Academic literature on the topic 'Agentivité morale'

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Journal articles on the topic "Agentivité morale":

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Malena-Chan, Rachel. "Recherche qualitative originale - Modélisation narrative pour étudier l’engagement à l’égard de la lutte contre les changements climatiques chez de jeunes dirigeants communautaires." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 39, no. 4 (April 2019): 172–82. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.39.4.07f.

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Abstract:
Introduction Plusieurs décennies de diffusion des connaissances sur les changements climatiques n’ont pas mené à des actions adéquates pour contrer les effets de ces derniers sur la santé des populations et l’équité en santé au Canada. Il a été prouvé que ce sont les perceptions et les interprétations basées sur le contexte qui conduisent à l’engagement. L’étude de l’engagement à l’égard de la lutte contre les changements climatiques nécessite donc une analyse de l’expérience contextuelle. Méthodologie Cette étude qualitative, qui repose sur l’approche narrative, visait à interpréter la signification des changements climatiques auprès de dix dirigeants communautaires à Saskatoon (Saskatchewan, Canada), dont l’âge variait entre 20 et 40 ans. Nous avons étudié leur discours sur les changements climatiques à la fois sur le plan structurel et sur le plan thématique. Résultats Nous avons élaboré un modèle pour organiser les résultats et décrire les concepts de fidélité et de dissonance dans le discours des participants. D’après nos résultats, la connaissance des changements climatiques et la motivation personnelle à agir n’empêchent pas la dissonance narrative, ce qui entrave l’émergence de réponse personnelle significative. Cette dissonance est susceptible d’apparaître là où des obstacles internes et externes gênent la mobilisation, et ce, à divers moments de la narration, à savoir lors du passage (1) de la connaissance du défi à un sentiment d’agentivité à cet égard, (2) de cette agentivité à un sentiment de responsabilité dans le choix d’agir, (3) de cette responsabilité au sentiment d’être en mesure de produire des résultats positifs malgré les défis contextuels et enfin (4) de cette capacité à l’émergence d’un sens moral en faveur de l’action en contexte. Sans cette fidélité narrative, il y a risque d’entrave à une mobilisation significative. Conclusion La modélisation du discours est utile pour étudier l’engagement à l’égard de la lutte contre les changements climatiques et éclaire, pour l’approche axée sur la santé des populations, les possibilités de surmonter les entraves à une mobilisation significative. Cette approche, formulée en utilisant une logique émotionnelle et morale pour parler des changements climatiques, pourrait aider les jeunes dirigeants à surmonter les obstacles internes et externes à leur engagement.
2

Arnaud, Sarah. "Trouble du spectre de l’autisme : une agentivité morale objective, rigoriste et émotionnelle." Article 5 (March 27, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1044270ar.

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Abstract:
Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) désigne un ensemble de troubles neurodéveloppementaux caractérisé par des difficultés de communication et d’interactions sociales, ainsi que des comportements, intérêts et activités restreints et répétitifs (1). Concernant les interactions sociales, les personnes autistes auraient notamment des difficultés d’empathie, souvent considérées comme altérant leurs capacités morales. Ainsi, plusieurs études en psychologie et en neuroscience tentent de détecter des processus empathiques défaillants à l’origine d’altérations de leur compréhension de la moralité (2-4). Les problèmes sociaux des personnes autistes se manifestent aussi par des difficultés dans leur vie affective qui concernent leurs propres états émotionnels (5-9). Je suggère que les particularités morales des personnes autistes sont issues de leurs particularités d’accès émotionnel, soit la façon dont elles se rapportent à leurs propres émotions, et non pas de déficits d’empathie. Je montrerai que ces particularités ne les empêchent en aucun cas de faire partie de la communauté morale. Les personnes autistes peuvent être de rigoureux agents moraux, c’est-à-dire qu’elles présentent une certaine intransigeance et inflexibilité morale. Ces particularités seront expliquées. À la lumière des théories sur les processus duaux, je montrerai comment leurs particularités socio-émotionnelles et morales sont toutes deux sous-tendues par une surutilisation de processus de type 2, soit une surutilisation de raisonnements cognitifs délibérés et basés sur des règles, plutôt que des processus automatiques, de type 1. L’objectif principal de cette étude sera donc de mettre en évidence les particularités qui permettent aux personnes autistes d’être des agents moraux certes inflexibles, mais néanmoins émotionnellement investis dans les situations à caractère moral.
3

Diasio, Nicoletta. "Reconnaissance et pouvoir." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.036.

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Abstract:
« T'es noire, pauvre, moche, et en plus t'es une femme ». La protagoniste du roman d'Alice Walker (1999) à qui ces mots sont adressés, saura bien s'affranchir de la domination à laquelle ces marquages sociaux semblent la destiner. Une anthropologie non hégémonique questionne la manière dont des entités individuelles ou collectives, assignées à une position de subordination, et épinglées à une altérité légitimée par des inégalités sociales, économiques ou par une prétendue différence physique, identitaire ou culturelle, se saisissent de ces catégories pour les remettre en question, s'affirmer, se construire et retourner des positions de vulnérabilité en force. Ces retournements ne sont pas uniquement de l'ordre de la ruse ou des contre-pouvoirs de ceux qui campent dans la liminalité : elles impliquent des négociations, des actions, des jeux de rôles, des résistances qui font du pouvoir, un champ multiforme et mobile de relations stratégiques entre des individus et des groupes (Foucault 1984). Il s'agit alors d'analyser des rapports complexes et instables entre agentivité et gouvernementalité et les liens multiples qui se nouent entre puissance d'action individuelle, interactions sociales, institutions, savoirs et socio-histoires. Cette posture interroge la tension entre la vulnérabilité existentielle et l'organisation politique et sociale des vulnérabilités en tant qu’art du gouvernement de soi et d'autrui. Son ambition est de relever le défi lancé par Fassin, d'étudier les effets d'influence réciproque entre la « condition comme 'opération d'objectivation' par laquelle les structures et les normes sociales se traduisent dans la vie quotidienne […] dans la manière d'être vis-à-vis de soi, des autres et du monde, et l'expérience, comme 'opération de subjectivation' par laquelle les gens donnent forme et sens à ce qu'ils vivent » (Fassin 2005 : 332). La vision du pouvoir comme dispositif permettant à la fois l'émergence des subjectivités et leur contrôle, voire leur négation par réification, se trouve également au cœur du débat contemporain sur la reconnaissance et la visibilité sociale. Les luttes pour la reconnaissance semblent avoir, dans le monde contemporain, une étendue et une légitimité inédite. La reconnaissance semble devenir le langage à travers lequel s’expriment les luttes sociales aujourd’hui. Ce concept, venant de la philosophie politique et sociale, pour essaimer ensuite dans la sociologie et, plus tardivement, l’anthropologie, a été même envisagé comme une notion clé et un objet non reconnus, mais fondateurs des sciences sociales contemporaines (Caillé 2007 ; pour une analyse de la mobilisation et des usages du concept de « reconnaissance » dans les sciences sociales de 1993 à 2013, voir Bigi 2014). Une anthropologie qui se veut décentrée et engagée n’est pas étrangère aux postulats qui fondent le concept de reconnaissance : la prise en compte du statut relationnel et non plus substantiel du sujet, sa vulnérabilité constitutive, l'importance de la confirmation intersubjective de capacités et de qualités morales, la réciprocité comme manière d'arracher l'individu à une symétrie déniée, sa dimension performative (Honneth 2002, 2006; Ferrarese 2007). Cette anthropologie dialogique ambitionne à analyser autant les formes de relégation au silence, au mépris et à la disqualification, que les manières qu'ont les sujets -individuels et collectifs- de s'arracher à l'invisibilité et à l'humiliation (Battegay et Payet 2008). Cette anthropologie interroge également les contextes institutionnels et socio-juridiques, et ces espaces publics où prennent forme, s'expriment et se donnent à voir des besoins, des langages, des mediums, des collectifs nouveaux. Ces luttes questionnent enfin la co-construction de soi et de l'autre dans des processus de visibilité mutuelle : il en est ainsi, par exemple, de la minorité qui demande et de l'État qui reconnaît. Toutefois, une anthropologie non hégémonique est également appelée à débusquer les embûches d'une demande de reconnaissance qui risque de produire ou de reproduire des catégories sociales que fondent la réification, l'altérité ou l'asymétrie. « Je ne veux pas être la victime de la Ruse d'un monde noir », écrivait Frantz Fanon (1952: 186). Il en est ainsi de ces demandes de revendication et de défense identitaire qui, loin de défaire des identités, en montrant le caractère construit d'éléments tels que le genre, l'ethnie, la « race » ou l'orientation sexuelle, risquent de figer et de contraindre « les sujets mêmes [qu’elles] espèrent représenter ou libérer » (Butler 2005: 148). Ce modèle identitaire, dont le caractère illusoire et réifiant a été soulevé à plusieurs reprises (Clifford 1988; Bayart 1996; Fraser 2005), échoue dans sa demande de reconnaissance: il dissimule les asymétries et les compétitions sein du groupe, il occulte les formes de déplacement du pouvoir, il engendre des concurrences victimaires et renforce d'autres formes, moins visibles, d'assujettissement.

Dissertations / Theses on the topic "Agentivité morale":

1

Garcia, Mathieu. "Les traits psychopathiques de l’enfance à l’âge adulte : regards psychométriques, psychopathologiques et philosophiques." Electronic Thesis or Diss., Bordeaux, 2023. http://www.theses.fr/2023BORD0434.

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Abstract:
C’est peu dire que la notion de psychopathie génère quelques difficultés qui semblent toutes préparées à entretenir notre perplexité. Le travail ici proposé vise justement à en affronter quelques-unes, nichées au carrefour de la psychopathologie, de la philosophie et du droit pénal. Plusieurs questions interreliées sont tour à tour traitées. Premièrement, celle de la mesure dimensionnellement indexée des traits psychopathiques tels qu’exprimés chez l’enfant et le jeune adulte en population non-clinique. Les propriétés métrologiques de deux échelles d’évaluation spécialement traduites en français sont examinées (structure factorielle latente, consistance interne, validité critériée, corrélations convergentes, invariance métrique, scalaire et configurale, etc.). Une logique à la fois développementale et comparatiste est adoptée, avec une attention toute particulière accordée au problème de l’applicabilité multi-âge et transculturelle du construit de psychopathie formalisé. Nous nous attachons dans un second temps à démontrer, conceptuellement puis empiriquement, la fécondité de l’approche relationniste (et processualiste) des entités nosologiques pragmatiquement délimitées. La topologie ainsi que la structure causale de l’interactome psychopathique apparaîtront éclairées, d’une part via la construction hiérarchisée de réseaux de corrélations partielles régularisés, et d’autre part via la modélisation de graphes acycliques orientés bayésiens. Le troisième moment de cette thèse est consacré à l’agentivité morale des sujets dits « psychopathes ». Il s’agira en premier lieu d’interroger les coordonnées expérientielles, la profondeur et les soubassements les plus probables du « déficit émotionnel » si récurremment attribué à ces derniers (un bref détour du côté des doctrines sentimentalistes aura initialement permis de souligner à quel[s] niveau[x] et dans quelle mesure notre vie morale dépend de notre vie affective). Seront subséquemment disséquées les études venues explorer depuis une vingtaine d’années les liens entre traits psychopathiques et jugements moraux. Plusieurs remarques critiques sont alors formulées à l’encontre d’une littérature que nous tentons d’enrichir par le biais d’une recherche dédiée à l’identification des paramètres prioritairement impliqués dans les prises de décisions (im)morales des individus présentant un profil franchement ou tendanciellement psychopathique. S’ensuit une discussion destinée à expliciter ce qu’est susceptible de venir traduire ce « manque de sensibilité morale » qui ressort de façon flagrante de la confrontation itérative de nos participants à des dilemmes éthiques. L’enjeu est somme toute de préciser en quel(s) sens, à quelle(s) condition(s) et jusqu’à quel point il peut être raisonnablement affirmé que le psychopathe n’a pas « la » capacité d’être moral. Notre dernière partie laisse place à des considérations plus pratiques, de type préventif, avec la restitution des résultats d’une évaluation axée sur l’efficacité d’une intervention psychoéducative réservée à des enfants d’âge scolaire. Nonobstant quelques réserves, l’essai contrôlé randomisé qui fut déployé permet d’établir que le programme testé peut agir positivement sur certaines dispositions (pré-)psychopathiques. Nous concluons en venant questionner les fondements et les fonctions des peines prononcées pour des délinquants exhibant divers attributs psychopathiques. Le double problème de la responsabilité et de la responsabilisation inchoative des sujets concernés est donc expressément posé
It is an understatement to say that the notion of psychopathy generates difficulties that seem destined to keep us perplexed. The aim of this thesis is to untangle some of the main complications at the crossroads of psychopathology, philosophy, and criminal law. We address several interrelated issues in turn. First, that of the dimensionally indexed measurement of psychopathic traits as expressed in children and young adults in non-clinical populations. The metrological properties of two rating scales specially translated into French are examined (latent factorial structure, internal consistency, criterion validity, convergent correlations, metric, scalar and configural invariance, etc.). A developmental and comparative logic is adopted, with particular attention paid to the problem of multi-age and cross-cultural applicability of the formalized psychopathy construct. Secondly, we demonstrate, conceptually and then empirically, the fruitfulness of the relationalist (and processualist) approach to pragmatically delimited nosological entities. The topology and causal structure of the psychopathic interactome will be drawn, on the one hand via the construction of regularized partial correlation networks (using the LASSO algorithm), and on the other via the modeling of bayesian directed acyclic graphs. The third part of our work is devoted to the moral agency of psychopaths. Firstly, it will examine the experiential sap, depth, and most probable underpinnings of the "emotional deficit" attributed to these subjects (a brief detour to sentimentalist theories will have highlighted the area[s] and extent to which our moral life depends on our emotional life). In the last twenty years or so, studies exploring the links between psychopathic traits and moral judgments have been dissected. Several critical remarks are made about this literature, which we are attempting to enrich through research dedicated to identifying the parameters primarily involved in the (im)moral decision-making of individuals with a frankly or tendentially psychopathic profile. This is followed by a discussion aimed at clarifying what this "weaker sensitivity to moral norms", which emerges from our participants' iterative confrontation with ethical dilemmas, is likely to reflect. The issue at stake is clearly stated: it is a question of considering under what condition(s), in what sense(s) and to what extent it seems permissible to believe that the psychopath is not capable of being moral. Our final section turns to more practical, preventive considerations, reporting the results of an evaluation of the effectiveness of a psychoeducational intervention for school-age children. The randomized controlled trial carried out established that the program tested can have a beneficial effect on certain (pre-)psychopathic dispositions. We conclude by questioning the basis and function of sentences handed down to offenders showing various psychopathic characteristics. The problem of attributability, answerability and accountability of the persons concerned is thus expressly raised

Book chapters on the topic "Agentivité morale":

1

"Éthique, liberté et agentivité." In Anthropologie de la morale et de l'éthique, 181–203. Les Presses de l’Université de Laval, 2015. http://dx.doi.org/10.1515/9782763726380-009.

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