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Kintz, Jean-Pierre. "Gueth (Francis), Robichon (François), La Grande Armée par Victor Huen." Revue d’Alsace, no. 132 (September 1, 2006): 581–82. http://dx.doi.org/10.4000/alsace.1403.

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Denis, Béatrice. "Représenter Austerlitz : le système icono-textuel napoléonien." RACAR : Revue d'art canadienne 47, no. 1 (August 30, 2022): 23–41. http://dx.doi.org/10.7202/1091819ar.

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Abstract:
This article examines how the battle of Austerlitz (December 2, 1805) became a symbol of Napoleonic power. It argues that this happened through deliberate propaganda efforts, with a carefully crafted written version of the events leading to the battle, found in the 30th bulletin de la Grande Armée, as well as three paintings commissioned by Napoleon in March 1806, not long after the close of the successful 1805 campaign. The fame of the battle was forged by Napoleon himself by way of a text/image system that constructs its own authority and veracity. The images commissioned and created repeat what was read in the bulletin in different genres. The bulletin and the three paintings, by Louis-François Lejeune, Louis-Albert-Guislain Bacler d’Albe, and François Gérard successfully work together to sanction a unique version of events intended for posterity, one in which the eve of the battle occupies a prominent place.
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3

Licordari, Mariangela. "La propagation du béton armé au Portugal: les bâtiments industriels comme moyens de divulgation de la technique." Revista de História da Sociedade e da Cultura 16 (December 30, 2016): 321–42. http://dx.doi.org/10.14195/1645-2259_16_14.

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Abstract:
Cet article vise à donner des précisions sur la propagation du béton armé au Portugal, en cherchant à clarifier les mécanismes et les coïncidences qui ont permis, au tournant du XXe siècle, la divulgation de cette nouvelle technique de construction dans ce pays au début de son industrialisation. Pour la diffusion de ce nouveau matériau dans le contexte constructif du Portugal, les compétences entrepreneuriales de François Hennebique, père du brevet en béton armé le plus connu à l’échelle internationale, seront fondamentales. Les bâtiments industriels seront les premiers édifices capables d’exploiter au maximum les qualités techniques du nouveau matériau. La Fábrica de Moagem de Caramujo est l’un des exemples les plus concrets pour justifier notre argumentaire. Ce bâtiment a été le premier au Portugal à être entièrement construit en béton armé, en laissant comme héritage un lexique constructif qui trouvera une utilisation très large dans l’architecture portugaise des années à venir.https://doi.org/10.14195/1645-2259_16_14
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Charbonneau, Bruno, and Jonathan Sears. "Faire la guerre pour un Mali démocratique : l'intervention militaire française et la gestion des possibilités politiques contestées." Canadian Journal of Political Science 47, no. 3 (September 2014): 597–619. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423914000924.

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Abstract:
RésuméLe 11 janvier 2013, le président François Hollande justifiait une intervention militaire française au Mali sur la possibilité de l'effondrement de l'État malien face à une rébellion armée dans le Nord du pays. La guerre était ainsi autorisée et expliquée par l'incapacité de l'État malien à répondre à la menace. Ces explications et analyses centrées sur les enjeux sécuritaires cachent plus qu'elles ne révèlent, notamment les objectifs ontologiques de la guerre et ses enjeux identitaires. Afin de les révéler, cet article articule l'interaction entre le déploiement de la violence internationale et la construction d'un État et d'un imaginaire politique maliens. Nous concluons que la paix au Mali en 2013 a été recherchée par la militarisation de la gouvernance démocratique, avec pour effet de consolider le modèle de gouvernance d'avant-guerre. Contrairement aux analyses axées sur la sécurité, cet article démontre que les frontières et les limites du conflit malien ne sont pas seulement territoriales, mais identitaires et idéologiques.
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Groulx1, Patrice. "Genèse de l’Histoire du Canada (1845-1852)*." Dossier : L’oeuvre de François-Xavier Garneau 27, no. 1 (November 23, 2018): 14–37. http://dx.doi.org/10.7202/1054070ar.

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Abstract:
Cet article remet en question l’idée que l’historien François-Xavier Garneau « apparaît tout armé, à la première provocation », comme l’a écrit un auteur. En réalité, contrairement à l’image que ses biographes ont laissée de lui, Garneau s’était remarquablement bien préparé à produire la première Histoire du Canada digne de ce titre, de 1845 à 1852. Auto-formé à l’école du romantisme européen, interagissant avec les érudits qui reconstituent la mémoire nationale autour de lui, désireux de rendre confiance à ses compatriotes démoralisés par l’Union de 1841, Garneau produit une connaissance en phase avec l’historiographie de son temps.
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Delhumeau, Gwenaël. "La maison en ciment armé de François Hennebique à Bourg-la-Reine." Histoire de l'art 9, no. 1 (1990): 75–87. http://dx.doi.org/10.3406/hista.1990.2387.

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Franc, Claude. "François Cailleteau : Cinq siècles d’opérations extérieures des armées françaises ; Économica, 2019 ; 320 pages." Revue Défense Nationale N° 824, no. 9 (November 1, 2019): 125–28. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.824.0125.

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Alfonsi, Laurence. "La réception du Dernier Métro et de La Femme d’à côté en U.R.S.S. : la stratégie truffaldienne de l’auteurisme face au consensus idéologique." Articles divers 7, no. 1-2 (February 21, 2011): 205–24. http://dx.doi.org/10.7202/1000940ar.

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Abstract:
L’article se propose de montrer comment, pat leur caractère subversif, les deux films de François Truffaut, Le Dernier Métro et La Femme d’à côté, peuvent bousculer les conventions et le consensus idéologiques. La stratégie artistique de Truffaut d’« appel aux particularismes » prend tout son poids dans des moments de crises comme la pré-perestroïka, où elle devient l’anti-idéologisation. En quoi les deux films de Truffaut peuvent apparaître comme une menace à l’idéologie et comme une arme pour la libéralisation des années quatre-vingt? Le rôle du cinéma truffaldien est d’autant plus significatif que Le Dernier Métro et La Femme d’à côté constituent deux films thématiquement très différents. Ainsi, l’auteure montre comment l’identification souterraine du public est amenée à s’effectuer sur la base de la dualité, de l’officieux, de l’illicite. Elle correspond ainsi parfaitement à la stratégie truffaldienne qui développe l’ambivalence, l’apparence « civile » en même temps que la face personnelle et cachée.
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Légaré, Kathia. "L’intervention armée peut-elle être juste ? Aspects moraux et éthiques des petites guerres contre le terrorisme et les génocides, sous la dir. de Jean-François Rioux, Montréal, Éditions Fides, 270 p." Politique et Sociétés 27, no. 2 (2008): 232. http://dx.doi.org/10.7202/019466ar.

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Bernier, Serge. "Guilhaudis, Jean-François et Torrelli, Maurice (Ed.) Force armée et diplomatie, Actes du séminaire « Force armée et diplomatie » tenue à Beaulieu-sur-mer du 25 au 28 avril 1983. Vol. I et II, Bruxelles, Établissements Émile Bruylant, Coll. « NATO ASI Series : Series D : Behavioural and Social Sciences », no 25a et 25b, 1985, 286 et 212 p." Études internationales 18, no. 2 (1987): 454. http://dx.doi.org/10.7202/702185ar.

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Bret, Patrice. "Jean Marchioni, Place à Monsieur Larrey, chirurgien de la garde impériale ; Henri Ducoulombier, Un chirurgien de la Grande Armée. Le baron Pierre-François Percy et Jean Flahaut, Charles-Louis Cadet de Gassicourt (1769-1821), bâ." Annales historiques de la Révolution française, no. 355 (January 1, 2009): 235–38. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.10784.

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Jeangène Vilmer, Jean-Baptiste. "Abdelwahab Biad et Paul Tavernier, dir, Le droit international humanitaire face aux défis du XXI si[è]cle, Bruxelles, Bruylant, 2012 Eric David, Principes de droit des conflits armés, 5 éd, Bruxelles, Bruylant, 2012 Eric David, Françoise Tulkens et Damien Vandenmeersch avec la collaboration de Sylvie Ruffenach, Code de droit international humanitaire, 5 éd, Bruxelles, Bruylant, 2012 Marco Sassòli, Antoine A Bouvier et Anne Quintin avec la collaboration de Juliane Garcia, Un droit dans la guerre? Cas, documents et supports d’enseignement relatifs à la pratique contemporaine du droit international humanitaire, 2 éd, Genève, Comité International de la Croix-Rouge, 2012." McGill Law Journal 59, no. 3 (2014): 741. http://dx.doi.org/10.7202/1025143ar.

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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Abstract:
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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Renard, Nils. "Being a Jewish Soldier in the Grande Armée: The Memoirs of Jakob Meyer during the Napoleonic Wars (1808–1813)." Zutot, February 22, 2022, 1–15. http://dx.doi.org/10.1163/18750214-bja10006.

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Abstract:
Abstract The Memoirs of Jakob Meyer offer a precious account of what Jewish soldiers experienced during the Napoleonic wars. Written in German in 1836–1838, they were translated into French and published, thanks to the work of Ernest Kallmann and Françoise Lyon-Caen (J. Meyer, Jakob Meyer, soldat de Napoléon. Mes aventures de guerre, 1808–1813 [Paris 2009]). The narrative of Meyer’s experience is a unique testimony of the way Jewish soldiers experienced their being Jewish, while indicating the way in which Jews reacted to wars. From his idealistic enlistment in the army, driven by hopes of emancipation, to the disaster of the Russian campaign and retreat, we follow Meyer, who seems to get closer to Jewish communities and his Jewish identity, while the dislocation of the Grande Armée makes these communities’ help increasingly more valuable. This narrative can be interrogated through the anthropological categories of ‘Jewish Warrior’ and ‘War Jew.’
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Pottier, Olivier. "François Doppler-Speranza, Une armée de diplomates. Les militaires américains et la France (1944-1967)." Transatlantica, no. 2 (November 27, 2021). http://dx.doi.org/10.4000/transatlantica.17602.

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Bacholle, Michele. "Le comique, arme de subversion massive des Sorcières de la République des Lettres." Nouvelle Revue Synergies Canada, no. 12 (February 8, 2020). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v0i12.4824.

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Abstract:
Cet article examine l’usage que Chloé Delaume et Sophie Divry font du comique respectivement dans Les Sorcières de la République (2016) et Quand le diable sortit de la salle de bain (2015). Les deux autrices déploient une panoplie comique variée : comique de caractère, comique de situation, comique de mots (détournements de chansons et de formules, néologismes, onomatopées), parodie, trompe-l’œil (insertion de pseudo-documents, agitations typographiques, calligrammes). Delaume et Divry décrient et critiquent au moyen du comique la société française contemporaine et le sort qu’elle réserve aux femmes. Elles produisent un comique complexe qui secoue la sérieuse raideur hétéronormative des conventions sociales et littéraires contemporaines et tracent la voie à une production comique d’écrivaines en plein essor. Mots-clés : Divry, Delaume, comique, féminisme, sororité Références Andrew, Caroline. « Laughing Together: Women’s Studies in Canada ». International Journal of Canadian Studies, no. 1-2, 1990, pp. 135-148. Bacholle, Michèle. Récits contemporains d’endeuillés après suicide : Les Cas Fottorino, Vigan, Grimbert, Rahmani, Charneux et Delaume. Brill, 2018. Bayle, Ariane, et Florence Fix. Rire et émancipation féminine. L’Harmattan, 2013. Bélisle, Mathiew. « En quête du rire romanesque ». Études françaises, vol. 47, no. 2, 2011, pp. 5-20. Bergson, Henri. Le Rire. PUF, 1940. Chiarello, Fanny. Le Zeppelin. L’Olivier, 2016. Cixous, Hélène. « Le Rire de la Méduse. » L’Arc, 1975, pp. 39-54. Clément, Michèle. « Heur et malheur de n’être plus un homme dans Le Marteau des sorcières ou le syndrome d’Abélard ». Sorcières et sorcelleries, édité par Christine Planté, Presses Universitaires de Lyon, 2002, pp. 33-39. Delaume, Chloé. Certainement pas. Verticales, 2004. ---. La Règle du Je. PUF, 2010. ---. Les Sorcières de la République. Seuil, 2016. Divry, Sophie. Quand le diable sortit de la salle de bain. Notabilia, 2015. ---. Rouvrir le roman. Notabilia, 2017. François, Anne Isabelle. « Marguerite qui pleure, Marguerite qui rit. Rire et émancipation féminine chez Boulgakov (contre Goethe ?) ». Rire et émancipation féminine, édité par Ariane Bayle et Florence Fix, L’Harmattan, 2013, pp. 117-129. Gauthier, Xavière. « Témoignage : sur l’expérience de la revue Sorcières – ‘Sorcières, nous tracerons d’autres chemins…’ ». Sorcières et sorcelleries, édité par Christine Planté, Presses Universitaires de Lyon, 2002, pp. 95-104. Harris, Joseph. « Rire séducteur, rire de coquette : le pouvoir féminin chez Corneille et Molière ». Rire et émancipation féminine, édité par Ariane Bayle et Florence Fix, L’Harmattan, 2013, pp. 47-59. Henry, Natacha. Les « Mecs lourd » ou le paternalisme lubrique. Robert Laffont, 2003. Joubert, Lucie. Le Carquois de velours. L’ironie au féminin dans la littérature québécoise (1960-1980). L’Hexagone, 1998. ---. L’Humour du sexe ou Le Rire de filles. Triptyque, 2002. Louvel, Liliane. Le Tiers pictural. Pour une critique intermédiale. PUR, 2010. Michelet, Jules. La Sorcière. Garnier-Flammarion, 1966. Moura, Jean-Marc. Le sens littéraire de l’humour. PUF, 2010. Pillet, Elisabeth. « Quand elles entrent en scène : le comique dans les sketches de femmes ». Humoresques, no. 11, 1999, pp. 169-185. Planté, Christine. « L’Histoire des femmes dans l’histoire littéraire : annexe ». Revue d’Histoire littéraire de la France, no. 3, 2003, pp. 655-668. ---. « Le Succube de Balzac, divertissement drolatique ou archéologie d’une fabrication discursive ? ». Sorcières et sorcelleries, édité par Christine Planté. Presses Universitaires de Lyon, 2002, pp. 81-94. Racine, Jean. Phèdre. 1677. Folio, 2015. Redfern, Walter. French Laughter. Literary Humour from Diderot to Fournier. Oxford University Press, 2008. Salvayre, Lydie. « Lettre ouverte de Lydie Salvayre à Rabelais. » Le Nouvel Observateur, septembre 2007. Schaal, Michèle. Une troisième vague féministe et littéraire : Les femmes de lettres de la nouvelle génération. Brill, 2017. Stora-Sandor, Judith, et Elisabeth Pillet. « Armées d’humour. Rires au féminin ». Humoresques, no. 11, 1999. Sternberg, Véronique. Le Comique. Flammarion, 2003. Yargekov, Nina. Vous serez mes témoins. POL, 2011.
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Schürmann, Astrid. "Marie Curie und ihr Laboratoire: Frauenförderung avant la lettre?" Feministische Studien 24, no. 1 (January 1, 2006). http://dx.doi.org/10.1515/fs-2006-0104.

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Abstract:
ZusammenfassungHat Marie Curie Frauenforderung avant la lettre betrieben? Entscheidend scheint mir zu sein, dass sie Frauen die Möglichkeit geboten hat, wissenschaftlich zu arbeiten, sei es durch ein Stipendium finanziell abgesichert oder als travailleur libre. Sie hat ihnen ihr Labor geöffnet, einen Arbeitsplatz zur Verfügung gestellt, ihnen neue Forschungsmethoden vermittelt und sie mit seltenen, teilweise sehr wertvollen radioaktiven Präparaten experimentieren lassen. Frauen konnten bei ihr eine Promotion anfertigen oder sich über die Kenntnis neuer Verfahren weiterqualifizieren. Da viele von ihnen Ausländerinnen waren, hat sie auf diesem Weg einen großen Beitrag zur Internationalisierung des Faches geleistet, hat Frauen wie Gleditsch den Aufbau einer radioaktiven Forschung in ihren Heimatländern geebnet. Sie hat so auch zu einem Netzwerk beigetragen, durch das Frauen sich gegenseitig unterstützen konnten. Sie hat ihnen die Erfahrungen eines Auslandsaufenthaltes, das Gespräch mit erfahrenen französischen Kollegen geboten. Und sie hat ihnen, nicht zuletzt, einen Aufenthalt in Paris geschenkt!Dies scheint mir um so bemerkenswerter, als sie selbst als weithin sichtbare Frau in einer von Männern dominierten Wissenschaft sich in einer äußerst schwierigen Situation befand. Sie mußte vor allem um ihre eigene Reputation kämpfen, Kollegen und Studenten finden, die ihr die notwendige wissenschaftliche Unterstützung geben und den Ausbau ihres Labors fordern konnten. Sie hat ihren Erfolg gegen Anfeindungen, üble Nachreden und Verleumdungen verteidigt, internationale Kontakte ausgebaut und gepflegt und Frauen dadurch ein attraktives Rollenvorbild vermittelt. Aber erst seit sie im Ersten Weltkrieg die französische Armee mit den von ihr eingerichteten fahrbaren radiologischen Untersuchungswagen, den petits Curies, unterstützt hatte, wurde sie allmählich zu einer Ikone der französischen Wissenschaft, die heute in Umfragen unter den ersten Nennungen »Großer Franzosen« gleich hinter De Gaulle und Napoléon rangiert. 1996 wurde sie von »dem dankbaren Vaterland« in den patriotischen Olymp eingebürgert, als man sie in Anwesenheit des französischen Staatspräsidenten François Mitterand und seines polnischen Kollegen Lech Walesa zusammen mit ihrem Mann Pierre in das Panthéon umbettete. Curie ist bis heute die einzige Frau, die dort wegen ihrer Verdienste liegt.
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Guedj, Pauline. "Afrocentrisme." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.046.

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Abstract:
Bien que souvent non revendiqué par les auteurs que l’on considère comme ses tenants (Molefi Asante 1987, Maulana Karenga 2002, John Henrik Clarke 1994, Marimba Ani 1994, Frances Cress Welsing 1991, Théophile Obenga 2001, qui lui préfèrent les termes afrocentricité, africologie ou kawaida), le terme afrocentrisme est utilisé pour désigner un courant d’idées présent dans les cercles académiques nord-américains, africains et européens, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle. Académique, l’afrocentrisme est actuellement l’objet d’un important processus de transnationalisation et entretient des relations précises et continues avec des pratiques sociales, artistiques, religieuses et/ou politiques. Il semble que le mot « afrocentrique » soit apparu pour la première fois en 1962 sous la plume du sociologue afro-américain W.E.B. Du Bois. Invité par Kwame Nkrumah à Accra au Ghana dans le but d’y rédiger une encyclopédie sur les populations noires, Du Bois insistait, dans un document non publié, sur son intention d’éditer un volume « volontairement Afro-Centrique, mais prenant en compte l’impact du monde extérieur sur l’Afrique et l’impact de l’Afrique sur le monde extérieur » (in Moses, 1998 : 2). Du Bois, grand penseur du panafricanisme, voyait donc dans son projet un moyen de donner la parole aux peuples d’Afrique, d’en faire des acteurs de leur propre histoire au moment même où ceux-ci entamaient la construction nationale de leurs États depuis peu indépendants. Lié chez Du Bois à un projet scientifique et politique, la tendance afrocentrique connaîtra ses heures de gloire à partir de la fin des années 1960 lorsqu’elle devint la marque de fabrique d’une école de pensée comptant quelques représentants au sein des cercles académiques américains. En réalité, l’histoire de la pensée afrocentrique aux États-Unis est indissociable de la création de départements d’études dites ethniques dans les universités américaines, départements nés en pleine ère du Black Power, lorsqu’une jeunesse noire radicalisée se battait pour l’intégration de son expérience au sein des cursus universitaires. Ces départements d’études African-American, Black ou Africana se donnaient pour but de relayer la voix des opprimés et d’inclure l’histoire afro-américaine dans le récit scientifique de l’histoire états-unienne. Parmi les manifestes afrocentriques de l’époque, notons la création de l’African Heritage Studies Association en 1969 née d’une réaction aux postures idéologiques de l’African Studies Association. Orchestrée par John Henrik Clarke (1994), l’organisation rassemblait des intellectuels et des militants africains, entendus ici comme originaires du continent et de ses diasporas, se battant pour la mise en place d’une étude politique de l’Afrique, arme de libération, cherchant à intervenir dans la fondation d’un panafricanisme scientifique et afrocentré. A partir des années 1980, l’afrocentrisme académique entra dans une nouvelle phase de son développement avec les publications de Molefi Asante. Dans la lignée de Du Bois, celui-ci tendait à définir l’afrocentrisme, ou plutôt l’afrocentricité, comme une théorie cherchant à remettre l’Afrique au cœur de l’histoire de l’humanité. Toutefois, ses principaux écrits, The Afrocentric Idea (1987), Afrocentricity (1988), Kemet, Afrocentricity and Knowledge (1990), associèrent à l’afrocentrique duboisien tout un appareil conceptuel et idéologique, grandement hérité des écrits de l’historien sénégalais Cheikh Anta Diop (1959). et de militants du nationalisme noir classique tels Edward Blyden et Alexander Crummel. Dès 1990, la pensée d’Asante se déploya autour d’une série de points précis, déjà mis en avant par le politiste Stephen Howe (1998) : 1. L’humanité s’est d’abord développée en Afrique avant de se répandre sur la planète. Les Africains entretiendraient avec les autres humains un rapport de primordialité chronologique et ce particulièrement avec les Européens, jeunes dans l’histoire de l’humanité. 2. La première civilisation mondiale est celle de l’Égypte ou Kemet. L’étude des phénotypes égyptiens tels qu’ils sont visibles sur les vestiges archéologiques apporterait la preuve de la négritude de cette population. 3. Le rayonnement de la civilisation égyptienne s’est étendu sur la totalité du Continent noir. Toutes les populations africaines sont culturellement liées à la civilisation et aux mœurs de l’Égypte antique et la linguistique en constituerait une preuve évidente. 4. La culture égyptienne se serait également diffusée au Nord, jusqu’à constituer la source d’inspiration première des civilisations qui apparurent plus tardivement en Grèce puis partout en Europe. 5. L’ensemble des traditions africaines constitue autant de manifestations d’une culture unique. Depuis son foyer égyptien, la culture africaine, au singulier, s’est diffusée pour s’immerger dans la totalité du continent et dans la diaspora des Amériques. Au début des années 2000, l’afrocentrisme académique s’est trouvé au cœur de vifs débats dans les espaces anglophones et francophones. Aux États-Unis, c’est la publication de l’ouvrage de Mary Lefkowitz Not Out of Africa (1993) qui rendit publiques les nombreuses tensions entre afrocentristes et anti-afrocentristes. En France, la discussion s’est également concentrée autour de la parution d’un ouvrage dirigé par François-Xavier Fauvelle-Aymar, Jean-Pierre Chrétien et Claude-Hélène Perrot (2000). Le texte, provocateur, se donnait pour but de déconstruire des théories afrocentriques qualifiées de naïves, « fausses » et dont « le succès parmi les Américains noirs peut être attribué au fait que, à l’heure actuelle, la pensée critique n’est pas en grande estime dans la communauté noire aux États-Unis » (2000 : 70-71). Le livre fut accueilli très froidement dans les milieux qu’il visait. En 2001, l’intellectuel congolais Théophile Obenga, rétorqua avec la publication d’un nouvel ouvrage Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste. Manifeste d’un combat « contre l’africanisme raciste, ancien ou moderne, colonial ou post-colonial, qui ne voit pas autre chose que la domination des peuples ‘exotiques’, ‘primitifs’, et ‘sous-développés’. » (2001 : 7), le texte d’Obenga multipliait, de son côté, les attaques personnelles et violentes. Aujourd’hui, il semble que l’appréhension des phénomènes afrocentriques ne puisse gagner en profondeur que si elle évite les écueils polémiques. Une telle approche supposerait alors de considérer l’afrocentrisme comme un objet de recherche construit historiquement, sociologiquement et anthropologiquement. Il s’agirait alors à la fois de le replacer dans le contexte historique de sa création et de s’intéresser à ses effets concrets dans les discours et les pratiques sociales populaires en Afrique, dans les Amériques et en Europe. En effet, depuis une vingtaine d’années, le terme et l’idéologie afrocentriques n’apparaissent plus seulement dans des débats des universitaires mais aussi dans une série d’usages sociaux, culturels et artistiques de populations qui les conçoivent comme un outil d'affirmation identitaire. Ces communautés et ces individus s’en saisissent, leur donnent une définition propre qui émane de leur environnement social, culturel et géographique particuliers, les utilisent comme fondement de nouvelles pratiques, de nouvelles élaborations du politique et de revendications identitaires. Ainsi, l’afrocentrisme se retrouve dans les pratiques religieuses d’Afro-Américains des États-Unis à la recherche de leurs racines ancestrales (Capone, 2005 ; Guedj, 2009), dans les textes des rappeurs de Trinidad ou du Gabon (Aterianus-Owanga, 2013) ainsi que dans les œuvres et les propos d’artistes aussi variés que la plasticienne Kara Walker et le saxophoniste Steve Coleman. Afrocentrismes populaires, a priori dissociés des milieux académiques, ces pratiques ne sont pourtant pas étrangères aux théories qui animent les spécialistes. En effet, nombreux sont les religieux qui citent les livres de Cheikh Anta Diop (1959) ou Molefi Asante (1987), les artistes qui revendiquent comme sources d'inspiration les vidéos postées sur youtube des discours de Leonard Jeffries, John Henrik Clarke ou Maulana Karenga. Il semble alors que c’est précisément dans cette analyse des pratiques et discours afrocentriques entre champs académique, politique, religieux et artistique que l’anthropologie peut jouer un rôle décisif. Il s’agirait alors pour les chercheurs de mettre en place des méthodologies permettant non seulement d’analyser les logiques de circulation des représentations de l’Afrique entre différentes catégories sociales mais aussi d’étudier la perméabilité des savoirs académiques et leurs influences en dehors des universités.
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Moussaoui, Abderrahmane. "Violence extrême." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.134.

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Abstract:
Même si la guerre, comme destruction de masse, a été très tôt au centre des intérêts de la discipline, l’anthropologie ne l’a jamais caractérisée comme une « violence extrême ». Ce qui pose d’emblée la question en termes autres que quantitatifs. L’extrême dans la violence n’est pas forcément dans l’importance du nombre de ses victimes. Il faut y ajouter d’autres dimensions comme l’inanité de l’acte, sa gratuité, son degré de cruauté et le non-respect des règles et normes partagées. Celles de la guerre, par exemple, imposent de ne s’attaquer qu’à l’ennemi armé et d’épargner les civils, de soigner le blessé etc. La violence extrême passe outre toutes ces normes et règles ; et s’exerce avec une cruauté démesurée. La première guerre mondiale constitue aux yeux des défenseurs de cette thèse, le moment inaugural dans le franchissement d’un tel seuil. Car, c’est dans cette guerre que fut utilisé pour la première fois le bombardement aérien, lié à l’ère industrielle, exterminant de nombreuses populations civiles non armées. Associée aux affrontements et insurrections débordant les cadres étatiques, l’expression peut désormais inclure également des faits commis dans le cadre des guerres conduites par des États. La violence extrême est une agression physique et une transgression outrancière d’une éthique partagée. Qu’elle s’exerce lors d’une guerre ou dans le cadre d’une institution (violence institutionnelle) elle est une violence extrême dès lors qu’elle use de moyens estimés inappropriés selon les codes communs et les sensibilités partagées. Les manières et les moyens d’agir doivent être proportionnels à l’objectif visé ; et toute outrance délégitime l’acte de violence, quand bien même celui-ci relèverait de « la violence légitime » monopole de l’Etat. Le qualificatif extrême vient donc spécifier un type de violence qui atteint ce point invisible ou imprévisible, en bafouant l’ordre éthique et conventionnel. Aller à l’extrême c’est aller au-delà du connu et de l’imaginable. La violence extrême est celle donc qui dépasse une limite se situant elle même au-delà des limites connues ou considérées comme impossibles à franchir. Elle renvoie à ce qui dépasse l’entendement par son ampleur ou par sa « gratuité » ; car, ce sont ses finalités qui rationalisent la guerre et toute autre forme de violence. Dépourvue de toute fonctionnalité, la violence extrême n’a d’autres buts qu’elle-même (Wolfgang Sofsky (1993). En d’autres termes, la violence extrême est ce qui oblitère le sens en rendant vaines (ou du moins imperceptibles) les logiques d’un acte jusque-là appréhendé en termes d’utilité, de fonctionnalité et d’efficacité. La violence est extrême quand elle parait démesurée par le nombre de ses victimes (génocide, nettoyage ethnique, meurtres et assassinat de masse) ; mais elle l’est d’autant plus, et le plus souvent, quand elle est accompagnée d’un traitement cruel, froid et gratuit : dépeçage, brûlure, énucléation, viols et mutilations sexuelles. Outrepassant l’habituel et l’admissible, par la démesure du nombre de ses victimes et le degré de cruauté dans l’exécution de l’acte, la violence extrême se situe dans un « au-delà », dont le seuil est une ligne mouvante et difficilement repérable. Son « objectivation » dépend à la fois du bourreau, de la victime et du témoin ; tous façonnés par des constructions culturelles informées par les contextes historiques et produisant des sensibilités et des « esthétiques de réception » subjectives et changeantes. La violence extrême est, nécessairement, d’abord une question de sensibilité. Or, celle-ci est non seulement une subjectivation mais aussi une construction historiquement déterminée. Pendant longtemps et jusqu’au siècle des lumières, le châtiment corporel fut, pour la justice, la norme dans toute l’Europe. Les organes fautifs des coupables sont maltraités publiquement. On exhibait les femmes adultères nues et on leur coupait les seins ; on coupait les langues des blasphémateurs et les mains des voleurs. Le bûcher était réservé aux sodomites, aux hérétiques et aux sorcières. On crevait les yeux (avec un tisonnier incandescent) du traître. Les voleurs de grands chemins subissaient le châtiment d’être rompus vifs. On écartelait et on démembrait le régicide. La foule se dépêchait pour assister à ces spectacles et à ceux des supplices de la roue, des pendaisons, de la décollation par le sabre etc. Placidement et consciencieusement, les bourreaux ont appliqué la « terreur du supplice » jusqu’au milieu du XVIIIe siècle (Meyran, 2006). Il a fallu attendre les lumières pour remplacer le corps violenté par le corps incarcéré. Aujourd’hui insupportables, aux yeux du citoyen occidental, certains de ces châtiments corporels administrés avec une violence extrême sont encore en usage dans d’autres sociétés. Après les massacres collectifs qui ont marqué la fin du XXe siècle, les travaux de Véronique Nahoum-Grappe portant sur le conflit de l’ex-Yougoslavie vont contribuer à relancer le débat sur la notion de « violence extrême » comme elle le rappellera plus tard : « Nous avions utilisé la notion de « violence extrême » à propos de la guerre en ex-Yougoslavie pour désigner « toutes les pratiques de cruauté « exagérée » exercées à l’encontre de civils et non de l’armée « ennemie », qui semblaient dépasser le simple but de vouloir s’emparer d’un territoire et d’un pouvoir. » (Nahoum-Grappe. 2002). Elle expliquera plus loin qu’après dix années de ces premières observations, ce qu’elle tentait de désigner, relève, en fait, d’une catégorie de crimes, graves, usant de cruauté dans l’application d’un programme de « purification ethnique ». Pourtant, quel que soit le critère invoqué, le phénomène n’est pas nouveau et loin d’être historiquement inédit. Si l’on reprend l’argument du nombre et de la gratuité de l’acte, le massacre n’est pas une invention du XXe s ; et ne dépend pas de la technologie contemporaine. On peut remonter assez loin et constater que dans ce domaine, l’homme a fait feu de tout bois, comme le montre El Kenz David dans ses travaux sur les guerres de religion (El Kenz 2010 & 2011). Parce que les sensibilités de l’époque admettaient ou toléraient certaines exactions, aux yeux des contemporains celles-ci ne relevaient pas de la violence extrême. Quant aux cruautés et autres exactions perpétrés à l’encontre des populations civiles, bien avant Auschwitz et l’ex-Yougoslavie, l’humanité en a souffert d’autres. Grâce aux travaux des historiens, certaines sont désormais relativement bien connues comme les atrocités commises lors des colonnes infernales dans la guerre de Vendée ou le massacre de May Lai dans la guerre du Vietnam. D’autres demeurent encore méconnues et insuffisamment étudiées. Les exactions menées lors des guerres coloniales et de conquêtes sont loin d’être toutes recensées. La mise à mort, en juin 1845, par « enfumade » de la tribu des Ouled Riah, dans le massif du Dahra en Algérie par le futur général Pélissier sont un exemple qui commence à peine à être porté à la connaissance en France comme en Algérie (Le Cour Grandmaison, 2005.). Qu’elle soit ethnique ou sociale, qu’elle soit qualifiée de purification ethnique ou d’entreprise génocidaire, cette extermination qui passe par des massacres de masse ne peut être qualifiée autrement que par violence extrême. Qu’elle s’exerce sur un individu ou contre un groupe, la violence extrême se caractérise presque toujours par un traitement cruel, le plus souvent pensé et administré avec une égale froideur ; une sorte d’« esthétisation de la cruauté ». Pour le dire avec les mots de Pierre Mannoni, la violence extrême use d’un certain « maniérisme de l'horreur », ou de ce qu’il appelle « une tératologie symbolique » (Mannoni ,2004, p. 82-83), c‘est à dire l’art de mettre en scène les monstruosités. Motivée par un danger ou une menace extrême justifiant, aux yeux du bourreau, une réponse extrême, cette violence extrême a pu s’exécuter par la machette (Rwanda) ou dans des chambres à gaz, comme par d’autres moyens et armes de destruction massive. C'est l'intégrité du corps social et sa pureté que le bourreau « croit » défendre en recourant à une exérèse… salvatrice. La cruauté fait partie de l’arsenal du combattant qui s’ingénie à inventer le scénario le plus cruel en profanant l’intime et le tabou. Françoise Sironi le montre à propos d’une des expressions de la violence extrême. L’efficacité destructrice de la torture est obtenue entre autres par la transgression de tabous culturels ; et par l’inversion qui rend perméable toutes les limites entre les dedans et les dehors. Réinjecter dans le corps ce qui est censé être expulsé (excréments, urine, vomissures) ; féminiser et exposer les parties intimes ou les pénétrer en dehors de la sphère intime, associer des parties démembrées d’un corps humain à celles d’un animal, sont autant de manières de faire violence extrême. Cette inversion transgressive use du corps de la victime pour terroriser le témoin et le survivant. Outrepassant l’habituel et l’attendu par la manière (égorgement, démembrement, énucléation, émasculation etc.,), les moyens (usage d’armes de destruction massive, d’armes nucléaires bactériologiques ou chimiques) et une certaine rationalité, la « violence extrême » est un dépassement d’horizon. L’acte par sa singularité suggère une sortie de l’humanité de son auteur désensibilisé, déshumanisé ; qui, par son forfait et dans le même mouvement, exclue sa victime de l’humanité. Pour Jacques Semelin, la violence extrême « est l’expression prototypique de la négation de toute humanité ; dans la mesure où ses victimes sont le plus souvent d’abord « animalisées » ou « chosifiées » avant d’être anéanties (Sémelin, 2002). Ajoutons qu’elle n’est pas qu’anéantissement, elle est aussi une affirmation démonstrative d’une surpuissance. Que ce soit par le nombre, la manière ou l’arbitraire, la violence extrême a ponctué l’histoire de l’humanité et continue à la hanter Parmi ses formes contemporaines, le terrorisme est une de ses manifestations les plus spectaculaires ; permettant de comprendre qu’elle est d’abord une théâtralisation. L’image de chaos que renvoient les attentats et autres exactions spectaculaires, est le résultat dument recherché à l’aide d’une organisation minutieuse et de stratégies affinées que cette image chaotique occulte souvent. Il s’agit d’une démarche rationnelle tendant à produire un acte apparemment irrationnel. Les massacres collectifs qui font partie de ce que Stéphane Leman-Langlois qualifie de « mégacrimes » (Leman-Langlois, 2006) constituent une autre forme contemporaine de cette violence extrême ; dont la Bosnie-Herzégovine et le Rwanda demeurent les exemples les plus dramatiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En raison de leur ampleur et l’organisation méthodique de leur exécution, ces massacres ont été, à juste titre, souvent qualifié de génocide. C’est le professeur de droit américain d’origine polonaise, Raphael Lemkin qui donnera le nom de génocide à ce que, Winston Churchill, parlant du nazisme, qualifiait de « crime sans nom ». Au terme génocide devenu polémique et idéologique, sera préféré la notion de massacre que Semelin définit comme « forme d’action le plus souvent collective de destruction des non combattants » (Sémelin 2012, p. 21). Dans les faits, il s’agit de la même réalité ; sans être des entreprises génocidaires, ces massacres de masse ont visé l’« extermination » de groupes humains en vue de s’emparer de leur territoire au sens le plus large. La violence extrême agit à la fois sur l'émotionnel et sur l'imaginaire ; en franchissant le seuil du tolérable et de la sensibilité ordinairement admise dans le cadre de représentations sociales. Le caractère extrême de la violence se définit en fonction d’un imaginaire partagé ; qu’elle heurte en allant au-delà de ce qu'il peut concevoir ; et des limites de ce qu'il peut « souffrir ». Il s’agit d’une violence qui franchit le seuil du concevable et ouvre vers un horizon encore difficilement imaginable et donc insupportable parce que non maîtrisable. Qu’est-ce qui motive ce recours à l’extrême ? Nombre d’historiens se sont demandé si les logiques politiques suffisaient à les expliquer. Ne faudrait-il pas les inférer aux dimensions psychologiques ? Plusieurs approches mettent, quelquefois, en rapport violence extrême et ressorts émotionnels (peur, colère et haine et jouissance..). D’autres fois, ce sont les pulsions psychiques qui sont invoquées. Incapables d’expliquer de telles conduites par les logiques sociales ou politiques, ce sont les dimensions psychologiques qui finissent par être mises en avant. L’acte, par son caractère extrême serait à la recherche du plaisir et de la jouissance dans l’excès, devenant ainsi une fin en soi. Il peut également être une manière de tenter de compenser des manques en recherchant du sens dans le non-sens. Cela a pu être expliqué aussi comme une manière de demeurer du côté des hommes en animalisant ou en chosifiant la victime, en la faisant autre. L’auteur de la violence extrême procède à une négation de sa victime pour se (re) construire lui-même. Pure jouissance (Wolfgang Sofsky) délire (Yvon Le Bot, J Semelin) ou conduite fonctionnelle de reconstruction de soi (Primo Levi), sont les trois approches avancées pour expliquer la cruauté comme acte inadmissible et inconcevable (Wierworka, 2004 : p 268). Or, la violence extrême prend la forme d’une cruauté quand ses protagonistes redoublent d’ingéniosité pour inventer le scénario inédit le plus cruel. Car la violence extrême est d’abord un indéchiffrable insupportable qui se trouve par commodité rangé du côté de l’exceptionnalité. Parce qu’inintelligible, elle est inacceptable, elle est extra… ordinaire. Ses auteurs sont des barbares, des bêtes, des monstres ; autrement dit ; des inhumains parce qu’ils accomplissent ce que l’humain est incapable de concevoir. Dans quelle mesure, de telles approches ne sont-elles pas une manière de rassurer la société des humains qui exclue ces « monstres » exceptionnels seuls capables d’actes … inhumains ? Parce qu’inexplicables, ces violences sont quelquefois rangées dans le registre de la folie ; et qualifiées de « barbares » ou de « monstrueuses » ; des qualificatifs qui déshumanisent leurs auteurs et signalent l’impuissance du témoin à comprendre et à agir. En d’autres termes, tant que la violence relève de l’explicable (réciprocité, échange, mimétisme etc.), elle demeure humaine ; et devient extrême quand elle échappe à l‘entendement. Indicible parce qu’injustifiable, la violence extrême est inhumaine. Cependant, aussi inhumaine soit-elle d’un point de vue éthique, la violence extrême demeure du point de vue anthropologique, un acte terriblement humain ; et que l’homme accomplit toujours à partir de déterminants et selon un raisonnement humains. Comme le dit Semelin : « Les deux faces de la violence extrême, sa rationalité et sa démence, ne peuvent se penser l’une sans l’autre. Et rien ne sert de dénoncer la sauvagerie des tueurs en omettant de s’interroger sur leurs buts » (Semelin, 2000). L’auteur de l’acte de violence extrême s’érige en homme-dieu pour dénier toute humanité à la victime qu’il décide d’exclure de la vie, de la déshumaniser en l’expulsant vers l’infra humain.
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"Buchbesprechungen." Zeitschrift für Historische Forschung 46, no. 1 (January 1, 2019): 83–218. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.46.1.83.

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Abstract:
Edelmayer, Friedrich / Gerhard Pfeisinger (Hrsg.), Ozeane. Mythen, Interaktionen und Konflikte (Studien zur Geschichte und Kuktur der iberischen und iberoamerikanischen Länder, 16), Münster 2017, Aschendorff, 336 S. / Abb., € 49,00. (Ruth Schilling, Bremen / Bremerhaven) Jaynes, Jeffrey, Christianity beyond Christendom. The Global Christian Experience on Medieval Mappaemundi and Early Modern World Maps (Wolfenbütteler Forschungen, 149), Wiesbaden 2018, Harrassowitz in Kommission, 483 S. / Abb., € 128,00. (Gerda Brunnlechner, Hagen) Weltecke, Dorothea (Hrsg.), Essen und Fasten. Interreligiöse Abgrenzung, Konkurrenz und Austauschprozesse / Food and Fasting. Interreligious Differentiations, Competition and Exchange (Beihefte zum Archiv für Kulturgeschichte, 81), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 130 S., € 30,00. (Helmut W. Klug, Graz) Dirmeier, Artur (Hrsg.), Essen und Trinken im Spital. Ernährungskultur zwischen Festtag und Fasttag (Studien zur Geschichte des Spital-‍, Wohlfahrts- und Gesundheitswesens, 13), Regensburg 2018, Pustet, 287 S. / Abb., € 34,95. (Josef Matzerath, Dresden) Widder, Ellen / Iris Holzwart-Schäfer / Christian Heinemeyer (Hrsg.), Geboren, um zu herrschen? Gefährdete Dynastien in historisch-interdisziplinärer Perspektive (Bedrohte Ordnungen, 10), Tübingen 2018, Mohr Siebeck, VIII u. 307 S. / Abb., € 59,00. (Lennart Pieper, Münster) Füssel, Marian / Philip Knäble / Nina Elsemann (Hrsg.), Wissen und Wirtschaft. Expertenkulturen und Märkte vom 13. bis 18. Jahrhundert, Göttingen / Bristol 2017, Vandenhoeck & Ruprecht, 418 S. / Abb., € 70,00. (Justus Nipperdey, Saarbrücken) Whittle, Jane (Hrsg.), Servants in Rural Europe. 1400 – 1900, Woodbridge 2017, Boydell & Brewer, XIII u. 271 S., £ 19,99. (Werner Troßbach, Witzenhausen) Rutz, Andreas, Die Beschreibung des Raums. Territoriale Grenzziehungen im Heiligen Römischen Reich (Norm und Struktur, 47), Köln / Weimar / Wien 2018, Böhlau, 583 S. / Abb., € 80,00. (Falk Bretschneider, Paris) Denzel, Markus A. / Andrea Bonoldi / Anne Montenach / Françoise Vannotti (Hrsg.), Oeconomia Alpium I: Wirtschaftsgeschichte des Alpenraums in vorindustrieller Zeit. Forschungsaufriss, -konzepte und -perspektiven, Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, VIII u. 313 S., € 99,95. (Franziska Neumann, Rostock) Rothmann, Michael / Helge Wittmann (Hrsg.), Reichsstadt und Geld. 5. Tagung des Mühlhäuser Arbeitskreises für Reichsstadtgeschichte, Mühlhausen 27. Februar bis 1. März 2017 (Studien zur Reichsstadtgeschichte, 5), Petersberg 2018, Imhof, 397 S. / Abb., € 29,95. (Angela Huang, Lübeck) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 1: Grundlagen, Berlin / Boston 2014, de Gruyter, 713 S. / Abb., € 209,00. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 2: Das soziale System Stiftung, Berlin / Boston 2016, de Gruyter, 760 S. / Abb., € 169,95. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 3: Stiftung und Gesellschaft, Berlin / Boston 2017, de Gruyter, 680 S. / Abb., € 199,95. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Becher, Matthias (Hrsg.), Die mittelalterliche Thronfolge im europäischen Vergleich (Vorträge und Forschungen, 84), Ostfildern 2017, Thorbecke, 484 S., € 56,00. (Gerhard Lubich, Bochum) Reinle, Christine (Hrsg.), Stand und Perspektiven der Sozial- und Verfassungsgeschichte zum römisch-deutschen Reich. Der Forschungseinfluss Peter Moraws auf die deutsche Mediävistik (Studien und Texte zur Geistes- und Sozialgeschichte des Mittelalters, 10), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 275 S. / Abb., € 54,00. (Christian Jörg, Tübingen) Flemmig, Stephan / Norbert Kersken (Hrsg.), Akteure mittelalterlicher Außenpolitik: Das Beispiel Ostmitteleuropas (Tagungen zur Ostmitteleuropaforschung, 35), Marburg 2017, Verlag Herder-Institut, VI u. 376 S., € 57,50. (Sabine Wefers, Jena) Neumann, Christian A., Venedig und Aragon im Spätmittelalter (1280 – 1410). Eine Verflechtungsgeschichte (Mittelmeerstudien, 15), Paderborn 2017, Fink / Schöningh, 809 S. / CD-ROM, € 129,00. (Tobias Daniels, München) Blennemann, Gordon / Christine Kleinjung / Thomas Kohl (Hrsg.), Konstanz und Wandel. Religiöse Lebensformen im europäischen Mittelalter (Studien und Texte zur Geistes- und Sozialgeschichte des Mittelalters, 11), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 280 S. / Abb., € 54,00. (Jörg Sonntag, Dresden) Deutschländer, Gerrit / Ingrid Würth (Hrsg.), Eine Lebenswelt im Wandel. Klöster in Stadt und Land (Quellen und Forschungen zur Geschichte Sachsen-Anhalts, 14), Halle a. d. S. 2017, Mitteldeutscher Verlag, 287 S. / Abb., € 35,00. (Niels Petersen, Göttingen) Holbach, Rudolf / David Weiss (Hrsg.), Vorderfflik twistringhe unde twydracht. Städtische Konflikte im späten Mittelalter (Oldenburger Schriften zur Geschichtswissenschaft, 18), Oldenburg 2017, BIS-Verlag, 244 S. / Abb., € 22,80. (Robin Köhler-Kelzenberg, Bochum) Kah, Daniela, Die wahrhaft königliche Stadt. Das Reich in den Reichsstädten Augsburg, Nürnberg und Lübeck im Späten Mittelalter (Studies in Medieval and Reformation Traditions, 211), Leiden / Boston 2018, Brill, X u. 455 S. / Abb., € 125,00. (Marco Tomaszewski, Freiburg i. Br.) Kobayashi, Asami, Papsturkunden in Lucca (1227 – 1276). Überlieferung – Analyse – Edition (Archiv für Diplomatik, Schriftgeschichte, Siegel- und Wappenkunde, Beiheft 15), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 582 S., € 70,00. (Werner Maleczek, Wien) Fumasoli, Beat, Wirtschaftserfolg zwischen Zufall und Innovativität. Oberdeutsche Städte und ihre Exportwirtschaft im Vergleich (1350 – 1550) (Vierteljahrschrift für Sozial- und Wirtschaftsgeschichte. Beihefte, 241), Stuttgart 2017, Steiner, 580 S., € 82,00. (Oswald Bauer, Kastelruth) Gneiß, Markus, Das Wiener Handwerksordnungsbuch (1364 – 1555). Edition und Kommentar (Quelleneditionen des Instituts für Österreichische Geschichtsforschung, 16), Wien / Köln / Weimar 2017, Böhlau, 670 S. / Abb., € 130,00. (Patrick Schmidt, Rostock) Andresen, Suse, In fürstlichem Auftrag. Die gelehrten Räte der Kurfürsten von Brandenburg aus dem Hause Hohenzollern im 15. Jahrhundert (Schriftenreihe der Historischen Kommission bei der Bayerischen Akademie der Wissenschaften, 97), Göttingen 2017, Vandenhoeck & Ruprecht, 655 S. / Abb., € 90,00. (Markus Frankl, Würzburg) Lüpke, Beatrice von, Nürnberger Fastnachtspiele und städtische Ordnung (Bedrohte Ordnung, 8), Tübingen 2017, Mohr Siebeck, 286 S., € 64,00. (Thorsten Schlauwitz, Erlangen) Wenzel, Silke, Lieder, Lärmen, „L’homme armé“. Musik und Krieg 1460 – 1600 (Musik der frühen Neuzeit, 4), Neumünster 2018, von Bockel, 422 S. / Abb., € 48,00. (Kirstin Wichern, Bad Homburg) Wilangowski, Gesa, Frieden schreiben im Spätmittelalter. Entstehung einer Vertragsdiplomatie zwischen Maximilian I., dem römisch-deutschen Reich und Frankreich (Ancien Régime, Aufklärung und Revolution, 44), Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, X u. 288 S., € 69,95. (Harald Kleinschmidt, Tokio) Gamper, Rudolf, Joachim Vadian 1483/84 – 1551. Humanist, Arzt, Reformator, Politiker, Zürich 2017, Chronos, 391 S. / Abb., € 48,00. (Jan-Hendryk de Boer, Essen) Sowerby, Tracey A. / Jan Hennings (Hrsg.), Practices of Diplomacy in the Early Modern World c. 1410 – 1800 (Routledge Research in Early Modern History), London / New York 2017, Routledge, VII u. 306 S. / Abb., £ 105,00. (Hillard von Thiessen, Rostock) Weber, Alison (Hrsg.), Devout Laywomen in the Early Modern World (Women and Gender in the Early Modern World), London / New York 2016, Routledge, XIII u. 373 S. / Abb., £ 110,00. (Andreas Rutz, Bonn / Düsseldorf) Richter, Susan / Michael Roth / Sebastian Meurer (Hrsg.), Konstruktionen Europas in der Frühen Neuzeit. Geographische und historische Imaginationen. Beiträge zur 11. Arbeitstagung „Globale Verflechtungen – Europa neu denken“ der Arbeitsgemeinschaft Frühe Neuzeit im Verband der Historiker und Historikerinnen Deutschlands, 17. bis 19. September 2015 in Heidelberg, Heidelberg 2017, Heidelberg University Publishing, 338 S., € 54,90. (Elisabeth Lobenwein, Klagenfurt) Mallinckrodt, Rebekka von / Angela Schattner (Hrsg.), Sports and Physical Exercise in Early Modern Europe. New Perspectives on the History of Sports and Motion, London / New York 2016, Routledge, XII u. 272 S. / Abb., £ 110,00. (Michael Jucker, Luzern) Mulryne, James R. / Krista De Jonge / Pieter Martens / Richard L. M. Morris (Hrsg.), Architectures of Festival in Early Modern Europe. Fashioning and Re-fashioning Urban and Courtly Space (European Festival Studies: 1450 – 1700), London / New York 2018, Routledge, XXIV u. 335 S. / Abb., £ 105,00. (Jill Bepler, Wolfenbüttel) Adelman, Howard T., Women and Jewish Marriage Negotiations in Early Modern Italy. For Love and Money (Routledge Research in Early Modern History), London / New York 2018, Routledge, XIV u. 206 S., £ 120,00. (Bettina Pfotenhauer, München) Cristellon, Cecilia, Marriage, the Church, and Its Judges in Renaissance Venice, 1420 – 1545 (Early Modern History: Society and Culture), Cham 2017, Palgrave Macmillan, XVII u. 286 S., € 96,29. (Bettina Pfotenhauer, München) Sweet, Rosemary / Gerrit Verhoeven / Sarah Goldsmith (Hrsg.), Beyond the Grand Tour. Northern Metropolises and Early Modern Travel Behaviour, London / New York 2017, Routledge, IX u. 228 S., £ 110,00. (Michael Maurer, Jena) Naum, Magdalena / Fredrik Ekengren (Hrsg.), Facing Otherness in Early Modern Sweden. Travel, Migration and Material Transformations 1500 – 1800 (The Society for Post-Mediaeval Archaeology Monograph, 10), Woodbridge 2018, Boydell Press, XVI u. 367 S. / Abb., £ 40,00. (Heiko Droste, Stockholm) Klaniczay, Gábor / Éva Pócs (Hrsg.), Witchcraft and Demonology in Hungary and Transylvania (Palgrave Historical Studies in Witchcraft and Magic), Cham 2017, Palgrave Macmillan, XIV u. 412 S., € 96,29. (Karen Lambrecht, St. Gallen) Bongartz, Josef / Alexander Denzler / Ellen Franke / Britta Schneider / Stefan A. Stodolkowitz (Hrsg.), Was das Reich zusammenhielt. Deutungsansätze und integrative Elemente (Quellen und Forschungen zur höchsten Gerichtsbarkeit im Alten Reich, 71), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 182 S., € 60,00. (Jonas Stephan, Bad Sassendorf) Stretz, Torben, Juden in Franken zwischen Mittelalter und Früher Neuzeit. Die Grafschaften Castell und Wertheim im regionalen Kontext (Forschungen zur Geschichte der Juden. Abteilung A: Abhandlungen, 26), Wiesbaden 2017, Harrassowitz, X u. 598 S. / Abb., € 89,00. (Maja Andert, Würzburg) Schmölz-Häberlein, Michaela (Hrsg.), Jüdisches Leben in der Region. Herrschaft, Wirtschaft und Gesellschaft im Süden des Alten Reiches (Stadt und Region in der Vormoderne, 7; Judentum – Christentum – Islam, 16), Baden-Baden 2018, Ergon, 377 S. / Abb., € 58,00. (Rotraud Ries, Würzburg) Stalljohann-Schemme, Marina, Stadt und Stadtbild in der Frühen Neuzeit. Frankfurt am Main als kulturelles Zentrum im publizistischen Diskurs (Bibliothek Altes Reich, 21), Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, X u. 493 S. / Abb., € 89,95. (Johannes Arndt, Münster) Schmidt-Funke, Julia A. / Matthias Schnettger (Hrsg.), Neue Stadtgeschichte‍(n). Die Reichsstadt Frankfurt im Vergleich (Mainzer Historische Kulturwissenschaften, 31), Bielefeld 2018, transcript, 483 S. / Abb., € 49,99. (Holger Th. Gräf, Marburg) Huber, Vitus, Beute und Conquista. Die politische Ökonomie der Eroberung Neuspaniens (Campus Historische Studien, 76), Frankfurt a. M. 2018, Campus, 432 S. / Abb., € 39,95. (Laura Dierksmeier und Anna Weininger, Tübingen) Caravale, Giorgio, Preaching and Inquisition in Renaissance Italy. Words on Trial, übers. v. Frank Gordon (Catholic Christendom, 1300 – 1700), Leiden / Boston 2016, Brill, VIII u. 274 S., € 115,00. (Andreea Badea, Frankfurt a. M.) Mertens, Dieter, Humanismus und Landesgeschichte. Ausgewählte Aufsätze, 2 Teile, hrsg. v. Dieter Speck / Birgit Studt / Thomas Zotz (Veröffentlichungen der Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Württemberg. Reihe B: Forschungen, 218), Stuttgart 2018, Kohlhammer, XIV u. 1042 S. / Abb., € 88,00. (Ulrich Muhlack, Frankfurt a. M.) Grimmsmann, Damaris, Krieg mit dem Wort. Türkenpredigten des 16. Jahrhunderts im Alten Reich (Arbeiten zur Kirchengeschichte, 131), Berlin / Boston 2016, de Gruyter, XII u. 317 S., € 109,95 (Alexander Schunka, Berlin) Bauer, Joachim / Stefan Michel (Hrsg.), Der „Unterricht der Visitatoren“ und die Durchsetzung der Reformation in Kursachsen (Leucorea-Studien zur Geschichte der Reformation und der Lutherischen Orthodoxie, 29), Leipzig 2017, Evangelische Verlagsanstalt, 278 S., € 58,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Stegmann, Andreas, Die Reformation in der Mark Brandenburg, Leipzig 2017, Evangelische Verlagsanstalt, 279 S. / Abb., € 34,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Mariotte, Jean-Yves, Philipp der Großmütige von Hessen (1504 – 1567). Fürstlicher Reformator und Landgraf, übers. v. Sabine Albrecht (Veröffentlichungen der Historischen Kommission für Hessen, 24; Quellen und Darstellungen zur Geschichte des Landgrafen Philipp des Großmütigen, 10), Marburg 2018, Historische Kommission für Hessen, 301 S. / Abb., € 28,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Doll, Eberhard, Der Theologe und Schriftsteller Friedrich Dedekind (1524/25 – 1598). Eine Biographie. Mit einem Beitrag von Britta-Juliane Kruse zu Dedekinds geistlichen Spielen und der Erstedition der „Hochtzeit zu Cana in Galilea“ (Wolfenbütteler Forschungen, 145), Wiesbaden 2018, Harrassowitz in Kommission, 623 S. / Abb., € 92,00. (Julia Zech, Sarstedt) Bullinger, Heinrich, Tigurinerchronik, 3 Teilbde., hrsg. v. Hans U. Bächtold (Werke. Vierte Abteilung: Historische Schriften, 1), Zürich 2018, Theologischer Verlag Zürich, XXVII u. 1388 S. (Teilbde. 1 u. 2); V u. 425 S. / Abb. (Teilbd. 3), € 450,00. (Volker Leppin, Tübingen) Francisco de Vitoria, De iustitia / Über die Gerechtigkeit, Teil 1 u. 2, hrsg., eingel. u. ins Deutsche übers. v. Joachim Stüben, mit Einleitungen v. Thomas Duve (Teil 1) bzw. Tilman Repgen (Teil 2) (Politische Philosophie und Rechtstheorie des Mittelalters und der Neuzeit, Reihe I: Texte, 3 bzw. 4), Stuttgart-Bad Cannstatt 2013 bzw. 2017, Frommann-Holzboog, CXII u. 191 S. bzw. CIX u. 355 S., € 168,00 bzw. € 188,00. (Nils Jansen, Münster) Der Portulan-Atlas des Battista Agnese. Das Kasseler Prachtexemplar von 1542, hrsg., eingel. u. komm. v. Ingrid Baumgärtner, Darmstadt 2017, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, 144 S. / Abb., € 99,95. (Christoph Mauntel, Tübingen) Brevaglieri, Sabina / Matthias Schnettger (Hrsg.), Transferprozesse zwischen dem Alten Reich und Italien im 17. Jahrhundert. Wissenskonfigurationen – Akteure – Netzwerke (Mainzer Historische Kulturwissenschaften, 29), Bielefeld 2018, transcript, 341 S. / Abb., € 39,99. (Christiane Liermann, Como) Asmussen, Tina, Scientia Kircheriana. Die Fabrikation von Wissen bei Athanasius Kircher (Kulturgeschichten, 2), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 220 S. / Abb., € 39,00. (Mona Garloff, Stuttgart / Wien) Schlegelmilch, Sabine, Ärztliche Praxis und sozialer Raum im 17. Jahrhundert. Johannes Magirus (1615 – 1697), Wien / Köln / Weimar 2018, Böhlau, 352 S. / Abb., € 50,00. (Pierre Pfütsch, Stuttgart) Félicité, Indravati, Das Königreich Frankreich und die norddeutschen Hansestädte und Herzogtümer (1650 – 1730). Diplomatie zwischen ungleichen Partnern, übers. aus dem Französischen v. Markus Hiltl (Quellen und Darstellungen zur hansischen Geschichte. Neue Folge, 75), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 439 S., € 60,00. (Guido Braun, Mulhouse) Renault, Rachel, La permanence de l’extraordinaire. Fiscalité, pouvoirs et monde social en Allemagne aux XVIIe et XVIIIe siècles (Histoire moderne, 57), Paris 2017, Éditions de la Sorbonne, 389 S. / Abb., € 25,00. (Claire Gantet, Fribourg) Godsey, William D., The Sinews of Habsburg Power. Lower Austria in a Fiscal-Military State 1650 – 1820, Oxford 2018, Oxford University Press, XX u. 460 S. / Abb., £ 90,00. (Simon Karstens, Trier) Riotte, Andrea, Diese so oft beseufzte Parität. Biberach 1649 – 1825: Politik – Konfession – Alltag (Veröffentlichungen der Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Württemberg. Reihe B: Forschungen, 213), Stuttgart 2017, Kohlhammer, LII u. 779 S., € 64,00. (Stephanie Armer, Nürnberg) Müller, Andreas, Die Ritterschaft im Herzogtum Westfalen 1651 – 1803. Aufschwörung, innere Struktur und Prosopographie (Veröffentlichungen der Historischen Kommission für Westfalen. Neue Folge, 34), Münster 2017, Aschendorff, 744 S. / Abb., € 69,00. (Nicolas Rügge, Hannover) Lange, Johan, Die Gefahren der akademischen Freiheit. Ratgeberliteratur für Studenten im Zeitalter der Aufklärung (1670 – 1820) (Beihefte der Francia, 84), Ostfildern 2017, Thorbecke, 339 S., € 45,00. (Andreas Erb, Dessau) Schwerhoff, Gerd, Köln im Ancien Régime. 1686 – 1794 (Geschichte der Stadt Köln, 7), Köln 2017, Greven, XIV u. 552 S. / Abb., € 60,00. (Patrick Schmidt, Rostock) James, Leonie, „This Great Firebrand“. William Laud and Scotland, 1617 – 1645 (Studies in Modern British Religious History, 36), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XIV u. 195 S., £ 60,00. (Martin Foerster, Hamburg) Campbell, Alexander D., The Life and Works of Robert Baillie (1602 – 1662). Politics, Religion and Record-Keeping in the British Civil Wars (St. Andrews Studies in Scottish History, 6), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, IX u. 259 S., £ 75,00. (Ronald G. Asch, Freiburg i. Br.) Parrish, David, Jacobitism and Anti-Jacobitism in the British Atlantic World, 1688 – 1727 (Studies in History. New Series), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, X u. 189 S., £ 50,00. (Ronald G. Asch, Freiburg i. Br.) Graham, Aaron / Patrick Walsh (Hrsg.), The British Fiscal-Military State, 1660 – c. 1783, London / New York 2016, Routledge, XI u. 290 S. / Abb., £ 80,00. (Torsten Riotte, Frankfurt a. M.) Hoppit, Julian, Britain’s Political Economies. Parliament and Economic Life, 1660 – 1800, Cambridge 2017, Cambridge University Press, XXII u. 391 S. / graph. Darst., £ 22,99. (Justus Nipperdey, Saarbrücken) Talbot, Michael, British-Ottoman Relations, 1661 – 1807. Commerce and Diplomatic Practice in Eighteenth-Century Istanbul, Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XIII u. 256 S. / graph. Darst., £ 70,00. (Christine Vogel, Vechta) Niggemann, Ulrich, Revolutionserinnerung in der Frühen Neuzeit. Refigurationen der „Glorious Revolution“ in Großbritannien (1688 – 1760) (Veröffentlichungen des Deutsche Historischen Instituts London, 79), Berlin / Boston 2017, de Gruyter, XII u. 653 S. / Abb., € 64,95. (Georg Eckert, Wuppertal) Ducheyne, Steffen (Hrsg.), Reassessing the Radical Enlightenment, London / New York 2017, Routledge, XII u. 318 S., £ 32,99. (Bettina Dietz, Hongkong) Lehner, Ulrich (Hrsg.), Women, Enlightenment and Catholicism. A Transnational Biographical History, London / New York 2018, Routledge, XI u. 236 S. / Abb., £ 100,00. (Elisabeth Fischer, Hamburg) Möller, Horst / Claus Scharf / Wassili Dudarew / Maja Lawrinowitsch (Hrsg.), Deutschland – Russland. Stationen gemeinsamer Geschichte, Orte der Erinnerung, Bd. 1: Das 18. Jahrhundert, Berlin / Boston 2018, de Gruyter Oldenbourg, 410 S. / Abb., € 29,95. (Martina Winkler, Kiel) Bittner, Anja, Eine königliche Mission. Der französisch-jakobitische Invasionsversuch von 1708 im europäischen Kontext (Schriften des Frühneuzeitzentrums Potsdam, 6), Göttingen 2017, V&R unipress, 277 S., € 45,00. (Torsten Riotte, Frankfurt a.M.) Schmidt-Voges, Inken / Ana Crespo Solana (Hrsg.), New Worlds? Transformations in the Culture of International Relations around the Peace of Utrecht, London / New York 2017, Routledge, IX u. 232 S., £ 105,00. (Anuschka Tischer, Würzburg) Mager, Ria, Zwischen Legitimation und Inspektion. Die Rheinlandreise Napoleon Bonapartes im Jahre 1804 (Konsulat und Kaiserreich, 4), Frankfurt a. M. [u. a.] 2016, Lang, 330 S., € 61,95. (Josef Johannes Schmid, Mainz)
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