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Zeitschriftenartikel zum Thema „Violence“
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Ménabé, Catherine. „LA VIOLENCE DES FEMMES JUDICIARISÉES“. Revue québécoise de psychologie 43, Nr. 2 (06.09.2022): 3–29. http://dx.doi.org/10.7202/1092105ar.
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La violence des femmes est doublement exceptionnelle, car la violence est majoritairement le fait des hommes et les femmes sont principalement judiciarisées pour des infractions non violentes. Si les femmes ne recourent pas à la violence dans les mêmes proportions que les hommes, leurs actes de violence sont toutefois variés, des homicides et violences volontaires aux violences sexuelles. Cette réalité de la violence des femmes contraste pourtant avec la perception sociale de la violence et amène à questionner les frontières de genre. L’objet de cet article est dès lors de dresser un état des lieux de la violence féminine, dans sa réalité judiciaire et dans sa perception sociale.
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Assayag, Jackie. „Violence de l'histoire, histoires de violence Abderrahmane MOUSSAOUI, De la violence au djihâd“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 49, Nr. 6 (Dezember 1994): 1281–313. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1994.279328.
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Si le discours sur la violence est presque aussi dérisoire que celui qu'on dirige vers ceux qui sont violents, c'est précisément parce que la violence proprement dite se situe hors de tout discours. La fascination indéniable qu'elle exerce la situe du côté du négatif, cet au-delà de la raison une fois franchies les frontières du discours. De fait, une force qui discute, une puissance qui cherche à argumenter, une volonté qui se veut persuasive, renoncent à la violence aussi longtemps qu'elles requièrent l'assentiment. Mais la raison s'achoppe bien souvent à la contrainte physique qui la violente et la nie. La violence, quelles que soient ses expressions, excède par définition la raison.
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Finch, Andrew. „Women and violence in the later Middle Ages: the evidence of the officiality of Cerisy“. Continuity and Change 7, Nr. 1 (Mai 1992): 23–45. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000001442.
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La registre de l'officialité de Cerisy contient une immense quantité de données concernant les crimes violents. La principale utilité de ce matériel se situe dans l'aire des agressions. Dans ce domaine des descriptions détaillées permettent de reconstituer le ‘profil’ de la violence mâle ou femelle. Elles démontrent que les femmes étaient capables des mêmes actes de violence envers les hommes, mais que leur exposition à violence était plus limitée ou, en fait, différente. Les femmes étaient particulièrement exposées aux violences sexuelles et ménagères: les suspicions d'avortement et d'infanticide leurs sont invariablement imputées. Les témoignages ne fournissent néanmoins pas un lien évident (et prévu) entre la femme et la violence verbale.
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Oussama, Amrani, und El Arbi El Bakkali. „COMMUNICATION DE LA VIOLENCE AU CINÉMA“. Conhecimento & Diversidade 15, Nr. 39 (06.11.2023): 451–63. http://dx.doi.org/10.18316/rcd.v15i39.11128.
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La violence est inhérente à l’existence de l’homme. Elle est créatrice et destructive. De la violence surgit une vie, une âme et une œuvre d’art. Et c’est la violence qui subvertit l’ordre, sème le chaos et disloque les liens. La violence est la justification d’un acte impétueux. Elle peut en être à la fois la cause et l’effet. Par ailleurs, la violence peut transmettre un message de colère, d’insatisfaction, de rébellion, d’amour et d’autres, comme elle peut être elle-même un message. Cette notion, vu son importance, figure parmi les centres d’intérêt de plusieurs disciplines artistiques et ce depuis l’art rupestre jusqu’à l’art moderne. Le septième art, lui, ne fait pas exception et fait de la violence un sujet à traiter et un moyen pour traiter d’autres sujets. Comme le cinéma est un moyen de communication audiovisuelle, il fait de l’image, des techniques de mises en scènes, et des nouvelles technologies tout un arsenal communicationnel pour attaquer la notion de la violence. Or, quand on entend da la violence au cinéma, on pense en prime abord aux films d’action américains, des films d’horreur ou des films d’aventures épiques qui illustrent le combat entre le bien et le mal à travers les violences physiques, verbales et psychologiques. Ainsi, la communication de la violence dans l’art cinématographique se met devant un heurt : on relie la violence et la contreviolence selon un lien de causalité constituant un cercle vicieux où l’action produit une réaction qui devient à son tour une action stimulant une réaction. Abdelhaï LARAKI dans son film Les Ailes de l’Amour fait de la violence non pas seulement le produit des injustices régnant dans la société, mais aussi un moyen de communication qui fait de l’image, de la musique, du hors-champ, et de l’éclairage des canaux permettant la diffusion du message du réalisateur. Entre la communication violente dans l’intrigue, la communication des violences au sein d’une microsociété représentée par le cadre spatial et le message que communique le réalisateur aux spectateurs ne devons-nous pas nous interroger sur les formes de la communication violente au sein de l’œuvre de LRAKI ? L’image ne transmet-elle pas un message violent au spectateur ? Les différentes crises ne sont-elles pas le produit d’une communication de crise ratée ? Telles sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre dans notre intervention intitulée : Communication de la violence au cinéma: Le cas du film les Ailes de l'Amour d'Abdelhaï LARAKI.
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Ndoye, Fatou, Idrissa Bâ, Djibril Diop, Jean Augustin Diégane Tine, Rosalie A. Diop, Mamadou Habib Thiam, Mouhamadou Sall und Babaly Sall. „Drogue, violence et résilience : consommateurs de drogue en cure et anciens délinquants violents à Dakar“. Santé Publique 36, Nr. 2 (28.05.2024): 119–31. http://dx.doi.org/10.3917/spub.242.0119.
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Au Sénégal, nous constatons une augmentation des actes de délinquance violente et de la consommation de drogues illicites. L’étude se focalise sur deux groupes distincts : les consommateurs de drogues (CDs) en cure et les anciens délinquants violents (DVs). La méthodologie adoptée comprend une étude quantitative auprès de la population générale (n=1009), suivie d’une enquête qualitative auprès de 15 participants, dont 8 CDs en traitement au Centre de Prise en charge Intégrée des Addictions de Dakar (CEPIAD) et au Centre Jacques Chirac de Thiaroye, ainsi que 7 anciens DVs du quartier de Grand Yoff. Ce quartier, connu pour sa violence, est juxtaposé à HLM Grand Yoff, un quartier résidentiel également touché par ces manifestations violentes. L’objectif de l’étude est d’établir le lien entre consommation de drogues et violence en analysant les récits de vie de jeunes adultes sevrés de cette consommation et de la délinquance, puis d’identifier les facteurs de résilience. L’enquête a révélé que la violence chez les jeunes n’est pas systématiquement liée à la consommation de drogue ; elle en constitue plutôt un facteur encourageant. Les liens entre drogue et violence dépendent des prédispositions individuelles, du type de drogues utilisées et de la dépendance. La résilience résulte d’une interconnexion de facteurs individuels, socioculturels et environnementaux, se manifestant comme un processus avec des succès, des échecs et parfois des rechutes.
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von Trotha, Trutz. „Mondialisation violente, violence mondialisée et marché de la violence“. Déviance et Société 29, Nr. 3 (2005): 285. http://dx.doi.org/10.3917/ds.293.0285.
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Zavaleta Betancourt, José Alfredo. „Socialización en escenarios de violencia y oportunidades de resiliencia y pacificación desde la perspectiva disposicional“. Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, Nr. 12 (10.02.2020): 22–42. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i12.2576.
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Este trabajo utiliza elementos básicos de la sociología disposicional de Bernard Lahire, con el propósito de pensar la socialización de los jóvenes en procesos de violencia social y experiencias de pacificación en la socialización primaria y secundaria. Para tal efecto, distingue entre la teoría de los campos de Pierre Bourdieu y la sociología disposicional de Lahire, para interrogarnos acerca de cómo las/los jóvenes aprenden a ser violentos o pacíficos en la familia, la escuela, el barrio y en sus interacciones con funcionarios gubernamentales en espacios microsociales.En tales circunstancias, se propone un análisis de la violencia a escala individual que supone revisar habitus en la pluralidad de disposiciones hacia la violencia y como los jóvenes, constreñidos o autoconstruidos, entre la socialización primaria y secundaria, con la reducción implícita de su experiencia en entornos de vulnerabilidad y violencia, enfrentan la adversidad y desarrollan prácticas violentas y resilientes, de mediación y construcción de paz, en sus entornos inmediatos.Palabras clave: Socialización, Disposiciones, Pasado incorporado, Violencia social Socialization in scenarios of violence and opportunities for resilience and pacification from the dispositional perspectiveSummaryThis work uses basic elements of the dispositional sociology of Bernard Lahire, with the purpose of thinking about the socialization of young people in processes of social violence and experiences of pacification in primary and secondary socialization. To this end, it distinguishes between the theory of the fields of Pierre Bourdieu and the dispositional sociology of Lahire, to ask us about how young people learn to be violent or peaceful in the family, school, neighborhood and in their interactions with Government public servants in microsocial spaces.In such circumstances, an analysis of violence on an individual scale is proposed, which involves reviewing habitus in the plurality of dispositions towards violence and as young people, constrained or self-constructed, between primary and secondary socialization, with the implicit reduction of their experience in environments of vulnerability and violence, facing adversity and developing violent and resilient practices of mediation and peace building in their immediate environments.Keywords: Socialization, Regulations, Past incorporated, Social violence Socialisation en scénarios de violence et opportunités de résilience et pacification à partir de la perspective dispositionnelleRésuméCe travail utilise des éléments basics de la sociologie disposisionnelle de Bernard Lahire dans le but de penser à la socialisation des jeunes dans des procès de violence sociale et expériences de pacification dans la socialisation primaire et secondaire. Pour ce faire, il distingue entre la théorie des champs de Pierre Bourdieu et la sociologie dispositionnelle de Lahire pour nous interroger sur comment les jeunes apprennent à être violents ou pacifiques dans la famille, à l’école, dans le quartier et dans leurs interactions avec des fonctionnaires du gouvernement dans des espaces microsociaux.Dans telles circonstances, on propose une analyse de la violence à échelle individuelle qui suppose de réviser des habitus dans la pluralité des dispositions envers la violence et comment les jeunes forcés ou auto construits, entre la socialisation primaire et secondaire, avec la réduction implicite de leur expérience dans des entourages de vulnérabilité et violence, affrontent l’adversité et ils développent des pratiques violentes et résilientes, de médiation et construction de paix, dans leurs entourages immédiats.Mots clés: Socialisation, Dispositions, Passé incorporeé, Violence sociale
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Miranda-Pérez, Fabiola, und Anne-Claire Sanz-Gavillon. „La compréhension des violences faites aux femmes comme problème public dans un contexte post-dictatorial : étude comparée des cas espagnol et chilien“. Enfances, Familles, Générations, Nr. 22 (09.06.2015): 114–35. http://dx.doi.org/10.7202/1031121ar.
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Depuis la fin des dictatures, en Espagne et au Chili, une importance croissante a été accordée aux politiques d’égalité, notamment à la faveur de l’action des mouvements féminins et féministes qui ont apporté de nouveaux outils permettant d’analyser la réalité sociale. Dans ce contexte, les violences envers les femmes ont pu être conceptualisées comme un problème public et la lutte contre ce phénomène s’est peu à peu convertie en un des axes principaux de l’action publique en matière d’égalité hommes-femmes. La prise en charge de cette question, par les deux États étudiés, s’est traduite par une série de négociations impliquant les différents acteurs du jeu politique. Il en a résulté l’adoption de deux lois reflétant deux lectures différentes du phénomène qui se sont matérialisées dans les expressions de « violence de genre » (violencia de género) et de « violence intrafamiliale » (violencia intrafamiliale). Dans cet article, nous chercherons à analyser les contextes qui ont influencé la compréhension du problème de la violence envers les femmes en Espagne et au Chili. Nous interrogerons les deux approches qui ont été retenues – soit la violence de genre et la violence intrafamiliale – et la portée de ces choix.
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Di Segni, Silvia. „Violencias. Sexos, géneros, sexualidades. / Violence. Sexes, genders, sexualities.“ Revista Liminales. Escritos sobre Psicología y Sociedad 5, Nr. 09 (01.04.2016): 57–81. http://dx.doi.org/10.54255/lim.vol5.num09.281.
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En este texto se intenta desplegar lo que subyace a un concepto de Preciado que invierte la cuestión de violencia de género sosteniendo que el género mismo es la violencia. Se analizan también otras derivaciones de ese modo de pensar la realidad: que la definición de sólo dos sexos, es violencia; que la heteronormatividad procreativa es violenta. Todo esto en el marco de una psiquiatría que ha patologizado a las víctimas (mujeres y población LGBTIQ) ocultando lo discriminatorio de esa práctica “normalizadora”. Se consideran también los necesario cambios legales y educativos que apunten a igualar derechos y eliminar diferencias desigualadas que sostienen la violencia.
This text aims to unfold the underlying implications of Preciado´s concept that inverts the question of gender violence by holding that gender itself is violence. Other derivations of this way of conceiving reality are also analyzed as follows: that defining only two sexes is violence and that procreating heteronormativity is violent. These notions are framed within a psychiatric conception that has patologized its victims (women and the LGBTIQ population) by hiding how discriminatory this “normalizing” practice can be. The text also considers the necessary legal and educational changes that will lead to equal rights and to suppression of unequal differences that are the basis of violence itself.
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Di Segni, Silvia. „Violencias. Sexos, géneros, sexualidades. / Violence. Sexes, genders, sexualities.“ Revista Liminales. Escritos sobre Psicología y Sociedad 5, Nr. 09 (01.04.2016): 57–81. http://dx.doi.org/10.54255/lim.vol5.num09.281.
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En este texto se intenta desplegar lo que subyace a un concepto de Preciado que invierte la cuestión de violencia de género sosteniendo que el género mismo es la violencia. Se analizan también otras derivaciones de ese modo de pensar la realidad: que la definición de sólo dos sexos, es violencia; que la heteronormatividad procreativa es violenta. Todo esto en el marco de una psiquiatría que ha patologizado a las víctimas (mujeres y población LGBTIQ) ocultando lo discriminatorio de esa práctica “normalizadora”. Se consideran también los necesario cambios legales y educativos que apunten a igualar derechos y eliminar diferencias desigualadas que sostienen la violencia.
This text aims to unfold the underlying implications of Preciado´s concept that inverts the question of gender violence by holding that gender itself is violence. Other derivations of this way of conceiving reality are also analyzed as follows: that defining only two sexes is violence and that procreating heteronormativity is violent. These notions are framed within a psychiatric conception that has patologized its victims (women and the LGBTIQ population) by hiding how discriminatory this “normalizing” practice can be. The text also considers the necessary legal and educational changes that will lead to equal rights and to suppression of unequal differences that are the basis of violence itself.
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Zurita Rivera, Úrsula. „Violencia escolar = School violence“. EUNOMÍA. Revista en Cultura de la Legalidad, Nr. 14 (19.03.2018): 299. http://dx.doi.org/10.20318/eunomia.2018.4171.
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Resumen: En las sociedades contemporáneas se observa una multiplicidad de acciones emprendidas en numerosos ámbitos y sectores, bajo la responsabilidad de un amplio abanico de actores de diferente escala, con el fin de prevenir, atender y eliminar la violencia escolar. Dados los graves efectos que este problema provoca no solo entre los individuos e instituciones directamente involucradas, sino también en el fortalecimiento democrático y el ejercicio pleno de los derechos humanos, la prevención de la violencia en las escuelas es una tarea apremiante. Frente al despliegue masivo de estrategias de intervención, a los abundantes estudios realizados en distintos campos disciplinares y a su incorporación en diversas agendas de políticas públicas, es escaso el análisis de las implicaciones que esas estrategias tienen en los principios de autoridad, legalidad y legitimidad en las escuelas. Emprender esta tarea es fundamental, ya que buena parte de las rutas trazadas en el presente para afrontar la violencia escolar –como la creación y aplicación de leyes específicas, el rediseño de acuerdos nacionales, lineamientos para el sistema educativo, manuales para la convivencia hasta los reglamentos escolares, entre otros instrumentos– han afectado dichos principios desconociendo los resultados y efectos que tienen en la conformación, reproducción e, incluso, perpetuación de la violencia escolar.Palabras clave: Violencia escolar, autoridad, legalidad, legitimidad, reglamentos escolares, fragmentación de la autoridad.Abstract: In contemporary societies, a multiplicity of actions has been taken in different areas and sectors under the responsibility of a wide range of actors on different scales, in order to prevent, attend and eliminate school violence. Since the serious effect of this problem, not only among the individuals and institutions directly involved, but also for the strengthening of democracy and the full exercise of human rights, combating violence in schools is an urgent task. Despite of the massive deployment of intervention strategies, the numerous studies carried out in different academic fields and their inclusion on policy agenda, the implications that these strategies have on the principles of authority, legality and legitimacy in schools has barely been analyzed. This task is essential, given that many of the paths outlined currently to address school violence –such as the creation and application of specific laws, the redesign of national agreements, the guidelines for the education system, the manuals for school coexistence, among other instruments– have affected these principles and have ignored the results and implications that they have in the conformation, reproduction and even perpetuation of this problem.Keywords: School violence, authority, legality, legitimacy, school rules, fragmentation of authority.
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Meeson, Julie-Soleil, und Carlo Morselli. „La violence et la résolution de conflits chez des trafiquants de cocaïne“. Criminologie 45, Nr. 1 (19.03.2012): 213–41. http://dx.doi.org/10.7202/1008383ar.
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La violence est souvent regardée comme le moyen de prédilection des trafiquants dans la résolution de conflits dans le trafic de drogue. On ne remet que rarement en question cette évidence. La présente recherche analyse les récits des événements conflictuels vécus par douze hommes incarcérés pour trafic de cocaïne. Des 53 conflits discutés par ces trafiquants, 48 ont abouti à une résolution non violente qui n’exclut pas pour autant les menaces. Ces résolutions non violentes comportent des étapes et des stratégies des plus variées, allant de la négociation aux mesures préventives, de la participation d’un tiers dans la résolution de conflits aux conflits demeurés irrésolus. Les cinq derniers conflits ont été résolus de façon violente par les stratégies que sont les voies de fait ou les représailles. Une observation des méthodes violentes utilisées par les individus interrogés aidera à l’analyse du rôle de la violence, qu’elle soit la seule méthode envisagée ou qu’elle serve à des fins de dissuasion ou de rétribution.
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Gutiérrez-Sanín, Francisco, und Elisabeth Jean Wood. „What Should We Mean by “Pattern of Political Violence”? Repertoire, Targeting, Frequency, and Technique“. Perspectives on Politics 15, Nr. 1 (März 2017): 20–41. http://dx.doi.org/10.1017/s1537592716004114.
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To leverage the full range of observed variation in patterns of violence toward the development and testing of theories of political violence, scholars need adequate conceptual foundations: what should we mean by apattern of violenceon the part of an armed organization? Scholars often distinguish degrees or levels or types of violence across organizations and conflicts, but definitions and measures vary sharply. We argue that patterns of violence are not reducible in ways often assumed in the literature: lethal violence is not a good proxy for the overall pattern, and differences in patterns are not well captured in the binary “terror” versus “restraint.” To address these concerns, we provide a new conceptualization of political violence, defining an organization’spattern of violenceas the configuration of repertoire, targeting, frequency, and technique in which it regularly engages. This approach adds precision to the documentation and analysis of political violence, clarifies the evaluation of rival theories, and opens up new research questions. We demonstrate its utility through an analysis of violence against civilians in Colombia, drawing on an original database of massacres, judicial proceedings, and other sources, and show that the concept of “pattern” helps bring ideology and politics back into the analysis of organized violence.
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Ramírez Martínez, Eduardo Aristóteles. „El respeto: entre la política de la violencia y la violencia de lo político. Un estudio de caso en Querétaro, México“. Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, Nr. 13 (21.09.2020): 53. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i13.2649.
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A partir de un estudio de caso en Querétaro, se propone entender y mostrar la violencia de los jóvenes como forma inesperada de manifestación de lo político. Por un lado, los jóvenes son víctimas de la violencia del seno familiar, de las políticas gubernamentales y de la incomprensión del mundo adulto. Todo ello se vive como falta de respeto. En este contexto, los jóvenes utilizan la violencia para hacerse del respeto demandado y lo político surge, entonces, en un doble y paradójico sentido: como construcción de una comunidad externamente negacionista y violenta, y, a la vez, internamente creativa, dialógica y solidaria.En su referencia externa, la comunidad precisa la oposición amigo-enemigo, lo cual recoge el sentido que Carl Schmitt atribuyó a lo político, pero en su veta interna, la comunidad necesita de diálogo, entendimiento y una política que afirme los rasgos comunes por encima de los diferenciadores, más a la manera como Hanna Arendt concibe lo político. En este doble juego, los jóvenes de Menchaca ganan respeto y restituyen los déficits de afecto, reconocimiento y solidaridad perdidos en sus comunidades políticas de origen: el Estado, la familia y su propio barrio.Palabras clave: Comunidad, Violencia, Respeto, Lo político, InstitucionesRespect: between the politics of violence and the violence of the political. A case study in Querétaro, MexicoAbstractBased on a case study in Querétaro, it is proposed to understand and show youth violence as an unexpected form of political manifestation. On the one hand, young people are victims of domestic violence, government policies and misunderstanding of the adult world. All this is experienced as a lack of respect. In this context, young people use violence to gain the demanded respect and the political arises, then, in a double and paradoxical sense: as a construction of an externally negative and violent community, and, at the same time, internally creative, dialogical and solidary. In its external reference, the community needs the friend-enemy opposition, which reflects the meaning that Carl Schmitt attributed to the political, but in its internal vein, the community needs dialogue, understanding and a policy that affirms the common features above of the differentiators, more in the way that Hanna Arendt conceives the political. In this double game, the youth of Menchaca earn respect and restore the deficits of affection, recognition and solidarity lost in their political communities of origin: the State, the family and their own neighborhood.Key words: Community, Violence, Respect, The political, InstitutionsLe respet: entre la politique de la violence et la violence du politique. Une étude de cas à Querétaro, MéxicoRésuméÀ partir d’une étude de cas à Querétaro, on propose de comprendre et de montrer la violence des jeunes comme forme inespérée de manifestation du politique. D’une part, les jeunes sont victimes de la violence au sein familier, des politiques gouvernementales et de l’incompréhension du monde adulte. Tout cela se vit comme un manque de respect. Dans ce contexte, les jeunes utilisent la violence pour s’approprier du respect demandé et le politique surgit, alors, dans un double et paradoxale sens : comme construction d’une communauté extérieurement négationniste et violente, et à la fois, internement créative, dialogique et solidaire. Dans sa référence externe, la communauté précise l’opposition ami-ennemi, qui reprend le sens que Carl Schmitt a attribué au politique, mais dans sa veine interne, la communauté a besoin du dialogue, de compréhension et d’une politique qui affirme les traits communs au-dessus des différentiateurs, plus à la manière qu’Hanna Arendt conçoit le politique. Dans ce double jeu, les jeunes de Menchaca gagnent du respect et restituent les déficits d’affection, de reconnaissance et de solidarité perdus dans ses communautés politiques d’origine : l’Etat, la famille et son propre quartier.Mots clés: Communauté, Violence, Respect, Le politique, Institutions
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Khusnaeny, Asma'ul. „(Bill Draft on Eliminating Sexual Violence: Access to Justice, Truth and Victims’ Survival“. Jurnal Perempuan 21, Nr. 2 (20.05.2016): 191–200. http://dx.doi.org/10.34309/jp.v21i2.97.
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Sexual violence is a crime against humanity, violations of human rights and gender-based violence. Meanwhile since the 1998-2013 National Commission on Violence Against Women has been monitoring and documentating 15 (fifteen) forms of sexual violences. National Commission on Violence Against Women was classifying all forms of sexual violence from 15 forms into 6 sexual violences based on common elements in criminal offense. So far the handling cases of sexual violence faced barrier to prevention, protection, recovery of victims, rehabilitation of offenders, and the criminal justice procedure of law. State should be responsible quickly to enact Law on Elimination of Sexual Violence, as part of country’s efforts in implementing the principles of due diligence.
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Geoffrion1, Steve, und Frédéric Ouellet. „Quand la réadaptation blesse ? Éducateurs victimes de violence“. Criminologie 46, Nr. 2 (13.12.2013): 263–89. http://dx.doi.org/10.7202/1020996ar.
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Cette étude vise à comprendre le phénomène de la violence physique vécue par les éducateurs oeuvrant dans dix Centres Jeunesse (CJ) du Québec. Pour ce faire, un sondage de victimisation a été administré à 586 éducateurs en internat. En premier lieu, la prévalence de cette problématique sera établie. Par la suite, les facteurs individuels et environnementaux prédisposant aux agressions physiques seront identifiés. Des éducateurs sondés, 53,9 % rapportent avoir été victimes de violence physique au cours de la dernière année. Sur le plan individuel, être affecté par les manifestations agressives des clients et la fréquence des violences psychologiques subies augmentent les risques de victimisation physique. Quant au contexte, l’âge de la clientèle et le motif de l’intervention (basé sur la loi justifiant le placement) auprès de l’enfant ou de l’adolescent influencent l’occurrence des actes violents dirigés contre les éducateurs. Nos analyses montrent également que les violences physiques dont sont victimes les éducateurs affectent autant l’individu que l’institution. L’identification de facteurs permettant de prédire les risques de victimisation pourrait notamment servir à orienter les programmes de prévention de la violence dans les CJ, mais aussi à cibler les éducateurs les plus à risque afin de leur fournir un soutien adapté.
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Dantan, Emmanuelle, und Juan Manuel López Muñoz. „Quand le système discursif impose : le principe de violence discursive“. SHS Web of Conferences 191 (2024): 01018. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202419101018.
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A contre-courant des travaux sur les violences verbales et les discours violents, cet article propose de théoriser le principe de violence discursive dans le cadre de l’Analyse du Discours. Si le discours est pensé comme un dispositif d’énonciation mettant en relation un texte et ses conditions de production, la violence discursive peut s’analyser comme une mise en scène discursive qui soumet un individu ou une collectivité sans son consentement. Il s’agira de poser les jalons théoriques à ce concept, et de l’éprouver à travers quatre exemples tirés de plusieurs genres littéraires d’époques variées (du Moyen Âge à nos jours).
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Aguilar Gómez, Antonio. „Aproximación conceptual de las violencias en el fútbol (Conceptual approach to violence in football)“. Retos 56 (10.05.2024): 449–64. http://dx.doi.org/10.47197/retos.v56.104015.
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Este artículo aborda las diversas manifestaciones de violencia que se manifiestan en el contexto del fútbol desde una perspectiva de la Psicología Social. Utiliza enfoques de sistemas dinámicos complejos y contextualiza la violencia en el deporte. Comienza con un breve análisis introductorio de aspectos sociológicos e históricos relacionados con las primeras referencias a la violencia en el fútbol, y luego se sumerge en una propuesta de clasificación que agrupa y relaciona las diferentes manifestaciones, proporcionando así una visión amplia del fenómeno. Se describen diversas formas de violencia vinculadas al fútbol, que incluyen la violencia entre espectadores (como los ultras e hinchas incondicionales), la violencia asociada a la seguridad en los estadios (daños causados por infraestructuras inseguras, control de multitudes y protocolos de seguridad), la violencia relacionada con la organización (corrupción, dopaje, amaño y problemas internos en las propias organizaciones), la violencia en el juego (dirigida hacia los árbitros y entre los futbolistas), la violencia en contextos formativos (entre compañeros y dirigida hacia los niños), la violencia en relaciones personales (abuso, violencia sexual y trata de explotación), la violencia derivada de la cultura (burnout en el fútbol) y la violencia estructural por discriminación de género. Finalmente, se plantea la interrogante de si es posible erradicar la violencia en el fútbol y se subraya la necesidad de una reflexión final por parte de los profesionales que abordan este tema para desarrollar estrategias de intervención realistas. Palabras Claves: Violencia, fútbol. Abstract. This article addresses the various manifestations of violence that manifest in the context of football from a Social Psychology perspective. It uses complex dynamic systems approaches and contextualizes violence in sport. It begins with a brief introductory analysis of sociological and historical aspects related to the first references to violence in football, and then dives into a classification proposal that groups and relates the different manifestations, thus providing a broad vision of the phenomenon. Various forms of violence linked to football are described, including violence between spectators (such as ultras and hardcore fans), violence associated with security in stadiums (damage caused by unsafe infrastructure, crowd control and protocols security), violence related to the organization (corruption, doping, match-fixing and internal problems in the organizations themselves), violence in the game (directed towards referees and between footballers), violence in training contexts (between peers and directed towards children), violence in personal relationships (abuse, sexual violence and exploitation trafficking), violence derived from culture (burnout in football) and structural violence due to gender discrimination. Finally, the question is raised as to whether it is possible to eradicate violence in football and the need for a final reflection by professionals who address this issue is highlighted to develop realistic intervention strategies. Keywords: Violence, football.
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Raoul, Atade Sèdjro, Obossou Achille Awadé Afoukou, Sidi Rachidi Imorou, Vodouhe Mahublo Vinadou, Soule Garia Fassia, Gbaguidi Houéfa Gloria, Hounkponou Ahouingnan Fanny Maryline Nouessèwa, Salifou Badariyatou und Salifou Kabibou. „Violence Obstetricale dans la Ville de Tanguieta au Benin en 2019“. European Scientific Journal, ESJ 18, Nr. 27 (31.08.2022): 387. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n27p387.
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Introduction: La violence obstétricale est une expérience dont la reconnaissance varie d’une personne à l’autre, d’un contexte à l’autre. Les femmes qui accouchent dans les maternités de Tanguiéta subissent-elles des violences ? Objectif : Etudier les violences obstétricales dans la ville de Tanguieta. Méthode d’étude : Il s’est agi d’une étude transversale à visée descriptive allant du 21 octobre au 21 décembre 2020. L’étude avait porté sur 374 femmes ayant accouché au moins une fois dans les maternités de la ville de Tanguiéta. Résultats : La moyenne d’âge des femmes enquêtées était de 24,63 ans. Elles étaient ménagères dans 43,35%, non scolarisées dans 65,32%, chrétiennes dans 63,01% et mariées dans 80,92%. Au terme de l’étude, 46,26% des femmes reconnaissaient avoir subies au moins une fois une violence obstétricale. Les violences verbales et corporelles ont été citées respectivement dans 94,80% et 88,84%. L’accouchement était le moment où les femmes ont subi le plus de violence obstétricale (71,10%). Les auteurs des violences étaient en majorité les sages-femmes dans 56,07%. La plupart des femmes violentées, ont décrié la violence obstétricale dans 77,46% mais n’en ont parlé à personne dans 60,12%. Elles étaient conscientes que les violences obstétricales peuvent faire l’objet de dénonciation (81,50%). Mais aucun auteur d’acte de violence n’a été dénoncé car pour elles le plus important était que leur bébé soit en parfaite santé (87,86%). Conclusion : Les maternités de la ville de Tanguiéta ne sont pas en marge des violences obstétricales.
Introduction: Obstetric violence is an experience whose recognition varies from person to person, from context to context. Do women who give birth in Tanguiéta maternity hospitals suffer from violence? Objective: To study obstetric violence in the city of Tanguieta. Study method: This was a descriptive cross-sectional study from October 21 to December 21, 2020. The study involved 374 women who gave birth at least once in maternity hospitals in the city of Tanguiéta. Results: The average age of the women surveyed was 24.63 years. They were housewives in 43.35%, out of school in 65.32%, Christian in 63.01% and married in 80.92%. At the end of the study, 46.26% of women admitted to having suffered obstetric violence at least once. Verbal and physical violence were cited in 94.80% and 88.84% respectively. Childbirth was the time when women experienced the most obstetric violence (71.10%). The perpetrators of violence were mostly midwives in 56.07%. Most of the abused women decried obstetric violence in 77.46% but did not tell anyone about it in 60.12%. They were aware that obstetric violence can be denounced (81.50%). but no perpetrator of acts of violence has been denounced because for them the most important thing was that their baby be perfectly healthy (87, 86%). Conclusion: Maternities in the city of Tanguiéta are not immune to obstetric violence.
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Dumont1, Annie, Geneviève Lessard, Katie Cyr, Claire Chamberland und Marie-Ève Clément. „L’exposition à la violence familiale“. Criminologie 47, Nr. 1 (25.03.2014): 149–66. http://dx.doi.org/10.7202/1024011ar.
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Les résultats de cette recherche portent sur l’accumulation de diverses formes de violence et leurs conséquences sur les jeunes exposés à la violence familiale (EVF). Les hypothèses de départ sont : 1- les jeunes EVF vivent plus de violences diverses et plus de symptômes de trauma que les enfants non exposés ; 2- l’accumulation de violences dans la vie de ces jeunes a un effet modérateur sur les conséquences de l’EVF. Des analyses statistiques sont faites à partir de données secondaires issues de deux études québécoises sur la polyvictimisation. Les résultats démontrent que les jeunes EVF vivent davantage de formes de violence différentes annuellement. De plus, le niveau d’anxiété, de colère, de dépression et de syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est également plus important pour eux. Par ailleurs, cette accumulation de violences a un effet modérateur sur la colère des 2 à 11 ans. Ces résultats nous amènent à constater l’importance de faire un dépistage de toutes les formes de violence autres que l’EVF pouvant prendre place dans la vie de ces jeunes. Cette vision holistique doit également être présente dans la recherche, puisque l’accumulation de violences peut avoir un effet modérateur sur les symptômes de trauma étudiés.
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Vargas González, Fernando. „Elecciones, miedo y democracia en México. Autoritarismo y violencia política“. Revista Mexicana de Análisis Político y Administración Pública 8, Nr. 15 (27.02.2019): 66–78. http://dx.doi.org/10.15174/remap.v8i15.335.
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El objetivo de este trabajo es analizar los elementos simbólicos y materiales de la etapa electoral a través de casos y hechos de uso de estrategias de violencia política que afectaron el libre ejercicio de los derechos ciudadanos, como se reflejó en 2018 en la elección más violenta del país. Dentro del proceso de consolidación política inconclusa en México, la violencia política, que se expresa en diferentes formas y modalidades, erosiona la confianza y la gobernabilidad, y es un signo de riesgo para la consolidación de la democracia.Palabras clave: Democracia, Violencia política, Elecciones en México, Consolidación democrática, odio político Abstract The purpose of this paper is to analyze the symbolic and material elements of the electoral stage through cases and facts of political violence strategies that affected the free exercise of citizens’ rights, as reflected in 2018 in the most violent election of the country. Within the process of unfinished political consolidation in Mexico, political violence, expressed in different forms and modalities, erodes trust and governability, and is a sign of risk for the consolidation of democracy.Key words: Democracy, Political violence, Elections in Mexico, Democratic consolidation, political hatred
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Vander Borght, Christine. „Violence des institutions, violences en institution“. Thérapie Familiale 24, Nr. 4 (2003): 337. http://dx.doi.org/10.3917/tf.034.0337.
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Demers, François, Florence Le Cam, Sandrine Lévêque, Isabelle Meuret, Fábio Henrique Pereira, Guillaume Pinson, Denis Ruellan und Florian Tixier. „Violences Publiques – Public Violence – Violências Públicas“. Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, Nr. 1 (12.06.2021): 1. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n1.2021.445.
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Messana, Lissette, Yaite Hernández und Ivette Castillo. „La Violencia Doméstica / Domestic Violence“. Horizonte de enfermeria 21, Nr. 1 (05.05.2010): 45–55. http://dx.doi.org/10.7764/horiz_enferm.21.1.45.
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Mayo, Eduardo Jiménez. „The Violence after “La Violencia”“. AlterNative: An International Journal of Indigenous Peoples 7, Nr. 3 (Dezember 2011): 207–19. http://dx.doi.org/10.1177/117718011100700302.
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Bellanova, Rocco, Kristina Irion, Katja Lindskov Jacobsen, Francesco Ragazzi, Rune Saugmann und Lucy Suchman. „Toward a Critique of Algorithmic Violence“. International Political Sociology 15, Nr. 1 (März 2021): 121–50. http://dx.doi.org/10.1093/ips/olab003.
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AbstractQuestions about how algorithms contribute to (in)security are under discussion across international political sociology. Building upon and adding to these debates, our collective discussion foregrounds questions about algorithmic violence. We argue that it is important to examine how algorithmic systems feed (into) specific forms of violence, and how they justify violent actions or redefine what forms of violence are deemed legitimate. Bringing together different disciplinary and conceptual vantage points, this collective discussion opens a conversation about algorithmic violence focusing both on its specific instances and on the challenges that arise in conceptualizing and studying it. Overall, the discussion converges on three areas of concern—the violence undergirding the creation and feeding of data infrastructures; the translation processes at play in the use of computer/machine vision across diverse security practices; and the institutional governing of algorithmic violence, especially its organization, limitation, and legitimation. Our two-fold aim is to show the potential of a cross-disciplinary conversation and to move toward an interactional research agenda. While our approaches diverge, they also enrich each other. Ultimately, we highlight the critical purchase of studying the role of algorithmic violence in the fabric of the international through a situated analysis of algorithmic systems as part of complex, and often messy, practices.Les questions concernant la manière dont les algorithmes affectent l’(in)sécurité deviennent de plus en plus courantes en sociologie politique internationale. Notre discussion collective s'appuie sur ces débats et les enrichit en abordant les questions portant sur la violence algorithmique. Nous soutenons qu'il est important d'analyser et de discuter de la manière dont les systèmes algorithmiques alimentent (et entretiennent) des formes spécifiques de violence, ainsi que de la façon dont ils justifient des actes violents ou redéfinissent les formes de violence jugées légitimes. Cette discussion collective réunit différents points de vue disciplinaires et conceptuels pour ouvrir un débat sur la violence algorithmique en se concentrant à la fois sur des exemples spécifiques et sur les défis à relever pour la conceptualiser et l’étudier. Cette discussion se concentre sur trois sujets de préoccupation : la violence qui sous-tend la création et l'alimentation des infrastructures de données, les processus de conversion en jeu dans l'utilisation de la vision informatique/machine à travers diverses pratiques de sécurité, et la gouvernance institutionnelle de la violence algorithmique, en particulier son organisation, sa limitation et sa légitimation. Notre double objectif est de montrer le potentiel d'une discussion interdisciplinaire et d'avancer vers un programme de recherche interactionnel. Bien que nos approches divergent, elles s'enrichissent mutuellement. Notre but est de mettre en évidence les possibilités analytiques ouvertes par l'étude de la violence algorithmique et de son role dans la fabrique des relations internationales, par le biais d'une étude des systèmes algorithmiques dans le cadre de pratiques complexes et désordonnées.Las preguntas acerca de cómo afectan los algoritmos a la (in)seguridad son cada vez más comunes en la Sociología Política Internacional. A fin de construir y sumar a estos debates, nuestro Debate Colectivo pone en primer plano las preguntas sobre la violencia algorítmica. Sostenemos que es importante abrir el debate acerca de cómo los sistemas algorítmicos alimentan (en) formas específicas de violencia, cómo justifican las acciones violentas o redefinen qué formas de violencia se consideran legítimas. A partir de la reunión de diferentes puntos de vista disciplinarios y conceptuales, este Debate Colectivo abre una conversación sobre la violencia algorítmica centrándose tanto en sus instancias específicas como en los desafíos de su conceptualización y estudio. En general, el debate converge en tres áreas de interés: la violencia que sustenta la creación y alimentación de las infraestructuras de datos, los procesos de traducción en juego en la utilización de la visión de la computadora/máquina a través de diversas prácticas de seguridad y el gobierno institucional de la violencia algorítmica, especialmente su organización, limitación y legitimación. Nuestro doble objetivo es mostrar el potencial de una conversación interdisciplinaria y avanzar hacia una agenda de investigación interactiva. Si bien nuestros abordajes divergen, se enriquecen mutuamente. Finalmente, destacamos la adquisición fundamental del estudio de las funciones de la violencia algorítmica en el tejido de lo internacional a través de un análisis situado de los sistemas algorítmicos como parte de prácticas complejas y, a menudo, desordenadas.
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Alshehri, Fuaad Ali. „VIOLENCE IN TEACHING SETTINGS: SCHOOL VIOLENCE“. INDIAN RESEARCH JOURNAL OF PHARMACY AND SCIENCE 4, Nr. 3 (September 2017): 1158–63. http://dx.doi.org/10.21276/irjps.2017.4.3.10.
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Globevnik Velikonja, Vislava, Miha Lučovnik, Tanja Premru Sršen, Vesna Leskošek, Megie Krajnc, Lucija Pavše, Ivan Verdenik, Natasa Tul und Isaac Blickstein. „Violence before pregnancy and the risk of violence during pregnancy“. Journal of Perinatal Medicine 46, Nr. 1 (26.01.2018): 29–33. http://dx.doi.org/10.1515/jpm-2016-0378.
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AbstractObjective:To investigate the relationships among different forms of violence before and during pregnancy.Material and methods:An anonymous questionnaire (adapted NorAQ) was given to 1269 women after childbirth.Results:The response rate was 80% (n=1018). Different forms of violence were experienced by 46.9% of the women; 9.2% reported violence in pregnancy. Suffering from the consequences of violence was reported by 43.8% of the women; sexual (76.6%) and psychological (54.1%) ranked the highest. Past experience of any form of violence increased the risk of violence in pregnancy, violences experienced in adulthood even more than that in childhood [odds ratio (OR) 4.2, 95% confidence interval (CI) 2.7–6.5 vs. OR 1.9, 95% CI 1.2–2.9]. The onset of violence during pregnancy is rare. Violence was most frequently exerted by the intimate partner.Conclusion:Healthcare systems have access to most women of reproductive age, thus they have the unique opportunity to identify and adequately manage violence against women and its consequences.
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Brunet, Louis. „Agir la violence. Quelques déterminants de la violence individuelle et de la violence groupale“. Filigrane 25, Nr. 2 (02.05.2017): 9–23. http://dx.doi.org/10.7202/1039645ar.
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Cet article présente une analyse des déterminants intrapsychiques de la violence. Les profils psychologiques des individus qui « passent à l’acte » paraissent très divers, allant du commun des mortels au criminel endurci jusqu’au fanatique génocidaire. Comment adviennent la violence individuelle et la violence groupale ? Si l’expression pulsionnelle comme décharge, sans adresse, est à considérer, d’autres manifestations violentes témoignent plutôt d’un message potentiel, c’est-à-dire d’une quête envers l’objet qui saura accorder un sens, permettre la symbolisation. Cet article tend à cerner quelques dynamiques intrapsychiques relevées dans différents cas de figure de la violence actuelle, du criminel local au terrorisme à l’échelle mondiale.
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Célérier, Marie-Claire. „Violence exhibée, violence cachée, violence sublimée“. Topique 81, Nr. 4 (2002): 103. http://dx.doi.org/10.3917/top.081.0103.
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de Briey, Laurent. „L’antinomie de l’action : Weil et Camus“. Les ateliers de l'éthique 5, Nr. 2 (05.04.2018): 4–22. http://dx.doi.org/10.7202/1044311ar.
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Les pensées de l’action de Weil et de Camus se heurtent à une même antinomie : la volonté d’agir raisonnablement implique à la fois de renoncer à toute action, car une action ne peut être efficace que si elle est potentiellement violente, et d’agir, car s’abstenir de toute action signifie accepter la violence présente. L’agent doit dès lors justifier la violence qu’il met en oeuvre. En conséquence, cet article confronte la manière dont ces deux auteurs s’efforcent de résoudre cette difficulté. Une telle confrontation nous permet, d’une part, de trouver chez Weil les fondements philosophiques qui manquent à la pensée camusienne. D’autre part, la lecture de Camus nous prémunit contre une interprétation erronée de la justification weilienne de moyens violents par une fin raisonnable.
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Durães, Bianca Alves, Beatriz Silva Camacho, Joseana Maria de Sousa Gomes, Marcella Karoline da Silva, Gilberlândio Pereira Oliveira, Janize Silva Maia, Mayara Nunes dos Santos und Luiz Faustino dos Santos Maia. „A mulher contemporânea e a violência: o desafio do rompimento do silêncio“. Revista Recien - Revista Científica de Enfermagem 10, Nr. 30 (30.06.2020): 54–61. http://dx.doi.org/10.24276/rrecien2020.10.30.54-61.
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A violência contra uma mulher viola direitos humanos e atualmente, persiste como um dos problemas mais graves enfrentados. Compreender os motivos pelos quais a mulher que já sofreu violência doméstica não expressa à agressão sofrida por meio da denúncia formal. Estudo de abordagem quantitativa e qualitativa com 100 mulheres que já sofreram algum tipo de violência. A maioria das entrevistadas sofreu violência física e psicológica e não realizou nenhum tipo de denúncia devido ao medo e sua capacidade de coibição de registros de ocorrências e os exames de corpo delito, apesar da ampliação da legislação que protege e assegura o direito das mulheres acometidas pela violência na sociedade. As agressões física e psicológica predominam nos tipos de violência doméstica praticados, tendo o ciúme como principal fator motivador. A divulgação das informações sobre violência doméstica e os tipos de violência é fundamental às mulheres.Descritores: Informação, Violência contra a mulher, Violência doméstica. Contemporary women and violence: the challenge of breaching silenceAbstract: Violence against women violates human rights and currently persists as one of the most serious problems faced. To understand the reasons why women that suffered domestic violence don’t express to the aggression suffered through formal complaint. Quantitative and qualitative study with 100 women who have suffered some type of violence. Most interviewees suffered physical and psychological violence, and did not make any kind of complaint due to fear and their ability of curbing occurrence records and misdemeanor body examinations, despite the expansion of the legislation which protects and ensures the right of women affected by violence in society. Physical and psychological aggressions predominate in the types of domestic violence committed, having jealousy as the main motivating factor. The dissemination of information on domestic violence and the types of violence is fundamental to women.Descriptors: Information, Violence Against Women, Domestic Violence. Mujeres contemporáneas y violencia: el desafío del silencio que violaResumen: La violencia contra la mujer viola los derechos humanos y actualmente persiste como uno de los problemas más graves que enfrentamos. Comprender las razones por las cuales la mujer que ha sufrido violencia doméstica no expresa la agresión sufrida a través de la denuncia formal. Estudio del enfoque cuantitativo y cualitativo con 100 mujeres que han sufrido algún tipo de violencia. La mayoría de las entrevistadas, que sufrieron violencia física y psicológica, no denunciaron ninguna queja debido al miedo, su capacidad para frenar los registros de sucesos y los exámenes de cuerpos criminales, a pesar de la expansión de la legislación que protege y garantiza los derechos de las mujeres afectados por la violencia en la sociedad. La agresión física y psicológica predomina en los tipos de violencia doméstica practicada, con los celos como el principal factor motivador. La divulgación de información sobre violencia doméstica y tipos de violencia es crítica para las mujeres.Descriptores: Información, Violencia contra la Mujer, Violencia Doméstica.
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Butler, Judith. „Violence, Non-Violence“. Graduate Faculty Philosophy Journal 27, Nr. 1 (2006): 3–24. http://dx.doi.org/10.5840/gfpj200627122.
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Quratul Ain Shafique et al.,, Quratul Ain Shafique et al ,. „Violence Begets Violence“. International Journal of English and Literature 7, Nr. 6 (2017): 1–10. http://dx.doi.org/10.24247/ijeldec20171.
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Nancy, Jean-Luc. „Violence et violence“. Lignes 25, Nr. 2 (1995): 293. http://dx.doi.org/10.3917/lignes0.025.0293.
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Bond, Mike, und Mark Lawrie. „Violence breeds violence“. Australian Veterinary Journal 82, Nr. 9 (September 2004): 529. http://dx.doi.org/10.1111/j.1751-0813.2004.tb11186.x.
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Lynch, Jonathon E. „Violence? Which violence?“ Criminal Justice Matters 61, Nr. 1 (September 2005): 12–13. http://dx.doi.org/10.1080/09627250508553426.
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Leverentz, Andrea. „Violence Breeding Violence“. Contemporary Sociology: A Journal of Reviews 46, Nr. 1 (Januar 2017): 18–22. http://dx.doi.org/10.1177/0094306116681812.
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Flores Fernandez, Zitlally, Brenda Fabiola Chávez Bermudez, Rafael Mier Cisneros und Karla Alejandra Obregón Avelar. „Violencia de género en el deporte (Gender violence in sport)“. Retos 43 (09.09.2021): 808–17. http://dx.doi.org/10.47197/retos.v43i0.85842.
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La institución del deporte no sólo establece condiciones desiguales para hombres y mujeres, sino que también reproduce y genera formas específicas de violencia. El propósito de este trabajo es identificar las formas de violencia de género que están presentes en el ámbito deportivo y para ello, el estudio hace un análisis teórico para abordar los conceptos de violencia, género y violencia contra la mujer. Los resultados muestran varias manifestaciones de violencia simbólica, sexual y económica en el contexto deportivo. Se destaca la necesidad de implementar medidas específicas para prevenir y erradicar la violencia de género. Adicionalmente, describe algunos de los esfuerzos realizados que pueden servir de base para la implementación de políticas con perspectiva de género.
Abstract. Sports institutions do not only establish unequal conditions for men and women but also reproduce and generate specific forms of violence. The purpose of this study is to identify the forms of gender violence that are present in the sports field. Through a theoretical approach, the study addresses the concepts of violence, gender, and violence against women. The results show several manifestations of symbolic, sexual, and economic violence in the sports context. It is outlined the need to implement specific measures to prevent and eradicate gender violence. Additionally, it describes some of the efforts made that can serve as a basis for the implementation of policies with a gender perspective.
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Williams, Ryan. „Is Violence Critique?“ Religions 13, Nr. 11 (16.11.2022): 1111. http://dx.doi.org/10.3390/rel13111111.
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The offence and violence surrounding episodes like the Salman Rushdie Affair and the Danish cartoon controversies have furnished Western critique of Islam. While important work has challenged this criticism of Islam by interrogating the secular foundations of critique, the relationship between violence and critique remains troubling. Through reflecting on an excerpt from an attempted murder trial following an attack in purported retaliation for offending Islam in an English prison, this article considers an expanded notion of violence that recognizes the structural conditions behind violence and the political stakes that prioritize the psychological and ideological drivers that service criticism of Islam. This article builds on scholarship that explored the State and the violent actions of non-State actors and the critical studies of hate crimes, Islamist extremism, and radicalization to reflect on the role of critique in the aftermath of violence and to ask: “Is violence critique?” It argues for an approach to violence-as-critique by recognizing how emotion and violence are not merely resident inside the fanatical body that protrudes outwards but are instead part of the wider, circulating, and unstable affective economies of structural violence where violences can be mutually reinforcing.
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Ouellet1, Frédéric, Odrée Blondin, Chloé Leclerc und Rémi Boivin. „Prédiction de la revictimisation et de la récidive en violence conjugale“. Criminologie 50, Nr. 1 (09.05.2017): 311–37. http://dx.doi.org/10.7202/1039806ar.
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En violence conjugale on ne peut négliger l’impact des circonstances immédiates et les caractéristiques individuelles des protagonistes dans la modulation du cours des évènements. Toutefois, peu d’études ont analysé simultanément les effets des circonstances immédiates, des caractéristiques de la victime et de l’agresseur sur la séquence des violences conjugales. L’objectif de cette étude est de mieux comprendre ce qui prédit la revictimisation ainsi que la récidive. Les résultats se fondent sur 52 149 évènements violents commis entre conjoints actuels ou passés enregistrés par les policiers sur le territoire d’une grande ville du Québec, de 2000 à 2009. Nos résultats montrent l’importance du sens de la violence, des expériences de victimisation et des antécédents criminels dans l’explication de la répétition de la violence, tout en nuançant leur effet en fonction de la récidive ou de la revictimisation. Cette étude peut permettre d’orienter les interventions sur plusieurs plans, en améliorant l’efficacité des mesures préventives et en permettant, par exemple, de déterminer des indicateurs facilement observables sur lesquels on peut baser l’intervention afin de mieux répondre au cours des évènements.
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Treviño Ronzón, Ernesto. „La violencia y lo político. Una reflexión sobre la violencia como productora de subjetividades políticas“. Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, Nr. 13 (21.09.2020): 27. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i13.2647.
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Este ensayo se basa en los resultados de dos proyectos de investigación sobre violencia, política y políticas en México, que han aportado material para discutir la función politizante de la violencia desde el ángulo de lo político. Se trata de una reflexión conceptual que en la actualidad cruza diferentes ámbitos de las ciencias sociales y las humanidades. El argumento a desarrollar es que en algunas sociedades donde la agresión, la victimización y la delincuencia alcanzan niveles altos y constantes, la violencia hace patente su función en la disolución y constitución tanto de estructuras, relaciones, identidades y sujetos, como en la inclusión y exclusión social. En esta lógica, es posible afirmar que, en ciertos contextos, la violencia tiene una función ontológica y política. Para explorar esta tesis, el texto recorre, en primera instancia, las preocupaciones de algunos filósofos interesados en la violencia; en segundo término y a manera de focalización, recupera algunos estudios contemporáneos sobre la violencia dirigida a la población joven en México y América Latina, que sirven como referencia para el debate de la politización a partir de elementos conceptuales desarrollados por pensadores contemporáneos.Palabras clave: Violencia, Lo político, Politización, Subjetividad, VíctimasViolence and the political. A reflection on violence as a producer of political subjectivitiesAbstractThis article is based on the results of two research projects on violence, politics and public policies in México, which have provided material to discuss the politicizing function of violence from the political angle. It is a conceptual reflection that currently crosses different areas of the social sciences and the humanities. The argument to be developed is that in some societies where aggression, victimization and delinquency reach high and constant levels, violence makes clear its role in the dissolution and constitution of structures, relationships, identities and subjects, as well as in inclusion and social exclusion. In this sense, it is possible to say that, in certain contexts, violence has an ontological and political function. To explore this thesis, the text covers, in the first place, the concerns of some philosophers interested in violence; secondly, and as a focus, it recovers some contemporary studies on violence directed at the young population in Mexico and Latin America, which serve as a reference for the debate on politicization based on conceptual elements developed by contemporary thinkers.Key words: Violence, The political, Politicization, Subjectivity, VictimsLa violence et le politique. Une réflexion sur la violence comme productrice de subjectivités politiquesCet essai est basé dans des résultats de deux projets de recherche sur violence et politique et politiques au Mexique, qui ont apporté du matériel pour discuter la fonction politisante de la violence depuis l’angle du politique. Il s’agit d’une réflexion conceptuelle qui actuellement croise différents domaines des sciences sociales et des humanités.L’argument à développer est que dans quelques sociétés où l’agression, la victimisation et la délinquance atteignent des hauts et constants niveaux, la violence manifeste sa fonction dans la dissolution et constitution aussi de structures, de relations, d’identités et de sujets que d’inclusion et d’exclusion sociale.Dans cette logique, il est possible d’affirmer que, dans certains contextes, la violence a une fonction ontologique et politique. Pour explorer cette thèse, le texte parcourt, premièrement, les préoccupations de quelques philosophes intéressés dans la violence ; en deuxième terme et comme focalisation, il récupère quelques études contemporaines sur la violence dirigée à la population jeune au Mexique et en Amérique Latine, qui servent comme référence pour le débat de la politisation à partir d’éléments conceptuels développés par des penseurs contemporains.Mots Clé: Violence, Le politique, Politisation, Subjectivité, Victimes
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Guerra Manzo, Enrique. „Rostros del habitus violento en Michoacán: los distritos de Coalcomán y Apatzingán, c. 1930-1980“. Estudios de Historia Moderna y Contemporánea de México, Nr. 56 (04.10.2019): 3. http://dx.doi.org/10.22201/iih.24485004e.2018.56.63790.
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<p>El presente artículo analiza las manifestaciones de un <em>habitus</em> agresivo en diversos espacios de las interacciones sociales en los distritos de Apatzingán y Coalcomán, del suroeste de Michoacán. Postula que entre 1930 y 1980 en la región coexistió una violencia instrumental (agraria, delincuencial y la vinculada al trasiego de enervantes) con una violencia expresiva (pistolerismo, <em>vendettas</em>). Ambas clases de violencia estaban vinculadas a la ineficacia del Estado para brindar seguridad en la región. Ese contexto de inseguridad propició la persistencia de un <em>habitus</em> violento así como una cultura del honor y de la autodefensa.</p><p>This article analyzes the manifestations of the aggressive habitus in divers spaces of the social interactions in the districts of Apatzingán and Coalcomán, southwest of Michoacán, México. Postulate that between 1930 and 1980 in the region coexisted an instrumental violence (agrarian, delinquency, drugs) with a ritual violence (<em>vendettas</em>, pistolerismo). Both kinds of violence were linked to the inefficiency of the Mexican State to offer segurity in the region. That context of insegurity propitiated the persistence of a violent habitus as well as a culture of honor and of the self-defense.</p>
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Mutolib, Undang Abdul, Nanun Abdillah und Asep Irfan. „Law Enforcement Domestic Offender Violenc: Domestic Violence“. AHKAM 2, Nr. 2 (16.06.2023): 458–69. http://dx.doi.org/10.58578/ahkam.v2i2.1260.
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Domestic violence according to Law Number 23 of 2004 is any act against a person, especially women, which results in physical, sexual, psychological, and/or domestic misery or suffering including threats to commit unlawful acts, coercion, or deprivation of independence within the scope of the household. This paper aims to find out how to enforce domestic violence or domestic violence laws. The method used is a descriptive method of analysis, which is to explore information that is in accordance with events in the field through the person concerned or respondent. while the approach used in this study is a qualitative approach. The results of this study show that the Law on Domestic Violence enforced through Law No. 20 of 2003 until now has not been fully enforced effectively to provide protection to victims of domestic violence. Various sociological factors that cause the ineffectiveness of law enforcement include the absence of a common paradigm among law enforcement officials regarding the protection of victims of domestic violence, uneven socialization of legal provisions, unbalanced legal facilities available with cases that occur, not optimal public legal awareness and friction between the values adopted by this law and the values that apply in some communities.
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Pitou, Frédérique. „Des violences urbaines avant la violence urbaine?“ Sociétés & Représentations 31, Nr. 1 (2011): 241. http://dx.doi.org/10.3917/sr.031.0241.
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Artiles Visbal, Leticia. „relaciones y la violencia basada en género: posibilidades o límites en el campus universitario“. Revista Científica Sapientia Technological 4, Nr. 2 (08.09.2023): 47–56. http://dx.doi.org/10.58515/015rspt.
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Entre el 2006 y el 2017 algunas investigaciones revelaron un aumento del 25% en la prevalencia de la violencia de género en los espacios universitarios. Este trabajo tiene como objetivo analizar algunos aspectos de la violencia de género en las universidades y otras instituciones de educación superior. Metodología: revisión bibliográfica, base de datos de información Google Scholar; criterios de selección títulos de trabajos originales y palabras clave: “género”, violencia de género, “violencia”, “universidad” e “instituciones de educación superior”. El filtro utilizado fueron artículos publicados entre 2019-2023, en español e inglés. Se seleccionaron cuarenta y seis artículos. Los tipos de violencia de género predominantes fueron la sexual, el acoso y la agresión sexual. Los protocolos y comités universitarios normativos de las universidades no fueron objeto de estudio de las publicaciones analizadas. Es necesario definir estándares para brindar una correcta protección a las víctimas y elaborar acciones encaminadas a la “tolerancia cero” ante la violencia de género en las universidades e instituciones de educación superior. Palabras clave: género, violencia de género, instituciones de educación superior. Abstract Between 2006 - 2017 some research revealed an increase prevalence of gender violence in university spaces by 25%, The aim of this paper is to analyze some aspects of gender-based violence in the university and other higher education institutions. Methodology: bibliographic review, database information Google Scholar; criteria selection titles of original papers and keywords “gender”, “gender-based violence”, “violence” “university” and “higher education institutions.”. The filter used was articles published between 2019-2023, in Spanish and English. Forty-six articles were selected. The predominant types of gender violence were sexual, harassment and sexual assault. Protocols and regulations against gender violence were not the aim of the papers analyzed but that doesn't mean it there aren't exist. It is necessary to define standards to provide correct protection to the victims and to draw up actions directed to “zero tolerance” to gender-based violence in universities and higher education institutions. Keywords: gender, gender-based violence, higher education institutions.
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Hristov, Jasmin, und Karen Spring. „Violencia paramilitar en sectores económicos clave en Honduras: el brazo violento del «desarrollo»“. Estudios Críticos del Desarrollo 11, Nr. 21 (24.11.2021): 199–245. http://dx.doi.org/10.35533/ecd.1121.jh.ks.
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Classified as one of the countries with the highest incidence of homicide and femicide in the world, Honduras has been revealed as a flashpoint for violence perpetrated by the drug cartels and gangs. However, to reduce the problem of violence to simply «criminality» is inexact because it focuses upon the symptoms, to the detriment of the core causes, and which drives increasing involvement in the Armed Forces and the Police, bodies that are responsible for grave violations of human rights. At its core lies a foundation of political violence —that is, the violence and repression against the defenders of the earth, environment, and human rights— those who search for alternatives to agro-industrial, mining and infrastructure projects. Over the past decade, state and non-state actors, such as paramilitaries, have perpetrated violence in the service of capital. Paramilitary violence is functional for the large-scale accumulation of capital in agro-industry, tourism, mining and energy; it also drives the imposition of neoliberal reforms in land management, education and health. Paramilitary violence in the service of local and international corporations has occurred within a militarized context that extends state violence to repress and criminalize social movements. Honduras stands out as one of the four countries in Latin America with the highest levels of violence and criminalization, interrelated phenomena.
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Viana, Aline Lopes, Margaret Olinda de Souza Carvalho e. Lira, Michelle Christini Araújo Vieira, Sued Sheila Sarmento und Anna Paula Lima de Souza. „Violência contra a mulher“. Revista de Enfermagem UFPE on line 12, Nr. 4 (04.04.2018): 923. http://dx.doi.org/10.5205/1981-8963-v12i4a110273p923-929-2018.
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RESUMOObjetivo: analisar notificações de violência contra a mulher. Método: estudo quantitativo, descritivo, desenvolvido a partir de dados secundários provenientes do Sistema de Informação de Agravos de Notificação. Resultados: das 401 notificações de violência à mulher, 61% foram contra mulheres entre 25 e 59 anos, pardas ou pretas (63%), solteiras (29%), com menos de nove anos de escolaridade (39%) e que dependiam financeiramente de outra pessoa; 46% das agressões ocorreram na residência, sendo 99% por violência física e 69% por força corporal/espancamento, e os autores foram homens. Conclusão: constatou-se a ampliação do número de notificações, contudo, ainda insuficiente para superar as subnotificações de ocorrências de violência contra a mulher, motivo principal da invisibilidade desse fenômeno. Descritores: Violência Contra a Mulher; Violência por Parceiro Íntimo; Violência Sexual; Violência Doméstica; Notificação; Violência.ABSTRACT Objective: to analyze reports of violence against women. Method: quantitative, descriptive study, developed from secondary data from the Information System of Notifiable Diseases. Results: of the 401 reports of violence against women, 61% were against women between 25 and 59 years old, black or white (63%), single (29%), with less than nine years of schooling (39%) and who were financially dependent on another person; 46% of the aggressions occurred in the residence, being 99% for physical violence and 69% for body strength / beating, and the authors were men. Conclusion: there was an increase in the number of notifications, however, still insufficient to overcome the underreporting of occurrences of violence against women, the main reason for the invisibility of this phenomenon. Descritores: Violence Against Women; Intimate Partner Violence; Sexual Violence; Domestic Violence; Notice; Violence. RESUMEN Objetivo: analizar las notificaciones de violencia contra la mujer. Método: estudio cuantitativo, descriptivo, desarrollado a partir de datos secundarios provenientes del Sistema de Información de Agravios de Notificación. Resultados: de las 401 notificaciones de violencia a la mujer, 61% fueron contra mujeres entre 25 y 59 años, pardas o negras (63%), solteras (29%), con menos de nueve años de escolaridad (39%) y que dependían financieramente de otra persona, el 46% de las agresiones ocurrieron en la residencia, y el 99% por violencia física y el 69% por fuerza corporal / paliza, y los autores fueron hombres. Conclusión: se constató la ampliación del número de notificaciones, sin embargo, todavía insuficiente para superar las sub notificaciones de ocurrencias de violencia contra la mujer, motivo principal de la invisibilidad de este fenómeno. Descritores: Violencia Contra la Mujer; Violencia de Pareja; Violencia Sexual; Violencia Doméstica; Notificación, Violencia.
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Hernández García, Yuliuva, und Alisa Natividad Delgado Tornés. „El papel de la pobreza y la exclusión en la violencia contra las mujeres en Moa, Cuba“. La Manzana de la Discordia 9, Nr. 2 (01.04.2016): 43. http://dx.doi.org/10.25100/lamanzanadeladiscordia.v9i2.1604.
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Resumen: Este trabajo realiza una reflexión en torno a problemáticas conceptuales de las investigaciones acerca de la violencia contra las mujeres en la relación de pareja en Cuba, a partir de una investigación realizada con 47 mujeres que sufren violencia de pareja en Moa. El texto consta de cuatro ejes: el primero expone una mirada crítica a los fenómenos de violencia, pobreza y exclusión social; el segundo indaga sobre la dinámica de la violencia contra las mujeres en Moa, los escenarios en que se ejerce y sus condicionamientos sociales; en el tercero se interpreta la relación cultura patriarcal y contexto, así como algunas claves hermenéuticas para comprender la violencia contra las mujeres en la relación de pareja; el cuarto eje presenta aportes de la concepción sociológica del espacio geográfico para el contexto de Moa.Palabras claves: violencia contra las mujeres, pobreza, exclusión social, CubaPoverty and Exclusion in Violence against Women in Moa, CubaAbstract: This work is a reflection about some conceptual problems in research about violence against women in couples’ relations in Moa, Cuba, on the basis of research carried out with 47 women, survivors of violence. The text consists of four axes: first, a critical look on the phenomenon of violence, poverty and social exclusion; second, the dynamics of violence against women in Moa, including the settings and social conditioning; third, the relations between patriarchal culture and context, as well as hermeneutical keys to understand the violence against women in couples; and finally, the contributions of the sociological conception of geographic space for the context of Moa.Key words: violence against women, poverty, social exclusion, Cuba
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Cardoso Onofre de Alencar, Emanuela. „Violencia por razón de género en la pareja y estereotipos en el sistema de justicia: lecciones del Comité de la CEDAW = Gender-Based Violence in Intimate Relationships and Stereotypes in the Justice System: Lessons from the CEDAW Committee“. FEMERIS: Revista Multidisciplinar de Estudios de Género 4, Nr. 3 (01.10.2019): 29. http://dx.doi.org/10.20318/femeris.2019.4927.
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Resumen. El presente trabajo estudia la estereotipia de género en el sistema de justicia en casos de violencia contra las mujeres por razón de género en la pareja. En primer lugar, investiga qué son los estereotipos de género, cuáles son sus principales efectos e identifica algunos de los estereotipos más frecuentes en casos de violencia en la pareja. Luego analiza la contribución del Comité de la CEDAW a ese tema. El Comité ha sido pionero en señalar los vínculos entre el uso de estereotipos, la discriminación y la violencia de género y, en los últimos años, ha demostrado cómo la estereotipia de género en el sistema de justicia, especialmente en casos de violencia en la pareja, vulnera derechos humanos y discrimina. Su trabajo ofrece estándares internacionales para combatir ese tipo de violencia y para guiar el desarrollo jurídico de esa materia, y proporciona argumentos para poner de manifiesto que la estereotipia obstaculiza el acceso de las mujeres a la justicia en igualdad de condiciones.Palabras clave: violencia de género, violencia en la pareja, discriminación, sistema de justicia, Comité de la CEDAW.Abstract. This paper studies gender stereotyping in the justice system in cases of intimate violence. First, it examines what are stereotypes, what are their main effects and points out some of the most frequent stereotypes in cases of intimate violence. Then it analyses the contribution of the CEDAW Committee on this subject. The Committee has a ground-breaking work in the linkages between stereotyping, discrimination and gender-based violence, and in the last years has underlined how gender stereotyping in the justice system, especially in cases of intimate violence, undermines human rights and discriminate. Its work offers international standards to address this kind of violence, leads legal development on this subject, and gives arguments to take seriously stereotyping in the justice system.Keywords: gender violence, intimate violence, discrimination, justice system, CEDAW Committee.