Academic literature on the topic 'Anglais (langue) – Québec (Canada)'

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Journal articles on the topic "Anglais (langue) – Québec (Canada)":

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Braën, André. "La Cour suprême et l’accès à l’école anglaise au Québec." Revue générale de droit 35, no. 3 (November 10, 2014): 363–402. http://dx.doi.org/10.7202/1027261ar.

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Abstract:
L’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés confère aux parents qualifiés le droit constitutionnel de faire instruire leurs enfants aux niveaux primaire et secondaire dans la langue de la minorité de langue officielle de la province qu’ils habitent. La Cour suprême du Canada a récemment statué à l’encontre de trois pourvois relatifs à l’accès à l’école anglaise au Québec. La Cour devait, entre autres, vérifier si réserver l’accès à l’école anglaise aux seuls ayants droit définis dans la Charte de la langue française ne constituait pas une discrimination illicite à l’endroit des parents de la majorité francophone et donc, contrevenait à leurs droits à l’égalité et si, pour se qualifier, un parent ou un enfant devait avoir reçu en anglais la majeure partie de son enseignement primaire ou secondaire. L’auteur analyse et commente ces décisions et évalue leur impact aux plans québécois et canadien.
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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Amyot, Michel, Mireille Baillargeon, Claire Benjamin, Jean-François Lachapelle, Yolande Lavoie, Robert Maheu, Victor Piché, and Michel Robillard. "La situation démographique du Québec à l’heure du référendum." Articles 9, no. 3 (October 27, 2008): 97–114. http://dx.doi.org/10.7202/600831ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’article présente la situation démographique du Québec à l’heure du référendum en resituant son évolution dans le contexte démographique du Canada et des pays industrialisés. Le Québec et le reste du Canada constituent deux entités démo-linguistiques qui se différencient de plus en plus et qui se réfèrent chacune à un territoire bien délimité. Le premier, sous l’effet de la Charte de la langue française (mesure gouvernementale favorisant l’épanouissement de cette langue au Québec), devrait devenir de plus en plus français dans la composition de sa population comme dans sa langue de travail, des communications et de l’affichage. Le second devrait devenir, quant à lui, de plus en plus anglais par suite de l’assimilation grandissante de ses minorités francophones et de l’apport d’une immigration internationale importante qui vient grossir sa majorité anglophone. La population du Québec, comme celle de la plupart des pays industrialisés, est appelée à connaître une croissance lente et un vieillissement de sa structure par âge, situation qui ne présente pas que des désavantages mais qui implique certaines reconversions. Plus inquiétante sans doute est la perte relative de poids démographique du Québec dans l’ensemble canadien et ses conséquences politiques.
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Lord, Michel, and Nicole Côté. "La nouvelle québécoise et canadienne-anglaise: le spectacle d'une mosaïque." Recherche 39, no. 2-3 (April 12, 2005): 341–62. http://dx.doi.org/10.7202/057211ar.

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Abstract:
Au Canada anglais comme au Canada français, la nouvelle fleurit depuis longtemps, mais de manière apparemment fort divergente, surtout si on l'étudié sous l'angle des représentations spatiales. À la lecture de recueils publiés de 1930 à 1980, on se rend compte que l'effet produit est celui d'une mosaïque. Cela se traduit par des postures esthétiques qui elles-mêmes trahissent des positions existentielles différentes, selon que l'on appartient à un groupe ou à l'autre. Au Québec, la nouvelle problématise souvent le désencrage spatial, la dérive de l'espace lui-même, alors qu'au Canada anglais, lesnouvelliers mettent l'accent sur les mouvements dans l'espace. Ainsi, la nouvelle au Canada serait le lieu privilégié de la dichotomie biculturelle et binationale, la nouvelle de langue française illustrant le drame d'un espace qui échappe à un certain contrôle, alors qu'au Canada anglais, elle donne à voir le caractère insaisissable du Canada front coast to coast. L'imaginaire canadien dévoile une partie de ses secrets à travers le morcellement d'un genre, le texte narratif bref, qui se construit toujours lui-même comme le spectacle d'une mosaïque.
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Hayward, Annette. "La réception de la littérature québécoise au Canada anglais 1900-1940 : le rôle de la traduction." TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no. 1 (July 29, 2003): 17–43. http://dx.doi.org/10.7202/006799ar.

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Abstract:
Résumé La nécessité de fixer des paramètres objectifs pour le projet de recherche CALQ sur la réception de la littérature québécoise au Canada anglais a entraîné entre autres une prise de conscience de la complexité des concepts de « réception », « littérature québécoise » et « Canada anglais ». Cet article, qui s’interroge sur le rôle de la traduction dans cette réception entre 1900 et 1940 – époque importante où la littérature canadienne décide de s’inventer en tant que polysystème conscient – arrive à la conclusion que, pour bien répondre à cette question, il faut problématiser également le sens du mot « traduction ». Il est évident que le rôle de la traduction a été primordial en suscitant de l’intérêt pour la littérature du Québec pendant cette période, comme l’illustrent éloquemment le « phénomène Maria Chapdelaine » et les statistiques de publication. Mais la quantité d’oeuvres non traduites dont il est question dans les périodiques et les manuels littéraires du Canada anglais oblige aussi à reconnaître l’importance d’autres facteurs tels que les « tandems littéraires » biculturels comme Lorne Pierce/Mgr Camille Roy, ainsi que la capacité de l’élite canadienne-anglaise de l’époque de lire des textes littéraires français fort complexes même si elle était souvent incapable de parler la langue. Tout ceci ne minimise en rien, cependant, l’impact idéologique au Canada anglais de la « traduction » : celle de Jean Rivard et de Maria Chapdelaine, bien entendu, mais aussi celle représentée par la poésie de l’habitant de William Henry Drummond ou les manuels d’histoire littéraire de Lorne Pierce, de Vernon Blair Rhodenizer et de Archibald MacMechan.
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Godard, Barbara. "La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais." TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no. 1 (July 29, 2003): 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Abstract:
Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Giroux, Dalie. "Littérature amérindienne du Québec. Écrits de langue française,." Canadian Journal of Political Science 38, no. 2 (June 2005): 490–92. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905239999.

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Littérature amérindienne du Québec. Écrits de langue française,, Maurizio Gatti, (Préface de Robert Lalonde)., Montréal : Hurtubise HMH, 2004, 271 p.Les études littéraires portant sur les écrits amérindiens, en langues amérindiennes et en anglais, constituent depuis maintenant quelques années un champ intellectuel construit et créatif, animé principalement au Canada par les universités du Manitoba et de la Saskatchewan. Emma LaRocque et Thomas King œuvrent notamment depuis une trentaine d'années à rassembler, découvrir, faire connaître et traduire la littérature amérindienne et ses auteurs. Cette littérature s'est d'abord constituée comme une littérature de combat, un travail de décolonisation et de réappropriation (“ reinventing the ennemy's language ”, dira justement LaRocque à propos du passage des langues amérindiennes à l'anglais dans l'histoire de cette littérature), mais aussi comme un travail thérapeutique et comme le témoignage d'une expérience non documentée dans les livres d'histoire officielle. Cette littérature, devenue fiction, poésie, théâtre, humour, travail herméneutique, est maintenant, du moins dans le monde anglo-saxon, le fer de lance de ce qu'il n'est pas exagéré d'appeler la renaissance de la culture amérindienne. Ce corpus effervescent est donc d'un intérêt particulier pour les lecteurs de pensée et de théorie politiques, pour les artisans des cultural studies, pour les canadianistes et, pourquoi pas, pour les résidents de l'Amérique en général.
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Moyes, Lianne. "« Global/Local »." Dossier 30, no. 3 (December 8, 2005): 113–32. http://dx.doi.org/10.7202/011860ar.

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Résumé L’écriture anglo-québécoise a longtemps semblé isolée, tant du Québec de langue française que du Canada anglais. L’auteure propose ici une lecture d’oeuvres de Robyn Sarah, de Mary di Michele et d’Erin Mouré, qui cherchent à éviter un tel repli et qui s’engagent sur une scène globale imbriquée dans le local. Dans ces poèmes, le monde est filtré par des contiguïtés culturelles et religieuses de quartiers spécifiques, des histoires de migration dont certains noms de lieux portent la trace, et du mouvement entre le français, l’anglais et les autres langues de Montréal. Les différences entre les poétiques de ces auteures empêchent toutefois de considérer l’écriture anglo-québécoise comme une catégorie entièrement cohérente.
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Castonguay, Charles. "La répartition des non-répondants à la question sur la langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976." Cahiers québécois de démographie 7, no. 3 (January 7, 2009): 95–107. http://dx.doi.org/10.7202/600771ar.

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RÉSUMÉ Aux Canadiens n’ayant pas répondu à la question sur la langue maternelle au recensement de 1971, Statistique Canada a attribué une langue maternelle déclarée par un membre de leur famille immédiate ou par un voisin habitant le même secteur de dénombrement. Au recensement de 1976, par contre, on n’a effectué aucune attribution de langue aux non-répondants. Pour 1971, rien n’est connu ni sur le résultat du procédé d’attribution, ni sur le taux de non-déclaration de langue maternelle à un niveau autre que fédéral. Nous présentons cependant de nombreuses observations indiquant qu’en 1976 tout au moins, le taux de non-réponse a varié de façon significative selon la région et le groupe linguistique. En particulier, au Québec en 1976 les francophones auraient répondu le plus régulièrement à la question, alors que les groupes linguistiques ni anglais, ni français auraient accusé les taux de non-réponse les plus élevés. En comparant les résultats de 1971 et de 1976 au niveau provincial ou infra-provincial, il convient dès lors d’attribuer aux non-répondants de 1976 une langue maternelle sur une base aussi conforme que possible à la stratégie très locale d’attribution employée pour 1971. Pour suivre l’évolution intercensitaire des compositions linguistiques du Québec ou de Montréal tout particulièrement, il importe que Statistique Canada publie une répartition linguistique des non-répondants de 1976 qui serait obtenue par la même méthode qu’en 1971.
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Lachapelle, Réjean. "Quelques notes à propos de la comparabilité de la composition par langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976." Cahiers québécois de démographie 6, no. 3 (October 27, 2008): 93–136. http://dx.doi.org/10.7202/600749ar.

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RÉSUMÉ Plusieurs raisons inclinent à penser que les compositions par langue maternelle publiées aux recensements de 1971 et de 1976 sont loin d'être comparables. D’abord, il n’est pas invraisemblable que les recensés aient réagi différemment à la question sur la langue maternelle, par suite de changements dans le contexte socio-politique. Ensuite, Statistique Canada n’a pas utilisé les mêmes procédés pour attribuer une langue maternelle aux personnes qui n’en ont pas déclaré. Enfin, les règles de résolution des déclarations multiples de langue maternelle ont changé notablement de 1971 à 1976. Dès lors, nous avons dû corriger les compositions linguistiques de 1976 afin de les rendre approximativement comparables à celles de 1971. Les résultats que nous présentons ne sont évidemment pas définitifs. Nous croyons néanmoins avoir élevé le degré de comparabilité des compositions par langue maternelle des deux derniers recensements. En définitive, il semblerait que de 1971 à 1976 la proportion des personnes de langue maternelle anglaise a augmenté partout au Canada, sauf au Québec où elle a diminué, tandis que la fraction des francophones a régressé partout, sauf au Québec où elle a progressé.

Dissertations / Theses on the topic "Anglais (langue) – Québec (Canada)":

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Miletic, Filip. "An investigation into contact-induced semantic shifts in Quebec English : conciliating corpus-based vector models and variationist sociolinguistic inquiry." Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2022. http://www.theses.fr/2022TOU20034.

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Abstract:
Cette thèse étudie les glissements de sens induits par le contact de langues en anglais québécois, à savoir des mots anglais préexistants utilisés avec un sens différent en raison d’une influence potentielle du français. Nous proposons une approche novatrice à l’intersection du traitement automatique des langues et de la sociolinguistique variationniste, afin de fournir une description exhaustive de ce phénomène ainsi que d’évaluer les contributions des approches sur corpus mises en œuvre ici.Afin d’effectuer des analyses computationnelles de variation sémantique, nous avons constitué un corpus composé de 78,8 millions de tweets de Montréal, Toronto et Vancouver. Le corpus a été utilisé pour mettre en œuvre différents types de modèles vectoriels, à savoir des représentations computationnelles du sens des mots. Les modèles statiques ont permis d’identifier de nouveaux glissements de sens, alors que les modèles contextuels ont permis de caractériser plus finement leurs utilisations. Malgré des résultats prometteurs, ces méthodes sont limitées par le bruit lié à leurs caractéristiques intrinsèques et à la structure du corpus.Ces approches ont été complétées par des données plus fines recueillies au moyen d’entretiens sociolinguistiques avec 15 locuteurs vivant à Montréal. Les corrélations entre les variables linguistiques et différents facteurs sociodémographiques, ainsi que les remarques qualitatives sur leur utilisation, indiquent quatre patterns de variation synchronique ; ceux-ci pourraient à leur tour refléter des processus diachroniques. Par ailleurs, la variabilité inter-locuteurs suggère un rôle important des locuteurs bilingues et plus jeunes dans l'utilisation des glissements de sens. Enfin, les scores d'acceptabilité sont faiblement corrélés avec les mesures computationnelles, ce qui suggère que ceux-ci reflètent d’autres dimensions de variation sémantique.Dans l'ensemble, cette thèse a fourni la première description systématique des glissements de sens en anglais québécois. Elle a également mis en évidence la complémentarité des approches développées dans des disciplines différentes. Ces considérations ouvrent la voie à une utilisation plus avisée des méthodes computationnelles basées sur corpus dans des études de phénomènes sociolinguistiques
This dissertation investigates contact-induced semantic shifts in Quebec English, i.e., preexisting English words which are used with a different meaning due to the potential influence of French. I propose a novel approach at the intersection of natural language processing and variationist sociolinguistics, aiming to provide a more comprehensive descriptive account as well as assess the contributions of the implemented methods.In order to conduct computational analyses of semantic variation, I created a corpus containing 78.8 million tweets from Montreal, Toronto, and Vancouver. It was used to implement different types of vector space models, i.e., computational representations of word meaning. Type-level models were used to identify new semantic shifts based on the semantic differences between Montreal and the other two cities. Token-level models were used in finer-grained analyses and allowed to further characterize their use. Despite promising results, systematic quantitative evaluation and extensive qualitative analyses suggest that these methods are hampered by noise related to their inherent characteristics as well as corpus structure.These large-scale approaches were complemented with finer-grained data collected through sociolinguistic interviews with 15 speakers living in Montreal. Varying correlations between lexical items and a range of sociodemographic factors, coupled with qualitative remarks on their use, point to four distinct patterns of synchronic variation; these in turn reflect potential diachronic processes. Interspeaker variability suggests that the use of semantic shifts is driven by speakers who tend to be younger and proficient in both English and French. The acceptability ratings are weakly correlated with computational variation measures, suggesting that they capture different dimensions of semantic variation.Overall, this dissertation has provided the first systematic description of contact-induced semantic shifts in Quebec English, and highlighted the complementarity of approaches used in different disciplines. These considerations have provided a pathway towards a better-informed use of corpus-based computational methods in studies of sociolinguistic phenomena
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Planchon, Cécile. "Avec ou sans équivalent ˸ le poids de la définition dans une analyse lexicométrique des anglicismes." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2019. http://www.theses.fr/2019USPCA009/document.

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Abstract:
Cette étude repose sur l’influence empirique d’un changement de paradigme définitoire sur l’utilisation des anglicismes dans la presse écrite francophone. Construite autour d’une opposition entre anglicismes en général, anglicismes avec équivalent en français et anglicismes sans équivalent, elle analyse en diachronie (2000-2015) les nombreuses différences liées au changement de définition ainsi qu’à ses retombées sur des analyses comparatives portant sur l’origine géographique (France-Québec) et la nature (« de référence » ou « populaire ») du journal. Fort de plus de 330 millions de mots, notre corpus regroupe les publications de 2000 à 2015 de quatre quotidiens différents: Le Monde et Le Parisien pour la France, Le Devoir et La Presse pour le Québec. De plus, les listes témoins, l’une de 5 416 anglicismes et l’autre de 2 934, formées à l’aide de deux dictionnaires de langue générale (Le Petit Robert 2016 et Le Multidictionnaire de la langue française-4e édition 2013) et deux dictionnaires spécialisés (Le Dictionnaire des anglicismes de Höfler et Le Colpron, dictionnaire des anglicismes-4e édition) de France et du Québec. Premièrement, les résultats que nous obtenons montrent qu’en général, la fréquence d’utilisation est faible (0,72% pour tous les anglicismes ; 0,28% pour les anglicismes avec équivalents ; 0,44% pour les anglicismes sans équivalent) que ce soit en France ou au Québec, ce qui est plutôt conforme aux conclusions des études précédentes. Il y a cependant des différences quant aux résultats obtenus pour chaque analyse étant donné que le taux d’anglicisme est une fois et demi plus faible selon que l’on considère qu’un anglicisme doit avoir un équivalent ou non. Cela montre que la définition du concept d’« anglicisme » a un impact incontestable sur la fréquence affichée. Deuxièmement, nous observons que ce changement de définition influe également sur des critères d’analyse spécifiques tels la diatopie ou la nature des journaux
This study addresses the impact of a definition paradigm shift on the use of anglicisms in the French-speaking written press. Built around a diachronic analysis (2000-2015) of the numerous differences linked to a change of definition, it also ventures into the impact such a change may have on comparative analysis focusing on geographical origin (France vs Quebec) or the nature of the newspaper (“of record” vs “popular”). It aims at contributing to the literature though two different aspects:(1) This study is the only conceptual work to highlight what sort of impact a change in the definition of “English borrowing” can have on the frequency of anglicism usage. It shows through an opposition with/without French equivalents, that an analysis focused only on anglicisms for which French provides an equivalent – those Forest and Boudreau (1998) consider “unnecessary” or “erroneous” (Villers, 2009) – reveals an important drop in the usage frequency compared to an analysis based on all anglicisms. It also unveils that, out of three anglicisms extracted from my corpus, two have no equivalents in French and are de facto unavoidable.(2) This research is, to my knowledge, one of the first in comparative study to show, with empirical evidence, how definition affects not only usage frequency, but also dictates the way newspapers develop over time depending on different criterion. Based on two different angles of comparison (geographical origin and nature of the journal), I also show that a change in the definition leads to different evolution trajectories, different relationships between our newspapers and different diachronic variations. To answer my research questions, I built one of the largest corpora ever used for a study on anglicisms. With more than 330 million words, it gathers all the articles published by four different newspapers for the years 2000, 2005, 2010 and 2015: Le Monde and Le Parisien for France, and Le Devoir and La Presse for Quebec. I also used two lists of keywords composed of 5416 and 2934 anglicisms taken from two general dictionaries (Le Petit Robert 2016 and Le Multidictionnaire de la langue française–4th edition 2013) and two specialized dictionaries (Höfler’s Dictionnaire des anglicismes–1982 and Le Colpron, dictionnaire des anglicismes–4th edition). By going far beyond what previous studies have done, it offers a more advanced overview than usual.First, my results show that the usage frequency is generally low (0.72% for all anglicisms; 0.28% for anglicisms with equivalents only; 0.44% for anglicisms without equivalents only) both in France and Quebec, which is consistent with the findings of previous studies. However, I find clear differences in terms of results for each analysis, as the frequency rate for anglicisms with equivalents is 1.5 times lower than the frequency rate for anglicisms without equivalent. This proves that the definition of the very concept of “anglicism” directly influences the frequency of usage. Second, I observe that this change of definition also affects comparative analysis focused on specific criteria such as the geographical origin or the nature of the newspapers. My study thus reveals great nuances in terms of trend over 15 years according to which definition is used: for instance, results for Quebec newspapers are slowly decreasing over time when anglicisms with equivalents are concerned, – especially for Le Devoir, whereas they increase when anglicisms do not have an equivalent. When it comes to the nature of the newspaper, Le Parisien, which is the newspaper that uses the most anglicisms of the four, forms a much more heterogeneous duo with La Presse when only anglicisms with equivalents are taken into account. They also give prominence to Le Devoir and Le Monde whose evolution trends are close to identical when the broader definition of Anglicism is used but a bit more asymmetric when equivalents come into play
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Djiecheu, Yannick. "Cultures éducatives et traditions d’enseignement des langues officielles au Canada : Analyses de textes officiels, de manuels et de témoignages d’enseignants en Ontario et au Québec." Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030017.

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Abstract:
Fondée sur le postulat qu’en didactique des langues, les pratiques pédagogiques se trouvent profondément marquées par la variation, la présente recherche pose que ces variations et leurs facteurs s’expliquent par des cultures éducatives et linguistiques divergentes en présence. A travers l’analyse comparée de textes officiels, de manuels et de témoignages d’enseignants au Canada, on se propose d’illustrer la thèse selon laquelle des traditions d’enseignement différentes pour le français et l’anglais enseignées comme langues secondes peuvent émerger dans les discours sur l’enseignement des langues secondes dans ce pays. Ces traditions viendraient ainsi y poser la question d’une culture éducative et didactique commune et partagée
Starting from the premise that practical language teaching is deeply characterized by variations,this research suppose that face to face and divergent educational and linguistic cultures canexplain these variations and their factors. Through a comparative analysis of Canadian officialtexts, textbooks and teachers’ discourses, we aim to show that divergent teaching traditionsbetween French and English as second language can appear in the discourses about secondlanguage teaching in this country. In this way, these traditions could ask the question about acommon and shared educational and teaching culture in Canada
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Duc, Edouard. "La langue française dans les relations entre le Québec et la France (1902-1977) : de la "survivance" à l’unilinguisme français au Québec." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040067.

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Abstract:
Les relations entre le Québec et la France se cristallisent spontanément, avec vigueur et de manière indispensable pour les deux pays, autour du thème de la langue française. Omniprésentes au Québec, les problématiques en matière de langue se retrouvent dans le domaine de la religion, de la politique, de l’enseignement, de l’édition, de la presse, du cinéma, du théâtre, de la chanson, de la radio, de la télévision, comme éléments constitutifs d’une nation, d’une identité culturelle. Un tel sujet prend en considération tous les francophones qui, au Canada, sont réunis à plus de 80 % dans l’État du Québec. Les querelles linguistiques sont très présentes, et si la question est sérieuse, elle recouvre généralement une sensibilité réciproque Québec- France. Notre recherche s’étend de la fin du XIXe siècle à 1977. Elle concerne autant les discours, pensées et prises de position sur la langue française que sa propre évolution, sa transmission, sa représentation, au coeur des relations franco-québécoises et de la francophonie. L’histoire très particulière liant ces deux régions du monde, unique parmi les nombreux pays francophones, doit faire d’eux un tandem moteur de la promotion et de la diffusion de la langue française au sein de la francophonie et dans le monde
The relations between Quebec and France are naturally and strongly interwoven by the question of language. Omnipresent in Quebec, issues about language are to be found in many themes, in religion, politics, education, publishing, the press, cinema, theatre, songs, radio and television ; they are essential to the nation’s cultural identity. Our subject deals with the French-speaking populations in France and Canada. 80 % of French Canadians are found in the province of Quebec. The linguistic problems are prominent and generally trigger a mutual sensitivity between Quebec and France. Our search begins at the end of nineteenth century and finishes in 1977, and is concerned with speech, thinking and opinions on French language, along with its evolution, transmission and representation at the heart of the relations between Quebec and France and French-speaking communities. The particular and unique history between these regions makes them the driving force behind the promotion and the spreading of French in the French-speaking communities and in the world
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Hébert, Virginie. "Clé d'ouverture sur le monde ou langue de Lord Durham? Analyse de cadrage du débat public sur l'enseignement intensif de l'anglais, langue seconde, au Québec." Doctoral thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/66886.

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Abstract:
Cette thèse étudie le rôle joué par le mythe de l’anglais, langue universelle dans le cadrage du débat sur l’enseignement intensif de l’anglais au Québec, une problématique liée à l’enjeu sociopolitique de la question linguistique au Québec. Les théories du cadrage suggèrent que les différentes catégories d’acteurs (politiques, médiatiques et citoyens) « cadrent » les évènements en privilégiant certaines définitions des enjeux sociaux, influençant ensuite les perceptions qu’ont les individus de ces enjeux. Toutefois, pour être efficaces et mobilisateurs, les cadres doivent parvenir à « toucher une corde sensible ». Ils doivent faire écho à certains mythes ou récits historiques culturellement partagés (Snow et Benford, 1988). Or, du fait de son hégémonie à travers le monde, des chercheurs qualifient de « mythe » le discours qui fait de l’anglais la langue universelle et affirment qu’il joue un rôle stratégique dans le cadrage des enjeux linguistiques à travers le monde. Considérant le contexte sociolinguistique unique du Québec, où le français et l’anglais cohabitent et se concurrencent depuis longtemps, on peut se demander comment ce mythe influe sur la manière de cadrer ces enjeux. Dans certains débats entourant l’enseignement de l’anglais au Québec, on observe une tension entre deux manières de cadrer l’anglais : certains le décrivent comme une « clé d’ouverture sur le monde », promesse de réussite individuelle et de mobilité socioéconomique ; d’autres, au contraire, le voient comme la « langue de Lord Durham », une langue dominatrice dont l’expansion, particulièrement dans le contexte québécois, menace la langue française et le sentiment identitaire. La thèse porte plus précisément sur le cadrage du débat public ayant entouré l’annonce d’une mesure d’enseignement intensif de l’anglais, entre février 2011 et 2015. Elle pose la question du rôle joué par le mythe de l’anglais, langue universelle dans ce débat. Réalisée selon un devis méthodologique mixte en trois phases, la recherche débute par une enquête historique qui trace la généalogie des cadres ayant balisé les débats sur l’enseignement de l’anglais au Québec. Dans un second temps, une analyse qualitative permet de répertorier et de décrire les mécanismes de cadrage et de raisonnement qui composent les différents cadres. Enfin, une analyse quantitative de contenu automatisée permet de valider leur présence sur un plus vaste échantillon de textes et de mesurer l’ampleur de leur mobilisation. Les résultats soulignent, d’une part, la nature centrale et polarisante de l’enjeu de l’enseignement de l’anglais dans l’histoire québécoise et montrent qu’il constitue le terrain d’un affrontement idéologique dont la signification le dépasse. Si l’on constate une faible dominance du métacadre globalisant, on voit que cette perspective instrumentale et universalisante n’est pas le propre des récents débats, mais qu’elle s’exprime tout au long de la trame historique québécoise. La thèse permet également de constater la force et la résilience du métacadre nationalisant, particulièrement chez les acteurs citoyens, cela même si l’on observe les signes d’un déclin du mythe de l’anglais, langue de Lord Durham. Enfin, elle montre que, dans le débat québécois sur l’enseignement de l’anglais, le mythe de l’anglais, langue universelle procure un effet de résonance culturelle aux cadres qui le mobilisent. Il permet aux acteurs d’ancrer leur argumentaire dans un récit historique largement partagé et véhicule un certain éthos communicationnel. Il fournit ainsi une grille d’évaluation morale de l’enjeu qui permet de légitimer la position dominante de l’anglais dans le monde et, par le fait même, de justifier l’adoption de politiques favorisant son enseignement. Enfin, la thèse répond au besoin, soulevé par certains chercheurs, d'études qui prennent en compte les dimensions culturelle, sociopolitique et idéologique du processus de cadrage (Oliver et Johnston, 2000). Elle contribue de plus à une meilleure compréhension du rôle des mythes dans ce processus et met en lumière les dynamiques de pouvoir qui concourent à l’émergence, à la montée en puissance, puis à la dominance de certains cadres. En outre, la thèse contribue à éclairer la manière dont se construit et s’articule localement le discours sur l’anglais comme langue mondiale. En combinant de façon unique certains concepts et méthodes d’horizons divers, l’approche méthodologique mixte privilégiée permet ainsi de poser un regard multidimensionnel sur un phénomène complexe et difficile à cerner.
This dissertation studies the role played by the Myth of English as the global language in framing the debate on the intensive teaching of English in Quebec; a notion closely related to Quebec's language issue. Framing theories suggest that different actors (political, media and citizens) "frame" events by favoring certain definitions of social issues, which later influence how individuals perceive these issues. However, to be effective and mobilizing, frames must “strike a chord”. They must resonate culturally with shared historical narratives or myths (Snow and Benford, 1988). In this sense, due to its hegemony around the world, some researchers describe the discourse that constructs English as the universal language as a "myth". They also suggest that this myth plays a strategic role in framing linguistic issues around the world. In the unique sociolinguistic context of Quebec, where the French and English languages have coexisted and competed for a long time, we may wonder how this myth influences the framing of linguistic issues. In some debates surrounding the teaching of English in Quebec, we do observe a tension between two ways of framing English: some describe it as a “key to opening up to the world”, a promise of individual success and social mobility; on the other hand, others see it as the "language of Lord Durham", a dominating language whose expansion, particularly in the Quebec context, threatens the French language and the feeling of collective identity. The dissertation focuses on the framing of the public debate surrounding the announcement of a mandatory intensive English program policy, between February 2011 and 2015 in Quebec. It raises the question of the role played by the Myth of English as the global language in this debate. Using a three-phase mixed methods research design, the dissertation begins with a historical survey tracing the genesis of the frames and myths emerging from different public debates on the teaching of English. In a second step, a qualitative analysis allows us to list the different frames and describe framing and reasoning devices that compose them. Finally, a quantitative automated content analysis of documents from sources involved in the debate helps validate and measure the frames’ presence in this public debate. The results underline the central and polarizing nature of the issue of the teaching of English as a second language in Quebec history and show that it represent a terrain for a long-lasting ideological struggle. We observe a weak dominance of the globalizing master frame and we also note that this instrumental and universalizing perspective is not specific to recent debates, but that it is rather expressed throughout Quebec's history. The study also shows the strength and resilience of the nationalizing master frame, particularly among citizens involved in the debate, even though we observe signs of a decline of the myth of English as Lord Durham’s language. Finally, it shows that, in the Quebec debate on the teaching of English, the myth of English as the global language, provides a cultural resonance effect to the frames which mobilizes it. It allows actors to anchor their arguments in a widely shared historical narrative and conveys a certain communication ethos. It thus provides a moral evaluation grid of the issue which makes it possible to legitimize the dominant position of English in the world and, by the same token, to justify the adoption of policies favoring its teaching. The thesis responds to the need, raised by some researchers, for studies that take into account the cultural, socio-political and ideological dimensions of the framing process (Oliver and Johnston, 2000). It also contributes to a better understanding of the role of myths in this process and highlights the power dynamics that contribute to the emergence, the rise in power, and then the dominance of certain frames. In addition, the thesis helps to shed light on the understanding of how discourse on English as the global language is constructed and articulated locally. By uniquely combining certain concepts and methods from various research traditions, the favored mixed methodological approach offers a multidimensional look to the complex phenomenon of framing and helps to better understand its process.
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Paquet-Gauthier, Myriam. "Sens influencés de l'anglais en français au Québec : utilisation, perception et intégration." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26506.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016
Cette recherche porte sur le phénomène de l'influence sémantique de l'anglais sur le français au Québec. Nous nous intéressons en particulier à la relation entre la perception qu'ont les locuteurs québécois de sens influencés de l'anglais et les conditions d'utilisation et d'intégration de ces sens à la signification lexicale en français. Cette question est abordée à travers l'étude de 19 unités lexicales traditionnellement considérées comme des emprunts sémantiques à l'anglais. Suivant une double analyse menée sur un corpus lexicographique composé de 61 ouvrages et sur un corpus de productions authentiques appartenant à différents types de discours d'un volume total de 427,5 millions d'occurrences-mots, il apparaît que le facteur principal permettant à un sens « étranger » d'être utilisé en français n'est pas lié exclusivement à la ressemblance formelle entre les unités lexicales en français et en anglais, mais est plutôt d'ordre sémantique. Le degré d'intégration de ce sens « étranger » à la signification lexicale dépend de la perception, par les locuteurs, d'une communauté de sens entre celui-ci et les autres acceptions de l'unité lexicale.
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Elkouby, Yéhochoua-Josué. "L'exploration de la langue publicitaire et la description analytique des éléments qui la composent." Paris 3, 1990. http://www.theses.fr/1990PA030070.

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Abstract:
C'est une enquete linguistique menee a travers la presse francophone du canada et particulierement du quebec sur les traits caracteristiques de la langue publicitaire et les elements qui composent cette derniere, du point de vue morphologique, syntaxique et lexical, avec des preuves a l'appui
This thesis is a linguistic stydy of the character traits of advertising language and its elements undertaken from a morphological, syntaxical and lexical point of view with numerous actual examples taken from the canadian francophone media in general and that of quebec in particular
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Tremblay, Alice, and Alice Tremblay. "L'emprunt de « fuckin' » en français québécois parlé à Montréal : un cas d'infixation." Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/39091.

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Abstract:
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
Cette étude établit le statut d’infixe de l’emprunt fuckin’ en français québécois parlé à Montréal. L’infixation de fuckin’ est un phénomène bien connu en anglais, mais qui n’a fait l’objet d’aucune étude approfondie en français du Québec jusqu’à maintenant. Une analyse de 1200 tweets du français parlé à Montréal et de près de 1000 tweets de l’anglais a permis de décrire et de quantifier les usages de fuckin’ pour la zone géographique à l’étude. Cette analyse révèle que la grammaticalisation de fuckin’ est en cours en français parlé à Montréal et que les usages morphologiques de fuckin’ ont bel et bien intégré cette variété de français. Pour mieux explorer le phénomène en question en synchronie, cette contribution compare les usages de fuckin’ en français avec ses usages en anglais. La comparaison des deux corpus de tweets indique que l’infixation n’est pas plus ancrée dans l’usage en anglais qu’en français et que le statut de l’infixation est similaire dans les deux langues, du moins à Montréal. Il semble cependant que le processus d’infixation diffère, entre autres en raison de la structure accentuelle différente de l’anglais et du français.
Cette étude établit le statut d’infixe de l’emprunt fuckin’ en français québécois parlé à Montréal. L’infixation de fuckin’ est un phénomène bien connu en anglais, mais qui n’a fait l’objet d’aucune étude approfondie en français du Québec jusqu’à maintenant. Une analyse de 1200 tweets du français parlé à Montréal et de près de 1000 tweets de l’anglais a permis de décrire et de quantifier les usages de fuckin’ pour la zone géographique à l’étude. Cette analyse révèle que la grammaticalisation de fuckin’ est en cours en français parlé à Montréal et que les usages morphologiques de fuckin’ ont bel et bien intégré cette variété de français. Pour mieux explorer le phénomène en question en synchronie, cette contribution compare les usages de fuckin’ en français avec ses usages en anglais. La comparaison des deux corpus de tweets indique que l’infixation n’est pas plus ancrée dans l’usage en anglais qu’en français et que le statut de l’infixation est similaire dans les deux langues, du moins à Montréal. Il semble cependant que le processus d’infixation diffère, entre autres en raison de la structure accentuelle différente de l’anglais et du français.
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Sayilov, Emil. "La néologie lexicale (depuis 1960) et son actualisation en français du Québec." Thesis, Strasbourg, 2012. http://www.theses.fr/2012STRAC029.

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Abstract:
Marqué par l’afflux des emprunts d’origine anglaise jusqu’à « La Révolution tranquille », l’état de la néologie lexicale québécoise reste aujourd’hui à découvrir. C’est dans cette optique que cette étude cherche à situer la néologie lexicale québécoise à partir d’un corpus des mots récents dont l’analyse démontre que la néologie lexicale québécoise connaît des sources d’enrichissement variées et que sa productivité est différente suivant le type, procédé de formation, origine, etc. du néologisme. Afin de mesurer l’efficacité de la néologie lexicale québécoise, elle s’intéresse également à son actualisation, c'est-à-dire, à sa reconnaissance et fréquence d’usage dans la langue à travers un sondage linguistique réalisé au Québec.Ce travail ouvre des perspectives pour une étude comparée des susdits aspects de la néologie lexicale québécoise avec le français de France
Marked by the influx of English borrowings until “The Quiet Revolution”, the state of the lexical neologisms in Quebec French today has yet to be researched. In this context, this study seeks to classify lexical neologisms in Quebec French taken from a corpus of words which was recently analyzed and shows that Quebec lexical neologisms have varied sources of enrichment and their difference in productivity dependent on their type, formation process, origin, etc. In order to measure the effectiveness of lexical neologisms in Quebec French, this paper is also interested in its actualization that is its recognition and frequency of use in the language monitored in a linguistic survey conducted in Quebec.This work provides news perspectives and ideas for a comparative study on the aforementioned aspects of lexical neologisms in Quebec French and the French language of France
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Guay, Thérèse. "L'adaptation orthographique des anglicismes lexématiques au Québec, perspective historique." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2000. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ49098.pdf.

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Books on the topic "Anglais (langue) – Québec (Canada)":

1

Pellerin, Jean. Pour l'amour de la langue française au Québec et au Canada. Montréal, Qué: Guérin, 1998.

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2

Chouinard, Camil. 1500 pièges du français écrit et parlé au Québec et au Canada. 3rd ed. Montréal: Éditions La Presse, 2007.

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3

Chouinard, Camil. 1300 pièges du français parlé et écrit au Québec et au Canada. Montréal, PQ: Libre expression, 2001.

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4

Marchand, Jean-Paul. Maudits Anglais!: Lettre ouverte aux Québécois d'un Franco-Ontarien indigné. Montréal: Stanké, 1989.

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5

Marchand, Jean-Paul. Maudits Anglais!: Lettre ouverte aux Québécois d'un Franco-Ontarien indigné. [Montréal]: Stanké, 1989.

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Fragua, Elizabeth. Lexique de Sport Canada: Sport Canada glossary [electronic resource]. Ottawa, Ont: Bureau de la traduction = Translation Bureau, 2005.

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Martel, Marcel. Langue et politique au Canada et au Québec: Une synthèse historique. MontrealQuebec: Boréal, 2010.

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Drolet, Mario. Lexique de Passeport Canada: Passport Canada glossary [electronic resource]. Ottawa, Ont: Bureau de la traduction = Translation Bureau, 2006.

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9

Bercuson, David Jay. Goodbye ... et bonne chance!: Les adieux du Canada anglais au Québec. Montréal, Qué: Éditions du jour, 1991.

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10

Marmen, Louise. Les langues au Canada: Recensement de 1996 = Languages in Canada : 1996 census. Ottawa: Patrimoine canadien, 1999.

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Book chapters on the topic "Anglais (langue) – Québec (Canada)":

1

Lüsebrink, Hans-Jürgen. "Politique de la langue, défense du français et variétés linguistiques dans le discours du Premier Congrès de la Langue Française au Canada (Québec 1912)." In Français du Canada – Français de France VIII, 255–68. Berlin, New York: Walter de Gruyter, 2009. http://dx.doi.org/10.1515/9783110231045.255.

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2

"L’ÉDUCATION DES MINORITÉS DE LANGUE OFFICIELLE AU CANADA." In Le rapport à l’identité des jeunes des écoles de langue anglaise au Québec, 159–74. Presses de l'Université Laval, 2019. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1g2463z.10.

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3

"L’ÉTUDE DES MINORITÉS DE LANGUE OFFICIELLE AU CANADA." In Le rapport à l’identité des jeunes des écoles de langue anglaise au Québec, 1–16. Presses de l'Université Laval, 2019. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1g2463z.4.

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4

"L’Étude des Minorités de Langue Officielle au Canada." In Le rapport à l’identité des jeunes des écoles de langue anglaise au Québec, 1–16. Les Presses de l’Université de Laval, 2019. http://dx.doi.org/10.1515/9782763735412-002.

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"L’Éducation des Minorités de Langue Officielle au Canada." In Le rapport à l’identité des jeunes des écoles de langue anglaise au Québec, 159–74. Les Presses de l’Université de Laval, 2019. http://dx.doi.org/10.1515/9782763735412-008.

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"Frank Au Ciel De Québec." In Le Canada Anglais De Jacques Ferron (1960-1970), 329–92. Les Presses de l’Université de Laval, 2011. http://dx.doi.org/10.1515/9782763709598-012.

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7

Pruvost, Jean. "« Nouvelle-France », « Canada », « Québec » : parcours lexicographique du Grand Siècle au siècle des philosophes." In les dictionnaires de la langue française au québec, 161–98. Les Presses de l’Université de Montréal, 2008. http://dx.doi.org/10.1515/9782760625228-006.

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LAXER, Emily, Jeffrey G. REITZ, and Patrick SIMON. "L’intégration civique et politique des musulmans en France, au Québec et au Canada anglais :." In Étudier la religion au Québec : regards d’ici et d’ailleurs, 569–600. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p14s.34.

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Côté, Myriam, and Geneviève Joncas. "Éléments de bibliographie : les dictionnaires de la langue française au Canada français et au Québec du xviiie siècle à aujourd’hui." In les dictionnaires de la langue française au québec, 411–29. Les Presses de l’Université de Montréal, 2008. http://dx.doi.org/10.1515/9782760625228-015.

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King, Jason. "Thomas Quinn, ‘Une voix d’Irlande’, in Premier Congrès de La Langue Français au Canada. Québec 24–30 Juin 1912 (Québec, 1913), pp. 227–232. Translated by Jason King." In The History of the Irish Famine, 260–63. Routledge, 2018. http://dx.doi.org/10.4324/9781315513690-25.

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