Journal articles on the topic 'Alimentation d'humain et des animaux'

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THERIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 2. Elevage des jeunes et production de viande." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 105–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4405.

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Abstract:
La croissance des animaux, de la naissance à l’âge adulte, ainsi que les caractéristiques de la carcasse des cerfs sont présentées dans cet article. Le jeune faon qui pèse de 8 à 9 kg à la naissance, a une croissance rapide pendant la phase d’alimentation lactée. Cette croissance varie entre 250 et 450 g/j selon le niveau alimentaire de sa mère. Elle dépend également du sexe du faon (+ 20 à + 50 g/j pour les mâles par rapport aux femelles) et de son poids à la naissance (1 kg supplémentaire l’améliore de 5 à 15 g/j). Le sevrage, qui peut être réalisé en septembre ou en novembre, avant ou après le brame, entraîne une chute de croissance de 20 à 50 g/j selon la production laitière de la mère. La croissance restera voisine de 200-250 g/j jusqu’à la fin novembre pour diminuer ou s’annuler de décembre à fin février et reprendre à partir de mars, elle variera entre 150 et 250 g/j au cours de la deuxième année au pâturage. L’apport d’aliment concentré (jusqu’à 1 kg/j) en hiver permet de maintenir un gain quotidien de 100 g/j environ mais, après mise à l’herbe, les animaux ainsi traités ont une croissance réduite d’environ 50 g/j par rapport aux témoins. Le poids atteint au cours du second automne représente 70 à 75 % du poids adulte pour les biches mais 50 % seulement pour les cerfs. Les femelles atteignent leur poids adulte vers 4 ou 5 ans et les mâles poursuivent leur croissance jusqu’à 8-9 ans. Le rendement en carcasse des cerfs d’élevage est élevé (55 à 58 %). Leur carcasse se caractérise par une forte proportion de muscles et très peu de tissu adipeux sauf chez les mâles adultes avant le brame, chez lesquels ce tissu peut dépasser 20 % du poids de carcasse. Le cerf est un animal « tardif » qui ne commence à déposer une quantité importante de gras qu’à partir de 16-18 mois, lorsqu’il a atteint plus de 50 % de son poids potentiel adulte. Les besoins stricts pour la croissance sont voisins de 4 Mcal EM par kg de gain chez le faon de 60 kg, ils atteignent 5 Mcal pour des animaux de 90 kg. Les besoins d’entretien sont relativement plus élevés : 0,2 Mcal EM/kg P0,75. Les manipulations pour regrouper les animaux et les traitements avant abattage peuvent avoir un effet très défavorable sur la qualité de la viande dont les muscles restent à un pH élevé (supérieur à 6) 24 h post-mortem chez les animaux stressés lors de ces opérations.
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MEUNIER-SALAÜN, M. C., D. BIZERAY, V. COLSON, V. COURBOULAY, J. LENSINK, A. PRUNIER, V. REMIENCE, and M. VANDENHEEDE. "Bien-être et élevage des porcs." INRAE Productions Animales 20, no. 1 (March 6, 2007): 73–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3438.

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Abstract:
Le développement intensif de la production porcine découle d’une meilleure maîtrise de l’environnement des animaux, d’une prophylaxie des maladies infectieuses, d’une alimentation au plus près des besoins nutritionnels des porcs et d’une sélection génétique orientée vers des performances de croissance et de reproduction optimales. Parallèlement, certaines pratiques se sont avérées défavorables au bien-être du porc. Au cours des dernières décennies la recherche sur le bien-être s’est principalement intéressée aux réponses comportementales et physiologiques au logement, à l’alimentation et à la conduite des animaux. Les résultats ont souligné des difficultés d’adaptation notamment liées à une modification des liens sociaux, une restriction des surfaces individuelles, un appauvrissement du milieu de vie, et des pratiques d’élevage génératrices d’inconfort, de peur ou de douleur. Cette synthèse présente la nature des réponses observées dans ces différentes situations tout en soulignant les voies d’amélioration disponibles pour une meilleure harmonie entre les animaux et leur milieu de vie.
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3

Edderai, David, and Patrick Houben. "Elevage et performances de reproduction et de croissance de l’athérure africain. Résultats sur l’étude de sa reproduction en captivité." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 4 (April 1, 2002): 313. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9819.

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Abstract:
L’athérure africain (Atherurus africanus, Gray 1842) est l’espèce la plus prisée des consommateurs de viande de brousse au Gabon. Les travaux menés par le projet Développement au Gabon de l’élevage de gibier ont permis d’établir un référentiel technique sur l’élevage de ce rongeur. Les animaux sont élevés dans des enclos ou des fûts métalliques. Ils reçoivent une alimentation à base de tubercules et d’arachides. La reproduction se pratique toute l’année avec des animaux âgés au moins de onze mois. Le couple est laissé ensemble deux mois. Après un peu moins de 100 jours, les femelles donnent naissance à un seul jeune qui est sevré à 45 jours. A 10 mois, les animaux pèsent 2 450 g et peuvent être commercialisés. L’athérure est robuste et les taux de mortalité sont faibles. Toutefois, certains paramètres de reproduction et le coût de l’aliment limitent les perspectives économiques de cet élevage.
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SAUVEUR, B., D. ROUSSELOT-PAILLEY, and P. LARRUE. "Alimentation énergétique de l’oie reproductrice." INRAE Productions Animales 1, no. 3 (July 11, 1988): 209–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.3.4454.

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Abstract:
Cinq essais consécutifs ont été réalisés dans un dispositif d’élevage en extérieur comprenant 12 parquets de 15 oies et 5 jars (race landaise) afin de déterminer le besoin énergétique de ces animaux et les effets sur les performances de différentes concentrations énergétiques de l’aliment (de 2100 à 2800 kcal Energie Métabolisable/ kg). ). Le besoin énergétique journalier est de 800-850 kcal E M par oie « servie » (avec 1/3 jars) en saison normale et peut-être plus proche de 900 kcal E M en hiver très froid. Distribués à volonté, les régimes les plus concentrés sont défavorables à la reproduction, l’oie adulte régulant mal son ingéré énergétique en fonction de la teneur du régime. A l’inverse, dès lors qu’ils sont rationnés pour assurer strictement le besoin, les régimes « haute-énergie » permettent une amélioration de la fertilité (+ 7 à + 20 %) et une importante économie d’aliment (- 20 %). Cette pratique semble favoriser également la suppression de verdure fraîche dont l’apport peut représenter une contrainte lorsque l’oie n’a plus accès à des parcours.
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LAISSE, Sarah, René BAUMONT, Léonie DUSART, Didier GAUDRÉ, Benoit ROUILLÉ, Marc BENOIT, Patrick VEYSSET, Didier RÉMOND, and Jean-Louis PEYRAUD. "L’efficience nette de conversion des aliments par les animaux d’élevage : une nouvelle approche pour évaluer la contribution de l’élevage à l’alimentation humaine." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 269–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2355.

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Abstract:
L’élevage est souvent perçu comme inefficient pour produire des denrées alimentaires pour l’Homme car les animaux consomment davantage de végétaux qu’ils ne produisent de viande, de lait ou d’œufs. Le calcul de l’efficience nette de conversion des aliments en ne considérant dans le calcul que la part potentiellement consommable par l’Homme des aliments utilisés par les animaux permet de relativiser ce constat. En effet, une large part des aliments consommés par les animaux d’élevage (fourrages, coproduits…) n’est pas directement consommable par l’Homme. Appliqués à des systèmes d’élevage français, les calculs d’efficience nette montrent que toutes les productions animales (bovins laitiers et à viande, ovins à viande, porcins, poulets de chair, poules pondeuse) peuvent être producteurs nets de protéines à condition de maximiser la part des végétaux non valorisables en alimentation humaine dans les rations. Le calcul de l’efficience nette est très sensible à l’estimation de la part des aliments utilisés en alimentation animale qui peut être directement valorisée par l’Homme. Celle-ci varie fortement d’une matière première à l’autre selon les habitudes alimentaires et les technologies agroalimentaire qui peuvent évoluer dans le temps. Il est donc nécessaire d’analyser les résultats d’efficience nette à travers plusieurs scénarios de valorisation des matières premières végétales. De même le niveau de valorisation du cinquième quartier de la carcasse des animaux d’élevage pour l’alimentation humaine est très variable et influence sensiblement les résultats d’efficience nette. Enfin, la prise en compte du différentiel de qualité entre les protéines végétales permettrait d’affiner les calculs d’efficience protéique.
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MANDONNET, N., E. TILLARD, B. FAYE, A. COLLIN, J. L. GOURDINE, M. NAVES, D. BASTIANELLI, M. TIXIER-BOICHARD, and D. RENAUDEAU. "Adaptation des animaux d’élevage aux multiples contraintes des régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 41–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3236.

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Abstract:
En zones difficiles, la pérennité des systèmes d’élevage repose sur la capacité des animaux à survivre, se reproduire et maintenir un niveau de production en situation de fortes contraintes. Les principales contraintes auxquelles les animaux doivent faire face en régions chaudes, sont le climat (température et humidité), la sous-nutrition et les pathologies. Chez les monogastriques comme chez les ruminants, les caractéristiques anatomiques et le comportement alimentaire constituent les principaux facteurs de régulation des échanges thermiques. L’élément clé de l’adaptation comportementale des ruminants à la sous-alimentation est leur capacité à choisir leur alimentation. L’adaptation physiologique porte sur la réduction du métabolisme basal, l’efficience digestive, la valorisation de fourrages grossiers, la mobilisation des réserves corporelles, le recyclage des nutriments et la valorisation efficiente de l’eau. Les travaux les plus significatifs sur la résistance génétique aux maladies portent sur la trypanotolérance, la résistance aux maladies transmises par les tiques et les strongyloses gastro-intestinales. Dans l’élevage moderne, la gestion de ces contraintes environnementales doit se concevoir de façon intégrée. Différentes techniques d’alimentation, de prophylaxie, de gestion d’ambiance des bâtiments d’élevage doivent être combinées pour garantir durablement la pérennité des systèmes d’élevage. Cependant, l’efficacité de cette approche intégrée repose également sur le potentiel adaptatif des animaux pour répondre aux pratiques mises en œuvre. Le développement des productions animales en régions chaudes ne pourra être garanti sans l’utilisation de l’adaptation naturelle des populations animales ou pour le moins, sans inclure les caractères d’adaptation dans les objectifs de sélection des races locales ou spécialisées.
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WILFART, Aurélie, Léonie DUSART, Bertrand MÉDA, Armelle GAC, Sandrine ESPAGNOL, Laurent MORIN, Yves DRONNE, and Florence GARCIA-LAUNAY. "Réduire les impacts environnementaux des aliments pour les animaux d'élevage." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 289–306. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.2.2285.

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Abstract:
L'alimentation animale peut représenter de 30 à 95 % des impacts environnementaux des produits animaux en sortie de ferme. Des données d’impacts environnementaux des matières premières ont été publiées mais il n’existait pas de données adaptées aux productions françaises. Le projet ECOALIM propose une base de données d’impacts environnementaux des matières premières utilisées en alimentation animale en France (154 matières premières disponibles). Dans le projet, une méthodologie de formulation multiobjectif a été développée pour produire des éco-aliments à impacts réduits et à prix maitrisé. Les impacts des aliments calculés à la tonne d'aliment sont ainsi modifiés de - 6 à - 14 % en production de porcs charcutiers et de + 4 à - 18 % en poulet de chair selon l'impact considéré, par rapport à une formulation à moindre coût classique et en considérant la disponibilité actuelle des MP. Dans le même temps, le prix de l'aliment est augmenté en moyenne d'1% en porc charcutier et de 3 % en poulet de chair. En biphase, avec restriction en porc charcutier, les impacts du kg de poids vif en sortie de ferme sont alors réduits de - 2 % à - 10 %. En poulet de chair, avec une alimentation classique en 3 phases, les impacts du kg de poids vif en sortie de ferme sont quant à eux réduits de - 2 à – 14 % (sauf pour l’occupation des terres qui augmente de 3%). A l’échelle territoriale, la réduction des impacts des aliments n’excède pas - 10 % en raison des compétitions entre filières pour les matières premières à faibles impacts.
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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POMAR, C., F. DUBEAU, and J. VAN MILGEN. "La détermination des besoins nutritionnels, la formulation multicritère et l’ajustement progressif des apports de nutriments aux besoins des porcs." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 49–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3333.

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Abstract:
Dans un contexte dans lequel le coût élevé des matières premières et l’utilisation de sources non renouvelables de phosphates sont des enjeux majeurs pour les productions animales, l’alimentation de précision est proposée comme une démarche essentielle à l’accroissement de l’efficacité d’utilisation de l’azote et du phosphore alimentaire, et par conséquent, une réduction de leur excrétion. Une alimentation de précision requiert de bien caractériser le potentiel nutritif des aliments, de déterminer avec précision les besoins nutritionnels des animaux, de prédire la réponse animale aux apports nutritionnels, de formuler d’aliments avec des contraintes environnementales, et d’ajuster progressivement les apports aux besoins décroissants des animaux. La mise en place d’une telle stratégie d’alimentation demande cependant d’accroître nos connaissances et d’améliorer nos méthodes de calcul afin de s’assurer que les formules alimentaires proposées soient celles qui optimiseront nos systèmes de production tant d’un point de vue animal, économique qu’environnemental.
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Salas, Michel, G. Biessy, and E. Magne. "Effet du mode de conduite au pâturage et de la complémentation sur le comportement alimentaire des bovins en Guadeloupe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 3 (March 1, 1990): 381–86. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8820.

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Abstract:
Les auteurs ont comparé le comportement alimentaire de bovins guadeloupéens selon quatre modes de conduite : pâturage à l'attache 24 h/24 (lot 1), pâturage libre 24 h/24 (lot 2), pâturage la nuit et mise en parc la journée (lot 4). Les animaux mis en parc reçoivent une alimentation complémentaire à base de canne à sucre. Les bovins sont surtout actifs au cours de la journée : pour les lots 1 et 2 respectivement, 84 et 75 p. 100 du temps consacré à l'ingestion se situent entre 6 h et 18 h. Les animaux attachés (lot 1) ont une durée d'ingestion plus brève que ceux en pâturage libre (lot 2), mais les mesures effectuées ne permettent pas d'estimer les quantités totales ingérées par les deux lots. Les animaux mis en parc pendant la nuit (lot 3) ont une durée d'ingestion diurne au pâturage proche de celle observée en pâturage permanent (lot 1). En revanche, les animaux mis en parc pendant la journée (lot 4) ne reportent que partielle ment l'ingestion au pâturage sur la période 18 h-6 h, et la durée d'ingestion de la canne à sucre pendant la journée n'est que faiblement supérieure à celle du lot 3. La mise en parc pendant la journée induit donc une baisse importante de la durée totale d'ingestion.
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PRACHE, S., B. MARTIN, P. NOZIERE, E. ENGEL, J. M. BESLE, A. FERLAY, D. MICOL, A. CORNU, I. CASSAR-MALEK, and D. ANDUEZA. "Authentification de l’alimentation des ruminants à partir de la composition de leurs produits et tissus." INRAE Productions Animales 20, no. 4 (November 7, 2007): 295–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.4.3467.

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Abstract:
Les consommateurs sont demandeurs d’informations et de garanties sur les conditions d’élevage des animaux et en particulier sur leur alimentation. Ces préoccupations conduisent les filières animales à prendre des engagements sur les conditions d’élevage et d’alimentation des animaux, engagements spécifiés dans des cahiers des charges. Il apparaît ainsi un besoin d’outils analytiques permettant de garantir le respect de ces engagements et/ou d’aider à les instruire. La nature de l’alimentation influence fortement la composition des tissus et produits animaux. Ceci est dû à des composés spécifiques qui sont soit directement transférés de l’aliment au produit, soit transformés ou produits par les microorganismes du rumen ou le métabolisme animal sous l’effet de l’alimentation. Certains de ces composés peuvent donc, en retour, être utilisés pour tracer l’alimentation. De plus, les différences de composition des tissus et produits provoquent des modifications de leurs propriétés optiques, qui peuvent également être mises à profit. Cet article présente les différentes approches analytiques développées actuellement, les principaux résultats obtenus lors de la comparaison d’alimentations contrastées, puis lors de l’alternance de régimes alimentaires avec les questions de latence et de persistance des biomarqueurs d’intérêt, et enfin quelques exemples d’application sur le terrain avec certaines filières animales intéressées par ces outils.
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COZANNET, P., Y. PRIMOT, J. P. MÉTAYER, C. GADY, M. LESSIRE, P. A. GERAERT, L. LE TUTOUR, F. SKIBA, and J. NOBLET. "L’utilisation des drêches de blé en alimentation porcine." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 11–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3326.

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Abstract:
Parallèlement à l’accroissement rapide de la demande d’éthanol, essentiellement à base de blé en Europe, la disponibilité pour l’alimentation des animaux d’élevage des coproduits associés, tels que les drêches de blé s’est accrue. La synthèse réalisée dresse le profil moyen de la composition des drêches de blé et indique l’existence d’une forte variabilité de la composition des drêches pour certains paramètres. Ces modifications du profil moyen dépendent des spécificités de traitement du produit. La variabilité est ainsi très importante pour la teneur en parois végétales (NDF) et en amidon dont les teneurs moyennes (min-max) sont respectivement de 28 (23-33) et 4,7 (2,1-10,3)% de la MS. Les teneurs moyennes en énergie digestible de 14,2 MJ d’ED/kg MS et en phosphore digestible de 0,60% MS illustrent le potentiel des drêches pour l’alimentation des porcs. Ces valeurs varient selon les sources (12,8 à 16,0 MJ/kg pour l’ED). La teneur en lysine des protéines (0,83 à 3,0%) et la digestibilité iléale standardisée de la lysine (49 à 72%) sont les paramètres les plus variables, vraisemblablement en lien avec le procédé mis en œuvre (séchage notamment). La prise en compte des caractéristiques physiques (odeur et couleur) devrait permettre de prédire la valeur nutritionnelle et de conduire à l’inclusion de drêches à des niveaux plus importants dans l’aliment des porcs.
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COULON, J. B., C. HURTAUD, B. RÉMOND, and R. VÉRITÉ. "Facteurs de variation de la proportion de caséines dans les protéines du lait de vache." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (October 3, 1998): 299–310. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3956.

Full text
Abstract:
L’objectif de cette étude a été de préciser et de hiérarchiser les différents facteurs de variation de la proportion entre les caséines et les protéines totales dans le lait de vache. Au total 29 essais, tous effectués dans les unités de l’INRA de Rennes ou de Theix et regroupant 821 lactations ont été utilisés. Pour 551 de ces lactations, les variants génétiques des lactoprotéines avaient été déterminés. Les autres lactations faisaient partie d’essais dans lesquels les animaux étaient leurs propres témoins. Le principal facteur de variation de ce rapport est le polymorphisme génétique de la beta-lactoglobuline : toutes choses étant égales par ailleurs, les animaux de type BB présentent un rapport supérieur, de près de 3 points, à celui des vaches de type AA. Le variant B de la caséine kappa exerce aussi un effet favorable (+1,2 points à l’avantage des animaux BB). En dehors de la première semaine de lactation et des deux dernières semaines de gestation, le rapport caséines/protéines varie peu au cours de la lactation mais tend à diminuer légèrement en fin de lactation. Ce rapport est significativement diminué lorsque la numération cellulaire du lait dépasse 200 000 cellules/ml. Il diminue par ailleurs légèrement avec l’âge. Parmi les différents facteurs alimentaires étudiés (niveau et nature des apports énergétiques et azotés, mode de conservation et nature des fourrages), aucun n’a eu un effet significatif sur le rapport caséines/protéines du lait, sauf dans des conditions de sous-alimentation très prononcées. Ce rapport augmente très légèrement avec le niveau de production laitière des animaux et le taux protéique du lait. En pratique, la mesure du taux protéique du lait, chez des animaux indemnes de mammites reste donc un très bon indicateur du taux de caséines, dont il explique à lui seul 93 % des variations.
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AGABRIEL, C., J. B. COULON, G. MARTY, B. BONAÏTI, and P. BONIFACE. "Effets respectifs de la génétique et du milieu sur la production et la composition du lait de vache. Etude en exploitations." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 2020): 213–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4202.

Full text
Abstract:
Soixante-trois exploitations laitières du Massif Central adhérentes au Contrôle Laitier et élevant des vaches Holstein ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés (y compris leur composition chimique), les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). L’état corporel et le tour thoracique des animaux ont par ailleurs été mesurés. Ces données ont permis d’analyser conjointement les variations de la production et de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre, et de préciser certains facteurs du milieu responsables de ces variations. La production moyenne par vache et par an a varié de 5040 à 8330 kg, le taux butyreux de 36,5 à 42,9 g/kg et le taux protéique de 28,1 à 32,4 g/kg. Ces écarts sont principalement liés aux facteurs du milieu. Les performances les plus faibles sont rencontrées dans les exploitations où les pratiques alimentaires sont les moins favorables : une alimentation énergétique insuffisante chez les génisses puis chez les vaches en production, se traduisant par un état corporel médiocre et un faible développement corporel des animaux est associée aux productions laitières et aux taux protéiques les plus faibles. L’absence de liaison significative entre les effets troupeau taux protéique et lait, qui conduit à observer les taux protéiques les plus élevés dans des exploitations où la production laitière est moyenne est discutée. En particulier, le rôle de la nature des aliments (valeur laitière de la ration), de l’état corporel des animaux et de leur état sanitaire est mis en évidence. Les variations du taux butyreux du lait sont d’abord liées à la nature de la ration de base (présence ou non d’ensilage de maïs).
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CHIFFOLEAU, Yuna, Adeline ALONSO UGAGLIA, Anne-Cécile BRIT, Anne DEMONCEAUX, Laurine DEHAUDT, Maëlle RANOUX, Grégori AKERMANN, and Yentl DEROCHE-LEYDIER. "Impacts de la crise de la Covid-19 sur les circuits courts de produits animaux : résultats d’enquêtes en début de pandémie." INRAE Productions Animales 34, no. 4 (March 3, 2022): 261–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5390.

Full text
Abstract:
La pandémie de la Covid-19 représente un choc majeur pour les sociétés contemporaines et une source de perturbations importantes pour les systèmes alimentaires. Lors des premiers mois de la crise (mars-octobre 2020), des membres du Réseau Mixte Technologique Alimentation locale se sont associés pour mener trois enquêtes (citoyens, accompagnateurs, producteurs) à l’échelle nationale afin de saisir les impacts de cette crise sur les systèmes alimentaires, en particulier sur les circuits courts. L’article propose une synthèse des données recueillies, en ciblant le cas des circuits courts de produits animaux. Il montre en quoi et à quelles conditions les exploitations d’élevage engagées dans ces modes de vente ont résisté, se sont adaptées et ont innové dans les premiers mois de la pandémie. Il souligne le rôle clé d’actions collectives dans la mise en place de solutions rapides aux problèmes identifiés. Tout en appelant à examiner si ces solutions ont été maintenues par la suite, l’article en tire des pistes d’action pour consolider les circuits courts de produits animaux et les capacités de résistance, d’adaptation et d’innovation des exploitations associées.
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Fall, Safietou T., G. Sawadogo, and M. Diop. "Phosphates naturels et alimentation du bétail en zone sahélienne I. Influence sur la santé et la croissance du zébu Gobra." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 2 (February 1, 1999): 133–45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9688.

Full text
Abstract:
Pour préciser le mode d’utilisation des phosphates naturels en alimentation animale, deux essais ont été menés au Sénégal. Des zébus Gobra ont été supplémentés avec le phosphate de Taiba (TAP 3 à 4 p. 100 matière sèche de fluor) et celui de Thiès (THP 0,8 à 1 p. 100 MS de fluor), à Dahra et en milieu contrôlé à Sangalcam, au Sénégal en zone sahélienne. Dans l’essai 1, la supplémentation des zébus Gobra a été effectuée sur pâturage naturel au Crz de Dahra pendant trois ans. Les doses appliquées étaient de 50 g de phosphate de Taiba, selon les modes continu et discontinu, respectivement pour les lots 1 et 2 (pour ce dernier lot, la distribution selon le mode discontinu a été abandonnée dans le courant de la deuxième année par suite d’une faible ingestion de phosphate). Elles étaient de 50 et de 100 g de phosphate de Thiès respectivement pour les lots 3 et 4 et de 65 g de poudre d’os pour le lot 5, selon un mode continu pour l’ensemble des lots. Le lot 6 témoin n’a reçu aucun supplément. Les animaux ont été supplémentés en saison sèche pendant huit à neuf mois par an (entre octobre et juin). Dans l’essai 2, quatre lots ont été supplémentés en milieu contrôlé pendant neuf mois. Les bovins ont reçu 50 g de TAP en mode continu, 50 g de TAP en mode discontinu et 200 g de THP en mode continu respectivement pour les lots 1, 2 et 3. Ces animaux ont été comparés au lot 4 témoin non supplémenté. Pour les deux essais, les mesures concernaient le contrôle quotidien de la consommation des phosphates, le suivi pondéral par une double pesée mensuelle des lots et des examens cliniques portant sur l’état général, l’appareil locomoteur et les dents pour détecter les signes de fluorose. Un contrôle biochimique a porté sur l’analyse de la phosphatémie et de la fluorurie. Les résultats ont mis en évidence une bonne tolérance des doses appliquées. L’influence de la supplémentation minérale sur la croissance des animaux n’a cependant pas été significative (P < 0,05). L’innocuité du produit permet de suggérer un test de longue durée en milieu éleveur, plus propice à une démonstration de l’effet bénéfique de la supplémentation minérale sur les performances zootechniques du zébu Gobra.
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LEROUX, J., M. FOUCHET, and A. HAEGELIN. "Elevage bio : des cahiers des charges français à la réglementation européenne." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 151–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3342.

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Abstract:
L’apparition de cahiers des charges nationaux de l’élevage biologique dès les années 90 a permis un premier développement de ces élevages variable selon les productions. Le règlement européen a ensuite pris le relais en 2000, d’abord avec un complément national (le CC REPAB F) puis, à compter du 1er janvier 2009, avec un nouveau dispositif sans possibilité de subsidiarité. Le règlement européen de l’agriculture biologique décline chaque grand principe de ce mode de production en un certain nombre de règles détaillées, et, dans certains cas, de dérogations. Ces principes sont les suivants&nbsp;: choix de races appropriées, naissance et élevage des animaux en bio, réduction des pollutions et du surpâturage, accès permanent à l’extérieur, densité et organisation des bâtiment permettant le bien-être, interdiction de l’attache des animaux, réduction des mutilations, méthodes de reproduction naturelles privilégiées, élevage extensif, lien sol-plante-animaux sur l’exploitation, alimentation adaptée et biologique, absence d’OGM, santé animale passant d’abord par la prévention via les conditions d’élevage, et des traitements homéopathiques et phytothérapiques, etc. Les auteurs se sont attachés à mettre en relief les changements réglementaires récents et les enjeux techniques, économiques ou d’image qu’ils soulèvent. En conclusion, il est souligné l’importance du travail à réaliser sur trois grands axes : les questions techniques liées à la production biologique, les verrous techniques ou économiques liés à la mise en place des filières, et l’analyse des systèmes de production dans leur globalité.
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MESCHY, F., and L. GUÉGUEN. "Alimentation des vaches laitières : comparaison des recommandations d’apports en minéraux." INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 283–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4242.

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Abstract:
Il existe un bon accord international pour les recommandations d’apport en magnésium, sodium, potassium, soufre et oligo-éléments chez la vache laitière ; il subsiste néanmoins quelques différences en ce qui concerne le phosphore et le calcium. L’essentiel de ces divergences concerne le besoin d’entretien en P et l’absorption réelle de Ca. Le faible besoin d’entretien des normes américaines (NRC 1988) correspond à des régimes pauvres en fourrages pour lesquels le recyclage salivaire de P est faible. L’absorption réelle de Ca se situe entre 35 et 38 % pour l’ensemble des systèmes, à l’exception du SCA australien (60 %) ; cette valeur résulte probablement de l’adaptation parfaite d’un organisme animal soumis à un apport calcique très insuffisant, par conséquent peu compatible avec les conditions pratiques. Les valeurs retenues pour la croissance, la gestation et la lactation sont par ailleurs très proches dans les différents systèmes. Le système français (INRA 78 et INRA 88) représente en fait de véritables recommandations pratiques d’apport visant à la satisfaction des besoins phosphocalciques de tous les animaux, incluant par conséquent une marge de sécurité et prenant en compte le cycle mobilisation-restauration des réserves minérales osseuses chez la femelle laitière. Ces recommandations sont nécessairement supérieures à celles correspondant au strict besoin minimum.
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SAILLEY, Manon, Cécile CORDIER, Jean-Yves COURTONNE, Boris DUFLOT, François CADUDAL, Christophe PERROT, Aude BRION, and René BAUMONT. "Quantifier et segmenter les flux de matières premières utilisées en France par l’alimentation animale." INRAE Productions Animales 34, no. 4 (March 3, 2022): 273–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.4.5396.

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Abstract:
Les attentes sociétales relatives à l’alimentation des animaux d’élevage s’intensifient (sans OGM, sans déforestation importée, limitant la compétition avec l’alimentation humaine, enrichi en Oméga 3 et/ou 6…) et deviennent parfois une condition d’accès au marché pour certaines productions animales. Afin de construire une méthodologie permettant une segmentation détaillée des consommations de matières premières par filière animale, le Groupement d’Intérêt Scientifique Avenir Élevages a mobilisé un réseau d’experts des différentes filières. Une méthode de réconciliation des flux avec optimisation sous contraintes a été utilisée pour mettre en cohérence les différentes sources de données disponibles et ainsi dresser un panorama complet des flux de matières premières (grains, coproduits et fourrages) dans le système alimentaire de France métropolitaine (alimentation humaine et animale, export, énergie…). Pour l’année 2015, le total des utilisations animales de matières premières concentrées a été évalué autour de 34 Mt standardisées à 85 % de matière sèche et celles de fourrages entre 70 et 72,5 Mt de matière sèche (pertes et refus déduits). Les filières bovines étaient les premières utilisatrices de matières premières concentrées (37 % au total dont 25 % pour les bovins laitiers et mixtes et 12 % pour les bovins à viande), devant les volailles (34 %) et les porcs (23 %). L’utilisation du tourteau de soja apparaît encore plus ciblée : 43 % pour les bovins (36 % pour les laitiers et mites et 7 % pour ceux à viande), 43 % également pour les volailles (dont 29 % pour les volailles de chair), et 6 % pour les porcs. La méthodologie « flux de matières premières » développée dans ce travail permet de fournir des repères précis sur l’alimentation des animaux d’élevage, sa durabilité, l’importance de l’élevage dans la valorisation des coproduits issus de l’agro-alimentaire ou encore l’autonomie alimentaire et protéique de l’élevage français. Sa pérennisation dans un observatoire des flux de matières premières utilisées en alimentation animale est à l’étude afin de disposer d’un suivi pluriannuel de l’évolution des consommations.
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MESCHY, F. "Alimentation minérale et vitaminique des ruminants : actualisation des connaissances." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 119–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3444.

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Abstract:
Cet article précise et actualise les apports journaliers recommandés (AJR) en éléments minéraux majeurs, oligo-éléments et vitamines. Pour le phosphore (P) et le calcium (Ca), le besoin d’entretien (BENT) est désormais calculé à partir de la matière sèche ingérée et du poids vif&nbsp;; pour Ca, BENT est supérieur pour les animaux en croissance et en lactation. Pour le magnésium (Mg), BENT est légèrement réévalué pour tenir compte d’une perte obligatoire dans l’urine sous-estimée jusqu’alors. Les besoins de production sont peu modifiés par rapport aux recommandations précédentes. Des recommandations concernant le bilan électrolytique alimentaire (BEA, K+ + Na+ - Cl-, en mEq/kg de MS) des rations selon les objectifs de production sont proposés&nbsp;; ainsi on recherchera un BEA < 50 en fin de gestation et de l’ordre de 250 pour la lactation. Les AJR en oligo-éléments sont inchangés sauf pour le cobalt qui passe de 0,1 à 0,3 mg/kg de MS de la ration en raison de son effet favorable pour la fonction cellulolytique des bactéries du rumen. La révision des AJR en vitamines A, D et E sur la base des dernières recommandations américaines se traduit par une augmentation des apports en vitamine A et E (surtout pendant la gestation). L’utilisation digestive de l’apport minéral est précisée par l’adoption de coefficients d’absorption réelle (CAR) par groupes d’aliments&nbsp;; les modifications portent surtout sur P, alors que pour Mg des valeurs différentes pour les ovins et les bovins-caprins sont recommandées, l’effet négatif de la teneur de K des rations sur l’absorption de Mg est quantifié pour les différentes catégories de ruminants. Dans le cadre de la révision des Tables de composition et de valeur nutritive des aliments des ruminants, la méthodologie qui consiste à établir des données de composition minérale des fourrages verts et d’utiliser ensuite des équations de passage pour les fourrages conservés est décrite.
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PORTEJOIE, S., J. MARTINEZ, and G. LANDMANN. "L’ammoniac d’origine agricole : impacts sur la santé humaine et animale et sur le milieu naturel." INRAE Productions Animales 15, no. 3 (June 15, 2002): 151–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.3.3697.

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Abstract:
Les émissions d’ammoniac sont à 95 % d’origine agricole, dont 80 % proviennent de l’élevage. L’ammoniac est un gaz irritant pouvant être incriminé dans l’apparition de certaines maladies (asthme, bronchites chroniques) chez les éleveurs et chez les animaux et également dans la diminution des performances zootechniques. Les retours de l’ammoniac à la biosphère se font sous forme sèche ou humide, soit à proximité du lieu d’émission, soit après avoir parcouru de longues distances notamment pour l’ammonium dont le temps de résidence dans l’air est plus long que celui de l’ammoniac. Ces retombées ont diverses conséquences : (1) sur les plantes, cela entraîne un déséquilibre dans leur alimentation et augmente leur fragilité vis-à-vis d’autres facteurs secondaires de stress ; (2) suivant les caractéristiques physico-chimiques des sols et des eaux cela débouchera, soit sur un enrichissement en azote, soit sur une acidification avec disparition de la faune et de la flore dans les cas extrêmes.
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MOUNIER, L., M. MARIE, and B. J. LENSINK. "Facteurs déterminants du bien-être des ruminants en élevage." INRAE Productions Animales 20, no. 1 (May 6, 2020): 65–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3437.

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Abstract:
L’élevage des ruminants est caractérisé par une diversité importante de conduites et de pratiques ayant un impact sur le bien-être des animaux. En plein air, les animaux peuvent être exposés à des variations climatiques. En bâtiment, la liberté des mouvements et la qualité de l’aire de couchage sont des facteurs déterminants du confort ressenti par l’animal et de son état sanitaire. Une alimentation inadaptée aux besoins physiologiques, peut provoquer des perturbations métaboliques ou des déviations comportementales. Les modifications des groupes sociaux sont également potentiellement néfastes. Par exemple, des remaniements fréquents de la composition d’un groupe conduisent à un stress et une dégradation de l’état sanitaire et des performances zootechniques. Les interventions comme la castration, l’écornage ou la césarienne, semblent avoir un impact d’une durée limitée sur l’animal. Enfin, l’importance de la relation homme – animal sur le bien-être des ruminants semble accrue du fait de la tendance à une augmentation du nombre d’animaux par soigneur et une diminution du temps passé par animal. En conclusion, une multitude de facteurs, correspondant majoritairement aux conditions d’élevage et aux interventions zootechniques, peut influencer le bien-être des ruminants. Les recherches dans ce domaine doivent s’orienter sur l’impact des pratiques ainsi que les alternatives à développer.
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LACASSAGNE, L. "Alimentation des volailles : substituts au tourteau de soja. 2. Le tourteau de colza." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 123–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4443.

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Abstract:
L’incorporation de tourteau de colza "00" (sans acide érucique et à faible taux de glucosinolates) dans l’alimentation du jeune poulet de chair (0 à 3 semaines) se traduit dans 3 cas sur 4 par une baisse de croissance, quelle que soit la dose testée (entre 5 et 20 %). Cette réponse est plus nette lorsque l’aliment est granulé qu’avec une présentation en farine. Pour des animaux de 3 semaines et plus, des taux de 20 % semblent pouvoir être tolérés mais les réponses demeurent assez hétérogènes quel que soit le niveau d’incorporation utilisé. La poulette en croissance (jusqu’à 18 semaines) supporte bien des taux de tourteaux de colza allant jusqu’à 10 % mais il en résulte parfois des réductions de poids de l’oeuf et une augmentation de la mortalité légère. Les nouveaux tourteaux de colza pourraient être distribués aux poules pondeuses jusqu’à des taux de 8 à 9 % sans affecter l’intensité de ponte ni le poids de l’oeuf. Malheureusement, les goûts de poisson induits par la sinapine dès le taux d’utilisation de 5 % freine considérablement l’usage de ces tourteaux pour les poules produisant des oeufs colorés.
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REDLINGSHÖFER, Barbara, Bernard COUDURIER, and Nathalie BAREILLE. "État des lieux des pertes alimentaires et potentiel d'utilisation des sous-produits animaux par les filières animales." INRA Productions Animales 32, no. 1 (March 26, 2019): 67–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.1.2454.

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Abstract:
L’INRA a confié à ses groupes « filières » une étude (2015-2016) visant à analyser et à quantifier les pertes alimentaires aux stades de la production agricole et de la transformation. Cet article synthétise le travail sur les filières animales. Grace à la construction d’une méthodologie par bilan de masse, l’étude a permis d’analyser le devenir des deux types de retraits pratiqués : les denrées alimentaires écartées de la consommation humaine et donc susceptibles, selon la définition de l’étude, d’induire des pertes alimentaires, d’une part, et les matières inconsommables par l’Homme d’autre part, lesquelles contribuent ensemble à la production des Sous-Produits Animaux (SPA). Les taux des pertes alimentaires varient de 3 à 8 % environ dans les filières animales, en lien avec les particularités d’espèces (sensibilité aux encéphalopathies spongiformes transmissibles, notamment). Les pertes alimentaires sont majoritairement liées à la valorisation des SPA en « pet food », sauf dans la filière bovine où la fraction incinérée est importante. En ce qui concerne les parties inconsommables pour l’Homme, l’alimentation du bétail et le « pet food » jouent un rôle différent selon les filières de provenance. Une part modeste (de 1 à 5 % chez les espèces terrestres, 15 % chez les poissons) donne lieu à une valorisation en alimentation du bétail et de façon indirecte à l’alimentation humaine. Cette partie serait beaucoup plus élevée encore si la part dédiée au « pet food » (laquelle varie de 6 à 25 % selon les filières) était réorientée au moins en partie vers les aliments du bétail. Notre étude a permis de montrer que les animaux d’élevage, et en particulier les monogastriques, ne sont pas que concurrents de l’Homme pour les ressources alimentaires, mais rendent service par la valorisation des sous-produits animaux et de ce fait, par la « non-mobilisation » de ressources.
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DOREAU, M., P. GRIMAUD, and B. MICHALET-DOREAU. "La sous-alimentation chez les ruminants : ses effets sur la digestion." INRAE Productions Animales 13, no. 4 (August 18, 2000): 247–55. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.4.3784.

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Abstract:
La relation négative entre le niveau d’ingestion et la digestibilité chez les ruminants a été largement décrite. L’examen de la bibliographie montre que cela est dû à une variation du temps de rétention des particules dans le rumen. Cependant, la majorité des expérimentations a été réalisée à des niveaux d’ingestion supérieurs à l’entretien. Aussi, la présente analyse est centrée sur les travaux réalisés à bas niveaux d’ingestion. Dans ces conditions, la réponse de la digestibilité à une baisse du niveau alimentaire est variable : elle peut augmenter, rester stable ou diminuer selon les essais. Jusqu’à présent, il n’a pas été possible de déterminer les facteurs animaux ou nutritionnels (qualité du fourrage…) qui agissent sur le sens de cette variation, et en particulier sur les chutes inexpliquées de digestibilité. Toutefois, il a clairement été montré que ces diminutions ne sont pas toujours dues à un temps de rétention insuffisant des particules dans le rumen, ou à une réduction insuffisante de taille des particules alimentaires. Les mesures de dégradation in sacco n’ont pas permis de mettre en évidence des différences d’activité microbienne avec le niveau d’ingestion ; on peut émettre l’hypothèse d’une réduction de la croissance bactérienne due à un facteur limitant, ou d’une baisse de l’expression du potentiel de dégradation à très bas niveau.
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CORSON, M. S., and M. DOREAU. "Évaluation de l’utilisation de l’eau en élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 3 (June 18, 2013): 239–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3152.

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Abstract:
La pénurie d’eau, qui est le bilan entre sa disponibilité et sa consommation, est un problème régional avec des répercussions globales, car i) l’accroissement de la population humaine et de la demande en produits animaux entraîne l’augmentation de la demande en eau et ii) le changement climatique modifie les régimes de pluviométrie partout dans le monde. L’eau peut être divisée en eau « bleue » (eau de surface et des nappes phréatiques), en eau « verte » (eau du sol soumise à l’évapotranspiration) et en eau « grise » (eau virtuellement nécessaire pour diluer les polluants). Globalement 70% de l’eau bleue est utilisée pour l’agriculture. Une différence majeure entre méthodes d’appréciation de la consommation d’eau est l’inclusion ou non d’autres types d’eau que l’eau bleue. L’« empreinte eau » inclut les eaux verte et grise, alors que les analyses du cycle de vie tendent à les exclure, ou à inclure seulement la différence de disponibilité en eau verte en cas de changement d’utilisation des terres. Une seconde différence est la prise en compte de la consommation brute (en litres d’eau) ou pondérée par un index de stress hydrique (en litres d’équivalent-eau). En raison de ces différences méthodologiques, les estimations de la consommation d’eau pour un même produit varient fortement. En définitive, la pénurie en eau dépend de la consommation d’eau bleue. La contribution des animaux d’élevage à la pénurie en eau peut être réduite en diminuant leur consommation d’eau et/ou celle des cultures irriguées utilisées pour leur alimentation.
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HOCQUETTE, J. F., P. MAINSANT, J. D. DAUDIN, I. CASSAR-MALEK, D. RÉMOND, M. DOREAU, P. SANS, et al. "La viande du futur sera-t-elle produite in vitro ?" INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 363–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3164.

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Abstract:
La production de viande artificielle par culture de cellules est proposée par certains scientifiques comme une des solutions pour répondre aux grands enjeux de l’élevage : i) réduire le mal-être supposé des animaux dans les élevages modernes, voire ne pas tuer les animaux pour les manger, ii) réduire la possible dégradation de l’environnement par l’élevage et iii) réduire la faim dans le monde en augmentant le niveau des ressources protéiques alimentaires. La viande artificielle supprimerait en effet le mal-être supposé des animaux lié à l’élevage et permettrait de ne pas abattre les animaux pour les manger. L’impact environnemental de la viande artificielle est difficile à évaluer en l’absence de données sur le fonctionnement d’une usine de production. La viande artificielle présenterait toutefois un intérêt modéré pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution par les nitrates, un intérêt limité quant à l’utilisation des énergies fossiles, voire très limité pour limiter les besoins en eau, mais elle libérerait des terres cultivables. Elle entraînerait probablement dans l’eau des résidus de molécules de synthèse. De nombreux experts estiment que les causes de la malnutrition actuelle de certaines populations sont multiples et ne sont pas directement liées à un manque de ressources alimentaires. Bien que la culture de cellules soit couramment pratiquée en laboratoire, il existe des verrous techniques importants à lever pour une production à grande échelle, tels que le coût rédhibitoire des technologies actuelles et le manque de ressemblance du produit obtenu à de la viande issue d’animaux. Sur le plan nutritionnel, la viande artificielle ne présente pas d’avantage particulier par rapport à un autre aliment élaboré à partir de l’ensemble des nutriments nécessaires à sa production. Les critères d’acceptabilité de la viande artificielle renvoient, d’une part, à des questions d’ordre moral ou éthique concernant la technologie et les inquiétudes qu’elle soulève, et d’autre part, à des considérations classiques relatives aux produits alimentaires (prix, qualité, naturalité…). Par le passé, les expériences de substitution des protéines animales par des produits analogues ont échoué en raison, notamment, de contraintes économiques, du temps nécessaire pour l’éventuelle acceptation des produits par les consommateurs et pour la délivrance des autorisations de mise sur le marché. Face aux questionnements importants concernant l’élevage, la production de viande artificielle ne présente pas aujourd’hui d’avantages majeurs par comparaison à la viande naturelle ou à d’autres alternatives possibles telles que rééquilibrer notre alimentation en diversifiant les sources de protéines végétales et animales, ou encore développer des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.
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BOCQUIER, F., N. DEBUS, A. LURETTE, C. MATON, G. VIUDES, C. H. MOULIN, and M. JOUVEN. "Elevage de précision en systèmes d’élevage peu intensifiés." INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 2, 2014): 101–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3058.

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Abstract:
Les fortes contraintes d’élevage dans les systèmes peu intensifiés (grands troupeaux, larges surfaces, alimentation au pâturage, voire faible productivité par animal) laissent tout de même entrevoir des formes originales d’élevage de précision. Cet élevage de précision peut notamment s’appuyer sur l’identification électronique des animaux qui permet de les reconnaitre et de les localiser. Selon que les lecteurs d’identifiants sont utilisés manuellement, à poste fixe, ou portés par un mâle, il est possible de réaliser, respectivement, des inventaires, des opérations automatisées de tri ou la détection des femelles en chaleurs. C’est au pâturage que la maîtrise du comportement des animaux est la plus délicate car un positionnement judicieux de points d’attraction des animaux (abreuvement, pierres à sel, complémentation) ne suffit pas toujours à maîtriser la répartition de la pression de pâturage pour répondre aux objectifs pastoraux et environnementaux. Dans les situations où la pose de clôtures fixes n’est pas possible ou pas souhaitable et que le gardiennage n’est pas envisageable, les clôtures virtuelles, basées sur un apprentissage comportemental spécifique des animaux, pourraient constituer une aide précieuse à l’utilisation durable des parcours. Dans ces systèmes d’élevage, la précision visée ne se situe pas à l’échelle des individus mais plutôt sur des conduites ajustées à des lots virtuels d’animaux homogènes, qui sont séparés et regroupés grâce à des dispositifs de tri efficaces. L’utilisation de systèmes automatisés de suivi du troupeau où chaque animal est identifié génère une grande quantité de données. Quels que soient les capteurs utilisés, les données recueillies doivent être stockées dans un système d’information et traitées avec des méthodes d’analyse adaptées (algorithmes, statistiques…) pour être ensuite transformées en indicateurs d’aide à la décision ou en action exécutée par des automates (porte de tri, pesées, distributions d’aliments). En alternative à des suivis individuels, une utilisation parcimonieuse des capteurs peut être envisagée pour délivrer des alertes (intrusion, attaque de prédateur, sortie d’une zone géographique définie) ; la quantité de données produites est alors minimisée. Un travail de recherche important reste à mener pour proposer des méthodes d’analyse des données et des règles de décisions pertinentes, basées sur une modélisation du comportement animal. Dans les systèmes d’élevage peu intensifiés, la place de l’éleveur est essentielle car au sein d’un grand troupeau et face à de larges surfaces de parcours les dispositifs électroniques sont à envisager comme des aides spécifiques, à intégrer dans une stratégie de conduite plus large. Notamment, il s’agit pour l’éleveur de choisir quels animaux équiper et où positionner des capteurs, relais ou clôtures virtuelles, et à choisir de le faire aux périodes critiques. Actuellement l’offre matérielle et logicielle est freinée par le manque de souplesse des solutions proposées.
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COULON, J. B., E. LANDAIS, and J. P. GAREL. "Alimentation, pathologie, reproduction et productivité de la vache laitière. Interrelations à l’échelle de la lactation et de la carrière." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 171–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4411.

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Abstract:
L’objectif de cette étude était de préciser l’effet des principales affections sanitaires sur la production laitière et leurs liaisons avec les caractéristiques des lactations et des carrières des animaux. L’étude a été réalisée au cours d’un essai d’alimentation (comparaison de rations à base de foin ou d’ensilage d’herbe complémentées à 2 niveaux énergétiques) de longue durée (6 ans) et a porté sur 487 lactations de 190 vaches Pie-Noires et Montbéliardes. Au cours de ces 487 lactations, 595 troubles sanitaires ont été observés. Ces troubles ont donc touché 59 % des lactations étudiées avec une incidence moyenne de 2,1 affections par lactation atteinte. Les boiteries et les mammites ont représenté respectivement 52 et 24 % des affections. 47 % des mammites ont lieu au cours des 2 premiers mois de lactation. La fréquence des boiteries augmente au cours de l’hiver et est maximale à la mise à l’herbe. A court terme (5 semaines) les pertes de production les plus importantes sont causées par les mammites hivernales (24 kg) et surtout les boiteries survenant à la mise à l’herbe (56 kg). A l’échelle de la lactation complète, ce sont les boiteries répétées qui entraînent les pertes de production les plus élevées : 640 kg de lait pour les vaches ayant présenté 3 boiteries et plus contre 20 kg pour celles n’ayant présenté qu’une seule boiterie et 160 kg pour celles ayant présenté une ou plusieurs mammites. Les boiteries répétées sont 3 fois plus fréquentes chez les vaches Pie-Noires que chez les vaches Montbéliardes et quatre fois plus fréquentes chez celles ayant reçu une ration hivernale à base d’ensilage d’herbe que chez celles ayant reçu une ration hivernale à base de foin. Quatre principales classes de lactation ont pu être définies à partir du niveau de production des animaux, de leur santé, de leur reproduction et de leur réforme. Les écarts de production entre ces 4 groupes atteignent 1 800 kg de lait par lactation. Les vaches recevant une ration à base d’ensilage d’herbe faiblement complémentée ont eu une carrière plus courte que celles recevant les autres rations (2,5 lactations contre 3,2 à 3,5). Les vaches présentant en première lactation des troubles sanitaires graves (boiteries multiples) ont eu une carrière plus courte de 1,1 lactation que les vaches indemnes en première lactation. En moyenne, la production laitière et le poids vif ont augmenté de respectivement 622 et 51 kg entre la 1ere et la 3e lactation. Cette augmentation de production laitière a été plus importante chez les vaches recevant une alimentation hivernale à base de foin (complémenté à haut ou bas niveau) ou d’ensilage d’herbe complémenté à haut niveau (+ 752 kg) que chez celles recevant une ration à base d’ensilage d’herbe complémenté à bas niveau (+ 359 kg). A l’échelle de 3 lactations, l’écart de production laitière entre les lots extrêmes (foin haut et ensilage bas) atteint 2 770 kg, soit 26 %. Ces résultats conduisent à reconsidérer certaines conclusions issues de résultats obtenus à l’échelle de l’hiver ou de la lactation.
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HERPIN, P., and B. CHARLEY. "Quel avenir pour les recherches en productions et santé animales ?" INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 22, 2008): 137–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3384.

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Abstract:
La dimension planétaire des problématiques de recherche (développement durable, changement climatique, gestion de la biodiversité, qualité de l’eau, qualité et sécurité de l’alimentation, maladies émergentes, bioénergies), la nécessité d’accroître encore à l’avenir l’offre alimentaire mondiale pour répondre à une démographie galopante, et l’évolution du statut de l’animal replacent les pratiques d’élevage, les animaux et leurs produits au coeur de débats de société. Après un tour d’horizon des grands enjeux auxquels seront confrontés les agronomes de demain, quelques axes de recherche prioritaires sont brièvement esquissés. Ils entrent totalement dans l’objectif d’une recherche agronomique finalisée pour une alimentation adaptée, un environnement préservé et une agriculture compétitive et durable, en lien avec l’ensemble des acteurs publics et privés. Les relations entre l’élevage, ses produits et l’environnement devront être explorées, analysées, modélisées pour faire évoluer nos pratiques et tenter de réconcilier élevage et écologie. L’analyse des grands enjeux qui conditionnent l’évolution de la place des produits animaux dans l’alimentation de l’Homme permettra de revisiter notre dispositif de recherche et d’apporter une dimension intégrative indispensable aux travaux de recherche. Le formidable potentiel de progrès et d’innovation offert par la génomique et la post-génomique devra être exploré. La maîtrise des processus infectieux, émergents ou récurrents, nécessitera la mise oeuvre d’une véritable écologie des maladies, intégrant la dimension environnementale. Pour s’approprier pleinement ces différentes dimensions, les chercheurs en sciences animales devront résolument ouvrir leurs réflexions et leurs projets à d’autres disciplines (écologie, agronomie, nutrition humaine, sociologie, économie de l’élevage et des produits…), et construire leurs questions de recherche en diversifiant leurs partenariats, dans le cadre d’un dialogue renouvelé et constructif avec la société.
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Fall, Safietou T., M. Diop, G. Sawadogo, and A. Doucoure. "Phosphates naturels et alimentation du bétail en zone sahélienne. II. Influence sur la survie, la production laitière et la reproduction du zébu Gobra." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 3-4 (March 1, 1999): 249–54. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9671.

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Abstract:
Pour évaluer l'impact des phosphates naturels sur la survie et la reproduction du zébu Gobra, des essais ont été menés à Dahra au Sénégal, dans la zone sylvopastorale, de janvier 1991 à novembre 1994. Quatre lots de 15 génisses de race Gobra ont été entretenus sur pâturages permanents au Crz de Dahra. Les compléments minéraux distribués étaient composés de 50 g de phosphate de Taiba pour le lot 1, de 100 g de phosphate tricalcique de Lam-Lam (Thiès) pour le lot 2 et de 65 g de poudre d'os pour le lot 3. Le lot 4 témoin ne recevait aucun supplément. Les minéraux ont été distribués tous les jours en saison sèche (huit à neuf mois sur douze) pendant quatre années consécutives. Les mesures effectuées ont concerné la consommation quotidienne des minéraux, le contrôle pondéral et l'enregistrement des mortalités, naissances, saillies et gestations. Un contrôle laitier hebdomadaire a été fait sur les animaux en lactation. Le suivi de l'état de santé du troupeau a été effectué par des examens cliniques mensuels et le suivi quotidien des animaux malades. Les résultats mettent en évidence une innocuité des phosphates testés. Aucun signe d'intoxication au fluor n'a été noté. Une nette efficacité zootechnique des phosphates naturels a été observée. Comparée au lot témoin, la mortalité a été réduite de 50 et 85 % respectivement au sein des lots « poudre d'os » et « phosphate de Thiès ». En novembre 1994 et respectivement pour les lots 1, 2, 3 et 4, le taux de conception était de 25, 53, 57 et 40 %, l'intervalle entre les vêlages de 633, 654, 621 et 704 j et le poids à la naissance de 23,5, 26, 23,9 et 23,8 kg. Ces paramètres ont été améliorés par la supplémentation minérale qui a eu aussi une influence significative (p infff 0,01) sur la production laitière. Ces résultats suggèrent l'utilisation généralisée en milieu traditionnel du phosphate de Taiba et du phosphate tricalcique de Lam-Lam (Thiès), aux doses quotidiennes respectives de 50 g et 100 g en distribution continue pendant la saison sèche (huit à neuf mois sur douze).
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Dehoux, J. P., A. Dieng, and A. Buldgen. "Le cheval Mbayar dans la partie centrale du bassin arachidier Sénégalais." Animal Genetic Resources Information 20 (April 1996): 35–54. http://dx.doi.org/10.1017/s1014233900000869.

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Abstract:
RésuméLe Sénégal dispose d'un important cheptel équin dont l'effectif croît régulièrement. Le cheval occupe une place prépondérante dans l'économie sénégalaise. Très apprécié comme animal de trait léger pour les travaux agricoles et le transport ou comme cheval de course, le poney MBayar, principale race chevaline locale, est un animal docile, sobre et endurant.Une enquête réalisée entre octobre 1994 et janvier 1996 a porté sur un effectif de 612 chevaux de race Mbayar. Par ailleurs, 397 animaux ont été examinés lors des consultations vétérinaires.En milieu rural, l'âge au premier poulinage se situe vers 4 ans. Le taux de fécondité est estimé à 41,7 %. Le poids de naissance est de 30,2 ± 2,2 kg. A un an, le poulain pèse 135,7 ± 33,0 kg. Le poids adulte est de 245,6 ± 34,0 kg chez le mâle et de 230,9 ± 29,7 kg chez la femelle. Le taux de mortalité périnatale est de 13,6 %.La sous-alimentation, le manque de soins, le surmenage, l'absence de mesures prophylactiques et le faible niveau de connaissance et de revenus des éleveurs de chevaux expliquent la faible productivité de cette race locale.
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VIEUILLE-THOMAS, C., and J. P. SIGNORET. "Comportement de truies en groupe lors de la réalisation d’un apprentissage : utilisation d’un système alimentaire informatisé." INRAE Productions Animales 4, no. 5 (December 2, 1991): 383–87. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4352.

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Abstract:
Chez les truies gestantes, la conduite d’élevage, qui implique une alimentation individualisée, n’est plus limitée aux systèmes de contention depuis que les distributeurs informatisés se sont développés. Les femelles sont en liberté et alimentées à l’aide d’un appareil complexe délivrant des rations individuelles programmées. Ce type de système d’élevage répond ainsi aux exigences de la réglementation européenne récemment mise en place en matière de bien-être animal. Cependant, les animaux s’adaptent parfois difficilement à cette technique : les résultats obtenus sur 13 groupes de dix truies montrent que 55,4 % des femelles seulement apprennent spontanément l’utilisation de l’appareil en 24 heures. 16,2 % le font après avoir été séparées des premières, alors que 18,5 % ne réussissent à réaliser cet apprentissage qu’avec l’aide de l’éleveur qui les y attire par la distribution d’aliments. Enfin les 10 % restant demandent un apprentissage plus prolongé. Les différences observées dépendent de caractéristiques individuelles : les truies utilisant facilement l’appareil ont un profil comportemental opposé à celles qui posent des problèmes d’apprentissage. Ces dernières apparaissent comme des individus initiateurs de déplacements provoqués, peu explorateurs et non dominants en situation de compétition alimentaire. Les conditions d’apprentissage sont donc liées à des paramètres individuels difficilement modifiables par des techniques d’élevage. Un moyen de faciliter la tâche des éleveurs serait de familiariser les animaux au stade "cochette" à des dispositifs alimentaires proches de ce type de distributeur. Cette solution permettrait de réduire les réactions de crainte vis-à-vis de l’appareil et des bruits qui résultent de son utilisation.
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BOCQUIER, F., P. GUILLOUET, and F. BARILLET. "Alimentation hivernale des brebis laitières : intérêt de la mise en lots." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 19–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4101.

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Abstract:
Les techniques simplifiées d’alimentation collective mettent rarement en péril la santé des brebis ou leur productivité apparente, car de nombreuses régulations physiologiques leurs permettent de s’adapter aux excès ou aux déficits alimentaires. Mais elles conduisent à un gaspillage d’aliments concentrés ou à une baisse de production selon le niveau initial de performance de chaque brebis. La mise en lots des animaux en fonction de leurs besoins alimentaires est un moyen de mieux ajuster les apports alimentaires aux performances de production attendues. Les principaux facteurs de variation des besoins sont décrits et leur intérêt comme critère pour la constitution de lots homogènes est discuté. Deux essais de mise en lots ont été réalisés. Le premier comparait deux troupeaux de performances moyennes identiques, l’un dans lequel les brebis étaient conduites ensemble (Mélangées, n=96), l’autre dans lequel les brebis étaient réparties en deux lots selon leur production laitière (Séparées-Bas, n=48 et Séparées-Haut, n=48). Au sein de chaque groupe les apports en concentrés ont été ajustés pour satisfaire les besoins de 85 % des brebis, les fourrages étant distribués à volonté. Après 100 jours d’essai les consommations totales de fourrages et de concentrés ont été identiques ainsi que les productions laitières moyennes ( Mélangées : 171 vs Séparées : 175 l/100j). Pour économiser des concentrés, il aurait fallu diminuer plus fortement les apports aux brebis du lot Bas. C’est ce que nous avons fait dans un deuxième essai où les apports de concentrés ont été soit identiques pour toutes les brebis (conduite classique, n=67), soit ajustés selon la production laitière, grâce à un distributeur automatique de concentré. Sur la période expérimentale, les productions laitières moyennes ont été identiques (Classique : 284,6 l/180j vs Ajusté : 282,2 l/180j), avec une distribution plus faible de concentré de 51 kg par brebis lorsque les apports sont ajustés. Les perspectives d’utilisation de telles techniques d’alimentation en lot dépendront des développements de l’identification électronique et de l’automatisation du contrôle de performances.
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CHAPOUTOT, Patrick, Benoît ROUILLÉ, Daniel SAUVANT, and Bénédicte RENAUD. "Les coproduits de l’industrie agro-alimentaire : des ressources alimentaires de qualité à ne pas négliger." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 201–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2353.

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Abstract:
Depuis des décennies, les filières agroalimentaires génèrent des coproduits de première ou de deuxième transformation qui représentent en France un gisement important (12 millions de tonnes de matière sèche), dont plus de la moitié est issue des filières de la trituration (29 %), de la sucrerie (14 %) et de l'amidonnerie-féculerie (13 %). Les trois-quarts de ces ressources sont valorisés en alimentation animale, pour 80 % environ via les aliments composés et 20 % directement en élevage. De ce fait, les coproduits, que les réglementations européenne et française distinguent clairement de la catégorie « déchets », sont des matières premières de l'alimentation animale à part entière et doivent en respecter la réglementation. La disponibilité de ces coproduits peut fortement varier dans le temps avec une saisonnalité marquée pour certaines filières, ou dans l'espace selon la répartition des usines agroalimentaires sur le territoire et la superposition avec les zones d'élevage. Les procédés technologiques générateurs de ces coproduits peuvent différer d'une filière à l'autre. La nature et la composition chimique des coproduits dépendent du procédé mis œuvre qui peut évoluer dans le temps, mais également d'une usine à l'autre au sein d'une même agro-industrie. Leur bonne valorisation en alimentation animale est largement conditionnée par une connaissance précise de la qualité des différentes fractions organiques (parois végétales et protéines, notamment) ou minérales accumulées dans les coproduits, et de l'efficacité de leur utilisation qui peut varier fortement selon l'espèce animale destinataire (ruminants ou monogastriques) et selon les types de process appliqués. Un certain nombre de recommandations alimentaires et sanitaires doivent être appliquées pour garantir une utilisation optimale des coproduits par les animaux sans pénaliser leurs performances zootechniques. Ces coproduits présentent de ce fait une réelle valeur économique qu'il est possible de déterminer, même pour les ruminants, au moyen des outils de formulation à moindre coût par programmation linéaire couramment utilisés chez les monogastriques.
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COULON, J. B., and B. REMOND. "Réponses de la production et de la composition du lait de vache aux variations d’apports nutritifs." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 57–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4317.

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Abstract:
L’objectif de cette étude bibliographique a été de préciser l’influence du stade de lactation, de l’âge, du niveau de production des animaux et de la durée de la sous(sur)-alimentation, sur la réponse de la production laitière et du taux protéique à des apports variables d’énergie. Soixante-six essais d’alimentation réalisés sur des vaches laitières produisant entre 9 et 29 kg/j (6 à 30 vaches/lot expérimental) et comportant au moins 3 niveaux d’apports énergétiques ont été utilisés. Ces apports énergétiques ont été exprimés en énergie réellement disponible pour l’animal (énergie nette de lactation, UFL). En début de lactation, la réponse de production laitière aux apports énergétiques a été linéaire et élevée (+ 0,9 kg de lait/UFL). En milieu de lactation et dans les essais de longue durée, cette réponse a été curvilinéaire. Lorsque les apports étaient inférieurs aux besoins, elle a été plus forte dans les essais de longue durée que dans ceux réalisés sur de courtes périodes en milieu de lactation (2,2 kg/UFL contre 1,3 kg/UFL, P < 0,01). La réponse du taux protéique aux apports énergétiques a été linéaire quelles que soient la période et la durée des essais. Elle a été 2 fois plus faible en début de lactation (0,3 g p.1000/UFL) qu’en milieu de lactation ou qu’au cours des essais de longue durée (0,6 g p.1000/UFL). La relation entre les variations de la production laitière et du taux protéique a été curvilinéaire et a dépendu du stade de lactation et du niveau de couverture des besoins énergétiques. Il n’a pas été possible de mettre en évidence d’effet important du niveau de production des animaux sur les réponses de la production laitière ou du taux protéique aux variations d’apports énergétiques.
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SANCHEZ, A., M. PLOUZEAU, P. RAULT, and M. PICARD. "Croissance musculaire et fonction cardio-respiratoire chez le poulet de chair." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 37–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3766.

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Abstract:
Cet article fait le point sur l’influence supposée de la sélection du poulet de chair privilégiant croissance rapide, rendement musculaire élevé et indice de consommation minimum, sur la fréquence des incidents d’élevage d’origines cardio-vasculaire et respiratoire, aggravés par les coups de chaleur. Les poulets à croissance rapide présentent un rapport du volume pulmonaire sur le poids corporel inférieur, une capacité à fixer l’O2 dans le sang plus faible, une viscosité sanguine plus élevée et des arythmies cardiaques plus fréquentes que les poulets à croissance lente. Ces facteurs peuvent expliquer leur prédisposition à l’apparition d’un syndrome d’hypertension pulmonaire se compliquant d’ascite. Du fait d’un développement relativement plus lent de leur système cardio-respiratoire, certains animaux ont parfois des difficultés à assurer un approvisionnement correct de leurs tissus musculaires en oxygène. Leur capacité d’adaptation à une stimulation du métabolisme par des facteurs environnementaux (climat, altitude, alimentation riche en protéines et en énergie ) est limitée et favorise indirectement l’installation d’une hypoxie relative en augmentant les besoins en O2. Les généticiens recherchent de nouveaux critères de sélection sur les caractéristiques pulmonaires, hématologiques et cardio-vasculaires en équilibre avec les caractéristiques de croissance.
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PERROT, C. "Les protéines de pois : de leur fonction dans la graine à leur utilisation en alimentation animale." INRAE Productions Animales 8, no. 3 (June 22, 1995): 151–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.3.4122.

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Abstract:
Riche en protéines, le pois est une matière première d’origine européenne particulièrement intéressante pour l’alimentation des animaux monogastriques. Dans la graine de pois, la principale fonction des protéines est de servir de réserve d’azote et d’acides aminés. Cette fonction engendre, pour ces protéines, certaines caractéristiques particulières, telles qu’une structure particulièrement compacte, ou une résistance à l’hydrolyse avant la germination. En alimentation animale, les protéines de pois présentent une digestibilité assez variable, généralement inférieure à celle d’aliments témoins (soja). La digestibilité des protéines peut être limitée à plusieurs niveaux : au niveau de l’hydrolyse par les enzymes digestives, au niveau de l’absorption des produits d’hydrolyse et au niveau de la réaction de l’animal à l’aliment, pouvant se traduire par une perte accrue de protéines endogènes. Différents facteurs ont été proposés pour expliquer la limitation de la digestibilité des protéines de pois : présence d’inhibiteurs trypsiques, de lectines, de fibres, structure particulière des protéines, antigénicité de ces protéines. L’application de traitements technologiques peut avoir des conséquences positives (dénaturation de protéines, inactivation d’inhibiteurs, perte de la structure cellulaire...) ou négatives (réticulation, insolubilisation de protéines) sur la digestibilité des protéines.
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Jean-Paul EUZÉBY, Véronique GUÉRIN-FAUBLÉE, and Henri-Jean BOULOUIS. "ÉTUDE DE QUELQUES BACTÉRIES." ACTUALITES PERMANENTES EN MICROBIOLOGIE CLINIQUE 15, no. 02 (July 27, 2020): 64. http://dx.doi.org/10.54695/apmc.15.02.1539.

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Abstract:
L’examen bactériologique des prélèvements d’origine animale pose de nombreux problèmes aux laboratoires de diagnostic. La médecine vétérinaire s’intéresse à de nombreusesespèces, domestiques ou sauvages, allant des mollusques (coquillages, escargots) ou des arthropodes (abeilles, vers à soie…)jusqu’aux vertébrés supérieurs (primates non hominiens) en passant par les poissons, les reptiles et les oiseaux. Chacun de cesanimaux peut être infecté par des germes qui lui sont propreset l’éventail des bactéries potentiellement pathogènes est trèslarge. Les élevages intensifs se caractérisent par la rechercheexclusive de hauts rendements chez des animaux de plus enplus jeunes, soumis à une alimentation intensive et élevés engrand nombre sur des espaces de plus en plus confinés. Au seinde ces élevages, les grandes maladies sont bien maîtrisées maislaissent la place à des infections médicalement peu graves maisayant des répercussions économiques importantes telles que desretards de croissance. Ces infections sont généralement plurimicrobiennes et les résultats bactériologiques sont difficiles àinterpréter. La médecine des animaux de sport ou de compagnie,moins astreinte aux contraintes économiques, peut faire appel àtoutes les techniques médicales, chirurgicales et thérapeutiquesy compris les plus modernes. L’animal malade, traumatisé, affaibli, voire immunodéprimé sera soumis à des techniques d’exploration invasives, il fera l’objet de soins intensifs et il pourracontracter des auto-infections ou des exo-infections (dont desinfections nosocomiales et iatrogènes) provoquées par toute unepanoplie de germes plus opportunistes que véritablement pathogènes. Paradoxalement, les propriétaires ne sont pas toujoursconvaincus de l’utilité des examens de laboratoire et ne sont pasprêts à en assumer les coûts ce qui ne permet ni d’approfondirun diagnostic ni de multiplier les analyses sur un même animal(à titre d’exemple, il est exceptionnel de réaliser plusieurs hémocultures consécutives !). La réalisation des prélèvements s’avèredélicate et les pollutions par les flores saprophytes ou les germesdu milieu ambiant sont fréquentes. Il en résulte l’obtention decultures pluri bactériennes au sein desquelles l’agent étiologiquecoexiste avec toute une flore de contamination.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : l'UE et la France." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2347.

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Abstract:
L’UE qui produit environ 80 millions de tonnes de protéines végétales (dont la moitié de fourrages) en importe près de 15 millions sous forme de produits en l’état (céréales, graines oléagineuses) ou coproduits des industries agricoles et alimentaires (en particulier tourteaux) non consommables par l’Homme. Environ 87 % de la consommation intérieure de ces protéines est destinée à l’alimentation animale et permet la production de 11 millions de tonnes de protéines animales sous forme de lait, de viandes et d’œufs. L’industrie des aliments composés particulièrement développée apporte 67 % des protéines hors fourrages et fait apparaître une forte diversification dans ses matières premières consommées. Le soja, dont les importations européennes ont sensiblement baissé au cours des 10 dernières années, ne représente plus que 18 % des protéines végétales utilisées par les animaux. La part de l’UE dans les importations mondiales est passée de 60 % au début des années 1970 à moins de 19 % actuellement. La France consomme 12 millions de tonnes de protéines végétales en alimentation animale (dont la moitié de fourrages) et présente de nombreuses similitudes avec l’UE, mais une différence essentielle, celle d’être globalement exportatrice nette de 1,5 million de tonnes de protéines, largement sous forme de céréales. Alors que l’UE est importatrice nette de « surface agricole », la France peut in fine exporter à la fois des protéines animales et des protéines végétales grâce à l’importance de sa surface agricole et à la diversité de ses agricultures (spécialisation animale du Grand Ouest et végétale de certaines autres régions qui permettent d’atteindre des rendements élevés).
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GONDRET, F., and J. F. HOCQUETTE. "La teneur en lipides de la viande : une balance métabolique complexe." INRAE Productions Animales 19, no. 5 (December 14, 2006): 327–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.5.3499.

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Abstract:
La teneur en lipides intramusculaires est une composante importante de la qualité des produits carnés, et en particulier de leur acceptabilité sensorielle. Les facteurs susceptibles de modifier la quantité de lipides dans les muscles de l’animal au moment de son abattage sont multiples, parmi lesquels son génotype, son type sexuel, son âge et son alimentation. Cependant, les déterminismes métaboliques ou géniques de la teneur en lipides intramusculaires restent mal connus. Des travaux récents montrent que l’importance des flux de lipides dans le muscle et l’orientation d’une balance entre de nombreuses voies impliquées dans la lipogenèse des acides gras d’une part et leur oxydation d’autre part, seraient responsables de l’essentiel de la variabilité de la teneur en lipides intramusculaires durant la période postnatale. Les mécanismes précoces qui président au contrôle du nombre d’adipocytes intramusculaires (c’est-à-dire à la prolifération et différenciation cellulaires) seraient majoritairement à l’origine des différences de teneur en lipides intramusculaires en fonction du génotype de l’animal ou de la sélection génétique intra-race. Les approches à haut débit sans a priori, telles que la transcriptomique et la protéomique, devraient prochainement aboutir à l’identification de nouvelles cibles permettant le contrôle de la teneur en lipides intramusculaires, indépendamment de l’adiposité corporelle des animaux.
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FORTUN-LAMOTHE, L., and T. GIDENNE. "Besoins nutritionnels du lapereau et stratégies d’alimentation autour du sevrage." INRAE Productions Animales 16, no. 1 (February 9, 2003): 39–47. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.1.3643.

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Abstract:
Les besoins nutritionnels de la lapine allaitante sont antagonistes de ceux des lapereaux âgés de 20 à 42 jours. En effet, les besoins de la femelle allaitante sont élevés alors que la consommation d’un aliment de faible densité énergétique (pauvre en amidon et riche en fibres) pendant la période qui précède le sevrage améliorerait la viabilité des lapereaux après le sevrage. Plusieurs stratégies d’alimentation et d’élevage sont envisageables. Si le sevrage est réalisé entre 28 et 35 jours d’âge, une alimentation spécifique pour les jeunes, différente de celle de la mère, semble la solution la plus pertinente mais elle nécessite une modification du système de logement des animaux. A défaut, il convient de trouver un compromis entre les besoins nutritionnels de ces deux catégories d’animaux, par exemple une incorporation de matières grasses dans l’aliment permettrait d’accroître sa densité énergétique, sans réduire les apports de fibres. Cette solution privilégie la santé des jeunes au détriment de l’état corporel des femelles au sevrage. Le sevrage précoce (avant 26 jours d’âge) paraît aussi une alternative intéressante permettant de proposer aux lapereaux un aliment adapté à leurs besoins, et laissant plus de temps aux femelles pour reconstituer leurs réserves corporelles. Néanmoins, cette alternative nécessite des études complémentaires, tant pour préciser les besoins nutritionnels des lapereaux sevrés précocement que pour connaître les conséquences de cette pratique sur leur viabilité ultérieure.
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COULON, J. B., and A. PRIOLO. "La qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande dépend des fourrages consommés par les animaux." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (December 15, 2002): 333–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3712.

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Abstract:
La nature des fourrages ingérés par les ruminants est un des facteurs de variation de la qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande. L’effet de ce facteur a été récemment mis en évidence, en particulier dans le cadre des produits d’Appelation d’Origine Contrôlée, pour lesquels l’alimentation des animaux constitue un élément important de liaison au terroir. Sur les fromages, la conservation de l’herbe sous forme d’ensilage ne semble pas entraîner, lorsqu’elle est réalisée dans de bonnes conditions, de modifications importantes des caractéristiques sensorielles, exception faite de la couleur, plus jaune avec l’ensilage. Les régimes à base d’herbe pâturée conduisent à des fromages dont la couleur, le goût et l’odeur sont plus intenses que ceux issus d’une alimentation hivernale à base d’herbe conservée sous forme de foin et d’ensilage. La composition botanique de l’herbe modifie aussi les caractéristiques sensorielles des fromages. Les écarts les plus importants concernent la texture et sont obtenus sur des fromages à pâte pressée cuite lorsque les vaches pâturent des prairies très diversifiées. Ces différences sensorielles peuvent être dues à des constituants du lait directement issus de l’alimentation. C’est le cas des carotènes, responsables de la couleur jaune des produits laitiers, et qui sont présents en grande quantité dans les fourrages verts. Elles peuvent aussi être liées à des constituants du lait produit par l’animal de manière différentielle selon l’alimentation offerte. C’est le cas de la teneur en plasmine du lait ou de la composition de ses matières grasses, qui peuvent modifier la texture du fromage. La viande des animaux finis à l’herbe est plus sombre et moins tendre que celle des animaux finis avec des régimes riches en concentrés. Cet effet pourrait être lié d’une part à une modification du pH ultime de la viande (pour la couleur), mais aussi à l’âge à l’abattage (plus avancé avec les régimes à base d’herbe), à l’état d’engraissement des carcasses et à la teneur en gras intramusculaire (plus élevés avec les régimes riches en concentrés), qui peuvent modifier à la fois la couleur et la tendreté des viandes. L’alimentation à l’herbe influence aussi la flaveur de la viande. Cet effet serait lié d’une part à l’interaction entre les acides gras à chaînes ramifiées (considérés comme responsables de la flaveur caractéristique de la viande ovine) et le scatole (issu de la dégradation du tryptophane) qui renforcerait la perception sensorielle des acides gras à chaînes ramifiées, et d’autre part à la teneur en acide linolénique. Les produits d’oxydation de cet acide sont en effet associés aux flaveurs spécifiques de la viande.
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Meffeja, F., T. Dongmo, N. Njifutie, J. Djoukam, and J. M. Fosto. "Influence comparée d’une alimentation à base de graines de soja cuites ou grillées sur les performances des porcs en croissance finition." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 1-2 (January 1, 2003): 103. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9867.

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Abstract:
Une expérience a été menée pour évaluer l’efficacité des traitements thermiques par grillade (chaleur sèche) et par cuisson (chaleur humide) des graines de soja sur les performances zootechniques des porcs en croissance finition. Vingt porcelets hybrides mâles, de poids moyen initial de 15,4 ± 0,8 kg, ont été répartis en quatre lots (cinq répétitions par lot) et soumis à des rations alimentaires à base des tourteaux de soja, de coton et de graines de soja cuites ou grillées pendant une période de 98 jours. Les rations à base de tourteaux de soja et de coton couramment utilisées ont servi de rations témoins. Les résultats ont montré que le gain pondéral et l’indice de consommation obtenus à partir des rations des graines cuites et grillées ont été significativement supérieurs (p < 0,05) à ceux de la ration du tourteau de coton, mais ils n’ont pas montré de différence significative (p > 0,05) par rapport à la ration du tourteau de soja. Une comparaison des deux méthodes de traitements n’a présenté aucune différence significative sur les performances zootechniques des animaux. Les coûts alimentaires de production d’un kilogramme de poids vif, pondérés sur les deux phases de croissance – bien qu’ils n’aient pas été significativement différents – ont montré une légère baisse numérique pour le traitement par grillade. Ceci permet d’affirmer que cette méthode de traitement peut être utilisée aussi avantageusement que le traitement par la chaleur humide.
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CHATEIGNER-BOUTIN, Anne-Laure, Luc SAULNIER, Michel LESSIRE, Nathaële WACRENIER, and Fabien ALLEMAN. "Les polymères de mannose en production animale. 1. focus sur les structures chimiques rencontrées dans les aliments et les propriétés biologiques." INRAE Productions Animales 33, no. 4 (April 6, 2021): 283–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.4.4633.

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Abstract:
Les polysaccharides à base de mannose sont très largement répandus dans le monde vivant. D’un organisme à un autre, la longueur du squelette de mannose, le type de liaison entre les sucres, la composition et la longueur des ramifications sont extrêmement variables et confèrent à ces polymères des propriétés fonctionnelles et biologiques différentes. Au-delà de leur rôle structural ou encore de capteur de molécules d’eau dans les plantes, ils participent en particulier à la glycosylation des protéines et sont clairement impliqués dans les phénomènes d’interaction ligand-récepteur. Certains polymères de mannose viraux ou bactériens hautement conservés sont ainsi, chez les animaux supérieurs, reconnus très rapidement par l’hôte qui se défend en initiant une réponse non spécifique, dite « réaction immunitaire innée ». Plutôt reliées par les liaisons α chez les virus, les bactéries et les levures, les unités de mannose sont reliées par des liaisons β chez les végétaux supérieurs. Les β-mannanes sont présents dans tous les produits d’origine végétale, et à des teneurs particulièrement élevées dans certaines familles (palme, guar, coprah) et certains tourteaux utilisés en alimentation animale. Leurs propriétés anti-nutritionnelles observées chez les porcs et les volailles s’expliqueraient principalement par l’apparition d’inflammation intestinale induisant des baisses de performances, des baisses d’efficacité alimentaire et une augmentation des dépenses énergétiques associées à la mise en œuvre du système immunitaire.
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Guidimê, Léopold Sènouwa, Habirou Imorou Sidi, André Jonas Djènontin, Byll Orou Kpérou Gado, and Sévérin Babatoundé. "Effets de la complémentation à base de Vitanimal sur les performances laitières et économiques des vaches Borgou au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 1 (March 1, 2021): 43–48. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36322.

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Abstract:
L’objectif principal était d’évaluer l’impact d’un complément alimentaire, le Vitanimal (mélange de coques et de tourteau de coton), sur les performances laitières des vaches Borgou dans un contexte de rareté du fourrage en saison sèche et de réduction de la mobilité pastorale. L’évaluation a concerné un troupeau de 15 vaches ayant eu au moins deux mises bas à la Ferme d’élevage de l’Okpara. Les animaux ont été répartis en trois lots : le lot 1, lot témoin, a bénéficié uniquement du fourrage des parcours naturels et artificiels de la ferme, de pierres à lécher et d’eau ad libitum ; les lots 2 et 3 ont bénéficié de la même alimentation que les témoins avec en plus respectivement 2 et 4 kg du complément alimentaire. Les quantités de lait produites et les refus du complément ont été collectés et quantifiés chaque jour pendant 90 jours. Les analyses ont montré des différences significatives (p < 0,05) pour l’ingestion du complément alimentaire entre les lots 2 et 3, et pour les refus qui ont été plus importants dans le lot 3. Le Vitanimal a eu des effets significatifs sur les performances des vaches. Les productions journalières de lait ont été de 0,76 ± 0,35 kg, 1,04 ± 0,35 kg et 1,16 ± 0,46 kg respectivement pour les lots 1, 2 et 3. Ces quantités ont augmenté avec la quantité de complément servie. Toutefois, la ration du lot 2 a été plus rentable, soit 75 % de taux de rentabilité contre 25 % pour le lot 3.
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HOSTIOU, N., C. ALLAIN, S. CHAUVAT, A. TURLOT, C. PINEAU, and J. FAGON. "L’élevage de précision : quelles conséquences pour le travail des éleveurs ?" INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 2, 2014): 113–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3059.

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Abstract:
L’automatisation et l’« électronisation » des élevages explosent depuis quelques années dans de nombreux pays, donnant naissance à ce que l’on appelle l’élevage de précision. Ce déploiement important de capteurs et d’automates provenant de l’industrie désormais utilisables en élevage, répond aux contraintes économiques, structurelles et sociales actuelles des exploitations agricoles. L’élevage de précision se développe dans les différentes filières animales pour faciliter la surveillance de troupeaux dans un contexte d'accroissement de la taille des élevages et de diminution de la disponibilité en main-d’oeuvre. La réduction de la pénibilité de certaines tâches répétitives semble être, aussi, un facteur d’adoption de ces nouvelles technologies. Cette synthèse se concentre sur l’impact de l’élevage de précision sur le métier d’éleveur et l’organisation de son travail, sujets encore peu abordés. Des gains de temps sont en effet observés du fait de l’introduction des automates et capteurs dans les élevages car ils remplacent les tâches physiques récurrentes (traite, alimentation) tout en simplifiant la surveillance des animaux (chaleurs, problèmes sanitaires, surveillance des mises bas….). Outre les gains de temps qui restent encore à objectiver, d’autres dimensions du travail sont affectées par l’élevage de précision (souplesse dans l’organisation, nouveaux horaires). Les informations fournies peuvent aussi alléger la charge mentale en indiquant les interventionsnécessaires, par exemple, pour le moment d’insémination optimal, à l'occasion des mises bas ou en détectant précocement les troubles de santé pour anticiper l'action curative. Cependant, le recours à ces nouvelles technologies crée également de nouvelles tâches telles que l’entretien et la surveillance du matériel, l’apprentissage de son utilisation, la consultation et l’interprétation des données fournies par ces outils. Ainsi, la charge mentale peut parfois être accrue du fait de la complexité des informations à gérer, de la multiplicité des alarmes ou des alertes ou encore des risques de pannes plus fréquents. Les relations entre l’éleveur et ses animaux sont également modifiées. Les conséquences sur le travail, si elles comportent des aspects positifs susceptibles d'exercer un attrait pour le métier notamment de jeunes en quête de modernité, peuvent se révéler sources d'échecs si elles ne sont pas adaptées aux besoins et aux compétences des éleveurs. Il est donc essentiel de prendre en compte le travail, selon ses différentes dimensions, pour favoriser l’appropriation de ces nouvelles technologies par les éleveurs.
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GABRIEL, I., S. MALLET, and P. SIBILLE. "La microflore digestive des volailles : facteurs de variation et conséquences pour l’animal." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 309–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3535.

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Abstract:
La flore digestive des oiseaux reste incomplètement connue compte tenu des méthodes utilisées jusqu’à présent. Elle se trouve principalement dans le jabot et les caeca, mais aussi, bien que numériquement moins importante, dans l’intestin. Dans la partie supérieure du tube digestif, les bactéries anaérobies facultatives dominent, alors que les caeca hébergent surtout des bactéries anaérobies strictes. Cette microflore dépend de nombreux facteurs tels que l’individu, son âge, son environnement, et son alimentation. Elle est responsable de la production de différents métabolites qui peuvent être utiles ou nuisibles à l’hôte. Les interactions entre la microflore et la muqueuse intestinale sont à l’origine de nombreuses modifications structurales et fonctionnelles du tube digestif. La microflore entraîne une baisse de la digestibilité des lipides riches en acides gras saturés et peut modifier la digestion des glucides et des protéines. Elle entraîne une augmentation des besoins énergétiques et en acides aminés. Elle a un impact négatif sur la nutrition vitaminique. La flore indigène peut avoir un effet protecteur contre les micro-organismes néfastes et est responsable en partie du développement du système immunitaire intestinal. Globalement la présence d’une flore affecte négativement la croissance. Elle peut aussi avoir des effets sur la qualité des produits animaux (viande, œuf). Une connaissance plus approfondie de la microflore et de ses effets permettra à l’avenir de mieux la contrôler pour l’orienter dans un but bénéfique aussi bien pour l’animal que pour le producteur, le consommateur, et l’environnement.
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Mion, L., E. Herrscher, J. Blondiaux, E. Binet, and G. Andre. "Comportements alimentaires en Gaule du Nord : étude isotopique du site de l'Îlot de la Boucherie (iiie–ve siècles apr. J.-C.) à Amiens." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 28, no. 3-4 (September 26, 2016): 155–75. http://dx.doi.org/10.1007/s13219-016-0164-7.

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Abstract:
L'analyse des comportements alimentaires constitue un indicateur permettant d'approcher les transformations des modes de vie ou encore les processus d'acculturation des populations au cours du temps. C'est notamment dans le contexte particulier de la Gaule du Nord, entre le IIIe siècle et le début du ve siècle apr. J.-C., qu'une étude des pratiques alimentaires a été entreprise afin de cerner l'impact de la romanisation sur ces habitudes. Cette étude propose de contribuer à cette question par l'analyse des isotopes stables du carbone et de l'azote (δ13C et δ15N) contenus dans les phases organique et minérale des dents et des os de sujets adultes provenant du site de l'Îlot de la Boucherie à Amiens (Somme). Les objectifs sont de définir le régime alimentaire et de décrire son évolution au cours de la vie des individus. Les sujets échantillonnés (n = 33) forment un groupe aux habitudes alimentaires peu disparates qui ne varient pas entre l'enfance et l'âge adulte. La comparaison des valeurs de δ13C entre les sujets humains et les animaux domestiques (n = 28) met en évidence un enrichissement important en 13C dans les tissus humains lié soit à la consommation d'une ressource de type C4 comme le millet, soit à celle de ressources marines de faible niveau trophique (fruits de mer). Les valeurs de δ15N des humains relativement basses laissent supposer une alimentation contenant peu de protéines animales. Le régime alimentaire décrit pour cette population se distingue des résultats publiés pour le reste de l'Empire romain.
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Molénat, Gilbert, Christian Corniaux, Denis Bastianelli, Soizic Gueguen, and Christophe Lacz. "Quelle place pour la paille de riz dans l’alimentation de saison sèche des zébus en zone irriguée au Sahel ? Cas du delta du fleuve Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 51. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9940.

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Abstract:
En saison sèche, les terres inondables du delta du fleuve Sénégal étaient le refuge des zébus transhumants de la région. A partir des années 1960, la colonisation agricole et la riziculture ont bouleversé la conduite des troupeaux et leur alimentation. Lors d’une étude conduite sur trois troupeaux en saison sèche de mai à juillet 2000 et de janvier à juillet 2001, la paille, ingérée à même le sol, a dominé les rations consommées le long de circuits à travers les rizières, après la récolte du riz. L’activité alimentaire, concentrée à plus de 70 p. 100 sur la paille entre janvier et mai 2001, s’est reportée entre mai et juillet (paille plus rare) sur des aliments de substitution : Typhas et cypéracées des bords de cours d’eau, graminées, rares légumineuses et chénopodiacées des terres pastorales subsistantes. Des rations simulées par observation des animaux et collecte manuelle, et des échantillons des principaux fourrages consommés ont été analysés et soumis à des tests de dégradabilité enzymatique. Entre avril et juillet, les plantes aquatiques et les graminées analysées se sont montrées pauvres en azote, riches en constituants pariétaux et souvent moins dégradables que la paille de riz. Seuls Salsola baryosma, Indigofera suffruticosa et Salvadora persica ont paru capables d’augmenter la digestibilité des régimes à base de paille de riz, mais leurs contributions aux rations sont restées faibles. Des options de gestion des ressources et de recours à des améliorations fourragères sont discutées dans une perspective d’augmentation de production laitière. Elles sont confrontées aux enjeux déterminés par l’emprise des groupes sociaux sur le foncier, l’espace agricole et l’espace pastoral.
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