Academic literature on the topic 'Assurance-crédit commercial'

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Journal articles on the topic "Assurance-crédit commercial":

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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.

Dissertations / Theses on the topic "Assurance-crédit commercial":

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Tridi, Amine. "Les garanties bancaires dans le commerce international." Paris 10, 1991. http://www.theses.fr/1991PA100008.

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Abstract:
L’étude porte sur la pratique internationale des garanties bancaires délivrées dans le cadre de marches internationaux. L'analyse consiste à faire le point sur le mécanisme des garanties ainsi que sur le droit compare en la matière. Puis, sur un plan strictement juridique, il s'agit d'une contribution à l'étude des garanties au regard de la jurisprudence et de la doctrine, spécialement en ce qui concerne leurs nature et régime juridiques
Bonds, quarantees and letters of credit in the international trade are concerned by this study which try to have a general view about the practice over the world, with appreciation about the justice decisions on the subject
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Aghasian, Mostafa. "Three essays on short term credit." Electronic Thesis or Diss., Université Paris sciences et lettres, 2024. http://www.theses.fr/2024UPSLD004.

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Abstract:
Cette thèse explore le rôle des structures « shadow banking » dans différents contextes d'offre de crédit à court terme. La thèse se compose de trois chapitres servant d’articles de recherche indépendants. Chaque chapitre analyse les interactions stratégiques entre les intermédiaires financiers, les entreprises et les organismes de réglementation. Dans le premier chapitre, le rôle des « captive banks » dans la fourniture d'informations de suivi à la société mère est évalué. Dans le deuxième chapitre, le rôle de la disponibilité des instruments de gestion des risques financiers sur l’offre de crédit commercial des entreprises est évalué. À cette fin, la disponibilité hétérogène des assurances-crédit commercial dans la zone euro de libre-échange est explorée. Le troisième chapitre évalue le rôle de la sensibilité de l’information dans le succès des banques à émettre des titres de type monétaire. À cette fin, l’émission de CP par les banques au cours des réformes réglementaires qui ont affecté la demande des « money market funds » est évaluée
This thesis explores the role of the shadow banking structures in different short-term credit provision settings. The thesis consists of three chapters serving as independent research articles. Each chapter analyzes the strategic interactions among financial intermediaries, firms, and regulatory bodies. In the first chapter, the role of captive finance subsidiaries in providing monitoring information to the parent firm is evaluated. In the second chapter, the role of availability of financial risk management instruments on firms’ trade credit provision is evaluated, for this purpose, the heterogeneous availability of trade credit insurances in the EA is explored. The third chapter evaluates the role of information sensitivity in the success of banks to issue money like securities, for this purpose, banks’ CP issuance during the regulatory reforms that affected the demand of money market funds is evaluated
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Cammas, Geneviève. "La couverture du risque financier international et l'intermédiation financière : l'émergence nécessaire d'un nouveau droit financier." Nice, 1995. http://www.theses.fr/1995NICE0035.

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Abstract:
La privatisation des systèmes de couverture et de financement des opérations internationales de commerce et d'investissement traduit un redéploiement des pouvoirs d'orientation de l'économie au bénéfice de puissances financières privées. Le droit dont les modes de production sont soumis à concurrence peut être un régulateur des relations sociales insérées dans un environnement international
The privatisation of international trade and investment operations covering and financing systems reflects the fact that the market transfers orienting power to the advantage of private powerful financial institutions. Law, which follows a competitive production logic, seems to be a regulator in social relationships within an international environment
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Triki, Mohamed-Ali. "Le financement et la garantie des exportations dans les pays en développement : le cas de la Tunisie." Nice, 1999. http://www.theses.fr/1999NICE0044.

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Abstract:
Les experiences en matiere d'industrialisation des pays en developpement, et surtout des nouveaux pays industrialises, soulignent les limites de la composante de la strategie extravertie basee sur les seules multinationales. Cette composante, dont l'apport aux pays d'accueil est incontestable, a generalement peu d'impact sur le processus d'industrialisation, ce dernier relevant essentiellement des entreprises locales. C'est dans ce contexte que s'inscrivent le financement et la garantie des exportations, dont l'efficacite ou l'inefficacite relatives peuvent conditionner la reussite de la strategie de developpement. Le systeme de financement et de garantie des exportations est constitue par un ensemble de techniques adaptees aux cas de figure relevant du processus de production, des finances des entreprises et des risques a l'exportation. Meme en cas de surproduction et/ou de capacite d'autofinancement elevee, nombre d'entreprises peuvent difficilement etre autonomes par rapport a ce systeme, ne serait ce que du fait des risques specifiques lies a l'exportation. La gestion de ce systeme pose la question de l'intervention ou de la neutralite de l'etat. Les caracteristiques des systemes financiers des pays en developpement, ainsi que la nature des risques a l'exportation plaident en faveur d'une intervention institutionnelle au moins durant les premieres phases de la strategie. Se pose ensuite la question des modalites de la poursuite de l'intervention. La politique de financement et de garantie basee sur une subvention des taux des credits et des primes des garanties montre des limites et est tres souvent generatrice de distorsions. L'identification des problemes permet de souligner l'efficacite du developpement du systeme de financement et de garantie du point de vue des techniques et de la credibilite des intervenants. De la justesse de l'intervention institutionnelle dependent la cohesion du systeme, la maitrise des risques et l'attenuation du rationnement. De fait, la manipulation par l'etat des outils de la promotion des exportations doit tenir compte de l'imperatif d'elargissement de l'offre, au dela de la demande des grandes unites, pour appuyer une ouverture sur la demande etrangere via les petites et moyennes entreprises, et pour desserrer la double dependance vis-a-vis des exportations traditionnelles et des exportations des multinationales.
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Sawadogo, Relwendé. "Essais sur les déterminants et les conséquences macroéconomiques du développement du secteur d’assurance dans les pays en développement." Thesis, Clermont-Ferrand 1, 2016. http://www.theses.fr/2016CLF10493/document.

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Abstract:
La présente thèse est composée d’un ensemble de travaux de recherche en économie appliquée qui s’inscrivent dans le champ contemporain de l’économie de l’assurance. La thèse s’interroge sur comment les pays en développement pourraient développer davantage le secteur d’assurance afin de bénéficier des effets sur l’économie domestique. La première partie de la thèse analyse les déterminants macroéconomiques du développement du secteur d’assurance. Premièrement, les résultats montrent que l'augmentation du revenu par habitant conduit à une augmentation des primes d'assurance-vie et l’assurance-vie est un bien de luxe en Afrique Subsaharienne (chapitre 2). On trouve également des preuves que l’impact marginal du revenu dépend de la qualité de l'environnement juridique et politique. Deuxièmement, l’analyse de l’effet des IDE montre que, ceux-ci constituent un facteur clé dans l'augmentation des primes d'assurance non-vie à la fois dans les pays d’Afrique Subsaharienne (ASS) et dans les autres pays en développement (chapitre 3). Troisièmement, les activités d’assurance-vie et bancaire sont substituables en ASS, cependant les résultats indiquent une causalité unidirectionnelle allant du crédit bancaire au secteur privé vers le développement des activités d’assurance-vie (chapitre 4). La deuxième partie de la thèse analyse l’impact du développement du secteur d’assurance sur l’économie des pays en développement. Premièrement, il apparaît que le développement de l'assurance-vie a un effet positif sur la croissance économique dans les pays en développement d'une part et d'autre part, l’effet marginal de l’assurance-vie est influencé par les caractéristiques structurelles des pays (chapitre 5). Les primes d'assurance augmentent de façon significative la valeur des titres négociés sur le marché financier aussi bien avant et après la crise de 2007(chapitre 6). Troisièmement, la thèse a montré qu’il existe une relation à long terme entre le développement de l’assurance non-vie et l’ouverture commerciale et que les primes d'assurance non-vie améliorent l'ouverture au commerce international aussi bien dans les pays en développement que spécifiquement dans les pays à faible et moyen revenu (chapitre 7)
This thesis is composed of a set of research in applied economics that enroll in the contemporary field of economics of insurance. The thesis analyses how developing countries could develop more the insurance sector and benefit from these effects on local economy. The first part explored the determinants of insurance development from a macroeconomic perspective. First, the results show that increase of income per capita leads to an increase in life insurance premiums and that life insurance is a luxury commodity in Sub-Saharan Africa (chapter 2). We also find evidence that the marginal impact of income varies according to the quality of legal and political environment. Second, analysis of effect of the FDI inflows shows that these are a key factor in increase of non-life insurance premiums in countries of Sub-Saharan Africa (SSA) and in other developing countries (chapter 3). In chapter 4, the results highlighted that the activities of life insurance and banking are substitutable in SSA and, however, there is presence of unidirectional causality running from real private credit density to life insurance and insurance density. The second part of the thesis has analysed effect of development of insurance sector on economy in developing countries. First, it appears that the development of life insurance has a positive effect on economic growth on the one hand and on the other hand marginal effect of life insurance is influenced by the structural characteristics of countries (chapter 5). In chapter 6, the results showed that the insurance premiums significantly increase stock market value traded, before as well and after the 2007's economic crisis. Finally, the thesis showed that there is a long term relationship between the development of non-life insurance and trade openness and that non-life insurance premiums improve openness to international trade as well in developing countries than specifically in low and middle income countries (chapter 7)

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