Journal articles on the topic 'Adaptation du métabolisme'

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1

FAURE, J., L. LEFAUCHEUR, and B. LEBRET. "Adaptation du métabolisme énergétique du porc au cours de la croissance et production de viande porcine de qualité." INRA Productions Animales 28, no. 5 (January 14, 2020): 369–82. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.5.3040.

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Abstract:
Cet article de synthèse présente comment l’adaptation métabolique des porcs en croissance à différents facteurs de variation internes ou externes, notamment à l’échelle des voies métaboliques du tissu musculaire, influence les composantes de la qualité des viandes et l’efficacité de production. A l’échelle musculaire, les modalités de régulation de l’homéostase assurée par le complexe enzymatique « AMP-activated protein kinase » (AMPK) sont détaillées. L’activité de l’AMPK, senseur énergétique participant à la stimulation des voies glucidiques et glycolytiques ainsi qu’à la régulation du métabolisme oxydatif, peut être considérée comme un marqueur de l’adaptation musculaire in vivo et post-mortem. Cet article souligne ainsi que les relations entre les caractéristiques musculaires, la qualité de la viande et l’efficience de la production sont complexes et multifactorielles. L’efficacité métabolique et la qualité de la viande dépendent, au niveau de l’animal, du type du muscle, de l’évolution du métabolisme au cours de la croissance et des voies métaboliques musculaires sollicitées face à une perturbation énergétique.
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Carbonnel, Franck. "Adaptation du métabolisme protéique à la dénutrition protéino-énergétique chronique." Nutrition Clinique et Métabolisme 14, no. 1 (February 2000): 47–51. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(00)80039-4.

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3

Nobis, S., A. Morin, N. Achamrah, A. Goichon, C. L’Huillier, A. Amamou, J. C. Do Rego, P. Dechelotte, L. Belmonte, and M. Coeffier. "Adaptation du métabolisme protéique tissu-dépendante dans un modèle murin d’anorexie." Nutrition Clinique et Métabolisme 32, no. 4 (November 2018): 279–80. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2018.09.102.

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4

MANDONNET, N., E. TILLARD, B. FAYE, A. COLLIN, J. L. GOURDINE, M. NAVES, D. BASTIANELLI, M. TIXIER-BOICHARD, and D. RENAUDEAU. "Adaptation des animaux d’élevage aux multiples contraintes des régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 41–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3236.

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Abstract:
En zones difficiles, la pérennité des systèmes d’élevage repose sur la capacité des animaux à survivre, se reproduire et maintenir un niveau de production en situation de fortes contraintes. Les principales contraintes auxquelles les animaux doivent faire face en régions chaudes, sont le climat (température et humidité), la sous-nutrition et les pathologies. Chez les monogastriques comme chez les ruminants, les caractéristiques anatomiques et le comportement alimentaire constituent les principaux facteurs de régulation des échanges thermiques. L’élément clé de l’adaptation comportementale des ruminants à la sous-alimentation est leur capacité à choisir leur alimentation. L’adaptation physiologique porte sur la réduction du métabolisme basal, l’efficience digestive, la valorisation de fourrages grossiers, la mobilisation des réserves corporelles, le recyclage des nutriments et la valorisation efficiente de l’eau. Les travaux les plus significatifs sur la résistance génétique aux maladies portent sur la trypanotolérance, la résistance aux maladies transmises par les tiques et les strongyloses gastro-intestinales. Dans l’élevage moderne, la gestion de ces contraintes environnementales doit se concevoir de façon intégrée. Différentes techniques d’alimentation, de prophylaxie, de gestion d’ambiance des bâtiments d’élevage doivent être combinées pour garantir durablement la pérennité des systèmes d’élevage. Cependant, l’efficacité de cette approche intégrée repose également sur le potentiel adaptatif des animaux pour répondre aux pratiques mises en œuvre. Le développement des productions animales en régions chaudes ne pourra être garanti sans l’utilisation de l’adaptation naturelle des populations animales ou pour le moins, sans inclure les caractères d’adaptation dans les objectifs de sélection des races locales ou spécialisées.
5

Wrzosek, L., F. Rul, and M. Thomas. "O33 Adaptation et métabolisme de la bactérie lactique du yaourt streptococcus thermophilus dans le tractus digestif de rats gnotobiotiques." Cahiers de Nutrition et de Diététique 46 (December 2011): S36—S37. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(11)70054-2.

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Wrzosek, L., F. Rul, and M. Thomas. "O33 Adaptation et métabolisme de la bactérie lactique du yaourt streptococcus thermophilus dans le tractus digestif de rats gnotobiotiques." Nutrition Clinique et Métabolisme 25 (December 2011): S36—S37. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(11)70037-1.

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7

Ortigues, I. "Adaptation du métabolisme énergétique des ruminants à la sous-alimentation. Quantification au niveau de l'animal entier et de tissus corporels." Reproduction Nutrition Development 31, no. 6 (1991): 593–616. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19910601.

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QUENTIN, M., I. BOUVAREL, D. BASTIANELLI, and M. PICARD. "Quels « besoins » du poulet de chair en acides aminés essentiels ?" INRAE Productions Animales 17, no. 1 (March 20, 2004): 19–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.1.3550.

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Abstract:
Pour équilibrer les acides aminés essentiels d’un régime, le nutritionniste dispose de tables de recommandations moyennes issues de méta-analyses bibliographiques. L’estimation du besoin en un acide aminé essentiel dépend du critère de production que l’on cherche à optimiser et de la méthodologie adoptée pour analyser les résultats expérimentaux. Les conditions d’élevage et les types d’animaux étudiés expliquent une autre part de la variabilité des recommandations. Les moyennes issues des méta-analyses de données bibliographiques sont finalement assez peu précises et d’autant plus difficiles à adapter aux conditions pratiques qu’elles concernent essentiellement les poulets de chair à croissance rapide dans des conditions optimales. L’intégration des bases du métabolisme énergétique et protéique à l’aide de modèles mécanistes peut constituer un moyen complémentaire de quantifier les effets d’une recommandation en acide aminé essentiel dans des conditions variables. La modélisation permet non seulement la synthèse des connaissances acquises par l’expérimentation, mais également la prise en compte des interactions multiples entre plusieurs facteurs de variation. Dans la pratique, les modèles commercialisés permettent de mesurer les effets des principales caractéristiques de l’aliment et des conditions d’élevage sur la croissance ou les besoins en acides aminés des poulets de chair. Leurs résultats semblent suffisamment précis pour une utilisation pratique, mais leur présentation de type «boîte noire» et la complexité de leur fonctionnement sont un frein à leur mise à jour ou à leur adaptation à de nouveaux modes de production. Le modèle INAVI, présente une structure plus ouverte à l’utilisateur qui permet une meilleure adaptation aux diverses situations d’élevage. INAVI prédit la croissance des animaux en se basant sur l’effet des conditions d’élevage et d’alimentation sur l’ajustement de l’ingestion.
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Zalasiewicz, Jan, Colin Waters, and Mark Williams. "Les strates de la ville de l'Anthropocène." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 2 (June 2017): 329–51. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264917000567.

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Abstract:
RésuméLe tissu d'une ville correspond à une transformation de matériaux géologiques bruts en un assemblage complexe de nouveaux minéraux, fabriqués par des humains, et de roches, telles que l'acier, le verre, le plastique, le béton, la brique et la céramique. Cette activité est considérée en termes de « métabolisme urbain », avec des afflux et des flux quotidiens de personnes, de nourriture, d'eau et de déchets. Empruntée aux temps géologiques, une échelle de temps plus longue, de quelques années au millénaire, est adoptée ; elle reste pertinente pour le présent et les générations humaines futures. Dans les systèmes sédimentaires naturels, les flux de matériaux sont gouvernés par des forces naturelles, comme le climat et la gravité, et ils laissent des traces physiques dans les strates des rivières. Dans les villes, les flux de matériaux géologiques nécessaires à les construire et à les reconstruire sont réalisés par les humains et sont largement produits par les énergies fossiles stockées dans les hydrocarbures. Les assemblages de roches anthropogéniques et de minéraux qui en résultent peuvent être pensés comme des systèmes sédimentaires (et/ou des traces fossiles), fossilisables, à l’échelle de la planète. Extrêmement plus diversifiés que les strates géologiques naturelles, ils évoluent aussi bien plus rapidement, notamment en ce qui concerne les déchets. Considérer les villes par le biais d'une telle perspective peut devenir de plus en plus utile, compte tenu de leur nécessaire adaptation aux conditions changeantes de l’époque émergente, l'Anthropocène.
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Rodieux, F., M. Besson, V. Piguet, J. Desmeules, and C. Samer. "Prescription de tramadol chez les enfants : une bonne alternative à la codéine ?" Douleur et Analgésie 33, no. 4 (December 2020): 247–56. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0139.

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Abstract:
La population pédiatrique est considérée comme vulnérable, et la prise en charge de la douleur nociceptive y est parfois complexe mais essentielle. Depuis 2013, la prescription de codéine est restreinte chez les enfants en raison du risque de dépression respiratoire parfois fatale lié à l’activité variable du cytochrome P450 (CYP) 2D6 qui bioactive la codéine en morphine. Les options thérapeutiques approuvées chez l’enfant sont limitées, et pour nombre de prescripteurs, le tramadol est devenu l’alternative de choix à la codéine. Le tramadol est cependant, comme la codéine, un promédicament opioïde qui doit être bioactivé par le CYP2D6. Il est donc également soumis à une importante variabilité de sa réponse et expose les enfants aux mêmes risques de complications respiratoires. La décision de traiter par tramadol doit prendre en compte les comédications, les comorbidités du patient, le type de douleur et les conditions de surveillance. Les soignants et les parents doivent être informés des risques liés à l’administration du tramadol, notamment la variabilité interindividuelle, les risques d’interactions médicamenteuses et les signes de surdosage. Dans les situations de douleurs récurrentes, une approche personnalisée, avec adaptation des doses et sélection du médicament antalgique en fonction de l’activité du CYP2D6, est certainement la méthode la plus sûre. Lorsque l’activité du CYP2D6 n’est pas connue, la prescription de tramadol reste envisageable si le traitement est initié à la dose minimale efficace, titré sous surveillance et administré sous une forme posologique adaptée à l’enfant. Chez l’enfant de moins de 12 ans et en présence de facteurs de risque de dépression respiratoire, la morphine reste une option prudente, puisque son métabolisme ne dépend pas du CYP2D6.
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FAULCONNIER, Y., M. BONNET, F. BOCQUIER, C. LEROUX, J. F. HOCQUETTE, P. MARTIN, and Y. CHILLIARD. "Régulation du métabolisme lipidique des tissus adipeux et musculaires chez le ruminant. Effets du niveau alimentaire et de la photopériode." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 287–300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3889.

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Abstract:
Les effets respectifs de l’état nutritionnel et de la photopériode sur le métabolisme lipidique et le partage de nutriments entre le tissu adipeux et le muscle sont récapitulés chez le ruminant, en particulier pour ce qui concerne l’expression des gènes spécifiant les enzymes lipogéniques et la lipoprotéine-lipase chez la vache et la brebis. La restriction alimentaire diminue la synthèse "de novo" d’acides gras et l’activité lipoprotéine-lipasique dans les tissus adipeux des ruminants adultes ou en croissance. Ces effets sont partiellement ou totalement inversés par la réalimentation. Chez les ovins et les bovins adultes, l’activité lipoprotéine-lipasique est diminuée par la restriction dans le muscle cardiaque, oxydatif, inchangée dans le muscle ; Longissimus thoracis, glycolytique, et augmentée par la réalimentation dans ces deux muscles. Les activités lipoprotéine-lipasiques du tissu adipeux et du muscle de ruminant répondent donc dans le même sens à des variations de l’état nutritionnel, contrairement aux données généralement publiées chez le rat. De plus, les taux d’ARNm de la lipoprotéine-lipase dans le tissu adipeux et le muscle varient de manières identiques à son activité chez les différentes espèces, ce qui suggère une régulation, au moins en partie, pré-traductionnelle de l’expression du gène spécifiant cette enzyme. La photopériode exerce une influence directe sur l’activité métabolique des tissus adipeux et musculaires de brebis. Ainsi, les capacités lipogéniques du tissu adipeux et l’activité lipoprotéine-lipasique du muscle glycolytique sont augmentées par les jours longs. Inversement, la lipomobilisation est augmentée par les jours courts. Ces adaptations métaboliques sont probablement impliquées dans les adaptations physiologiques des ovins aux variations saisonnières des disponibilités alimentaires.
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RIDEAU, N., and S. MÉTAYER-COUSTARD. "Utilisation périphérique du glucose chez le poulet et le canard : implications pour la croissance et la qualité de la viande." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 337–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3222.

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Abstract:
Les Oiseaux ont développé des mécanismes adaptatifs originaux leur assurant un métabolisme énergétique actif caractérisé par une température et une glycémie basales élevées (42°C et 2 g/L). Les travaux réalisés en majorité sur les espèces d’intérêt agronomique (poulet, canard) font ressortir une régulation particulière de l’homéostasie glucidique et notamment du système insulinique, hormone majeure contrôlant le métabolisme. Dans une première partie, nous rapportons quelques données générales concernant les particularités du métabolisme glucidique et de sa régulation par l’insuline chez les espèces avicoles. Dans une deuxième partie, nous présentons les travaux récents concernant la captation de glucose, son utilisation et son stockage par les trois tissus majeurs impliqués dans le maintien de l’homéostasie glucidique à savoir le foie, le muscle et le tissu adipeux. Ces connaissances fondamentales ont pour but d’orienter les programmes de recherche appliquée visant à améliorer la croissance et la qualité des viandes de volailles.
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Decherchi, Patrick, and Erick Dousset. "Le rôle joué par les fibres afférentes métabosensibles dans les mécanismes adaptatifs neuromusculaires." Canadian Journal of Neurological Sciences / Journal Canadien des Sciences Neurologiques 30, no. 2 (May 2003): 91–97. http://dx.doi.org/10.1017/s0317167100053348.

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RÉSUMÉ:Les adaptations de l'organisme à l'exercice sont permises par l'ajustement de l'activité des neurones centraux qui est en partie régulée par l'activité des afférences I et II (mécanosensibles), par la mise en jeu des afférences III et IV (métabosensibles) et par les modifications du métabolisme musculaire au cours de l'exercice. Le rôle des afférences métabosensibles apparaît comme fondamental dans les mécanismes adaptatifs à l'exercice et dans la tolérance à la fatigue. Néanmoins, de nombreuses interrogations demeurent. Cette revue fait le bilan des connaissances concernant l'implication de ces afférences dans les boucles de rétrocontrôle sensori-motrices et les mécanismes d'adaptation neuromusculaire. Il semble désormais établi que l'activation des afférences métabosensibles soit à l'origine de l'adaptation cardiovasculaire et respiratoire à l'exercice. De plus, ces afférences seraient à l'origine d'un mécanisme de protection du muscle contre la fatigue en modulant la commande motrice centrale au niveau spinal et supraspinal.
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Batrow, Pierre-Louis, Isabelle Mothe-Satney, and Ez-Zoubir Amri. "Thermoneutralité chez la souris et expérimentation animale." médecine/sciences 39, no. 12 (December 2023): 937–44. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023176.

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Abstract:
Les modèles animaux demeurent une nécessité pour l’étude des maladies humaines. Le modèle le plus utilisé, la souris, est, comme les êtres humains, un mammifère endotherme maintenu à des températures ambiantes (22 °C). Son métabolisme énergétique est donc suractivé, une situation rarement observée chez les êtres humains grâce à diverses adaptations (vêtements, chauffage, etc.). La zone de thermoneutralité est définie comme une plage de températures ambiantes qui permet à un organisme de réguler sa température corporelle sans recourir à des processus de thermorégulation supplémentaires. Il existe de nombreux exemples de résultats divergents entre des études menées à 22 °C et celles réalisées à 30 °C (thermoneutralité chez la souris). Il semble donc essentiel de prendre en compte la température d’hébergement tant pour le bien-être animal que pour la pertinence des résultats des expériences réalisées.
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BLANC, F., F. BOCQUIER, N. DEBUS, J. AGABRIEL, P. D’HOUR, and Y. CHILLIARD. "La pérennité et la durabilité des élevages de ruminants dépendent des capacités adaptatives des femelles." INRAE Productions Animales 17, no. 4 (October 5, 2004): 287–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.4.3604.

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Abstract:
Dans une représentation systémique du système d’élevage, l’éleveur incarne la composante décisionnelle du système, tandis que l’animal constitue, avec la ressource, sa composante biotechnique. L’animal lui-même peut être considéré comme un système biologique soumis à un environnement contraignant, dont les aptitudes à survivre, croître, se reproduire et s’adapter jouent un rôle fondamental dans la pérennité du système d’élevage. Les femelles reproductrices tiennent une place particulière dans cette représentation car non seulement elles déterminent une large part de la productivité du système par leur propre niveau de production (production laitière, productivité numérique), mais elles en assurent également sa reproductibilité au cours du temps (investissement reproductif). A l’échelle de l’individu et de sa durée de vie, les modalités d’adaptation reposent sur des processus de régulations comportementales et physiologiques. De tels processus ont été particulièrement mis en avant par les études portant sur l’aptitude des femelles de ruminants à s’adapter à la contrainte nutritionnelle (comportement alimentaire au pâturage et aptitude à constituer et mobiliser les réserves adipeuses). L’adaptation à la sous-nutrition revêt un intérêt particulier pour la pérennité des systèmes d’élevage en milieux difficiles dans la mesure où les processus de régulation du métabolisme énergétique interviennent sur la fonction de reproduction et sont par ailleurs susceptibles d’informer la femelle, à des moments-clés de son cycle de production, du risque associé à l’enclenchement d’une nouvelle gestation. Si les mécanismes digestifs, métaboliques et hormonaux impliqués dans l’adaptation à la sous-nutrition sont identiques chez les ruminants, les seuils de réponse varient selon le génotype (espèce, race), révélant ainsi des différences de potentiel adaptatif. Par ailleurs, si certains échecs biotechniques peuvent être imputés à une moindre efficacité de la réponse adaptative, d’autres peuvent en revanche se révéler cohérents du point de vue du fonctionnement biologique de l’organisme et de la gestion de priorités telles que la survie de l’individu ou l’investissement maternel. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’évaluer l’aptitude des systèmes d’élevage des zones difficiles à être pérennes, par leur capacité à assurer un certain niveau de production, et/ou durables, par leur aptitude à répondre à des enjeux d’entretien du milieu et de conservation de la ressource, il convient en particulier d’avoir une bonne connaissance des potentiels adaptatifs des animaux.
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CHILLIARD, Y., F. BOCQUIER, C. DELAVAUD, Y. FAULCONNIER, M. BONNET, M. GUERRE-MILLO, and P. MARTIN. "La leptine chez le ruminant. Facteurs de variation physiologiques et nutritionnels." INRAE Productions Animales 12, no. 3 (June 1, 1999): 225–37. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.3.3882.

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La leptine est une hormone produite principalement par le tissu adipeux. Un de ses rôles essentiels est d’informer l’organisme sur le niveau de ses réserves lipidiques. Le gène spécifiant la leptine est exprimé dans différents tissus adipeux chez les bovins et ovins. Les résultats récents sur les concentrations plasmatiques de leptine et/ou d’ARN messager de cette hormone dans le tissu adipeux montrent des effets positifs de l’adiposité corporelle et du niveau alimentaire, et un effet bêta-adrénergique négatif chez les bovins. Chez les ovins, on observe des effets similaires de l’adiposité et du niveau alimentaire, ainsi qu’un effet positif de la durée quotidienne d’éclairement. Par ailleurs, la production de leptine est stimulée in vitro par les glucocorticoïdes et l’insuline, dont les effets sont inhibés par l’hormone de croissance. Le progrès des connaissances sur la leptine permettra de mieux comprendre et maîtriser les adaptations du métabolisme énergétique et de l’activité reproductrice des ruminants aux variations saisonnières de la durée d’éclairement et des disponibilités alimentaires, ainsi que les variations de l’adiposité des carcasses chez les ruminants en croissance.
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Hegar, Schächinger, and Berger. "Reduktion der schweren Hypoglykämien unter funktioneller Insulintherapie des Typ I Diabetes." Praxis 91, no. 3 (January 1, 2002): 53–60. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.3.53.

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L'insulinothérapie intensive conventionnelle exige une adaptation stricte du mode de vie. L'insulinothérapie fonctionnelle (FIT) permet une adaptation flexible selon les besoins d'insuline de base, les repas et les valeurs de glucose. Durant les années 1990 à 1996, 183 des 221 patients de la consultation ambulatoire de diabétologie de l'hôpital cantonal de Bâle qui avaient suivi les cours d'enseignement d'insulinothérapie fonctionnelle ont été évalués. L'instruction structurée a été effectuée de façon ambulatoire en 16 heures de cours durant trois mois (1 séminaire d'une journée complète et 7 séminaires de 90 minutes le soir). En plus de l'insulinothérapie intensive, les patients ont été sensibilisés aux principes nutritionnels conventionnels. La valeur moyenne de HbA1c était de 7.0% (référence: 3.7–5.6%). Après le passage à une insulinothérapie fonctionnelle, on a constaté une diminution significative du nombre d'hypoglycémies sévères avec un contrôle métabolique similaire: le pourcentage des patients avec des hypoglycémies sévères (degré 3 et 4) a diminué de 26 à 14 % pour les hypoglycémies de degré 3 et de 13 à 7% pour les hypoglycémies de degré 4. En plus de l'augmentation documentée précédemment de la qualité de vie, cette étude démontre que l'insulinothérapie fonctionnelle diminue de façon durable le risque d'hypoglycémie sévère. Ces résultats mettent en évidence un grand besoin d'enseignement de l'insulinothérapie fonctionnelle pour les diabétiques de type 1 en Suisse.
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Schaller and Graf. "Zerebrale Ischämietoleranz." Praxis 91, no. 40 (October 1, 2002): 1639–44. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.40.1639.

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La tolérance à l'ischémie se définit comme une réaction cérébrale adaptative rapide à un ou plusieurs épisodes d'ischémie et de reperfusion qui améliorent la tolérance à une ischémie ultérieure de longue durée. Les mécanismes moléculaires de cette tolérance à l'ischémie ne sont connus que de façon partielle. La cascade pathophysiologique peut être décrite comme divisée en induction, transduction et tolérance. Les récepteurs au N-methyl-D-aspartate (NMDA) et à l'adénosine et la conservation de l'énergie métabolique jouent un rôle dans la phase d'induction alors que les protéinases de transduction, les facteurs de transcription et les gènes de réponse immédiate sont actifs dans la phase de transduction. La tolérance est observée dans plusieurs fenêtres temporelles. Une phase précoce est observée quelques heures après le stimulus de préconditionnement et est générée par les récepteurs à l'adénosine et les canaux à potassium ATP dépendants. Cliniquement, il existe des indices que des attaques ischémiques transitoires offrent une protection contre une ischémie cérébrale transitoire ultérieure.
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DE LA TORRE, A., and J. AGABRIEL. "Prendre en compte l’efficience alimentaire des vaches allaitantes dans les recommandations alimentaires à travers la quantification de leurs dépenses non productives." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 153–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2241.

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La vache allaitante utilise près de 70% de l’énergie qu’elle ingère pour son besoin d’entretien. L’importance de cette dépense non productive détermine fortement son efficience d’utilisation de l’énergie. Les nouvelles recommandations alimentaires de l’INRA permettent de mieux quantifier cette dépense non productive afin d’en maîtriser les principaux facteurs de variation. Une base de données a été constituée en regroupant 30 expérimentations, présentant notamment des niveaux alimentaires contrastés (soit au final 101 traitements expérimentaux), menées en stations expérimentales avec des vaches allaitantes. L’Énergie des dépenses non productives (EDNP) exprimée en énergie nette (UFL) a été calculée pour chaque traitement comme la différence entre l’énergie nette ingérée et celles des besoins de lactation, de gestation, et des variations de la masse corporelle par estimation de sa composition chimique. La production de lait moyenne est de 8 kg/jour et prioritaire, quel que soit le niveau alimentaire subit. Estimée par sa composition chimique (respectivement 37 et 21% de lipides), la valeur énergétique de la variation de poids s’élève en moyenne à 2,4 UFL/kg pour les multipares et 1,8 UFL/kg pour les primipares. Les dépenses non productives peuvent s’estimer à partir d’une seule équation dont les variables sont le besoin d’entretien (Eentretien), les conditions d’activité (Iact), la variation de poids (ΔPV) et l’état initial au vêlage (NEC) : EDNP = (Eentretien x Iact) + (0,0073 x ΔPVc x NEC). Le terme interférant (ΔPVc x NEC) traduit les adaptations du métabolisme en situation nutritionnelle contraignante ou pléthorique. Cette quantification nouvelle de l’épargne énergétique associée à la baisse des apports (ou l’inverse) permettra aux éleveurs de mieux gérer l’alimentation de leurs vaches. Les variations de dépenses non productives et leurs nombreux facteurs de variation devront devenir la cible des recherches dans les années à venir.
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FAYE, B., J. P. CHACORNAC, M. RATOVONANAHARY, and J. P. JOUANY. "L’élevage des grands camélidés. Analyse des initiatives réalisées en France." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 3–17. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4100.

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Abstract:
L’élevage des grands camélidés représente une activité d’élevage marginale, développée par quelques individus dans le cadre de la diversification. Ces animaux (dromadaires et chameaux) sont adaptés aux régions désertiques, au stress climatique, à la sécheresse et à la sous-nutrition. Ils présentent à ce titre tout un ensemble de mécanismes physiologiques témoignant de cette adaptation. Leurs performances de reproduction sont faibles (taux de fécondité, viabilité des jeunes), mais leurs performances de production (croissance, production de viande, production laitière) non négligeables compte tenu des contraintes de leur milieu d’origine. Dans le contexte des pays tempérés comme la France, ils sont confrontés à des conditions climatiques et alimentaires fort différentes de leur aire d’origine. Un suivi pendant une année de 65 chamelles appartenant à 9 éleveurs a permis de constater que les paramètres sanguins tels que l’albumine (36,4 ± 4,7g/l), globuline totale (32,7 ± 5,1 g/l), protéines totales (69,2 ± 6,1 g/l), urée (30,0 ± 14,8 mg/100 ml), glucose (111,0 ± 12,2 mg/100 ml), AGL (0,15 ± 0,15 mmole/l), GLDH (5,8 ± 10,8 UI/l), GGT (10,1 ± 5,8 UI/l), GOT (48,1 ± 14,3 UI/l), calcium (10,2 ± 6,5 mg/100 ml), magnésium (2,6 ± 0,3 mg/100 ml), cuivre (65,4 ± 20,2 μg/100 ml), zinc (34,6 ± 7,8 μg/100 ml) et céruloplasmine (41,4 ± 2,6 UO) présentent des valeurs comparables à celles observées en zones désertiques, mais avec des écart-types généralement plus importants du fait de la grande variété des systèmes alimentaires proposés. La saison, la complémentation alimentaire (en particulier minérale) et le statut sanitaire ont un effet significatif sur le profil métabolique des chamelles. La saison hivernale et l’excès de complémentation azotée représentent des facteurs de risque à ne pas négliger en particulier pour la mortalité des jeunes qui dépasse 40 % dans notre échantillon d’étude.
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Poisson, A. "Les hallucinations dans la maladie de Parkinson." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 578. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.276.

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Abstract:
Les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont une complication relativement fréquente au stade des complications cognitives de la maladie. Étant généralement peu inquiétantes, le sujet ne les rapportera pas toujours spontanément. Pourtant, elles peuvent en effet signer l’entrée dans une psychose ou une démence parkinsonienne. Elles grèvent la qualité de vie du patient, de son entourage et parfois mettent en péril le maintien à domicile des sujets. Elles ne doivent donc pas êtres négligées. Classiquement les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont d’abord visuelles, parfois mineures (simples de passage à la périphérie du champ visuel) ou au contraire très élaborées.Leur physiopathologie demeure imparfaitement connue. L’atteinte visuelle centrale, et notamment au niveau de l’intégration des données visuelles semble jour un rôle majeur. Cependant, d’autres systèmes dont le fonctionnement est perturbé dans la maladie de Parkinson sont impliqués dans la survenue des hallucinations : système visuel périphérique (rétine), voies régulatrices du cycle veille sommeil et notamment du sommeil paradoxal et enfin le système frontal et notamment exécutif.La prise en charge des hallucinations dans la maladie de Parkinson est relativement stéréotypée. Il faut tout d’abord dépister pour les éliminer les facteurs favorisants, notamment de type médicamenteux ou métabolique. Si les hallucinations persistent, le traitement antiparkinsonien doit être revu rapidement avec en priorité la diminution ou l’arrêt des anticholinergiques, des agonistes dopaminergiques et de l’amantadine, puis des inhibiteurs de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et de la monoaminoxydase B (MAO B). Au besoin, les doses de dopamine peuvent être diminuées. Ces adaptations thérapeutiques permettent en général de contrôler les hallucinations, parfois au détriment de l’état moteur. Malgré tout, si les hallucinations persistent, un traitement neuroleptique par petites doses de clozapine peut être indiqué avec en générale une excellente efficacité.
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Schneider, Stéphane M., Véronique Albert, Nathalie Barbier, Didier Barnoud, Corinne Bouteloup, Cécile Chambrier, Philippe Fayemendy, et al. "Adaptations de la prise en charge des patients en nutrition artificielle à domicile au cours de l’épidémie virale COVID-19 en France : avis du Comité de nutrition à domicile de la Société Francophone de Nutrition Clinique et Métabolisme (SFNCM)." Nutrition Clinique et Métabolisme 34, no. 2 (May 2020): 105–7. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2020.03.002.

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Guilloux-Bénatier, Michèle, and Sandrine Rousseaux. "Évolution des études réalisées en microbiologie au service de la qualité du vin." Les mondes du vin de Robert Tinlot, no. 12 (February 15, 2021). http://dx.doi.org/10.58335/territoiresduvin.1931.

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Abstract:
Il est retrouvé de nombreux genres et espèces de levures et de bactéries lors de l’élaboration du vin. Pendant longtemps, les travaux scientifiques se sont principalement focalisés sur la levure Saccharomyces cerevisiae qui est responsable de la fermentation alcoolique et sur la bactérie lactique Oenococcus oeni qui réalise la deuxième fermentation, la fermentation malolactique. Pour ces deux microorganismes, les conditions environnementales permettant leur croissance et leur activité métabolique ont été définies. Par ailleurs, des sélections de souches performantes (bonne adaptation au milieu, impact positif sur les propriétés organoleptiques du vin…) ont permis d’une part, d’assurer la maîtrise des fermentations et d’autre part, la qualité du vin produit.Depuis, une quinzaine d’années, les travaux s’orientent sur deux axes principaux. Le premier axe concerne la détection et surtout la quantification des microorganismes d’altération. Sont étudiées les moisissures du raisin, responsables de la présence dans le vin de mycotoxines, composés non hygiéniques, mais aussi la levure Brettanomyces bruxellensis et les bactéries acétiques qui peuvent grandement déprécier le vin pendant son élevage en synthétisant des molécules responsables d’importantes déviations organoleptiques. Le deuxième axe s’intéresse à l’écologie microbienne de la baie du raisin, du moût de raisin et du vin et notamment aux levures dites non-Saccharomyces. Différentes méthodes sont en effet actuellement disponibles pour étudier ces populations fongiques d’un point de vue global mais aussi au niveau inter- et intra-spécifique. Les études récentes tentent de répondre à ces différentes questions :- quelle est l’origine des levures présentes (cave, vignoble, cuverie) ?- comment des souches persistent-elles d’un millésime à l’autre ?- comment des souches colonisent-elles des cuveries ou des caves neuves ?- quelle est influence de l’activité anthropique sur ces populations ?
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Gaspar, Thomas, Claude Penel, and Hubert Greppin. "Approche analogique et réalités des phytohormones : des retards et des erreurs stratégiques?" Bulletin de la Société Royale des Sciences de Liège, 2016, 190–208. http://dx.doi.org/10.25518/0037-9565.6236.

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Abstract:
Les premiers botanistes anatomistes n'avaient pu décrire de glandes endocrines à l'image de celles observées et fonctionnelles dans des organismes animaux, disposant d'un système sanguin irriguant tous leurs organes. Le concept d'hormone végétale n'émergea qu'avec les recherches sur les tropismes et la perceptibilité particulière des apex (aussi bien caulinaires que racinaires), aussi avec la découverte de la distribution polarisée, et des croissances sous-jacentes engendrées, d'où le terme premier d'hormone (sinon de substance) de croissance. L'agriculture se mit à rechercher des composés synthétiques en quête d'activités contrôlées... et plus efficaces, et en trouva. L'application externe des unes et des autres sur différents organes sous diverses conditions expérimentales aboutit progressivement à plusieurs découvertes et conclusions importantes pour la suite des recherches. Une même substance peut avoir des effets positifs et négatifs sur la croissance différant en importance selon la supposée "sensibilité" des organes traités, mais surtout selon les concentrations utilisées. Dans la partie "inhibition" des courbes dose-réponse caractéristiques, on parla de concentrations "sus-optimales" atteintes de l'hormone en question, mais rares furent ceux qui vérifièrent que la dite hormone appliquée pénétrait bien comme telle sans être modifiée, pour venir grossir le pool endogène; on se rendit notamment compte plus tard que la plante réagit à des applications qualifiées de sus-optimales d'agents extérieurs par une adaptation de ses systèmes cataboliques (les auxine-oxydases sont les premières en cause), sans se poser la question du devenir et des effets des produits générés; d'où l'ingénierie chimique synthétisant des homologues moins "attaquables" par les systèmes naturels de régulation (nos dérivés séléniés entre autres vraisemblablement). Les effets "rhizogènes" d'une auxine naturelle ou synthétique furent rapidement mis en évidence. Mais une hormone de croissance pouvait-elle seule provoquer un type de développement spécifique? D'où le concept de l'hormone de développement (en l'occurrence la rhizocaline) sous forme d'un complexe auxine + un sucre, des phénols, une oxydase, ...). Il en fut de même plus tard avec le "florigène" à plusieurs composants dont la gibbérelline, une autre hormone de croissance découverte entretemps. L'évidence des cytokinines (importantes celles-là pour la division cellulaire, plutôt que pour l'élongation favorisée par les auxines) mais surtout le rôle joué par la "balance" entre ces deux dernières conduisit à des avancées nouvelles et modifia aussi le concept d'hormone végétale de croissance: chaque type d'hormone pouvait être synthétisé dans tout type de cellule vivante; des gradients des différentes hormones, instaurés sous l'effet des conditions environnementales tout le long de la plante, sont vraisemblablement plus déterminants dans le comportement de la plante qu'une seule hormone dans l'orientation de leur croissance et de leur développement. C'est que, même les botanistes avaient un peu oublié que croissance et développement, dans une embryogénèse sans fin chez les végétaux, étaient intimement liés. Les hormones de développement se firent oublier pour laisser place au terme de PHYTOHORMONES. Ce qui posa immédiatement problème dans la question des phases de développement (induction, initiation ou évocation, expression) spatio-temporelles. Où le terme de dédifférenciation vint sur le tapis "objectivement". A notre connaissance, cette dédifférenciation ne fut réellement observée que dans des processus tératologiques (hyperhydricité dans des cals ou des pousses feuillées), qui par ailleurs mirent en évidence la complexité du vrai rôle des hormones (les couples auxines-cytokinines et polyamines-éthylène) reliées et conditionnées par les métabolismes primaires et secondaires et par les stress. Nous ne sommes pas certains que les biologistes moléculaires actuels tiennent compte de l'état physiologique général (déterminant dans un processus organogénétique) sous l'effet d'une hormone qu'ils croient spécifique, ni que les séquences de gènes allumés ou éteints soient les mêmes spatio-temporellement. L'ingénierie génétique en a déjà fait les frais (par exemple les tomates au mûrissement retardé mais sans saveur!), mais elle devra ramener des physiologistes-hormonologistes à d'autres réalités que les premiers concepts pourtant difficultueusement émergés.

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