Journal articles on the topic 'Algorithme en ligne avec conseil'

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ADELINE-DUFLOT, F., E. FERRAT, S. BROSSIER, R. GAUZIT, R. COHEN, and V. RENARD. "Conseil téléphonique en prescription antibiotique (CoTéPrAgmatique) auprès des médecins généralistes : résultats de deux ans de fonctionnement." EXERCER 32, no. 176 (October 1, 2021): 352–58. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.176.352.

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Abstract:
Contexte. La consommation d’antibiotiques (ATB) en médecine ambulatoire en France reste l’une des plus élevées d’Europe malgré une baisse entre 2000 et 2008 et trois plans « antibiotiques ». La ligne téléphonique CoTéPrAgmatique (Conseil téléphonique en prescription antibiotiqueCTPA) dédiée aux médecins généralistes (MG) d’Île-de-France (IDF) a été mise en place d’avril 2013 à mars 2015 sur les financements FIR (fonds d’intervention régionaux) de l’ARS. L’objectif général de la ligne était d’améliorer la pertinence des prescriptions d’ATB en répondant aux questionnements des MG sur ce sujet en situation de soins. Objectifs. décrire le fonctionnement et les résultats de la ligne CTPA. Méthode. Étude transversale descriptive rétrospective à partir des fiches de recueil des appels de la ligne CTPA entre avril 2013 et mars 2015 avec analyse descriptive du nombre d’appels, des familles de pathologies, des conseils donnés, de l’ATB déjà en cours. Les analyses univariées et multivariées multiniveaux ont concerné les facteurs associés au conseil de non-prescription ATB. Résultats. Fin mars 2015, la ligne avait comptabilisé 517 appels, dont 36 % concernant l’appareil urinaire et 23 % les infections respiratoires hautes et basses (IRH, IRB). Un conseil de non-prescription ATB était donné dans 39,3 % des cas, les facteurs associés à ce conseil étaient les appels concernant les IRH, avec un odds ratio (OR) de 2,62 (IC95 =1,31-5,27), les infections autres (OR = 3,30; IC95 = 1,44-7,55) et l’absence d’ATB en cours (OR = 1,81; IC95 = 1,18-2,79). Conclusion. Malgré un nombre d’appels modeste, la ligne a atteint ses objectifs. Le développement d’un projet global intégrant le conseil téléphonique et d’autres outils existants bénéficiant d’une communication institutionnelle semble une perspective crédible afin de diminuer la prescription inappropriée d’antibiotiques.
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Clarke, Graham. "Décisions rendues par le Conseil canadien des relations du travail." Relations industrielles 44, no. 4 (April 12, 2005): 933–46. http://dx.doi.org/10.7202/050543ar.

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Abstract:
Trois chauffeurs travaillant pour la Société canadienne des postes ont reçu des suspensions après avoir refusé de franchir une ligne de piquetage avec leurs camions. Les trois soutiennent qu'ils ont refusé de travailler parce qu'ils craignaient l'existence d'un danger. Les trois chauffeurs étaient membres d'un syndicat, mais la ligne de piquetage qu'ils devaient franchir avait été montée par un autre syndicat. Le Conseil a maintenu trois plaintes déposées par les chauffeurs contestant la discipline imposée par leur employeur. Le Conseil a jugé que les travailleurs avaient des raisons valables d'avoir refusé de franchir la ligne de piquetage. De plus, le Conseil a déterminé que les grévistes qui se trouvaient sur la ligne de piquetage étaient des «employés» aux fins de la Partie II du Code. Enfin, étant donné que la Société canadienne des postes n 'a pas suivi les procédures prévues dans la Partie II du Code lors de l'invocation du droit de refus, le Conseil n'avait d'autre choix que de maintenir les trois plaintes.
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Oh, Jiwon, Marie-Sarah Gagné-Brosseau, Melanie Guenette, Catherine Larochelle, François Lemieux, Suresh Menon, Sarah A. Morrow, et al. "Toward a Shared-Care Model of Relapsing-Remitting Multiple Sclerosis: Role of the Primary Care Practitioner." Canadian Journal of Neurological Sciences / Journal Canadien des Sciences Neurologiques 45, no. 3 (May 2018): 304–12. http://dx.doi.org/10.1017/cjn.2018.7.

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Abstract:
AbstractThe objective of this study was to develop a shared-care model to enable primary-care physicians to participate more fully in meeting the complex, multidisciplinary healthcare needs of patients with multiple sclerosis (MS).Design:The design consisted of development of consensus recommendations and a shared-care algorithm.Participants:A working group of 11 Canadian neurologists involved in the management of patients with MS were included in this study.Main message:The clinical management of patients with multiple sclerosis is increasing in complexity as new disease-modifying therapies (DMTs) become available, and ongoing safety monitoring is required. A shared-care model that includes primary care physicians is needed. Primary care physicians can assist in the early detection of MS of individuals presenting with neurological symptoms. Additional key roles for family physicians are health promotion, symptom management, and safety and relapse monitoring of DMT-treated patients. General principles of health promotion include counseling MS patients on maintaining a healthy lifestyle; performing standard screening measures; and identifying and treating comorbidities. Of particular importance are depression and anxiety, which occur in >20% of MS patients. Standard work-ups and treatments are needed for common MS-related symptoms, such as fatigue, pain, bladder dysfunction, sexual dysfunction, spasticity, and sleep disorders. Ongoing safety monitoring is required for patients receiving specific DMTs. Multiple sclerosis medications are generally contraindicated during pregnancy, and patients should be counseled to practice effective contraception.Conclusions:Multiple sclerosis is a complex, disabling illness, which, similar to other chronic diseases, requires ongoing multidisciplinary care to meet the evolving needs of patients throughout the clinical course. Family physicians can play an invaluable role in maintaining general health, managing MS-related symptoms and comorbidities, monitoring for treatment-related adverse effects and MS relapses, and coordinating allied health services to ensure continuity of care to meet the complex and evolving needs of MS patients through the disease course.RÉSUMÉ:Élaborer un modèle de soins partagés dans les cas de sclérose en plaques récurrente-rémittente.Objectif:Élaborer un modèle de soins partagés afin de permettre aux médecins de première ligne de mieux répondre aux besoins complexes et multidisciplinaires de patients atteints de la sclérose en plaques (SP).Conception :Recommandations résultant d’un consensus et élaboration d’un algorithme en matière de soins partagés.Participants :Un groupe de travail formé de onze neurologues canadiens impliqués dans la prise en charge de patients atteints de la SP.Message-clé :La prise en charge clinique de patients atteints de la SP est de plus en plus complexe dans la mesure où des médicaments modificateurs de l’évolution de la maladie (MMSP) deviennent accessibles et où un suivi permanent en matière de sécurité est nécessaire. Soulignons aussi qu’un modèle de soins partagés incluant les médecins de première ligne est nécessaire. Ces professionnels peuvent permettre un dépistage plus rapide de la SP chez des individus présentant des symptômes neurologiques. Ils peuvent aussi jouer un rôle de premier plan en matière de promotion de la santé, de soulagement des symptômes et de suivi de patients traités avec des MMSP en ce qui a trait à leur sécurité et à de possibles rechutes. Parmi les principes généraux de promotion de la santé, on peut inclure les suivants : offrir aux patients atteints de la SP des conseils leur permettant de maintenir de saines habitudes de vie ; adopter des mesures de dépistage standards ; identifier et traiter les comorbidités. À cet égard, l’anxiété et la dépression sont d’une importance particulière et sont fréquemment signalées (> 20 %) chez les patients atteints de SP. Des démarches d’investigation et des traitements standards sont nécessaires dans le cas des symptômes courants reliés à la SP, par exemple de la fatigue, des douleurs, une dysfonction vésicale, des dysfonctions sexuelles, de la spasticité et des troubles du sommeil. On l’a dit, un suivi permanent s’impose dans le cas de patients bénéficiant d’un traitement spécifique avec des MMSP. Les médicaments associés à la SP sont généralement contre-indiqués durant la grossesse de sorte qu’on devrait conseiller aux patients d’adopter des méthodes de contraception efficaces.Conclusions :La SP est une maladie complexe et invalidante qui, à l’instar d’autres maladies chroniques, exige des soins multidisciplinaires continus afin de répondre, en lien avec un tableau clinique précis, aux besoins en constante évolution des patients. Les médecins de première ligne peuvent jouer un rôle irremplaçable à plusieurs égards : dans le maintien d’une bonne santé ; le suivi et le soulagement des symptômes et des comorbidités reliés à la SP ; le suivi des rechutes et des effets indésirables associés aux traitements. N’oublions pas non plus la coordination des services paramédicaux afin d’assurer, durant l’évolution de la SP, une continuité des soins répondant aux besoins complexes et en constante évolution des patients atteints de cette maladie.
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Douzon-Bernal, M. "Un dispositif global de soins des troubles de la relation mère–nourrisson." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 57. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.149.

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Abstract:
En France, les dispositifs des soins psychiques permettant une hospitalisation conjointe mère–bébé sont peu nombreux: une vingtaine d’unité d’hospitalisation temps plein (environ 60 lits) (dont 10 disposent d’hospitalisation de jour) et 6 unités d’hospitalisation de jour. L’Unité parents bébé du CH de Montfavet à Avignon est la plus ancienne et la plus importante (en termes de capacité d’accueil) de ces dernières. L’Unité Parents–Bébé du Centre Hospitalier de Montfavet est un dispositif global de prévention et de soin des troubles des premiers liens. Elle a pour objectif d’accompagner et de soigner des femmes et des hommes en difficulté dans leur processus de parentalité, de soutenir la construction des premiers liens entre parents et enfants, de prévenir et de soigner les conséquences de ces troubles chez l’enfant. Nous présenterons ici ses spécificités et les modalités de soin. Interventions les plus précoces possible (au cours de la grossesse ou en amont) en lien avec les professionnels de première ligne (Sage-femmes, gynécologues, « psys », pédiatres, PMI…). Consultations, psychothérapies, soins psychiques à médiation corporelle, accompagnement personnalisé en hospitalisation conjointe mère–bébé (voire père–bébé) à la journée, une à plusieurs fois par semaine. Soin en réseau personnalisé, attention portée à l’entourage familial et aux liens avec les professionnels autour de la famille, à la continuité dans le soin. L’UPB est aussi unité conseil ressource pour les grossesses et les naissances à risques psychiques bien identifiés par les professionnels de la région avec lesquels nous collaborons régulièrement (conseil auprès des professionnels libéraux et institutionnels, participation aux staffs médico-psycho-sociaux dans les maternités..)
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Solère, Jean-Luc. "Bayle historien et critique du matérialisme dans le dictionnaire." Kriterion: Revista de Filosofia 50, no. 120 (December 2009): 423–36. http://dx.doi.org/10.1590/s0100-512x2009000200010.

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Abstract:
Bayle affirme que les atomistes auraient dû rester fidèles à une curieuse thèse attribuée au fondateur de l'atomisme, Démocrite, à savoir que les atomes ont une âme. En effet, montre Bayle par plusieurs arguments, il est impossible que la pensée émerge de la matière. Dès lors, l'atomisme doit se donner d'emblée la pensée comme présente dans chacun des atomes. Dans la même ligne, Bayle montre que, plus généralement, tout matérialisme conséquent doit être un panpsiquismo : toutes les parties de la matière doivent penser, et penser toujours. Mais cela conduit à des conséquences difficilement acceptables, telles que des cadavres pensants. De plus, le conseil qu'il donne aux matérialistes (suivre Démocrite) est une mesure qu'il croit en réalité inapplicable, puisque selon Bayle la pensée est incompatible avec l'étendue, leurs propriétés étant opposées et chaque substance n'ayant qu'un attribut. Ce que Bayle entend donc faire, dans cette fantaisie historique sur Démocrite, est de réduire le matérialisme à une position absurde.
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Péguret, Muriel, and Catherine Lamaison. "L’influence du Cadre européen commun de référence pour les langues (2001) sur l’enseignement du français langue seconde au niveau universitaire au Canada." La Revue de l’AQEFLS 33, no. 1 (September 16, 2021): 35–44. http://dx.doi.org/10.7202/1081268ar.

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Abstract:
Cette étude s’intéresse à l’influence du Cadre européen commun de référence pour les langues ou CECRL (Conseil de l’Europe, 2001) sur les programmes et les pratiques pédagogiques en français langue seconde au niveau universitaire au Canada. À travers les réponses à un sondage en ligne de 65 participants1, nous avons pu constater que la culture d’enseignement est en transition, avec des opinions divisées ou incertaines. Les participants sont généralement satisfaits de l’approche actionnelle lorsqu’elle est mise en oeuvre. Cependant, il y a aussi des résistances par rapport à certains aspects du CECRL, comme la perception d’une concentration insuffisante sur la correction linguistique. Si ce Cadre devait être adopté, un travail d’adaptation resterait à réaliser pour rendre ce document pertinent au contexte canadien universitaire. Finalement, nous avons remarqué que la plupart des changements influencés par le CECRL restent minimes (par exemple, un changement de manuel) et ne correspondent pas au changement de paradigme vers l’actionnel décrit par exemple chez Puren (2011) pour la didactique des langues, ou encore par Fullan et coll. (2017) pour l’éducation en général.
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Chauvard, Jean-François. "Adaptabilité versus inaliénabilité Les dérogations des fidéicommis dans la Venise du XVIIIe siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 70, no. 04 (December 2015): 849–78. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2015.0199.

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Abstract:
Résumé À la différence d’autres États italiens, Venise n’a jamais cherché à réformer les fidéicommis, ces fondations testamentaires qui empêchaient l’aliénation des biens et définissaient in perpetuum la ligne de succession. Avec des hésitations, l’État patricien a cependant légiféré sur les fidéicommis à mesure qu’ils entraient en contradiction avec d’autres institutions (dot, fisc) et d’autres systèmes de normes (crédit). Au nom de leur intérêt, il a aussi défini les conditions de levée de l’inaliénabilité des biens, dépassant la contradiction entre la conservation à l’identique et des accommodements avec le principe de prohibition. Comment s’opérait le passage entre l’indisponible et le disponible ? Tel est l’objet de cet article quimet en évidence la différence de traitement des biens immeubles et des capitaux sujets à fidéicommis. À partir du XVIe siècle, la levée de l’inaliénabilité des biens immeubles étaitune prérogative du Grand Conseil, l’organe souverain, à l’issue d’une lourde procédure qui impliquait plusieurs magistratures. L’octroi des dérogations par la grâce fut cependant parcimonieux à cause des conditions très restrictives d’acceptabilité des requêtes. L’image des biens immeubles qui ne sortaient qu’exceptionnellement des fidéicommis contraste avec celle des capitaux assujettis – rentes publiques ou prêts aux particuliers – qui étaient appelés à circuler à la faveur de remboursements et qu’il fallait réemployer au bénéfice du fidéicommis. Les juges du Procurator avaient le contrôle sur la procédure de levée de dépôt destinée à ce que le représentant du fidéicommis n’ait jamais les capitaux entre les mains. Garants de l’intégrité des fidéicommis, les juges étaient placés dans une position ambivalente à l’égard des ayants droit dont ils devaient surveiller les actes et dont ils étaient aussi les auxiliaires. Pour les requérants, ce dispositif s’avérait d’une grande plasticité puisqu’il I I permettait de remodeler le contenu du fidéicommis sans changer le périmètre de sa valeur.
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Naji, Khadija, and Abdelali Ibriz. "Approach for Eliciting Learners' Preferences in Moocs Through Collaborative Filtering." International Journal of Emerging Technologies in Learning (iJET) 17, no. 14 (July 26, 2022): 235–45. http://dx.doi.org/10.3991/ijet.v17i14.29887.

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Abstract:
Les MOOC (massive open online courses) deviennent rapidement des incontournables pour assurer la continuité pédagogique et accompagner la vie et les modes de travail futurs. Il est donc nécessaire que les MOOC s'éloignent de leur ancien modèle. Ce cadre présentera un système de recommandation basé sur un algorithme qui utilisera un filtrage collaboratif basé sur les préférences des apprenants MOOC. Le filtrage collaboratif est une technique permettant d'anticiper les intérêts d'un utilisateur en étudiant les préférences des utilisateurs similaires à l'individu en question. Cette approche assure l'analyse de nombreux éléments en utilisant le choix de notation des participants.Un système de recommandation devient de plus en plus courant dans les activités d'étude en ligne ; nous voulons étudier comment cela pourrait aider à l'apprentissage et favoriser une implication plus efficace. Nous baserons notre système de recommandation proposé sur l'évaluation du contenu du cours. L'idée est que les apprenants évaluent les cours et le contenu auxquels ils se sont inscrits sur la plateforme entre 1 et 5. Suite à l'évaluation, nous extrayons les données dans un fichier de valeurs séparées par des virgules (CSV) et utilisons la programmation Python pour fournir des recommandations à l'aide des données de apprenants avec des modèles de notation similaires. Le but était d'utiliser la programmation Python pour proposer des cours à différents utilisateurs en mode éditeur de texte. Nous utiliserons des modèles d'évaluation similaires via un filtrage collaboratif pour recommander des cours à divers apprenants, améliorant ainsi leur expérience d'apprentissage et leur passion.
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ALLEREAU, P., E. ALLORY, and A. MAURY. "Les avis en ligne concernant les MG. Une étude par analyse de contenu en Ille-et-Vilaine." EXERCER 35, no. 200 (February 1, 2024): 64–69. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.200.64.

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Abstract:
Introduction. Les évaluations en ligne sont une nouvelle source d’information pour les patients. Elles ont un impact sur la « e-réputation » des médecins généralistes selon le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM). Leur contenu et leur validité sont peu étudiés. L’objectif était de décrire les évaluations sur Internet concernant les médecins généralistes dans un département français, et notamment leurs thèmes, leur tonalité positive ou négative et la description d’éléments factuels. Méthodes. Il s’agit d’une étude descriptive transversale par analyse de contenu qualitative et quantitative. Le recueil des données était rétrospectif, sur toutes les notes et tous les avis textuels concernant les médecins généralistes libéraux exerçant en Ille-et-Vilaine, réalisé de décembre 2018 à mars 2019. Sept sites Internet publics ont été identifiés à partir d’une recherche par mots-clés. Résultats. Parmi l’ensemble des médecins, 58,5 % (n = 853) avaient au moins une évaluation sous forme d’une note et/ou d’un avis (n = 1 687). L’analyse de contenu a porté sur 1 569 notes et 1 030 avis. Les notes étaient polarisées et exprimaient globalement une satisfaction des patients. Une évaluation sur cinq était anonyme. 58 % des avis ne comportaient pas d’élément factuel. Quatre thèmes étaient retrouvés à partir des 3 846 unités de sens contenues dans les 1 030 avis : les compétences relationnelles (n = 1 452, 38 %), les recommandations à l’usage des autres patients (n = 1 047, 27 %), les compétences professionnelles (n = 796, 21 %) et l’organisation du cabinet (n = 551, 14 %). Seuls les avis relatifs à l’organisation du cabinet étaient majoritairement négatifs. Les compétences relationnelles, en particulier l’écoute, étaient prioritaires. Discussion. La méthode et l’exhaustivité sont des points forts de cette première étude qualitative et quantitative française en médecine générale. Une limite en est le caractère monocentrique. Les résultats sont concordants avec la littérature. Il serait utile de détailler l’impact des avis auprès des médecins.
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Veall, Michael R. "Internationalization and the Internet: The Case of Canadian Public Policy/Analyse de politiques." Scholarly and Research Communication 11, no. 1 (March 10, 2020): 9. http://dx.doi.org/10.22230/src.2020v11n1a351.

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Abstract:
Background Choices facing a Canadian scholarly journal such as Canadian Public Policy/Analyse de politiques (CPP/Adp) include both its degree of Canadian content and its level of internet accessibility. Analysis The “Canadian-ness” of CPP/Adp handicaps its upward citation score trend but is intrinsic to informing Canadian public policy. Internet open access would not likely boost citation scores but would likely enhance its policy role. Open access hasn large negative revenue implications. Conclusion and implications CPP/Adp chose not to reapply for the Social Sciences and Humanities Research Council Aid to Scholarly Journal program. e revenue loss of meeting the program’s new open access criteria, even with the permitted one-year embargo, was estimated to exceed the prospective grant. e CPP/Adp continues other timely ways to make content internet accessible.Contexte Les choix pour une revue savante canadienne telle que Canadian Public Policy/Analyse de politiques (CPP/Adp) incluent à la fois sa proportion de contenu canadien et son accessibilité sur internet. Analyse Le caractère canadien de CCP/Adp limite combien on le cite mais est indispensable par ce qu’il contribue à la politique publique canadienne. À ce titre, un libre accès à la revue sur internet ne ferait probablement pas augmenter son indice de citations mais améliorerait son impact sur les politiques. Le libre accès en revanche occasionnerait une baisse de revenus. Conclusion et implications CPP/Adp a choisi de ne pas se réinscrire au programme Aide aux revues savantes du Conseil de recherches en sciences humaines. CPP/Adp, en rencontrant les nouveaux critères de ce programme pour le libre accès—même avec la période d’embargo de 12 mois permise—perdrait davantage de revenus que le montant probable de la subvention. CPP/Adp a donc recours à d’autres méthodes opportunespour rendre son contenu accessible en ligne.
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Vergnies, Jean-Frédéric, and Bernard Quintreau. "Âges et problèmes d'emploi : les « anciens » dans la ligne de mire. Entretien avec Bernard Quintreau sur son rapport au conseil économique et social, Âge et emploi à l'horizon 2010." Formation Emploi 79, no. 1 (2002): 5–14. http://dx.doi.org/10.3406/forem.2002.2485.

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Faulkner, Guy, Subha Ramanathan, Ronald C. Plotnikoff, Tanya Berry, Sameer Deshpande, Amy E. Latimer-Cheung Latimer-Cheung, Ryan E. Rhodes, Mark S. Tremblay, and John C. Spence. "ParticipACTION, cinq ans après sa relance : enquête quantitative sur son rayonnement et sur le pouvoir d'action des organisations au Canada en matière d’initiatives consacrées à l’activité physique." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 4 (April 2018): 183–91. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.4.02f.

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Introduction ParticipACTION est un organisme canadien relancé en 2007 dédié à la communication et au marketing social en matière d’activité physique. Cette étude porte sur le pouvoir d'action des organismes canadiens dans l'adoption, la mise en oeuvre et la promotion des initiatives en ce domaine. Nos objectifs étaient de comparer les résultats de base (2008) avec les résultats de suivi (2013) en ce qui concerne (1) la connaissance de ParticipACTION, (2) la capacité d'un organisme à adopter, à mettre en oeuvre et à promouvoir des initiatives d’activité physique et (3) les différences potentielles en matière de pouvoir d'action d'une organisation en fonction de sa taille, de son secteur et de son mandat ainsi que (4) d’évaluer la perception de ParticipACTION cinq ans après sa relance. Méthodologie Dans le cadre de cette étude transversale, des représentants d’organismes locaux, provinciaux, territoriaux et nationaux ont rempli un questionnaire en ligne visant à évaluer la capacité de leur organisme à adopter, à mettre en oeuvre et à promouvoir des initiatives d’activité physique. Nous avons utilisé des méthodes de statistique descriptive et des analyses de variance à un facteur pour répondre à nos objectifs. Résultats Le taux de réponse correspondant aux personnes ayant ouvert le courriel d’invitation à répondre au sondage et ayant consenti à y participer était de 40,6 % (685/1 688). Au total, 540 questionnaires de sondage ont été remplis. Le taux de connaissance de ParticipACTION, qui se chiffrait à 54,6 % lors de l’étude initiale, avait atteint 93,9 % au moment du suivi (objectif 1). Tant les résultats initiaux que les résultats de suivi ont fait état d’un pouvoir d'action important des organismes dans l'adoption, la mise en oeuvre et la promotion d'initiatives d’activité physique (objectif 2), avec cependant de légères variations en fonction du secteur et du mandat de chaque organisme (objectif 3). La plupart des répondants ont affirmé que ParticipACTION exerçait un leadership positif (65,3 %), mais les avis étaient plus partagés quant à son rôle de conseil aux infrastructures (44,0 %) ou encore de soutien à la motivation organisationnelle (47,1 %) (objectif 4). Conclusion Les organismes canadiens font marque d’un pouvoir d'action important en matière d'adoption, de mise en oeuvre et de promotion d'initiatives d’activité physique. Cependant, cinq ans après la relance de ParticipACTION et malgré une meilleure reconnaissance de sa contribution globale au secteur de l’activité physique, aucun changement notable n’a été relevé dans les indicateurs mesurant le pouvoir d'action des organismes.
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Golse, Bernard, and Michel Botbol. "Ce que l’Institut contemporain de l’enfance peut apporter à la pédopsychiatrie actuelle." Cahiers de l'enfance et de l'adolescence 10, no. 2 (February 12, 2024): 167–72. http://dx.doi.org/10.3917/cead.010.0167.

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Abstract:
Au moment où s’accumulent les inquiétudes concernant l’avenir immédiat de la pédopsychiatrie, en France notamment, l’entretien que cet article rapporte s’est centré sur la création récente par le professeur Bernard Golse de l’Institut contemporain de l’enfance pour soutenir ou relancer la notion de soins psychiques au sens multidimensionnel du terme. Le professeur Golse le met d’emblée en lien de continuité avec certaines de ses expériences formatives qui l’ont le plus inspiré, et notamment celle qu’il a rencontrée au début de sa carrière comme interne du professeur Soulé en relation avec les enseignements des autres maîtres de la psychiatrie infanto-juvénile de l’époque. Soulé disait en effet qu’enseigner c’est transmettre des connaissances mais que former c’est transmettre des savoir-faire et des savoir-être et qu’au-delà de ce qui relevait de l’apport universitaire il fallait développer des associations chargées de cette autre transmission. C’est sur cette idée que s’est fondé le Centre d’ouverture psychologique et sociale ( copes ) dont Golse est devenu le président à la suite de Soulé. C’est dans cette ligne qu’il a inscrit les différentes déclinaisons du projet de cet institut à destination des bébés, des enfants et des adolescents tant pour ceux qui présentent des troubles dans leur fonctionnement psychologique et/ou leur développement que pour ceux qui vont bien mais nécessitent néanmoins que l’on prenne soin de leurs besoins psychiques. Cela lui est apparu tout à fait approprié à la situation où, au-delà des attaques contre la psychanalyse, on assiste à des attaques contre le soin psychique mais aussi, plus grave encore, contre la liberté de penser – et finalement contre les sciences humaines en général. Il s’agit donc avant tout de défendre une idée élargie du « prendre soin », y compris en dehors des situations cliniques (comme le développe l’association Pikler-Lóczy), position qui est également défendue par l’Association européenne de psychopathologie lorsqu’elle insiste sur la pluralité des psychopathologies qui inclue la psychanalyse mais ne se limite pas à elle. Sans être une institution de recherche, l’institut se fixe également l’objectif d’appuyer la recherche dans les domaines relevant de ces principes en contribuant à son assise en dehors du champ universitaire ; l’institut utilisera pour cela en particulier les leviers que lui apporte son organisation largement ouverte sur son contexte et, notamment, les liens que permet de nouer son conseil stratégique réunissant des personnes qui, dans tous les champs disciplinaires et institutionnels, sont significatives pour la pédopsychiatrie
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GOCKO, X. "Thuriféraires et démocratie sanitaire." EXERCER 31, no. 163 (May 1, 2020): 195. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.163.163.

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Abstract:
Février 2021, troisième vague. – Bonjour, j’ai été testé positif au Covid-19 par la brigade, et le médecin de la téléconsultation m’a dit de m’adresser au Covid Center le plus proche de chez moi. – Bonjour, je suis l’intelligence artificielle du Covid Center. L’application Tracking Covid-19 avait signalé votre venue, patient 7 777 801. Quel traitement souhaitez-vous prendre : hydroxychloroquine-azithromycine, lopinavir-ritonavir, tocilizumab, remdésivir, chlorpromazine : ces médicaments sont remboursés, vous pouvez aussi ajouter de la micronutrition, comme le zinc, qui n’est pas remboursée. – Mais je n’en sais rien ! Le médecin de la téléconsultation ne m’a rien dit à ce sujet, il a surtout noté le nom de toutes les personnes que j’avais croisées. – Personne n’en sait rien, alors nous laissons le patient choisir1. Si vous ne pouvez pas choisir, je suis pourvu d’un algorithme qui choisira pour vous. – Je vais essayer la chlorpromazine. J’ai lu que ça apaisait, et quatorze jours dans un hôtel sans voir personne… – D’accord, voici votre traitement ; le robot chien va vous accompagner jusqu’à l’hôtel2. Science-fiction ? Ce genre littéraire est selon le Larousse caractérisé par l’invention de « mondes, des sociétés et des êtres situés dans des espaces-temps fictifs (souvent futurs), impliquant des sciences, des technologies et des situations radicalement différentes ». Ce dialogue soulève deux questions : l’influence de la pandémie sur la recherche médicale et l’influence de la technologie sur les soins. Comment ne pas être d’accord avec l’article de la revue Nature1 : les bruits médiatiques autour de tel ou tel principe actif ne sont que des bruits. Ces bruits ralentissent l’apparition de signaux dépendant de la réalisation d’essais cliniques randomisés qui respectent les critères éthiques (information et consentement des patients). Les croyants et leurs thuriféraires politiques ralentissent la recherche et gâche les ressources de temps et d’argent. Comment justifier la position de ceux qui n’expriment plus les doutes inhérents au scientifique et à la recherche ? Sont-ils parcourus d’un sentiment d’urgence de l’action justifiant tout ? Le principe de bienfaisance surdimensionné leur fait-il oublier celui de non-malfaisance ? Moins glorieuse serait la recherche de la gloire : is fecit cui prodest*. Que pensez-vous des soins délivrés au patient 7 777 801 ? Ce patient n’a pas consulté son médecin généraliste. Il se nomme 7 777 801, au lieu d’Albert Camus. Sa décision est solitaire. Il n’a pas pu échanger autour de ses connaissances et de ses valeurs avec son médecin généraliste3. L’approche centrée sur monsieur Camus semble difficilement réalisable par une « brigade », une téléconsultation avec un inconnu ou par un Covid-19 Center. Dans « L’Homme révolté », Camus propose de dépasser l’absurde de l’existence qu’il avait décrit dans « Le Mythe de Sisyphe ». « Qu’est-ce qu’un homme révolté ? C’est un homme qui dit non. Mais s’il refuse, il ne renonce pas : c’est aussi un homme qui dit oui, dès son premier mouvement. » Pouvons-nous dire non à une technologie déshumanisée ? Oui ! Pouvons-nous dire non à l’enquête des cas contacts ? Les médecins généralistes sont des acteurs de santé publique et ils répondront oui à cette mission, mais pas à n’importe quel prix. Ils sont conscients des tensions éthiques entre intérêt collectif et liberté individuelle4. Ils sont vigilants (comme le Conseil constitutionnel) quant aux moyens employés pour assurer cette mission. Aucun argument d’autorité de telle ou telle tutelle ne les empêchera d’avoir une approche centrée sur le patient et une discussion éthique avec lui. Ces discussions participent à l’éducation des deux acteurs et peut-être un jour serons-nous prêts pour une autre méthode, avec une responsabilisation des patients allant dans le sens d’une vraie démocratie sanitaire. Un médecin généraliste est un homme révolté et non un porteur d’encens servile et flagorneur, alias thuriféraire.
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Peyen, Loïc. "Programme d’aménagement d’une ligne de tramway. Déclaration de projet. Dossier d’enquête publique. Notice explicative. Obligation d’exposer les principales caractéristiques de l’opération et non l’ensemble des objectifs poursuivis par l’opération de manière exhaustive. Conseil d’État, 27 février 2015, n° 382625. Avec note." Revue Juridique de l'Environnement 40, no. 3 (2015): 531–36. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2015.6674.

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Franghiskos, Emm N. "Κοραϊκά παραλειπόμενα [Δ]." Gleaner, no. 30 (January 3, 2024): 171–200. http://dx.doi.org/10.12681/er.36098.

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Du nouveau sur Coray [D] ΙUne biographie, une lecture erronée et la paternité de l’édition de la Doctrine Orthodoxe de Platon, métropolite de Moscou (1782) Dans la biographie de l’ancien métropolite de Corinthe Makarios Notaras, composée en 1811 par Athanasios Parios, il est mentionné que le marchand chiοte de Smyrne Ioannis Mavrogordatos, parallèlement à la publication de Philocalie, oeuvre de Makarios, avait aussi publié en 1782 la Doctrine Orthodoxe, c’est-à-dire la traduction en grec du catéchisme chrétien de Platon, métropolite de Moscou, sans cependant que le biographe mentionne, bien qu’il le sût, le nom d’Adamance Coray, l’éditeur du livre. Les savants spécialistes de la vie et des oeuvres du hiérarche grec, outrepassant la structure syntaxique du texte de Parios, ont attribué à Makarios la paternité de l’édition. En fait, l’évêque était, avec N. Vachatoris (marchand de Smyrne et parent de Coray), un des financeurs de la publication, qui avait agi, semble-t-il, à Smyrne comme collecteur de fonds, auquel I. Mavrogordatos avait offert peut-être une part ou, encore plus, la totalité des frais d’impression. Après tout, c’est à ces deux premiers que Coray s’adressera depuis Montpellier l’année 1783 pour les prier de se concerter avec Breitkopf, l’imprimeur du livre à Leipsig, en vue d’une seconde édition de l’ouvrage. IICoray pour sοn implication dans le commerce Il existe cinq principaux témoignages de Coray pour son implication dans le commerce, profession que, jeune homme soumis à la pression de son père marchand, il a été contraint d’exercer pendant six ans à Amsterdam (1771-1777) ; ces témoignages ont été enregistrés dans ses lettres, dans les pages de ses publications et dans son autobiographie. Il y parle tantôt de son aversion pour la vie commerciale qu’il a finalement accepté de suivre, espérant qu’il aurait parallèlement le temps d’acquérir l’éducation désirée ; tantôt de la dissipation des meilleures années de sa vie dans la profession commerciale ; tantôt des impasses psychologiques qu’il a connues dans l’exercice de ses fonctions alors qu’elles s’opposaient à sa passion de l’indépendance ; tantôt du manque de perspicacité de son père qui n’avait pas discerné qu’il n’avait même pas les qualifications les plus élémentaires pour exercer la profession commerciale. Ce témoignage est le dernier chronologiquement. Cependant, la question des erreurs des parents concernant le choix de profession pour leurs enfants avait déjà occupé Coray dès 1782, et il en traite dans les pages de la Doctrine Orthodoxe quelques années après son retour à Smyrne comme commerçant en faillite. Il a souligné dans une notice la grande misère provoquée par le mauvais choix de profession, et le fait que les parents se doivent d’être les premiers à observer les capacités et les compétences de leurs enfants. Ce cours de Coray, lequel a évidemment fait allusion à son cas individuel, est le plus ancien qui ait été enregistré dans la bibliographie grecque scientifique de Conseil et d’ Orientation professionnelle. III«La maladie mortelle qui combat sans interruption la Grèce». Interventions consultatives de Coray depuis Smyrne et Paris Dans une autre notice de la Doctrine Orthodoxe Coray trouvera l’occasion de s’adresser à nouveau à ses compatriotes pour un phénomène dangereux très courant dans les régions du territoire ottoman : l’apparition et la propagation d’une épidémie de peste. Coray qualifie d’aventuriers et d’inconscients tous ceux qui visitaient tels lieux, mais il s’empressera aussi de proposer des règles sanitaires pour se prémunir contre l’épidémie. Les contrevenants à ces règles étaient qualifiés d’individus qui détestent leurs frères et de meurtriers, mais aussi responsables devant la justice divine après la mort. Plus tard Coray, d’abord habitant Montpellier et, à partir de 1788, Paris, médecin déjà engagé dans l’æuvre d’Hippocrate, fut informé par des connaissances et des amis de Smyrne ou par les journaux français de l’apparition de la peste et d’autres maladies infectieuses qui sévissaient là-bas. Habité d’une grande anxiété, il leur a conseillé plus de prudence et moins de bravoure face à l’épidémie. Il répéta les avertissements sur ce grave problème de santé dans les pages de ses publications alors qu’il était devenu un dirigeant intellectuel reconnu des Grecs asservis.Ainsi, dans la publication des Vies Parallèles de Plutarque à deux reprises, en 1809 et 1814, il a rappelé d’abord que «la maladie mortelle qui combat sans interruption la Grèce» était un frein au progrès de l’éducation du peuple, expliquant en outre par des arguments rationnels et scientifiques la cause et le développement du phénomène. Le hiéromoine Athanasios Parios et ses partisans zélés, qui croyaient aux idées métaphysiques sur l’apparition et l’arrêt de l’épidémie en manipulant les gens pieux, étaient à nouveau dans sa ligne de mire. Peu de temps après, ce problème de santé chronique le concernera dans la deuxième édition dutraité d’Hippocrate Des Airs des Eaux et des Lieux (1816). Il s’adressait désormais aux jeunes Grecs qui étudiaient dans les facultés de médecine d’Europe. Les invitant à suivre les principes de l’éthique et de l’humanisme dans la pratique de la médecine, il cite l’exemple de la peste, l’assimilant à une guerre où ils devaient être à côté de leurs semblables souffrants en montrant un esprit d’abnégation et ne pas s’enfuir. «L’amour d’un homme pour la vie –il a conclu– même si elle devenait immortelle, n’est pas juste qu’il soit préféré à la vie de plusieurs hommes».
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Sauvé, Louise, David Kaufman, and Lise Renaud. "Construire un jeu éducatif en ligne, Asthme : 1, 2, 3 … Respirez!, pour sensibiliser les jeunes du secondaire aux problèmes de l'asthme." Canadian Journal of Learning and Technology / La revue canadienne de l’apprentissage et de la technologie 37, no. 2 (May 29, 2011). http://dx.doi.org/10.21432/t2pc7n.

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Dans le cadre d’une étude financée par le Conseil de recherche en sciences sociales et humaines (CRSH, 2008-2011), nous examinons l’efficacité d’un jeu éducatif en ligne sur l’apprentissage cognitif (structuration des connaissances) et affectif (changement d'attitudes). Construit à partir des règles du jeu de société Parchési auxquelles plusieurs adaptations ont été apportées, le jeu Asthme : 1, 2, 3… Respirez! a été conçu pour s'inscrire dans le programme d’éducation à la santé pour les élèves du secondaire IV et V, âgés entre 15 et 17 ans. Dans cet article, nous présenterons brièvement les problèmes associés à l’asthme au Québec et au Canada. Ensuite, nous expliciterons l'apport des jeux éducatifs sur la structuration des connaissances et le changement d’attitudes ainsi que les paramètres d'apprentissage utilisés pour construire le jeu. Enfin, nous décrirons comment le jeu a été construit et la mise à l'essai réalisée avec 40 élèves pour évaluer son design, sa lisibilité pédagogique et sa convivialité.
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Stockley, Denise, Wanda Beyer, Nancy Hutchinson, Jennifer DeLugt, Peter Chin, Joan Versnel, and Hugh Munby. "Using Interactive Technology to Disseminate Research Findings to a Diverse Population." Canadian Journal of Learning and Technology / La revue canadienne de l’apprentissage et de la technologie 35, no. 1 (September 3, 2009). http://dx.doi.org/10.21432/t20k5r.

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Abstract:
This paper demonstrates how case stories can be used to disseminate the findings of several case studies on negotiating accommodations in the workplace. It highlights the power of interactive technology and of the partnership between the researchers and the Canadian Council for Rehabilitation and Work (CCRW). The paper describes the process of designing an interactive web-based case story for the purpose of disseminating research findings. The interactive case story is an extension of both the case study and the narrative case story. As part of a larger research project, it is our goal to use interactive case stories to investigate the impact of essential skills training on workers with disabilities who negotiate with employers for workplace accommodations. Résumé Le présent article montre comment les histoires de cas peuvent être utilisées pour diffuser les conclusions de plusieurs études de cas sur la négociation entourant l’aménagement du milieu de travail. Il met en évidence le pouvoir de la technologie interactive et du partenariat entre les chercheurs et le Conseil canadien de la réadaptation et du travail (CCRT). L’article décrit le processus de conception d’une histoire de cas interactive en ligne visant à diffuser des résultats de recherche. L’histoire de cas interactive est un prolongement à la fois de l’étude de cas et du récit de l’histoire de cas. Dans le cadre d’un plus vaste projet de recherche, notre but est d’utiliser des histoires de cas interactives pour étudier l’impact de la formation sur les compétences essentielles chez les travailleurs handicapés qui négocient avec leur employeur pour l’aménagement de leur milieu de travail.
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Kaplan, Caren, Erik Loyer, and Ezra Claytan Daniels. "Precision Targets: GPS and the Militarization of Everyday Life." Canadian Journal of Communication 38, no. 3 (September 16, 2013). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2013v38n3a2655.

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Abstract:
This article explores the militarization of everyday life through the emergence of a dual-use technology, the Global Positioning System (GPS), in the 1990s and first decade of the twenty-first century. It was launched in April 2010 as a Web-based multimedia piece funded by a Digital Innovation Fellowship from the American Council of Learned Societies. During the fellowship year and for several years afterward, author Caren Kaplan worked with programmer/designer Erik Loyer to produce a piece that would address the multiple social and political valences of GPS in a graphically dramatic but academically substantial manner. Ezra Claytan Daniels provided the artwork that illustrates Erik Loyer’s innovative digital “cube” design. Loyer and Kaplan developed the six storylines for the piece, and Kaplan wrote the text (see www.precisiontargets.com).Cet article explore la militarisation de la vie quotidienne entraînée par l’émergence dans la période 1990-2010 d’une technologie à double usage, le Système de localisation mondiale (GPS). En avril 2010 a eu lieu le lancement en ligne d’une pièce multimédia subventionnée par un « Digital Innovation Fellowship » (Bourse d’innovation numérique) provenant de l’American Council of Learned Societies (Conseil américain des sociétés savantes). Pendant l’année de la bourse et plusieurs années ultérieures, l’auteure Caren Kaplan a collaboré avec le programmeur/concepteur Erik Loyer à la réalisation d’une pièce traitant des multiples variables sociales et politiques du GPS d’une manière académique tout en comportant des représentations graphiques dramatiques. Ezra Claytan Daniels a créé l’art quinillustre le cube numérique innovateur conçu par Erik Loyer. D’autre part, Loyer et Kaplan ont développé les six intrigues pour la pièce et Kaplan a rédigé le texte (www.precisiontargets.com).
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Luka, Mary Elizabeth, and Catherine Middleton. "Citizen Involvement during the CRTC’s Let’s Talk TV Consultation." Canadian Journal of Communication 42, no. 1 (February 9, 2017). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2017v42n1a3097.

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Abstract:
The authors analyze citizen engagement efforts undertaken by the Canadian Radio-television and Telecommunications Commission (CRTC) between 2013 and 2015, under the aegis of the Let’s Talk TV (LTTV) initiative. They explore whether and how input provided by citizen-consumers during LTTV demonstrates activism through engagements in policy discussions. The article first delineates the timing and scope of activities conducted by the Canadian regulator to involve individual Canadians in reshaping digital television services. The CRTC’s early decisions are then compared to the authors’ analyses of input from hundreds of people invited to answer the CRTC’s general questions online. Comparing the decisions made to date with citizen-consumer responses, the article points to contradictions and disconnects between the authors’ findings and the CRTC’s initial decisions.Les auteures analysent les efforts entrepris par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) entre 2013 et 2015 pour augmenter la participation citoyenne dans le contexte de l’initiative Parlons télé. Les auteures explorent si et comment les contributions faites par les citoyens-consommateurs pendant cette initiative démontrent une certaine mesure d’activisme du fait que ceux-ci prennent part à la discussion de politiques. Cet article décrit d’abord l’opportunité et l’envergure des activités menées par l’organisme réglementaire pour impliquer les Canadiens dans la réforme des services télévisuels numériques. Les auteures comparent ensuite les décisions initiales du CRTC aux résultats d’une analyse de données qu’elles ont menée sur les réponses faites par des centaines de citoyens-consommateurs à des questions d’ordre général posées en ligne par le CRTC. En comparant les décisions de cet organisme avec les réponses des citoyens, l’article relève des contradictions et des écarts entre les résultats de l’analyse de données et les premières décisions du CRTC.
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Nurkowski, Joshua, Kari Rustad, and Kirsten Fox. "Cultural Competency Education for Health Care Providers: A Literature Review to Guide Canadian Pharmacy Residency Programs." Canadian Journal of Hospital Pharmacy, September 1, 2022. http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3242.

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Background: The need for cultural competency education has been emphasized for health care professionals in Canada. According to the Canadian Pharmacy Residency Board accreditation standards, pharmacy residents must be able to provide culturally competent care for their patients, further building upon the education received during their undergraduate pharmacy programs. Although these standards exist, guidance for their implementation in pharmacy residency programsis lacking. Objectives: To review the available literature and develop recommendations for pharmacy residency coordinators and directors on cultural competency training for pharmacy residents. Data Sources: A literature search was conducted to explore the literature concerning cultural competency education for pharmacy residents. The search was expanded to encompass literature involving pharmacy students and medical residents for information that could be applied to pharmacy residents. Data Synthesis: The initial literature search did not yield any results for cultural competency education provided to pharmacy residents. The expanded search yielded information about methods used to educate pharmacy students and medical residents, including didactic lectures, online modules, experiential learning rotations, seminars, workshops, patient simulations and case discussions, and guest lectures by experts in the field or by patients. Conclusions: It is recommended that interactive education methods be used to train pharmacy residents in cultural competency, to match the experiential learning structure of residency training programs. Methods that could be implemented include offering online modules or readings, arranging for guest speakers, contacting local experts and community members for guidance on creation of a suitable curriculum, and providing immersive rotations focused on diverse populations. RÉSUMÉ Contexte : La nécessité d’une formation portant sur les compétences culturelles s’adressant aux professionnels de la santé a été soulignée au Canada. Selon les normes d’agrément du Conseil canadien de la résidence en pharmacie, les résidents en pharmacie sont tenus de prodiguer des soins culturellement adaptés à leurs patients, renforçant leur formation pendantles programmes de premier cycle en pharmacie. Malgré ces normes, les directives encadrant leur mise en oeuvre dans les programmes de résidence en pharmacie font défaut. Objectifs : Examiner la documentation disponible et préparer des recommandations à l’intention des coordonnateurs et des directeurs de résidence en pharmacie sur la formation en compétences culturelles pour les résidents en pharmacie. Sources des données : Une recherche documentaire a été menée pour étudier la littérature portant sur l’éducation en matière de compétences culturelles pour les résidents en pharmacie. La recherche a été élargie pour englober la littérature impliquant des étudiants en pharmacie et des résidents en médecine afin d’obtenir des informations pouvant êtreappliquées aux résidents en pharmacie. Synthèse des données : La recherche documentaire initiale n’a donné aucun résultat en ce qui concerne l’enseignement des compétences culturelles offert aux résidents en pharmacie. La recherche élargie a quant à elle fourni des informations sur les méthodes utilisées pour former les étudiants en pharmacie et les résidents en médecine, y compris des conférences didactiques, des modules en ligne, des stages d’apprentissage expérientiel, des séminaires, des ateliers, des simulations de patients et des discussions de cas ainsi que des conférences d’experts invités dans le domaine ou de patients. Conclusions : Il est recommandé d’utiliser des méthodes d’éducation interactives pour aider les résidents en pharmacie à acquérir des compétences culturelles pour que celles-ci correspondent à la structure d’apprentissage expérientiel de ces programmes. Les méthodes qui pourraient être mises en oeuvre comprennent l’offre de modules ou de lectures en ligne, l’organisation de conférenciers invités, la prise de contact avec des experts locaux et des membres de la communauté pour obtenir des conseils sur la création d’un programme approprié et l’offre de stages d’immersion axés sur les diverses populations.
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Lins Ribeiro, Gustavo. "WCAA." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.133.

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Le World Council of Anthropological Associations, un dénominatif que l’on peut traduire en français par Conseil mondial des associations d’anthropologues, est un réseau d’organisations nationales, régionales et internationales dont le but est de promouvoir « les communications et la coopération en anthropologie à l’échelle mondiale. Ses objectifs premiers sont de promouvoir la discipline anthropologique dans un contexte international ; promouvoir la coopération et le partage d’information entre anthropologues à travers le monde ; promouvoir l’organisation conjointe d’évènements et de débats scientifiques et coopérer aux activités de recherche et à la diffusion du savoir anthropologique » (librement traduit, www.wcaanet.org, consulté le 14 février 2018). Entre le 9 et le 13 juin 2004, le colloque international « World Anthropologies: strengthening the international organization and effectiveness of the profession », titre qu’on peut traduire par « Les anthropologies du monde : renforcer l’organisation et l’efficacité internationales de la profession ») fut mis sur pied à l’initiative de Gustavo Lins Ribeiro, dans la ville de Recife, au Brésil, avec le support financier de la Fondation Wenner-Gren pour la recherche anthropologique. À cette époque, Gustavo Lins Ribeiro était président de l’Association brésilienne d’anthropologie (ABA), et ce colloque était un évènement préliminaire au congrès biannuel de l’ABA. Au début des années 2000, Arturo Escobar, Eduardo Restrepo, Marisol de la Cadena et Gustavo Lins Ribeiro ont fondé le World Anthropologies Network (http://www.ram-wan.net/) (ou réseau des anthropologies du monde), un réseau composé d’individus désireux de pluraliser les échanges autour du savoir anthropologique sur le plan mondial, cela devant la dominance anglo-américaine croissante de notre agenda disciplinaire. Le fait que les membres fondateurs de ce mouvement soient latino-américains doit être brièvement commenté. Par diverses manières, ils ont amené un style cosmopolite critique d’Amérique latine au mélange qui allait définir plus tard les anthropologies du monde en tant que cosmopolitiques radicales. L’Amérique latine apparaît dans ce contexte comme une sorte de « cosmopolitisme en tant que principal contrepoint de l’impérialisme américain » (Ribeiro 2014: 491, traduction libre). Par ailleurs, au sujet des cosmopolitiques anthropologiques impériales, libérales et radicales, on note que: Le projet des anthropologies mondiales n’était pas guidé par un agenda multiculturaliste ; plutôt, il a été influencé par les discussions radicales en Amérique latine sur l’interculturalité (voir Bartolomé 2006 et Rappaport 2005) (Ribeiro 2014: 489, traduction libre). Pour le World Anthropologies Network, la valorisation des « autres anthropologies et des anthropologies autrement » (Restrepo et Escobar 2005) avait besoin d’être faite conjointement avec « une critique des conditions engendrées par la modernité et la "colonialité du pouvoir" (Castro-Gómez et Grosfoguel 2007 ; Quijano 1993) qui ont oblitéré la production, la validité et la visibilité des autres savoirs » (Ribeiro 2014: 489, traduction libre). Bien que le congrès de Recife en 2004 n’ait pas été l’initiative du World Anthropologies Network, et bien que l’un d’entre nous y était engagé profondément (Ribeiro), il semblait clair que l’idée de ce colloque était fortement inspirée et influencée par l’agenda des anthropologies du monde. Ce colloque avait quatre objectifs principaux : Premièrement : Rassembler les anthropologues agissant comme leaders d’organisations nationales et internationales dans une visée de construction de nouveaux canaux d’intercommunication et de coopération. Deuxièmement : Initier un processus pour approfondir la coopération internationale en anthropologie dans une portée davantage tournée vers le cosmopolitisme, à travers la facilitation de dialogues et les processus de réseautage pouvant mener à des communications plus hétéroglosses et à une diffusion du savoir anthropologique. Troisièmement : Élaborer une proposition collective pour une coopération internationale qui pourrait servir en tant que « document de travail international » initial, qui pourrait être rapportée et discutée au sein des associations anthropologiques nationales et internationales présentes au colloque. Quatrièmement : Participer à un symposium au congrès de l’Association brésilienne d’anthropologie, où les faits saillants du colloque ainsi que les documents qui auront été produits seront présentés et discutés. Quatorze représentants d’organisations anthropologiques se sont déplacés à Recife pour cette occasion. Ils étaient les présidents d’associations issues d’Australie, du Brésil, du Canada, de la France, de l’Inde, de la Russie, de l’Afrique du Sud, du Royaume-Uni et des États-Unis. Les présidents des associations internationales suivantes étaient également présents : l’Association Européenne des Anthropologues Sociaux, l’International Union of Anthropological and Ethnological Sciences, l’Asociación Latinoamericana de Antropología et la Pan African Anthropological Association. La Société japonaise a délégué son directeur des relations internationales. Le colloque se tint en deux temps. Le premier, et plus intense, consista en trois débats d’une journée, ayant précédé le 24e congrès biannuel de l’Association brésilienne d’anthropologie. Après avoir discuté de multiples mécanismes et initiatives possibles pour accroître la coopération internationale, les participants décidèrent de créer le World Council of Anthropological Associations. Le second temps consista en une session durant le congrès brésilien, qui se tint le 13 juin 2004, lorsque la fondation du WCAA fut annoncé publiquement. Gustavo Lins Ribeiro était élu comme premier facilitateur du Conseil. Le WCAA voulait devenir un réseau et non pas une nouvelle institution. Le rôle de facilitateur consistait à démarrer le réseau en diffusant la nouvelle de son existence, et plus important encore, à démarrant un site internet. L’arrivée du World Council a été largement acclamée partout. Depuis 2004, le WCAA connait une croissante rapide et poursuit sa lancée. Il est maintenant une présence reconnue sur la scène politique anthropologique mondiale, avec plus de 50 membres d’à travers le monde. Les anthropologies du monde sont discutées dans différents congrès organisés par les membres du World Council. D’autres présidents (on ne les apele plus facilitateur) ont pris les rennes au cours des années : Junji Koizumi (Japon), Thomas Reuter (Australie), Michal Buchowski (Pologne), Vesna Vucinic-Neskovic (Serbie), Chandana Mathur (Irelande), and Carmen Rial (Brésil, depuis juillet 2018). L’intérêt du leadership du WCAA pour les politiques académiques internationales a également été manifesté en 2009, lorsque plusieurs leaders du WCAA sont devenus membres du comité exécutif de l’International Union of Anthropological and Ethnological Sciences. Ils ont poursuivi sa réorganisation en promouvant une constitution plus démocratique ainsi qu’un congrès international en 2013, à Manchester, et au Brésil, en 2018, couronnés de succès. Cette nouvelle période apporta l’espoir que les anthropologues puissent améliorer leurs échanges à l’échelle mondiale, à l’intérieur d’un milieu institutionnel assuré et ouvert à la participation de collègues venus de tous les coins du globe. En effet, lors du congrès mondial à Manchester, la possibilité de créer un seul corps international propre à représenter l’anthropologie commença à être débattue entre les membres du comité organisateur du WCAA et du comité exécutif de l’International Union of Anthropological and Ethnological Sciences (IUAES). Des négociations furent tenues avec succès dans les années suivantes, et en 2017, une institution bicamérale fut créée : la World Anthropological Union (WAU). Les modalités prévues dans la constitution de cette nouvelle institution reconnaissent le maintien de l’existence du WCAA et du IUAES, chacun avec ses structures politiques et objectifs propres, son leadership, et en tant que deux chambres séparées, distinctes et autonomes de la nouvelle WAU. Le World Anthropologies Network et le WCAA ont également inspiré la création de la Commission des anthropologies du monde (CWA) Au sein de l'American Anthropological Association en 2008, alors que Setha Low était sa présidente. En 2010, lors du mandat présidentiel de Virginia Dominguez au sein du AAA, la commission devint un comité, une entité permanente au sein de l’association. Ses objectifs sont d’ « identifier les enjeux importants partagés par les anthropologues issus de diverses nations ; développer des objectifs clairs pour rassembler les anthropologues des États-Unis et de l’international pour le bénéfice de l’anthropologie mondiale ; faire appel à une diversité de voix et de perspectives internationales et impliquer à la fois le milieu universitaire et l’anthropologie appliquée dans cette démarche » (traduction libre). En 2014, en réponse aux suggestions du CWA, le journal de l'American Anthropological Association, l’American Anthropologist, ouvrit une section « anthropologies du monde » afin d’aborder « les origines et préoccupations constantes de l’anthropologie à travers le monde » (Weil 2014: 160, traduction libre). L’histoire du WCAA en est une d’un succès. Mais l’enjeu maintenant est de savoir quoi faire de ce succès. Bien que le WCAA ait créé de nombreuses opportunités pour laisser place à plus de conversations hétéroglosses sur le plan mondial ainsi que l’apparition d’un nouveau leadership mondial, nous devons nous poser des questions, dont celles-ci : - A-t-on vraiment amélioré la visibilité des autres anthropologies au sein de la production anthropologique du système mondial, ainsi qu’en appelle Kuwayama (2004) ? Que pourrait-on faire de plus relativement aux politiques mondiales de la visibilité ? - Comment le WCAA peut-il améliorer les communications mondiales actuelles entre les anthropologies ? Un facteur permet de demeurer optimiste. À la suite d’années de débats internes au sein du WCAA sur comment pluraliser les politiques éditoriales au sujet du style et de la langue, le WCAA a lancé son propre journal en ligne, Déjà Lu. Depuis 2012, il republie, dans toutes langues, des articles sélectionnés par des revues anthropologiques (www.wcaanet.org/dejalu). L’édition de 2017 de Déjà Lu compte plus de 40 articles d’à travers la planète. Ce type d’intervention dans le domaine de la publication anthropologique est un effort stratégique particulier puisqu’il permet de visibiliser l’hétérogénéité de l’anthropologie contemporaine.
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Singleton, Michael. "Culte des ancêtres." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.092.

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Abstract:
Les plus observateurs de la première génération de missionnaires, de militaires et de marchands européens à avoir sillonné l’Afrique des villages avaient souvent remarqué qu’à proximité de la maisonnée tôt le matin leur vénérable hôte versait dans un tesson de canari, parfois logé à l’intérieur d’un modeste édicule, un peu de bière ou y laissait un morceau de viande tout en s’adressant respectueusement à un interlocuteur invisible. La plupart de ces ethnographes amateurs de la première heure ont automatiquement conclu qu’il s’agissait d’un rite d’offrande sacrificielle accompli par un prêtre sur l’autel d’un petit temple où étaient localisés des esprits d’ancêtres (qu’on distinguait des purs esprits ancestraux). A leurs yeux judéo-chrétiens et gréco-latins, ce culte répondait à une religiosité primitive axée autour de la croyance dans la survie (immatérielle) des âmes (immortelles) qui, implorées en prière par les vivants, pouvaient, grâce à Dieu, venir en aide aux leurs. The medium is the message En inventoriant et analysant ainsi le phénomène en des termes sacrés on ne pouvait pas tomber plus mal ou loin d’une plaque phénoménologique qu’en l’absence in situ de la dichotomie occidentale entre le naturel et le surnaturel, on ne saurait même pas décrire comme « profane ». Emportés par des préjugés ethnocentriques peu problématisés, même des anthropologues occidentaux ou occidentalisés (mais y en a-t-il d’autres ?), ont désigné comme « le culte religieux des esprits ancestraux » une philosophie et pratique indigènes qui, au ras des pâquerettes phénoménologiques, ne représentaient que l’expression conceptuelle et cérémonielle des rapports intergénérationnels tels que vécus dans un certain mode historique de (re)production agricole. Préprogrammés par leur héritage chrétien, même s’ils n’y croyaient plus trop, les premiers observateurs occidentaux de la scène africaine se sont sentis obligés d’y localiser une sphère du sacré et du religieux bien distincte d’autres domaines clôturés par leur culture d’origine dont, entre autres, l’économique, le social ou le politique. Je parle des seuls Européens à l’affut savant et non sectaire des traits univoques d’une religiosité universelle qu’ils estimaient relever d’une nature religieuse censée être commune à tous les hommes. Car il faut passer sous le silence qu’ils méritent les Occidentaux qui, en laïques rabiques ou croyants fondamentalistes traitaient ce qu’ils voyaient de stupidités sauvages voire de superstitions sataniques. Néanmoins, faisons écho du meilleur des ethnographes ecclésiastiques qui ont cru bon de voir dans le phénomène des relents soit d’une Révélation Primitive (Uroffenbarung) soit des jalons vers la vraie Foi. Car en filigrane dans le mânisme (un terme savant renvoyant aux mânes des foyers romains) ils pensaient pouvoir lire la croyance en le monothéisme et en l’immortalité individuelle ainsi que le pendant de l’intercession médiatrice entre les Saints voire des Ames du Purgatoire et Dieu – autant de dogmes du XIXe siècle auxquels désormais peu de Chrétiens critiques souscrivent et qui, de toute évidence ethnographique n’avaient aucun équivalent indigène. L’anthropologie n’est rien si ce n’est une topologie : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, d’un point de vue topographique, le lieu du phénomène qui nous préoccupe n’est ni religieux ni théologique dans le sens occidental de ces termes, mais tout simplement et fondamentalement gérontologique (ce qui ne veut pas dire « gériatrique » !). En outre, son langage et sa logique relèvent foncièrement de facteurs chronologiques. A partir des années 1950, je me suis retrouvé en Afrique venant du premier Monde à subir les conséquences sociétales d’un renversement radical de vapeur chronologique. Depuis l’avènement de la Modernité occidentale les acquis d’un Passé censé absolument parfait avaient perdu leur portée paradigmatique pour être remplacés par l’espoir d’inédits à venir – porté par les résultats prometteurs d’une croissance exponentielle de la maitrise technoscientifique des choses. Au Nord les jeunes prenant toujours davantage de place et de pouvoir, les vieillissants deviennent vite redondants et les vieux non seulement subissent une crise d’identité mais font problème sociétal. C’est dire que dans le premier village africain où en 1969 je me suis trouvé en « prêtre paysan » chez les WaKonongo de la Tanzanie profonde j’avais d’abord eu mal à encaisser la déférence obséquieuse des jeunes et des femmes à l’égard de ce qui me paraissait la prépotence prétentieuse des vieux. Les aînés non seulement occupaient le devant de la scène mais se mettaient en avant. Toujours écoutés avec respect et jamais ouvertement contredits lors des palabres villageois, ils étaient aussi les premiers et les mieux servis lors des repas et des beuveries. Un exemple parmi mille : en haranguant les jeunes mariés lors de leurs noces il n’était jamais question de leur bonheur mais de leurs devoirs à l’égard de leurs vieux parents. Mais j’allais vite me rendre compte que sans le savoir-faire matériel, le bon sens moral et la sagesse « métaphysique » des aînés, nous les jeunes et les femmes de notre village vaguement socialiste (ujamaa) nous ne serions pas en sortis vivants. Les vieux savaient où se trouvaient les bonnes terres et où se terrait le gibier ; ils avaient vécu les joies et les peines de la vie lignagère (des naissances et des funérailles, des bonnes et des mauvaises récoltes, des périodes paisibles mais aussi des événements stressants) et, sur le point de (re)partir au village ancestral tout proche (de rejoindre le Ciel pour y contempler Dieu pour l’Eternité il n’avait jamais été question !) ils étaient bien placés pour négocier un bon prix pour l’usufruit des ressources vitales (la pluie et le gibier, la fertilité des champs et la fécondité des femmes) avec leurs nus propriétaires ancestraux. En un mot : plus on vieillit dans ce genre de lieu villageois, plus grandit son utilité publique. Si de gérontocratie il s’agit c’est à base d’un rapport d’autorité reconnu volontiers comme réciproquement rentable puisque dans l’intérêt darwinien de la survie collective et aucunement pour euphémiser une relation de pouvoir injustement aliénant. La dichotomie entre dominant et dominé(e) est l’exception à la règle d’une vie humaine normalement faite d’asymétries non seulement acceptées mais acceptables aux intéressé(e)s. Les WaKonongo ne rendaient pas un culte à leurs ancêtres, ils survivaient en fonction d’un Passé (personnifié ou « fait personne » dans les ainés et les aïeux) qui avait fait ses preuves. Pour être on ne saurait plus clair : entre offrir respectueusement les premières calebasses de bière aux seniors présents à une fête pour qu’ils ne rouspètent pas et verser quelques gouttes du même breuvage dans un tesson pour amadouer un ancêtre mal luné et fauteur de troubles et qu’on a fait revenir du village ancestral pour l’avoir à portée de main, n’existe qu’une différence de degré formel et aucunement de nature fondamentale. Dans les deux cas il s’agit d’un seul et même rapport intergénérationnel s’exprimant de manière quelque peu cérémonieuse par des gestes de simple politesse conventionnelle et aucunement d’une relation qui de purement profane se transformerait en un rite religieux et profondément sacré. Pour un topologue, le non-lieu est tout aussi éloquent que le lieu. Dans leurs modestes bandes, les Pygmées vivent entièrement dans le présent et dans l’intergénérationnel acceptent tout au plus de profiter des compétences effectives d’un des leurs. Il ne faut pas s’étonner qu’on n’ait trouvé chez eux la moindre trace d’un quelconque « culte des ancêtres ». Cultivant sur brûlis, allant toujours de l’avant de clairière abandonnée en clairière défrichée les WaKonongo, voyageant légers en d’authentiques nomades « oubliaient » leurs morts derrière eux là où des villageois sédentaires (à commencer par les premiers de l’Anatolie) les avaient toujours lourdement à demeure (ensevelis parfois dans le sous-sol des maisons). Le passage d’un lieu à un lieu tout autre parle aussi. Quand le savoir commence à passer sérieusement à la génération montante celle-ci revendique sa part du pouvoir et de l’avoir monopolisés jusqu’alors par la sortante. En l’absence d’un système de sécurité sociale dépassant la solidarité intergénérationnelle du lignage cette transition transforme souvent la portée intégratrice de la gérontocratie en une structure pathogène. Aigris et inquiets par cette évolution, les vieux que j’ai connu au milieu des années 1980 dans des villages congolais, de bons et utiles « sorciers » s’étaient métamorphosés en vampires anthophages. Dans des contextes urbains des pays où l’Etat est faible et la Famille par nécessité forte, l’enracinement empirique du phénomène bien visible au point zéro du petit village d’agriculteurs sédentaires, se trouve parfois masqué par des expressions fascinantes (tels que, justement, les ancêtres superbement masqués que j’ai côtoyé chez les Yoruba du Nigeria) ou à l’occasion folkloriques – je pense aux Grecs qui vont pique-niquer d’un dimanche sur les tombes familiales ou aux vieillards que j’ai vu en Ethiopie terminant leur vie au milieu des monuments aux morts des cimetières. Mais la raison d’être du phénomène reste familial et ne relève pas (du moins pas dans sa version initiale) d’une rationalité qui serait centrée « religieusement » sur des prétendues réalités onto-théologiques qui auraient pour nom Dieu, les esprits, les âmes. Enfin, sur fond d’une description réaliste mais globale du religieux, deux schémas pourraient nous aider à bien situer l’identité intentionnelle des différents interlocuteurs ancestraux. En partant du latin ligare ou (re)lier, le religieux en tant que le fait de se retrouver bien obligé d’interagir avec des interlocuteurs autres que purement humains (selon le vécu et le conçu local de l’humain), a lieu entre l’a-religieux du non rapport (donnant-donnant) ou du rapport à sens unique (le don pur et simple) et l’irréligieux (le « Non ! » - entre autre du libéralisme contractuel - à tout rapport qui ne me rapporte pas tout). Si le gabarit des interlocuteurs aussi bien humains que supra-humains varie c’est que la taille des enjeux dont ils sont l’expression symbolique (« sacramentaires » serait mieux puisqu’une efficacité ex opere operato y est engagée) va du local au global. Quand le réel est intra-lignager (maladie d’enfants, infertilité des femmes dans le clan) la solution symbolique sera négociée avec l’un ou l’autre aïeul tenu pour responsable. Par contre, quand le signifié (sécheresse, pandémie) affecte indistinctement tous les membres de la communauté, le remède doit être trouvé auprès des personnifications plus conséquentes. Ces phénomènes faits tout simplement « personnes » (i.e. dotés du strict minimum en termes de compréhension et de volonté requis pour interagir) avaient été identifiés autrefois avec le « dieu de la pluie » ou « l’esprit de la variole » mais mal puisque les épaisseurs ethnographiques parlaient ni de religion ou de théologie ni d’opposition entre matière et esprit, corps et âme, Terre et Ciel. Une communauté villageoise est fondamentalement faite de groupes lignagers – représentés par les triangles. En cas de malheurs imprévus (en religiosité « primitive » il est rarement question de bonheur attendu !) l’aîné du clan devinera qui en est responsable (un sorcier, un ancêtre ou « dieu » - nom de code personnalisé pour la malchance inexplicable). Il prendra ensuite les dispositions s’imposent –le cas échéant relocalisant à domicile un aïeul mauvais coucheur. Leurs ancêtres n’étant pas concernés, les patriarches de lignages voisins se montreront tout au plus sympathiques. La ligne du milieu représente le pouvoir ou mieux l’autorité du conseil informel des notables. Si, en haut de la pyramide, le chef figure en pointillé c’est qu’il n’a aucun rôle proprement politique mais fonctionne comme médiateur entre les villageois et les nus propriétaires ancestraux en vue de l’usufruit collectif de leurs ressources vitales (en particulier la pluie). En invoquant ses ancêtres, il remédiera aussi à des problèmes affectant tout le monde (la sécheresse, une épidémie, des querelles claniques, menace ennemi). En partant de l’étymologie ligare ou « lier » j’entends par « être religieux » le fait de se (re)trouver obligé en commun à interagir de manière cérémonielle mais asymétrique, avec des interlocuteurs à l’identité plus qu’humain (tel que défini selon la logique locale), afin de satisfaire des intérêts réciproques et pas d’alimenter la curiosité intellectuelle, alors la spirale représente le réseau des rapports proprement religieux. Dans ce sens on peut penser que les vivants villageois se comportent « religieusement » avec les morts vivants du lignage ou de l’ensemble ethnique. Autour de la ligne médiane ont lieu les relations entre hommes, elles aussi à la limite religieuses – délimitées, à droite, par l’a-religieux de l’étranger vite devenu l’ennemi à qui on ne doit rien et qui peut tout nous prendre, et, à gauche, par l’irréligieux de l’adversaire du dedans tel que le sorcier parmi les vôtres qui vous en veut à mort. En bas, il y a le monde dit par l’Occident, animal, végétal et minéral mais qui fait partie intégrante de la religion animiste. En haut se trouve un premier cercle d’interlocuteurs religieux ceux impliqués dans des affaires claniques. Plus haut, constellant l’ultime horizon religieux, on rencontre des interlocuteurs personnifiant des enjeux globaux – la pluie, le gibier, des pandémies… Logiquement, puisqu’elle n’est pas négociable, les Africains ont localisé hors toute réciprocité religieuse, une figure des plus insaisissables – de nouveau mal décrit comme deus otiosus puisqu’elle n’a rien de théologique et n’est pas tant inoccupé que peu préoccupé par le sort humain. Trois diapositives illustrent les trois types d’interlocuteurs : 1. Des édicules pour fixer à côté de la maisonnée des ancêtres lignagers et faciliter les échanges intéressés avec eux ; 2. Un tombeau royal associé grâce à la houe cérémoniale à la pluie ; 3. Un « temple » à la croisée des chemins en brousse où siège le Seigneur de la Forêt et les Animaux.
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Piran, Siavash, Sam Schulman, Mary Salib, Jennifer Delaney, Mohamed Panju, and Menaka Pai. "Direct Oral Anticoagulants in the Real World: Insights into Canadian Health Care Providers’ Understanding of Medication Dosing and Use." Canadian Journal of General Internal Medicine 12, no. 3 (November 12, 2017). http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v12i3.201.

Full text
Abstract:
Background: Direct-acting oral anticoagulant (DOAC) use is increasing in Canada. This study evaluated nurse, staff physician, and resident physician understanding of DOAC dosing and administration.Methods: An electronic survey was distributed to health care providers (HCPs) at a hospital in Ontario, Canada. The questions discussed oral anticoagulant indications, dose adjustments, storage and administration, and counselling.Results: A total of 52 responses were received: 3 from nurses, 1 from a nurse practitioner, 21 from staff physicians (Hematology, Thrombosis Medicine, General Internal Medicine, Neurology), 25 from resident physicians, and 2 unspecified respondents. Twenty-four respondents (46%) felt comfortable or very comfortable prescribing DOACs. Only 15 (29%) knew that dabigatran should not be exposed to moisture and 13 (25%) knew that higher doses of rivaroxaban should be taken with food.Conclusion: HCP understanding of DOACs is variable. Though they express comfort with DOACs, their self-reported knowledge of dosing, administration, and patient counselling is incomplete.RésuméContexte : L’utilisation d’anticoagulants oraux directs (AOD) est en hausse au Canada. La présente étude évalue la connaissance qu’ont les infirmières et les médecins (membres du personnel et résidents) de l’administration et du dosage des AOD.Méthodologie: Un sondage en ligne a été effectué auprès des fournisseurs de soins de santé (FSS) d’un hôpital en Ontario, Canada. Les questions portaient sur les indications, l’adaptation posologique, l’entreposage et l’administration des anticoagulants oraux, ainsi que la démarche de conseil au patient.Résultats: Les 52 répondants se répartissent ainsi : 3 infirmières; 1 infirmière praticienne; 25 médecins membres du personnel (hématologie, thrombose, médecine interne générale et neurologie); 25 médecins résidents. Deux répondants n’ont pas précisé leur statut. Vingt-quatre répondants (46 %) se sentent à l’aise ou très à l’aise de prescrire des AOD. Seulement 15 répondants (29 %) savaient que le dabigatran ne doit pas être exposé à l’humidité et 13 (25 %) savaient que les doses plus élevées de rivaroxaban devaient être prises avec de la nourriture.Conclusions : La connaissance qu’ont les FSS des AOD est variable. Les FSS se disent à l’aise de travailler avec les AOD, mais, d’après ce qu’ils rapportent, leur savoir en matière de dosage, d’administration et de conseil au patient comporte des lacunes.In recent years, an increasing number of direct oral anticoagulants (DOACs) have become available. DOACs appear to be effective, safe, and convenient alternatives to warfarin.1–8 The 4 available DOACs in Canada are dabigatran, apixaban, rivaroxaban, and edoxaban and are approved by Health Canada for the prevention of stroke and systemic embolism in patients with atrial fibrillation and for treatment and secondary prevention of venous thromboembolism (VTE).DOACs come with specific recommendations for storage and administration. Dabigatran should not be exposed to moisture as this results in its breakdown and loss of potency.9,10 Moreover, dabigatran should be taken as a whole capsule, and not crushed or chewed. Modifying the capsule can lead to increased absorption and potentially increased risk of bleeding.9 Rivaroxaban at higher doses should be administered with food.10 If it is taken when fasting, its bioavailability is reduced by one third, thereby resulting in potentially increased risk of thrombosis.11Given that laboratory monitoring of DOACs is not routinely performed, it is crucial to ensure that these medications are administrated according to manufacturer’s recommendations. It is unclear whether DOACs are appropriately prescribed for indications currently approved by Health Canada, and whether patients are advised on optimal administration. Ideally, HCPs should counsel patients about appropriate DOAC use, however their understanding of this issue is unknown. To determine the level of understanding of administration and indications for DOACs, we conducted a cross-sectional study of HCPs at a Canadian hospital using a survey questionnaire.MethodsStudy PopulationAn electronic questionnaire examining HCP understanding of oral anticoagulant indications, dosing, administration, storage was distributed to physicians in different specialties, nurses, and nurse practitioners. The physician groups included: hematologists, thrombosis specialists, neurologists, internists, and resident physicians.Data CollectionThe electronic questionnaire was sent via email. Data collected included demographics, understanding of oral anticoagulant: (1) indications; (2) dosing and dose-adjustment based on renal function and age; (3) storage; and (4) administration. Additional data was collected about how HCPs counsel patients and how often they prescribe oral anticoagulants. Questionnaires were completed anonymously and no identifying data was collected outside of the participant’s occupation. Participation in this survey was voluntary. This study was approved by the Hamilton Integrated Research Ethics Board.Statistical AnalysisDescriptive statistics was used to identify the proportion of HCPs with understanding of appropriate oral anticoagulant indication, dosing, and dose-adjustment based on age and renal function. HCPs’ comfort level with prescribing oral anticoagulants, and the frequency with which they prescribe oral anticoagulants, was also assessed using descriptive statistics.ResultsParticipant CharacteristicsThe survey was sent to 300 potential respondents and 52 responses were received: 3 from nurses, 1 from a nurse practitioner, 21 from staff physicians, 25 from resident physicians, and 2 did not specify their profession. The speciality of the staff physicians included: 10 General Internal Medicine; 5 Neurology; 5 Thrombosis; and 1 Hematology. Twenty-two of the 25 residents were from Internal Medicine and 3 were from Neurology. Respondents had a mean of 11.8 years of experience and median of 5.5 years of experience in their field, respectively.HCPs’ Knowledge Base about Oral AnticoagulantsOnly 10% of the respondents correctly identified the approved indications for all 3 DOACs available in Canada. Only 15 (29%) knew that dabigatran should not be exposed to moisture and 27 (52%) knew that it should not be crushed. Thirteen participants (25%) knew that higher doses of rivaroxaban should be taken with food. Forty-three of the participants (83%), 38 (73%), and 42 (81%) adjusted the dose of dabigatran, rivaroxaban, and apixaban, respectively, for renal function. However, only 38 (73%) calculated renal function using the widely accepted Cockcroft-Gault formula. The rest used a laboratory reported e-glomerular filtration rate or creatinine alone. Thirty-one of the respondents (60%) and 29 (56%) adjusted the dose of dabigatran and apixaban, respectively, for age. Additional questions and respondents’ answers regarding dose adjustments are listed in Table 1. Table 1. Questions and Respondent’s Answers Regarding Which Drug(s) Can Be Safety Administered Based on the Renal Function and Age Forty-nine of the respondents (94%) and 27 (52%) correctly responded that the International Normalized Ratio (INR) was elevated in patients on warfarin and rivaroxaban, respectively. However, 22 (42%) and 20 (38%) incorrectly stated that INR was elevated in patients taking dabigatran and apixaban, respectively. Questions and respondents’ answers regarding anticoagulant reversal strategies are listed in Table 2.Table 2. Questions and Respondent’s Answers Regarding which Oral Anticoagulant’s Effect Can Be Reversed Using Each Reversal Agent HCPs’ Comfort Level, Counselling, and Prescription Patterns Twenty-four of the respondents (46%) felt comfortable or very comfortable prescribing DOACs. Twenty of the participants (38%) felt somewhat comfortable, while 5 (10%) felt very uncomfortable, and 3 (6%) did not specify their comfort level. Discomfort with prescribing DOACs was attributed to challenges with reversal of bleeding (31%), lack of knowledge about food or drug interactions (25%), lack of knowledge about appropriate dosing and administration (25%), lack of knowledge about appropriate indications (17%), challenges with dosing in the setting of renal impairment (21%), and bleeding risk (19%).When counselling patients around DOACs: 51 (98%) discussed the indication; 51 (98%) discussed bleeding; 33 (64%) discussed medication administration (e.g., frequency, with or without meals); 36 (69%) discussed drug interactions; 33 (64%) discussed food interactions; and only discussed ways to improve adherence (e.g., use of alarms or calendars). The prescribing pattern of HCPs per month is listed in Table 3. Table 3. How Often Do HCPs Prescribe Each Oral Anticoagulant Each Month DiscussionOur study demonstrates that despite HCPs’ self-expressed comfort with use of DOACs, their knowledge of oral anticoagulant indications, dosing, administration, and storage is suboptimal. HCPs have a unique opportunity to improve patients’ understanding and comfort with medication; it is therefore vital that they have accurate information about oral anticoagulants, and can convey this information effectively to their patients.There is a lack of consensus and a paucity of data around the effect of patient education around oral anticoagulants. A 2013 systematic review evaluating the impact of supplemental patient education on outcomes did not support patient education as a mechanism to improve outcomes. The systematic review’s conclusions were limited by poor quality evidence, and did not include patients on DOACs.12 Subsequent studies have shown that greater patient education about warfarin therapy was associated with better overall anticoagulant control, which might be predictive of better outcomes.13–15 The TREAT randomized trial compared a theory driven intervention using patient interviews, focus groups, educational booklet, self-monitoring diary, and worksheet with usual care. 14 It found that the educational intervention significantly improved anticoagulation control in patients taking warfarin, and concluded that improving patient education is essential to improve the efficacy and safety of anticoagulation.14 A cluster-randomized trial assessed the impact of patient education on knowledge about treatment; it compared patients who received education consisting of a video, a brochure, and a questionnaire with a control group who only received the brochure. 15 It found that patient education resulted in markedly improved safety-related patient knowledge.15Previous studies have shown similar findings of knowledge gap about oral anticoagulants among HCPs.16,17 In a study by Couris et al., HCPs including physicians, pharmacists, and dieticians were surveyed using questions about drug and dietary interactions with warfarin.16 The authors concluded that additional training and improved knowledge base about drug-dietary interactions among HCPs are crucial to provide adequate patient counselling and possibly optimized clinical outcomes.16 Ferguson et al. utilized a paper-based survey distributed during a cardiovascular meeting to assess nurses’ knowledge about warfarin-drug interactions and advise on warfarin dietary interactions, administration, monitoring, and duration of anticoagulation.17 They found that there was very poor knowledge about warfarin anticoagulation among nurses. 17Several “real-world” studies have examined the safety and efficacy of DOACs in patients with atrial fibrillation.18–22 Single-arm observational studies examining the real-world use of rivaroxaban in patients with atrial fibrillation20,21,24,25 and a 2017 systematic review 26 confirmed the safety and efficacy outcomes observed in the ROCKET AF.7 However dabigatran appears to perform differently outside of the randomized controlled trial setting. A 2016 systematic review of 7 post-marketing observational studies, which included 34,8750 patients with atrial fibrillation taking dabigatran, found that dabigatran at either dose showed no benefit over warfarin in prevention of stroke. 23 This finding differs from data reported by the RELY trial, which demonstrated that compared with warfarin, higher dose dabigatran significantly reduced the risk of stroke and systemic embolism.6 This raises the possibility that inappropriate use of dabigatran in clinical practice is contributing to its loss of clinical efficacy. Observational studies22,27 and a 2017 systematic review 28 examining the real-world use of apixaban in patients with atrial fibrillation confirmed the safety and efficacy outcomes observed in the ARISTOTLE.8Our study has some limitations. First, there is a potential for selection bias as we surveyed HCPs at one hospital on a volunteer basis and had a low response rate. The knowledge base of responders may have been different from that of non-responders. Five of the respondents were experts in thrombosis; HCPs’ knowledge might be more subpar if sampling is performed at a centre with no thrombosis expertise. A national study is needed to get a more accurate picture of Canadian practitioners’ understanding of DOACs. However, our study provides an initial look into an area where quality improvement appears to be badly needed. Second, due to its small sample size, our study could not compare the groups demonstrating appropriate understanding relative to those that did not. A larger study may yield information on the impact of specialty and years in practice. Third, as with any cross-sectional study, our study only offers a snapshot of the current practice. Nonetheless, our study is the first of its kind to describe HCPs’ knowledge of DOAC indications and administration, and paves the way for future studies examining the impact of educational programs on medication literacy. ConclusionsThough HCPs express comfort with prescribing DOACs, our study raises concerns around their self-reported knowledge of DOACs use. DOACs are a widely prescribed class of drugs, which can cause serious side effects if not prescribed and taken correctly. It is essential that HCPs provide patients with accurate information and counselling around DOACs, in order to optimize safe and efficacious use. Future studies should focus on educational strategies to improve HCPs’ knowledge base in this area, and associations between medication literacy and the safety and efficacy of DOACs. FundingSP is a recipient of a CanVECTOR thrombosis fellowship.
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