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1

Paulhiac, Florence. "Les formations en aménagement du territoire en France. Le lieu et la manière." Géographes associés 26, no. 1 (2002): 125–36. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.2002.2229.

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Wilkin, Bernard. "L’impérialisme britannique vu par la Gazette des Ardennes durant la Première Guerre mondiale." Revue Historique des Armées 269, no. 4 (December 1, 2012): 26–35. http://dx.doi.org/10.3917/rha.269.0026.

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Abstract:
La France et la Belgique occupées sont, durant la Première Guerre mondiale, l’objet d’une propagande intensive orchestrée par l’autorité allemande. Le journal le plus important est sans aucun doute la Gazette des Ardennes dont le rayonnement s’étend jusqu’en territoire libre. Cet organe pamphlétaire utilise la politique étrangère de la Grande-Bretagne comme thématique principale. L’hostilité historique avec la France ainsi que la politique coloniale agressive sont utilisées sans modération afin de modeler l’image d’un pays cynique, calculateur et dépourvu de toute humanité. Une multitude d’articles, poèmes et caricatures sont publiés durant les quatre années d’existence du journal. Le présent article vise à examiner la façon dont cette propagande fut orchestrée. Les thèmes principaux, ainsi que les formes employées, sont détaillés ainsi que la réponse apportée par la Grande-Bretagne.
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3

Dupont, Nadia, Janique Valy, and Jean-François Inserguet. "Les logiques d’urbanisation dans les plaines alluviales du bassin versant de la Vilaine (Bretagne, France)." Environnement Urbain 2 (October 28, 2008): 21–32. http://dx.doi.org/10.7202/019219ar.

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Abstract:
Résumé Le bassin de la Vilaine (Bretagne, France) a connu à la fin du 20ème siècle des évènements hydroclimatiques exceptionnels pour cette région. Ils ont montré la vulnérabilité de certains espaces urbains, remettant en cause les logiques d’aménagement du territoire, notamment à proximité des agglomérations à forte croissance. Ces extensions urbaines, étudiées à l’échelle communale, s’organisent à partir d’un état initial de plus ou moins grande vulnérabilité. Elles sont questionnées au regard de la réglementation et des contraintes climatiques. Il en ressort une période où la conscience du risque était relativement absente, suivie d’un resserrement réglementaire obligeant à sa prise en compte.
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4

Frémont-Vanacore, Anne. "Réseaux de télécommunications et aménagement du territoire en France : les collectivités locales au cœur du débat." Flux 58, no. 4 (2004): 20. http://dx.doi.org/10.3917/flux.058.0020.

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Bellier, Mélissa, and Régis Taisne. "Les collectivités et leurs groupements au cœur de l’adaptation de la gestion quantitative et qualitative de l’eau au changement climatique." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 112, no. 4 (October 25, 2023): 42–46. http://dx.doi.org/10.3917/re1.112.0042.

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Abstract:
« L’eau c’est la vie », car l’eau est nécessaire à l’homme, à l’environnement, à la société. Le changement climatique perturbe le grand cycle de l’eau, déclenchant des phénomènes extrêmes de plus en plus nombreux (notamment sécheresses et inondations), et impacte le petit cycle de l’eau, celui de « l’eau humaine ». En France, ce sont les collectivités locales qui sont responsables de la gestion de l’eau : alimentation en eau potable, dépollution des eaux usées, gestion des eaux pluviales, gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations. La plupart de leurs autres compétences sont également en lien avec l’eau : aménagement du territoire, tourisme, développement économique, action sociale… Au cœur des enjeux de l’eau, ce sont donc des acteurs incontournables pour porter une démarche de concertation locale et une ambition de décloisonnement des actions menées sur le territoire, qui doivent désormais intégrer les enjeux du changement climatique, de la protection de la ressource en eau et de la biodiversité, de la sobriété des usages… Pour garantir la qualité de l’eau et sa disponibilité pour les usages essentiels (y compris pour les milieux naturels), une prise de conscience, une concertation et un engagement de tous est nécessaire. Il faudra également donner aux acteurs les moyens d’agir, alors que la baisse des consommations fragilise le modèle économique de toute la filière.
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Usunier, Laurence. "Compétence internationale des juridictions françaises en matière d’action en contrefaçon d’un brevet européen." Revue critique de droit international privé N° 2, no. 2 (October 31, 2023): 395–407. http://dx.doi.org/10.3917/rcdip.232.0395.

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Abstract:
Viole l’article 8, point 1, du règlement (UE) n° 1215/2012 du 12 décembre 2012 concernant la compétence judiciaire, la reconnaissance et l’exécution des décisions en matière civile et commerciale la cour d’appel qui déclare les juridictions françaises incompétentes pour connaître des actes de contrefaçon commis par une société britannique en dehors du territoire français faute d’identité de situation de droit et de fait dans les demandes formées à l’encontre de cette société et de deux sociétés françaises codéfenderesses, alors que le demandeur invoquait les atteintes portées par les sociétés françaises et par la société britannique, en France, en Allemagne et en Grande Bretagne, aux mêmes parties nationales de son brevet européen, concernant le même produit. Il résulte de l’article 14 du code civil que le demandeur français, dès lors qu’aucun critère ordinaire de compétence n’est réalisé en France, peut valablement saisir le tribunal français qu’il choisit en raison d’un lien de rattachement de l’instance au territoire français, ou, à défaut, selon les exigences d’une bonne administration de la justice. Viole cette disposition la cour d’appel qui, pour dire incompétent le juge français pour connaître des actes de contrefaçon commis en dehors du territoire français par une société domiciliée en Afrique du Sud, retient que le demandeur ne démontre pas la pertinence du rattachement avec la présente instance, dès lors que le juge français n’est pas compétent pour les faits prétendument commis à l’étranger par la société britannique dont la société sud-africaine était le fournisseur et que les juridictions anglaise et allemande sont compétentes pour juger des prétendus actes de contrefaçon de la partie nationale du brevet litigieux commis sur leurs territoires respectifs.
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Debarbieux, Bernard. "Quel aménagement du territoire pour l'université française ? [Réflexions suggérées par les débats actuels sur l'organisation territoriale de l'université en France ]." Espace géographique 19, no. 3 (1990): 203–6. http://dx.doi.org/10.3406/spgeo.1990.2983.

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Cardarelly, Sébastien. "Le Grand Chantier du Blayais en perspective : nucléaire et aménagement du territoire en France, des années 1960 aux années 1990." Annales historiques de l’électricité 12, no. 1 (2014): 77. http://dx.doi.org/10.3917/ahe.012.0077.

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9

Di Méo, Guy. "Production des territoires et des espaces vécus. Exemples de Pau et de Bordeaux." Annales de géographie N° 755, no. 1 (February 6, 2024): 5–24. http://dx.doi.org/10.3917/ag.755.0005.

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Abstract:
À partir des exemples de deux villes du Sud-Ouest de la France, Pau et Bordeaux, cet article vérifie l’hypothèse théorique selon laquelle les espaces géographiques seraient le fruit d’une intense et opiniâtre production sociale ( largo sensu ). Le modèle méthodologique de la formation socio-spatiale fournit les outils opératoires d’une telle démonstration. Le récit de la production des deux espaces territoriaux de Pau et de Bordeaux met en lumière la subtile interpénétration des substrats géo-économiques de ces sociétés localisées et des formes de pouvoirs, comme des représentations idéologiques et culturelles qu’elles ont connues dans la longue durée. C’est sur ce terreau de l’espace produit et territorialisé (palimpseste) que surgissent, à la conscience de chaque individu, des images médiatisées par une sorte d’imaginaire collectif (ou social) qui enrichissent et qui arriment au territoire son espace vécu. Ces représentations sensibles, chargées d’affect, de mémoire et « d’habitus », à la fois libres et imprégnées d’idéologie collective, témoignent du rapport à l’espace de chacun et se révèlent précieuses pour cerner les enjeux de tout aménagement.
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PICHON, E. "Solutions curatives pour pallier la contamination des réseaux d’eau potable par le CVM, sur le bassin Loire-Bretagne." Techniques Sciences Méthodes, no. 12 (January 20, 2021): 163–74. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202012163.

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Abstract:
Le bassin hydrographique Loire-Bretagne, qui couvre 28 % du territoire hexagonal, s’étend sur 34 départements du nord-ouest de la France (13 millions d’habitants). Ce bassin est caractérisé par un équipement rural récent, avec une forte proportion de réseaux en polychlorure de vinyle (PVC) posés entre 1970 et 1990. L’instruction DGS E4/2012/366 du 18 octobre 2012 a conduit à la réalisation de nombreuses campagnes de prélèvements diligentés par les agences régionales de santé (ARS) sur ce bassin très concerné par le risque de contamination par le chlorure de vinyle monomère (CVM). Un nombre croissant de dépassements de la valeur limite de 0,5 μg/L a été mesuré sur les antennes des réseaux en PVC posées avant 1980. Face à cette problématique, l’Agence de l’eau Loire-Bretagne (AELB) a décidé d’accompagner les collectivités rurales impactées, en finançant le remplacement des canalisations concernées par les dépassements, dans le cadre de ses dixième (2013-2018) et onzième (2019-2024) programmes d’interventions. Une doctrine d’intervention a été définie avec les ARS de manière à réaliser des études préalables homogènes et à optimiser le linéaire de conduites à remplacer. L’agence de l’eau dresse un bilan des opérations mises en œuvre sur le bassin, opérations pour l’instant les plus nombreuses menées en France, du fait du contexte exposé et de l’avancement des investigations réalisées par les ARS du bassin. L’évolution chronologique et géographique et la typicité (secteurs concernés, linéaire, diamètres et coût moyen des tronçons renouvelés) des demandes d’aides reçues par l’agence de l’eau de 2012 à 2019 sont présentées. Au regard de l’étude, il est souhaitable que chaque collectivité mène une étude patrimoniale et des prélèvements suffisamment exhaustifs.
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Kerneur, J., D. Chauvin, J. Huntzinger, and I. Le Morillon. "La formation des nouveaux professionnels arrivants en service de réanimation et en unités de soins continus par la simulation :« Gestion des situations critiques, un enjeu pour la sécurité du patient »." Médecine Intensive Réanimation 27, no. 6 (October 30, 2018): 563–71. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2018-0067.

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Abstract:
Les professionnels du service de réanimation du centre hospitalier Bretagne-Atlantique et de l’institut de formation des professionnels de santé de Vannes ont réalisé une formation relative à la gestion des situations critiques en réanimation et en unité de soins continus (USC). Cette formation a été construite suite aux constats suivants : 1) d’une part, les infirmières exerçant dans ces services ne bénéficient pas, en France, d’une spécialisation qualifiante ; 2) d’autre part, leur formation initiale ne leur permet pas d’être autonomes dans la gestion de l’imprévu dans ces services de haute technicité ; 3) pour autant, une expertise est nécessaire afin d’être performant dans la gestion des situations d’urgence mettant en jeu le pronostic vital du patient. Au regard de cette problématique, des événements critiques issus de la pratique professionnelle ont été scénarisés pour faire l’objet d’une formation en pratique simulée. Les infirmiers du territoire de santé affectés en réanimation et en USC ont ainsi pu expérimenter les situations à travers la simulation en santé. Cette méthode est particulièrement adaptée en matière de développement de compétences spécifiques dans ce contexte, car elle conjugue analyse de la pratique, réflexion sur l’action, apport de connaissances, mise en oeuvre de bonnes pratiques et coordination des actions. L’expérience de cette action de formation et son bilan sont présentés dans cet article.
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HUSSON, A., Y. LE GAT, A. VACELET, A. E. STRICKER, E. BRÉJOUX, and E. RENAUD. "Évaluation du patrimoine des réseaux d’eau potable français dans le but d’améliorer la conduite des politiques publiques de gestion patrimoniale." Techniques Sciences Méthodes, no. 5 (May 20, 2020): 31–44. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202005031.

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Abstract:
À la demande du ministère français de la Transition écologique et solidaire (MTES) et de l’Agence française pour la biodiversité (AFB) pour contribuer à la conduite des politiques publiques de l’eau, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) a mené une étude pour mettre en place un dispositif national de connaissance du patrimoine des réseaux d’eau potable à l’échelle des agences de l’eau. La méthode mise en oeuvre repose sur la construction de modèles statistiques qui relient les caractéristiques des réseaux, collectées pour un échantillon de services, à des données géographiques et démographiques disponibles à l’échelle communale de façon exhaustive sur le territoire français. La base de données Sispea (Système d’information des services publics d’eau et d’assainissement) et les données SIG (système d’information géographique) recueillies auprès d’un échantillon de services qui représentent environ la moitié du réseau français, ont été utilisées pour caler des modèles multilinéaires des longueurs de canalisation par diamètre, période de pose et matériau. Ils permettent d’estimer la longueur des canalisations d’eau potable de la France métropolitaine à 875000 km, dont moins de 40% ont été posées avant 1970. 70% des conduites sont d’un diamètre au plus égal à 100 mm et les canalisations en PVC sont très majoritaires dans les bassins Loire-Bretagne et Adour-Garonne tandis que celles en fonte dominent dans les autres bassins.
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Lafleur, Gérard. "Liens commerciaux entres les Petites Antilles et l’Amérique du Nord sous l’Ancien régime." Dossier Antilles et Louisiane 32, no. 2 (November 3, 2014): 13–39. http://dx.doi.org/10.7202/1027195ar.

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Abstract:
La proximité géographique de l’Amérique du Nord, les possibilités offertes par les cultures du Nord-est du territoire, le besoin des productions coloniales, en faisaient naturellement un partenaire commercial naturel pour les Antilles à partir du moment où les colonies américaines s’étaient organisées et qu’une marine marchande locale pouvaient s’appuyer sur un arrière-pays agricole. Ce commerce était interdit par les deux puissances principales, qui tentaient de faire appliquer l'Exclusif en opposition avec leurs sujets américains (français et britanniques) qui voulaient faire des affaires les plus fructueuses possibles. Les puissances centrales, lointaines, n’avaient pas les moyens de l'interdire complètement. Les productions étaient complémentaires ; morue et boeuf salés, poissons séchés, farine, bois de construction (lumber), légumes secs d’une part, sucre, rhum, mélasses d’abord puis coton, cacao ensuite et café à partir des années 1730 d’autre part. Le commerce entre les colonies britanniques des Antilles et de l'Amérique du nord était naturellement autorisé mais il devint suspect à partir de 1770 au moment où la tension s'accentua entre la Grande-Bretagne et ses colonies nord américaines. Deux îles concentraient le commerce interlope dans la zone, Saint-Eustache (Statius) île néerlandaise située au centre des Petites Antilles et plus tardivement, Saint-Barthélemy devenue suédoise, pour les Petites Antilles et Saint-Thomas et Sainte-Croix, îles danoises dans les îles Vierges, proche des Grandes Antilles. Malgré les oppositions des métropoles, notamment la Grande-Bretagne et la France, le commerce avec l'Amérique du Nord se développa clandestinement en utilisant toutes les ressources de l'interlope et les autorités locales mirent beaucoup de mauvaise volonté à exercer la répression préconisée par les métropoles. Après la Guerre de Sept Ans et l’occupation des territoires français par les Anglais, puis surtout après la Guerre d’Amérique et la naissance des Etats-Unis d’Amérique, alliés de la France, la situation changea et le commerce put se développer sans entraves avec les Nord-américains par les ports d’entrepôts mais aussi grâce à des pratiques clandestines favorisées par les règlements. La Révolution stoppa cette coopération car l’Etat américain choisit le camp Anglais sous la pression de l’administration britannique à l’inverse des habitants des ports qui adhérèrent aux idées de la Révolution et qui restaient fidèles à leurs anciennes amitiés. Après 1794, avec la politique agressive de Victor Hugues, les alliances se renversèrent et les Américains devinrent, provisoirement, les ennemis à combattre mais le commerce avec l’Amérique du nord reprit de plus belle au XIXe siècle.
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Kolosov, V. A., and N. A. Sluka. "The Contribution of A.E. Sluka to the Development of Russian Human Geography of the Foreign World." Izvestiya Rossiiskoi Akademii Nauk Seriya Geograficheskaya 87, no. 3 (May 1, 2023): 448–58. http://dx.doi.org/10.31857/s258755662303007x.

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Abstract:
The authors analyze the contribution of the Honored Professor of Moscow State University A.E. Sluka to the development of the Soviet and Russian school of socioeconomic regional studies of the foreign world. It is possible to distinguish three key areas in the studies of the scholar, who relied on the works of his teachers–the founders of contemporary national human geography N.N. Baranskii and I.A. Vitver: geography of France, demogeography of Europe, and geography of the Greater Paris. From today’s standpoint, the significance of A.E. Sluka publications on France consist in the accuracy of the characteristics of its regions as a basis for understanding the territorial shifts and the social situation, and the evolution of regional politics in the country and other European countries. A.E. Sluka believed that the experience of regional policy in France (in French terms, aménagement du territoire) is important for Russia. The scientist was a leading Russian specialist in demogeography and one of the first to draw attention to the relation between the population dynamics of the region and its main structures with the migration component. He made a considerable contribution to the comparative study of the natural movement and mobility of the population in the countries of Western Europe by regions. A significant place in the work of A.E. Sluka belonged to the Greater Paris. In the author’s works, the periods of prosperity and decline of the city are linked with world events, its functions, and the emergence of global economy. A multiscale approach was applied, which made it possible to identify the place of the Paris urban agglomeration in the settlement systems of different levels, the economy and political life of the region, the country and Europe as a whole. The studies of A.E. Sluka created a basis for many academic courses and was developed in the works of his students and the scholars of the Institute of Urban Economics, the Institute of Demography and the Institute of Urban Studies of the HSE University, the Faculty of Linguistics and Regional Studies and the Institute of Social Sciences of Moscow State University and other institutions.
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laganier, Richard, Patrick Piquet, Pierre-Gil Salvador, and Helga-Jane Scarwell. "Inondation, territoire et aménagement : l'évolution de la prise en compte du risque inondation dans la vallée de la Canche (Pas-de-Calais, France). / Flooding, territory and planning : changes in the appraisal of flood risks in the Canche valley (Pas-de-Calais, France)." Géocarrefour 75, no. 4 (2000): 375–82. http://dx.doi.org/10.3406/geoca.2000.2488.

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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract:
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Davis, Muriam Haleh. "“Algiers and the Algerian Desert”: Decolonization and the Regional Question in France, 1958–1962." Modern Intellectual History, September 16, 2022, 1–22. http://dx.doi.org/10.1017/s1479244322000348.

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Abstract:
This article demonstrates how Algerian decolonization played a key role in shaping the discipline of territorial planning (aménagement du territoire) in metropolitan France. A number of liberal economists, including François Perroux, articulated notions of economic space that eschewed the nation-state as a unit of analysis. In colonial Algeria, this discourse was subsequently adopted by officials who sought to integrate Muslim Algerians into the French Republic. Discussions on territorial planning in late colonial Algeria echoed debates in the United States regarding the “social uplift” of African Americans in the South, which also attempted to stem the rising tide of separatism. In the 1950s, liberal understandings of the relationship among cultural specificity, territorial scale, and economic development were challenged by a host of actors, including Algerian nationalists who espoused ideas that would later appear in the analyses of world systems theorists. After the victory of the Algerian FLN (Front de libération nationale) in 1962, discussions on regional identities provided an important tool for political claims on both sides of the Mediterranean. Moreover, techniques of territorial planning developed in Algeria were imported to the Hexagon in the aftermath of Algerian independence.
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David, Pascal. "Pour une prise en compte géographique de la commande publique dans l’analyse des dynamiques d’innovation territoriale." La territorialisation des plateformes numériques : retour sur une décennie de pratiques 37-3/4 (2023). http://dx.doi.org/10.4000/vxtk.

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Abstract:
La commande publique constitue, en géographie et en aménagement, un objet peu considéré par la communauté scientifique française et internationale. Ce constat est à mettre en relation avec l’abondante littérature scientifique provenant d’autres disciplines connexes (droit, économie, sciences de gestion). En France, aucune thèse portant sur le sujet n’a jamais été soutenue, peu ou pas d’articles ou de livres ont été publiés sur cette rencontre entre « la commande publique » et « les territoires ». Ce constat interroge alors même que la commande publique participe directement à la mise en œuvre des politiques publiques. Ce travail de recherche s'intéresse précisément à sa prise en compte dans l’analyse des dynamiques d’innovation territoriale. A la croisée de la science régionale, de la géographie et de la recherche en aménagement du territoire, il vise à enrichir la compréhension des processus d’intermédiation en analysant comment, à l'échelle des territoires, la commande publique permet la coordination et l'appariement entre des acteurs aux temporalités différentes et aux objectifs divergents. La perspective de la ville intelligente et durable est introduite comme cadre d'analyse pertinent pour étudier la fabrique de l’innovation urbaine. Le texte décrit une méthodologie de recherche axée sur l'étude de cas de la scène toulousaine engagée depuis 2014 dans des programmes de soutien à l’innovation, le protocole intégrant une revue de littérature, une analyse systémique, la collecte de données via des entretiens semi-directifs, une approche comparative avec d’autres scènes territoriales similaires.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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