Academic literature on the topic 'Agriculture – Afrique occidentale'

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Dissertations / Theses on the topic "Agriculture – Afrique occidentale":

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Roudier, Philippe. "Climat et agriculture en Afrique de l'Ouest : quantification de l'impact du changement climatique sur les rendements et évaluation de l'utilité des prévisions saisonnières." Paris, EHESS, 2012. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00874724.

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Abstract:
Cette thèse cherche à étudier les relations climat/agriculture en Afrique de l'Ouest. Dans un premier temps, nous passons en revue plusieurs études qui donnent une estimation de l'impact du climat futur sur les rendements agricoles. La valeur médiane d'évolution des rendements futurs se situe ainsi vers -11%. Il semble de plus nécessaire de travailler plus en détail sur les scénarii futurs, parfois trop limités et sur les différences entre variétés. Nous nous fondons sur ces constatations pour réaliser une étude d'impact originale utilisant des données observées sur 35 stations météorologiques en Afrique de l'Ouest. Les résultats montrent entre autre une évolution négative du rendement moyen principalement due à l'augmentation de température que la pluie peut seulement atténuer ou aggraver. On note également un impact plus négatif pour les variétés à cycle court et constant. Cela nous pousse donc à étudier l'intérêt des prévisions climatiques saisonnières qui permettent de minimiser l'impact de l'aléa pluviométrique. Nous calculons leur valeur pour les cultivateurs de mil nigériens en utilisant un modèle économique. Les résultats montrent un impact sur le revenu globalement positif (+6. 9%), même en années sèches et avec une précision d'une précision proche de l'existant. Enfin, afin d'étudier des points que l'évaluation théorique laissait en suspens nous élaborons au Sénégal des ateliers participatifs qui visent à étudier avec les acteurs locaux les changements de stratégies culturales en réaction à des prévisions climatiques, ainsi que le gain engendré par ces prévisions sur les rendements. L'impact sur les rendements est évalué avec l'aide d'un expert et montre que les prévisions ont certes un effet nul dans 62% des cas, mais qu'il est positif dans 31%
In this thesis, we first aim at reviewing all the studies assessing the impact of future climate changes on agricultural yields. The median value of all relative changes of yield is -11%. We also underline the relevance for future studies to define a large range of climatic scenarios. Based on these conclusions, we next intend to evaluate the impact of future climate change on West African yields using 35 meteorological stations. Results reveal a negative evolution of average yield, mainly driven by temperature rise. Rainfall anomalies can only compensate (positive anomaly) or aggravate (negative) this tendency. We also find that potential impacts are more pessimistic for cultivars with a constant cycle length. Given these previous findings about high year-to-year variability of rainfall (thus entailing a variability of yields) and given the uncertain future climate, we are led to study next what interest the farmers would have in having climatic information such as seasonal forecasts. These forecasts can be used to minimize the impacts of rainfall variability. We compute the value of such forecasts for millet growers in Niger, using a simple economic model. Results reveal a positive impact of such forecasts on average income, even for dry years and with a forecast accuracy close to a real one. This increase reaches +34% if other information such as the onset and the offset of the rainy season are given. Finally, we develop participatory workshops in Senegal (i) to study precisely how farmers change their cropping strategies with seasonal and decadal forecasts and (ii) to quantify the impact of such forecasts on yields. This study reveals that forecasts have mainly no impact on yields (62%). However, it is positive in 31% of cases
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Sow, Fanta. "Les stratégies de développement de la filière du miel en milieu rural du Sénégal, Guinée, Mali." Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010667.

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Abstract:
En Afrique Occidentale, l'apiculture joue un rôle économique de plus en plus important dans l'économie régionale et nationale. Elle est certes encore traditionnelle mais depuis trois décennies environ, elle tente de se moderniser en évoluant dans le bon sens même si, elle doit, surmonter des obstacles et contraintes économiques. Depuis les années 1980, le regain d'intérêt pour les PFNL (Produits Forestiers Non Ligneux) a amené certains pays comme le Sénégal (Tomboronkoto), le Mali (Sido) et la Guinée (Bésséourou) à restructurer leur filière du miel pour un développement durable. En effet, les techniques traditionnelles utilisées peuvent conduire à la déforestation et aussi à la disparition de ces PFNL, d'où l'amélioration des pratiques, la création de coopératives ou groupements de producteurs, de GIE (Groupement d'Intérêt Economique). Contribuant en large majorité à l'équilibre écologique et de la biodiversité, la production apicole entretient des liens étroits avec la préservation de l'environnement et la gestion durable des ressources naturelles car participant à la pollinisation des plantes cultivées.
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Traore, Amadou. "Changement climatique et agriculture en Afrique subsaharienne. Perception des agriculteurs et impact de l'association entre une céréale et une légumineuse sur les rendements des deux espèces et leur variabilité inter-annuelle sous climat actuel et futur. Cas du sorgho et du niébé dans l'environnement soudano-sahélien." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://theses.hal.science/tel-03847646.

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Abstract:
Dans la zone soudano sahélienne d'Afrique de l'Ouest, la productivité agricole est fortement affectée par la variabilité et les changements climatiques. La production agricole est dominée par la production pluviale de céréales telles que le maïs, le mil et le sorgho, pour la consommation alimentaire. Les agriculteurs ont des rendements faibles et variables, ce qui entraîne une incertitude croissante quant à leur capacité à produire davantage pour nourrir une population en forte croissance. L'objectif général de cette thèse était de concevoir des systèmes de culture plus productifs et stables, adaptés au changement climatique, en explorant les bénéfices de l'association sorgho-niébé, combiné a des choix contrastés de variété de sorgho, de fertilisation minérale et de date de semis. L'approche était basée sur un travail d'enquête, d'expérimentation au champ et de simulation à l'aide d'un modèle de culture, pour un cas d'étude au centre du Mali en Afrique de l'Ouest. Une première étape a porté sur l'identification de la perception du changement climatique par les agriculteurs et les stratégies d'adaptation agricole qu'ils considèrent pertinentes pour faire face à la variabilité et au changement climatique. En second lieu, le modèle de culture STICS a été calibré sur la base de deux années d'expérimentation (2017, 2018) de la culture associée sorgho-niébé à la station agronomique de N'Tarla. Dans ce dispositif expérimental, deux variétés de sorgho (locale et améliorée) avec une sensibilité contrastée à la photopériode ont été étudiées en culture pure et en culture associée avec le niébé. Deux dates de semis et deux niveaux de fertilisation minérale ont également été étudiés
In the Sudano-Sahelian zone of West Africa, agricultural productivity is strongly affected by climate variability and change. Agricultural production is dominated by rainfed cereal production such as maize, millet and sorghum for food consumption. Farmers have small and variable yields, leading to increasing uncertainty about their ability to produce more to feed a rapidly growing population. The aim of this thesis was to design more productive and stable cropping systems, adapted to climate change, by exploring the benefits of sorghum-cowpea intercropping, combined with contrasting choices of sorghum variety, mineral fertilisation and sowing date. The approach was based on a survey, field experimentation and simulation using a crop model, for a case study in central Mali in West Africa. The first step was to identify farmers' perceptions of climate change and the agricultural adaptation strategies they consider relevant to cope with climate variability and change. Secondly, the STICS crop model was calibrated on the basis of two years of experimentation (2017, 2018) of the sorghum-cowpea intercrop at the N'Tarla agronomic station. In this experimental set-up, two sorghum varieties (local and improved) with contrasting sensitivity to photoperiod were studied in sole crops and in intercropping with cowpea. Two sowing dates and two levels of mineral fertilisation were also studied. The relevance of the model to represent competition and complementarities between sorghum and cowpea fo water and nitrogen use was evaluated. Finally, the performance (average productivity and productivity stability of a range of technical options for integrated soil fertility management
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Bouda, Seydou. "Rôle du capital humain dans le développement au Burkina Faso." Electronic Thesis or Diss., Université Clermont Auvergne (2021-...), 2023. http://www.theses.fr/2023UCFA0158.

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Abstract:
Le Burkina Faso est confronté à des défis de développement. Dans la stratégie de développement 2021-2025 y sont inscrits le développement du capital humain et la dynamisation des secteurs porteurs pour l’économie. Parlant de secteurs porteurs, l’agriculture est clairement identifiée comme un secteur porteur majeur, de par son poids dans l’économie nationale. Les programmes et politiques de développement élaborés au Burkina Faso ont toujours consacré un budget important à l’éducation comme l’une des variables clés contribuant à l’amélioration du capital humain. Après tant d’efforts et moyens consentis à l’amélioration du capital humain, on se peut se demander légitiment si l’amélioration du capital humain influence positivement le développement au Burkina Faso. Plusieurs indicateurs de capital humain existent mais beaucoup convergent vers la considération que l’éducation est un élément incontournable dans sa détermination. Certaines études aboutissent à des résultats mitigés concernant la relation entre l’éducation et le développement. La présente étude a pour objectif d’analyser les effets du capital humain sur le développement au Burkina Faso. Il s’agit en premier lieu d’analyser les effets de l’éducation sur la productivité agricole des ménages ruraux ; en second, d’analyser le rôle que peut jouer l’éducation dans l’adoption des techniques de production agricoles et en troisième lieu d’analyser le rôle que peut jouer l’éducation dans la réduction des inégalités.Les résultats montrent que le niveau d’éducation du responsable de l’exploitation agricole a un effet positif sur la productivité des principales cultures vivrières et de rente. De façon générale, lorsque le responsable de parcelle a le « niveau alphabétisé », l’inefficience technique est réduite par rapport à ceux n’ayant reçu aucune instruction. Cette inefficience est encore plus réduite quand le chef d’exploitation atteint le niveau primaire ou secondaire. Pour une meilleure efficacité dans la production des cultures de rente, l’enquête révèle que le secondaire est le niveau requis. L’accompagnement technique des agriculteurs, l’appartenance à un groupement de même qu’être localisé dans la zone sub-soudanienne permettent d’être plus efficients. De même, les résultats montrent qu’un niveau d’éducation élevé est associé à une probabilité plus grande d’adoption des nouvelles techniques de production, tout en réduisant les techniques polluantes comme l’adoption des pesticides. Les résultats montrent également que l’éducation est source d’inégalité de bien-être. Que ce soit en milieu rural ou en milieu urbain, l’effet est significatif, mais l’ampleur est plus important en milieu urbain qu’en milieu rural.Ces résultats suggèrent que les décideurs politiques pourraient davantage mettre l’accent sur l’accès à l’éducation permettant aux agriculteurs d’être efficients et d’adopter les techniques agricoles modernes les plus efficaces, gage d’une agriculture durable. Dans le souci de réduire les inégalités de revenus, il faut réduire les disparités entre villes et campagnes quant aux chances d’accès à l’instruction, qu’il s’agisse de l’alphabétisation ou des différents niveaux d’éducation. Au Burkina Faso, le coton peut être considéré comme la culture benchmark des politiques agricoles. Les pouvoirs publics devront mettre en œuvre une politique volontariste en capitalisant sur la culture du coton pour l’appliquer à certaines cultures vivrières comme le maïs, le riz et même le niébé aujourd’hui bien ancré dans les habitudes de consommation en milieu urbain comme dans les campagnes
Always devoted a significant budget to education as one of the key variables contributing to the improvement of human capital. After so many efforts and means devoted to the improvement of human capital, one can legitimately wonder whether the improvement of human capital positively influences development in Burkina Faso. Several human capital indicators exist but many converge on the consideration that education is an essential element in its determination. Some studies find mixed results regarding the relationship between education and development. This study aims to analyze the effects of human capital on development in Burkina Faso. The first is to analyze the effects of education on the agricultural productivity of rural households; secondly, to analyze the role that education can play in the adoption of agricultural production techniques and thirdly to analyze the role that education can play in reducing inequalities. The results show that the level of education of the farm manager has a positive effect on the productivity of the main food and cash crops. In general, when the plot manager has the "literate level", technical inefficiency is reduced compared to those who have received no instruction. This inefficiency is further reduced when the farm manager reaches the primary or secondary level. For greater efficiency in the production of cash crops, the survey reveals that secondary education is the required level. Technical support for farmers, belonging to a group as well as being located in the sub-Sudanian zone make it possible to be more efficient. Similarly, the results show that a high level of education is associated with a greater probability of adopting new production techniques, while reducing polluting techniques such as the adoption of pesticides. The results also show that education is a source of inequality in well-being and whether in rural or urban areas, the effect is significant, but the magnitude is greater in urban than in rural areas. These results suggest that policy makers could place more emphasis on access to education enabling farmers to be efficient and adopt the most effective modern agricultural techniques, a guarantee of sustainable agriculture. In order to reduce income inequalities, it is necessary to reduce the disparities between town and country with regard to the chances of access to education, whether it is literacy or different levels of education. In Burkina Faso, cotton can be considered as the benchmark crop for agricultural policies. The public authorities will have to implement a proactive policy by capitalizing on the cultivation of cotton to apply it to certain food crops such as maize, rice and even cowpea, which are now well anchored in consumption habits in urban areas as in countrisides
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Fouda-Onambele, Paul. "Information et communication de la FAO en matière d'agriculture en Afrique Occidentale : cas du Bénin, Côte d'Ivoire, Ghana, Nigéria, Togo." Bordeaux 3, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR30057.

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Abstract:
En afrique de l'ouest, les pays du golfe du benin (ghana-nigeria-benin-cote d'ivoire-togo) abritent des peuples semblables aux civilisations identiques vivant les memes problemes. Pour tous ces pays, l'activite economique principale et de base est l'agriculture. Mais depuis leur accession a l'independance, ces pays ont ete victimes d'une politique de developpement inadequate releguant l'agriculture au second plan. Par consequent, l'agriculture a connu dans ces pays un declin catastrophique. La production agricole n'augmente pas aussi vite que l'accroissement demographique (2% contre 3,2%). Il en resulte un deficit alimentaire chronique et un etat de pauvrete et de misere. Les nouvelles strategies de developpement agricole dans cette sous-region africaine passent tout d'abord par l'information qui est une ressource de premiere necessite. Par ailleurs, l'ere de democratisation en cours dans ces pays favorise l'emergence et le developpement des medias, qui constituent un moyen efficace, et puissant pour atteindre les populations, en l'occurrence le monde rural. Consciente de ces realites, la fao qui est une source fiable d'informations, coopere etroitement avec les medias afin de mettre l'information et la communication au service des peuples pour un developpement agricole durable et une alimentation saine et nutritive
In west africa, the peoples living in the countries of benin gulf (ghana-nigeria benin-cote d'ivoire-togo) are alike, sharing the same civilizations and facing the same problems. All of those countries have agriculture as the main and fundamental economic activity. Since independence, they have been victims of an inadequate political development which made agriculture play a secondary role. As a result, the agricultural production has declined seriously. It's rate of increase is less than that of the population growth (2% against 3,2%). From this, it resulted a chronic food shortage, misery and poverty. In that situation, the new agricultural development strategies are carried on at first, by information which is a prime necessity resource. So far, the democratization process in progress in those countries enhance an emergence and the development of media which are a powerful and an efficient means to reach the peoples, mostly those living in the rural areas. Being aware of those realities, fao as a reliable source of information, cooperates tightly with the media in order to put information and communication in the service of the peoples for a sustainable agricultural development, a healthy and nutritive feeding
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Leblois, Antoine. "Quels changements organisationnels pour l'agriculture africaine ? : essais sur les réformes des filières cotonnières et les assurances à indices météorologiques." Paris, EHESS, 2012. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00765746.

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Abstract:
Le secteur agricole africain a été le parent pauvre des politiques de développement du siècle dernier, ne favorisant pas l'émergence d'une révolution verte comme en Asie du Sud ou, dans une moindre mesure, en Amérique Latine. Le continent détient pourtant une capacité de production importante mais les rendements observés restent très faibles. De nombreux défis menacent par ailleurs le développement du secteur agricole et la sécurité alimentaire en Afrique Subsaharienne : croissance démographique élevée, augmentation du prix des énergies fossiles nécessaire à l'intensification telle que l'ont connue les pays occidentaux, réchauffement climatique. Dans ce contexte, il est nécessaire de repenser certains choix organisationnels afin de permettre un développement du secteur agricole à même de faire face à ces défis. La sécurité alimentaire en Afrique est intrinsèquement liée aux revenus des ménages ruraux, pour lesquels la production agricole joue un rôle majeur. L'approvisionnement futur du continent semble dépendre de l’adoption d'innovations autorisant une intensification agricole qui permettrait une gestion durable des ressources rares. Nous étudions deux formes de changements organisationnels que sont la structure de marché des filières coton en Afrique Subsaharienne et les assurances fondées sur des indices météorologiques ou d'imagerie satellite. Dans les deux cas il s'agit de limiter les effets de pièges à pauvreté afin d'augmenter l'investissement agricole et donc le rendement moyen de long terme, en dépit de contraintes latentes de crédit et des risques qui pèsent sur le processus productif et la commercialisation
The PhD dissertation dealt with two kinds of organisational changes that aim at defining paths for future agricultural development in sub-Saharan African countries. Both were related to market, the first concerned cash crop market structure and reforms, the access to second financial markets and more particularly insurances. The two first chapters were dedicated to institutional changes. We looked empirically for supply responses of market reforms in the cotton sector of 16 sub-Saharan African countries. We controlled for the availability of environmental factors on yield and area cultivated with cotton using the average of available precipitations and temperatures during the crop cycle, weighted by density of cotton cultivation over national cotton production zones. We found that reforms leading to regulation and strong competition had a significant impact, both on area and yield (but no significant impact of reforms leading to low competition). In a nutshell, reforms have generally led to higher yields but that introducing strong competition significantly lowered the area cultivated with cotton. The three last chapters concerned a relatively recent organisational innovation designed for fostering investments and technology adoption: weather index-based insurance mechanisms. I studied the potential of index-based insurances in developing countries, using detailed agronomic data on cotton cultivation in Northern Cameroon and millet cultivation in South-West Niger, matched, in both cases, with observations from high density networks of rainfall stations. Those papers compare the performance of various meteorological indices based on daily rainfall data
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Bawa, Anissou. "Mutations des périphéries urbaines au sud du Togo : des espaces ruraux à l'épreuve du peuplement et de la marchandisation des terres." Thesis, Montpellier, 2017. http://www.theses.fr/2017MONTT077/document.

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Abstract:
Cette recherche porte sur les mutations paysagères et les stratégies foncières locales mises en œuvre par les exploitants agricoles à la périphérie de la ville de Lomé au Togo. Elle s’appuie sur une approche pluridisciplinaire qui intègre des questions sur la démographie, l’occupation des sols, la marchandisation des terres et les perceptions des différents acteurs de ces espaces. Des méthodes à la fois qualitatives et quantitatives sont mises en œuvre ; mobilisant des données démographiques à l’échelle la plus fine, des images satellitaires sub-métriques, une base de données sur les prix des terres, une série d’entretiens auprès d’informateurs-clé impliqués dans le foncier et une enquête quantitative auprès d’un large échantillon d’exploitants agricoles.Les résultats montrent que les périphéries de la ville de Lomé se recomposent aujourd’hui dans leur structure économique, leur organisation spatiale et leur tissu social. Cette recomposition s’inscrit dans un mouvement général de croissance démographique forte, engagé depuis la deuxième moitié du XXème siècle et qui se manifeste à la fois par l’augmentation rapide du nombre de localités peuplées et par la croissance démographique des localités elles-mêmes. Près de 15 nouvelles localités apparaissent chaque année dans cette petite région et le nombre des localités de plus de 1000 habitants a augmenté de 80 à 168 entre 1970 et 2010. Le volume important de la population ainsi que la croissance rapide sont une dimension essentielle du développement. Cette densification du peuplement est à la fois une cause et une conséquence de la course effrénée à la terre qui est observée à la périphérie de Lomé. Les trois-quarts des transferts fonciers sont maintenant monétarisés dans cet espace. Pourtant le marché foncier dynamique demeure encore en grande partie informel et non régulé par les pouvoirs publics. Les acquisitions foncières dans ces espaces périphériques sont en effet destinées en majorité à l’urbanisation (66 %). De fait la diminution rapide des terres agricoles qui en résulte constitue un défi majeur pour l’agriculture, surtout périurbaine. Tous les ans, une grande proportion des terres agricoles est convertie en bâti : 26 % dans les périphéries proches de la ville de Lomé et 7 % dans les périphéries plus éloignées, notamment au-delà de 25 km. La grande majorité des acquéreurs (93 %) réside dans des centres urbains proches et ces urbains sont souvent des cadres de l’administration (24 %). L’offre de terres pour le logement, limitée face à la forte demande, vient essentiellement de deux filières : la filière coutumière informelle, prédominante (77,5 %), et la filière privée formelle (22,5 %). Si la filière coutumière permet aux ménages à faibles ou moyens revenues d’accéder à la propriété foncière, elle ne garantit pas la sécurité de la tenure et les prix restent élevés par rapport au pouvoir d’achat des populations. La structuration de ces filières d’approvisionnement en terre pour le logement sera déterminante pour que l’urbanisation ainsi que le processus de peuplement contribuent à une croissance plus inclusive et à une prospérité partagée et ne constitue pas une opportunité manquée pour l’agriculture.Cette marchandisation des terres permet toutefois aux femmes, longtemps marginalisées par la tenure foncière coutumière, d’accéder à la terre. Contrairement aux hommes, ces femmes perçoivent la croissance urbaine comme une opportunité pour leur exploitation agricole et leurs stratégies foncières visent au maintien de l’agriculture. Les femmes deviennent sans doute des acteurs importants pour le maintien des activités agricoles dans ces espaces périphériques sous tension autour des villes africaines
This research focuses on the transformation of suburban areas in the southern part of the republic of Togo, and in particular on the transformation of rural areas around cities. It’s based on multidisciplinary approach that take into consideration all questions on demography, land occupation, land selling and the perceptions of different actors involve in those areas. Qualitative and quantitative methods have been used to collect demographic and satellite data, and to formulate a database on land market. Also, a series of interviews of key individuals involved in land use plan and a quantitative survey of a large sample of farmers have been conducted.The results show that the economic, social and spatial transformations of suburban area of the city of Lomé is part of a general movement of strong population growth under way since the second half of the twentieth century and which is manifested both by the rapidly settlement and population growth of the localities themselves. Nearly 15 new localities appear every year in this small area and the number of localities with more than 1,000 inhabitants arose from 80 to 168 between 1970 and 2010. This intensification of settlement is both a cause and a consequence of the rapid sale of land. Three-quarters of land transfers are now monetized in this region. But this dynamic land market is still largely informal and unregulated by the government. In fact the rapid decrease of agricultural land is the main concern. Land acquisitions are indeed intended mainly to urbanization (66 %). Every year, a large proportion of agricultural land is converted to shelter: 26 % in the suburbs near the city of Lomé and 7 % in more remote peripheries, especially beyond 25 km. The vast majority of buyers (93 %) reside in nearby urban centers and these are often urban administrative managers (24 %). The supply of land for housing limited by the high demand mainly comes from two streams: the customary informal sector (77.5%), and the formal private sector (22.5%). If the customary sector allows households with low or medium incomes to access to land, it does not guarantee security of tenure and prices remain high relative to the purchasing power of the population. The structuring of these supply chains will be important to urbanization and settlement processes in order to contribute to more inclusive economic growth and shared prosperity and not a missed opportunity for agriculture.However, this land market, allows women – long marginalized by customary land tenure – access to land. Unlike men, women perceive urban growth as an opportunity for their farms and their land strategies aimed at maintaining suburban agriculture. Women become undoubtedly important players for the maintenance of agricultural activities in the suburban areas around African cities
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Fare, Yohann. "Origine et transformation d'un système agraire au Sénégal - La zone des Niayes -." Thesis, Paris, Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France, 2018. http://www.theses.fr/2018IAVF0009/document.

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Abstract:
Le système agraire de la région des Niayes, située sur le littoral nord du Sénégal, entre Dakar et Saint-Louis a été étudié. Des enquêtes historiques et une centaine d’enquêtes d’exploitations agricoles ont été réalisées. Quatre-vingt enquêtes ont pu être utilisées pour établir les résultats économiques. Les grandes phases dans l’évolution du système agraire de la région étudiée ont été distinguées. 1. A la période précoloniale, une économie de cueillette (vin et huile de palme) et une agriculture itinérante à base de mils et d’arachide au Sud ; des systèmes d’élevage transhumants au Nord. 2. Durant la période coloniale, le maraîchage devient une source de revenus monétaire pour les paysans des Niayes qui, compte tenu des conditions du milieu, ne pouvaient pas profiter du boom arachidier du Dieri voisin ; ce développement fut aussi une réponse aux besoins croissants des villes en fruits et légumes. 3. Durant les grandes sécheresses (1970s-1980s), l’extension des terroirs maraîchers et intensification des systèmes de culture en raison d’un l’afflux de migrants et grâce à la création d’une forme de contrat à part de fruit, le mbeye seddo qui permet de répartir la valeur ajoutée entre un patron et un saisonnier, le sourgha. 4. Depuis 20 ans, développement de systèmes de culture motorisés, avec un creusement des écarts de revenus entre les exploitations manuelles et motorisées d’une part et entre les exploitations patronales et familiales d’autre part. Au sein du système agraire contemporain, nous avons distingué trois grandes catégories d’exploitations (familiales, patronales et capitalistes) ; au sein de ces groupes des exploitations pratiquent des systèmes de culture manuels, semi-motorisés ou motorisés. Le seuil de reproduction (c’est-à-dire le niveau minimal de ressources nécessaires) a été estimé pour une famille moyenne à 149.000 F CFA par actif et par an (227 euros).Une première catégorie d’exploitations est un système vivrier sur friches courtes à palmeraies. Avec les systèmes de cultures manuels, il est possible pour un actif de mettre en valeur 800 à 1200 m2 de cuvette maraichères (niaye) selon l’espèce cultivée, avec au mieux 2 campagnes par an. Le revenu varie de 500 à 1500 euros/actif/an. Avec les systèmes mixtes (exhaure motorisée et distribution manuelle de l’eau) on passe à 2500 m2/actif, avec aussi 2 campagnes par an et un revenu de 500 à 2600 euros/actif/an. La motorisation complète (exhaure motorisé et distribution par aspersion, à la lance) permet de faire 2 à 4 campagnes par an sur 3000 à 3500 m2/actif. Les revenus vont de 2000 à 10 000 euros/actif/an.Les exploitations familiales manuelles ou patronales avec peu de sourgha sont les plus en difficultés avec un revenu situés à peine au-dessus du seuil de reproduction (en moyenne 260 à 300 euros/actif/an, parfois 100 euros) sur moins de 2000 m2/actif familial. Avec un recours important aux sourghas les exploitations manuelles gagnent entre 1000 et 1800 euros/actif/an sur 4000 m2 à 1 ha/actif familial. Les exploitations motorisées (mixtes et intégrales) peuvent cultiver entre 1000 m2 (mixte) et 1 ha/actif familial (intégral), avec des revenus allant de 1500 euros/actif/an (système familial à exhaure motorisée et distribution manuelle) à 3500 euros/actif/an (système capitaliste motorisé intensif à 4 campagnes/an).Si la motorisation est tentante pour améliorer les revenus, mais ne se révèlerait pas durable pour le milieu (surexploitation de la nappe phréatique, pollutions diverses, dépendance aux énergies fossiles). La « course à la motorisation » creuse les écarts de revenus avec les exploitations manuelles et avec les rapports sociaux actuels, la répartition de la valeur ajoutée mériterait d’être révisée
A study on the agrarian system of the Niayes region, situated in the northern coastal area of Senegal, between Dakar and Saint Louis was accomplished, implementing historical surveys coupled with a hundred ones related to agricultural exploitations. About eighty surveys were used to help establish economic results. Main phases within the region’s agrarian system were distinguished.1. During the precolonial period, an economy of gathering (wine and palm oil) and a shifting agriculture with as basis millet and peanut in the South; transhumant stockbreeding system in the North;2. During colonization, market gardening became a source of income for Niayes farmers who, seen the area conditions, could not take advantage of the peanut boom of their Dieri neighbor. This development was also a response to cities’ increasing needs in fruits and vegetables.3. During the great drought (1970’s and 1980’s), the market gardening areas extension and the culture system’s intensification caused by migrants’ influx and thanks to the creation of a fruit-part-type contract, the mbeye seddo which allows sharing added value between the employer and the seasonal worker, the sourgha.4. For 20 years, the development of motorized culture systems, with an increasing differences of incomes between manual and motorized exploitations in one hand and the employers’ and family exploitations on the other hand.Within one contemporary agrarian system, we distinguished three main farming categories (family business, employers’ and capitalist ones). Within these groups, farms use manual, semi-motorized or motorized cultivating systems. The survival threshold (meaning the minimal level of necessary resources) was estimated for an average family at CFA 149’000 per working person and per year (227 euros).The first farm category is a food-producing system on short fallows with palm groves. With manual cultivating systems, it is possible for a working person to develop 800 to 1’200 m2 of vegetable basin (Niaye) depending on species to cultivate, with at best 2 campaigns per year. The income varies from 500 to 1’500 euros/working person/year. With combined systems (motorized drainage and manual water distribution), it increases to 2’500m2/year with also 2 campaigns per year and an income of 500 to 2’600 euros/working person/year. Complete motorization (motorized drainage and spraying water distribution, using hose) allows 2 to 4 campaigns per year on 3’000 to 3’500 m2/working person. Incomes vary between 2’000 to 10’000 euros/working person/year.Manual family farms or employers’ exploitations which hire few sourgha most face difficulties with an income barely situated beyond survival threshold (average of 260 to 300 euros/working person/year, sometimes 100 euros) on less than 2’000 m2/family working person. While appealing to sourghas a great deal, manual exploitations earn between 1’000 and 1’800 euros/working person/year on 4’000 m2 to 1 ha/family working person. Motorized exploitations (combined and integral) can use between 1’000m2 (combined) and 1ha/family working person (integral), with incomes varying from 1’500 euros/working person/year (family system with motorized drainage and manual water distribution) to 3’500 euros/working person/year (intensive and motorized capitalist system with 4 campaigns/year).If motorization seems tempting to improve incomes, though not deemed sustainable for the area (ground water overexploitation, various pollutions, and dependence to fossil energy), “race for motorization” brings about important income differences within manual exploitations and current social relationships, and added value sharing deserves review
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Gubert, Flore. "Migration et gestion collective des risques : l’exemple de la région de Kayes (Mali)." Clermont-Ferrand 1, 2000. http://www.theses.fr/2000CLF10219.

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Abstract:
Cette thèse prend acte des avancées théoriques relatives à la gestion des risques des ménages agricoles des pays en développement pour analyser le phénomène migratoire en provenance de la région de Kayes, au Mali. Située à la frontière du Sénégal et de la Mauritanie, cette région présente la caractéristique d’être un important bassin d’émigration et de recevoir, à ce titre, des flux de transfert d’une ampleur sans commune mesure avec les revenus issus des activités locales. La première partie vise à donner une vision d’ensemble du phénomène migratoire. L’exposé débute par une présentation du contexte historique dans lequel s’inscrit la dynamique que l’on observe aujourd’hui. Une analyse descriptive du modèle migratoire contemporain s’ensuit, laquelle est effectuée à partir des données d’une enquête de ménages menée par nos soins, en 1997. La seconde partie propose une analyse micro-économique du phénomène migratoire. La discussion se concentre d’abord sur les facteurs à l’origine de la migration et des transferts, puis s’intéresse à leurs impacts respectifs sur le fonctionnement des exploitations agricoles. Les résultats obtenus permettent de corroborer l’hypothèse selon laquelle la migration constitue, pour les ménages, un outil de diversification des risques, dans un contexte d’imperfection des marches du crédit et de l’assurance. Les transferts contribuent ainsi à protéger les familles contre les sinistres qu’elles subissent et, ce faisant, favorisent l’adoption de nouvelles techniques de production. Bien que cette redistribution « informelle » des revenus soit un moyen efficace de prévenir les crises alimentaires et, plus généralement, d’enrayer la pauvreté, les résultats suggèrent également qu’un tel mécanisme d’assurance se traduit par des phénomènes d’aléa moral chez les familles receveuses de transferts. En d’autres termes, les transferts entraîneraient une désincitation à l’effort et favoriseraient l’apparition d’une économie rentière.
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Perrin, Aurélie. "Evaluation environnementale des systèmes agricoles urbains en Afrique de l'Ouest : Implications de la diversité des pratiques et de la variabilité des émissions d'azote dans l'Analyse du Cycle de Vie de la tomate au Bénin." Thesis, Paris, AgroParisTech, 2013. http://www.theses.fr/2013AGPT0080/document.

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Abstract:
L’agriculture urbaine représente une opportunité de réduire la pauvreté et d’améliorer la sécurité alimentaire des habitants des villes d’Afrique de l’Ouest. L’objectif général de cette thèse est de produire des données d’inventaire représentatives ainsi qu’une évaluation environnementale robuste de ces systèmes de production par la méthodologie Analyse du Cycle de Vie (ACV). Notre cas d’étude a été la tomate des jardins urbains au Bénin. Notre état de l’art nous a permis d’identifier que prendre en compte la diversité des systèmes de production et la variabilité des émissions au champ étaient deux enjeux majeurs de l’ACV des produits maraîchers. Nous avons donc développé un protocole de collecte de données basé sur la typologie qui prend en compte la diversité des systèmes puis mis au point une méthode d’estimation des flux d’azote au champ combinant un bilan d’azote et l’usage d’un modèle biophysique. Nous avons ainsi créé des inventaires pour 6 types de systèmes et une moyenne pondérée représentative de la population étudiée. L’analyse des performances agronomiques de ces systèmes a montré une forte variabilité des rendements et une utilisation fluctuante et souvent excessive d’engrais et de pesticides. L’exploration de la variabilité des flux d’azote à l’échelle de la parcelle et du cycle de culture a permis l’identification de 4 facteurs majeurs: les volumes d’eau d’irrigation, la dose d’azote, le pH du sol et la capacité au champ. A l’aide de scénarios favorables et défavorables aux émissions pour chacun de ces 4 facteurs, nous avons montré que leurs effets sur les résultats d’ACV étaient importants. L’intégration de ces données dans une ACV finalisée a montré qu’un hectare de production de tomate au Bénin était plus impactant que les productions maraichères Européennes. Les avantages du climat favorable du sud Bénin à la production de tomate en contre saison sont annulés par les faibles performances des systèmes d’irrigation, l’usage fréquent d’insecticides et d’importantes émissions azotées. Des données mesurées et des connaissances nouvelles sont nécessaires sur ces systèmes pour valider et affiner nos conclusions
Urban agriculture provides opportunities to reduce poverty and ensure food safety for cities inhabitants in West Africa. The general objective of this thesis is producing representative inventories and a robust environmental assessment for those production systems using the Life Cycle Assessment (LCA) methodology. Our case study was the tomato production in urban gardens in Benin. Our state of the art identified the integration of the diversity of systems and the variability of field emissions as two major challenges for the LCA of vegetable products. We therefore developed a typology-based protocol to collect cropping systems data that includes their diversity and an approach combining a nitrogen budget and the use of a biophysical model to estimate nitrogen field emissions. We created inventories for 6 cropping system types and one weighted mean representative for the urban tomato growers in Benin. The analysis of the agronomical performances of these systems highlighted the important yield variability and the variable and often excessive use of pesticides and fertilizers. The investigation of nitrogen fluxes variability at plot and crop cycle scales led to the identification of 4 major influencing factors: water use, nitrogen input, soil pH and field capacity. Using favorable and unfavorable scenarios for nitrogen emissions for each of these 4 factors, we demonstrated that the LCA results were sensitive to their variations. The implementation of LCA using those contrasted data showed that one hectare of tomato production in Benin was more impacting than European vegetable productions. The benefits from the favorable climate for producing out-of-season tomatoes were hampered by the low efficiency of irrigations systems, the frequent use of insecticides and large nitrogen emissions. Measured data and new knowledge on these systems are needed to validate and refine our conclusions

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