To see the other types of publications on this topic, follow the link: Avions de transport à réaction.

Journal articles on the topic 'Avions de transport à réaction'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 25 journal articles for your research on the topic 'Avions de transport à réaction.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Sutra-Orus, Régine, Christophe Viguier, Pierre-Alain Lambert, Stéphane Azzopardi, Thierry Lebey, and Bertrand Revol. "L’hybridation électrique au service de la décarbonation de l’aviation." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 104–11. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0104.

Full text
Abstract:
L’industrie du transport aérien est résolument engagée dans une trajectoire de décarbonation qui la mènera à la neutralité carbone en 2050. Depuis l’avènement de la propulsion à réaction, l’accroissement d’efficacité énergétique des avions de transport a été considérable, et pour une large partie portée par les technologies des systèmes propulsifs. Les technologies de propulsion thermique comportent encore une marge de progression, mais désormais celles-ci doivent être complétées d’une action renforcée sur tous les autres leviers à disposition : introduction de concepts disruptifs réduisant encore la consommation par le recours, notamment, à l’électrification ; optimisation des opérations en vol ; recours à des carburants substitutifs aux hydrocarbures fossiles. L’action de Safran s’étend à tous ces axes en simultané, mais nous développerons dans cet article quelques challenges auxquels faire face dans le cadre d’une plus grande électrification, en particulier l’hybridation électrique des moteurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Kayat, Didier. "L’aviation générale, laboratoire de la décarbonation du transport aérien." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 50–53. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0050.

Full text
Abstract:
Septième avionneur au monde en aviation générale et d’affaires, Daher, héritier de la légendaire société Morane-Saulnier créée en 1911, est le plus ancien avionneur au monde encore en activité. Fort de cet esprit pionnier, Daher s’inscrit aujourd’hui dans une démarche volontariste, pour décarboner ses propres avions et contribuer de manière significative aux objectifs de décarbonation de ses clients avionneurs et motoristes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Cassier, Alain. "Réduire la consommation énergétique des avions." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 112–16. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0112.

Full text
Abstract:
Comme tous les secteurs de l’économie, le transport aérien doit faire face aux défis de la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Dans ce cadre, il doit absolument trouver les moyens de limiter sa consommation d’énergie ; et pour éviter que celle-ci ne soit obtenue qu’au travers d’une limitation du trafic, il n’a d’autre choix que d’augmenter son efficacité en termes d’énergie par passager et par kilomètre parcouru. Cette amélioration de l’efficacité énergétique peut être recherchée au niveau de l’utilisation des avions (optimisation des routes, du remplissage des avions, de la gestion du trafic), mais surtout au niveau de l’efficacité énergétique de l’avion lui-même (c’est-à-dire en réduisant l’énergie qu’il consomme pour voler). Les principaux programmes de recherche en cours actuellement portant sur la réduction de consommation des avions en Europe et aux États-Unis sont “Clean Aviation”, porté par la Commission européenne, “Transonic Truss Braced Wing” soutenu par la Nasa, et “Jetzero Z5 BWB” par l’US Air Force. Nous analysons dans cet article les évolutions de la conception de la cellule de l’avion qui pourraient en résulter, et les gains d’efficacité énergétique correspondants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

White, Boyd, Anita Sinner, and Darlene St. Georges. "Interweavings: Threads of art education, poetry and phenomenological grapplings / Entrelacements : éléments d’éducation artistique, de poésie et questionnements phénoménologiques." Canadian Review of Art Education / Revue canadienne d’éducation artistique 45, no. 1 (December 22, 2018): 32–49. http://dx.doi.org/10.26443/crae.v45i1.58.

Full text
Abstract:
Abstract: This three-authored paper describes our individual responses to a video, Dwelling, by Japanese artist Hiraki Sawa. The nine-minute video is a wordless, but not soundless, presentation of jet planes flying within the confines of the artist’s apartment. We chose the Youtube video in order to be able to share an artwork although we were working in three different cities at the time. Our responses consist of our individual poetic and visual (photographs, collage, paintings) interpretations of the video in conjunction with theory. We use phenomenology as our theoretical framework and underlying philosophy, and connect it with arts based research. Keywords: Art Education; Poetry; Visual Art; Phenomenology.Résumé : Trois auteurs relatent dans cet article leurs réactions personnelles au visionnement de la vidéo Dwelling de l’artiste japonais Hiraki Sawa. Cette vidéo de neuf minutes, sans paroles mais avec son, montre des avions à réaction volant à l’intérieur de l’appartement de l’artiste. Bien que travaillant dans trois villes différentes à ce moment là, nous avons choisi la diffusion sur Youtube pour partager cette œuvre d’art. Nos réactions sont en fait nos interprétations personnelles poétiques et visuelles (photos, collage, peintures) de cette vidéo accompagnées de points théoriques. Notre cadre théorique et notre philosophie sous-jacente s’inspirent de la phénoménologie pour établir un lien avec la recherche artistique. Mots-clés : éducation artistique, poésie, art visuel, phénoménologie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Gómez, Javier Guisández. "Le droit dans la guerre aérienne." Revue Internationale de la Croix-Rouge 80, no. 830 (June 1998): 371–88. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100057026.

Full text
Abstract:
L'action aérienne doit être considérée comme un ensemble de sorties aériennes, simultanées et de caractère homogène, ayant un but commun. Autrement dit, une action de ce type atteint son objectif lorsque deux avions ou plus sont engagés dans une des actions suivantes: le feu aérien, la reconnaissance, le transport et les actions aériennes spéciales.L'action aérienne peut se dérouler en temps de paix comme en temps de guerre, et dans toutes les situations intermédiaries possibles. On peut done dire que lorsqu'une action aérienne est qualifiée d'hostile, c'est parce qu'à travers elle, on commet ou on cherche à commettre des actes dont la caractéristique commune n'est autre que la violence.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Faury, Guillaume. "Prospective des marchés mondiaux de l’aéronautique, décarbonation et stratégie d’Airbus." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 15–17. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0015.

Full text
Abstract:
La pandémie de Covid-19 a créé une crise sans précédent pour le transport aérien mondial, menant de nombreux observateurs à penser que l’aviation ne retrouverait jamais la croissance des années passées, et qu’elle pourrait même connaître un certain déclin. C’était oublier que le transport aérien est devenu un bien irremplaçable de nos sociétés modernes, transportant des biens et reliant les personnes, les cultures et les territoires, autant de facteurs de développement et de progrès. Ainsi, à la suite de mesures sanitaires strictes, le transport aérien a pu retrouver progressivement son niveau de 2019, avec une croissance qui semble désormais repartir à un rythme de l’ordre de 3,6 % par an. Cette forte demande met sous tension les chaînes de production d’Airbus et de ses sous-traitants, affaiblis par la crise. Mais le principal enjeu est d’assurer une croissance durable du transport aérien, compatible avec les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat. C’est le défi que s’est donné Airbus avec l’ambition d’être le pionnier d’une aviation totalement décarbonée grâce à des avions de plus en plus performants en termes d’émissions, à des technologies de rupture, comme l’avion à hydrogène, et au recours massif aux carburants durables. Et ce, pour une aviation durable, mais aussi un monde plus sûr et plus uni.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Molinier, Stéphane. "Introduction." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 6–10. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0006.

Full text
Abstract:
Poursuivre l’aventure humaine du transport aérien et offrir les mêmes chances de voyage aux générations futures avec l’enjeu de la neutralité carbone en 2050 impose à toutes les parties prenantes du secteur aéronautique des investissements massifs dans la chaîne de production et la décarbonation, dans un contexte de croissance du trafic et de mise en tension de la chaîne de valeur résultant des crises sanitaires et géopolitiques. Atteindre la neutralité carbone en 2050 oblige à mobiliser plusieurs leviers : le renouvellement des flottes par des avions plus performants, plus légers, plus efficients ; la quête de sobriété et de performance grâce aux progrès technologiques ; l’électrification ; le développement de carburants de substitution au kérosène : les carburants d’aviation durables et l’hydrogène ; l’optimisation des opérations au sol comme en vol ; l’incitation par la réglementation ; la compensation des émissions résiduelles ; l’adaptation des compétences de la filière ; et enfin l’implication des consommateurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

de Zotti, Alain, and André Bourdais. "Airbus pionnier d’une aviation durable, pour un monde ouvert et respectueux de l’environnement." Annales des Mines - Réalités industrielles Mai 2024, no. 2 (June 14, 2024): 76–81. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.242.0076.

Full text
Abstract:
Être une source d’inspiration est profondément ancré dans l’ADN d’Airbus, et aujourd’hui notre objectif est d’être le pionnier de l’aérospatiale durable, pour un monde sûr et solidaire. Depuis plus de cinquante ans, nous valorisons l’innovation pour réduire l’empreinte environnementale de nos produits et de nos activités. Un effort considérable a été fait pour promouvoir le renouvellement des flottes au sein des compagnies aériennes vers des avions de nouvelle génération plus performants, économes en carburant et respectueux de l’environnement. Nous nous attachons à développer et porter à maturité les technologies nécessaires à la décarbonation, notamment avec des évolutions en matière thermopropulsive des moteurs, ou plus révolutionnaire comme l’utilisation de l’hydrogène ; des essais en vol seront bientôt effectués sur l’un de nos avions d’essai. Un autre levier important est l’utilisation grandissante des carburants d’aviation durables pour atteindre les objectifs de réduction des émissions carbone du transport aérien d’ici à 2030. Un partenariat stratégique a d’ailleurs été récemment signé entre Airbus et TotalEnergies afin d’accélérer leur déploiement ; ce carburant fourni par TotalEnergies devrait permettre de réduire jusqu’à 90 % les émissions de CO 2 sur l’ensemble du cycle de vie, en comparaison de leur équivalent fossile. Enfin, « être pionnier dans l’aéronautique durable » signifie, pour nous, assumer notre responsabilité en tant que leader reconnu de notre industrie, pour créer une valeur à long terme pour nos parties prenantes et pour la société. Notre ambition comprend des engagements forts pour réduire nos impacts environnementaux et notre empreinte écologique, en adoptant une perspective de cycle de vie. Cette responsabilité environnementale commence dès la phase de conception, se poursuit durant le processus de fabrication et après la livraison, ainsi que dans le quotidien de chaque salarié, dans nos opérations industrielles et celle de notre chaîne d’approvisionnement. Toutes ces évolutions technologiques majeures et cette transformation de notre entreprise font d’Airbus un acteur majeur dans la société, avec des défis passionnants et stimulants à relever.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Assoé, Kodjovi, and Martin Boyer. "Le marché des transporteurs aériens canadiens : une étude clinique en organisation industrielle." Articles 87, no. 3 (June 1, 2012): 301–35. http://dx.doi.org/10.7202/1009278ar.

Full text
Abstract:
Très peu d’études cliniques existent en économie, et encore moins sur l’économie canadienne. Nous proposons ainsi une étude clinique qui s’utiliserait dans le contexte d’un cours avancé en organisation industrielle, et plus particulièrement dans le cadre d’une série de séances de cours sur la concurrence à la Cournot, à la Bertrand et à la Stackelberg. Nous utilisons la faillite du transporteur aérien Jetsgo en 2005 pour regarder l’impact à court terme sur la valeur marchande des deux autres transporteurs aériens au Canada, Air Canada et Westjet. La présente étude clinique permet de prendre en considération la structure du marché du transport aérien de passagers au Canada pour expliquer la réaction du marché boursier. L’étude développe des modèles économiques simples de concurrence à la Nash-Cournot et à la Stackelberg pour voir lequel explique le mieux le marché intérieur canadien du transport aérien suite à la disparition d’un joueur important.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Doucet, Emily. "Les airgraphs comme support médiatique. Microfilm, aviation et culture de la communication transnationale en Grande‑Bretagne lors de la Seconde Guerre mondiale." Transbordeur 7 (2023): 160–73. http://dx.doi.org/10.4000/12gxs.

Full text
Abstract:
Le airgraph est un format photographique résultant de la mise sur microfilm de lettres ou de documents initialement rédigés sur des formulaires types. Sa fonction était de libérer de l’espace dans les avions-cargos qui empruntaient les voies postales transnationales. Breveté par l’entreprise Eastman Kodak, la société de transport aérien long courrier britannique Imperial Airways et la compagnie aérienne américaine Pan Am Airways, ce système a d’abord été développé à grande échelle par la Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Cet article revient sur une série de films, d’affiches et de publicités commerciales destinés à promouvoir ce système auprès de ses utilisateurs, et avance que ces supports visuels ont joué un rôle déterminant dans ce nouveau mode de communication. Ces représentations illustrent de façon concrète l’association entre les deux moyens de communication que sont la photographie et l’aviation, lien créé pour bâtir la confiance des populations envers la gestion étatique des communications transnationales. Ainsi, les airgraphs sont devenus un motif qui a alimenté un imaginaire entourant ce que la connexion, ou l’absence de connexion, signifiait pour l’Empire britannique pendant la Seconde Guerre mondiale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Brocchi, Vanessa, Gisèle Krysztofiak, Valéry Catoire, Jonathan Guth, Virginie Marécal, Régina Zbinden, Laaziz El Amraoui, François Dulac, and Philippe Ricaud. "Intercontinental transport of biomass burning pollutants over the Mediterranean Basin during the summer 2014 ChArMEx-GLAM airborne campaign." Atmospheric Chemistry and Physics 18, no. 9 (May 16, 2018): 6887–906. http://dx.doi.org/10.5194/acp-18-6887-2018.

Full text
Abstract:
Abstract. The Gradient in Longitude of Atmospheric constituents above the Mediterranean basin (GLAM) campaign was set up in August 2014, as part of the Chemistry and Aerosol Mediterranean Experiment (ChArMEx) project. This campaign aimed to study the chemical variability of gaseous pollutants and aerosols in the troposphere along a west–east transect above the Mediterranean Basin (MB). In the present work, we focus on two biomass burning events detected at 5.4 and 9.7 km altitude above sea level (a.s.l.) over Sardinia (from 39∘12′ N–9∘15′ E to 35∘35′ N–12∘35′ E and at 39∘30′ N–8∘25′ E, respectively). Concentration variations in trace gas carbon monoxide (CO), ozone (O3) and aerosols were measured thanks to the standard instruments on board the Falcon 20 aircraft operated by the Service des Avions Français Instrumentés pour la Recherche en Environnement (SAFIRE) and the Spectromètre InfraRouge In situ Toute Altitude (SPIRIT) developed by LPC2E. Twenty-day backward trajectories with Lagrangian particle dispersion model FLEXPART (FLEXible PARTicle) help to understand the transport processes and the origin of the emissions that contributed to this pollution detected above Sardinia. Biomass burning emissions came (i) on 10 August from the North American continent with air masses transported during 5 days before arriving over the MB, and (ii) on 6 August from Siberia, with air masses travelling during 12 days and enriched in fire emission products above Canada 5 days before arriving over the MB. In combination with the Global Fire Assimilation System (GFAS) inventory and the Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) satellite fire locations, FLEXPART reproduces well the contribution of those fires to CO and aerosols enhancements under adjustments of the injection height to 10 km in both cases and application of an amplification factor of 2 on CO GFAS emissions for the 10 August event. The chemistry transport model (CTM) MOCAGE is used as a complementary tool for the case of 6 August to confirm the origin of the emissions by tracing the CO global atmospheric composition reaching the MB. For this event, both models agree on the origin of air masses with CO concentrations simulated with MOCAGE lower than the observed ones, likely caused by the coarse model horizontal resolution that yields the dilution of the emissions and diffusion during transport. In combination with wind fields, the analysis of the transport of the air mass documented on 6 August suggests the subsidence of CO pollution from Siberia towards North America and then a transport to the MB via fast jet winds located at around 5.5 km in altitude. Finally, using the ratio ΔO3 ∕ ΔCO, the plume age can be estimated and the production of O3 during the transport of the air mass is studied using the MOCAGE model.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Tarnaud, Nicolas, Clémentine Bourgeois, and Laurent Babin. "Les professions règlementées à l’épreuve de l’ubérisation du droit : vers un monde sans avocat ?" Management & Sciences Sociales N° 25, no. 2 (July 1, 2018): 103–17. http://dx.doi.org/10.3917/mss.025.0103.

Full text
Abstract:
Après le secteur de l’immobilier et du transport, l’ubérisation des professions juridiques règlementées est à l’ordre du jour. L’émergence de l’économie collaborative, alliée à la digitalisation du droit, conduisent les acteurs traditionnels à s’interroger sur une nécessaire adaptation du mode d’exercice de leur profession. L’objet de cette étude est de présenter les spécificités du phénomène d’ubérisation du droit sur le plan économique, et d’en envisager les répercussions, en particulier sur la profession d’avocat, dont le monopole d’activité est désormais menacé. Seront ensuite analysées les limites de l’ubérisation du droit. Les règles juridiques et déontologiques encadrant les professions règlementées constituent en effet un frein au développement du phénomène. Cependant, plutôt que d’adopter une réaction exclusivement défensive, les acteurs traditionnels ont aujourd’hui tendance à s’approprier l’ubérisation du droit. Une première approche consiste à l’encadrer sur un plan éthique en collaborant directement avec les startups du droit. Une deuxième démarche indispensable à la survie de la profession consiste à intégrer le numérique au sein des cabinets d’avocats et à adopter un nouveau mode de fonctionnement afin de faire de l’ubérisation du droit un avantage concurrentiel. Transformation et innovation sont nécessaires pour résister à l’ubérisation du droit.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Liyandja Impofi, Jean Claude. "Perceptions des personnels médicaux et para-médicaux sur la gestion des déchets biomédicaux." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 3, no. 1 (March 31, 2024): 40–46. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i1.66.

Full text
Abstract:
La gestion des déchets médicaux est une préoccupation mondiale de Santé Publique. Notre étude a consisté à déterminer les perceptions des acteurs médicaux et paramédicaux sur la gestion des déchets biomédicaux. Pour collecter les données dont nous avions besoin pour cette étude, nous avons fait usage de la méthode d’enquête, comme instrument nous avons utilisé un questionnaire. Les caractéristiques sociodémographiques, Gestion des déchets biomédicaux et les effets néfastes liés à la mauvaise gestion des déchets hospitaliers / biomédicaux sont les paramètres observés durant l’étude. Les résultats observés sont ; pour les caractéristiques sociodémographiques 54% des enquêtés sont du sexe masculin, 68% des enquêtés sont dans le tranche d’âge 20 et 49 ans, 48% de nos enquêtés ont un niveau de formation universitaire ; pour le paramètre gestion des déchets biomédicaux : 79% disent qu’il existe une politique de gestion des déchets au sein de leur formation sanitaire, 74%.des enquêtés affirment qu’il y a une mauvaise gestion de la politique des déchets et 56% des déchets sont produits par services médicaux et enfin pour le paramètre effets néfastes liés à la mauvaise gestion des déchets hospitaliers / biomédicaux, les résultats suivants ont été constatés : 60% de nos enquêtés affirment que le déficit budgétaire est la cause de la mauvaise gestion de déchets, les enquêtés ont pour la plupart indexé les risques traumatiques et infectieux 40% ainsi que les risques chimiques 22% sont à la base risques liés au mauvais transport des déchets biomédicaux et 56% de nos enquêtés affirment que la prolifération des moustiques et autres bestioles nuisibles et la prolifération des nuisances écologiques sont les conséquences d’une mauvaise gestion des déchets hospitaliers/ biomédicaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Lima, José L. F. C., and António Osmaro Santos Silva Rangel. "Détermination spectrophotométrique du phosphore total et inorganique dans les vins par la technique d'injection dans un flux." OENO One 24, no. 2 (June 30, 1990): 49. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1990.24.2.1228.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">Deux variables d'un montage utilisant l'injection dans un flux (FIA) pour l'automatisation du dosage du phosphore total (après incinération des échantillons) et du phosphore inorganique dans les vins sont décrites.</p><p style="text-align: justify;">Les montages permettent d'effectuer, par flux continu, les opérations de dilution, réaction de formation du composé coloré et le transport jusqu'au système de détection calorimétrique où s'effectue la mesure.</p><p style="text-align: justify;">Le montage FIA utilisé dans la détermination du phosphore total permet d'effectuer à peu près 120 déterminations à l'heure avec une répétabilité inférieure à 2 % (coefficient de variation). Les résultats obtenus par cette méthodologie pour différents types de vins portugais sont bien en conformité avec ceux fournis par la méthode rapide d'essai de l'O.I.V.; les écarts étant inférieurs à 2 %.</p><p style="text-align: justify;">Le montage FIA développé pour la détermination du phosphore inorganique, qui est une variable de celui utilisé dans la détermination du phosphore total, permet d'effectuer les déterminations directement sur les échantillons de vins dans une zone de réponse linéaire entre 9 et 1000 mg par litre. Il présente une cadence d'analyse d'environ 60 déterminations à l'heure avec un coefficient de variation inférieur à 2 %. En applicant la méthode des ajouts dosés à différents types de vins, on a obtenu des valeurs de récupération entre 98,5 et 103 %.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Evans, Clay. "All but Forgotten: Early Measures for Maritime Safety on Canada’s West Coast." Northern Mariner / Le marin du nord 31, no. 4 (July 19, 2022): 387–408. http://dx.doi.org/10.25071/2561-5467.914.

Full text
Abstract:
The exponential population growth and expansion of shipping from 1867 to 1914 in both British Columbia and the American Pacific Northwest led to marine disasters along the area known as “The Graveyard of the Pacific.” Despite repeated calls for improved marine safety measures from concerned Canadians and Americans, by the early twentieth century, this burgeoning Pacific Gateway remained completely devoid of any of the direct lifesaving measures that were then common-place on the shores of both the Atlantic coasts and Great Lakes. This paper will examine the development of local life-saving measures on Canada’s Pacific Gateway and Ottawa’s response to calls for greater support. La croissance exponentielle de la population et l’expansion du transport maritime de 1867 à 1914 en Colombie-Britannique et dans le Nord-Ouest du Pacifique américain ont entraîné des catastrophes maritimes le long de la zone connue comme le « cimetière du Pacifique ». Bien que des Canadiens et des Américains inquiets se soient succéder à lancer des appels en faveur de l’amélioration des mesures de sécurité maritime, au début du 20e siècle, cette porte d’entrée du Pacifique en plein essor était complètement dépourvue des mesures directes nécessaires à la survie qui étaient alors communes sur la côte de l’Atlantique et le long des rives des Grands Lacs. Cet article étudie l’élaboration de mesures régionales visant à sauver des vies dans la porte d’entrée canadienne du Pacifique et la réaction d’Ottawa aux demandes d’un meilleur appui.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Nouiri, Issam, and Féthi Lebdi. "Algorithme Génétique (AG) pour le choix optimal des stations d’appoint de chlore sur les réseaux d’eau potable." Revue des sciences de l'eau 19, no. 1 (March 20, 2006): 47–55. http://dx.doi.org/10.7202/012596ar.

Full text
Abstract:
Résumé La chloration sur les réseaux de distribution d’eau potable constitue une tâche délicate. Elle assure la protection contre la reviviscence microbienne et contre la contamination du réseau. Les réactions du chlore avec la matière organique du système entraînent la formation des sous‑produits chlorés, indésirables pour la santé humaine. Ainsi, le maintien du taux de chlore libre à des valeurs admissibles, sur tout le réseau et à tout moment, constitue un objectif principal des gestionnaires des réseaux. Lors de la chloration à partir des sources d’eau, les processus de réaction-transport créent sur les réseaux, caractérisés par des temps de séjours importants, de mauvaises distributions des taux de chlore libre. Les stations d’appoints sur les réseaux constituent une alternative efficace. La détermination de leur nombre et le choix des emplacements optimums constituent les deux difficultés auxquelles sont confrontés les gestionnaires. Le présent travail utilise un algorithme génétique (AG) pour la détermination du nombre et des emplacements optimums des stations d’appoint de chlore sur les réseaux. Deux objectifs ont été fixés : (1) l’amélioration de l’homogénéité spatio-temporelle de la chloration et (2) la minimisation du nombre de stations d’appoint. L’application du modèle développé sur un réseau test a permis d’identifier les emplacements des deux stations d’appoint de chlore. La solution optimale a considérablement amélioré l’homogénéité et a assuré, pour 98 % des noeuds, des taux de chlore libre dans l’intervalle admissible (0,1-0,5) mg/L.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Michard, G., D. Jezequel, and E. Viollier. "Vitesses de réaction de dissolution et précipitation au voisinage de l'interface oxydo-réducteur dans un lac méromictique : le lac Pavin (Puy de Dôme, France)." Revue des sciences de l'eau 16, no. 2 (April 12, 2005): 199–218. http://dx.doi.org/10.7202/705504ar.

Full text
Abstract:
Une étude à l'échelle centimétrique de l'interface redox situé à la limite entre mixolimnion et monimolimnion d'un lac méromictique (le lac Pavin) a permis d'observer très finement l'évolution de la concentration d'un certain nombre d'éléments chimiques. Nous avons choisi de présenter ici des résultats concernant 5 éléments qui présentent des comportements très contrastés : le rubidium, le fer, le baryum, le vanadium et le manganèse. La comparaison avec un élément conservatif, le sodium, montre que Rb est conservatif, que Fe, Ba et V sont précipités et que Mn est dissous dans cette zone. Une modélisation de ces concentrations en vue de préciser à quelle profondeur et avec quelle vitesse se produisent les réactions concernant ces éléments nécessite la détermination des paramètres de transport au voisinage de cet interface. Une représentation analytique des concentrations de sodium permet de calculer le coefficient de diffusion turbulente Kz en fonction de la profondeur. Au voisinage de l'interface redox, ce coefficient est très petit (0,0017m2/jour) et inférieur au coefficient de diffusion thermique moléculaire. Les concentrations des éléments étudiés ont pu être représentés avec précisions par des polynômes en fonction de la concentration en sodium. Cela permet d'estimer les vitesses des réactions de précipitation dissolution en fonction de la profondeur. Le rubidium n'est affecté par aucune réaction. Le fer précipite entre 63 et 65 m, le baryum entre 68 et 72 m tandis que le vanadium précipite à la fois dans ces 2 zones. Le manganèse réagit dans une zone très étroite : il est précipité entre 61,5 et 62 m et dissous entre 62,8 et 63,1 m. Une étude similaire de tous les éléments majeurs (y compris pH et COD) pourrait permettre d'élucider les processus qui conduisent à ces comportements complexes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Chavagnat, J. J. "Deuil et symptomatologie psychiatrique : quelle conduite à tenir ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 41–42. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.105.

Full text
Abstract:
Il est classique de dire que le deuil va entraîner des conséquences biopsychosociales. Mais, nous pouvons être confrontés à d’authentiques symptômes psychiatriques, ce qui va conduire à la notion de deuil pathologique. La liste des symptômes psychiatriques est encore mal connue des non-spécialistes :– de la réaction dépressive à l’épisode dépressif sévère avec idées de suicide, voire un suicide tenté, plus rarement abouti ;– de la phase d’hyperactivité à l’authentique épisode maniaque ;– du trouble fonctionnel à la maladie psychosomatique, voire à la conversion hystérique ;– de la manifestation anxieuse passagère à la grande crise d’angoisse, voire au trouble anxieux généralisé ;– des manifestations phobiques, des conduites à risque, des addictions ou des automutilations.Tous ces symptômes auront des expressions différentes selon l’âge : par exemple, des manifestations d’opposition ou de phobie scolaire chez l’enfant ou l’adolescent ou bien une dépression d’allure démentielle chez la personne âgée. Lorsque des symptômes psychiatriques sont présents, la conduite à tenir qui sera adoptée sera d’évaluer ces troubles (parfois avec des échelles) et surtout de les relier à la dynamique du chemin de deuil. La prise en charge doit mettre le deuil au centre de la réflexion :– en traitant l’individu, en appréciant :∘ la spécificité de son deuil : pré-deuil, deuil « blanc », deuil « non élaboré », deuil de l’enfant, de l’adolescent, de l’adulte, de la personne âgée voire très âgée, les circonstances de la mort du proche : mort d’un enfant, mort par suicide, par homicide, par accident survenant pendant un transport (voiture, train, bateau, etc.) après une catastrophe naturelle, si la mort est brutale et que la personne y a assisté ou si elle a failli elle-même mourir ;– en traitant le groupe :∘ familial avec une approche transgénérationnelle,∘ d’individus bénéficiant d’une prise en charge groupale : avec un même type d’endeuillés ou avec des endeuillés de causes différentes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Ferjani, Saloua. "LA VILLE DE RADES. POTENTIALITÉS, VULNERABILITÉ ET ENJEUX DE RÉSILIENCE." URBAN ART BIO 3, no. 1 (May 31, 2024): 44–61. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v3i1.120.

Full text
Abstract:
La ville de Rades se situe dans la banlieue sud de Tunis, elle est implantée sur une colline et s’étend en grande partie sur une plaine. Grace à son littoral et à sa foret urbaine, tout laisse croire qu’il s’agit d’une ville de villégiature dotée de maints atouts naturels et paysagers. Or, Rades est actuellement une ville polluée, proscrite de ses plages, menacée par la violation de sa foret, la contamination de son atmosphère et la prolifération de l’habitat informel. L’implantation du premier port commercial du pays dans la ville de Rades constitue un atout économique considérable cependant, il renforce la vulnérabilité de la ville suite aux pollutions atmosphérique, sonore et maritime causées par les navires de transport de conteneurs. L’Oued Meliane, deuxième grand fleuve de pays qui traversait la ville et qui en constituait, pour des années, une forte menace par ses débordements et ses inondations, a fait l’objet des grands travaux de dragage et de réaménagement suite à l’implantation de la cité sportive olympique de Rades en 2001. C’est ainsi que fut déclassée une zone agricole de 280 ha donnant naissance à une grande zone résidentielle aménagée par l’Agence foncière d’habitat ce qui offre à la ville une nouvelle extension urbaine planifiée. La foret urbaine de Rades, qui s’étalait sur une superficie de 300 ha, est considérée comme un refuge naturel et urbain pour la population de la zone sud de Tunis. Or, cette dernière risquait de subir un acte de violation en 2017 lors de la programmation d’une bretelle d’autoroute en plein milieu. Le projet programmé par le Ministère de l’Equipement et de l’Habitat entrainera la destruction d’un écosystème, le déboisement de 6000 arbres et l’agression de l’emprise du Parc urbain Farhat Hached. Il a entrainé une réaction de contestation radicale de la population et de la société civile de la banlieue sud en vue de sauver la ville et préserver son poumon vert. L’article analyse cette dichotomie des atouts et les contraintes de la ville et explique en quoi ces éléments participent soit à sa vulnérabilité ou sa résilience.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Rasetarinera, P., and P. Fabrie. "Analyse mathématique d'un systéme de transport-diffusion-réaction modélisant la restauration biologique d'un milieu poreux." Revista Matemática Complutense 9, no. 2 (January 1, 1996). http://dx.doi.org/10.5209/rev_rema.1996.v9.n2.17590.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Driver, L., K. Douglas, D. I. Lucas, T. Guillaume, J. H. Lehman, N. Kapur, D. E. Heard, and G. N. de Boer. "Developing a predictive model for low-temperature Laval nozzles with applications in chemical kinetics." Physics of Fluids 36, no. 7 (July 1, 2024). http://dx.doi.org/10.1063/5.0216622.

Full text
Abstract:
Laval nozzles are used in the CRESU (“Cinétique de Réaction en Écoulement Supersonique Uniforme”) method to generate a collimated low temperature (5–200 K), low pressure (30–500 Pa), high Mach number (1 &lt; M &lt; 20) supersonic jet. Laval nozzles have been designed using the Method of Characteristics (MOC) since the development of CRESU, which is an analytical method that assumes inviscid, isentropic flow, and is routinely used to design nozzle profiles for a particular gas and temperature with a uniform shock free exit. This study aims to provide a robust computational framework to overcome the limitations of the MOC while also providing recommendations on the numerical model setup required to model a low-temperature supersonic jet. It also discusses the blockage effects when using the Pitot tube method for flow characterization, the influence of inlet turbulence and reservoir size. Numerical results are validated using two different experimental apparatuses from research groups at the University of Leeds and the University of Birmingham. Finally, a MATLAB framework was developed and has been provided as an open source toolbox to allow any user to perform computational fluid dynamics on any Laval nozzle, with the ability to change nozzle geometry, operating conditions and bath gas. The toolbox has been rigorously tested against many benchmark cases, which shows that steady-state Reynolds-averaged Navier–Stokes with the k-omega-shear stress transport turbulence model can be used to accurately predict global quantities, such as average temperature in the stable region of the supersonic jet.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Abayomi, S. A., O. T. Oladibu, O. A. Lawani, K. I. Owolabi, A. O. Alabi, and M. O. Onigbinde. "Faecal carriage of extended spectrum β-lactamase producing Enterobacterales (ESBL-PE) in children under five years of age at a tertiary hospital in southwest Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, no. 1 (January 16, 2024). http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i1.7.

Full text
Abstract:
Background: The main reservoir of Enterobacterales is the human gut, which has been reported as a source of hospital acquired infection. Enterobacterales carrying the extended spectrum β-lactamase (ESBL) genes have emerged over the years as significant multidrug resistant (MDR) pathogens, that have hindered effective therapy of infections caused by them, and limited treatment to a small number of drugs such as carbapenems, leading to selection pressure and emergent resistance to carbapenems. The objective of this study was to determine the faecal carriage of ESBL-producing Enterobacterales (ESPL-PE) among children under 5 years of age at the Ladoke Akintola University of Technology Teaching Hospital, Ogbomoso, Nigeria. Methodology: A total of 144 children under 5 years of age were consecutively recruited over a period of 5 months from the paediatrics outpatient clinic, children emergency, paediatrics ward, and neonatal unit of the hospital. Rectal swabs were collected from selected children and transported to the medical microbiology laboratory of the hospital for inoculation on MacConkey agar plates and aerobic incubation at 37oC for 24 hours. All positive growth on the culture plates were identified by colony morphology, Gram stain reaction and conventional biochemical tests scheme. Antimicrobial susceptibility test was performed by the disc diffusion method against selected antibiotics, and ESBL production was confirmed by the double disc synergy test (DDST). Association of risk factors with ESBL-PE faecal carriage was determined using Chi‑square or Fisher Exact test, with statistical significance set at p< 0.05. Results: The prevalence of ESBL-PE faecal carriage was 37.5% (54/144), with 34.7% (50/144) for Escherichia coli and 2.1% (3/144) for Klebsiella pneumoniae. The overall resistance rate of both ESBL and non-ESBL producing isolates were to ampicillin (100.0%), amoxicillin- clavulanic acid (96.2%), ceftazidime (94.3%) and ciprofloxacin (90.6%), while resistance to carbapenems was low at 22.2%. Significant risk factors associated with ESBL-PE faecal carriage were age group 24-59 months (p=0.0187), prior intake of antibiotics (p=0.014), and intake of antibiotics without prescription (p=0.0159), while gender (p=0.8877), mother’s education level (p=0.3831) and previous hospital visit (p=0.8669) were not significantly associated with faecal ESBL carriage. Conclusion: The relatively high faecal carriage rate of ESBL-PE in children <5 years of age in our study highlights the risk for antimicrobial resistance transmission within the hospital and community. French title: Transport fécal d'entérobactéries productrices de β-lactamases à spectre étendu (ESBL-PE) chez des enfants de moins de cinq ans dans un hôpital tertiaire du sud-ouest du Nigéria Contexte: Le principal réservoir d’Enterobacterales est l’intestin humain, qui a été signalé comme source d’infections nosocomiales. Les Entérobactéries porteuses des gènes des β-lactamases à spectre étendu (BLSE) sont apparues au fil des années comme d'importants agents pathogènes multirésistants (MDR), qui ont entravé le traitement efficace des infections provoquées par elles et ont limité le traitement à un petit nombre de médicaments tels que les carbapénèmes, conduisant à une pression de sélection et à une résistance émergente aux carbapénèmes. L'objectif de cette étude était de déterminer le portage fécal d'entérobactéries productrices de BLSE (ESPL-PE) chez les enfants de moins de 5 ans à l'hôpital universitaire de technologie Ladoke Akintola, à Ogbomoso, au Nigeria. Méthodologie: Au total, 144 enfants de moins de 5 ans ont été recrutés consécutivement sur une période de 5 mois dans la clinique externe de pédiatrie, les urgences pédiatriques, le service de pédiatrie et l'unité néonatale de l'hôpital. Des écouvillons rectaux ont été prélevés sur des enfants sélectionnés et transportés au laboratoire de microbiologie médicale de l'hôpital pour inoculation sur plaques de gélose MacConkey et incubation aérobie à 37°C pendant 24 heures. Toutes les croissances positives sur les plaques de culture ont été identifiées par la morphologie des colonies, la réaction de coloration de Gram et le schéma de tests biochimiques conventionnels. Le test de sensibilité aux antimicrobiens a été réalisé par la méthode de diffusion sur disque contre des antibiotiques sélectionnés, et la production de BLSE a été confirmée par le test de synergie à double disque (DDST). L'association des facteurs de risque avec le portage fécal des BLSE-PE a été déterminée à l'aide du test du Chi carré ou de Fisher Exact, avec une signification statistique fixée à p<0,05. Résultats: La prévalence du portage fécal des BLSE-PE était de 37,5% (54/144), dont 34,7% (50/144) pourEscherichia coli et 2,1% (3/144) pour Klebsiella pneumoniae. Le taux de résistance global des isolats produisant et non des BLSE était à l'ampicilline (100,0%), à l'amoxicilline-acide clavulanique (96,2%), à la ceftazidime (94,3%) et à la ciprofloxacine (90,6%), tandis que la résistance aux carbapénèmes était faible à 22,2%. Les facteurs de risque significatifs associés au portage fécal de BLSE-PE étaient le groupe d'âge de 24 à 59 mois (p=0,0187), la prise antérieure d'antibiotiques (p=0,014) et la prise d'antibiotiques sans ordonnance (p= 0,0159), tandis que le sexe (p=0,8877), le niveau d'éducation de la mère (p=0,3831) et la visite antérieure à l'hôpital (p=0,8669) n'étaient pas significativement associés au portage fécal de BLSE. Conclusion: Le taux de portage fécal relativement élevé d'EP-BLSE chez les enfants de moins de 5 ans dans notre étude met en évidence le risque de transmission de la résistance aux antimicrobiens au sein de l'hôpital et de la communauté.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Dejemeppe, Muriel, and Bruno Van der Linden. "Numéro 40 - avril 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15873.

Full text
Abstract:
Ce numéro de Regards économiques se concentre sur divers aspects du "plan Marshall" (ci-dessous "le plan") qui ont un lien direct avec le marché du travail en Wallonie. Il les situe par rapport à son fonctionnement, par rapport à certaines politiques fédérales et à la problématique salariale en Belgique et dans ses régions. Face aux difficultés à pourvoir certains types d'emplois vacants en Wallonie et au manque simultané d'opportunités d'emploi, quels sont les remèdes ? Où le plan peut-il agir ? “Le problème de la Wallonie, c'est le manque d'offres d'emploi”, entend-on dire souvent. D'un autre côté, depuis quelques années, est apparue la problématique des postes vacants difficiles à pourvoir (ou des "fonctions critiques"). Bien que la coexistence de ces deux problèmes n'ait rien de surprenant, on a de bonnes raisons de se soucier simultanément de chacun d'eux. Divers mécanismes sont à prendre en compte. Le “plan” agit sur certains d'entre eux mais doit être complété par des outils fédéraux. Le plan devrait par divers canaux stimuler à terme le nombre de postes vacants créés (renforcement de l'innovation, stimulation de la création d'activités et création de “pôles de compétitivité”). Il est trop tôt cependant pour en juger. L'essentiel dépendra de la capacité de nos institutions publiques et privées à mettre ces actions en œuvre avec efficacité. Dans ses domaines de compétence, le "plan" prévoit des mesures qui devraient favoriser la conciliation entre vie familiale et professionnelle (renforcement des capacités d'accueil de jeunes enfants et d'aide «aux personnes dépendantes» par le recrutement de près de 2000 emplois subventionnés dans le secteur non marchand). Ceci devrait faciliter l'acceptation d'une offre d'emploi. Le FOREM et des organismes privés cherchent à faciliter la rencontre entre demandeurs d'emplois et postes vacants. Le plan prévoit un renforcement des moyens du FOREM à cet égard mais uniquement en faveur des stagiaires en formation au sein du FOREM lui-même. Cette restriction est difficile à justifier. Comme les difficultés de recrutement tiennent aussi à un déficit de compétence, le "plan" prévoit un renforcement de l'effort de formation, en particulier pour les fonctions identifiées comme critiques et dans les secteurs liés aux pôles de compétitivité. Cette sélectivité apparaît cohérente. Divers instruments renforcés par le "plan" (le Plan Formation-Insertion, l'apprentissage des langues, l'enseignement en alternance) ne sont pas nouveaux. Ils ont fait parfois l'objet d'évaluations critiques. On attend des décideurs qu'ils prennent la pleine mesure des conclusions essentielles de celles-ci parallèlement à l'octroi de moyens supplémentaires. Le "plan" intègre la création d'un instrument nouveau par la Communauté française: les Centres de Technologies Avancées. Il s'agit de labelliser et de renforcer les moyens d'établissements scolaires spécialisés dans des secteurs porteurs d'emploi. Ces centres s'ajoutent à une autre structure, créée assez récemment par la Région wallonne et dénommée les Centres de compétence. Etant donné la rapidité des évolutions technologiques, l'enjeu est de taille. La sélection des projets et la coordination entre la Région et la Communauté seront ici aussi déterminants. La difficulté à pourvoir des emplois vacants est aussi liée à des facteurs non monétaires nuisibles à la qualité de l'emploi (horaires difficiles, risques d'accident de travail, etc.), au statut social associé ou non à l'emploi et aux images que l'on a de la fonction offerte (voir la récente étude du DULBEA sur ce sujet). Dans le cadre du "plan", le FOREM a récemment mis en place un “plan d'action”qui vise notamment à agir sur certains de ces aspects. Sans oublier les actions régionales dans le domaine du transport public et du logement, qui ne relèvent pas du "plan", pour promouvoir davantage une meilleure rencontre entre les emplois vacants et les demandeurs d'emploi, la Région wallonne doit en particulier s'appuyer sur les instruments suivants, qui sont essentiellement du ressort de l'Etat fédéral : On sait que les gains monétaires immédiats en cas de reprise d'emploi se sont accrus dans bien des cas entre 1999 et 2003. Ces gains paraissent toutefois demeurer fort faibles en cas de reprise d'un emploi à bas salaire et à temps partiel. Le gouvernement fédéral s'est engagé à adapter périodiquement les prestations de remplacement de revenus des salariés. Face à cela, pour éviter le développement de désincitants à la reprise d'emploi, toute modification de la (para)fiscalité devrait avoir un double souci : (a) elle devrait atteindre les catégories au bas de l'échelle des revenus du travail d'une manière immédiatement tangible pour celles-ci (via en particulier les cotisations personnelles ou le précompte professionnel); (b) cependant, on ne peut alléger la (para)fiscalité au bas de l'échelle des revenus sans un ajustement dans le même sens pour les revenus plus élevés sous peine de créer des incitations perverses qui réduiraient la base taxable. Il est possible que le plan d'activation du comportement de recherche d'emploi entraîne une augmentation de l'effort de recherche. Les évaluations sont en cours. Pour autant qu'elles stimulent effectivement l'effort de recherche d'emploi, les politiques actives rendant celui-ci plus efficace (conseillers en recherche d'emploi, ateliers de recherche active, stage de mise en situation professionnelle) peuvent stimuler une embauche durable, ainsi que l'a montré une évaluation en France. Le plan d'accompagnement des chômeurs pourrait affecter le comportement de recherche d'emploi par ce canal et pas uniquement par le contrôle qu'il exerce. Coûts salariaux et productivité : Faut-il régionaliser la formation des salaires, alléger le coût du travail ? Le “plan” n'aborde qu'incidemment la problématique du coût du travail. A-t-il tort ? En soi, non, car la matière est fédérale. Cette problématique et celle de la productivité sont néanmoins en toile de fond du "plan" et de bien des débats. Nous avons donc estimé utile de consacrer un part de ce numéro à ces aspects. Sur base des récentes statistiques de l'ICN, comparés à la Wallonie, le coût salarial par personne est dans la plupart des secteurs supérieur en Flandre (en moyenne, l'écart est de 8 % en 2003) mais la productivité du travail est dans la plupart des secteurs supérieure en Flandre (en moyenne, l'écart est de 14 % en 2004). En combinant ces informations pour 2003, on conclut que le coût salarial par unité de valeur ajoutée est en moyenne inférieur de 4,5 % en Flandre. Ces moyennes cachent néanmoins une hétérogénéité sectorielle importante. De ce constat, on peut être tenté de conclure qu'il faudrait abandonner la formation des salaires au niveau (interprofessionnel et sectoriel) fédéral au profit d'une négociation à un niveau régional ou local. Ceci devrait conduire à une meilleure prise en compte des conditions locales du marché du travail lors de la négociation salariale. Nous émettons des doutes sur l'efficacité d'une telle approche. Il est bien établi que les salaires réagissent faiblement au niveau du chômage en Belgique. Rien ne permet de penser qu'une forme de régionalisation modifierait l'ampleur de cette saine réaction. Plus fondamentalement, les résultats d'une négociation se jugent par comparaison aux résultats obtenus par d'autres négociations salariales. Si donc on découpe les commissions paritaires nationales en commissions (sous-)régionales, on doit s'attendre à un effet de comparaison très puissant entre les ex-membres de la même commission nationale. Une régionalisation des négociations est alors moins efficace du point de vue de l'emploi qu'une négociation nationale qui prend en compte les spécificités régionales. Ceci est vrai tant pour la Flandre que pour les autres régions. Sans être le seul facteur pertinent (voir notamment le numéro 41 de Regards économiques relatif à la fiscalité), le coût du travail est un facteur central pour les régions belges. Outre le ciblage inadéquat des allégements structurels (fédéraux) de cotisations patronales de sécurité sociale, nous rappelons que des subventions temporaires à l'embauche présentent une efficacité du point de vue de l'insertion en emploi pour autant que le ciblage soit adéquat et la durée de subvention courte (un an devrait être un ordre de grandeur). La région wallonne a de longue date privilégié une autre option : les créations directes et/ou la subvention forte et durable d'emplois réservés aux chômeurs. Le "plan" prolonge cette option par le subventionnement de 2000 emplois supplémentaires (voir point b ci-dessus). Les secteurs bénéficiaires – dans une large mesure les secteurs publics et non-marchand – reçoivent ainsi un soutien parfois essentiel. Il nous apparaît que cette dernière motivation domine en pratique. Nous ne voyons donc pas les raisons de réserver ces emplois à des personnes disposant de statuts spécifiques – souvent complexes à définir. Que faut-il faire et, surtout, ne pas faire en matière d’évaluation des politiques d’emploi ? L'enjeu de l'évaluation est proclamé de plus en plus souvent, en particulier par le "plan". Mais est-on bien conscient de ce que "évaluer" veut dire ? Nous sommes convaincus du contraire. Le «nombre de contrats signés», le «nombre de bénéficiaires», le «parcours des bénéficiaires sur le marché du travail» et même une comparaison grossière entre ces parcours et ceux d'un vague groupe de contrôle sont autant d’indicateurs descriptifs intéressants. Ils ne permettent cependant pas de se prononcer sur l’effet du dispositif sur les chances d’insertion des demandeurs d’emploi. Des méthodes plus sophistiquées et plus fiables existent mais elles ne s'improvisent pas. Elles requièrent du temps et un savoir-faire pointu. Nous préconisons donc ceci : Il y a lieu de penser l’évaluation d’un programme avant même son lancement. Il faudrait interdire le lancement d'une nouvelle politique avant que le processus d'évaluation n'ait été défini et reconnu pertinent par une instance indépendante. L'Institut Wallon de l'Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) doit être doté de moyens substantiellement plus importants pour qu'il puisse notamment mener à bien ses missions d'évaluation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Dejemeppe, Muriel, and Bruno Van der Linden. "Numéro 40 - avril 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2006.04.01.

Full text
Abstract:
Ce numéro de Regards économiques se concentre sur divers aspects du "plan Marshall" (ci-dessous "le plan") qui ont un lien direct avec le marché du travail en Wallonie. Il les situe par rapport à son fonctionnement, par rapport à certaines politiques fédérales et à la problématique salariale en Belgique et dans ses régions. Face aux difficultés à pourvoir certains types d'emplois vacants en Wallonie et au manque simultané d'opportunités d'emploi, quels sont les remèdes ? Où le plan peut-il agir ? “Le problème de la Wallonie, c'est le manque d'offres d'emploi”, entend-on dire souvent. D'un autre côté, depuis quelques années, est apparue la problématique des postes vacants difficiles à pourvoir (ou des "fonctions critiques"). Bien que la coexistence de ces deux problèmes n'ait rien de surprenant, on a de bonnes raisons de se soucier simultanément de chacun d'eux. Divers mécanismes sont à prendre en compte. Le “plan” agit sur certains d'entre eux mais doit être complété par des outils fédéraux. Le plan devrait par divers canaux stimuler à terme le nombre de postes vacants créés (renforcement de l'innovation, stimulation de la création d'activités et création de “pôles de compétitivité”). Il est trop tôt cependant pour en juger. L'essentiel dépendra de la capacité de nos institutions publiques et privées à mettre ces actions en œuvre avec efficacité. Dans ses domaines de compétence, le "plan" prévoit des mesures qui devraient favoriser la conciliation entre vie familiale et professionnelle (renforcement des capacités d'accueil de jeunes enfants et d'aide «aux personnes dépendantes» par le recrutement de près de 2000 emplois subventionnés dans le secteur non marchand). Ceci devrait faciliter l'acceptation d'une offre d'emploi. Le FOREM et des organismes privés cherchent à faciliter la rencontre entre demandeurs d'emplois et postes vacants. Le plan prévoit un renforcement des moyens du FOREM à cet égard mais uniquement en faveur des stagiaires en formation au sein du FOREM lui-même. Cette restriction est difficile à justifier. Comme les difficultés de recrutement tiennent aussi à un déficit de compétence, le "plan" prévoit un renforcement de l'effort de formation, en particulier pour les fonctions identifiées comme critiques et dans les secteurs liés aux pôles de compétitivité. Cette sélectivité apparaît cohérente. Divers instruments renforcés par le "plan" (le Plan Formation-Insertion, l'apprentissage des langues, l'enseignement en alternance) ne sont pas nouveaux. Ils ont fait parfois l'objet d'évaluations critiques. On attend des décideurs qu'ils prennent la pleine mesure des conclusions essentielles de celles-ci parallèlement à l'octroi de moyens supplémentaires. Le "plan" intègre la création d'un instrument nouveau par la Communauté française: les Centres de Technologies Avancées. Il s'agit de labelliser et de renforcer les moyens d'établissements scolaires spécialisés dans des secteurs porteurs d'emploi. Ces centres s'ajoutent à une autre structure, créée assez récemment par la Région wallonne et dénommée les Centres de compétence. Etant donné la rapidité des évolutions technologiques, l'enjeu est de taille. La sélection des projets et la coordination entre la Région et la Communauté seront ici aussi déterminants. La difficulté à pourvoir des emplois vacants est aussi liée à des facteurs non monétaires nuisibles à la qualité de l'emploi (horaires difficiles, risques d'accident de travail, etc.), au statut social associé ou non à l'emploi et aux images que l'on a de la fonction offerte (voir la récente étude du DULBEA sur ce sujet). Dans le cadre du "plan", le FOREM a récemment mis en place un “plan d'action”qui vise notamment à agir sur certains de ces aspects. Sans oublier les actions régionales dans le domaine du transport public et du logement, qui ne relèvent pas du "plan", pour promouvoir davantage une meilleure rencontre entre les emplois vacants et les demandeurs d'emploi, la Région wallonne doit en particulier s'appuyer sur les instruments suivants, qui sont essentiellement du ressort de l'Etat fédéral : On sait que les gains monétaires immédiats en cas de reprise d'emploi se sont accrus dans bien des cas entre 1999 et 2003. Ces gains paraissent toutefois demeurer fort faibles en cas de reprise d'un emploi à bas salaire et à temps partiel. Le gouvernement fédéral s'est engagé à adapter périodiquement les prestations de remplacement de revenus des salariés. Face à cela, pour éviter le développement de désincitants à la reprise d'emploi, toute modification de la (para)fiscalité devrait avoir un double souci : (a) elle devrait atteindre les catégories au bas de l'échelle des revenus du travail d'une manière immédiatement tangible pour celles-ci (via en particulier les cotisations personnelles ou le précompte professionnel); (b) cependant, on ne peut alléger la (para)fiscalité au bas de l'échelle des revenus sans un ajustement dans le même sens pour les revenus plus élevés sous peine de créer des incitations perverses qui réduiraient la base taxable. Il est possible que le plan d'activation du comportement de recherche d'emploi entraîne une augmentation de l'effort de recherche. Les évaluations sont en cours. Pour autant qu'elles stimulent effectivement l'effort de recherche d'emploi, les politiques actives rendant celui-ci plus efficace (conseillers en recherche d'emploi, ateliers de recherche active, stage de mise en situation professionnelle) peuvent stimuler une embauche durable, ainsi que l'a montré une évaluation en France. Le plan d'accompagnement des chômeurs pourrait affecter le comportement de recherche d'emploi par ce canal et pas uniquement par le contrôle qu'il exerce. Coûts salariaux et productivité : Faut-il régionaliser la formation des salaires, alléger le coût du travail ? Le “plan” n'aborde qu'incidemment la problématique du coût du travail. A-t-il tort ? En soi, non, car la matière est fédérale. Cette problématique et celle de la productivité sont néanmoins en toile de fond du "plan" et de bien des débats. Nous avons donc estimé utile de consacrer un part de ce numéro à ces aspects. Sur base des récentes statistiques de l'ICN, comparés à la Wallonie, le coût salarial par personne est dans la plupart des secteurs supérieur en Flandre (en moyenne, l'écart est de 8 % en 2003) mais la productivité du travail est dans la plupart des secteurs supérieure en Flandre (en moyenne, l'écart est de 14 % en 2004). En combinant ces informations pour 2003, on conclut que le coût salarial par unité de valeur ajoutée est en moyenne inférieur de 4,5 % en Flandre. Ces moyennes cachent néanmoins une hétérogénéité sectorielle importante. De ce constat, on peut être tenté de conclure qu'il faudrait abandonner la formation des salaires au niveau (interprofessionnel et sectoriel) fédéral au profit d'une négociation à un niveau régional ou local. Ceci devrait conduire à une meilleure prise en compte des conditions locales du marché du travail lors de la négociation salariale. Nous émettons des doutes sur l'efficacité d'une telle approche. Il est bien établi que les salaires réagissent faiblement au niveau du chômage en Belgique. Rien ne permet de penser qu'une forme de régionalisation modifierait l'ampleur de cette saine réaction. Plus fondamentalement, les résultats d'une négociation se jugent par comparaison aux résultats obtenus par d'autres négociations salariales. Si donc on découpe les commissions paritaires nationales en commissions (sous-)régionales, on doit s'attendre à un effet de comparaison très puissant entre les ex-membres de la même commission nationale. Une régionalisation des négociations est alors moins efficace du point de vue de l'emploi qu'une négociation nationale qui prend en compte les spécificités régionales. Ceci est vrai tant pour la Flandre que pour les autres régions. Sans être le seul facteur pertinent (voir notamment le numéro 41 de Regards économiques relatif à la fiscalité), le coût du travail est un facteur central pour les régions belges. Outre le ciblage inadéquat des allégements structurels (fédéraux) de cotisations patronales de sécurité sociale, nous rappelons que des subventions temporaires à l'embauche présentent une efficacité du point de vue de l'insertion en emploi pour autant que le ciblage soit adéquat et la durée de subvention courte (un an devrait être un ordre de grandeur). La région wallonne a de longue date privilégié une autre option : les créations directes et/ou la subvention forte et durable d'emplois réservés aux chômeurs. Le "plan" prolonge cette option par le subventionnement de 2000 emplois supplémentaires (voir point b ci-dessus). Les secteurs bénéficiaires – dans une large mesure les secteurs publics et non-marchand – reçoivent ainsi un soutien parfois essentiel. Il nous apparaît que cette dernière motivation domine en pratique. Nous ne voyons donc pas les raisons de réserver ces emplois à des personnes disposant de statuts spécifiques – souvent complexes à définir. Que faut-il faire et, surtout, ne pas faire en matière d’évaluation des politiques d’emploi ? L'enjeu de l'évaluation est proclamé de plus en plus souvent, en particulier par le "plan". Mais est-on bien conscient de ce que "évaluer" veut dire ? Nous sommes convaincus du contraire. Le «nombre de contrats signés», le «nombre de bénéficiaires», le «parcours des bénéficiaires sur le marché du travail» et même une comparaison grossière entre ces parcours et ceux d'un vague groupe de contrôle sont autant d’indicateurs descriptifs intéressants. Ils ne permettent cependant pas de se prononcer sur l’effet du dispositif sur les chances d’insertion des demandeurs d’emploi. Des méthodes plus sophistiquées et plus fiables existent mais elles ne s'improvisent pas. Elles requièrent du temps et un savoir-faire pointu. Nous préconisons donc ceci : Il y a lieu de penser l’évaluation d’un programme avant même son lancement. Il faudrait interdire le lancement d'une nouvelle politique avant que le processus d'évaluation n'ait été défini et reconnu pertinent par une instance indépendante. L'Institut Wallon de l'Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) doit être doté de moyens substantiellement plus importants pour qu'il puisse notamment mener à bien ses missions d'évaluation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

Full text
Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography