Academic literature on the topic 'Aptitude physique – Adolescent'

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Journal articles on the topic "Aptitude physique – Adolescent":

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Sobral, Hildeberto Dutra, Jânio Luiz Correia Júnior, Maria Beatriz Farias Duda, Marina Pereira Gonçalves, Mirian Domingos Cardoso, and Ricardo De Freitas Dias. "Perfil de aptidão física relacionada à saúde em adolescentes brasileiros: Revisão Integrativa da Literatura / Health-Related Fitness Profile in Brazilian Adolescents: An Integrative Literature Review." ID on line. Revista de psicologia 16, no. 61 (July 31, 2022): 228–36. http://dx.doi.org/10.14295/idonline.v16i61.3507.

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Abstract:
Objetivo: Revisar a literatura, conhecer e compreender o perfil de aptidão física relacionada a saúde em adolescentes, destacando aspectos predominantes que impulsionam quadros negativos na saúde. Métodos: Foram realizadas buscas nas bases de dados eletrônicas PubMed; Scielo; Lilacs e Medline. Foram incluídos artigos de ensaios clínicos randomizados, nos idiomas inglês e português, publicados no período de 2017 a 2021, com limite de idade (10 anos – 19 anos). Resultados: Observou-se uma falta de consenso nos protocolos utilizados para avaliação da aptidão física dos adolescentes; fatores que contribuem negativamente para aptidão física do adolescente Brasileiro, sendo hábitos alimentares inadequados, falta de atividade física, tempo de tela (tempo gasto em frente à TV, computador, celular). Conclusão: A aptidão física é importante para o cotidiano, e diante dos resultados apresentados pelos artigos selecionados, observa-se que não influencia somente o físico do adolescente, mas seu rendimento cognitivo. Abstract: The aim of this article was to review the literature, to know and understand the health-related fitness profile in adolescents, highlighting predominant aspects that drive negative health pictures. Searches were performed in PubMed electronic databases; Scielo; Lilacs and Medline. Articles from randomized clinical trials, in English and Portuguese, published from 2017 to 2021, with age limit (10 years – 19 years) were included. There was a lack of consensus in the protocols used to assess the physical fitness of adolescents; factors that contribute negatively to the physical fitness of Brazilian adolescents, such as inadequate eating habits, lack of physical activity, screen time (time spent in front of TV, computer, cell phone). Physical fitness is important for everyday life, and in view of the results presented by the selected articles, it is observed that it does not only influence the physique of adolescents, but their cognitive performance.Keywords: Adolescent; Physical aptitude; Health.
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Esser, N., N. Paquot, and A. J. Scheen. "Aptitude physique versus adiposité : impacts cardio-métaboliques respectifs chez l’enfant/adolescent et chez la personne âgée." Médecine des Maladies Métaboliques 4, no. 4 (September 2010): 395–401. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(10)70083-3.

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Hazo, Jean-Baptiste, Alexandra Rouquette, and le groupe EpiCov. "Enfants placés en famille d’accueil et assistants familiaux : estimations des difficultés psychosociales et des recours aux soins à partir d’une enquête en population générale et comparaisons avec les ménages ordinaires." Revue française des affaires sociales, no. 3 (December 5, 2023): 235–68. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.233.0235.

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Abstract:
Le décours de la crise sanitaire du COVID-19 fut marqué par des observations inquiétantes concernant la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes. L’épidémiologie psychiatrique française a longtemps manqué de données fiables et régulières pour estimer les troubles psychiatriques et documenter les déterminants de la santé mentale des mineurs. Par conséquent les inégalités sociales et territoriales de santé mentale chez l’enfant sont peu couvertes en France et il est difficile de s’intéresser à des sous-populations particulièrement à risque. Parmi elles, les mineurs pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance se distinguent singulièrement. Cette étude a pour objectif d’évaluer les difficultés psychosociales et les recours aux soins pour raisons psychologiques des mineurs pris en charge en famille d’accueil et de ceux en ménage ordinaire. Secondairement, les facteurs associés à ces difficultés et aux recours aux soins pour raisons psychologiques ont été identifiés. Une comparaison des ménages de famille d’accueil et des ménages ordinaires est également proposée. Il s’agit d’une étude transversale sur données d’enquête en population générale. La population d’étude est composée de mineurs âgés de 3 à 17 ans ainsi que de leurs parents ou, le cas échéant, de l’assistant familial répondant. Les difficultés psychosociales sont évaluées au moyen du Strengths and Difficulties Questionnaire renseigné par l’adulte répondant. Ces difficultés ainsi que le recours aux soins pour raisons psychologiques sont décrits au moyen de statistiques bivariées et multivariées. Les données sont issues de l’enquête de panel EpiCov qui repose sur un échantillonnage dans les bases de données fiscales. Des pondérations spécifiques s’appliquent aux répondants et aux enfants concernés par la collecte qui a eu lieu en juillet 2021 au moyen de questionnaires téléphoniques et en ligne. L’enquête « EpiCov » a permis de collecter des données pondérées sur 20 127 enfants représentatifs des enfants âgés de 3 à 17 ans vivant en France, parmi eux, 92 sont placés en famille d’accueil. En population générale, 9 % des enfants présentent un score de difficultés psychosociales anormalement élevé, c’est le cas de 22 % des enfants en famille d’accueil. Parmi ces derniers, 49 % des garçons et 30 % des filles ont recouru à un professionnel de santé entre mai 2020 et juillet 2021 pour un motif psychologique. D’importantes disparités socio-économiques de difficultés psychosociales et de recours sont identifiées, elles ne sont pas symétriques selon le sexe de l’enfant. D’autres facteurs de risque sont également identifiés, notamment la santé mentale et le soutien social du parent ainsi que les temps d’exposition aux écrans, d’activité physique et de lecture de l’enfant. Les données d’EpiCov portant sur les difficultés et aptitudes psychosociales des mineurs apportent des données de cadrage importantes qui pourront en outre permettre aux autres initiatives quantitatives mobilisant les mêmes outils d’avoir des données de référence issues d’un échantillon important.
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Candau, Joel. "Altricialité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.087.

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Abstract:
Deux faits signent la nature profonde de l’être humain : (i) un cerveau d’une grande plasticité et (ii) la puissance impérieuse de la culture qui se manifeste non seulement par la diversité et l’intensité de son expression, mais aussi par la forte influence qu’elle exerce rétroactivement sur le développement de notre architecture cérébrale – qui l’a rendue possible. Cette plasticité développementale, résumée dans l’idée que « nous héritons notre cerveau ; nous acquérons notre esprit » (we inherit our brains ; we acquire our minds)(Goldschmidt 2000), relève d’un processus plus général appelé « altricialité » par les éthologues. Le terme est dérivé de l’anglais altricial, mot qui vient lui-même du latin altrix : « celle qui nourrit », « nourrice » (Gaffiot 1934). Dans son acception première, l’altricialité signifie qu’une espèce n’est pas immédiatement compétente à la naissance, contrairement aux espèces dites précoces. C’est le cas, par exemple, de la plupart des passereaux qui naissent les yeux fermés et dont la survie dépend entièrement de l’aide apportée par leur entourage. Il en va de même pour notre espèce. Dans le cas des nouveau-nés humains, toutefois, s’ajoute à l’altricialité primaire une altricialité secondaire. On désigne ainsi le fait que notre cerveau n’est pleinement compétent (sur les plans cognitif, émotionnel, sensoriel et moteur) que tardivement. La force et la durée de la croissance cérébrale post-natale caractérisent cette altricialité secondaire. Du point de vue de la force, le chimpanzé Pan troglodytes, espèce animale qui nous est phylogénétiquement la plus proche, a un coefficient de croissance cérébrale de 2,5 entre la naissance et l’âge adulte, contre 3,3 chez les humains (DeSilva et Lesnik 2008). Du point de vue de la durée, on a longtemps cru que la maturité du cerveau humain coïncidait avec la puberté, mais on sait aujourd’hui que la période de surproduction et d’élimination des épines dendritiques sur les neurones pyramidaux du cortex préfrontal court jusqu’à la trentaine (Petanjeket al. 2011). Outre des contraintes obstétriques, cette maturation prolongée est probablement due aux coûts métaboliques élevés du développement cérébral (Goyal et al. 2014), un processus de co-évolution ayant favorisé l’étalement dans le temps de la dépense énergétique (Kuzawa et al. 2014). Cette forte altricialité cérébrale est propre aux êtres humains, le contrôle génétique qui s’exerce sur l’organisation somatopique de notre cortex, sur la connectique cérébrale et sur les aires d’association étant plus faible que chez le chimpanzé commun. Par exemple, deux frères chimpanzés auront des sillons cérébraux davantage similaires que deux frères humains, parce que le cerveau des premiers est moins réceptif aux influences environnementales que celui des membres de notre espèce (Gómez-Robles et al. 2015). Cette spécificité du cerveau humain est tout aussi importante que son quotient d’encéphalisation (6,9 fois plus élevé que celui d’un autre mammifère du même poids, et 2,6 fois supérieur à celui d’un chimpanzé), le nombre élevé de ses neurones (86 milliards contre 28 milliards chez le chimpanzé), la complexité de sa connectique (environ 1014 synapses), les changements néoténiques lors de l’expression des gènes (Somel et al. 2009) et son architecture complexe. Chez le nouveau-né humain, la neurogenèse est achevée, excepté dans la zone sous-ventriculaire – connectée aux bulbes olfactifs – et la zone sous-granulaire, qui part du gyrus denté de l’hippocampe (Eriksson et al. 1998). Toutefois, si tous les neurones sont déjà présents, le cerveau néonatal représente moins de 30% de sa taille adulte. Immédiatement après la naissance, sa croissance se poursuit au même taux qu’au stade fœtal pour atteindre 50% de la taille adulte vers 1 an et 95% vers 10 ans. Cette croissance concerne essentiellement les connexions des neurones entre eux (synaptogenèse, mais aussi élagage de cette interconnectivité ou synaptose) et la myélinisation néocorticale. À chaque minute de la vie du bébé, rappelle Jean-Pierre Changeux (2002), « plus de deux millions de synapses se mettent en place ! » Au total, 50% de ces connexions se font après la naissance (Changeux 2003). Cette spécificité d’Homo sapiens a une portée anthropologique capitale. Elle expose si fortement les êtres humains aux influences de leur environnement qu’ils deviennent naturellement des êtres hyper-sociaux et hyper-culturels, ce qu’avait pressenti Malinowski (1922 : 79-80) quand il soutenait que nos « états mentaux sont façonnés d’une certaine manière » par les « institutions au sein desquelles ils se développent ». Le développement du cerveau dans la longue durée permet une « imprégnation » progressive du tissu cérébral par l’environnement physique et social (Changeux 1983), en particulier lors des phases de socialisation primaire et secondaire. L’être humain a ainsi des «dispositions épigénétiques à l’empreinte culturelle » (Changeux 2002). Les effets sociaux et les incidences évolutionnaires (Kuzawa et Bragg 2012) d’une telle aptitude sont immenses. L’entourage doit non seulement aider les nouveau-nés, mais aussi accompagner les enfants jusqu’à leur développement complet, l’immaturité du cerveau des adolescents étant à l’origine de leur caractère souvent impulsif. Cet accompagnement de l’enfant se traduit par des changements dans la structure sociale, au sein de la famille et de la société tout entière, notamment sous la forme d’institutions d’apprentissage social et culturel. Les êtres humains sont ainsi contraints de coopérer, d’abord à l’intérieur de leur groupe familial et d’appartenance, puis sous des formes plus ouvertes (voir Coopération). Née de processus évolutifs anciens d’au moins 200 000 ans (Neubaueret al. 2018), l’altricialité secondaire nous donne un avantage adaptatif : contrairement à d’autres espèces, nos comportements ne sont pas « mis sur des rails » à la naissance, ce qui les rend flexibles face à des environnements changeants, favorisant ainsi la diversité phénotypique et culturelle. Cette plasticité cérébrale peut produire le meilleur. Par exemple, 15 mois seulement d’éducation musicale avant l’âge de 7 ans peuvent renforcer les connexions entre les deux hémisphères cérébraux (Schlaug et al. 1995) et induire d’autres changements structuraux dans les régions assurant des fonctions motrices, auditives et visuo-spatiales (Hyde et al. 2009). Une formation musicale précoce prévient aussi la perte d’audition (White-Schwoch et al. 2013) et améliore la perception de la parole (Du et Zatorre 2017). Cependant, comme cela est souvent le cas en évolution, il y a un prix à payer pour cet avantage considérable qu’est l’altricialité secondaire. Il a pour contrepartie un appétit vorace en énergie de notre cerveau (Pontzer et al. 2016). Il nous rend plus vulnérables, non seulement jusqu’à l’adolescence mais tout au long de la vie où, suppose-t-on, des anomalies des reconfigurations neuronales contribuent au développement de certaines pathologies neurologiques (Greenhill et al. 2015). Enfin, un risque associé au « recyclage culturel des cartes corticales » (Dehaene et Cohen 2007) est rarement noté : si ce recyclage peut produire le meilleur, il peut aussi produire le pire, selon la nature de la matrice culturelle dans laquelle les individus sont pris (Candau 2017). Par exemple, le choix social et culturel consistant à développer des industries polluantes peut provoquer des maladies neurodégénératives et divers désordres mentaux (Underwood 2017), notamment chez les enfants (Bennett et al. 2016), phénomène qui est accentué quand il est associé à l’adversité sociale précoce (Stein et al. 2016). Toujours dans le registre économique, la mise en œuvre de politiques qui appauvrissent des populations peut affecter le développement intellectuel des enfants (Luby et al. 2013), un message clé du World Development Report 2015 étant que la pauvreté est une « taxe cognitive ». Un dernier exemple : Voigtländer et Voth (2015) ont montré que les Allemands nés dans les années 1920 et 1930 manifestent un degré d’antisémitisme deux à trois fois plus élevé que leurs compatriotes nés avant ou après cette période. Bien plus souvent que d’autres Allemands, ils se représentent les Juifs comme « une population qui a trop d’influence dans le monde » ou « qui est responsable de sa propre persécution ». Ceci est la conséquence de l’endoctrinement nazi qu’ils ont subi durant toute leur enfance, notamment à l’école, en pleine période d’altricialité secondaire. En résumé, l’altricialité secondaire est au fondement (i) de l’aptitude naturelle de notre cerveau à devenir une représentation du monde et (ii) d’une focalisation culturelle de cette représentation, sous l’influence de la diversité des matrices culturelles, cela pour le meilleur comme pour le pire. Cette hyperplasticité du cerveau pendant la période altricielle laisse la place à une plasticité plus modérée à l’âge adulte puis décroît à l’approche du grand âge, mais elle ne disparaît jamais complètement. Par conséquent, loin de voir dans les données neurobiologiques des contraintes qui auraient pour seule caractéristique de déterminer les limites de la variabilité culturelle – limitation qui est incontestable – il faut les considérer également comme la possibilité de cette variabilité.

Dissertations / Theses on the topic "Aptitude physique – Adolescent":

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Morcel, Jules. "Identification de paramètres nutritionnels, d’activité physique et de condition physique à l’adolescence impactant le risque cardiovasculaire à l’âge adulte." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2023. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDBSL/2023/2023ULILS069.pdf.

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Abstract:
Introduction : Les maladies cardiovasculaires représentent la première cause de mortalité dans le monde et sont, pour la plupart, causées par la formation de plaques athérogènes. Ces dernières apparaissent dès l'adolescence et leur croissance dépend de nombreux facteurs de risque non modifiables (âge, genre) et modifiables (profil lipidique, pression artérielle, glycémie, tabagisme, indice de masse corporelle). La nutrition, l'activité physique et la condition physique sont des éléments complexes ayant démontré leur impact significatif, dans le cadre d'études majoritairement transversales, sur les facteurs de risque modifiables.Matériel & Méthodes : L'objectif de ce travail est alors d'identifier de façon longitudinale des paramètres de nutrition, d'activité physique et de condition physique à l'adolescence ayant un impact sur le risque cardiovasculaire à l'âge adulte. Ces analyses sont basées sur les données des étude HELENA et BELINDA. L'étude HELENA (2006 - 2007) a inclus 3528 adolescents âgés de 12,5 à 17,5 ans dans 10 pays d'Europe et a collecté de nombreuses données nutritionnelles, d'activité physique, de condition physique, anthropométriques et biologiques. L'étude BELINDA (2016 - 2020) est une cohorte nichée ayant refait les mêmes analyses, une décennie plus tard, chez 232 sujets de 4 centres (Gand, Lille, Rome et Saragosse). L'identification des paramètres d'intérêt a été réalisée selon des ressources bibliographiques et les données disponibles au sein de ces deux cohortes. Leur impact sur le risque cardiovasculaire a été évalué selon un modèle statistique multivarié. Le risque cardiovasculaire a été évalué selon les facteurs de risque cardiovasculaires modifiables et le score de risque cardiovasculaire PDAY (Pathobiological Determinants for Atherosclerosis in Youth). Les paramètres identifiés comme les plus pertinents quant à leur potentiel prédicteur du risque cardiovasculaire feront l'objet d'études plus spécifiques.Résultats : L'analyse bibliographique a mis en évidence 13 paramètres d'intérêt, dont 8 de nutrition, 2 d'activité physique et 3 de condition physique. L'adhésion aux indices alimentaires diet quality index et planetary health diet index, les connaissances alimentaires et l'endurance cardiorespiratoire sont les paramètres identifiés comme cardioprotecteurs, à l'inverse de la consommation d'aliments ultra transformés et de la force des membres supérieurs. Une analyse approfondie à propos des connaissances alimentaires a mis en évidence leur impact bénéfique, à long terme, sur la pression artérielle des adultes et leur comportement alimentaire.Discussion : Le diet quality index, le planetary health diet index, les connaissances alimentaires, la consommation d'aliments ultra transformés, l'endurance cardiorespiratoires et la force des membres supérieurs à l'adolescence ont été démontrés comme des paramètres impactant significativement le risque cardiovasculaire à l'âge adulte. Des approches précoces utilisant ces outils semblent alors pertinentes pour identifier des clusters de populations à risque et prévenir le risque cardiovasculaire dès le jeune âge
Introduction: Cardiovascular disease is the world's leading cause of death and is mostly caused by the formation of atherogenic plaques. These plaques appear during adolescence, and their growth depends on numerous risk factors, both non-modifiable (age, gender) and modifiable (lipid profile, blood pressure, glycemia, smoking, body mass index). Nutrition, physical activity and fitness are complex elements that have been shown to have a significant impact on modifiable risk factors in mostly cross-sectional studies.Material & Methods: The aim of this study is to identify, in a longitudinal way, parameters of nutrition, physical activity and physical fitness in adolescence that have an impact on adult cardiovascular risk. These analyses are based on data from the HELENA and BELINDA studies. The HELENA study (2006 - 2007) included 3528 adolescents aged from 12.5 to 17.5 years in 10 European countries, and collected extensive nutritional, physical activity, fitness, anthropometric and biological data. The BELINDA study (2016 - 2020) is a nested cohort that repeated the same analyses, a decade later, in 232 subjects from 4 centers (Ghent, Lille, Roma and Zaragoza). Parameters of interest were identified based on bibliographic resources and data available from these two cohorts. Their impact on cardiovascular risk was assessed by a multivariate statistical analysis. Cardiovascular risk was assessed according to modifiable cardiovascular risk factors and the PDAY (Pathobiological Determinants for Atherosclerosis in Youth) cardiovascular risk score. The parameters identified as most relevant for their potential to predict cardiovascular risk will be the target of more specific studies.Results: The literature analysis identified 13 parameters of interest, including 8 for nutrition, 2 for physical activity and 3 for fitness. Adherence to the diet quality index, planetary health diet index, dietary knowledge and cardiorespiratory fitness were the parameters identified as cardioprotective, in contrary to consumption of ultra-processed foods and upper body muscular strength. An extensive analysis of dietary knowledge highlighted its beneficial long-term impact on adults' blood pressure and dietary behaviour.Discussion: The diet quality index, the planetary health diet index, dietary knowledge, consumption of ultra-processed foods, cardiorespiratory fitness and upper body muscular strength in adolescence have all been shown to have a significant impact on cardiovascular risk in adulthood. Early approaches using these tools therefore seem relevant for identifying clusters of populations at-risk and preventing cardiovascular risk from an early age
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Heyman, Elsa. "Aptitude physique et profil métabolique des jeunes diabétiques de type 1 : effets de l'entraînement chez les adolescentes diabétiques de type 1." Rennes 2, 2006. http://www.theses.fr/2006REN20023.

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Abstract:
Le rôle des facteurs comportementaux (nutrition, activité physique) sur la prévalence des dysfonctions métaboliques chez les adolescentes diabétiques de type 1 est à préciser. Nous montrons que l'altération de l'aptitude physique avec la puberté chez les filles diabétiques est favorisée par une baisse d'activité physique, une prise de masse grasse (étude 1) et s'accompagne d'une altération des réponses sympatho-adrénergiques à l'effort intense (étude 2). L'étude 3 précise les dysfonctions métaboliques (dont une tendance originale pour l'adiponectine). Celles-ci sont liées à l'inactivité physique et non à l'alimentation. Six mois d'entraînement, améliorent l'aptitude physique, la composition corporelle, le profil apolipoprotéique et limitent l'augmentation de leptine sérique des adolescentes diabétiques (étude 4). L'activité physique apparaît donc comme un moyen thérapeutique de limiter les dysfonctions métaboliques des adolescentes diabétiques
Behavioural factors (nutrition, physical activity) role in the prevalence of metabolic dysfunctions in adolescent girls with Type 1 diabetes remains almost unexplored. In turn, physical activity and fitness levels could be affected by these dysfunctions. Study 1 shows that physical fitness deterioration with puberty in diabetic girls may be linked to a physical activity decrease as well as a body composition alteration and is accompanied (Study 2) by an altered sympatho-adrenergic response to intense exercise. Study 3 specifies, in diabetic adolescent girls, the metabolic dysfunctions (particularly an original pattern for adiponectin). They are associated with physical inactivity but not with dietary intake. Moreover, 6 months physical training improve body composition, physical fitness, apolipoprotein profile, and prevent leptin increase (Study 4). Physical activity may thus be an important therapeutic adjunct for diabetic adolescent girls to manage cardiovascular risk factors
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Blonc, Stéphen. "Effet de l'altitude et du statut socio-économique sur les aptitudes physiques de la fille prépubère." Clermont-Ferrand 1, 1994. http://www.theses.fr/1994CLF1MM13.

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Abstract:
L'objectif de ce travail est d'évaluer les effets respectifs de l'altitude et du statut socio-économique et nutritionnel sur les aptitudes physiques de la fille. La population d'étude est constituée de 151 jeunes filles prépubères de 9-11 ans résidant à La Paz (3600 mètres, n=61) et Santa Cruz de la Sierra (420 mètres, n=90) en Bolivie. Les enfants ont été répartis en fonction de critères socio-économiques. Chez les filles de 11 ans, 4 groupes sont constitués : à Haute Altitude (HA), 34 proviennet d'un milieu socio-économique faible (HA-) et 27 d'un milieu socio-économique élevé. A Basse Altitude (BA), 31 sont originaires d'un milieu socio-économique défavorisé (BA-) et 32 d'un milieu socio-économique favorisé (BA+). Afin de faire le point sur l'importance accordée aux facteurs biométriques sur les performances chez les sujets marginalement malnutris, le groupe BA- est comparé à un dernier groupe constitué de jeunes filles plus jeunes issues d'un milieu socio-économique aisé (n=27, ba+) et présentant des paramètres biométriques identiques. L'évaluation du statut nutritionnel réalisé à partir de mesures biométriques, de paramètres biochimiques et hématologiques met en évidence d'étroites relations entre le statut nutritionnel et le statut socio-économique des enfants pris comme critères de sélection. Les jeunes filles issues d'un bas milieu socio-économique (BNSE) présentent un état de malnutrition marginale alors que les filles issues d'un haut niveau socio-économique (HNSE) sont bien nourries. Le stress nutritionnel subi depuis l'enfance par les filles des goupes HA- et BA- a entraîné un retard staturo-pondéral non rattrapé et estimé à 9 mois. Les filles des groupes HA+, BA+ et ba= présentent en revanche un développement biométrique normal. L'hypoxie n'a que peu d'effets sur le développement biométrique des jeunes filles lorsque l'on prend en compte leur statut socio-économique et nutritionnel. Quel que soit le niveau socio-économique, l'aptitude aérobie (VO2 max, ml. Min-1. Kg-1) ainsi que les puissances maximales anaérobie exprimées en valeurs relatives (test de force-vitesse : Pmax, test de Wingate : PWing) sont plus faibles chez les fille de BA. Les faibles performances observées à BA sont attribuées à l'environnement tropical rencontré à Santa Cruz : sédentarité, parasitoses, climat. Quelle que soit l'altitude, l'aptitude aérobie (VO2 max, 1. Min-1) est significativement réduite chez les enfants de BNSE. Les filles de BNSE développent en fait des performances proportionnelles à leurs dimensions biométriques puisque les écarts disparaissent par unité de poids corporel, masse maigre ou volume musculaire. Les puissances maximales anaérobie sont plus faibles chez les filles de BNSE quel que soit le mode d'expression. La comparaison à BA du groupe BA- marginalement malnutri et ba+ bien nourri de deux ans plus jeune mais ayant des données boimétriques similaires atténue quelque peu les écarts observés mais une différence persiste cependant, indiquant que si les facteurs biométriques peuvent expliquer en partie les différences de résultats, des facteurs qualitatifs musculaires doivent également être pris en compte. Ces résultats indiquent qu'il est particulièrement important de ne pas négliger les facteurs socio-économiques et nutritionnels lorsque l'on s'intéresse au développement biométrique et à l'aptitude physique de l'enfant et de jeunes filles en particulier résidant à haute et basse altitudes
The aim of this work was to evaluate the effects of high altitude and low socio-economic status on aerobic and anaerobic power in 11 year old Bolivian girls. At both high (HA : 3,600 m) and low (LA : 420 m) altitudes, low socio-economic status (LSES) groups of girls (HA2, n=34 ; LA2, n=31) were compared to girls of high socio-economic status (HSES : HA1, n=27 ; LA1, n=32). At low altitude, LA2 girls were compared to a younger group of girls from HSES, 8-9 years of age (LA3, n=27) presenting the same anthropometric data in order to evaluate the impact of the biometric factors on performances. Anthropometric characteristics, biochemical and hematological data were collected to assess nutritional status. Direct maximal oxygen uptake (VO2max) and maximal anaerobic power during a force-velocity test (Pmax) and a 30-s Wingate test (PWing) were measured. Results show that 1) anthropometric data were similar between HA1 vs LA1 and HA2 vs LA2 but girls from LSES at both altitudes showed a 15 month growing delay and were classified as marginally malnourished in line with other nutritional indices ; 2) VO2max (1. Min-1) was significantly lower for LSES girls at both altitudes. Values were not different when expressed relative to body weight at HA (HA1=37. 6±6. 1 vs HA2=39. 3±5. 5 ml. Min-1. KgBW-1) but the difference persists at LA (LA1=37. 5±5. 5 vs LA2=34. 7±3. 9 ml. Min-1. KgBW-1) ; 3) Pmax and PWing were significantly reduced for LSES girls at both altitudes whatever the mode of expression (HA1=6. 9±1. 2, HA2=5. 0±0. 9, LA1=6. 4±1. 3, LA2=4. 6±0. 9 W. KgBW-1 for Pmax ; HA1=5. 1±1. 0, HA2=3. 9±0. 9, LA1=4. 6±1. 0, LA2=3. 5±0. 7 W. KgBW-1 for PWing). For a same SES, absolute anaerobic performances were not altered by altitude, however they were lowered at LA in relative terms. In spite of the same anthropometric data, LA2 girls still presented lower anaerobic performances than the LA3 girls. To conclude, in Bolivian girls, LSES which causes a marginal state of malnutrition : 1) decreases absolutemaximum oxygen uptake at both altitude but did not change VO2max expressed in relative terms at HA ; 2) decreases the power in short-term maximal exercises linked both to biometric and qualitative factors whatever the altitude. Tropical and sociocultural environment could be responsible for higher differences between SES girls and lower performances at LA
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Dao, Hung Hanh. "Evolution de la composition corporelle totale et segmentaire, du statut phosphocalcique, des facteurs de risque cardiovasculaire, et des aptitudes physiologiques chez des adolescents obèses majeurs sous traitement multidisciplinaire." Paris 6, 2003. http://www.theses.fr/2003PA066081.

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Books on the topic "Aptitude physique – Adolescent":

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Jean, Piaget. The child's conception of the world. Savage,Maryland: Rowman & Littlefield, 1998.

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Jean, Piaget. The child's conception of the world. London: Routledge, 1997.

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3

Jean, Piaget. The child's conception of the world. Lanham, Md: Rowman & Littlefield, 2007.

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4

Jean, Piaget. The child's conception of the world: By Jean Piaget ; translated by Joan and Andrew Tomlinson. Totowa, N.J: Rowman & Littlefield, 1989.

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5

Jean, Piaget. The child's conception of the world: By Jean Piaget ; translated by Joan and Andrew Tomlinson. Savage, Md: Littlefield Adams Quality Paperbacks, 1989.

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6

Jean, Piaget. The Child's Conception of the World. Jason Aronson, 2007.

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