Academic literature on the topic 'Albert le Grand (1193?-1280 ; saint)'

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Dissertations / Theses on the topic "Albert le Grand (1193?-1280 ; saint)"

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Raffray, Matthieu. "« De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin." Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040095.

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Abstract:
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains
The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”
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Decossas, Béatrice. "Les exigences de la causalité créatrice ou une lecture complémentaire du 'Liber de causis' par Albert Le Grand et Thomas d'Aquin." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040032.

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Abstract:
Après avoir exposé pour elle-même la nature de l'aporie dans laquelle la causalité originaire place l'intelligence, après avoir présenté le type de solution que la philosophie grecque a proposé, après avoir manifesté comment le 'Liber de Causis' s'efforce de relever le défi que la création lance à l'émanatisme proclusien, il est procédé à une analyse circonstanciée du 'De causis et processu universitatis a causa prima' d'Albert le Grand et de l'expositio super librum de causis' de Thomas d'Aquin, dans le but d'établir, en dépit qu'on en ait et quelque discutable apparemment soit l'entreprise : l'accord foncier de leurs conceptions respectives de la causalité originaire ; la diversité de leurs points de vue ; la complémentarité de ceux-ci. De la sorte, seule la conjugaison de leurs lectures du 'Liber' permet de progresser dans la solution du problème initial, moyennant l'exploitation, amorcée seulement par eux, de la réflexion ontologique caractéristique du néoplatonisme
Once stated the actual nature of the apory into which the understanding is led by originary causality ; once introduced the type of solution ancient Greek philosophy proposed ; once shown how the 'Liber de causis' tries to take up the challenge creation sends to proclusian emanatism, it is proceeded to the detailed analysis of Albert the Great and Thomas of Aquinas. .
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Milazzo, Sébastien. "La théorie du Fluxus chez Albert le Grand : principes philosophiques et applications théologiques : le De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine : introduction, texte, traduction, notes et commentaire." Thesis, Metz, 2007. http://www.theses.fr/2007METZ002L/document.

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Abstract:
L'objet de cette étude concerne un langage de la procession et de la création trop longtemps oublié dans le contexte de la réception du néoplatonisme et de l’aristotélisme au XIIIe siècle : celui de fluxus, ou écoulement, chez Albert le Grand (1200-1280). Nous proposons ici la situation descriptive, historique et philosophique du texte dans lequel le Doctor universalis expose sa théorie du fluxus : le De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine, quatrième traité du De causis et processu universitatis a prima causa (1264-1267). La doxographie albertinienne, loin d'être une succession de digressiones ou encore de simples paraphrases des opiniones antiquorum, apparaît comme la formation d'une véritable conscience de l'histoire de la philosophie, de sa continuité et des ses ruptures. Plus encore, la doxographie albertinienne a pour fonction de répondre à des problématiques issues non seulement du passé mais aussi du monde contemporain de notre Doctor universalis : car, en effet, à travers la critique du panthéisme d'Hermès Trismégiste ou encore du matérialisme d'Ibn Gebirol, c’est bien l’horizon d’une critique du panthéisme matérialiste de David de Dinant et du panthéisme formaliste d'un Amaury de Bène qui se profile. Nous proposons, en outre, une traduction de travail de ce texte ainsi que son commentaire philosophique linéaire. Albert définit le fluxus comme emanatio et comme processio. Le flux pose la question de la relation du Premier Principe avec les réalités qu'il crée. Comment Albert réussira-t-il à résoudre l’articulation d’une théorie panthéiste et crypto-néoplatonicienne de la procession à une théorie monothéiste et chrétienne de la procession ?
The purpose of this study consists in the language of procession and creation that has fallen into oblivion for too long within the contextual framework of Neo-Platonism and XIII th century Aristotelian understanding : that of the fluxus theory – namely that of the flux one, in Albert the Great’s works ( 1200- 1280). Our ain is to provide the reader with a descriptive , historical and philosophical outlook over the text in which the "Doctor universalis" exposes his flux theory: the “De fluxu causatorum a causa prima et causarum ordine”, the fourth treaty of the "De causis et processu universitatis a prima causa" ( 1264- 1267).Albert's doxography, far from being a series of digressions or still mere paraphrases of "opiniones antiquorum", is to be regarded as the setting up of a genuine awareness process in the history of philosophy, of its never-ending existence and its critical moments. What's more still, the overall purpose of Albert’s doxography is to provide answers to problematic issues non only originating from the past but also rooted in the contemporary world of our "Doctor universalis". Indeed, throughout the criticism of Trismegist’s pantheism or even more clearly, that of Gebirol's materialism, what rises into view is the criticism of Amaury de Bène's formalist pantheism. Besides, the reader is to find a workshop translation of the text as well as its linear-related philosophical commentary. Albert used to define the "fluxus" as an emanation and as a procession. How was Albert, however philosophical-oriented he might have been, to succeed in tackling the argumentation of a Crypto-Neo- Platonism theory of procession and inserting it into a Christian one?
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Fărcaş, Daniel-Sorin. "Le transcendantal et le discours théologique : métaphysique et analogie chez Albert le Grand et Maître Eckhart." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040026.

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Abstract:
La distinction entre la science de l'homme ("scientia hominis") et la science de Dieu ("scientia dei") polarise toute la métaphysique d'Albert le Grand. Celle-là est mise en place surtout par la méthode résolutoire ("modus resolutorius") qui suit la voie ascendante (de l'effet à la cause), dans une démarche de retour (cognitif) de la créature au Créateur (les termes propres du vocabulaire albertien sont, à cet égard, "reductio", "resolutio", "reditio", "remotio"), Mais la science de Dieu est créatrice (ce qu'il connaît, il crée) et elle se réalise selon la méthode de composition ("modus compositivus"). Pour Maître Eckart, le concept d'homme noble ("homo nobilis") ou d'homme détaché détermine l'effacement partiel de l'opposition entre la "scientia hominis" et la "scientia dei". L'homme déifié (qui participe à la Déité), devenu "fils unique" de Dieu par l'adoption de son intellect, accède dès sa vie terrestre et temporelle non pas seulement à la béatitude éternelle, mais aussi à la connaissance plénière et éternelle propre de Dieu
This distinction between man's knowledge and God's knowledge concentrates the whole metaphysics of Albert the Great. The first operates especially according to the resolutive method ("modus resolutorius"), which follows an upward way (from effect to cause) in a cognitive return approach of the creature to the Creator (the specific terms of Albert's the Great vocabulary are here "reductio", "resolutio", "reditio", "remotio"), God's knowledge is a creative one (what He knows, He creates) and operates according to the composition method ("modus compositivus"). To Meister Eckhart, the concept of noble man ("homo nobilis") or detached man determines partial deletion of the opposition between "scientia hominis" and "scientia dei". The deified man (he takes part to Deity), who becomes "the unique son" of God his intellect adoption, experiences - even from his temporal and earthy life - not only the eternel bliss, but also the absolute (perfect) and everlasting knowledge which belongs only to God
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Moulin, Isabelle. "La question aristotélicienne de Dieu et sa réception chez les commentateurs grecs et médiévaux." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010671.

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Abstract:
Aucun livre d'Aristote n'a suscité de commentaires aussi divers que le livre Lambda de la Métaphysique. Convenait-il de présenter encore la doctrine aristotélicienne du premier moteur ? L'objet de cette étude consiste à discerner si la question de Dieu se pose dans le système aristotélicien, s'il est possible d'en construire une image cohérente, ainsi qu'à montrer comment s'est élaborée la réception de la question aristotélicienne de Dieu sur une période couvrant plus d'un millénaire. Au confluent de sources variées, Albert le Grand semble le commentateur privilégié. Grand lecteur avant d'être un grand interprète, il récapitule l'ensemble de la tradition tout en ouvrant la voie à un nouvel aristotélisme. D'Aristote à Albert, le premier principe, avant de devenir l'image d'un Dieu compatible avec la tradition chrétienne, s'est d'abord développé dans le monde grec et arabe. De commentaires en commentaires, c'est ce parcours que nous proposons au lecteur.
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Raffray, Matthieu. "« De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040095.

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Abstract:
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains
The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”
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Portes, Francois-Marie. "Parler de "la Femme" au Moyen-Age. Comparaison épistémologique entre corpus d'auteurs universitaires du XIIIe et XVIème siècle." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL150.

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Abstract:
Comment parler de « la femme » ? En effet, ce thème sollicite bon nombre de discours qui n’appartiennent pas au même domaine scientifique et n’ont pas la même méthode. Quelle science doit donc être employée pour déterminer la hiérarchie des discours qui ont la différence sexuelle pour objet ? Quelle est la place de la philosophie dans la constellation des savoirs que le XIIIème siècle a vu se croiser à l’occasion d’un tel « thème » ? Que ce soit dans les discours universitaires d’Albert le Grand, de Thomas d’Aquin, de Bonaventure ou de Gilles de Rome, il appert que l’objet d’étude qu’est la « femme » est épistémologiquement cohésif. Les autorités comme Aristote, Galien, Avicenne et Averroès sont confrontées à Augustin, Pierre Lombard, Paul de Tarse et aux « Saintes Ecritures ». Est-ce donc à la Révélation de donner les principes des discours sur « la femme », ou bien à la médecine de discriminer ou de prouver les thèses morales et politiques concernant la différence sexuelle ? Chaque auteur semble avoir une réponse qui témoigne de son épistémologie sous-jacente et c’est la cohérence scientifique pour parler de la sexuation et, en définitive, de la femme, qui est visée par ces auteurs du Bas Moyen-Age
How can we speak about « woman »? Indeed, many discourses refer to this subject without belonging to the same scientific field and without sharing the same methodology. Which science should be selected to determine the hierarchy of the discourse about sexual difference? What part did philosophy play in this subject among the manifold fields of knowledge of the 13th century? In the academical corpus of Albert the Great, Thomas Aquinas, Bonaventure, Giles of Rome and many others, the study of woman looks epistemologically cohesive. Authoritative voices such as those of Aristotle, Galen, Avicenna and Averroes are confronted with those of Augustine, P. Lombard, Paul, and with the “Holy Scriptures”. Is it hence up to the Book of Revelation to provide the principles underpinning the discourses on “woman”, or up to medical authorities to distinguish between or prove the moral and political theses on sexual difference? Each author’s answer to this question seems to testify to his underlying epistemology and it is the scientific consistency which characterizes the talk about the gender, and ultimately about the woman, which is targeted by these Late Middle Ages authors
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Vernier, Jean-Marie, and Albert le Grand. "Le Livre sur la nature et l'origine de l'âme d'Albert le Grand : introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, Le traité de l'âme et la Physique d'Aristote." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040230.

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Abstract:
Le livre sur la nature et l'origine de l'âme de Saint-Albert le Grand. Introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de la traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, le Traite de l'âme et la Physique d'Aristote. Époque concernée : XIIIème siècle. Genre de l’œuvre : traite de philosophie naturelle (au sens aristotélicien). Auteur :Albert le Grand (dominicain et évêque du XIIIème siècle, docteur de l'église). Langue : latin médiéval. Thèmes étudiés : traité I : La causalité de l'intellect sur la nature; l'être et le devenir naturels (diversité des formes, inchoation des Formes, éduction des formes de la matière); la génération et la nature de l'âme végétative, sensitive et rationnelle; les puissances cognitives (intellect possible, intellect agent) et motrices de l'âme rationnelle. Traite II : la séparation et l'immortalité personnelle de l'âme, l'état et le lieu de l'âme séparée selon les philosophes, l'état de l'âme après la mort. Sources principales rencontrées : Platon (Timee, Phèdre), Aristote (Traite de l'âme, Métaphysique, Physique), Macrobe (Sur le songe de Scipion), Calcidius (commentaire sur le Timee), pseudo-denys L'aréopagite (traite des noms divins), Liber de causis, Avicenne (livre sur l'âme), Averroes (grand Commentaire sur le traité de l'âme). Cette thèse manifeste, au terme de l'introduction, l'influence de cette oeuvre sur Dante (banquet), Berthold de Moosburg (Commentaire sur les éléments de théologie de Proclus), Guillaume de Vaurouillon (Livre sur l'âme), Marsile Ficin (Théologie platonicienne de l'immortalité des âmes)
The Albert the Great's book on nature and origin of the soul: introduction, translation and footnotes, followed by complementary notes and translation of paralell texts taken from Albert the Great's commentaries on Aristotle's Metaphysics, Treatise on the soul and Physics. Age : XIIIth century. Type : Treatise of natural philosophy (in an Aristotelian meaning). Author : Albert the Great (dominican and bishop, Doctor of the Church). Language : medieval latin. Themes : First Treatise : The Intellect's causality on the Nature, the natural being and gradual change; the generation and nature of the vegetative, sensitive and rational soul; the cognitive and motor faculties of the rational soul. Second Treatise : the separation and personal immortality of the soul, the state and the place of the separated soul according to the philosophers, the state of the soul after the death. Main authorities : Plato, Aristotle, Macrobius, Calcidius, Pseudo-Dionysius, Liber De Causis, Avicenna, Averrois. The introduction of this doctoral thesis shows the influence of this Albert's book on Dante (Convivio), Berthold von Moosburg, Guillaume de Vaurouillon, Marsile Ficin
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Delaurenti, Béatrice. "Virtus Verborum : débats doctrinaux sur le pouvoir des incantations aux XIIIe et XIVe siècles." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0050.

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Abstract:
La notion de virtus verborum a fait l'objet aux XIIIe et XIVe s. D'un ensemble de réflexions théologiques et médicales autour de la notion d'incantation naturelle; elles ont pour enjeu la possibilité d'autoriser certaines formes d'incantation. L'étude se fonde principalement sur sept auteurs : Guillaume d'Auvergne, Thomas d'Aquin, Roger Bacon, le pseudo-Albert le Grand (auteur du De mirabilibus mundi), Pietro d'Abano, Gentile da Foligno et Nicole Oresme. Leurs écrits définissent une parenthèse naturaliste dans une époque préoccupée par les démons. La partie 1 fait le point sur les sources et le cadre conceptuel des débats, en particulier sur les notions de magie, nature et action à distance. Les parties 2, 3 et 4 suivent le déroulement des débats en distinguant trois périodes : 1230-1270, 1280,-1348, 1350-1402. L'interprétation naturaliste de la virtus verborum prend fin au début du XVe s. Avec l'hostilité de Jean Gerson envers cette notion; les débats ne renaissent qu'à l'époque moderne
In XIIIth and XIVth c. , the virtus verborum was the object of theological and medical discussions about the possibility of a natural cause of power of incantations. The stake of these reflexions was the possibility of allow certain forms of incantations. The study is based mainly on the writings of seven authors : Guillaume d'Auvergne, Thomas d'Aquin, Roger Bacon, the pseudo-Albertus Magnus (De mirabilibus lundi's author), Pietro d'Abano, Gentile da Foligno and Nicole Oresme. Their writings define a naturalist parenthesis in a time largely preoccupied by the demons. Part 1 analyses the sources and the conceptual framework of the debates, in particular the concepts of magic, nature and action at a distance. Parts 2, 3 and 4 follow the course of the debates during three periods : 1230-1270, 1280-1348 and 1350-1402. The naturalistic interpretation of the virtus verborum end at the begining of XVth c. With the hostility of Jean Gerson towards this idea; it reppears only at the Renaissance
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Trepczyński, Marcin. "Ścieżki myślenia Alberta Wielkiego i Tomasza z Akwinu." Doctoral thesis, 2013. http://depotuw.ceon.pl/handle/item/159.

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Abstract:
W rozprawie tej prezentuję ścieżki myślenia dwóch średniowiecznych teologów i filozofów: Alberta Wielkiego i Tomasza z Akwinu. Analizuję uwarunkowania, które w jakiś sposób mogły kształtować ich rozumowania (część pierwsza), ich modele rozumowań, np. dedukcję i indukcję - pokazując, jak je rozumieli i jak ich używali (część druga) oraz ich ujęcia metody naukowej (część trzecia). Pokazuje to procedury osiągania prawdziwej wiedzy zwanej nauką (scientia) - 1) które obaj myśliciele starali się stosować i 2) których rzeczywiście przestrzegali. Analizy te opierają się na komentarzach Alberta i Tomasza do Analityk Wtórych Arystotelesa, i innych jego dzieł, na ich Summach, na komentarzu Tomasza do De Trinitate Boecjusza i na wielu innych tekstach obu autorów.
In this dissertation I present the paths of thinking of two medieval theologists and philosophers: Albert the Great and Thomas Aquinas. I analyse conditions that could in some way form their reasonings (the first part), their models of reasoning, eg. deduction, induction - by showing how they understood and used them (the second part) and their concepts of scientific method (the third part). This shows the procedures of gaining the real knowledge called science (scientia) 1) that both thinkers tended to apply and 2) that they really followed. These analyses are based on commentaries of Thomas and Albert to Aristotle's Posterior Analytics and other works, on their Summas, on Thomas's commentary to Boethius's De Trinitate and on many other texts of both authors.
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Books on the topic "Albert le Grand (1193?-1280 ; saint)"

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Reclaiming moral agency: The moral philosophy of Albert the Great. Washington, D.C: Catholic University of America Press, 2008.

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2

Simon, Tugwell, Albertus Magnus Saint 1193?-1280, and Thomas Aquinas Saint 1225?-1274, eds. Albert & Thomas: Selected writings. New York: Paulist Press, 1988.

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3

Resnick, Irven. Companion to Albert the Great: Theology, Philosophy, and the Sciences. BRILL, 2012.

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4

Companion to Albert the Great: Theology, Philosophy, and the Sciences. BRILL, 2012.

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5

Hendrix, Scott. Albert the Great's Speculum Astronomiae and Four Centuries of Readers. Palgrave Macmillan, 2010.

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OP, Bernhard Blankenhorn. The Mystery of Union with God: Dionysian Mysticism in Albert the Great and Thomas Aquinas. The Catholic University of America Press, 2016.

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7

Mystery of Union with God: Dionysian Mysticism in Albert the Great and Thomas Aquinas. The Catholic University of America Press, 2015.

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8

St. Albert the Great's Theory of the Beatific Vision. Peter Lang Publishing, 2002.

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