Academic literature on the topic 'Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Métaphysique'

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Dissertations / Theses on the topic "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Métaphysique"

1

Souchard, Bertrand. "Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité." Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

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2

Kapadais, Doukas. "Quelques paradoxes du non-être chez Aristote." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040013.

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Abstract:
Comment la notion de l'étant se déplace (dans le sophiste) des objets singuliers à leurs relations? Pourquoi ce déplacement entraine-t-il la solution du paradoxe du non-être selon le discours faux? Dans quel sens Aristote reste-t-il fidèle à cette résolution du paradoxe, et comment cette "fidélité" pourrait-elle permettre d'interpréter un passage central du livret de la métaphysique? Que se passe-t-il quand celui qui veut suivre le programme de recherche des analytiques secondes ii, cherche un objet qui n'existe pas? Peut-il mener à bien sa recherche? Comment chercher un objet qui ne dispose pas de définition? Peut-on se baser sur la signification du terme qui l'aurait dénoté, s'il avait existé? Puisque tous les étants sont générés à partir d'un autre étant, aucun étant ne peut se générer à partir du non-être absolu. Ceci veut-il dire que quelques-uns parmi les aspects de l'objet existaient même avant sa génération? Le chapitre 46 des analytiques premiers i est-il vraiment une défense de l'existence du non-être absolu, ou, est-il plutôt l'établissement d'une convention quant à l'usage de la négation? Aristote a-t-il raison de critiquer, dans les topiques, la définition de l'être par l’étranger dans les sophistes quoi qu'il en soit, quelles raisons l'ont-ils amené à cette critique? Cette thèse consiste en une tentative pour répondre à ces questions.
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3

Guyomarc'h, Gweltaz. "Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote." Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Abstract:
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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4

Timbert, Anne. "Individuations manières d'être." Nice, 1994. http://www.theses.fr/1994NICE2004.

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Abstract:
Comment parler de l'individuation ? Jusqu'où peut-on aller dans les individuations ? Vingt-quatre siècles séparent ces deux manières d'envisager la même question. A travers ces deux modes d'interrogation, Aristote et G. Deleuze semblent rapporter tous deux la question de l'individuation à celle de la consistance, mais par des voies très différentes. Si le problème de la consistance fait sens encore en dehors d'une pensée de la substance, que recouvre alors cette sorte de consistance non substantielle ? Certes, les individus diffèrent, se distinguent les uns des autres. Mais ce constat intéresse-t-il au plus profond la question de l'individuation ? Des philosophes (H. Bergson, M. Merleau-Ponty, G. Simondon), mais aussi des écrivains (A. Artaud, M. Blanchot), des peintres (P. Cézanne, P. Klee) nous aideront sans doute à tracer les enjeux essentiels d'une telle interrogation. On peut se demander, en effet, si l'on ne diffère pas toujours de quelqu'un ou de quelque chose en fonction de différences extrinsèques, tandis qu'on devient le patient d'une différence individuante à mesure qu'on actualise un fond, ou bien qu'on résolve une certaine configuration de régions problématiques suivant l'envergure d'une certaine capacité ou manière d'être singulière
How can we speak of individuation? How far can we go into individuations? Twenty four centuries separate these two ways of considerating the same question. Through those two interrogation means Aristote and G. Deleuze seem both to refer the question of individuation to that of consistency, but through very different ways. If the problem of consistency has still a sens outside the thought of substance, then what does that kind of non-substantial consitency cover? Indeed, individuals differ, distinguish themselves the one from the other. But does this statement concern the question of individuation to such an extent? Philosophers (like H. Bergson, M. Merleau-ponty, G. Simondon) but artists as well (P. Cezanne, P. Klee, A. Artaud, M. Blanchot) will help us no doubt to lay out the essential stakes of such an interrogation. In fact, we can wonder wether we do not always differ from someone or something according to extrinsic differences - whereas we become the patient of an individuating difference as we actualize a background or as we resolve a given configuration of problematic regions according to the scope of a certain ability or singular way of being
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5

Guéguen, Haud. "La mesure du possible chez Aristote : étude sur la notion aristotélicienne de "dunaton"." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010692.

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Abstract:
Cette thèse se propose de montrer que la notion aristotélicienne de dunaton, que l'on peut traduire à la fois par capable, possible et potentiel, se trouve au croisement du logique et du réel, précédant et coupant ainsi court à la séparation, opérée par la scolastique puis reprise par les modernes, du possible logique et du possible réel. La première partie analyse la façon dont les différents sens du dunaton s'articulent entre eux et entend montrer que la notion se fonde en réalité sur une structure tripartite : le logos, la relation et le temps comme conditions ou principes du dunaton. La seconde partie étudie ensuite la notion dans la sphère pratique pour montrer la façon dont cette structure apparaît tout à la fois fondatrice de la praxis et de son inversion dans la the6ria comme dans l' action tragique.
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6

Joachim, Henri-Gaël. "Heidegger et Aristote : pour une métaphysique de l'être-en-acte." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1997PA010538.

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Abstract:
La confrontation entre Heidegger et Aristote permet de poser le problème de l'être-en-acte. Car, selon Heidegger, le sommet de la pensée d’Aristote réside dans la découverte de l'être comme energeia. Au cours de ses travaux sur Aristote, Heidegger a souligné avec une grande perspicacité l'importance de la conception aristotélicienne de l'antériorité de l'acte sur la puissance. Pourtant, dans sa propre philosophie, il a inversé ce rapport hiérarchique en accordant le primat au possible sur l'actuel. Du point de vue Heideggerien, ce renversement s'explique par le refus de toute forme d'onto-théologie. Mais d'un point de vue aristotélicien, Il s'explique par l'"oubli" de la distinction entre la détermination et le conditionnement. En effet, négliger cette distinction, c'est s'empêcher de découvrir l'acte comme principe et cause finale de ce-qui-est ; c'est passer d'une recherche de la finalité dans l'ordre de l'être à une quête du fondement ou de la condition de possibilité. De fait, dans ses commentaires de la métaphysique d’Aristote, Heidegger n'a rien dit de l'induction de l'être-en-acte au chapitre 6 du livre 9. Une redécouverte de l'être-en-acte s'avère donc nécessaire. Le chemin d'une telle redécouverte doit partir du jugement d'existence et rechercher les principes propres de ce-qui-est. Mais après être et temps, il n'est plus possible de négliger l'étude du dasein. C'est pourquoi il faut aujourd'hui prolonger la perspective d'Aristote en pensant le "je suis" dans la lumière de l'être-en-acte. M. D. Philippe a déjà tenté cette entreprise. Sa réflexion philosophique nous semble ainsi permettre de dépasser le débat entre Aristote et Heidegger et d'élaborer une métaphysique de l'être-en-acte
The confrontation between Heidegger and Aristotle allows to raise the problem of being in act. According to Heidegger, the apex of Aristotle’s thought lies in the discovery of being as energeia. In the course of his works on Aristotle, Heidegger has underlined the importance of the Aristotelian conception of the anteriority of actuality over potentiality. However, in his own philosophy, he has reversed this hierarchical relation by giving primacy to the possible over the actual. From the Heideggerian point of view, this inversion can be explained by his rejection of any form of onto-theo-logy. Now, from an Aristotelian point of view, it can also be explained by the "forgetting" of the distinction between the determination and the conditioning. Neglecting this distinction makes it impossible to discover actuality as principle and final cause of that which is. This amounts to a move from a theological inquiry in the order of being to a quest for the foundation or condition of possibility. As a matter of fact, Heidegger, in his commentaries on Aristotle’s metaphysics says nothing of the induction of being in act of book 9 chapter 6. It appears then that a rediscovery of being in act is necessary. The way leading to such a discovery must start from the judgment of existence, and go on with the inquiry into the principles of that which is. But after being and time, it is impossible to neglect the study of dasein. This is why, today, it is necessary to develop Aristotle’s perspective with a thinking of the "i am", in the light of being in act. M. D. Philippe has already attempted such an endeavor. It seems to us that his philosophical reflection enables us to go beyond the dilemma between Aristotle and Heidegger, and to articulate a metaphysics of being in act
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7

Triantaphyllou, Stavroula. "La causalité chez Hegel et Aristote." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010525.

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Abstract:
Selon Hegel, la Métaphysique ne suit pas le modèle démonstratif des Seconds Analytiques: il n 'y a pas une première ousia à partir de laquelle il serait possible de développer les déterminations du niveau sublunaire (l'unité catégoriale de l'être -l'être selon les figures de la prédication, et l'unité dans la substance sensible -l'être 'selon l'energeia et la dynamis) comme la conséquence à partir de son principe. Le principe selon lequel sont articulées les déterminations particulières (le premier moteur immobile) leur est juxtaposé. S'il en est ainsi, en quoi il est un principe de compréhension pour la Métaphysique, en l'occurrence pour la notion de cause en tant que notion qui est dite en plusieurs sens, irréductibles les uns aux autres? Il est besoin de voir la manière dont fonctionne l'interprétation hégélienne, aussi bien dans le contexte aristotélicien que dans le contexte hégélien. C'est ainsi que s'explicite à la fin, la différence entre eux: chez Hegel, l'analyse de la causalité est purement logique alors que chez Aristote, elle ne perd jamais sa référence au réel.
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Torrente, Luca. "Génération, nature et individuation chez Aristote." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2022SORUL015.pdf.

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Abstract:
Cette thèse se propose d’examiner le problème de l’individuation chez Aristote à partir d’une étude sur la génération des êtres vivants. Ce choix a permis d’aborder un problème controversé selon une perspective quasiment inédite. La première partie de la thèse est une analyse de la génération des substances physiques dans le corpus aristotélicien. Ce chapitre vise à mettre en évidence les caractères propres de la génération absolue des substances par rapport aux autres types de devenir. La deuxième partie étudie l’embryogenèse des vivants dans une perspective qui cherche à intégrer le modèle hylémorphique dans un autre modèle, plus complexe et exhaustif, qui est celui du développement dynamique. Dans la troisième partie, c’est le problème de l’individuation qui est visé. On achève l’analyse de la génération animale jusqu’à sa fin : le développement des caractères héréditaires et particuliers de chaque individu. Les deux thèses les plus connues – l’identification du principe d’individuation avec la matière ou la forme – sont discutées et critiquées. On propose enfin une solution qui établit trois causes particulières capables d’expliquer la génération d’un individu en tant qu’individu, en s’appuyant sur un passage de Métaphysique Λ 5. La quatrième partie prend en compte la spécificité de l’être humain dans la question de l’individuation. Il est question de l’individualisation de l’homme, c’est-à-dire du processus par lequel un certain individu cherche à se constituer comme sujet agent et personne morale autonome à l’intérieur d’une communauté donnée
My thesis proposes to examine the problem of individuation in Aristotle’s philosophy from a study on the generation of living beings. This choice has made possible to approach a controversial problem from an almost unprecedented perspective. The first part of the thesis is an analysis of the generation of physical substances in the Aristotelian corpus. This chapter aims to highlight the specific characteristics of the absolute generation of substances in relation to other types of becoming. The second part studies the embryogenesis of the living beings from a perspective that seeks to integrate the hylomorphic model into another, more complex and exhaustive model, which is that of dynamic development. In the third part, the problem of individuation is addressed. We complete the analysis of the animal generation to its end: the development of the hereditary and particular characteristics of each individual. The two best-known theses – the identification of the principle of individuation with matter or form – are discussed and criticized. Finally, a solution is proposed that establishes three particular causes capable of explaining the generation of an individual as an individual, based on a passage from Metaphysics Λ 5. The fourth part considers the specificity of the human being in the question of individuation. It is a question of the individualization of man, the process by which a certain individual seeks to constitute himself as an agent subject and autonomous legal person within a given community
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9

Gauthier-Muzellec, Marie-Hélène. "Eidos et ousia : les rapports de la forme et de la substance dans les livres centraux de la métaphysique (Z-H-O) : le cas particulier de l'âme." Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040038.

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Abstract:
Il s'agit, à partir de l'étude de l'élaboration d'une structure minimale des rapports de la forme et de la substance, de mette en évidence, le statut véritablement central du groupe de livres z-h-o, qui contribue fondamentalement a cette élaboration tout en définissant les conditions d'application et de légitimation de la structure un examen systématique des exemples utilises doit servir de preuve à l'appui de cette hypothèse, et révéler en même temps la pertinence d'une référence croissante au cas particulier de l'âme, prise dans une perspective métaphysique mais aussi "psycho-physiologique". Le privilège de l'âme est alors double, en ce qu'elle dirige l'achèvement de la structure, devenue modèle général d'analyse de l'être et du devenir, tout en échappant irréductiblement à l'efficacité du modèle qu'elle conditionne. La psycho-physiologie des facultés devient l'impensé d'un système qu'elle fonde, ce qui désigne peut-être une origine silencieuse de toute métaphysique rigoureuse
The aim is to demonstrate, using as one's starting point, the study of the elaboration of a minimal structure of relations between form and substance, the truly central role of books z-h-o, which play a fundamental part in the elaboration, while at the same time defining the conditions for applying and legitimating the structure involved. A systematic appraisal of the examples used by Aristotle may serve as a proof of this hypothesis and, at once, reveal the judiciousness of a graded scale of reference to the specific case of the soul, considered from a metaphysical point a view, but also from a psycho-physiological one. There are, therefore, two reasons for the privileged case of the soul, in so far as it governs the achievement of the structure, which has become a general model for the analysis of being and natural evolution, as well as resisting validity of the model it has permitted. Psycho-physiology of faculties becomes the unthinkable of the system it founds, which may coincide with the silent premiss of any rigorous metaphysic
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10

Lefebvre, David. "Capacité, force et puissance, sur la genèse et les sens de la notion aristotélicienne de dynamis." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010512.

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Abstract:
La différence de la puissance et de l'acte constitue l'une des marques propres de la philosophie d’Aristote. Si energeia et entelecheia sont des néologismes formés par le philosophe, dynamis, terme très ancien appartenant au vocabulaire grec courant, comporte, au contraire, une variété de sens qui rend la compréhension de son usage philosophique chez Aristote souvent difficile. Est-il possible d'articuler ces sens, dont certains sont considérés comme métaphoriques par Aristote ? La différence traditionnelle entre la puissance comme principe du changement et comme sens de l'être ne recouvre-t-elle pas d'autres articulations ? Une étude des principaux textes, poétiques, médicaux, historiques et philosophiques, ou dynamis était directement impliqué, a été entreprise en suivant un fil conducteur dicte par un emploi dominant de ce terme. Il a été également nécessaire de mesurer l'héritage platonicien, pour mieux comprendre la critique aristotélicienne de la puissance, qui met en valeur l'indétermination de la puissance, sans pour autant renoncer aux sens de capacité et de force.
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