Journal articles on the topic 'Animaux d’élevage'

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1

Delfosse, Claire. "Les animaux d’élevage et le care." Pour 231, no. 3 (2016): 187. http://dx.doi.org/10.3917/pour.231.0187.

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2

BEAUMONT, C., O. ROUSSOT, N. MARISSAL-AVRY, P. MORMEDE, P. PRUNET, and P. ROUBERTOUX. "Génétique et adaptation des animaux d’élevage : introduction." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (December 15, 2002): 343–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3713.

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Abstract:
Face à la complexité de la mesure du bien-être des animaux, étudier la génétique des capacités d’adaptation des animaux à leurs conditions d’élevage ou leurs réponses de stress dans diverses situations peut apporter un premier élément de réponse à la question de l’importance de la génétique dans le bien-être des animaux. Mais ce type d’études soulève de nombreuses questions : les capacités d’adaptation ne peuvent se résumer à une seule mesure, le choix et l’interprétation des tests comportementaux et physiologiques sont délicats, notamment parce que les facteurs de variation des résultats sont très nombreux (milieu d’élevage, environnement social, expérience de l’animal, nature des stimuli…). De plus l’analyse génétique des données soulève souvent des questions méthodologiques. Les développements de la génomique permettront de préciser le rôle de la génétique dans ces caractères ainsi que de mieux comprendre la nature des liaisons entre différentes mesures des capacités d’adaptation. Mais elle ne permettront de s’affranchir ni de la question de l’interprétation des résultats ni de la prudence à avoir sur leur portée.
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3

Dotché, Ignace Ogoudanan, Karamatou Bio Seydou, Amen Gloria Gwladys Ahouanse, Emmanuel Tohoun, Boris Constant Bankolé, and Issaka Youssao Abdou Karim. "Comment concevoir la biosécurité des élevages porcins des milieux lacustres du sud Bénin pour réduire le risque de maintien et de dissémination de la peste porcine africaine ?" Cahiers Agricultures 30 (2021): 32. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021018.

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Abstract:
L’élevage de porcs est pratiqué en milieu lacustre au Bénin malgré une forte présence d’eau de surface. L’étude vise à identifier les facteurs de risque de la dissémination de la peste porcine africaine (PPA) dans les pratiques d’élevage des milieux lacustres afin de proposer des mesures de biosécurité adaptées à ces milieux. Les données ont été collectées par entretien avec 48 éleveurs de porcs des communes des Aguégués et de Sô-Ava. Une typologie de ces élevages a permis d’identifier trois types d’élevage qui se distinguent sur le mode de logement, les types génétiques élevés, les types d’aliments utilisés, le mode de gestion des déchets et des cadavres des animaux. Le premier type correspond à des élevages en claustration totale qui ont des porcs de type génétique exotique nourris avec des mélanges de matières premières. Ces éleveurs jettent les déjections et les animaux morts dans l’eau du fleuve. Les deux autres sont des élevages en claustration partielle et en liberté qui ont des animaux de type génétique local nourris avec les restes de cuisine et du fourrage. Les déchets sont jetés dans l’espace non occupé par l’eau, mais des cadavres sont parfois enterrés (claustration partielle). Les pratiques d’élevage dans les trois types ne les protègent pas de la PPA. Cette vulnérabilité à la PPA des élevages diffère d’un type à l’autre et la liberté des porcs rend les élevages plus vulnérables. L’étude nous a permis de mettre en évidence une relation entre les différents types d’élevages et les risques de dissémination de la PPA, ce qui nous a conduits à élaborer une série de mesures de biosécurité adaptées à chaque type et destinées aux éleveurs et aux autorités.
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4

Láu, Hugo Didonet, Jean-François Tourrand, Bernard Faye, and Jonas Bastos Da Veiga. "Typologie des systèmes d’élevage de l’agriculture familiale amazonienne : le cas du municipe d’Uruará, Brésil." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 3-4 (March 1, 2001): 239. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9780.

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Abstract:
Au Brésil, l’élevage bovin est présent dans tout le pays où il est pratiqué dans les grandes fermes (fazendas) et dans les systèmes d’agriculture familiale. Sur les fronts pionniers de l’Amazonie, en particulier dans la région d’Uruará, l’élevage familial présente deux caractéristiques contrastées : un fort dynamisme et l’absence ou la faiblesse d’encadrement technique. Cette situation engendre une série de contraintes qui limitent le développement de ce type de système de production. La mortalité des veaux avant sevrage, sans qu’aucune étiologie évidente n’ait été indentifiée, est l’une de celles qui apparaissent comme les plus préoccupantes. Afin de caractériser la diversité des systèmes d’élevage familiaux de cette région en fonction des facteurs qui pèsent sur la mortalité des jeunes animaux, une typologie des éleveurs a été proposée à partir d’une enquête transversale rétrospective portant sur les caractéristiques sociales et structurales ainsi que sur les pratiques d’élevage. Elle a permis de mettre en évidence trois types de systèmes d’élevage : les systèmes où prédominaient les bâtiments bien construits et hygiéniques où les pratiques d’élevage étaient mises en oeuvre correctement ; les systèmes où les bâtiments n’étaient pas bien construits et où l’hygiène était insuffisante et les pratiques d’élevage peu compatibles avec la bonne marche de l’exploitation ; enfin, les systèmes où les bâtiments, les conditions hygiéniques et les pratiques d’élevage étaient très précaires. Cette typologie a mis aussi en évidence les principaux facteurs considérés comme un risque potentiel pour la mortalité des veaux, soit : les bâtiments d’élevage mal construits, le mauvais entretien des étables et des box pour les veaux, une complémentation minérale insatisfaisante et les vermifugations irrégulières. Des propositions d’ordre structurel, sanitaire et d’entretien des animaux sont faites afin de diminuer le taux de mortalité chez les jeunes animaux dans les systèmes d’élevage familiaux.
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5

Dantzer, Robert. "Les enjeux du Bien-Être des animaux d’élevage." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 3 (2000): 273. http://dx.doi.org/10.4267/2042/62736.

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6

Deblois, Sandrine. "Agriculture biologique et alternatives d’abattage des animaux d’élevage." Pour 231, no. 3 (2016): 243. http://dx.doi.org/10.3917/pour.231.0243.

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7

Riegel, Julie. "La réappropriation de la mort des animaux d’élevage." Géographie et cultures, no. 115 (September 1, 2020): 67–92. http://dx.doi.org/10.4000/gc.15583.

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8

PHOCAS, F., C. BELLOC, J. BIDANEL, L. DELABY, J. Y. DOURMAD, B. DUMONT, P. EZANNO, et al. "Quels programmes d’amélioration génétique des animaux pour des systèmes d’élevage agro-écologiques ?" INRA Productions Animales 30, no. 1 (June 14, 2018): 31–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.1.2232.

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Abstract:
L’agro-écologie utilise les processus naturels et les ressources locales plutôt que des intrants chimiques pour assurer la production tout en limitant l’impact environnemental de l’agriculture. A cette fin, des innovations en génétique sont nécessaires pour disposer d’animaux productifs et adaptés à des contextes locaux variés. Pour toute filière d’élevage, réorienter les programmes de sélection actuels semble plus utile que développer des programmes spécifiques qui peineront à être efficaces en termes de coûts et de progrès génétiques attendus. Améliorer la robustesse des animaux vise à promouvoir leurs capacités d’adaptation en intégrant de nombreux critères de sélection, en particulier de reproduction, santé, et d’adaptation à des ressources alimentaires peu digestibles et au changement climatique. Cela amène à considérer les interactions génotype-environnement dans la prédiction des valeurs génétiques et à évaluer les performances des animaux dans des systèmes à bas intrants pour sélectionner ceux qui sont adaptés à des conditions limitantes. La standardisation tant des animaux que des conditions d’élevage paraît antinomique avec les principes de l’agro-écologie prônant une adaptation des animaux aux ressources et contraintes locales dans des systèmes peu artificialisés et très liés à leur environnement physique. Il n’y a donc pas UN animal type agro-écologique, mais DES animaux aux profils variés permettant de répondre aux attentes de l’agro-écologie. Face à la diversité des milieux et des systèmes d’élevage, il faut conserver une diversité génétique importante intra-race, mais aussi préserver la diversité génétique entre races. Cela nécessite une caractérisation phénotypique et génétique des races locales. Enfin, il s’agit de favoriser l'appropriation par les éleveurs et les techniciens d’élevage des outils et des ressources génétiques disponibles pour répondre à leurs besoins.
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9

VEISSIER, I., C. SARIGNAC, and J. CAPDEVILLE. "Les méthodes d’appréciation du bien-être des animaux d’élevage." INRAE Productions Animales 12, no. 2 (April 30, 1999): 113–21. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.2.3870.

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Abstract:
La protection des animaux d’élevage devient une demande sociale prioritaire. Pour y répondre, il est nécessaire de disposer d’outils d’appréciation du bien-être animal. Bien que le bien-être renvoie directement à la perception que l’animal a de sa situation, il est possible de le mesurer objectivement. Pour cela, plusieurs approches sont possibles. En premier lieu, l’ergonomie, qui consiste à considérer l’animal comme un acteur devant réaliser des tâches, permet d’obtenir des renseignements sur les besoins des animaux. Cette approche doit être complétée par la mesure des préférences, qui consiste à proposer des choix aux animaux. Ces mesures permettent d’obtenir le "point de vue de l’animal". Enfin, dans les comparaisons de situations, l’animal est alors placé dans un environnement déterminé et on estime l’inconfort qu’il peut en percevoir. Ces comparaisons doivent reposer sur des critères sanitaires, zootechniques, physiologiques et comportementaux.
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10

Duru, Michel, Claire Le Bras, and Myriam Grillot. "Une approche holistique de l’élevage, au cœur des enjeux de santé animale, humaine et environnementale." Cahiers Agricultures 30 (2021): 26. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021013.

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Abstract:
Dans les pays occidentaux, les interrogations sur les systèmes d’élevage et la consommation des produits animaux sont de plus en plus nombreuses. Repenser la consommation globale de produits animaux parallèlement à un dimensionnement et une réorientation des élevages devient nécessaire pour des raisons sanitaires et environnementales. Dans ce contexte, nous proposons une approche holistique pour faire émerger des pistes de solutions qui tiennent compte des effets d’interdépendance entre la santé des êtres vivants et de leur environnement et de la diversité des situations. Nous montrons que la réduction de la surconsommation actuelle de produits animaux est nécessaire, en particulier pour la viande. Toutefois, les produits animaux apportent des nutriments d’intérêt pour la santé humaine, et certains systèmes d’élevage agroécologiques contribuent à réduire les impacts ou à fournir des externalités positives. Il s’agit de faire évoluer les modes de consommation tout en reconfigurant et réorientant les systèmes d’élevage. Cela implique, entre autres, une prise en compte des échanges internationaux et une évolution des filières pour différentes productions et races animales ou pour les légumineuses par exemple. Pour finir, nous soulignons l’importance du rôle des politiques publiques pour stimuler la mise en place de ces changements, jusque dans l’assiette du consommateur.
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Youssao, A. K. Issaka, G. B. Koutinhouin, T. M. Kpodekon, A. G. Bonou, A. Adjakpa, C. D. G. Dotcho, and F. T. R. Atodjinou. "Production porcine et ressources génétiques locales en zone périurbaine de Cotonou et d’Abomey-Calavi au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 3-4 (March 1, 2008): 235. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9995.

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Abstract:
Une enquête sur la production porcine et les ressources génétiques locales en zone périurbaine de Cotonou et d’Abomey-Calavi au Bénin a été réalisée de juin à août 2006. Les éleveurs étaient des artisans (44 p. 100), des agroéleveurs (20 p. 100) et des petits commerçants (12 p. 100). La plupart des éleveurs achetaient des animaux (76 p. 100) pour la constitution du troupeau. La taille moyenne des troupeaux était de 19 porcs dont 4,18 truies et 1,2 verrat en moyenne. Trois types d’élevage ont été identifiés. Dans le type 1, les propriétaires d’animaux étaient des artisans. Les animaux étaient élevés en divagation le jour et passaient la nuit dans un enclos pendant la saison sèche et étaient en liberté le jour comme la nuit pendant la saison des pluies. Dans le type 2, les animaux étaient élevés en claustration et les propriétaires étaient des commerçants ou exerçaient des métiers autres que ceux de l’agriculture, de l’élevage ou de l’artisanat. Ces propriétaires accordaient peu de soins vétérinaires aux animaux. Enfin, le type 3 d’élevage regroupait les agriculteurs et les éleveurs. Dans ce type d’élevage, les animaux bénéficiaient des soins vétérinaires et des traitements traditionnels à base de plantes médicinales. Ils étaient élevés en enclos le jour comme la nuit pendant la saison des pluies et bénéficiaient également de compléments alimentaires toute l’année. Quel qu’ait été le type d’élevage, les propositions d’amélioration souhaitées par les éleveurs ont été par ordre d’importance : la formulation des aliments, les soins préventifs et curatifs, l’élevage en claustration et le regroupement en coopérative. Les éleveurs souhaitaient prioritairement une aide (assistances technique et financière) (52 p. 100) et une extension de leur exploitation (28 p. 100).
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VANDEPUTTE, M., and P. PRUNET. "Génétique et adaptation chez les poissons : domestication, résistance au stress et adaptation aux conditions de milieu." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (December 15, 2002): 365–71. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3716.

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Abstract:
Les variations génétiques de l’adaptation au milieu d’élevage chez les poissons sont un objet d’étude important dans le cadre des problématiques liées au bien-être en élevage. Trois aspects principaux sont distingués. Tout d’abord la question de la domestication, importante car encore en cours ou à faire sur beaucoup d’espèces : les poissons domestiqués se montrent mieux adaptés à l’élevage (plus aptes à se nourrir, moins stressables), mais perdent des comportements utiles en milieu naturel (fuite devant les prédateurs). Ensuite la sélection pour la résistance aux conditions stressantes : cette sélection est efficace et semble avoir au moins pour partie des effets comparables à la domestication. Enfin, l’adaptation aux conditions de milieu et d’élevage, dont la composante génétique semble relativement importante. Il semble possible d’après l’ensemble de ces données de sélectionner des animaux qui seront mieux adaptés à leur milieu d’élevage. Cependant, la sensibilité des poissons à leur milieu et la variabilité de ces milieux impliquent des approches intégrant les interactions génotype-milieu dans l’étude de l’effet des pratiques d’élevage sur l’adaptation des animaux.
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LAISSE, Sarah, René BAUMONT, Léonie DUSART, Didier GAUDRÉ, Benoit ROUILLÉ, Marc BENOIT, Patrick VEYSSET, Didier RÉMOND, and Jean-Louis PEYRAUD. "L’efficience nette de conversion des aliments par les animaux d’élevage : une nouvelle approche pour évaluer la contribution de l’élevage à l’alimentation humaine." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 269–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2355.

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Abstract:
L’élevage est souvent perçu comme inefficient pour produire des denrées alimentaires pour l’Homme car les animaux consomment davantage de végétaux qu’ils ne produisent de viande, de lait ou d’œufs. Le calcul de l’efficience nette de conversion des aliments en ne considérant dans le calcul que la part potentiellement consommable par l’Homme des aliments utilisés par les animaux permet de relativiser ce constat. En effet, une large part des aliments consommés par les animaux d’élevage (fourrages, coproduits…) n’est pas directement consommable par l’Homme. Appliqués à des systèmes d’élevage français, les calculs d’efficience nette montrent que toutes les productions animales (bovins laitiers et à viande, ovins à viande, porcins, poulets de chair, poules pondeuse) peuvent être producteurs nets de protéines à condition de maximiser la part des végétaux non valorisables en alimentation humaine dans les rations. Le calcul de l’efficience nette est très sensible à l’estimation de la part des aliments utilisés en alimentation animale qui peut être directement valorisée par l’Homme. Celle-ci varie fortement d’une matière première à l’autre selon les habitudes alimentaires et les technologies agroalimentaire qui peuvent évoluer dans le temps. Il est donc nécessaire d’analyser les résultats d’efficience nette à travers plusieurs scénarios de valorisation des matières premières végétales. De même le niveau de valorisation du cinquième quartier de la carcasse des animaux d’élevage pour l’alimentation humaine est très variable et influence sensiblement les résultats d’efficience nette. Enfin, la prise en compte du différentiel de qualité entre les protéines végétales permettrait d’affiner les calculs d’efficience protéique.
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Salas, Michel, Dominique Planchenault, and F. Roy. "Etude des systèmes d’élevage bovin, traditionnel en Guadeloupe, Antilles françaises. Résultats d’enquêtes." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 2 (February 1, 1988): 197–207. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8722.

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Abstract:
Dans le cadre d’un projet d’étude sur les systèmes d’élevage bovin traditionnel guadeloupéen, des enquêtes ont pu être effectuées sur 700 troupeaux dans tout le département. Dans un premier temps les différents paramètres de l’exploitation guadeloupéenne ont permis de différencier cinq types d’élevage. L’analyse actuelle des données apporte des informations sur la démographie et la structure des troupeaux, l’origine et la race des animaux ainsi que sur les paramètres de reproduction et de production. L’étude de ces paramètres a été faite pour chacun des types prédéterminés. Les animaux de « race, créole forment la quasi-totalité du cheptel bovin et présentent de très bonnes dispositions au plan de la reproduction, qualités incomplètement utilisées dans les systèmes d’élevage traditionnel (fertilité 72 p. 100, intervalle intervêlage de 16 à 17 mois, âge à la première saillie fécondante : 30 mois).
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PEYRAUD, J. L., and F. PHOCAS. "Dossier " Phénotypage des animaux d'élevage "." INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 25, 2014): 179–1890. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3065.

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Abstract:
Avant-propos La demande mondiale en produits d’origine animale est en forte expansion1 et l’élevage est l’une des activités agricoles les plus fortement créatrices d’emploi et de valeur ajoutée, tant au niveau de la production et des services qu’elle utilise, que des filières de produits animaux. Mais dans le même temps, l’élevage doit faire face à des enjeux sociétaux qui nécessitent des évolutions importantes dans les modes de production : besoin de compétitivité encore accru, méthodes d’élevage contestées vis-à-vis des atteintes à l’environnement, du respect du bien-être animal et de l’usage des médicaments. Il s’agit de réfléchir ces défis au niveau européen et mondial. Produire plus, mieux et à moindre coût doit contribuer à assurer la sécurité alimentaire mondiale et à répondre aux attentes européennes en termes de systèmes de production et de marchés très diversifiés. L’Europe a ici une responsabilité toute particulière car si elle ne peut pas nourrir le monde, il est de sa responsabilité, en tant que région où la demande sociale est aujourd’hui la plus élevée, de montrer comment concilier production et environnement. Outre les innovations et les adaptations des systèmes d’élevage (cf. Numéro spécial de la revue « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? », Ingrand S., Baumont R. (Eds). INRA Prod. Anim., 27, 2), les réponses passent aussi par la recherche d’animaux qui soient d’une part, plus efficients pour transformer leur ration et plus faciles à élever dans une large gamme de conditions climatiques et de systèmes d’élevage et, d’autre part, adaptables face à des aléas climatiques, sanitaires ou économiques tout en préservant la santé, le bien-être et la qualité des produits. Par le passé, la recherche de la maximisation des performances de production (ex : vitesse de croissance, quantité de lait par lactation…) a conduit à des animaux de plus en plus spécialisés. Dans la plupart des filières, cette maximisation s’est accompagnée d’une dégradation des autres aptitudes d’élevage, aujourd’hui source d’inefficience en élevage. La recherche d’une plus grande robustesse (définie comme la capacité pour un animal d’exprimer son potentiel de production dans une large gamme d’environnements sans pour autant compromettre sa santé et son bien-être) devient une priorité. Dans le même temps,l’accès à des techniques d’exploration fonctionnelle toujours plus performantes, les innovations en cours d’appropriation ou à venir dans le domaine de la génomique ouvrent des perspectives d’investigation nouvelles plus précises. Dans ce contexte d’évolution des demandes et des possibilités d’investigation, les projets de recherche en sciences animales doivent être plus systémiques, prédictifs et permettre d’établir des relations fonctionnelles de plus en plus fines entre le phénotype des animaux, leur génotype et le milieu dans lequel il s'exprime. Face au développement spectaculaire des connaissances sur le génome, il y a un manque criant de connaissances sur l’expression des phénotypes, connaissances qui devraient permettre de répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales : i) une sélection éclairée vers des objectifs majeurs pour améliorer l’efficience de la production et la robustesse des génotypes, et ii) un élevage de précision qui valorise la variabilité individuelle des animaux pour gagner en efficience et en résilience à l’échelle du troupeau, ou pour améliorer la conduite des animaux d’un génotype donné. En effet, d’un coté les progrès réalisés par la sélection génomique permettent aujourd’hui de repenser les critères de sélection et de les diversifier tout en raccourcissant les délais entre la définition des objectifs et l’amélioration effective des cheptels, mais cette sélection entraine de nouveaux besoins de phénotypage car elle nécessite la caractérisation d’unepopulation de référence. D’un autre coté, la connaissance plus fine de l’animal associée aux technologies en émergence de l’élevage de précision permettra de mieux piloter la conduite d’élevage pour améliorer l’efficience de l’alimentation ou de la reproduction par une approche individuelle à l’animal, ainsi que par la production d’alertes à destination de l’éleveur pour un diagnostic précoce des troubles permettant d’anticiper les ajustements requis. Le phénotypage est ainsi l’un des principaux défis que doit relever les recherches en production animale et a été reconnu comme tel par l’INRA. Deux types de phénotypage peuvent être envisagés : le phénotypage des caractères d’intérêt socio-économique et le phénotypage de caractères plus élémentaires. Les phénotypes d’intérêt socio-économique constituent la finalité recherchée. Ils résultent de mécanismes faisant appel à des régulations complexes, ils sont d’autant plus onéreux à mesurer qu’il s’agit de critères zootechniques qui doivent être observés sur des pas de temps longs. La recherche de phénotypes plus élémentaires et plus proches du mécanisme causal rend plus facile l’identification des gènes responsables. Ce phénotypage fin implique de réaliser des mesures particulièrement approfondies et à des échelles élémentaires (au niveau moléculaire, cellulaire, tissulaire…) des caractéristiques biologiques de l’animal qui expliquent un phénotype complexe observé à l’échelle de l’animal. Le phénotypage à haut débit signifie qu’une méthode de mesure des phénotypes fiable, automatisable et rapide est établie de sorte que le processus de mesure permette de générer un grand nombre de données dans un laps de temps court. Le haut débit peut s’appliquer au phénotypage fin tout comme à celui des caractères d’intérêt zootechnique. Les contributions significatives qui pourront être attendues d’un phénotypage animal fin et à haut débit concernent la biologie prédictive, à savoir la prédiction des performances à partir de caractères simples observables précocement, nécessaire notamment à la gestion des produits, à la conduite de l’élevage et à la sélection animale. Ce dossier propose le fruit d’une réflexion globale des chercheurs de l’INRA sur les perspectives qu’offre le phénotypage des animaux pour répondre aux enjeux des productions animales. Cette réflexion a eu pour objectif de définir les grands enjeux de connaissance autour du phénotypage animal et de faire émerger les questions de recherches prioritaires, transversales ou spécifiques aux différentes filières animales ainsi que les verrous techniques qui sont soulevés. Cette réflexion a été conduite par un groupe de douze chercheurs2 des départements de « Génétique Animale », « Physiologie Animale et Systèmes d’Elevage » et « Santé Animale » travaillant dans des disciplines et sur des espèces variées, missionné par la Direction Scientifique Agriculture de l’INRA. La réflexion de ce groupe s’est appuyée sur celle d’un collectif plus large de chercheurs INRA travaillant sur les animaux d’élevage par le biais d’un séminaire organisé en mai 2013 ainsi que par la rédaction partagée des articles de ce dossier. L’amélioration de la robustesse des animaux d’élevage étant un objectif central, le premier article de ce dossier développe une approche systémique de la robustesse des animaux d’élevage pour répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales pour la sélection et pour la conduite de l’élevage. Les recherches sur le phénotypage doivent être accompagnées d’une ontologie générique c’est-à-dire d’une représentation et d’un langage communs pour partager les données et les connaissances, ainsi que l’explicite le second article de ce numéro. L’objet des trois synthèses suivantes est de mettre en perspective les fronts de science (phénotypage du microbiote intestinal), les enjeux de connaissance et les verrous techniques encore à lever pour permettre des productions animales de qualité (phénotypage de la qualité des produits) et en quantité (phénotypage de l’efficacité alimentaire), à moindres coûts économique et environnemental. 1 Selon la FAO et l’OCDE, la progression de la consommation de protéines d’origine animale sur la planète devrait se poursuivre au rythme de + 2 à + 3%/an au cours de cette décennie. Sur la période 2000-2050, la consommation totale des viandes devrait progresser de l’ordre de + 70% pour une population en augmentation de + 20%. Selon les mêmes sources et pour la même période la consommation de lait et produits laitiers dans les pays émergents devrait passer de 45 à 78 kg par habitant.
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VIGNON, X., Y. HEYMAN, P. CHAVATTE-PALMER, and J. P. RENARD. "Biotechnologies de la reproduction : le clonage des animaux d’élevage." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 20, 2008): 33–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3373.

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Abstract:
La reproduction d’espèces domestiques par clonage remonte à plus de 20 ans. Les premières techniques reposent sur la bissection d’embryons puis sur l’usage de cellules embryonnaires pour générer des animaux clonés par transfert de noyau. Avec l’apparition du clonage somatique, qui permet la préservation et l’obtention de descendants de génotypes de haute valeur, l’intérêt pour cette technologie s’est considérablement accru. Un retour sur ces 20 dernières années montre comment l’INRA s’est impliqué dans la mise au point méthodologique du clonage animal et a acquis une expertise reconnue, non seulement dans la production et l’analyse de clones d’animaux domestiques, mais également dans l’étude du rôle des altérations génétiques et épigénétiques dans le développement embryonnaire, foetal et postnatal chez ces animaux. Le clonage reste en effet peu efficace pour la production d’individus viables en comparaison d’autres techniques de reproduction assistée. Une meilleure compréhension de la reprogrammation épigénétique des noyaux de cellules somatiques et de ses effets sur le déroulement des gestations est nécessaire pour rendre cette technologie éthiquement et économiquement acceptable. L’acceptation des produits de clones dans l’alimentation dépend maintenant de l’approbation des agences d’évaluation. Celle-ci est basée sur l’acquisition de données scientifiques concernant la sécurité et l’équivalence des produits avec ceux qui sont issus d’animaux reproduits par fécondation. Cette synthèse fait le point sur les principales connaissances fondamentales sur le clonage somatique, depuis la cellule donneuse, jusqu’au descendant cloné, et leurs liens avec la santé, la viabilité, les caractéristiques quantitatives et de reproduction des individus clonés.
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Dalmat, Yann-Mickael. "Brève : Les animaux d’élevage n’aiment pas les champs électromagnétiques." Option/Bio 32, no. 635-636 (June 2021): 6. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(21)00119-7.

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Le Monnier, A., and A. Leclercq. "Listeria et listériose : des animaux d’élevage à nos assiettes." Pathologie Biologie 57, no. 1 (February 2009): 17–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.patbio.2008.07.026.

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MENANT, O., A. DESTREZ, V. DEISS, A. BOISSY, P. DELAGRANGE, L. CALANDREAU, and Elodie CHAILLOU. "Régulation des émotions chez l’animal d’élevage : focus sur les acteurs neurobiologiques." INRA Productions Animales 29, no. 4 (December 13, 2019): 241–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.4.2966.

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Abstract:
La question des émotions des animaux d’élevage s’inscrit dans la volonté d’améliorer les conditions d’élevage en prenant en compte leur bien-être. La genèse des émotions repose sur la capacité cognitive des individus à percevoir, évaluer et réagir à leur environnement. La capacité de perception met en jeu différentes sensorialités et participe à la reconnaissance des éléments de l’environnement de l’animal sans nécessairement déclencher d’émotions. Les situations déclenchantes d’émotion les plus étudiées chez les animaux d’élevage sont la nouveauté, la séparation sociale ou la présence d’un être humain. De plus, les réactions émotionnelles, évaluées par les réponses comportementales, endocriniennes et neurovégétatives sont modulées par le genre, l’état physiologique ou certaines hormones comme la mélatonine. Les structures cérébrales du réseau neuronal des émotions sont impliquées dans la perception et le traitement des informations de l’environnement, et/ou dans l’expression des réponses émotionnelles. Chez les animaux d’élevage, les structures cérébrales les plus étudiées sont le système olfactif pour la perception, le cortex frontal et l’amygdale pour le traitement des informations, le noyau paraventriculaire de l’hypothalamus pour les réponses endocriniennes. D’autres travaux suggèrent le rôle potentiel de structures du tronc cérébral dans les réponses neurovégétatives et de la substance grise périaqueducale dans les réponses comportementales et plus largement dans les stratégies d’adaptation. En perspective, il est maintenant nécessaire d’étudier l’impact de l’expérience précoce sur le développement du réseau neuronal des émotions et de mieux comprendre la part de l’évaluation cognitive dans la genèse des émotions.
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Tchetan, Esaïe, Abiodoun Pascal Olounlade, Erick Virgile Bertrand Azando, Muriel Quinet, Tanguy Marcotty, Sylvie Mawulé Hounzangbe-Adoté, Joëlle Quetin-Leclercq, and Fernand Ahokannou Gbaguidi. "La médecine ethnovétérinaire à la croisée de la recherche scientifique : synthèse des connaissances et perspectives." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 3 (September 30, 2021): 167–75. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36762.

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Abstract:
Avec l’avènement de la médecine vétérinaire moderne, les pratiques traditionnelles vétérinaires sont reléguées au second plan dans la gestion zoosanitaire des animaux d’élevage. Toutefois, la médecine vétérinaire moderne n’a pas pu faire face à tous les problèmes sanitaires des exploitations d’élevage, surtout dans les milieux ruraux où l’accès aux médicaments et services vétérinaires pose un problème. A cela s’ajoute le faible pouvoir d’achat des éleveurs. Ces derniers sont obligés de recourir aux pratiques et connaissances traditionnelles pour traiter leurs animaux. La médecine ethnovétérinaire a joué un rôle primordial dans la gestion des exploitations d’élevage depuis la domestication jusqu’à nos jours. Les auteurs retracent l’évolution des pratiques ethnovétérinaires puis examinent la contribution de la recherche scientifique à la connaissance et l’amélioration de la médecine traditionnelle vétérinaire. Les raisons qui expliquent aujourd’hui l’engouement autour des pratiques traditionnelles vétérinaires sont discutées. Des mesures sont proposées sous forme de perspectives pour pérenniser la médecine ethnovétérinaire. Il s’agit principalement d’oeuvrer pour la disponibilité des plantes médicinales et autres ressources naturelles utilisées dans les pratiques ethnovétérinaires, mais aussi de prouver scientifiquement l’efficacité de ces plantes et de transmettre aux éleveurs les informations les plus pertinentes. L’intégration des pratiques et des connaissances traditionnelles dans la médecine vétérinaire moderne apparait comme une alternative prometteuse pour une meilleure gestion de la santé des animaux d’élevage. Les conditions de cette intégration sont évoquées. La recherche scientifique a encore un grand rôle à jouer dans la vérification de l’efficacité des traitements ethnovétérinaires.
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Delabouglise, Alexis, Jean-Luc Guerin, Antoine Lury, Aurélie Binot, Mathilde Paul, Marisa Peyre, François Roger, and Etienne Bonbon. "Intensification des systèmes d’élevage et risques pandémiques." Cahiers Agricultures 31 (2022): 16. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022012.

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Abstract:
Le lien supposé entre intensification des productions animales et fréquence grandissante des maladies humaines émergentes à potentiel pandémique est une des controverses majeures qui touchent le système alimentaire mondial. Historiquement, les animaux domestiques ont contribué à l’apparition de maladies humaines majeures et sont le réservoir ou l’hôte intermédiaire de plusieurs zoonoses émergentes. Cependant, l’impact des pratiques associées à l’intensification des productions animales sur la santé humaine reste à déterminer avec objectivité. La concentration des animaux en forte densité dans des structures d’élevage de plus en plus grandes, de même que l’intensité croissante des flux d’animaux vivants aux échelles nationale et internationale constituent des facteurs de risque avérés. Cependant, l’intensification de l’élevage peut aussi conduire à une diminution des risques d’émergence à l’interface faune sauvage–faune domestique–humains, grâce à la généralisation des mesures de biosécurité et à l’encadrement des pratiques d’élevage et des réseaux commerciaux, une évolution très dépendante du contexte socio-économique propre à chaque pays et région.
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BOISSY, A., R. NOWAK, P. ORGEUR, and I. VEISSIER. "Les liens sociaux chez les ruminants d’élevage : limites et moyens d’action pour favoriser l’intégration de l’animal dans son milieu." INRAE Productions Animales 14, no. 2 (April 16, 2001): 79–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3727.

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Abstract:
Les ruminants d’élevage appartiennent à des espèces grégaires. Leur organisation sociale est basée sur des relations stables de dominance - subordination qui assurent en élevage la résolution de nombreux conflits inhérents à la promiscuité entre les animaux. L’organisation sociale repose également sur des relations d’affinité qui assurent la cohésion du groupe et accroissent la tolérance entre les animaux dans les situations de conflit. En outre, les relations d’affinité participent étroitement à l’adaptation de l’animal à son milieu d’élevage puisque les partenaires influencent la réponse de l’animal aux éléments qui l’entourent. Tout au long de sa vie, l’animal établit des liens privilégiés avec certains de ses partenaires. Dès sa naissance, si la possibilité lui en est donnée, le jeune herbivore développe rapidement avec sa mère une relation préférentielle quasi-exclusive. Par la suite, même si le lien maternel demeure très fort, le jeune se lie également à d’autres membres du groupe, en particulier à sa fratrie ou à ses compagnons de même âge. Plus tard, la séparation maternelle qu’impose le sevrage réalisé par l’homme, exacerbe transitoirement la motivation sociale du jeune à l’égard de ses partenaires, voire à l’égard d’individus d’autres espèces tel l’homme. Une telle plasticité dans les comportements sociaux existe également chez l’animal adulte : en particulier, l’attraction sociale diminue chez la femelle pré-parturiente qui tend à s’isoler du troupeau dans la période de la mise bas. Une meilleure connaissance du comportement social des ruminants d’élevage doit permettre de proposer des aménagements pour mieux adapter la conduite d’élevage aux besoins sociaux des animaux. En outre, la construction dynamique des liens d’affinité laisse entrevoir certaines périodes clefs au cours de l’élevage comme autant de leviers d’action dont une meilleure exploitation en élevage pourrait faciliter l’intégration de l’animal à ses conditions de vie ultérieures. Ainsi, que ce soit par l’aménagement de conduites plus respectueuses des besoins sociaux des animaux ou par l’action sur les périodes de transition sociale, l’adaptation et le bien-être des animaux en élevage s’en trouveront considérablement accrus.
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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MANDONNET, N., E. TILLARD, B. FAYE, A. COLLIN, J. L. GOURDINE, M. NAVES, D. BASTIANELLI, M. TIXIER-BOICHARD, and D. RENAUDEAU. "Adaptation des animaux d’élevage aux multiples contraintes des régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 41–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3236.

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Abstract:
En zones difficiles, la pérennité des systèmes d’élevage repose sur la capacité des animaux à survivre, se reproduire et maintenir un niveau de production en situation de fortes contraintes. Les principales contraintes auxquelles les animaux doivent faire face en régions chaudes, sont le climat (température et humidité), la sous-nutrition et les pathologies. Chez les monogastriques comme chez les ruminants, les caractéristiques anatomiques et le comportement alimentaire constituent les principaux facteurs de régulation des échanges thermiques. L’élément clé de l’adaptation comportementale des ruminants à la sous-alimentation est leur capacité à choisir leur alimentation. L’adaptation physiologique porte sur la réduction du métabolisme basal, l’efficience digestive, la valorisation de fourrages grossiers, la mobilisation des réserves corporelles, le recyclage des nutriments et la valorisation efficiente de l’eau. Les travaux les plus significatifs sur la résistance génétique aux maladies portent sur la trypanotolérance, la résistance aux maladies transmises par les tiques et les strongyloses gastro-intestinales. Dans l’élevage moderne, la gestion de ces contraintes environnementales doit se concevoir de façon intégrée. Différentes techniques d’alimentation, de prophylaxie, de gestion d’ambiance des bâtiments d’élevage doivent être combinées pour garantir durablement la pérennité des systèmes d’élevage. Cependant, l’efficacité de cette approche intégrée repose également sur le potentiel adaptatif des animaux pour répondre aux pratiques mises en œuvre. Le développement des productions animales en régions chaudes ne pourra être garanti sans l’utilisation de l’adaptation naturelle des populations animales ou pour le moins, sans inclure les caractères d’adaptation dans les objectifs de sélection des races locales ou spécialisées.
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BOCQUIER, F., N. DEBUS, A. LURETTE, C. MATON, G. VIUDES, C. H. MOULIN, and M. JOUVEN. "Elevage de précision en systèmes d’élevage peu intensifiés." INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 2, 2014): 101–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3058.

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Abstract:
Les fortes contraintes d’élevage dans les systèmes peu intensifiés (grands troupeaux, larges surfaces, alimentation au pâturage, voire faible productivité par animal) laissent tout de même entrevoir des formes originales d’élevage de précision. Cet élevage de précision peut notamment s’appuyer sur l’identification électronique des animaux qui permet de les reconnaitre et de les localiser. Selon que les lecteurs d’identifiants sont utilisés manuellement, à poste fixe, ou portés par un mâle, il est possible de réaliser, respectivement, des inventaires, des opérations automatisées de tri ou la détection des femelles en chaleurs. C’est au pâturage que la maîtrise du comportement des animaux est la plus délicate car un positionnement judicieux de points d’attraction des animaux (abreuvement, pierres à sel, complémentation) ne suffit pas toujours à maîtriser la répartition de la pression de pâturage pour répondre aux objectifs pastoraux et environnementaux. Dans les situations où la pose de clôtures fixes n’est pas possible ou pas souhaitable et que le gardiennage n’est pas envisageable, les clôtures virtuelles, basées sur un apprentissage comportemental spécifique des animaux, pourraient constituer une aide précieuse à l’utilisation durable des parcours. Dans ces systèmes d’élevage, la précision visée ne se situe pas à l’échelle des individus mais plutôt sur des conduites ajustées à des lots virtuels d’animaux homogènes, qui sont séparés et regroupés grâce à des dispositifs de tri efficaces. L’utilisation de systèmes automatisés de suivi du troupeau où chaque animal est identifié génère une grande quantité de données. Quels que soient les capteurs utilisés, les données recueillies doivent être stockées dans un système d’information et traitées avec des méthodes d’analyse adaptées (algorithmes, statistiques…) pour être ensuite transformées en indicateurs d’aide à la décision ou en action exécutée par des automates (porte de tri, pesées, distributions d’aliments). En alternative à des suivis individuels, une utilisation parcimonieuse des capteurs peut être envisagée pour délivrer des alertes (intrusion, attaque de prédateur, sortie d’une zone géographique définie) ; la quantité de données produites est alors minimisée. Un travail de recherche important reste à mener pour proposer des méthodes d’analyse des données et des règles de décisions pertinentes, basées sur une modélisation du comportement animal. Dans les systèmes d’élevage peu intensifiés, la place de l’éleveur est essentielle car au sein d’un grand troupeau et face à de larges surfaces de parcours les dispositifs électroniques sont à envisager comme des aides spécifiques, à intégrer dans une stratégie de conduite plus large. Notamment, il s’agit pour l’éleveur de choisir quels animaux équiper et où positionner des capteurs, relais ou clôtures virtuelles, et à choisir de le faire aux périodes critiques. Actuellement l’offre matérielle et logicielle est freinée par le manque de souplesse des solutions proposées.
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PRUNIER, A., and B. LEBRET. "La production biologique de porcs en France : caractéristiques des élevages, impacts sur la santé, le bien-être et la qualité des produits." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 179–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3344.

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Abstract:
La production de porcs biologiques en France est marginale par rapport à celle des porcs conventionnels (moins de 1% en tonnage) mais en progression constante. La production porcine biologique est fortement encadrée par la réglementation qui impose des contraintes fortes en termes de logement, d’alimentation et de conduite d’élevage. Ces contraintes peuvent influencer les performances, la santé et le bien-être des animaux ainsi que la qualité des carcasses et des viandes. Les données existantes suggèrent une grande diversité des types d’élevages de porcs biologiques et in fine des conséquences du mode de production biologique sur le bien-être et la santé des animaux vivants ainsi que sur la qualité des produits. D’une façon générale, le mode de production biologique offre des atouts pour répondre à l’attente des consommateurs concernant le bien-être animal et la qualité des produits, mais les éleveurs doivent être vigilants en matière de santé des animaux, d’équilibre des rations alimentaires, surtout pour les porcelets et les truies allaitantes, et de qualité des carcasses.
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BOIVIN, X., P. LE NEINDRE, A. BOISSY, J. LENSINK, G. TRILLAT, and I. VEISSIER. "Eleveur et grands herbivores : une relation à entretenir." INRAE Productions Animales 16, no. 2 (April 10, 2003): 101–15. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.2.3651.

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Abstract:
L’élevage des grands herbivores se transforme, diminuant la présence humaine auprès des animaux tout en augmentant la taille du troupeau et l’élevage en extérieur. Quelle peut-être alors la réaction des animaux à l’homme et aux manipulations dans ces conditions ? Quels problèmes peuvent se poser à la fois pour les animaux et pour leur éleveur ? Quelles solutions sont envisageables ? Ce texte présente d’abord différentes méthodologies utilisées pour mesurer la réaction des animaux d’élevage à l’homme. Elles permettent d’inférer la perception de l’homme par l’animal. Ce texte passe ensuite en revue les différents facteurs de la réaction des animaux à l’homme en abordant les facteurs génétiques et l’histoire de l’individu ainsi que l’importance de la composante humaine de cette relation. Les conséquences pour le bien-être de l’animal et pour le travail de l’éleveur ou du manipulateur sont soulignées de même que sont évoqués les moyens envisagés ou envisageables pour améliorer la relation animal-homme. Comprendre la perception de l’homme par l’animal est un élément essentiel de la bonne cohabitation entre l’homme et l’animal d’élevage. L’homme pourrait s’intégrer dans l’univers social de l’animal. Malheureusement, c’est un champ de recherche encore à explorer.
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SIGNORET, J. P. "Le comportement de l’animal domestique et les techniques modernes d’élevage." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 13–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4312.

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Abstract:
La connaissance du comportement peut contribuer à la mise au point de techniques nouvelles ou améliorées prenant en compte l’adaptation et le bien-être des animaux domestiques. Les études développées, notamment à l’INRA, ont permis de connaître les mécanismes d’organisation des relations entre les animaux. Le comportement maternel repose essentiellement sur une reconnaissance olfactive. L’établissement du lien maternel implique la sécrétion des oestrogènes, mais aussi les stimulations sensorielles chez la mère. L’organisation sociale implique des relations de dominance-subordination qui résolvent les conflits. Cependant, des liens sélectifs maintiennent la cohésion du groupe et accroissent la tolérance mutuelle. La sélection sur des critères de production fait évoluer les caractéristiques comportementales vers une adaptation plus facile aux contraintes de l’élevage. Ces résultats, ainsi que la connaissance des mécanismes du comportement sexuel peuvent être utilisés pour améliorer l’adaptation et le bien-être des animaux dans les conditions de l’élevage moderne.
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RENAULT, T., and B. GUICHARD. "Facteurs de risque d’apparition et d’émergence des maladies infectieuses en aquaculture." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 219–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3459.

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Abstract:
Au cours des dernières années, l’augmentation de la production aquacole et du nombre d’espèces aquatiques élevées au niveau mondial s’est accompagnée d’une augmentation du nombre et de la répartition des maladies infectieuses. En 2002-2003, 62 cas d’émergence de ma-ladies infectieuses chez des animaux aquatiques ont été rapportés, les deux tiers en élevage, principalement en Europe et en Amérique du Nord. Une maladie est dite émergente quand son incidence augmente significativement pour une population, un lieu et une période donnés. Pour émerger, une maladie doit d’abord être introduite dans une zone ou une population indemne, et les animaux être exposés à des facteurs favorisants sa transmission. Les risques d’introduction de nouvelles maladies sont principalement associés aux mouvements d’animaux infectés (sauvage ou d’élevage, vivants ou morts), au matériel d’élevage ou à des milieux de transport contaminés, à l’évolution des agents pathogènes eux-mêmes, et à des facteurs environnementaux : réservoirs sauvages, polluants, changements climatiques. Les facteurs d’exposition permettant l’émergence d’une maladie après son introduction sont liés aux conditions d’élevage, à l’épidémiologie des différentes maladies et aux mouvements d’eau et d’animaux sauvages.
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PAULMIER, V., M. FAURE, D. DURAND, A. BOISSY, J. COGNIÉ, A. ESCHALIER, and E. MC TERLOUW. "Douleurs animales.1. Les mécanismes." INRA Productions Animales 28, no. 3 (January 13, 2020): 217–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.3.3027.

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Abstract:
Qu’ils soient élevés à des fins commerciales ou expérimentales, les animaux de rente sont confrontés tout au long de leur vie à des pratiques potentiellement sources de douleurs : interventions de convenance et d’élevage (castration, écornage…) ; interventions chirurgicales (césariennes, implantation en chronique de cathéters…). L’élaboration d’outils d’évaluation des douleurs ressenties par les animaux et de traitements pharmacologiques nécessite une bonne connaissance des mécanismes impliqués dans l’apparition et la modulation de ces douleurs. L’objectif de cette revue est de rapporter les connaissances acquises au cours des dernières années qui ont de l’intérêt pour la gestion de la douleur des animaux d’élevage. Les connaissances présentées sont en grande partie issues d’études conduites chez les rongeurs dont les conclusions sont applicables aux animaux de rente. La revue est constituée de trois parties complémentaires. La première décrit les différentes étapes d’élaboration, de transmission et d’intégration sensorielle et émotionnelle des messages nociceptifs impliqués dans l’apparition de la douleur. La deuxième partie décrit les différents types de modulation qui peuvent activer ou inhiber la transmission des messages nociceptifs. La troisième partie décrit les différents processus neurophysiologiques qui accompagnent la douleur et peuvent la moduler (inflammation, activation du système nerveux autonome et du système neuroendocrinien).
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FIORELLI, C., S. MOURET, and J. PORCHER. "Les rationalités du travail avec les animaux d'élevage : produire, vivre ensemble et se construire." INRAE Productions Animales 25, no. 2 (June 1, 2012): 181–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.2.3207.

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Abstract:
Pour les zootechniciens, comprendre la diversité des rapports au travail des éleveurs est un préalable nécessaire à la conception de systèmes d’élevage qui soient plus durables. Pour rendre compte de cette diversité, nous mobilisons trois recherches portant sur la dimension affective, le sens moral et le rapport subjectif au travail en élevage, fondées sur des enquêtes auprès d’éleveurs. Celles-ci montrent que, du point de vue des personnes enquêtées, travailler avec des animaux d’élevage, ce n’est pas seulement produire, c’est aussi se construire et vivre ensemble avec les animaux et entre êtres humains. Les rationalités du travail avec les animaux sont donc multiples et ne sont pas seulement d’ordre technico-économique. L’amitié, le pouvoir, la morale, la construction de soi, le contact avec la nature, l’autonomie décisionnelle et organisationnelle fondent les rationalités relationnelles et identitaires du travail. L’organisation du travail conditionne fortement la possibilité pour les éleveurs d’éprouver du plaisir ou au contraire de la souffrance : réduire le travail des hommes avec les animaux à sa rationalité technico-économique est cause de souffrances. Sur la base de ces résultats nous proposons deux innovations : un concept de camion-abattoir alternatif à l’abattage industriel, et un cadre d’analyse qui articule deux points de vue, technique et humain sur l’organisation du travail, visant à renouveler le conseil agricole.
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LARRERE, R. "Justifications éthiques des préoccupations concernant le bien-être animal." INRAE Productions Animales 20, no. 1 (March 6, 2007): 11–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3427.

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Abstract:
Les animaux domestiques peuvent-ils faire l’objet d’un souci moral ? Pourquoi devrions-nous nous préoccuper de leur bien-être ? Depuis Jeremy Bentham, l’utilitarisme a étendu la considération morale à tous les êtres sensibles. Cette tradition comporte aussi bien des versions radicales (comme celle de Peter Singer, avec sa thèse de la libération animale) que des acceptions plus modérées (comme les différentes façons de prendre en compte le bien-être des animaux). Dans les recherches qui le concernent, le bien-être animal est défini de trois façons différentes : i) l’absence de mortalité et de morbidité ; ii) l’absence de stress ; iii) la possibilité d’exprimer les comportements naturels de l’espèce. Si les deux premières définitions conduisent à négliger l’intégrité des animaux, la troisième présente l’avantage d’en tenir compte et de prendre en considération les besoins et les comportements sociaux des animaux d’élevage.
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SIGNORET, J. P., F. LEVY, R. NOWAK, P. ORGEUR, and B. SCHAAL. "Le rôle de l’odorat dans les relations interindividuelles des animaux d’élevage." INRAE Productions Animales 10, no. 5 (December 9, 1997): 339–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.5.4009.

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Abstract:
L’odorat joue un rôle essentiel dans les communications entre les mammifères. La reconnaissance individuelle peut se faire sur la seule base de signaux olfactifs provenant de diverses sécrétions ou excrétions, même isolées. L’odeur d’un individu peut également informer sur son état émotionnel. L’organisation des différentes étapes du comportement sexuel met en oeuvre des odeurs venant du mâle comme de la femelle. Des signaux chimiques permettent d’identifier l’état d’oestrus de la femelle, mais celle-ci est alors très fortement attirée par l’odeur du mâle. Ces signaux interviennent dans le déclenchement des postures d’acceptation et de monte. Les odeurs sexuelles interviennent également dans la régulation physiologique : l’odeur du bélier induit l’ovulation de la brebis en repos sexuel, celle de la femelle en oestrus produit une sécrétion d’hormone gonadotrope et de testostérone chez le mâle. Les différentes phases de la relation de la mère et du jeune font appel aux communications olfactives. Chez la brebis, l’attraction pour le liquide amniotique produit le premier contact et le léchage du nouveau-né. L’odeur individuelle de l’agneau est à la base de la sélectivité de la relation maternelle, et c’est l’odorat qui guide l’agneau dans la première recherche de la mamelle. Cependant, dans tous les cas étudiés, l’odorat agit en interaction avec les autres canaux sensoriels, dans une action cumulative et souvent redondante.
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MERLOT, E. "Conséquences du stress sur la fonction immunitaire chez les animaux d’élevage." INRAE Productions Animales 17, no. 4 (October 5, 2004): 255–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.4.3601.

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Abstract:
Cet article présente comment des situations de stress aigu (un transport, un regroupement) ou chronique (conditions de logement contraignantes) affectent la fonction immunitaire chez les animaux d’élevage. La réponse de stress est caractérisée par l’activation de l’axe corticotrope, dont les hormones inhibent l’activité des leucocytes, et la libération de nombreuses autres hormones et neuromédiateurs immunoactifs et immunosuppresseurs (hormone de croissance, prolactine, enképhalines…). Ainsi, l’augmentation transitoire du ratio neutrophiles / lymphocytes dans le sang et l’inhibition de la capacité des lymphocytes sanguins à proliférer sont des indicateurs d’une réponse de stress. D’autres tests sont plus informatifs car ils mesurent les effets du stress sur des fonctions immunitaires précises. Des fonctions relevant de l’immunité innée, première ligne de défense de l’organisme, sont sensibles au stress. Ainsi, la cytotoxicité des cellules tueuses naturelles sanguines est inhibée et des données chez les rongeurs montrent que la réponse inflammatoire peut être fortement déréglée. Certains facteurs de stress favorisent la production de cytokines inflammatoires et augmentent la sensibilité de l’organisme aux chocs septiques, tandis que d’autres inhibent la migration des polynucléaires vers un site d’infection, limitant ainsi la réponse inflammatoire et retardant le phénomène de cicatrisation. Les lymphocytes, vecteurs de l’immunité acquise, constituent la seconde ligne de défense. Le stress peut inhiber le développement de la réponse lymphocytaire à un antigène, par exemple une réponse vaccinale. Il inhibe les réponses de type cellulaire mais affecte peu, voire même parfois stimule, la production d’anticorps. L’altération des réponses innées et acquises diminue la résistance des animaux aux infections virales ou bactériennes.
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Serviere, Jacques. "De la douleur, approche conceptuelle et méthodologique : application aux animaux d’élevage." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 3 (2000): 281. http://dx.doi.org/10.4267/2042/62737.

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Salas, Michel, and Christian Sheikboudou. "Le parasitisme digestif dans les systèmes d’élevage bovin traditionnel en Guadeloupe. 1. Enquête globale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 2 (February 1, 1988): 171–80. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8719.

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Abstract:
Dans le cadre d’une étude sur les systèmes d’élevage bovin traditionnel guadeloupéen, des expérimentations ont été menées en vue de préciser l’importance et le niveau des parasitoses digestives. Deux séries de prélèvements de fèces (respectivement 278 et 299) ont été réalisées en fin de saison sèche et fin de saison des pluies. Les facteurs liés à l’environnement (zone géographique, saison, mode d’élevage...) ont été pris en considération pour l’analyse des résultats. Les analyses coprologiques sont essentiellement d’ordre quantitatif; le traitement des données épidémiologiques recueillies a été effectué à l’aide de méthodes d’analyse multidimensionnelle. Les résultats montrent que le niveau du parasitisme digestif chez ces bovins (dominé par les strongyloses) est relativement bas. Les facteurs liés à l’animal sont nettement prépondérants par rapport aux facteurs liés à l’environnement; l’âge des animaux (suivi par le sexe et l’état physiologique des vaches) est la principale variable explicative. En conclusion les auteurs insistent sur deux points principaux. La lutte contre les parasitoses digestives devra être orientée essentiellement vers des animaux à « haut risque » : jeunes de moins d’un an, vaches allaitantes, mâles à l’engraissement. Les problèmes posés par le parasitisme digestif dans ces systèmes d’élevage bovin restent secondaires par rapport aux problèmes liés à l’alimentation, à la reproduction et à l’amélioration génétique du cheptel.
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CALENGE, F., C. MARTIN, N. LE FLOCH, F. PHOCAS, D. MORGAVI, C. ROGEL-GAILLARD, and P. QUÉRÉ. "Intégrer la caractérisation du microbiote digestif dans le phénotypage de l’animal de rente : vers un nouvel outil de maîtrise de la santé en élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 28, 2014): 209–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3068.

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Abstract:
Le microbiote digestif est un symbionte dont on a démontré l’implication essentielle dans la régulation de la physiologie de l’hôte qui l’héberge pour la digestion, le métabolisme et l’immunité. Ce microbiote a en particulier un rôle majeur, et jusqu’ici sous-estimé, sur la santé de son hôte et participe à son adaptabilité à des environnements changeants. Les technologies de séquençage à haut débit devraient faciliter l’inclusion de cet écosystème complexe dans le phénotypage des animaux d’élevage. Il faut pour ce faire prendre en compte sa composition, sa diversité, sa stabilité au cours du temps et ses variations selon différents facteurs comme le génotype de l’hôte, l’alimentation et les conditions d’élevage. Ces connaissances devraient permettre de définir les propriétés d’un microbiote digestif « normal » associé à une bonne santé, d’en préciser les dysfonctionnements et de comprendre leurs répercussions sur l’état de santé de l’animal. Cela conduira à identifier des marqueurs de diagnostic et de pronostic de ces dysfonctionnements, fournissant des moyens de contrôle nouveaux de la santé en élevage, appréhendée en terme d’optimisation des rendements de production, de résistance aux maladies et de maintien du bien-être. A terme, le contrôle du microbiote digestif par l’alimentation, la génétique ou les pratiques d’élevage permettra de favoriser l’adaptation des animaux à leur environnement d’élevage en améliorant leur robustesse, de limiter l’utilisation d’antibiotiques et de préserver la sécurité sanitaire des aliments en évitant le développement de bactéries pathogènes pour l’Homme. L’ampleur des données à générer et à analyser pour les différentes espèces d’intérêt reste le défi à relever.
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COULON, J. B., A. HAUWUY, B. MARTIN, and J. F. CHAMBA. "Pratiques d’élevage, production laitière et caractéristiques des fromages dans les Alpes du Nord." INRAE Productions Animales 10, no. 3 (June 7, 1997): 195–205. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.3.3993.

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Abstract:
En 1985, un programme de Recherche-Développement a été mis en place dans les Alpes du Nord pour répondre aux questions spécifiques posées par la filière laitière de cette région. Une partie des travaux de ce programme a concerné la caractérisation des animaux et des aliments. Ils ont montré que les vaches de races locales (Tarentaises en particulier) présentaient des aptitudes particulières (meilleures performances de reproduction, moindre précocité sexuelle, traite plus difficile, meilleure aptitude à la marche) comparativement à des vaches Holstein conduites dans les mêmes conditions, mais que leur rationnement pouvait être réalisé selon les recommandations mises au point avec ces animaux. L’étude des relations entre les facteurs de production du lait et les caractéristiques physico-chimiques et sensorielles des fromages a mis en évidence un effet des caractéristiques génétiques des animaux (variant C de la caséine bêta), du stade de lactation et de la nature de l’alimentation (en particulier la nature des pelouses d’alpage) sur la qualité des fromages. Ces résultats donnent des indications précieuses aux différents agents de la filière pour raisonner la conduite des animaux dans un objectif de production de fromages présentant une forte typicité.
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MONIN, G. "Facteurs biologiques des qualités de la viande bovine." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 151–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4327.

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Abstract:
Les qualités technologiques et sensorielles de la viande bovine que sont l’aptitude à la transformation, le pouvoir de rétention d’eau, la couleur, la tendreté, la jutosité et la flaveur, dépendent de plusieurs facteurs biologiques. Cet article tente de passer en revue les principaux de ces facteurs : la localisation anatomique et la fonction physiologique du muscle, le type génétique (race et type culard), l’âge, le sexe, les conditions d’élevage. Il en ressort que parmi les facteurs de variation des qualités de la viande entre animaux, l’âge, le sexe et les conditions d’élevage jouent un rôle primordial, la race n’ayant qu’un effet mineur.
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LITT, Joanna, Christine LETERRIER, and Laurence FORTUN-LAMOTHE. "Conditions d’élevage des palmipèdes à foie gras : des demandes sociétales à une démarche de progrès." INRAE Productions Animales 33, no. 3 (January 12, 2021): 203–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.3.4500.

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Abstract:
La pratique du gavage des palmipèdes consiste à introduire un tube (embuc) dans l’œsophage des animaux pour y déposer de l’aliment en quantité croissante afin de produire du foie gras. Cette pratique est remise en question et fortement contestée par des associations de protection animale et une partie de la société. En l’absence d’une alternative efficace, elle reste toutefois la seule façon de produire du foie gras à grande échelle, produit auquel reste attachée une majorité de français. Cette synthèse replace la production de foie gras au sein des questions sociétales autour du bien-être des animaux et fait le point sur les données scientifiques sur l’impact du gavage au sens large (introduction de l’embuc, charge alimentaire, mode d’hébergement) sur différents indicateurs de l’état de l’animal. Il apparaît ainsi notamment que i) le gavage et l’hypertrophie hépatique ne sont probablement pas nociceptifs en conditions normales de gavage ; ii) les animaux sont sensibles à la capture et à la contention ; iii) la fonction hépatique et la structure histologique sont préservées et l’hypertrophie hépatique est réversible ; iv) le gavage induit des modifications comportementales : augmentation de la fréquence d’abreuvement et de halètement sans apparition d’hypoxie ; diminution de la fréquence du toilettage ; v) ces comportements varient par ailleurs en fonction des conditions climatiques et de la configuration des logements ; vi) le gavage peut générer des blessures spécifiques (blessure de l’œsophage) lorsqu’il est mal réalisé et les conditions d’hébergement des animaux tendent à aggraver les lésions préexistantes (lésions des pattes) ; vii) la mortalité augmente pendant la période de gavage. Cet article synthétise aussi les connaissances et ressources disponibles pour mettre au point une méthode d’évaluation de l’état de l’animal, qui soit multicritère, adaptée aux palmipèdes pendant la phase de gavage et utilisable en ferme. Une telle évaluation permettrait d’objectiver l’état de confort ou d’inconfort des animaux et d’accompagner la filière de production de foie gras dans une démarche de progrès.
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LE BAIL, P. Y., J. BUGEON, O. DAMERON, A. FATET, W. GOLIK, J. F. HOCQUETTE, C. HURTAUD, et al. "Un langage de référence pour le phénotypage des animaux d’élevage : l’ontologie ATOL." INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 28, 2014): 195–208. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3067.

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Abstract:
Les avancées technologiques récentes en biologie permettent la production de grandes quantités de données capables de décrire de plus en plus finement les phénotypes. Pour traiter en masse ces informations à l’aide de programmes informatiques et comparer les phénotypes provenant d’études différentes, il est indispensable de disposer d’un langage standardisé définissant sans ambiguïté les caractères phénotypiques auxquels pourront se référer des utilisateurs variés (généticiens, physiologistes, biochimistes, modélisateurs, producteurs…). L’absence d’un tel référentiel pour les animaux d’élevage a conduit l’Inra, en collaboration avec ses partenaires internationaux, à mettre en place une ontologie nommée ATOL (« Animal Trait Ontology for Livestock »). Celle-ci vise à définir les caractères phénotypiques des animaux d’élevage en les organisant en catégories, autour des performances (efficacité alimentaire, fertilité), des produits (production laitière, de viande, d’oeufs, de foie gras) et des préoccupations sociétales (bien-être animal) se rapportant aux productions animales. Cet article explique les motivations à l’origine du projet, les objectifs poursuivis, la démarche adoptée et son originalité, ses limites et ses performances. Notre ambition est que cette ontologie, actuellement en accès libre sur la toile, soit largement utilisée pour référencer les caractères utilisés dans les publications et les bases de données, et ce pour favoriser une fouille bibliographique précise, facilitant ainsi l’intégration des informations à des fins de biologie systémique et prédictive.
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Mohamed, M. E. H., P. S. Mellor, and William P. Taylor. "Virus Akabane: enquête sérologique des anticorps chez les animaux d’élevage au Soudan." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 4 (April 1, 1996): 285–88. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9497.

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Abstract:
Cette étude porte sur une évaluation de la fréquence des anticorps antivirus Akabane chez les ruminants domestiques dans différentes zones écologiques au Soudan. Les anticorps neutralisants ont été détectés chez les moutons, les chèvres et les bovins. Les sérums de ces animaux ont été récoltés entre 1979 et 1980 à El Obeid, Nyala, Kassala, Sennar et Jonglei. C'est dans cette dernière région qu'ont été trouvés les plus forts taux de présence d'anticorps antivirus dans les sérums analysés : respectivement 27 %, 36 % et 47 % chez les moutons (6), les chèvres (11) et les bovins (90). Bien que les anticorps aient été détectés chez 8 % des 79 vaches et chez 15 % des 70 vaches dans deux troupeaux sentinelles au Centre du Soudan, respectivement à Shambat et Um Benein, aucun des veaux suivis dans ces élevages entre 1981 et 1983 ne s'est révélé positif. Par la suite, des sérums d'échantillons aléatoires prélevés en 1985 sur des animaux âgés de 1 à 3 ans ont montré la présence d'anticorps chez 8 veaux sur 57 (14 %) à Shambat et 5 veaux sur 40 (12 %) à Um Benein. Les implications de ces résultats sont discutées.
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PRACHE, S., B. MARTIN, P. NOZIERE, E. ENGEL, J. M. BESLE, A. FERLAY, D. MICOL, A. CORNU, I. CASSAR-MALEK, and D. ANDUEZA. "Authentification de l’alimentation des ruminants à partir de la composition de leurs produits et tissus." INRAE Productions Animales 20, no. 4 (November 7, 2007): 295–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.4.3467.

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Abstract:
Les consommateurs sont demandeurs d’informations et de garanties sur les conditions d’élevage des animaux et en particulier sur leur alimentation. Ces préoccupations conduisent les filières animales à prendre des engagements sur les conditions d’élevage et d’alimentation des animaux, engagements spécifiés dans des cahiers des charges. Il apparaît ainsi un besoin d’outils analytiques permettant de garantir le respect de ces engagements et/ou d’aider à les instruire. La nature de l’alimentation influence fortement la composition des tissus et produits animaux. Ceci est dû à des composés spécifiques qui sont soit directement transférés de l’aliment au produit, soit transformés ou produits par les microorganismes du rumen ou le métabolisme animal sous l’effet de l’alimentation. Certains de ces composés peuvent donc, en retour, être utilisés pour tracer l’alimentation. De plus, les différences de composition des tissus et produits provoquent des modifications de leurs propriétés optiques, qui peuvent également être mises à profit. Cet article présente les différentes approches analytiques développées actuellement, les principaux résultats obtenus lors de la comparaison d’alimentations contrastées, puis lors de l’alternance de régimes alimentaires avec les questions de latence et de persistance des biomarqueurs d’intérêt, et enfin quelques exemples d’application sur le terrain avec certaines filières animales intéressées par ces outils.
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BAUMONT, René. "Avant-propos du dossier sur les ressources alimentaires pour les animaux d’élevage." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 163–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2363.

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Abstract:
Les ressources alimentaires sont au cœur de la plupart des enjeux de durabilité auxquels font face les systèmes d’élevage. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales fait le point sur la production et les flux de matières premières végétales dans le monde, l’Union Européenne et la France, et sur quelques questions relatives aux coproduits et à l’autonomie protéique, à l’évaluation des ressources alimentaires, à l’efficience de leur conversion par les animaux et à l’impact environnemental des aliments.
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GELLIN, J., and H. LEVÉZIEL. "Stratégie d’établissement des cartes géniques des espèces d’élevage." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 281–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4305.

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Abstract:
Au sein des différents pays impliqués dans les programmes de la CEE (BRIDGE et BIOTECH), la structure de recherche française est sans doute à l’heure actuelle, par le nombre de chercheurs, par l’ensemble des secteurs méthodologiques couverts, et par l’ensemble des soutiens dont elle dispose au niveau du Département de Génétique Animale, le regroupement le plus important travaillant sur la cartographie génique des porcs et des bovins. L’activité essentielle de cartographie chez les porcins et les bovins sera de définir, le long du génome, un certain nombre "d’étiquettes" (des microsatellites) permettant d’établir un premier réseau de marques génétiques espacées de 20 cM dont certains seront localisés précisement sur les chromosomes. Cette connaissance recueillie sur le génome sera intégrée aux analyses quantitatives actuelles grâce la mise en oeuvre de nouveaux concepts d’analyse génétique (programme INRA : PRODIGE-MMM). Elle permettra une évolution précoce des génotypes, une amélioration des méthodes d’identification des animaux et de vérification des filiations, la mise en évidence de régions du génome intervenant dans la variabilité de caractères quantitatifs (QTL), une appréciation de la diversité génétique des races. Les connaissances obtenues seront également utiles à la compréhension de certains aspects du génome humain, notamment le séquençage de eDNAs et la recherche de QTL difficile à étudier directement chez l’homme.
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MESCHY, F., C. JONDREVILLE, J. Y. DOURMAD, A. NARCY, and Y. NYS. "Maîtrise des rejets de phosphore dans les effluents d’élevage." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 30, 2008): 79–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3378.

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Abstract:
La maîtrise des rejets de phosphore (P) dans les déjections animales passe par une meilleure connaissance des besoins des animaux et de l’utilisation de l’apport alimentaire de P. Les méthodes d’étude sont un peu différentes chez les animaux monogastriques (porcs et volailles) ou les ruminants. En règle générale, la détermination des besoins repose sur une démarche factorielle (estimation des dépenses d’entretien et de production) ; toutefois, une méthode plus globale peut être appliquée chez les monogastriques (optimisation de la minéralisation osseuse). L’intégration des connaissances a permis de préciser les systèmes, l’expression des besoins (et des apports) passant de P total à P digestible apparent (porcs) ou absorbé réel (ruminants). L’évaluation de l’efficacité digestive de l’apport alimentaire de P nécessite, chez le monogastrique, la prise en compte de l’utilisation du phosphore phytique. Cette dernière peut être très différente selon l’activité phytasique propre des constituants du régime, l’utilisation de phytases microbiennes et l’éventuelle dénaturation des phytases lors de la granulation des aliments. Pour ces raisons, deux valeurs de P digestible apparent (activité phytasique intacte ou dénaturée) figurent dans les tables INRA-AFZ ; de plus des équations sont proposées pour tenir compte de l’incorporation de phytase microbienne. Pour les ruminants, la compilation des données de la littérature a permis d’établir un coefficient d’absorption réelle de P pour les grandes catégories d’aliments (phosphates concentrés et fourrages). Ces démarches, en permettant une meilleure adéquation des apports aux besoins doivent se traduire par une réduction substantielle des rejets de phosphore dans les effluents d’élevage.
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F.Z, Laabouri, Guerouali A., Alali A. S., and Maghfoul M. "Modèles D’estimation De L’émission Du Méthane Entérique Des Animaux D’élevage Au Maroc." European Scientific Journal, ESJ 14, no. 6 (February 28, 2018): 102. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n6p102.

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Abstract:
Enteric CH4 emissions have been of great scientific interest as they represent a real energy loss for livestock and are also responsible for global warming. The objective of this study is to measure enteric methane emissions in farm animals, and then develop models for estimating quantities emitted based on the amount of dry matter ingested (MSI). Holstein cows (n = 38) received dietary rations of 50% forage and 50% feed concentrate, and a linear regression model was developed to predict CH4 production per animal (g). CH4 (animal / day) from the amount of dry matter ingested and the equation obtained was as follows: Y = 19.05X. Here, Y is the amount of CH4 (g CH4 / cow / day) and X is the amount of ingested dry matter (kg), with R² = 0.91, r = 0.97, and RMSPE = 5.53%. For small ruminants (n = 22), three dietary levels were used and methane production was measured. In addition, the equation obtained was: Y = 12.21 X with R² = 0.81, r = 0, 91 and RMSPE = 15.80%. In camelins (n = 12) and equines (n = 10), only one food level was used and methane measurements did not develop an estimation model. However, mean values of methane production were determined and they corresponded to 11.41 g CH4 / kg MSI in camels and 2.18 g CH4 / kg MSI in horses.
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ROGEL-GAILLARD, Claire. "LE MICROBIOTE INTESTINAL : UN COMPARTIMENT BIOLOGIQUE À EXPLORER CHEZ LES ANIMAUX D’ÉLEVAGE." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France, no. 1-3 (2014): 131. http://dx.doi.org/10.4267/2042/53808.

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Mourot, Jacques. "La composition en acides gras des animaux d’élevage peut-elle être améliorée ?" Pratiques en nutrition 12, no. 48 (October 2016): 29–33. http://dx.doi.org/10.1016/j.pranut.2016.09.009.

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LASSEUR, J., and E. LANDAIS. "Mieux valoriser l’information contenue dans les carnets d’agnelage pour évaluer des performances et des carrières de reproduction en élevage ovin-viande." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (February 28, 1992): 43–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4221.

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Abstract:
S’appuyant sur l’exemple de l’étude d’une exploitation d’élevage ovin-viande du Sud de la France, les auteurs proposent une méthode rétrospective d’analyse des performances de reproduction utilisant l’information contenue dans les carnets d’agnelage, documents largement utilisés par les éleveurs français. Différents modes d’organisation de cette information permettent de développer trois volets d’étude complémentaires :- l’analyse de l’évolution saisonnière et interannuelle des performances de reproduction à l’échelle du troupeau ;- l’analyse de la variabilité intra-troupeau des performances individuelles (précocité, aptitude au désaisonnement, fertilité, régularité, prolificité, longévité), qui débouche sur une caractérisation globale des carrières des brebis ;- l’analyse combinée, qui associe les deux volets d’étude précédents, et qui permet de rendre compte des rythmes de reproduction, lesquels résultent des interactions entre les variations du milieu d’élevage et les comportements individuels des animaux. Le développement de ce type d’étude et son application à des systèmes d’élevage variés pourrait permettre de déboucher sur des conclusions opératoires en termes de conduite des troupeaux et peut-être de choix du matériel génétique.
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