Academic literature on the topic 'Attaques par porte derobée'

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Journal articles on the topic "Attaques par porte derobée"

1

PAPILLAULT DESCHARBONNERIES, P., F. PESSEY, G. GOUTODIER, M. RODIER, and D. LACASSAGNE. "Une technique d’extraction d’urgence d’un blessé d’un véhicule de l’avant blindé sous le feu." Médecine et Armées Vol. 41 No. 3, Volume 41, Numéro 3 (June 1, 2013): 265–70. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6683.

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Abstract:
L’utilisation d’engins explosifs improvisés en Afghanistan augmente le nombre de blessés à prendre en charge à bord des véhicules blindés, notamment les véhicules de l’avant blindés. Classiquement, en cas de blessures, l’extraction du conducteur et/ou du chef de bord se fait par les volets extérieurs situés au niveau du toit du véhicule. Les attaques, souvent combinées à des tirs directs ou indirects, imposent des contraintes opérationnelles non compatibles avec l’extraction en urgence « classique » d’un blessé par le volet supérieur et nécessitent une technique d’extraction par la porte latérale.
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2

Neilson, Roy, Linda L. Handley, David Robinson, Charlie M. Scrimgeour, and Derek J. F. Brown. "Natural abundances of 15N and 13C indicating physiological responses in Petunia hybrida to infection by longidorid nematodes and nepoviruses." Nematology 1, no. 3 (1999): 315–20. http://dx.doi.org/10.1163/156854199508180.

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Abstract:
Abstract The effects of a) systemic virus infection (arabis mosaic and tomato black ring nepoviruses), b) ectoparasitic nematode feeding (Xiphinema diversicaudatum and Longidorus elongatus) and c) a combination of virus infection and nematode feeding on the natural abundances of 13C(delta13C) and 15N(delta15N) of nitrogen-starved Petunia hybrida were studied. Pathogen-induced effects were not confined to sites of virus infection or nematode feeding. Those treatments with nematodes feeding on Petunia hosts and those with a combination of virus infection and nematode feeding resulted in a depletion of shoot and root 15N compared with controls. Virus-infected plants were more 15N-enriched than those fed upon by nematodes which, in turn, were more 15N-enriched than those with both nematode and virus in combination. Shoot delta13C values from infected treatments were not significantly different from controls. Although root delta13C was significantly different from controls in most treatments, absolute differences were small. Differences in delta15N between infected and control plants were probably caused by physiological responses to pathogen infection/feeding such as production of PR-proteins and/or release of nitric oxide. Le contenu naturel en 15N et 13C comme indicateur de la reaction de Petunia hybrida a l'infestation par les nematodes Longidorides et les nepovirus - La presente etude a porte sur l'influence i) d'une infection virale systemique (nepovirus de la mosaique Arabis et du cercle noir de la tomate), ii) d'une atteinte par des nematodes ectoparasites (Xiphinema diversicaudatum et Longidorus elongatus) et iii) d'une combinaison de deux types de pathogenes sur le contenu naturel en 13C(delta13C) et en 15N(delta15N) de Petunia hybrida deficients en azote. Les effets induits par ces organismes pathogenes ne sont pas limites aux sites de l'infection virale ou a ceux des attaques des nematodes. Compares aux temoins, les traitements comportant les seules attaques de nematodes et ceux comportant des attaques combinees des deux types de parasites provoquent une diminution du 15N des racines et des parties aeriennes. Les plants infectes par les virus avaient un taux en 15N plus eleve que ceux attaques par les nematodes, lesquels, en revanche, contenaient plus de 15N que les plants soumis simultanement aux deux types de parasites. Les taux de delta13C dans les parties aeriennes des plants soumis aux differentes attaques n'etaient pas significativement differents de ceux des temoins. Si, dans la plupart des traitements, les taux de delta13C dans les racines etaient significativement differents de ceux des temoins, ces differences restaient faibles en valeur absolue. Les differences dans les taux en delta15N entre plants infectes et temoins sont probablement la resultante de reactions physiologiques aux pathogenes, telles la production de proteines PR ou l'emission d'oxyde nitrique.
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3

Dusaillant-Fernandes, Valérie. "L' essai pamphlétaire de Fatou Diome : Écrire le « je est nôtre » face aux attaques contre Marianne." Voix Plurielles 18, no. 1 (May 2, 2021): 34–51. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v18i1.2589.

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Abstract:
Cette étude vise à examiner comment Diome utilise, dans Marianne porte plainte !, texte hybride entre l’essai et le pamphlet, certains procédés scripturaux et son expérience personnelle pour pointer du doigt les menaces idéologiques et politiques qui pèsent sur la République française, représentée par l’allégorie de Marianne, qu’elle défend face à des adversaires qui menacent ses principes fondamentaux à la veille d’une élection présidentielle. En outre, à travers cet ouvrage, elle affirme une prise de position qui est que toute nation se construit, comme le conçoit Hédi Bouraoui, dans le « trans/vasement des cultures qui se chevauchent, se croisent et s’entrecroisent, s’attirent et se repoussent » (Transpoétique 42). Dès lors, il s’agit aussi d’observer l’expression des idées de l’écrivaine sur les questions d’identité, de transculturalité, de nationalité et d’humanité.
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4

Andrès, Bernard. "Québec : chroniques d’une ville assiégée (IIe partie : 1759)." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 61–91. http://dx.doi.org/10.7202/038121ar.

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Abstract:
En raison de sa position stratégique, mais aussi de sa valeur symbolique (Québec métaphore du Québec), la Vieille Capitale figure comme LA ville en état de siège, de l’époque de Champlain à nos jours. C’est ce curieux destin de cible et de victime, mais aussi de forteresse inexpugnable ou d’héroïne nationale que l’on évoque ici. Après avoir abordé dans le no 61 des Cahiers les attaques anglaises de 1628-1629, de 1690 et de 1711, la réflexion se porte ici sur le siège de Québec en 1759, qui marqua la fin de la Nouvelle-France. Sont convoquées une dizaine de chroniques, pour l’intérêt qu’elles offrent au plan de la représentation de Québec et pour les témoignages qu’elles recèlent sur le comportement des Canadiens « ordinaires », aussi bien que des officiers canadiens de la milice, des bourgeois et des autorités de la colonie. On y voit comment ces relations de 1759 tissent un argumentaire autour de la perte, du sacrifice et du châtiment subi par la colonie, mais aussi comment ces discours autoriseront par la suite une double lecture de la conquête : à la fois défaite et (re)départ.
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5

Zivojinovic, Mirjana. "Manastir Plaka u Kareji." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 173–89. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744173z.

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Abstract:
(francuski) Le petit monast?re de Karyes appel? tou? Plaka a ?t? fonde vers le milieu du XIe siecle. Les signatures de ses higoum?nes figurant sur les actes du Protaton de la Sainte Montagne r?v?lent que cet ?tablissement s?est rapidement range au nombre des monast?res influents. Ceci ressort ?galement de donn?es nous apprenant que deux de ses moines ont ?t? grands ?conomes (1081,1322) et deux autres ?pierr?tes de l?Athos (1294, 1344-1347). Ce monast?re s?est maintenu en tant que tel vraisemblablement jusqu?a la troisi?me d?cennie du XIVe si?cle, lorsque ses repr?sentants commencent a signer avec le terme o Plakaj, que nous comprenons comme celui de Plaka. La r?gression de Plaka au rang de kellion pourrait ?tre mise en relation avec quelque incursion de grande ampleur des Turcs visant Karyes, laquelle se serait ?galement traduite par la d?vastation de plusieurs autres ?tablissements monastiques non prot?ges. Apres 1322, nous ne disposons d?aucune donn?e sur tou? Plaka durant plus de deux d?cennies, et ce jusqu?en septembre 1344, lors qu?un acte du protos Isaac est signe par Th?ophile o Plakaj, epiterete de la Sainte Montagne. Ce dernier ?tait alors aussi membre d?une direction coll?giale de l?Athos, form?e en l?absence du protos Isaac. En d?cembre 1347, un protos, a ce qu?il semble, le serbe Antoine, c?d?, et ce a la demande de l?empereur Stefan Du{an, le kellion appel? Plaka dans la pleine possession du petit monast?re de Saint-Sabbas, hesychasterion de Chilandar. Au titre de cette tradition en faveur de leur monast?re, les moines de Saint-Sabbas devaient, selon l?usage, verser annuellement au Protaton quatre litres de vin et trois litres d?huile. Toutefois, alors que par sa subordination a un autre monastere, tout kellion perdait son statut de personne morale, on constate que Theophile moine et epiterete o Plakaj apparait comme signataire sur le document de d?cembre 1347 par lequel tou? Plaka est c?d? a Saint-Sabbas. Apres cela, et ce durant une longue p?riode on ne trouve aucune signature de repr?sentants tou? Plaka sur les actes de l?Athos. Puis, de 1362 a 1366, on a a nouveau, sur plusieurs d?cisions prises par le protos serbe Dorothee, la signature d?un autre moine du m?me nom - Theophile o Plakaj. Nous savons aussi qu?a partir de 1363 ce dernier r?side au monast?re tou? Menetze et qu?en janvier 1366 il signe en tant que son higoum?ne. A ce qu?il semble ce s?jour a Menetze n??tait toutefois que provisoire. Enfin, un moine o Plakaj - Theodose, Teophile, puis, de nouveau Teodose, participe au travail du Conseil du protos serbe Sava en 1369 et 1371. Tou Plaka apparait ensuite au nombre des kellia que le protos Gerasimos entreprend de recouvrer en faveur du Protaton, ?pres leur remise a divers monast?res par les protoi serbes. Mais, satisfaisant aux dol?ances des moines de Chilandar, ce dernier leur c?d? a nouveau ce m?me ?tablissement en 1375 dans leur pleine possession. Et, a nouveau, l?acte correspondant porte, aux cotes de celles des autres membres du Conseil du protos Gerasimos, la signature du moine Theophile o Plakaj. Par ailleurs, les repr?sentants tou Plaka, a savoir les moines Teodose et Theophile, y compris ?pres cette remise de leur kellion a Chilandar, continuent de participer au travail du Conseil des protoi Gerasimos (1375) et Chariton (1376 et 1377). Il semble qu??pres 1377 Teodose de Plaka ait rejoint le monast?re tou Serviotou. La participation d?un moine o Plakaj au travail du Conseil du protos, et c?y compris ?pres la cession de son kellion, tout d?abord au petit monastere Saint-Sabbas (1347), c.-a-d. a l? hesychaterion de Chilandar puis directement a ce monastere (1375), peut s?expliquer, selon nous, d?une part par le prestige dont jouissait tou Plaka au Protaton et, d?autre part, de toute ?vidence, par certains changements enregistres a l?Athos au cours du XIVe si?cle. Dans ce m?me cadre on peut ici noter les efforts de Saints-Sabbas et de ses moines visant a assurer l?ind?pendance de ce kellion vis-a-vis de Chilandar, alors que starac (geron) de cet ?tablissement participe parfois, lui aussi, au travail du Conseil du protos (ca 1332 et f?vrier 1369). En cons?quence il ?tait acceptable que starac tou Plaka, de toute ?vidence en tant que kellion prestigieux et r?pute de Karyes particip?t, en tant que geron du Protaton au travail du Conseil du protos y compris a l?epoque ou ce kellion etait subordonne a Chilandar. Il semble que l?on perde toute trace de l?ancien monast?re, et par la suite kellion, tou Plaka, ainsi que de quelques autres ?tablissements monastiques, avant la fin du XIVe si?cle. Pour des raisons que nous ignorons, peut-?tre par crainte des attaques des Turcs, certains des habitants de Plaka ont provisoirement s?journe dans les monast?res tou Menetze et peut-?tre tou Serbiotou, qui ?taient assur?ment des ?tablissement offrant une plus grande s?curit?.
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6

Weiner, Irving B. "Speaking Rorschach: Our Method Stands Tall." Rorschachiana 22, no. 1 (January 1997): 1–12. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.22.1.1.

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Abstract:
J’ai eu le grand privilège d’assumer, depuis 1990, la fonction de Rédacteur-en-Chef de Rorschachiana: Yearbook of the International Rorschach Society. Après une période initiale de planification, cinq numéros ont été publiés, et mon mandat se termine avec ce volume de 1997. Je souhaite ici exprimer ma gratitude aux collègues qui m’ont apporté leur aide et aux auteurs qui ont contribué avec tant de grâce. Chacun de ces volumes comporte une introduction intitulée “Parler Rorschach”, où j’ai exprimé quelques idées. J’ai tout d’abord avancé que la connaissance du Rorschach nous conférait un langage commun qui nous permet de communiquer entre nous et de partager notre compréhension de l’évaluation de la personnalité. J’ai engagé les membres de la communauté Rorschach à s’écouter mutuellement comme à se parler, dans le respect des approches bien pensées qui diffèrent de la leur. J’ai suggéré qu’il convenait de considérer les controverses théoriques comme des occasions d’élargir notre horizon plutôt que d’abaisser les points de vue avec lesquels nous ne sommes pas en accord, ou encore de nous retrancher des camps adverses. J’ai plaidé pour une plus grande sensibilité aux différences culturelles et j’ai attiré l’attention sur le fait que, bien que le Rorschach soit universellement applicable comme méthode d’évaluation de la personnalité, la façon dont les gens réagissent aux taches d’encre est en partie influencée par leur héritage personnel. Mes commentaires se sont jusqu’à présent centrés sur les “affaires internes” de la communauté Rorschach, à savoir sur la façon dont les praticiens du Rorschach devaient se parler. Ma dernière variation sur le thème “Parler Rorschach” portera sur nos “affaires extérieures”, c’est-à-dire comment nous devons parler aux autres. Plus précisément, les “affaires extérieures” du Rorschach concernent la question de savoir comment la méthode des taches d’encre est regardée par les praticiens non-Rorschach, les chercheurs, les éducateurs, les hommes politiques et le public en général dont les opinions influencent l’utilisation, l’étude et l’enseignement du Rorschach. La méthode Rorschach a connu une longue histoire de critiques acerbes, et les enthousiastes du Rorschach ont la douloureuse habitude d’entendre des remarques désobligeantes à propos de leur instrument et des attaques gratuites contre leur confiance en lui. Aujourd’hui, alors que l’utilisation du test repose sur des recherches plus solidement établies, qu’elle concerne des champs d’applications plus variés, et connaît une propagation mondiale jamais égalée, on se trouve semble-t-il devant un regain de sentiments anti-Rorschach, tout du moins dans les milieux académiques. Aux Etats-Unis, par exemple, un livre de Dawes (1994) où le Rorschach était qualifié “d’instrument de pacotille” qui “n’est pas valide pour tester quoi que ce soit” a connu un certain succès, tout comme un article de Wood, Nezworski et Stejskal (1996) qui affirment que les concepts fondamentaux sur lesquels repose le Système Intégré sont “erronés”. Aux Etats-Unis, tout comme dans certains autres pays, les psychologues Rorschach ont récemment été confrontés à des difficultés croissantes à obtenir un financement pour leurs recherches et un créneau d’enseignement du Rorschach dans les cursus universitaires. Face aux arguments hostiles et à l’apparente multiplication des obstacles, les membres de la communauté Rorschach pourraient certes se décourager dans leur travail, voire même se demander si, après tout, leur méthode serait moins bonne qu’ils ne le pensaient. A ceux-là je réponds par le titre de mon introduction d’aujourd’hui, que l’on peut étayer par une abondante littérature et transmettre à tout esprit quelque peu ouvert: Notre méthode garde la tête haute. Avant de donner quelques arguments en faveur de cette assertion, je me dois d’expliciter la suggestion que j’avais faite de parler de la “méthode” Rorschach plutôt que du “test” du Rorschach ( Weiner, 1994 , 1995 a ). John Exner, ami intime et président actuel de la Société Internationale du Rorschach, en a pris ombrage. Exner (1997) craint que le respect, si chèrement gagné, pour le Rorschach en tant qu’un instrument psychométrique solide ne soit remis en question par des propositions qui tendraient à faire croire qu’il ne serait pas justifié de considérer le Rorschach comme un test. Je partage tout à fait ses craintes, et je continue à soutenir publiquement l’idée que la respectabilité du Rorschach ne peut être établie que par des recherches aux critères psychométriques rigoureux ( Weiner, 1981 , 1995 ). Il ne fait pour moi aucun doute que, en tant qu’un instrument de mesure standardisé aux propriétés psychométriques connues, le Rorschach répond à tous les critères d’un test. C’est pourquoi, ma préférence pour la désignation du Rorschach comme méthode des taches d’encre n’a rien à voir avec une quelconque critique de ses qualités en tant qu’un test. Bien au contraire, je pense que le Rorschach non seulement est un test, mais qu’il est plus qu’un test, et qu’il serait réducteur de ne le considérer rien que comme un test. Plus qu’un test, le Rorschach est une méthode de recueil de données multidimensionnelle, qui traverse les différentes approches théoriques du fonctionnement de la personnalité et qui prend en compte non seulement ce que les gens disent dans leurs réponses, mais aussi pourquoi et comment ils les disent. Ce sont bien ces caractéristiques qui confèrent sa richesse à la méthode des taches d’encre, et en rendent les résultats applicables à des champs si divers. Pour conclure, je retournerai à mon titre et à la question de savoir en quoi le Rorschach garde la tête haute et pourquoi le partisan de la méthode des taches d’encre n’a nul besoin d’abdiquer face à la bataille professionnelle qu’il lui incombe de mener pour sa défense. Comme je l’ai développé dans trois articles récents, ( Weiner, 1996a , 1996b , 1997 ), l’actuel statut scientifique, clinique et professionnel du Rorschach démontre la vigueur et l’utilité de cette méthode d’évaluation de la personnalité et montre à l’évidence que ses détracteurs sont tout bonnement mal informés. En ce qui concerne son statut scientifique, un instrument de mesure est valable sur le plan psychométrique si (a) des examinateurs dûment formés peuvent se mettre d’accord sur la cotation des variables; (b) l’appréciation de sa fiabilité indique qu’il procure des informations précises; (c) ses corollaires démontrés identifient des buts conformes à ce pour quoi il est valide; et (d) il existe des données normatives concernant les statistiques descriptives dans diverses populations qui permettent de comparer les résultats d’un individu à ceux du groupe de référence approprié. D’abondantes études publiées indiquent que la Méthode Rorschach des Taches d’Encre, surtout lorsqu’elle est administrée et cotée selon le Système Intégré, satisfait pleinement à chacune de ces quatre conditions psychométriques. Le statut clinique d’un instrument d’évaluation est déterminé par le but qu’il sert dans son application pratique. D’abondantes études démontrent que des examinateurs compétents peuvent utiliser les données du Rorschach pour produire des descriptions valides de la structure et de la dynamique de la personnalité; contribuer de façon importante au diagnostic différentiel des troubles psychologiques; aider les psychothérapeutes à définir les objectifs d’un traitement et mettre en évidence d’éventuels obstacles à la progression du traitement, à choisir les modalités thérapeutiques les plus pertinentes, et à surveiller les changements et les améliorations obtenus au cours du temps; et identifier les aspects du comportement qui sont principalement déterminés par des caractéristiques permanentes de la personnalité. Nous savons donc que les informations obtenues à partir du Rorschach peuvent effectivement servir à des fins pratiques importantes et variées. Le statut professionnel d’une méthode clinique se reflète dans sa fréquence d’utilisation et dans l’estime qu’on lui morte. En dépit des craintes alarmistes qui font état d’un déclin dans l’utilisation du Rorschach, des enquêtes réitérées sur les usages en matière de testing aux Etats-Unis, menées depuis 35 ans, ont montré une fréquence élevée et sans éclipse de l’utilisation du Rorschach dans les contextes cliniques, et la très grande majorité des cliniciens continuent à croire que les étudiants en psychologie clinique devraient être compétents dans l’évaluation à l’aide du Rorschach. Dans d’autres endroits du monde aussi, le Rorschach reste un instrument de large utilisation et continue d’attirer les étudiants qui veulent l’apprendre. L’épanouissement actuel de la Société Internationale du Rorschach, l’importance, en nombre et en qualité, de la participation aux congrès internationaux du Rorschach, et le lancement de Rorschachiana, portent aussi témoignage de la vigueur et de la dissémination de la méthode Rorschach. C’est ainsi que le Rorschach garde la tête haute. Notre méthode est bien établie en tant qu’un instrument psychométrique solide qui mesure des dimensions de la personnalité, aide au diagnostic différentiel et contribue aux indications thérapeutiques et à l’évaluation des différents traitement. On voit surgir des quatre coins du monde, à un rythme soutenu, des avancées conceptuelles, empiriques et pratiques, et il ne fait pas de doute que le Rorschach, vieux déjà de 75 ans, entre dans une période de croissance et de maturité en tant qu’un outil qui permet valablement de décrire et comprendre la condition humaine. Dans ce volume de Rorschachiana on trouvera des contributions en provenance du Brésil, du Canada, du Royaume-Uni, d’Italie, d’Espagne, de Suisse, du Venezuela et des Etats-Unis, ce qui porte au nombre de 19 les pays représentés dans les volumes 1993 à 1997.
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7

Fougeyrollas, Patrick. "Handicap." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.013.

Full text
Abstract:
Handicap : nom commun d’origine anglo-saxonne dont l’étymologie proviendrait de Hand in Cap, une pratique populaire pour fixer la valeur d'échange d’un bien. Dans le domaine des courses de chevaux, le handicap vise à ajouter du poids aux concurrents les plus puissants pour égaliser les chances de gagner la course pour tous les participants. Il apparait dans le dictionnaire de l’Académie française dans les années 1920 dans le sens de mettre en état d’infériorité. Son utilisation pour désigner les infirmes et invalides est tardive, après les années 1950 et se généralise au début des années 1970. Par un glissement de sens, le terme devient un substantif qualifiant l’infériorité intrinsèque des corps différentiés par leurs atteintes anatomiques, fonctionnelles, comportementales et leur inaptitude au travail. Les handicapés constituent une catégorisation sociale administrative aux frontières floues créée pour désigner la population-cible de traitements socio-politiques visant l’égalisation des chances non plus en intervenant sur les plus forts mais bien sur les plus faibles, par des mesures de réadaptation, de compensation, de normalisation visant l’intégration sociale des handicapés physiques et mentaux. Ceci rejoint les infirmes moteurs, les amputés, les sourds, les aveugles, les malades mentaux, les déficients mentaux, les invalides de guerre, les accidentés du travail, de la route, domestiques et par extension tous ceux que le destin a doté d’un corps différent de la normalité instituée socio-culturellement dans un contexte donné, ce que les francophones européens nomment les valides. Dans une perspective anthropologique, l’existence de corps différents est une composante de toute société humaine (Stiker 2005; Fougeyrollas 2010; Gardou 2010). Toutefois l’identification de ce qu’est une différence signifiante pour le groupe culturel est extrêmement variée et analogue aux modèles d’interprétation proposés par François Laplantine (1993) dans son anthropologie de la maladie. Ainsi le handicap peut être conçu comme altération, lésion ou comme relationnel, fonctionnel, en déséquilibre. Le plus souvent le corps différent est un corps mauvais, marqueur symbolique culturel du malheur lié à la transgression d’interdits visant à maintenir l’équilibre vital de la collectivité. La responsabilité de la transgression peut être endogène, héréditaire, intrinsèque aux actes de la personne, de ses parents, de ses ancêtres, ou exogène, due aux attaques de microbes, de virus, de puissances malveillantes, génies, sorts, divinités, destin. Plus rarement, le handicap peut être un marqueur symbolique de l’élection, comme porteur d’un pouvoir bénéfique singulier ou d’un truchement avec des entités ambiantes. Toutefois être handicapé, au-delà du corps porteur de différences signifiantes, n’implique pas que l’on soit malade. Avec la médicalisation des sociétés développées, une fragmentation extrême du handicap est liée au pouvoir biomédical d’attribuer des diagnostics attestant du handicap, comme garde-barrière de l’accès aux traitements médicaux, aux technologies, à la réadaptation, aux programmes sociaux, de compensation ou d’indemnisation, à l’éducation et au travail protégé ou spécial. Les avancées thérapeutiques et de santé publique diminuent la mortalité et entrainent une croissance continue de la morbidité depuis la Deuxième Guerre mondiale. Les populations vivant avec des conséquences chroniques de maladies, de traumatismes ou d’atteintes à l’intégrité du développement humain augmentent sans cesse. Ceci amène l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à s’intéresser non plus aux diagnostics du langage international médical, la Classification internationale des maladies, mais au développement d’une nosologie de la chronicité : la Classification internationale des déficiences, des incapacités et des handicaps qui officialise une perspective tridimensionnelle du handicap (WHO 1980). Cette conceptualisation biomédicale positiviste situe le handicap comme une caractéristique intrinsèque, endogène à l’individu, soit une déficience anatomique ou physiologique entrainant des incapacités dans les activités humaines normales et en conséquence des désavantages sociaux par rapport aux individus ne présentant pas de déficiences. Le modèle biomédical ou individuel définit le handicap comme un manque, un dysfonctionnement appelant à intervenir sur la personne pour l’éduquer, la réparer, l’appareiller par des orthèses, des prothèses, la rétablir par des médicaments, lui enseigner des techniques, des savoirs pratiques pour compenser ses limitations et éventuellement lui donner accès à des subsides ou services visant à minimiser les désavantages sociaux, principalement la désaffiliation sociale et économique inhérente au statut de citoyen non performant ( Castel 1991; Foucault 1972). À la fin des années 1970 se produit une transformation radicale de la conception du handicap. Elle est étroitement associée à la prise de parole des personnes concernées elles-mêmes, dénonçant l’oppression et l’exclusion sociale dues aux institutions spéciales caritatives, privées ou publiques, aux administrateurs et professionnels qui gèrent leur vie. C’est l’émergence du modèle social du handicap. Dans sa tendance sociopolitique néomarxiste radicale, il fait rupture avec le modèle individuel en situant la production structurelle du handicap dans l’environnement socio-économique, idéologique et matériel (Oliver 1990). La société est désignée responsable des déficiences de son organisation conçue sur la performance, la norme et la productivité entrainant un traitement social discriminatoire des personnes ayant des déficiences et l’impossibilité d’exercer leurs droits humains. Handicaper signifie opprimer, minoriser, infantiliser, discriminer, dévaloriser, exclure sur la base de la différence corporelle, fonctionnelle ou comportementale au même titre que d’autres différences comme le genre, l’orientation sexuelle, l’appartenance raciale, ethnique ou religieuse. Selon le modèle social, ce sont les acteurs sociaux détenant le pouvoir dans l’environnement social, économique, culturel, technologique qui sont responsables des handicaps vécus par les corps différents. Les années 1990 et 2000 ont été marquées par un mouvement de rééquilibrage dans la construction du sens du handicap. Réintroduisant le corps sur la base de la valorisation de ses différences sur les plans expérientiels, identitaires et de la créativité, revendiquant des modes singuliers d’être humain parmi la diversité des êtres humains (Shakespeare et Watson 2002; French et Swain 2004), les modèles interactionnistes : personne, environnement, agir, invalident les relations de cause à effet unidirectionnelles propres aux modèles individuels et sociaux. Épousant la mouvance de la temporalité, la conception du handicap est une variation historiquement et spatialement située du développement humain comme phénomène de construction culturelle. Une construction bio-socio-culturelle ouverte des possibilités de participation sociale ou d’exercice effectif des droits humains sur la base de la Déclaration des droits de l’Homme, des Conventions internationales de l’Organisation des Nations-Unies (femmes, enfants, torture et maltraitance) et en l’occurrence de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) (ONU 2006; Quinn et Degener 2002; Saillant 2007). Par personnes handicapées, on entend des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres. (CDPH, Art 1, P.4). Fruit de plusieurs décennies de luttes et de transformations de la conception du handicap, cette définition représente une avancée historique remarquable autant au sein du dernier des mouvements sociaux des droits civiques, le mouvement international de défense des droits des personnes handicapées, que de la part des États qui l’ont ratifiée. Malgré le fait que l’on utilise encore le terme personne handicapée, le handicap ne peut plus être considéré comme une caractéristique de la personne ni comme un statut figé dans le temps ni comme un contexte oppressif. Il est le résultat d’une relation dont il est nécessaire de décrire les trois composantes anthropologiques de l’être incarné : soi, les autres et l’action ou l’habitus pour en comprendre le processus de construction singulier. Le handicap est situationnel et relatif , sujet à changement, puisqu’il s’inscrit dans une dynamique interactive temporelle entre les facteurs organiques, fonctionnels, identitaires d’une part et les facteurs contextuels sociaux, technologiques et physiques d’autre part, déterminant ce que les personnes ont la possibilité de réaliser dans les habitudes de vie de leurs choix ou culturellement attendues dans leurs collectivités. Les situations de handicap ne peuvent être prédites à l’avance sur la base d’une évaluation organique, fonctionnelle, comportementale, identitaire ou de la connaissance de paramètres environnementaux pris séparément sans réintroduire leurs relations complexes avec l’action d’un sujet définissant le sens ou mieux incarnant la conscience vécue de cette situation de vie. Suite au succès de l’expression personne en situation du handicap en francophonie, on remarque une tendance à voir cette nouvelle appellation remplacer celle de personne handicapée. Ceci est généralement interprété comme une pénétration de la compréhension du modèle interactionniste et socio constructiviste. Toutefois il est inquiétant de voir poindre des dénominations comme personnes en situation de handicap physique, mental, visuel, auditif, intellectuel, moteur. Cette dérive démontre un profond enracinement ontologique du modèle individuel. Il est également le signe d’une tendance à recréer un statut de personne en situation de handicap pour remplacer celui de personne handicapée. Ceci nécessite une explication de la notion de situation de handicap en lien avec le concept de participation sociale. Une personne peut vivre à la fois des situations de handicap et des situations de participation sociale selon les activités qu’elle désire réaliser, ses habitudes de vie. Par exemple une personne ayant des limitations intellectuelles peut vivre une situation de handicap en classe régulière et avoir besoin du soutien d’un éducateur spécialisé mais elle ne sera pas en situation de handicap pour prendre l’autobus scolaire pour se rendre à ses cours. L’expression personne vivant des situations de handicap semble moins propice à la dérive essentialiste que personne en situation de handicap. Le phénomène du handicap est un domaine encore largement négligé mais en visibilité croissante en anthropologie. Au-delà des transformations de sens donné au terme de handicap comme catégorie sociale, utile à la définition de cibles d’intervention, de traitements sociaux, de problématiques sociales pour l’élaboration de politiques et de programmes, les définitions et les modèles présentés permettent de décrire le phénomène, de mieux le comprendre mais plus rarement de formuler des explications éclairantes sur le statut du handicap d’un point de vue anthropologique. Henri-Jacques Stiker identifie, en synthèse, cinq théories du handicap co-existantes dans le champ contemporain des sciences sociales (2005). La théorie du stigmate (Goffman 1975). Le fait du marquage sur le corps pour indiquer une défaveur, une disgrâce, un discrédit profond, constitue une manière de voir comment une infirmité donne lieu à l’attribution d’une identité sociale virtuelle, en décalage complet avec l’identité sociale réelle. Le handicap ne peut être pensé en dehors de la sphère psychique, car il renvoie toujours à l’image de soi, chez celui qui en souffre comme celui qui le regarde. Le regard d’autrui construit le regard que l’on porte sur soi mais en résulte également (Stiker 2005 :200). La théorie culturaliste qui met en exergue la spécificité des personnes handicapées, tout en récusant radicalement la notion même de handicap, est enracinée dans le multiculturalisme américain. Les personnes handicapées se constituent en groupes culturels avec leurs traits singuliers, à partir de conditions de vie, d’une histoire (Stiker 2005). Par exemple au sein des Disability Studies ou Études sur le handicap, il est fréquent de penser que seuls les corps différents concernés peuvent véritablement les pratiquer et en comprendre les fondements identitaires et expérientiels. L’exemple le plus probant est celui de la culture sourde qui se définit comme minorité ethno-linguistique autour de la langue des signes et de la figure identitaire du Sourd. On fera référence ici au Deaf Studies (Gaucher 2009). La théorie de l’oppression (Oliver 1990). Elle affirme que le handicap est produit par les barrières sociales en termes de déterminants sociologiques et politiques inhérents au système capitaliste ou productiviste. Les personnes sont handicapées non par leurs déficiences mais par l’oppression de l’idéologie biomédicale, essentialiste, individualiste construite pour empêcher l’intégration et l’égalité. Ce courant des Disability Studies s’inscrit dans une mouvance de luttes émancipatoires des personnes opprimées elles-mêmes (Stiker 2005 : 210; Boucher 2003) La théorie de la liminalité (Murphy 1990). Par cette différence dont ils sont les porteurs, les corps s’écartent de la normalité attendue par la collectivité et sont placés dans une situation liminale, un entre-deux qu’aucun rite de passage ne semble en mesure d’effacer, de métamorphoser pour accéder au monde des corps normaux. Cette théorie attribue un statut anthropologique spécifique au corps handicapé sans faire référence obligatoire à l’oppression, à l’exclusion, à la faute, ou au pouvoir. Marqués de façon indélébile, ils demeurent sur le seuil de la validité, de l’égalité, des droits, de l’humanité. La théorie de l’infirmité comme double, la liminalité récurrente de Stiker (2005). L’infirmité ne déclenche pas seulement la liminalité mais en référant à la psychanalyse, elle est un véritable double. La déficience est là, nous rappelant ce que nous n’aimons pas et ne voulons pas être, mais elle est notre ombre. Nous avons besoin de l’infirmité, comme de ceux qui la portent pour nous consoler d’être vulnérable et mortel tout autant que nous ne devons pas être confondus avec elle et eux pour continuer à nous estimer. Ils sont, devant nous, notre normalité, mais aussi notre espoir d’immortalité (Stiker 2005 : 223)
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