Dissertations / Theses on the topic 'Arid zone plants'

This thesis is a comparative study of the life history strategies, and in particular seed germination requirements, in Australian species of the halophyte plant genus Frankenia L. (Frankeniaceae). Frankenia is a cosmopolitan genus that occurs in Mediterranean, semi-arid, and arid regions on distinctive soil types – commonly on saline, sodic or gypseous soils – in habitats such as coastal cliffs, and on the margins of salt lakes, salt-pans and saltmarshes (Summerhayes 1930; Barnsley 1982). The plants are small shrubs or cushion-bushes with pink, white or pale purple flowers, and salt-encrusted recurved leaves. This project investigates germination requirements for Frankenia in relation to seed age, light requirements, temperature preferences, salinity tolerance, and soil characteristics. It also explores two divergent reproductive strategies – notably seed packaging strategies – in relation to environmental variables. Within the 46 currently recognized endemic Australia species, some species have a few ovules per flower and produce only a few larger seeds per fruit, while other species have many ovules per flower and produce many small seeds per fruit. Large-seededness is thought to increase the probability of successful seedling establishment in drought and salt-stressed environments. As both larger- and smaller-seeded species of Frankenia co-occur in close geographical proximity, hypotheses regarding the advantages of large-seededness in stress environments can be tested. By restricting the analysis of seed mass variation to similar habitats and within a single plant genus, it is possible to test ecological correlates that would otherwise be masked by the strong effects of habitat differences and phylogenetic constraints. Overall, larger-seeded Frankenia species were demonstrated to be advantageous for rapid germination after transitory water availability, and for providing resources to seedlings if resources became limiting before their successful establishment. Smaller-seeded species delayed germination until both soil-water availability and cooler temperatures persisted over a longer time period, improving chances of successful establishment for the more slowly growing seedlings that are more reliant on their surroundings for resources. This study produces information on the seed and seedling biology of many Australian species of Frankenia including several that are of conservation significance, e.g. F. crispa with its isolated populations, and the rare and endangered F. plicata. This information is important for the development of conservation management plans for these and other arid zone, halophyte species. In addition, the results of this study are of practical significance in determining the suitability of Frankenia for inclusion in salinity remediation and mine-site rehabilitation projects, and for promoting Frankenia as a drought and salt tolerant garden plant.

Le travail presente s'inscrit dans le contexte de l'experience hapex-sahel dont l'une des finalites est la parametrisation de l'hydrologie de surface en zone semi-aride. Cet objectif demande necessairement une connaissance des etats de surface (humidite et rugosite du sol, couverture vegetale), qui influencent le bilan hydrique. L'apport de la teledetection spatiale pour un suivi des parametres de surface est presente par l'utilisation du diffusiometre vent a bord de ers-1. Concu pour determiner les caracteristiques du vent au-dessus des oceans, l'aptitude du capteur pour des applications terrestres est analysee. La zone d'etude couvre un pixel du diffusiometre vent autour du site central est de la campagne hapex. Une analyse qualitative du coefficient de retrodiffusion pris dans differentes plages angulaires, indique que le signal mesure a l'echelle satellitaire repond bien au concept theorique de retrodiffusion, mis au point sur des sites controles. L'extraction des parametres de surface peut etre envisagee. La methodologie repose sur une etude de synergie visible, proche infra-rouge et micro-onde active. L'albedo de simple diffusion du couvert suit l'evolution de la vegetation, contrairement aux resultats obtenus en micro-onde passive sur une zone semi-aride d'afrique australe. Afin d'ameliorer l'estimation de l'humidite du sol, une prise en compte de la variabilite de la rugosite de surface s'impose. Une parametrisation simple du coefficient de retrodiffusion est proposee. Elle permet d'acceder a la reponse de la rugosite de surface a un angle d'incidence donne. Ce signal traduit beaucoup plus le concept de rugosite a grandes echelles que les parametres physiques de rugosite. Les resultats d'humidite estimee indiquent l'importance de la rugosite de surface aussi bien pour un sol nu que pour un sol vegetalise

L'etude porte sur le comportement vis-a-vis de l'eau du sol de quelques especes pastorales autochtones de la zone aride tunisienne installees en peuplements purs et en melanges, en cases lysimetriques et en parcelles experimentales. Les mesures et observations realisees portent principalement sur le cycle de vie des especes et les potentiels de l'eau dans le sol et dans la plante. Les resultats montrent que cenchrus ciliaris l. Et digitaria commutata sch. Ssp. Nodosa (parl. ) maire, especes d'origine tropicale, presentent sous climat mediterraneen, deux periodes de croissance et deux periodes repos hivernal et estival. En revanche, stipa lagascae r. Et sch. Ssp. Normalis maire, plantago albicans l. Ssp. Albicans et argyrolobium uniflorum (d. C. ) jaub. Et spach. , especes d'origine mediterraneenne, peuvent croitre meme a basses temperatures (hiver). On verifie que l'efficacite vis-a-vis de l'eau du sol pour la production est plus elevee pour les especes en c#4 que pour les especes en c#3. Les decalages dans les cycles de vie et les structures du systeme racinaire observes sur les especes, permettent d'expliquer certains aspects de la concurrence et de la complementarite dans le partage des ressources entre les especes quand elles sont installees en melanges

Thesis (Ph. D.)--University of Adelaide, Dept. of Botany, 1997.
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Ce travail presente une etude comparative concernant l'installation de cinq especes vegetales perennes, originaires de la zone presaharienne du sud de la tunisie. Deux de ces especes sont des chamephytes: argyrolobium uniflorum et artemisia herba-alba, et trois des hemicryptophytes: cenchrus ciliaris, plantago albicans et stipa lagascae. Des plantules de ces especes ont ete transplantees dans des pots et soumises a des contraintes hydriques controlees et a des coupes simulant l'herbivorie. Au niveau individuel, la plasxticite phenotypique des especes dans la distribution de phytomasse entre les racines et la partie aerienne, ainsi que les possibilites d'ajustement de l'allocation de ressources entre la reproduction et la survie, apparaissent comme les elements cles pour la reussite de leur installation. Au niveau communautaire l'existence d'une complementarite fonctionnelle inter et intra-strate doit permettre de faire face a une vaste gamme d'aleas du milieu. Le corollaire de cette recherche est la proposition de trois modeles mathematiques portant sur l'ecologie fonctionnelle: un indice descriptif de l'etat phenologique de la plante, un modele sur l'allocation de ressources entre les racines et la partie aerienne et une theorie synthetique sur un systeme de coordination fonctionnelle au niveau de la plante entiere

Les aérosols minéraux constituent une des plus importantes sources en masse des aérosols atmosphériques. Ces particules ont différents impacts sur l'environnement : elles exercent un forçage radiatif, et peuvent intervenir dans la chimie hétérogène atmosphérique, ainsi que dans la dynamique des nuages. Elles jouent aussi un rôle dans la redistribution de matière à l'échelle globale, notamment par leur dépôt loin des zones sources. L'estimation des quantités d'aérosols minéraux présents dans l'atmosphère, et donc de leurs flux d'émission, qui se font sous l'action du vent en zones arides et semi-arides, demeure l'objet de fortes incertitudes. Si les émissions de particules minérales en zones arides sont relativement bien contraintes à l'heure actuelle, les processus d'érosion éolienne en zones semi-arides sont plus complexes, en raison notamment de la dynamique des états de surface. L'objectif de cette étude est de quantifier les émissions d'aérosols minéraux par érosion éolienne en zone semi-aride sahélienne, et plus précisément d'estimer l'impact de la végétation saisonnière sur ces émissions, sans prendre en compte à ce stade les perturbations induites par l'action de l'homme. Nous avons mis en œuvre des outils de modélisation pour simuler le couvert végétal saisonnier et l'émission d'aérosols par érosion éolienne. La zone d'étude est la ceinture sahélienne, de 10°N à 20°N et de 20°W à 35°E. Les résolutions spatiales retenues sont de 0.10° à 0.25° et 0.5°, et la résolution temporelle de 1 à 10 jours. Afin de pouvoir tenir compte de la variabilité interannuelle des phénomènes observés, la couverture temporelle de l'étude est de 4 ans, sur la période 2004-2007. En régions semi-arides, la disponibilité en eau est le principal facteur limitant le développement de la végétation. Trois produits d'estimation des précipitations issus d'observations satellitaires (CMORPH, RFE2.0 et TRMM3B42) ont donc été comparés entre eux et comparés à des mesures de pluviomètres spatialement interpolées (AGHRYMET), au cours de la saison des pluies au Sahel. Trois critères de comparaisons ont été définis pour qualifier leur pertinence en termes de dynamique de la végétation (distribution spatiale, fréquence journalière et quantités des précipitations). Les trois produits sélectionnés montrent un bon accord sur la ceinture sahélienne, et ce pour les trois critères. De plus, le niveau d'accord est stable au cours du temps, de l'échelle intrasaisonnière à l'échelle interannuelle. La végétation est simulée avec le modèle STEP, conçu spécifiquement pour reproduire la dynamique de la végétation sahélienne. Les simulations sont réalisées en utilisant en entrée les trois champs de pluie issus de l'étape précédente. Les résultats sont comparés à des observations régionales issues de mesures satellitaires (LAI MODIS). Les critères de comparaisons sont déterminés pour leur pertinence en termes de caractérisation de l'état de la surface (limite nord, dates de démarrage et de maximum, et valeurs du maximum de végétation). Ces comparaisons montrent la capacité du modèle utilisé à reproduire la dynamique régionale annuelle. Les différentes phases du cycle végétatif sont bien restituées, avec toutefois des réserves sur le démarrage précis de la pousse. Les émissions d'aérosols désertiques sont simulées en utilisant le modèle DPM, qui repose sur la description explicite des processus physiques mis en jeu. Les caractéristiques des états de surface en l'absence de végétation (rugosité, types de sol) sont décrites en se basant sur des produits de surface satellitaires et de données issus de d'analyses géomorphologiques. En période végétative, les caractéristiques du couvert végétal simulé (hauteur, taux de couverture) sont converties en termes de rugosité dynamique de la surface. L'effet de l'humidité gravimétrique de la couche superficielle du sol est également pris en compte. L'impact de ces différents facteurs est alors illustré, notamment les différences dues à la présence du couvert végétal, en termes d'émissions d'aérosols minéraux, dans une zone définie comme la " frange émissive saisonnièrement végétalisée ", et dont l'étendue varie selon l'année et le produit de pluie utilisé en forçage. Pour la période 2004 à 2007, la strate herbacée saisonnière présente ainsi une capacité d'inhibition des émissions de l'ordre de 8 à 28% en masse du flux total annuel de cette frange, qui lui peut varier de 1 à 30 Mt environ.

COSTA, Alexandre Gomes da. Umidade do solo e disponibilidade hídrica na zona das raízes em condições naturais de caatinga preservada. 2012. 182 f. : Tese (doutorado) - Universidade Federal do Ceará, Centro de Ciências Agrárias, Departamento de Engenharia Agrícola, Programa de Pós-Graduação em Engenharia Agrícola, 2012. Fortaleza-CE, 2012.
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Regarding ecohydrology, the catchment water is distributed over several important compartments. Many studies in semiarid re gions indicate the surface reservoirs as the main water compartments. However, the watershed has greater scope than the water reservoirs contained therein, and water resources in compartments distributed in the watershed (like in soil) should be analyzed not only with regard to ecological uses, but also as spaces of water availability. Therefore, the object ive of this work was to analyze, based on measurements and modeling, the water dynamics in th e soils of a semi-arid basin in preserved Caatinga, and its impact on water availability. Wit h this in mind, it was measured, among others, the soil moisture, every hour, from 2003 to 2010 (2923 days) in the Aiuaba Experimental Basin (AEB, 12 km ²), fully preserved and with average annual rainfall of 560 mm. Monitoring was carried out through three TDR se nsors, one installed in each of the three soil and vegetation associations (SVA) identified in the basin. The research method considered six main steps: i) assessment of the eff ective root depth of preserved Caatinga ii) calibration of humidity TDR sensors iii) space-time representation of soil moisture in each SVA unit iv) analysis of soil water availability in the root zone, v) parameterization of the WASA-SED hydrological model, and vi) parameterizati on of the DiCaSM hydrological model. The results of this research indicate the importance of addressing the temporal analysis of soil moisture and soil water availability in the root zone to maintain the Caatinga biome. More specifically, it was observed that the effecti ve depth of the root system on AEB ranged between 70 and 80 cm in areas with deep soils, but in areas with shallow soils, it was observed that the effective depth of the roots had adapted to the constraints, having been reduced to less than 40 cm. Furthermore, the season al analysis showed that in the dry season, the roots have lengths up to 11 cm smaller, openin g, therefore, secondary pores that facilitate the penetration of what little rain water falls in the dry months (June-December), as well as in the first rains of the wet season. In the two SVAs whose soils are deep and the vegetation is dense, the soil water is 'not available' (ie below the permanent wilting point - WP) during nearly nine months a year (72% of the time), and on ly during three months of the year (25% of the time) the soil water is available. In the re maining 3% of the year (about 10 days) there is gravitational water in these SVAs. In the SVAs whose soil is shallow and whose vegetation is sparse, the dynamics of soil water are different : the time when there is gravitational water, available and unavailable, is practically the same (four months a year). This is due to, among other things, the low soil moisture at the permanen t wilting point of the Udorthent, and to its limited thickness, generating saturation much more frequently than in others that - unlike this one - have deep drainage. The depletion of soil wat er under conditions of moisture below the wilting point was another important result of this research. In the two associations with deep soils and thick vegetation, it was observed – throu ghout the observation period – continuous fall of moisture level until it approached asymptot ically the residual moisture. More detailed analysis showed that the reduction of soil moisture between the WP and the residual moisture level always followed the exponential decay. It was observed, in the association of shallow soil and sparse vegetation, that the moisture did not fall to below the WP, even subjected to the same rigorous climate of the other associations . Considering: (i) that in such a dry soil, the drainage is unlikely, and (ii) that the associated processes of percolation and evaporation should not be responsible for the removal of soil w ater either (since the phenomenon is not observed in SVAs whose soil is shallow and therefor e warmer) , it is raised the hypothesis that the soil drying under these conditions must be caused by water extraction by vegetation. This would strengthen the argument that the Caating a has adapted to survive under water stress. The hydrological models WASA-SED and DiCaSM failed to adequately represent the temporal dynamics of soil water in the AEB. However , the models did satisfactorily reproduce the retention curves of soil moisture, al lowing the representation of the water availability in the root zone for planning purposes . Finally, we managed to evaluate - quantitatively, spatially and temporally – the soil water availability. This availability is of the same order of magnitude of the availability of an o ptimal surface reservoir. The availability in the soil, in quantitative terms, can be almost five times higher than that of the surface reservoir. However, the security associated with su rface water (90%) is much higher than the water permanence available in the AEB: just 28% in areas with deep soils and 65% in areas with shallow soils.
A água na bacia hidrográfica está distribuída em diversos compartimentos importantes no que se refere à ecohidrologia. Muitos estudos em regiões semiáridas apontam os reservatórios superficiais como principais compartimentos de água. Entretanto, a bacia hidrográfica tem maior abrangência que as bacias hidráulicas nela contida, e os recursos hídricos nos compartimentos distribuídos na bacia hidrográfica (como no solo) devem ser analisados não somente no que se refere aos usos ecológicos, mas também como espaço de disponibilidade hídrica. Portanto, o objetivo do trabalho foi analisar, com base em medidas e modelagem, a dinâmica da água nos solos de uma bacia semiárida de Caatinga preservada e seu impacto sobre a disponibilidade hídrica. Para isso foi medida, entre outros, a umidade do solo a cada hora, de 2003 a 2010 (2923 dias) na Bacia Experimental de Aiuaba (BEA, 12 km²), totalmente preservada e com precipitação média anual de 560 mm. O monitoramento foi realizado através de três sensores TDR, um instalado em cada uma das três associações entre solo e vegetação (SVA) identificadas na bacia. O método de investigação considerou seis etapas principais: i) determinação da profundidade efetiva das raízes da Caatinga preservada; ii) calibração dos sensores de umidade tipo TDR; iii) representação espaço-temporal da umidade do solo em cada unidade de SVA; iv) análise da disponibilidade hídrica do solo na zona das raízes; v) parametrização do modelo hidrológico WASA-SED; e vi) parametrização do modelo hidrológico DiCaSM. Os resultados obtidos nesta pesquisa indicam a importância da abordagem da análise temporal da umidade do solo e da disponibilidade hídrica do solo na zona das raízes para a manutenção do bioma Caatinga. Mais especificamente, foi observado que a profundidade efetiva do sistema radicular na BEA oscilou entre 70 e 80 cm nas regiões com solos profundos, porém, em regiões com solos rasos, observou-se que a profundidade efetiva das raízes adaptou-se às restrições, ficando reduzida a menos de 40 cm. Além disso, a análise sazonal demonstrou que, na estação de estio, as raízes têm comprimentos até 11 cm menores, abrindo, portanto, poros secundários que facilitarão a penetração da água nas eventuais chuvas dos meses secos (junho a dezembro), assim como nas primeiras chuvas da estação úmida. Nas duas SVAs cujos solos são profundos e cuja vegetação é densa, a água no solo encontra-se ‘não-disponível’ (isto é, abaixo do ponto de murcha permanente – WP) em quase nove meses ao ano (72% do tempo); e somente durante três meses ao ano (25%) a água no solo encontra-se disponível. Nos 3% restantes do ano (cerca de 10 dias) há água gravitacional nessas SVAs. Na SVA cujo solo é raso e cuja vegetação é esparsa, a dinâmica da água no solo é diferente: o tempo em que há água gravitacional, disponível e não disponível é praticamente o mesmo (quatro meses ao ano). Isso se deve, entre outros, à baixa umidade do solo no ponto de murcha permanente do neossolo litólico; e à sua restrita espessura, gerando saturação muito mais frequentemente que nos demais solos que – ao contrário deste – dispõem de drenagem profunda. A depleção da água no solo sob condições de umidade abaixo do ponto de murcha foi outro resultado importante desta pesquisa. Nas duas associações com solos profundos e vegetação densa, observou-se – ao longo de todo o período investigado – decaimento contínuo da umidade até que a mesma se aproximasse assintoticamente da umidade residual. Análise mais detalhada demonstrou que a redução da umidade do solo entre o WP e a umidade residual sempre obedecia ao decaimento exponencial. Na associação com solo raso e vegetação esparsa observou-se que a umidade não caía para valores inferiores ao WP, mesmo sujeita ao mesmo rigor climático das demais associações. Considerando-se: (i) que em solo tão seco, a drenagem é improvável; e (ii) que os processos associados de percolação e evaporação tampouco devam ser os responsáveis pela retirada de água do solo (posto que o fenômeno não se observa na SVA cujo solo é raso e, portanto, mais quente); levanta-se a hipótese que o secamento do solo nessas condições deva ser causado por extração de água pela vegetação. Isso reforçaria a tese de que a Caatinga dispõe de adaptação para sobreviver mesmo em condições de estresse hídrico. Os modelos hidrológicos WASA-SED e DiCaSM não conseguiram representar adequadamente a dinâmica temporal da água nos solos da BEA. No entanto, os modelos reproduziram satisfatoriamente as curvas de permanência da umidade dos solos, permitindo representar a disponibilidade hídrica na zona das raízes para fins de planejamento. Por fim, logrou-se avaliar – quantitativa, espacial e temporalmente – a disponibilidade hídrica do solo. Esta é da mesma ordem de grandeza da disponibilidade de um reservatório superficial ótimo. Em termos quantitativos, a disponibilidade no solo chega a ser quase cinco vezes superior à do reservatório superficial, entretanto, a garantia associada da água superficial (90%) é bem superior à permanência da água disponível na BEA: apenas 28% nas áreas com solos profundos e 65% nas áreas com solos rasos.

La vegetation des oueds est etudiee a deux echelles spatiale: la region du desert oriental septentrional d'egypte (3010'n a 2610'n et 3050'e a 3230'e) et un secteur de l'oued sannur (29104n ; 3128'e). A l'echelle regionale, quatre groupements s'individualisent au sein des gradients climatiques nord/sud (precipitations et temperature moyenne annuelle) et nord-ouest/sud-est (evapotranspiration). Un gradient biogeographique se surimpose a cette description, avec des especes mediterranneennes au nord et des especes soudano-angolanes au sud, le fond commun etant saharo-arabique. A l'echelle d'un secteur de l'oued sannur ou la frequence des crues est estimee a sept ans, les especes perennes s'organisent en cinq groupes. La geomorphologie et la granulometrie de surface expliquent une partie de la structure de la vegetation: les especes sont liees au chenal ou aux rives et terrasses d'une part, a une granulometrie de surface fine ou a des zones plus grossieres d'autre part. Les especes annuelles ephemerophytes constituent une synusie ombrique en relation avec les precipitations hivernales et atteignent un maximum de recouvrement au mois de mars. Leur repartition depend essentiellement de la granulometrie dominee par des particules fines. D'une echelle spatiale a l'autre, le poids des facteurs expliquant la structure de la communaute vegetale peut etre different. A l'emboitement des echelles spatiales peut correspondre un emboitement des facteurs mesologiques explicatifs, parmi eux, certains seront pertinents a une echelle donnee et d'autres a plusieurs niveaux

Caractéristiques des pâturages naturels de la zone sahélienne du Sénégal et méthodes d'étude des pâturages naturels. Etude expérimentale pour une parcelle de 750 ha d'un ranch de reelevage, au centre du Sénégal entre la zone sylvopastorale du Ferlo et le bassin arachidier: description du tapis herbacé, productivité, choix des espèces par les ovins et les bovins, digestibilité du régime (in vitro, in vivo).

Le palmier-dattier constitue une des rares cultures à vocation alimentaire adaptées aux conditions climatiques extrêmes (sécheresse, salinité), telles que rencontrées à Djibouti. Dans un contexte de ressources en eau fortement limitées, la connaissance des modalités de l’alimentation hydrique du palmier dattier est essentielle. L’objectif de ce travail de recherche est d’acquérir cette connaissance, dans le contexte pédoclimatique de Djibouti, par la réalisation d’un suivi in situ du fonctionnement hydrique du système sol-palmier, à l’échelle d’un individu, et la quantification du puits racinaire du palmier-dattier. Un palmier-dattier, pleinement développé, a été instrumenté à l’échelle de la cuvette d’irrigation, à l’aide de plusieurs tubes d’accès de sonde à neutrons, pour le suivi de la teneur en eau volumique du sol, et de plusieurs tensiomètres, répartis de 10 à 160 cm de profondeur. Trois expériences d’infiltration/redistribution a été réalisées successivement, la première sans altérer le fonctionnement du système sol-palmier, la seconde après avoir coupé le palmier, tout en permettant l’évaporation de la surface du sol, la dernière après avoir couvert la surface du sol afin d’empêcher l’évaporation. Les résultats mettent en évidence une forte hétérogénéité des propriétés hydriques du sol, avec une stratification liée au contexte sédimentaire littoral. L’impact du puits racinaire sur la dynamique hydrique du sol est observé jusqu’à 80 cm de profondeur. Pour la période fraîche, les besoins en eau du palmier dattier sont estimés à 130 L par jour, avec une fréquence d’irrigation d’une fois toutes les 2 semaines. Pour la première fois, le coefficient cultural du palmier dattier (kc = 1,39) a été établi dans les conditions climatiques de Djibouti. Les résultats obtenus contribueront à une meilleure gestion de l’irrigation et à une meilleure maîtrise du risque de salinisation du sol dans le contexte pédoclimatique de la République de Djibouti
Date palm is one of the few food crops adapted to the extreme weather conditions (drought, salinity), such as encountered in Djibouti. In the context of highly limited water resources, knowledge of the date palm water requirements is essential. The objective of this research was to determine the date palm water requirements, in the Djibouti pedoclimatic context, using in situ monitoring of water transport in the soil-plantatmosphere system, at the scale of a single date palm tree, and to quantify the date palm root water uptake. A fully developed date palm tree was instrumented at the irrigation basin scale, using several access tubes for neutron probe for monitoring the soil volumetric water content, and several tensiometers, installed from 10 to 160 cm depth. Three infiltration/redistribution experiments have been performed successively, the first without alteration of the soil-plant system, the second after cutting off a date palm tree while allowing the surface evaporation, the last with covering the soil surface to avoid evaporation. The results show large heterogeneity in soil hydraulic properties, with stratification linked to the coastline sedimentary context. The root water uptake is observed up to 80 cm depth. The date palm water requirements in the fresh period are estimated at 130 liters per day with a frequency of irrigation of one time every two weeks. For the first time, the date palm cultural coefficient has been established in the Djibouti climatic conditions (kc = 1.39). The obtained results will contribute to better management of irrigation and to improve the control of soil salinization in the pedoclimatic context of the Republic of Djibouti

Ce travail est une etude en geographie appliquee concernant la gestion des espaces montagnards de pays arides et en voie de developpement ou les montagnes sont des repertoires et lieux de recharge de ressources naturelles et de l'heritage culturel. L'economie de la pluspart des villages de plaines et piedmonts reste dependante des ressources naturelles qui ont subit une degradation intense et de fortes perturbations ecologiques et socio-economiques. La region etudiee est une partie de la chaine d'alborz central choisie de facon a inclure la diversite naturelle et socio-economique de l'espace montagnard de l'iran, tout en restant limitee sur l'etendue (2914 km carres). L'approche adoptee est inspiree par la vision systemique. La gestion de l'espace et son evolution pendant les vingt dernieres annees ont ete etudiees sur place et par des analyses statistiques en tant qu'un systeme uni. L'amenagement de cette region manque d'une gestion rationnelle de l'espace et ceci entraine un rapport desequilibre du developpement entre les montagnes et les pleines adjacentes et la non-integration des specificites montagnardes. Les potentiels agro-sylvo-pastorals sont limites par les contraintes naturelles et par les surexploitations intenses et chroniques. Cependant, il y a des potentiels d'exploitations importants au developpement de la region grace a sa situation geographique exceptionnelle. Le developpement du tourisme, du transport routier, de l'artisanat et de l'industrie legere sont des sources de l'emploi et de revenu et reduisent la pression exercee sur les ressources naturelles mais restent sous-exploites. Etablir l'equilibre (reduction) de l'exploitation de ressources naturelles et le developpement des autres potentiels de l'alborz central sont les premieres mesures indispensables de toutes gestion. La region a besoin d'un amenagement integre base sur les relations complementaires plaines-montagnes au niveau regional dans le respect des specificites des espaces montagnards au niveau local ou micro-regional

Cette étude traite de la structure, de certains aspects du fonctionnement et de l'évolution des phytocénoses sahéliennes du bassin versant d'Oursi, situé au nord du Burkina Faso. Après avoir· rappelé les conditions sahéliennes (aridité climatique, édaphique, saisonalité, variabilité. . . ) le problème du déséquilibre entre les besoins d'une population en expansion et les ressources limitées du milieu est posé. L'étude aborde ensuite la méthodologie relative à la précision des mesures dans l'estimation des phytomasses épigée et hypogée par les techniques classiques de la récolte et radiométrique. Les résultats recueillis de 1976 à 1984 à l' échelle de la station écologique, du bassin versant et de la région portent sur : ( 1) la structure de la végétation ( spectre floristique et biologique de la strate herbacée, densité et structure démographique du peuplement ligneux) (2) la mise en place du peuplement herbacée (productiondes semences propriétés germinatives, établissement des plantules) ; ( 3) la phénologie, la productivité de la végétation épigée et hypogée et, leur déterminisme écologique. Une expression de la production en fonction des précipitations est proposée pour estimer· la production et la capacité de charge fréquentielles ; ( 4) les conditions de la dégradation et les capacités de régénération de la végétation définies par les effets de la mise en défens sur la flore, la phytomasse, l' efficience en eau, la densité des ligneux et par les effets d'aménagements (travail du sol, reboisement. . . ). Ces caractéristiques de structure et de dynamique actuelle associées à certains aspects de la dynamique historique (évolution climatique, occupation ancienne) permettent d' élaborer un modèle de la dynamique du système écologique sahélien. Celui-ci montre que ce système écologique est d'une grande complexité qui sous une relative homogénéité physionomique masque une grande diversité floristique, structurale, fonctionnelle et évolutive. Sous l'effet conjugué de la persistance de la sécheresse et surtout de l' anthropisation, ce système écologique est le siège de processus de dégradation conduisant à sa désertisation progressive. A l'issue de cette analyse des axes prioritaires de recherches (définition des caractéristiques de l' équilibre écologique, de leur seuil de rupture, des conditions de régénération et de restauration. . . ) sont proposés
This work mainly deals with the spin crossover phenomenon in cobalt (II} molecular chemistry. The synthesis of a series of five and six coordinated complexes, with Schiff bases as equatorial ligands and various apical ones, are reported. The temperature dependances of magnetic susceptibilities and EPR spectra are used to study the influence of the environment on the metal ion spin state. The behaviours observed are interpreted on the basie of simple models. Evidence is provided for thermally induced s = 1/2 - s -= 3/2 spin crossavers. In other respects, a correlation can be established between the geometry and spin state of these complexes and their ability to activate molecular oxygen. In order to specify the spin-crossover mechanism, structural and thermodynamic techniques are used: the ingle-crystal X-ray structure of one of the compounds is reported; the mean variation of metal-ligand diatances upon transition is evaluated by X-ray absorption spectroscopy; enthalpy and heat capacity changes, measured by t ose, are compared with the values calculated on the basis of a phenomenological model. A new means of detecting the crossover, by using its effect r. N he EPR spectrum of a Cu (II)doping ion, is described in the case of an iron(II)complex

The westernmost spur of the Tibetan Plateau stretches to Eastern Ladakh in India. It is a region which remains poorly explored because of challenging conditions and long periods of political instability. At the same time, it is one of the highest places on earth supporting angiosperm life, which goes beyond 6000 m a.s.l. here. The whole region, due its remoteness, is practically unaffected by plant invasions and direct human activities. Thus, Ladakh represents a kind of "natural experiment", providing very long gradient of elevation suitable for comparative functional ecology as well as for testing various hypotheses concerning limitations of vascular plants. Arid climate and extreme elevations are the common factors. Our team pursued the goal of systematic botanical and ecological exploration of Ladakh, started by late Leoš Klimeš. This thesis provides insight into the main vegetation types, clonality in plants, plant-plant interactions and soil phototroph communities.

This research aims to develop the present knowledge of arid zone rehabilitation by scientifically testing topsoiling and seeding treatments on the Eyre Peninsula, South Australia, in a way that enables the widest application and comparison to other mining leases throughout the arid lands.

The aim of this research is to assess various options for the management of topsoil stockpiles on disturbed lands and to evaluate the viability and germinability over time of the seedbanks in these stockpiles for use in rehabilitation. To predict their success, experimental trials were designed and conducted.