution internationale réagit en s’auto-décrivant comme une « Banque du savoir », expression par laquelle elle revendique que sa valeur première réside dans ses savoirs sur le développement, tout en reconnaissant la nature politique ainsi que la nécessité de transformer ces savoirs. Cette thèse prend pour objet cette auto-description et s’interroge sur la nature actuelle de cette Banque du savoir. À cette fin, des enquêtes ethnographiques, essentiellement en Afrique de l’Ouest, ont été menées sur des savoirs que la Banque mondiale elle-même a identifiés comme un objet de préoccupation : les savoirs embarqués dans ses interventions d’aide au développement (projets, assistances techniques). En discutant principalement la littérature en anthropologie du développement, et en s’appuyant sur des travaux en Sciences, technologies, sociétés, la thèse identifie au cœur de ces interventions ce qu’elle appelle une « expertise comme opération ». Cette expression désigne le fait d’agir, pour les experts de la Banque mondiale (consultants, chefs de projet), en construisant ou en transformant les identités et les problèmes d’entités individuelles ou collectives, à l’aide d’un travail de production et de mobilisation de savoirs sur ces entités, et en faisant souvent en sorte que ces entités se saisissent elles-mêmes des savoirs les concernant. Le choix d’analyser des interventions économiques (soutien à la compétitivité d’un secteur économique, soutien au développement de l’entrepreneuriat, ou recherches sur les politiques industrielles) permet d’entrer au cœur de la Banque mondiale souvent critiquée pour sa politique jugée « économiciste » et néolibérale, pour montrer que le faire politique de l’institution ne s’y réduit pas, et se joue d’abord dans ces opérations d’expertise sur des identités et des problèmes
In the 1990s, the World Bank was facing an unprecedented crisis, due to the consequences of structural adjustment programs and of some projects it financed, which were considered harmful by many. The response of the international institution was to describe itself as a “Knowledge Bank”, claiming by this term that its primary value lied in its development knowledge, while acknowledging the political nature and the need to transform this knowledge. This thesis takes up this self-description and investigates the current nature of this Knowledge Bank. To this end, ethnographic studies, mainly in West Africa, were conducted on knowledge that the World Bank itself has identified as one of its prominent concern: the knowledge embedded in its development interventions (projects, technical assistance). By discussing mainly the literature in anthropology of development, and building upon relevant work in Science and technology studies, the thesis identifies an “expertise as operation” at the heart of these interventions. This expression denotes the actions undertaken by World Bank experts (consultants, project managers) to construct or transform the identities and problems of individual or collective entities, through the production and mobilisation of knowledge about them, and often by ensuring that these entities seize upon this knowledge about themselves. The choice made in the thesis to analyse economic interventions (support for the competitiveness of an economic sector, support for the development of entrepreneurship, or research on industrial policies) allows for an in-depth analysis of the much criticized neoliberal and “economicist” policy of the World Bank, so as to show that the politics of the institution cannot be reduced to those aspects, and is primarily embedded in these operations of expertise on identities and problems
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Belaali, Mohamed. "La Banque mondiale et le financement du développement industriel au Maroc." Lille 3 : ANRT, 1988. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37602738g.

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Ogandaga, Ndiaye Gilles. "La Banque mondiale et la protection de l'environnement en Afrique centrale." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE0025.

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Abstract:
L'Afrique Centrale est une région confrontée à une interférence de maux les plus préoccupants en matière de développement. Baisse de l'activité économique, crise des structures de développement, pauvreté de la population, auxquels s'ajoutent une surexploitation des ressources naturelles. Cette crise à réorienter l'action de nombreux organismes de développement vers une prise en compte de la problématique environnementale dans leurs stratégies de développement. Ainsi en est-il de la Banque mondiale. Cette étude a pour but d'analyser l'efficacité des interventions de la Banque mondiale dans le domaine de la protection de l'environnement en Afrique Centrale. Il en ressort que, bien que le premier objectif de cette institution ne soit pas la protection de l'environnement, cette problématique est maintenant située au cœur de la stratégie de développement de la Banque mondiale. Cela se traduit par l'augmentation du portefeuille de projets alloués à la protection de l'environnement, puis par le développement d'outils destinés à la gestion de l'environnement et à la réalisation d'un développement durable
Central Africa is an area confronted with an interference of most alarming evils as regards development. Lower economic activity, crisis of the structures of development, poverty of the population, to which are added an overexploitation of the natural resources. This crisis to reorientate the action of many organisations of development towards a taking into account of environmental problems in their strategies of development. Thus it of the World bank is. The aim of this study is to analyze the effectiveness of the interventions of the World bank in the field of environmental protection in Central Africa. It comes out from this study that, although the prime objective of this institution is not environmental protection, environmental problems are now located at the heart of the strategy of development of the World bank. That results in the increase in the wallet of projects allocated with the environmental protection, then by the development of tools intended for the management of the environment and the promotion of sustainable development
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9

Belaali, Mohamed. "La Banque mondiale et le financement du développement industriel au Maroc." Poitiers, 1987. http://www.theses.fr/1987POIT3001.

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Abstract:
C'est essentiellement par des accords de pret conclus avec ses pays membres "sous-developpes" que la banque mondiale realise sa politique "d'aide"au developpement. Les procedures de conclusion et d'execution de ces accords de prets ne sont pas seulement formelles. Elles sont l'expression meme des conceptions de sousdeveloppement developpement de la banque mondiale. L'application de ces conceptions au secteur industriel d'un seul pays membre en l'occurrence le maroc, passe par une strategie bien determinee: privatisation des institutions d'intervention industrielle, encouragement et protection du capital industriel prive local et etranger, extraversion poussee de l'industrie et partant, de l'economie marocaine. L'investigation concrete montre que la strategie industrielle pronee par la banque mondiale au maroc se heurte a des limites non seulement d'ordre economique et financiere (refus de la banque mondiale de financer une industrie lourde, et, promotion des industries legeres d'exportation, industrialisation par endettement etc. . . ) mais aussi d'ordre politique et sociale (probleme d'ingerence, de souverainete etatique, effets contraignants sur les classes demunies de l'application du plan "d'ajustement structurel". Donc, au dela des modalites juridiques et financieres des accords de pretqui sont la base meme des interventions de la banque mondiale- cette etude s'at- tache a analyser les relations de domination dependance qui existent entre la banque mondiale et ses pays membres "sous-developpes". Ces relations ne sont, en derniere instance, que le reflet des rapports existant entre les pays industria- lises et les pays "sous developpes"
It is essentially by means of loan agreements with its underdeveloped member countries that world bank can achieve its policy of aid to development. The statement and performance proceedings of those loan agreements are not only formal. They are the very expressions of the world bank inderdevelopment development conceptions. Applying those conceptions to the industrial sector of a single member country, morocco in this case, implies a precise strategy : privatization of the institutions of industrial intervention, support and protection of the private local and foreign industrial capital, important extroversion of industry and thus of the moroccan economy. A concrete investigation reveals that the industrial strategy advocated by world bank in morocco comes up against limits which are not only economical and financial (world bank refusal to finance a heavy industry, promotion of light export industries, industrialization by way of indebting. . . ),but also political and social, (problem of ingerence, state sovereignty, restricting effects of the enforcement of the structural adjustement plan on impoverished classes). So, beyond juridical and financial modes of loan agreements- wich cons- titute the very basis of world bank intervention this survey tries to analyze the relations of domination and dependence existing between world bank and its underdeveloped member countries. In fact, those relations are nothing but the reflection of the relationships existing between industrialized countries and underdeveloped countries
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Plantavin, Cédric. "La société financière internationale (membre du groupe de la banque mondiale) et ses interventions en Afrique subsaharienne : aspects juridiques et fonctionnement." Nice, 1999. http://www.theses.fr/1999NICE0037.

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Abstract:
Les organisations internationales techniques ont pour objet de servir la coopération entre les nations. Les plus dynamiques d'entre elles agissent dans le domaine du développement et ont pour objectif de servir l'intérêt commun. Les institutions du groupe de la banque mondiale, que sont la banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), l'association internationale de développement (AID), la société financière internationale (SFI) et l'agence multilatérale de garantie des investissements (AMGI), ont pour fonction statutaire d'appuyer ce développement en fournissant des capitaux aux états requérants et en favorisant l'investissement sur leur territoire. C'est dans ce cadre que chacune d'entre elles poursuit une mission spécifique et dispose d'attributions particulières. A cote de la BIRD, organisation a compétences générales et intervenant auprès des états, la SFI (société) a une vocation spéciale. Elle s'intéresse directement au secteur prive des pays en développement et, à ce titre, remplit deux types de mission. L'assistance technique et le financement. C'est la "banque-conseil" des pays en développement. L’Afrique subsaharienne est une de ses régions opérationnelles ou elle intervient en priorité. Les services de conseil se sont développes récemment. Ils ont permis de dégager la spécificité du continent africain. C'est ainsi que la société a pu mettre en place des outils particuliers entièrement consacres au secteur prive africain. Ensuite, le volet banque de son activité s'intéresse au financement de projets productifs issus du secteur privé. La société encourage l'investissement dans ce domaine soit en fournissant elle-même des fonds soit en mobilisant des capitaux privés. Sur le continent africain, elle dispose d'un fonds financier qui se consacre aux petites entreprises. Structurellement, on assimile la SFI a une banque d'affaires internationale, mais sa vocation à n'opérer que dans les régions les moins développées fait d'elle une organisation internationale atypique développant des outils spécifiques
Technical international organizations are supposed to serve cooperation between nations. The most active of them act in development and their purpose is to serve common interest. World bank group institutions, which are international bank for reconstruction and development (IBRD), international development association (IDA), international finance corporation (IFC) and multilateral investment guarantee agency (MIGA), have statutory duty to enforce this development by providing capital to requesting states in favor of investment on their territory. In this context, each of them follows a specific mission and has special competencies. Close to the IBRD, an organization with general competencies working with states, IFC (corporation) has a special vocation. It's directly interested in private sector of less developed countries and, by this way, performs two kinds of missions : technical assistance and financing. It's the "advice bank" of developing countries. Sub-Saharan Africa is one of its operational area where it interferes in priority. Advisory services have been recently developed. They allowed to disclaim the African continent specificity. Like this, the corporation could put particular tools dedicated to African private sector. Then, its banking activity is interested in private sector productive projects financing. The corporation promotes investment in this domain either by furnishing owner's equity or by liberating private capital. On the African continent, it has a small enterprises trust fund. Structurally, IFC is regarded as an international investment bank, but its vocation to operate in less developed areas makes it an atypical international organization which develops specific instruments
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Books on the topic "Banque mondialle"

1

Malard, Arielle. Le cofinancement: Banque mondiale, banques commerciales. Paris: Presses universitaires de France, 1988.

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2

La Banque mondiale. Paris: Presses universitaires de France, 1986.

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3

Christin, Ivan. La Banque mondiale. Paris: Presses universitaires de France, 1995.

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4

Enquête sur la Banque mondiale. [Paris]: Fayard, 1989.

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5

Banque mondiale, peuples autochtones et normalisation. Paris: Karthala, 2011.

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6

(Dakar, Senegal) World Bank Mission résidente. Programme de la Banque mondiale au Sénégal. Dakar, Sénégal: Mission résidente de la Banque mondiale, 1998.

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7

Gouvernance économique mondiale et conflits armés: Banque mondiale, FMI et GATT-OMC. Paris: Harmattan, 2006.

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8

La Banque de France et la Seconde guerre mondiale. Paris]: Banque de France, 2013.

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9

Berg, Alan. Malnutrition, les remèdes existent: L'expérience de la Banque mondiale. Paris: Economica, 1989.

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10

Baum, Warren C. Investir dans le développement: Les leçons de l'expérience de la Banque mondiale. Paris: Economica, 1987.

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Book chapters on the topic "Banque mondialle"

1

"LA BANQUE MONDIALE." In La dette extérieure des pays en développement, 35–48. Presses de l'Université du Québec, 2001. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18pgm1c.8.

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2

"Banque mondiale du développement au climat." In Regards sur la Terre 2009, 246–47. Presses de Sciences Po, 2009. http://dx.doi.org/10.3917/scpo.jacqu.2009.01.0246.

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3

Boisson de Chazournes, Laurence. "Chapitre 6. Banque mondiale et développement social." In Maîtriser la mondialisation, 193–215. Presses de Sciences Po, 2000. http://dx.doi.org/10.3917/scpo.senar.2000.01.0193.

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Pastré, Olivier. "Avant-Propos." In La guerre mondiale des banques, 5. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0005.

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Aglietta, Michel. "Vingt ans de mutations." In La guerre mondiale des banques, 7. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0007.

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Pollin, Jean-Paul. "Un scenario heterodoxe pour l’industrie bancaire du futur." In La guerre mondiale des banques, 25. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0025.

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Jacquillat, Bertrand. "Le capitalisme financier du XXIe siecle." In La guerre mondiale des banques, 45. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0045.

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Artus, Patrick. "L’inconnue asiatique." In La guerre mondiale des banques, 57. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0057.

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Betbèze, Jean-Paul. "Le systeme bancaire europeen : entre contre-revolution et internationalisation." In La guerre mondiale des banques, 69. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0069.

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Pastré, Olivier. "Les defis de l’industrie bancaire fran²aise." In La guerre mondiale des banques, 79. Presses Universitaires de France, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cercl.2007.01.0079.

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