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Dissertationen zum Thema „Villes – Picardie (France) – Moyen âge“

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Sterlin-Cathébras, Marie-Émeline. „L'invention du cartulaire communal : rythmes, formes et finalités de la première cartularisation dans les communautés urbaines de Picardie (XIIIe-XIVe siècle)“. Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2023. https://ecm.univ-paris1.fr/nuxeo/site/esupversions/78d54989-9212-4d9a-a631-06e33273020b.

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Entre le milieu du XIIIe siècle et les premières décennies du XIVe siècle, Abbeville, Amiens, Beauvais, Saint-Quentin et Senlis, cinq villes de l’espace picard méridional, produisent un cartulaire. C’est une nouveauté car dans cet espace aucune communauté urbaine n’avait alors rédigé de tels recueils. Ils étaient cependant restes peu étudiés, en dépit de l’intérêt que ce type de manuscrit a suscité dans le sillage des renouvellements historiographiques liés à l’écrit et au document. Cette thèse les place au centre de l’analyse et pose la question des ressorts et des modalités de l’invention des cartulaires dans les communes picardes au tournant des XIIIe et XIVe siècle. Elle s’appuie sur un corpus double, dont le cœur est formé par les cartulaires produits par les communautés urbaines picardes durant la période médiévale. Un corpus complémentaire composé par les chartes, les comptabilités et les livres municipaux conservés dans les fonds communaux éclaire ces cartulaires par d’autres sources et les situe dans le système documentaire des communes qui les ont produits. La démarche replace l’invention du cartulaire communal dans une histoire plus longue de la cartularisation en Picardie, marquée par trois vagues principales de rédaction de cartulaires durant le Moyen Age. L’analyse codicologique des cartulaires des cinq villes, tout en permettant de circonscrire et de situer dans le temps leurs différentes phases de rédaction, éclaire la culture et les pratiques d’écriture des clercs de ville, et met en lumière des modalités de copie en tension entre compilation et enregistrement. En retraçant les différents régimes de scripturalités que connaissent les communes étudiées depuis leur fondation, il apparait que l’invention des cartulaires procède du déploiement d’un nouveau rapport à l’écrit à partir du milieu du XIIIe siècle, dont les cartulaires sont l’une des facettes les plus visibles avec l’accroissement du nombre de document. La comparaison avec le reste des systèmes documentaires communaux nuance la nouveauté que représente le cartulaire mais souligne également la place ambivalente qu’il y occupe, entre livre et écriture grise. L’invention de ces cartulaires communaux à lieu dans une période de tensions sociales et de recompositions politiques et institutionnelles fortes, marquées par la suspension des communes, dont les élites communales sortent fragilisées. Dans un contexte de révision du droit et d’une importance croissante de la preuve écrite, les élites communales rassemblent dans les cartulaires des copies des documents à même d’attester leurs droits, que ce soit dans une optique de défense ou d’inventaire. Entre commune et bonne ville, les cartulaires manifestent l’identité de villes, de communes, pouvoir à part entière en dialogue avec le roi
Between the mid-13th century and the first decades of the 14th century, Abbeville, Amiens, Beauvais, Saint-Quentin and Senlis, five cities of the south Picard area, produce a cartulary. This is a novelty, as in this area, no other urban community had previously written such books. However, despite the interest that this type of manuscript raised in the movement of historiographical renewal related to written work and documents, few studies have been conducted on these cartularies. This thesis places them at the center of analysis and raises the question of the motives and methods of the invention of cartularies in the Picard municipalities at the turn of the 13th and 14th centuries. This thesis is based on a double corpus, at the heart are the cartularies produced by the urban Picard communities during medieval times. An additional corpus comprising the charters, the series of accounts and the municipal books held in the municipal archives, informs these cartularies by other sources and replaces them in the documentary system of each city. The approach replaces the invention of the municipal cartulary in a longer history of cartularisation in Picardy, shaped by three main waves of cartulary composition in the Middle Ages. The codicological analysis of the cartularies from the five cities enables their different writing phases to be defined and situated in time. The analysis also reveals the culture and written practice of the city clerks, shedding light upon some copying methods and the tension between compilation and recording. It appears that the invention of cartularies proceeds from the implementation of a new relationship with written texts from the mid-13th century. The cartularies are one of the most visible aspects of this increasing number of documents. Comparing cartulary with other municipal documentary systems places in perspective the degree of novelty it represents, but it also underlines its ambivalent place, between a book and a practical record. The invention of municipal cartularies occurs in a time of social tensions as well as strong political and institutional changes. This time is marked by the suspension of the municipalities and by the weakening of the elite. In a context of legal revision and of an increasing importance of written proof, the municipal elite uses cartularies to gather copies of documents vouching for their rights. Their intention is to create an inventory of rights which could be used in legal defense. The cartularies demonstrate the identity of municipal cities, a power in its own right, in dialogue with the king
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Brunel, Ghislain. „Economie et société en Picardie méridionale (Soissonnais et Valois) du XIe au début du XIVe siècle“. Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010560.

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Dans les campagnes de la basse vallée de l'Aisne et des alentours (Tardenois, Orxois, Valois), le pouvoir civil s'organise autour des forteresses périphériques : Bazoches, Braine, La FertéMilon, Pierrefonds, Quierzy. Sur leurs territoires et ceux des seigneuries d'Eglise, la triade céréales, vin, élevage domine l'économie. L'utilisation des bœufs et des ânes de labour est : concurrencée dès 1150 par le cheval, pivot de la stratification sociale qui distingue les 1 manouvriers des maîtres d'attelage. L'exécutif villageois obtient des privilèges en échange de la collecte des impositions, tandis que les artisans de l'alimentation et du métal bénéficient d'exemptions diverses. Le développement des contrats agraires fait émerger une élite de planteurs de vignes, de défricheurs et de fermiers d'exploitations monastiques. Quant à la condition servile, elle sert aux agents domaniaux pour s'enrichir et développer leur influence, , jusqu'à frayer avec le monde de l'aristocratie.
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Preiss, Sidonie. „Exploitation des ressources végétales et pratiques alimentaires dans le Nord de la France entre les Xème et XIIème siècles : études carpologiques de la motte castrale de Boves (Amiens, Somme) et des sites environnants“. Amiens, 2011. http://www.theses.fr/2011AMIE0024.

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Les analyses carpologiques d'un ensemble de sites situés en France septentrionale nous permettent d'appréhender l'exploitation des ressources végétales et les pratiques alimentaires dans cette région entre le Xe et XIIe siècles. Malgré les biais taphonomiques importants, dûs à un matériel érodé, minéralisé et carbonisé, le corpus taxonomique est large. Les assemblages carpologiques montrent les principales espèces cultivées et consommées. La grande quantité des restes de fruitiers retrouvés, souligne une fructiculture en plein essor de telle sorte que des questions comme celles sur la mise en culture des "petits fruits des bois" ou le statut cultivé ou importé de la figue sont posées. Les indices carpologiques caractéristiques du niveau socio-économique d'un site sont principalement discutés à la lumière des pratiques alimentaires. Enfin, le processus de minéralisation est abordé et son induction par des pratiques d'assainissement au sein des latrines/ fosses dépotoirs est suggérée
Archaeobotanical investigations of Medieval sites in Northern France have provided charred and mineralised plant remains. Despite some taphonomical constraints of the different preservation of these plant assemblages, archaebotanical analysis revealed valuable information on the diet, the agriculture and the horticultural production of the medieval population in Northern France between 10th and 12th century AD. Fruit are very abundant and attest a wide-spread fructiculture. Questions like cultivations of "wild forest fruits" or the imported or cultivated status from the figs are asked. The potential of archaeobotanical indicators of social level is to be discussed from the food practices and the diet. Finally, the mineralization process is approached and its induction by practices of purification within latrines/ pits garbage dump is suggested
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Sintic, Bruno. „Petites villes de Normandie : Pont-Audemer, Harfleur, Louviers, Neufchâtel, villes secondaires de la région de Rouen 1450-1550“. Rouen, 2005. http://www.theses.fr/2005ROUEL500.

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La fin de la guerre de Cent ans marque tournant dans l'histoire des villes normandes. Notre projet était de décrire le sort des villes secondaires à la fin du XVe siècle, à partir de 4 villes qui disposent de sources assez abondantes : Pont-Audemer, Harfleur, Louviers, Neufchâtel. Les comptabilités municipales et seigneuriales révèlent le lien étroit existant entre les petites villes et la royauté. Le redressement de ces agglomérations a été soutenu financièrement par celle-ci. Le pouvoir royal a voulu rétablir les fortifications de villes qui permettent de défendre la province face aux ennemis toujours menaçants. L'amélioration de la sécurité rend possible la reprise des activités économiques et le retour du bien-être matériel des habitants. Les villes redeviennent par conséquent, pour le roi des sources de revenus fiscaux. Les sources permettent aussi de découvrir les institutions présentes dans les petites villes. Celles-ci sont gérées par des assemblées d'habitants, qui désignent un trésorier, le "receveur", et un représentant de la ville, le"procureur des habitants". Les villes accueillent aussi les agents du roi. Ainsi, des relations régulières unissent les villes secondaires à la royauté. Ces documents renseignent sur l'usage que les bourgeois font de l'argent public. Travaux de fortification, remise en état des infrastructures économiques (ponts, moulins, rues, halles), frais de réception absorbent la plus grande partie du budget urbain. Les registres notariés de Louviers et Neufchâtel permettent de mieux connaître les activités économiques et les groupes sociaux. Les petites villes entretenaient des liens étroits avec leurs campagnes : elles achetaient les denrées agricoles et les transformaient en tissus, cuir travaillé, objets de fer, puis les redistribuaient aux paysans. La ville est aussi le lieu où l'on peut emprunter de l'argent. La fonction économique et financière marque ainsi toutes les petites agglomérations. Il en résulte l'existence d'une élite aisée, les bourgeois, qui dirigent les destinées de leur ville. Les comptes et les registres notariés ont contribué à définir ce qu'était une petite ville en Normandie à la fin du Moyen Age
The end of the Hundred War represents a turning point in the history of Norman towns. Our purpose was to describe the situation of the small towns at that time and their evolution until 1550, particulary of four of them that keep rather abundant archives : Pont-Audemer, Harfleur, Louviers, Neufchâtel. Among these archives, the communal accounts reveal the tight relation that existed between small towns and royal power. The French crown supported with its own money their reconstruction. The kings will was to rebuild town walls, that provided defence and protection in the face of always threatening enemies. A better security ensures the recovery of the economic activities and a new welfare for the inhabitants. Therefore, towns become sources of tax income again. The documents inform us about the towns political institutions. A treasurer, th "receveur", and a town representative, the "procureur des habitants" were chosen by assemblies of inhabitants. In these small town there were also royal agents. Then regular relations and daily collaboration joined secondary towns to the French Crown. We can see how the "bourgeois" make use of the town money. Build the town walls, rebuild the economic substructures (bridge, mills, roads, halls), organize official receptions are the most important occasions of spending. By the way, one can estimate the organisation of building sites and the evolution of the town landscape. Notary registers of Louviers and Neufchâtel allow to describe the economic activities and social groups. The small towns kept tight relationships with their rural periphery. The town is also the place where borrow money. All the small towns had economic anf financial functions. Consequently, it appeared a fortunate social class, the "bourgeois", that took control on the town power. These archives contributed to elaborate a definition of the Norman small town in the later Middle Age
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Leblanc, Olivier. „Les seigneurs de Boves : origines et exercice du pouvoir en Picardie, IXe-XIIIe siècles“. Amiens, 2003. http://www.theses.fr/2003AMIE0013.

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Neveux, François. „Villes episcopales de normandie : etudes d'histoire sociale (quatorzieme et quinzieme siecles)“. Caen, 1993. http://www.theses.fr/1993CAEN1111.

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Bayeux et lisieux sont deux anciennes villes romaines devenues villes episcopales au moyen age. Elles ont connu un essor momentane au onzieme ou au douzieme siecle. A partir du treizieme siecle, elles sont devenues de petites villes ecclesiastiques. Bayaux a constitue un etonnant reseau de dix-huit paroisses contre trois a lisieux seulement). Ces deux villes comportent un quartier residentiel, habite par des clercs et des bourgeois, et situe dans l'ancienne cite romaine. Les quartiers populaires sont rejetes a l'exterieur des murs. Aux quatorzieme et quinzieme siecles, la population est reduite a trois ou quatre mille habitants. A lisieux, l'eveque-comte exerce le pouvoir preponderant. A bayeux, l'eveque et le chapitre doivent composer avec l'autorite royale representee par le vicomte. C'est encore plus vrai (comme a lisieux) pendant l'occupation anglaise. Dans la societe laique, le groupe des bourgeois se renouvelle a la fin du moyen age. A lisieux, ou l'on construit une nouvelle enceinte, il reussit a constituer une organisation municipale. Les bourgeois se sont enrichis par l'affermage des impots ou des biens du clerge. Ils aspirent a des carrieres d'officiers royaux ou episcopaux. Ils revent d'acceder a la noblesse. Quelques-une y parviennent et acquierent des fiefs ruraux. L'economie de ces deux villes est peu active. Cependant le monde des metiers lexoviens est plus dynamique : il arrive a se structurer. Bayeux et lisieux exercent leur influencens sur de petites regions (bessin d'un cote, pays d'auge et lieuvin de l'autre) mais leur rayonnement ne depasse pas les quinze kilometres alentour
Bayeux and lisieux are two former roman towns which became episcopal towns in the middle ages. They experienced a momentary growth in the eleventh or in the twelfth century. From the thirteenth century, they became small ecclesiastical towns. Bayeux built up an amazing system of eighteen parishes (compared with only three at lisieux). Both these towns had a residential area, inhabited by clerics and bourgeois, located in the former roman city. The poor areas were excluded outside the walls of the town. In the fourteenth and the fifteenth century, the population was reduced to three or four thousand inhabitants. At lisieux, the count-bishop exercised a dominating power. At bayeux, the bishop and the chapter had to conform with the royal authority, represented by the viscount. This was even more true (like at lisieux) during the english occupation. In the laic society, the bourgeois were revived at the end of the middle ages. At lisieux, where a new enclosure had been built, they managed in establishing a town government organization. The bourgeois grew richer by the farming of the taxes or the clergy's possessions. They aspired to careers as royal or episcopal officiers. They dreamt of reaching the ranks of the noble class. Some succeeded and acquired rural fiefs. The economy of both these towns was rather limited. However, the world of trades at lisieux was more dynamic : it was successfull in establishing structures. Bayeux and lisieux exercised their influence on small regions (such as bessin on one hand, pays d'auge and lieuvin on the other hand) but that one did not stretch beyond a distance of fifteen kilometers of the surrouding area
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Bessey, Valérie. „Les commanderies de l'Hôpital en Picardie (XIVe - début XVIe siècle)“. Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040138.

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Les crises du bas Moyen Age éprouvent durement les économies seigneuriales. L'étude des commanderies de l'Hôpital en Picardie autour des annèes 1350-1500 permet de montrer comment les bouleversements des XIVe et XVe siècles se répercutent sur leurs économies (augmentation des coûts d'exploitation des propriétés, destruction des bâtiments agricoles, forte baisse des revenus du domaine, difficultés pour assumer les charges de la commanderie et pour payer à l'Ordre les contributions destinées au soutien de la guerre en Orient) et transforment en profondeur leurs établissements (recul du faire-valoir direct au profit du fermage, regroupement des commanderies pour former des unités économiques plus fortes et plus homogènes)
The crises ot the late Middle Ages sarely tried the lordly economy. Study of the preceptories of the Hospital in Picardy from 1350 to 1500 reveal how the disruptions of the 14th to 15th centuries had repercussions on his economy (rise in the cost of running properties, destruction of fram buildings, a steep drop in the income of the domain, difficulties in meeting expenses of the preceptory and payment of contributions to the Order destined to support the war in the Orient) and drastically transformed the establishment (decline in direct administration favouring farming, the grouping of preceptories to form stronger, more homogeneous, economical units)
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Peladé-Olivier, Monique. „Les stalles de Normandie, de Picardie et d'Ile-de-France à la fin du Moyen Age“. Paris 10, 2003. http://www.theses.fr/2003PA100174.

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Des stalles en bois de la fin du Moyen Age, qui formaient à l'intérieur des églises un lieu particulier, dédié à la liturgie des heures, il ne subsiste que quelques exemples dispersés, exceptionnellement en très bon état de conservation comme à Amiens. Si l'emplacement de ces sièges varie quelque peu selon les édifices, leur organisation interne reste toujours la même. Les multiples sujets sculptés qui les décorent illustrent les textes sacrés, évoquent les saints tutélaires ou décrivent le monde foisonnant de la création, en des scènes saisies sur le vif ou surgies de l'imaginaire. L'élaboration d'un programme iconographique, fût-il voué à la liturgie, est tributaire d'incidences diverses, dont le facteur humain est la plus importante ; des considérations de prestige ne lui sont pas étrangères. Pourtant, chaque image s'intègre dans un ensemble à l'intérieur des stalles, ensemble qui, à son tour, entre en cohérence avec les multiples images du choeur et du sanctuaire
From the wooden choir stalls of the late Middle Age, which create a special place dedicated to the canonical liturgy inside the churches, only a few scattered examples remain. Some of these, such as those in Amiens, are still in good condition. Although the position of these seats varies slightly from edifice to edifice, the internai organisation is always the saine. The numerous carved subjects that ornament them illustrate the Holy Scriptures, evoke the patron saints or describe the plentiful world of the creation in scenes from daily life or the imaginary world. The working out of an iconographie programme, though dedicated to the liturgy, is subject to various influences of which the human factor is the mort important including consideration of prestige. Each image nevertheless combines with the others to form a coherent whole inside the stalls that then incorporates with the various images located around the choir and the sanctuary
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Levasseur, Aurelle. „Droit de l'urbanisme et domaine de la ville médiévale : XIIIe-XVe siécles“. Paris 2, 2008. http://www.theses.fr/2008PA020056.

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Cette étude analyse le droit de l’urbanisme dans le but de clarifier la notion de domaine communautaire au bas Moyen Age (XIIIe-XVe siècles). Les sources sont constituées des actes de la pratique municipale de plus de deux cents villes françaises, portant sur les infrastructures (fortifications, fontaines, puits, voirie, pavés, égouts). Le domaine communautaire médiéval n’apparaît véritablement qu’à travers la notion d’affectation publique. On constate que la construction des équipements qui assurent la survie matérielle de la ville ou qui permettent de conforter le pouvoir de l’autorité municipale, est généralement prise en charge par la communauté. Ces infrastructures seraient qualifiées aujourd’hui de service public. La construction des autres équipements qui servent exclusivement l’usage public, est le plus souvent assurée par les personnes privées : ils ne sont l’objet que d’un service au public. La distinction est moins doctrinale que financière : si la communauté, dont les ressources sont limitées, ne peut financer le développement des équipements de service au public, elle y contribue par des politiques qui n’engendrent pas de dépenses publiques. L’étude de la gestion de ces mêmes infrastructures montre que la seule affectation véritablement créatrice de droits est l’affectation à l’utilité publique. Celle-ci n’est mesurée ni à l’aune du bien, ni à celui de la politique d’urbanisme générale, mais à celui de la communauté en son ensemble. L’affectation à l’usage public apparaît secondaire. Sa protection n’est pas organisée par des règles propres mais relève du principe général de défense du bien commun.
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Labrecque, Claire. „LA CHAPELLE DU SAINT-ESPRIT DE RUE, PICARDIE. Étude historique, architecturale et iconographique d'un monument de la fin du Moyen Âge“. Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25723/25723_1.pdf.

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Fache, Micheline. „Structure des chevets plats en Picardie du XIIe s. Au XIVe s“. Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040261.

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La recherche a pour objet d'étudier la diffusion et l'importance des églises à chevet plat dans les différents diocèses de Picardie du XIIe au XIVe siècle. L'analyse de l'évolution des différentes structures de chœur et de transept qui ont été conçues avec ce type de chevet, montre qu'à côté de la fidélité aux formes héritées du passé, des structures originales se développent comme les chœurs à bas-côtés, les chœurs en forme de t et les chœurs-halles. L'étude met en évidence l'importance du décor, interne et externe des murs de ces chevets et transepts, qui tend à masquer le mur puis à le remplacer par des surfaces vitrées- l'analyse de l'évolution des fenêtres et de leurs combinaisons montre le processus d'élaboration des fenêtres composées qui orneront les grandes cathédrales dès la fin du XIIe s.
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Béghin-Le, Gourriérec Cécile. „Le rôle économique des femmes dans les villes de la sénéchaussée de Beaucaire à la fin du moyen âge (XIVe-XVe siécle)“. Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0107.

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Hueda-Tanabe, Yuki. „Le fait urbain en Champagne au Moyen Âge : étude de 15 agglomérations en Champagne méridionale“. Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010654.

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L'Europe contemporaine a hérité du maillage urbain secondaire établi entre les Xe et XIIIe siècles. Cependant cette constatation n'a encore jamais été analysée dans le détail. À cette fin 15 agglomérations d'origine gallo-romaine, de fabrique médiévale et des villeneuves du département de l'Aube ont été sélectionnées. À travers l'étude de l'organisation spatiale, de l'évolution et les facteurs à l'origine de l'urbain et des comparaisons entre sites, des tris croisés et une analyse spatiale et morphologique à différentes échelles d'espace, ont permis la compréhension et l'explication du fait urbain dans l'Aube. Cette étude a permis de mettre en évidence trois faits majeurs: les villeneuves étudiées sont restées des bourgs ruraux qui n'ont pas atteint un stade urbain; durant la période gallo-romaine et tout le Moyen Âge, Troyes reste le centre d'un réseau des agglomérations secondaires; il existe une relation société-vallées, les cours d'eau étant l'élément polarisateur de l'habitat.
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El, Mahmoudi Ahmed. „Les villes de la Garonne bordelaise au Moyen âge : Rions, Cadillac,Langon et Saint-Macaire“. Bordeaux 3, 1986. http://www.theses.fr/1986BOR30053.

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Michaud, Claire. „Communautés d'habitants et pouvoir seigneurial au Moyen-Âge : l'exemple de Manosque aux XIIIe et XIVe siècles“. Master's thesis, Université Laval, 1986. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29168.

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Theurot, Jacky. „La société d'une ville comtoise, capitale des ducs Valois : Dôle de 1369 à 1493“. Dijon, 1997. http://www.theses.fr/1997DIJOL005.

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Née d'un château comtal vers l'an 1000, Dôle obtint ses franchises en 1274. Elle suivit alors le sort du comte, cédé par Otton IV au roi Philippe le Bel, pour son fils. Si, comme tout l'occident, la peste et la guerre la meurtrirent, l'accession au comte de Marguerite de France, en 1361, et le mariage de sa nièce avec Philippe le Hardi, en 1369, en réorientèrent le destin. Alors que la province se réorganise Dôle devient le centre de l'importante trésorerie du bailliage d'aval, et le parlement s'y réunit régulièrement dès 1377. Philippe le Hardi et plus encore Philippe le Bon, en firent la capitale de la comté : en 1422 la ville est le centre d'un nouveau bailliage, puis en 1423 le siège de l'université des deux bourgognes. Alors s'y constitue une élite urbaine autour des hommes de loi et des hommes de finance, dont les plus éminents sont issus des familles Vurry, Carondelet, Basan, Chassey, Toubin, et quelques autres. Les chantiers urbains d'initiative princières - halles, boucherie, bâtiment du parlement - révèlent le monde de l'artisanat, tandis que les grands marchands (Fremy, Gyot, Du Champ. . . ), amodiataires des revenus seigneuriaux (tabellionage, prévôté, moulins et fours, péage, boucherie. . . ), acteurs du commerce, constituent avec les hommes de loi un groupe ascendant, acquérant noblesse et seigneuries. Le chapitre de Notre-Dame, fond2 par le prince en 1304, domine la familiarité des prêtres, et anime la seule paroisse de la ville; tandis que le couvent des cordeliers, dans le sillage de Sainte Colette, joue un rôle actif au sein de l'observance. Assiégée et saccagée par les armées de Louis XI en mai 1479, Dôle parvint sous Charles VIII, grâce à son corps de ville aide par Guillaume de Rochefort, à recouvrer sa fonction de capitale. La reconstruction était en bonne voie lors de la conclusion du traite de Senlis, en 1493
Born from the castle of an earl circa 1000, Dôle obtained her liberties in 1274. She had then the fate of the county, granted by Otton IV to Philip the fair for his son. If as well as in the whole western Europe, she suffered from plague and war, both the coming to the county of marguerite of France in 1361, and her niece's wedding to Philip the bold in 1369, altered her fate. As the province got organized, dole became the heart of an important treasury and the parliament convened there on regular sessions from 1377 on. Philip the bold and even more Philip the good, turned it into the main town of the county, in 1422 the town was the center of a new bailiwick, then in 1423 the seat where there was the university of both burgundies. Then an urban elite formed around lawyers and financial men of whom the best known were from the families Vurry, Carondelet, Basan, Chassey, Toubin, and some others. The urban sites issuing from the prince's wille - halls, butchers' hall, parliament house let appear the world of handicraft, whereas the huge merchants (Fremy, Gyot, Du Champ. . . ), tax-farmers of bannal revenues (scrivening, provostship, mills, bake-houses, toll, butcher's hall. . . ), trade's actors, made up together with lawyers a merging group acquiring nobility and seigneuries. The chapter of Notre-Dame, established by the prince in 1304, ruled over the community of priests, and animated the only parish of the town, whereas the Franciscan friars' convent, in the track of St Colette, played a big part in the bosom of observance. Besieged and sacked by louis xi armies, in may 1479, Dôle achieved under Charles VIII, by the action of her town council, supported by Guillaume of Rochefort, the status of a chief town. Her rebuilding was well under way, when the Senlis treaty was signed in 1493
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Louart, Agnès. „Dol-de-Bretagne, un espace politque [sic] fortifié au Moyen-Âge“. Master's thesis, Université Laval, 1999. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28497.

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Durix-Pepke, Hannelore. „Les contacts entre la ville et la campagne aux XIVe et XVe siècles : le marché de Dijon“. Dijon, 1997. http://www.theses.fr/1997DIJOL018.

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La région dijonnaise, servie par une grande richesse d'archives, est un terrain propice à l'étude des relations économiques ville-campagne à la fin du moyen-âge. Les cadres de cette étude peuvent être raisonnablement constitues par le bailliage de Dijon, dans l'espace, et par la période allant de 1315 au milieu du XVème s, dans le temps. La description géographique et administrative du bailliage, de sa population et de ses infrastructures économiques, puis celle de Dijon et de ses environs immédiats fournissent les cadres pour la compréhension des évènements et des phénomènes économiques. La 1ere partie décrit les éléments les plus stables des relations ville-campagne ainsi que leur fonctionnement : l'économie d'échanges primaire, enracinée dans des liens économiques fondes sur l'économie seigneuriale et articulée autour des marches hebdomadaires et, dans une moindre mesure, des foires de Dijon. La 2eme partie est une étude des aspects les plus évolues des échanges ville-campagne - appartenant à un type d'économie capitaliste, tel qu'il se présente à Dijon dès la 1ere moitié du XIVème s, caractérisé par une forte articulation avec l'exportation de la laine, des céréales et du vin et par une grande variété du crédit (baux à cheptel, ventes à terme) - et de la façon dont le système économique régional se désagrégea sous l'effet des "calamites" de l'époque, pour aboutir à une tentative de bilan de ce mouvement négatif qui déboucha sur une crise sociale dans le monde viticole. La 3eme partie essaie de saisir le mouvement inverse : une reconstruction limitée dans ses effets et un renouveau fonde sur la consommation urbaine locale plutôt que sur l'exportation (sauf celle du vin) ainsi que sur une économie devenue plus complexe par la mise en place de la fiscalité ducale. La région dijonnaise, plus dominée que dominatrice vers l'extérieur, fait alors, à certains égards (gestion du temporel de Saint-Bénigne), preuve d'une modernité de pensée remarquable
Thanks to extremely rich archives (from the ducal administration, abbeys and notaries) the Dijon region is an exceptional area to observe urban-rural relationship in the late middle ages. The borders of this study can be reasonably fixed as those of the "bailliage" of Dijon space and within the period from 1315 to the middle of the 15th c. In time. The geographic and administrative description of the bailliage, of its population and economic infrastructures as well as of the city of Dijon and its immediate surroundings give the necessary background to the understanding of events and economic phenomena. The 1st part describes the most stable elements of urban-rural relations : the primary exchange economy, rooted in economic links founded on seigneurial economy and articulated around the weekly markets and - less important - the Dijon fairs. Part 2 is a study of the most developped aspects of economic exchange between town and countryside - belonging to a type of capitalist economy as it is established at Dijon in the ist half of the 14th c. , caracterized by a strong articulation with the exportation of wool, wheat and wine and by a great variety of credit ("baux à cheptel" or lease of livestock; term sales) - and of the way this regional economic system was dismantled by the "calamities" of the period. It finishes with an attempt to establish a balance of this "negative" movement which gave birth to a social crisis in the world of wine growing. Part 3 tries to fetch the opposite movement : a reconstruction with limited effects and a renewam founded on local urban consumption rather than on exportation (except for wine) as well as on an economy which had become more complex by the creation of the ducal tax system. The Dijon region, more dominated than dominating towards the outside world, then appears under certain aspects (e. G. The management of the temporal of St. Benigne's abbey) as capable of a remarkably modern way of thinking
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Simiz, Stefano. „Le rôle des confréries dans la dévotion des villes épiscopales de Champagne (Reims, Châlons, Troyes) : vers 1450 - vers 1830“. Nancy 2, 1999. http://www.theses.fr/1999NAN21039.

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L’étude des confréries de trois villes épiscopales de Champagne sur une longue période allant de 1450 à 1830 permet de mettre en valeur l'évolution de la dévotion en même temps que celle de son cadre topographique. Trois parties se dégagent avec des coupures chronologiques précises. Le premier temps (1450-1520) rend compte du développement pris par les confréries de métier et d'intercession, dans des villes d'importance économique et religieuse différentes. C’est à Troyes que l'ampleur et la précocité du phénomène sont les plus significatifs. Pourtant, les crises religieuses du XVIe siècle remettent en question la place des confréries traditionnelles, tout en favorisant l'émergence des confréries de dévotion, notamment celles du Saint Sacrement et du Saint Nom de Jésus, utiles remparts contre la Réformation, mais aussi cadre choisi par les dévots et le clergé du XVIIe siècle pour aider à l'application de la Réforme catholique en ville. La confrérie reprend alors sa place dans la cité, mais le dynamisme a quitté Troyes pour les deux villes de Champagne du Nord où elle atteint les proportions les plus massives de son histoire (1530-1750). Confrontées au phénomène général de transition religieuse qui s'opère au XVIIIe siècle, à la crise des Ordres Religieux qui en furent d'ardents promoteurs, à la législation contre les corporations et à des problèmes économiques, des confréries s'éteignent ou connaissent des problèmes d'effectifs, mais il n'y a pas de déperdition générale quand le décret de suppression est appliqué en 1792. Le mouvement de renouveau qui se manifeste après 1801 et surtout sous la Restauration, dans des villes qui sont partiellement déchristianisées, prouve le poids des permanences de la confrérie comme forme majeure de la dévotion des chrétiens, tout en soulignant sa plasticité et ses adaptations permanentes jusqu'en 1830, date d'un nouveau choc.
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Blary, François. „Château-Thierry : des comtes de Vermandois aux ducs de Bouillon : contribution à l'étude des phénomènes urbains“. Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010536.

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Château- Thierry constitue un bel exemple de petite ville d'accession médiévale aux marches de la Champagne. Si des analyses géographiques et historiques ont été consacrées aux petites villes, rares sont celles d'archéologues exploitant systématiquement les données des archives du sol en recherchant parallèlement les bâtis encore en élévation de tous ses composants. Le contexte archéologique favorable de cette ville participe clairement à cette dynamique d'acquisition et de renouvellement des sources pour la topographie historique et l'étude des structures du tissu urbain. Ainsi comprises, les archives du sol, méthodiquement explorées et exploitées deviennent un matériau neuf nourrissant la réflexion et la problématique de l'étude historique urbaine. L'étude porte principalement sur la période comprise entre le VIIIe siècle, début de la constitution du comté de Vermandois et le XVIe siècle, où la ville affirme son statut urbain en devenant chef - lieu de duché pairie. L'émergence de cette agglomération est intimement liée à la création d'un château dominant la rivière de Marne. L'archéologie et les sources écrites signalent la constitution précoce d'une turris dès la première moitié du Xe siècle dans le castrum, probablement en relation avec la volonté d'établir une principauté territoriale herbertienne. Seules les archives du sol témoignent des origines plus anciennes de ce site aux V"Me siècles. Il s'agit d'un castra antique ou d'une résidence aristocratique du haut Moyen Age. L'évolution de la fortification du château du XIIe au XVe siècle et de quelques éléments significatifs de la résidence aristocratique comme les cuisines monumentales et leur approvisionnement en eau, des XIV" et XV" siècles révélés par les fouilles, le bâti conservé et les comptes de construction, montrent la magnificence et le rayonnement du Prince. . . /. . .
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Teyssot, Josiane. „Riom, capitale et bonne ville d'Auvergne : 1212-1557“. Tours, 1994. http://www.theses.fr/1994TOUR2012.

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Riom devient capitale partielle de l'Auvergne après la conquête du comté par Philippe Auguste en 1212. Cela développe la ville car elle abrite le siège de l'administration capétienne. L’apanage d'Alphonse de Poitiers, de 1241 à 1271, est essentiel : le frère de Saint Louis organise cette administration, il accorde une charte de franchises aux habitants en 1270, il lotit des quartiers neufs, et il reconstruit le château et l'enceinte urbaine. Le deuxième apanage, celui de Jean de Berry, de 1360 à 1416, constitue un deuxième temps fort, mais de crise, avec les pestes, la guerre de Cent Ans, l'appauvrissement et le dépeuplement. Les états provinciaux avec les bonnes villes, dont Riom, essaient d'atténuer ces calamités. Trois villes, à la fois rivales et complémentaires, dominent et forment la trilogie des "capitales" : Clermont, Montferrand, Riom. La société riomoise évolue du négoce vers judicature, ce que reflète l'évolution des institutions communales au XVe siècle. Les ducs Anne et Pierre de Beaujeu accompagnent ensuite le renouveau à la fin du XVe siècle. Mais en 1557, Catherine de Médicis choisit Clermont comme seule capitale : c'est la fin de l'âge d'or riomois
Riom partially became the capital of the Auvergne after the conquest of the county by king Philip Augustus in 1212. The town expanded as it was the seat of the capetian administration. Alphonse de Poitiers's "apanage", 1241-1271, proved to be essential. The brother of king saint louis organized this administration, the inhabitants were chartered liberties in 1270, news districts were parcelled out, and he had the castle and the urban enclosure rebuilt. The second "apanage", that of Jean de Berry, from 1360 to 1416, brought a second climax, but in time of crisis, due to the successive plagues, the hundred years war, the impoverishment and depopulation. Provincial states and such "bonnes villes" as Riom, tried to alleviate those calamities. Three rival yet complementary towns ruled over the area and formed the capitals's trilogy: Clermont, Montferrand, Riom. The Riom society developed from trade to judicature, which was reflected in the evolution of the communal institutions in the fifteenth century. Then the dukes Anne and Pierre de Beaujeu contributed to the revival of the late XVth century
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Delas, Raphaële. „Aimé et Louis Duthoit, derniers imagiers du Moyen âge : un atelier de création et de restauration de sculpture médiévale à Amiens au XIXe siècle (1820-1870)“. Amiens, 2007. http://www.theses.fr/2007AMIE0013.

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Petrowiste, Judicaël. „Naissance et essor d’un espace d’échanges au Moyen Âge : le réseau des bourgs marchands du Midi toulousain (XIe-milieu du XIVe siècle)“. Toulouse 2, 2007. http://www.theses.fr/2007TOU20042.

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Entre le début du XIe et le milieu du XIVe siècle, l'ensemble de l'Occident se couvrit, à un rythme rapide, d'un semis parfois assez dense de petites bourgades marchandes dont l'empreinte demeure forte sur les paysages actuels. En raison de la large diffusion de ces dernières sur l'espace régional, dont les fameuses bastides constituent aujourd'hui encore la marque tangible, et de la relative richesse de ses fonds documentaires, le Midi toulousain fournit à l'historien un terrain privilégié pour l'analyse des origines du phénomène, de ses modalités et de sa place dans la conjoncture d'expansion qui caractérisait alors le monde latin. Elle montre que c'est au cours du XIe siècle, et en liaison étroite avec les conditions de l'avènement du système seigneurial, qu'apparut le bourg au sens où Fernand Braudel l'entendait, se définissant par ses fonctions d'encadrement, tout particulièrement commerciales, à l'égard d'un arrière-pays rural subordonné. Grâce à la concentration des hommes et de leurs activités dans de prospères petites cellules économiques étroitement assujetties aux prérogatives banales, ces agglomérations permirent en effet aux nouveaux potentes de canaliser à leur profit le dynamisme contemporain des échanges. Pour la même raison, l'affirmation des pouvoirs princiers passa dès la seconde moitié du XIIe siècle par le déploiement de vastes politiques territoriales largement fondées sur la multiplication des bourgs, qui en vertu d'une évolution entamée dès la fondation de Montauban en 1144 développèrent toujours plus la spécificité commerciale qui faisait leur succès. Car la floraison de ces petits centres tout au long de la période dans l'ensemble du pays et la vigueur de leurs affaires rendent également compte d'un renforcement constant de la pratique marchande des populations, notamment rurales, sur lequel purent s'appuyer les projets domaniaux. La construction d'une économie régionale de relations, favorisée par l'essor des activités manufacturières et commerciales des bourgs et leur implication croissante dans des circuits supralocaux de distribution, multipliait pour la paysannerie des environs les opportunités d'une valorisation marchande de ses productions. Elle faisait ainsi de l'expansion des marchés locaux un régulateur essentiel des équilibres économiques ruraux, qui finit même par s'affirmer comme une des clés de la pérennité de la croissance dès lors que la généralisation des cultures spéculatives devint un des principaux palliatifs des conséquences du surpeuplement des campagnes induit par le plafonnement des possibilités d'extension des terroirs. De quoi conduire à un véritable apogée du dispositif marchand régional dès le dernier tiers du XIIIe siècle, lorsque l'on constate le fonctionnement d'un réseau dense et hiérarchisé de villes, bourgs et villages aux fonctions commerciales complémentaires, structuré par un écheveau complexe d'interrelations mercantiles. Ce remarquable espace d'échanges, dont l'organisation transparaît de l'instauration de cycles de foires et marchés promue et encadrée par les autorités, manifeste alors combien, en vertu même de ses fondements agraires, l'économie médiévale était alors devenue une économie des marchés
Between the beginning of the XIth and the middle of the XIVth century, all of the West was covered by a network of small market towns that have left a lasting imprint on present day landscapes. Because of the important diffusion of these towns in its regional space in which bastides still constitute a physical mark, and because of the relative richness of its documentary sources, the Midi toulousain region furnishes the historian with a privileged framework for analizing the origins of this phenomenon, its forms and its place in the context of economic expansion that characterized the Latin world of the time. The thesis shows that it was in the course of the XIth century, in close relationship with the advent of the seigneurial system, that the bourg appeared in the sense defined by Fernand Braudel, with its controlling functions, and especially the commercial ones, over the nearby countryside. Thanks to the concentration of the population and of their activities in prosperous small economic units closely subjected to feudal prerogatives, these towns allowed the new potentes to channel contemporary commercial dynamism to their advantage. For the same reason, the reaffirmation of princely authorities was made possible in the second half of the XIIth century by the deploying of vast territorial policies that were based on the multiplication of market towns which, in virtue of changes begun with the founding of Montauban in 1144, continuously developed the commercial specificity that made their success. The flowering of these small centers during the entire period and in all of the territory under study, the vigor of their trade, all point to a constant reinforcement of the commercial practices of rural inhabitants and furthered domanial projects. The construction of a regional exchange economy that was helped by the rise of manufacturing and commercial activities in bourgs and their growing role in extralocal exchange networks all contributed to the multiplication of opportunities for local peasantry to sale its productions. The expansion of local markets was thus an important regulator of rural economic equilibrium, that came to be affirmed as one of the keys to the perennity of growth. This was all the more true when the generalization of commercial production became one of the ways to remedy the consequences of the population growth in the countryside induced by the limits on the possibilities of extending agricultural land. One thus observes a real summit of a regional commercial network in the last third of the XIIIth century. Then, one can see a dense and hierarchical network of cities, bourgs and villages with complementary commercial functions, that is structured by a complex web of mercantile interrelationships. This remarkable commercial space, whose organization can be seen through the cycles of fairs and markets that emerge, that were promoted and managed by authorities, is the proof that the medieval economy, by the very virtue of its agrarian base, had then become an economy of markets
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Gil, Marc. „Du Maître du Mansel au Maître de Rambures, le milieu des peintres et des enlumineurs de Picardie, ca. 1400-1480“. Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040202.

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Notre étude s'inscrit dans le cadre de la peinture picarde à l'époque bourguignonne dont l'enluminure est l'une des activités. Nous nous sommes situé dans la perspective d'une redécouverte des enlumineurs de Picardie et au-delà des peintres, avec une mise en lumière des relations artistiques, professionnelles et économiques qui ont pu s'établir entre eux. Nous avons emprunté deux voies de recherches. La première, par un dépouillement systématique des archives communales et départementales et par une relecture des sources publiées, a permis de cerner le contexte historique, commercial et artistique des grandes villes du nord de la France. Cela a permis la publication pour Amiens, Arras, Cambrai, Douai, Hesdin, Lille et Saint-Omer d'un répertoire de plus de 300 noms de peintres, verriers, enlumineurs et artisans du livre. La seconde voie fut la constitution d'un corpus de 63 manuscrits concernant directement le livre enluminé en Picardie entre 1440 et 1480. Son étude a fait apparaitre deux générations d'enlumineurs : la première, encore influencée par l'art parisien du maitre de Boucicaut, tout en étant largement ouverte à l'art Flémallien et à celui de Jacques Daret, comprend le maitre du Mansel et son atelier, le maitre de Créquy et le maitre de Therouanne. Il semblerait que le maitre du Mansel a sejourné chez Daret. Par ailleurs, il pourrait être l'auteur du retable de la vie de Joseph de l'église d'Hoogstraten (Belgique), la seconde génération, contemporaine de Simon Marmion, est tournée plus spécifiquement vers la peinture locale picarde de la seconde moitié du XVe siècle, mais subit la forte influence des modèles de Rogier van der Weyden. Elle comprend le second maitre des grandes chroniques de France, la triade formée par le maitre des éthiques d’Aristote, Loyset Liedet et le maitre de l'évangéliaire de saint-Vulfran ; enfin le maitre de Rambures qui a sans doute séjourné en Flandre à la fin de la décennie soixante et reste actif jusque vers les années 1480.
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Borderie, Quentin. „L'espace urbain entre Antiquité et Moyen Age : analyse géoarchéologique des terres noires : études de cas“. Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010689.

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Les terres noires sont des sédiments urbains épais et sombres, situés entre les stratifications antiques et médiévales des anciennes agglomérations. Leur étude est un enjeu pour comprendre les sociétés du premier Moyen Âge et leurs pratiques des espaces urbains. L'interprétation de ces niveaux nécessite la mise en place d'études fines, recourant notamment à la géoarchéologie. . En se fondant sur un inventaire des observations de terres noires, dans cinq régions du nord de la France (Haute-Normandie, Picardie, Ile-de-France, Champagne-Ardenne et Lorraine), 20 stratifications de terres noires, réparties à Beauvais, Metz et Noyon, ont fait l'objet d'une approche géoarchéologique. L'important potentiel d'information contenu dans les terres noires a pu être démontré. La complexité de leur organisation a pu être soulignée, grâce à l'analyse stratigraphique et celle de leur structuration latente. La caractérisation physico-chimique de 89 unités stratigraphiques ainsi que l'analyse micromorphologique de 79 lames minces a permis d'identifier les processus à l'origine de la formation des terres noires et, au-delà, de proposer des activités et des pratiques socio-spatiales urbaines qui ont pu les créer. La diversité des apports à l'origine des terres noires a pu être mise en évidence. Ce sont souvent de petits dépôts rythmés et hétérogènes, pouvant correspondre à des rejets d'activités multiples, domestiques ou artisanales, ou parfois à des aménagements d'espaces intérieurs ou extérieurs. Cette recherche apporte donc des informations substantielles à l'étude des espaces urbains entre Antiquité et Moyen Âge et propose une approche et des pistes de travail pour en analyser la complexité.
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Bachelier, Julien. „Villes et villages de Haute-Bretagne : les réseaux de peuplement (XIe‐XIIIe siècles)“. Thesis, Rennes 2, 2013. http://www.theses.fr/2013REN20027.

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L’Ouest français, en général, et la Bretagne, en particulier, sont réputés pour la grande dispersion de l’habitat (fermes isolées et hameaux) et la modestie de leurs agglomérations (bourgs, villages, villes). Notre recherche s’est donnée comme objectifs de comprendre l’essor, le développement et la hiérarchisation du peuplement en Haute-Bretagne au cours des XI e–XIII e siècles. Pour se faire, nous avons emprunté des modèles et des théories à la géographie (réseaux, lieux centraux et centralité), adaptés à la période étudiée, et appliqués à l’ensemble du peuplement. En effet, afin de dépasser les clivages entre l’histoire urbaine et l’histoire rurale, peu pertinents pour la Haute-Bretagne, notamment au XIe siècle, le parti a été pris d’envisager l’ensemble du peuplement, depuis la cité jusqu’à l’habitat isolé, puis d’analyser les rapports établis entre tous les lieux de peuplement afin de dresser une hiérarchie des centres et comprendre de quelle manière se sont établis les réseaux de peuplement. Dans la mesure du possible, à partir des sources textuelles et archéologiques et d’analyses morphologiques, nous avons tenté d’établir les dynamiques permettant à certaines localités d’émerger et nous avons essayé de les replacer dans leur contexte socio-économique. Souvent décrits comme la période de la naissance du second réseau urbain, les XIe–XIII e siècles se révèlent bien plus complexes quand on intègrel’ensemble du peuplement. À toutes les échelles (comté, diocèse, seigneuries, paroisses) les centres se fixent et des réseaux s’élaborent progressivement. Le maillage aux alentours de 1300 a rompu par rapport à celui de l’an mil, mais a maintenu par la suite une très forte stabilité
Western France, and particularly Brittany, are reputed for the great dispersion of their inhabitations (such as isolated farms and hamlets) and the modesty of their agglomerations (market towns, villages and towns). Our research aims to improve the understanding of the expansion, development and hierarchical organization of the latter in Upper-Brittany during 11th–13th centuries. For this purpose, we have taken some geographical models and theories (networks, central places and centrality), put them in perspective to the studied period, and applied them to the entire inhabitation system. In order to surpass the division between urban and rural history - not very relevant for Upper-Brittany, especially in the 11th century - we have biased our study so as to comprise settlements of all sorts, cities as well as isolated homes, thus allowing us to analyze the connections between them all. Following this, we have established a hierarchy of the centres, enabling us to understand how all the settlements interacted. As far as possible - relying on textual and archaeological sources as well asmorphological analysis - we have tried to assess the dynamics which allowed certain localities to emerge, before putting them back into their socio-economic context. Often described as the period in which the second citynetwork was born, the 11th-13th centuries proved to be more complex once all settlements were taken into account. On all levels (county, diocese, manors, parishes), centres were embedded and networks gradually emanated. Circa 1300 the networking broke in comparison with that of the year one thousand, however it maintained a very strong stability thereafter
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Bordes, François. „Formes et enjeux d'une mémoire urbaine au bas Moyen Age : le premier "Livre des Histoires" de Toulouse (1295-1532)“. Toulouse 2, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU20105.

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Conçu à l'origine comme un "livre-officier" enregistrant le procès-verbal annuel des élections consulaires, le Livre des Histoires s'enrichit au XVe siècle de notations et de récits historiques ainsi que de scènes enluminées. Il est malheureusement victime en 1793 de la vindicte révolutionnaire qui le détruit en presque totalité. La première partie de la thèse permet de préciser les principales étapes de l'évolution du recueil, d'en identifier les acteurs et d'en détailler le contenu. Dans une deuxième partie, on propose une reconstitution critique du recueil, assortie d'un index des capitouls et officiers cités. Dans un trosième temps enfin, le Livre des Histoires est mis en perspective avec l'ensemble de la production historique européenne de l'époque, puis avec les autres outils du dispositif mémoriel de la chancellerie toulousaine. L'étude fine de son contenu le fait apparaître clairement comme un recueil uniquement destiné à la "famille" des capitouls. Une dernière analyse portant sur la sociologie du chapitre capitulaire de la ville permet de mieux cerner ce document unique et atypique dans l'Europe médiévale : livre de commémoration des "gestes" des capitouls, il est aussi un outil d'intégration pour les nouveaux magistrats
The "livre des histoires" was originally intended to be an official record of the annual elections of the city's consuls, though from the 15th century on it includes notes and accounts of historical events as well as being embellished with illuminations. Unfortunately it was almost completely destroyed as the result of revolutionary fervour in 1793. The first part of this thesis lists the principal stages of the work's development, identifies the contributors and details the contents. The second part attempts to reconstitute the collection, with an index of the capitouls and officers named therein. In the third part and final part, the "livre des histoires" is considered in the context first of the entire corpus of European historic literacy dating from the period, then of the other exhibits of written records preserved by the municipal chancery in Toulouse. A close study of the contents clearly shows that it was intended as a record of and for the capitouls alone. The thesis closes with a sociological analysis of the "caste" from which the city's capitouls were drawn, demonstrating how unique and original this document was for mediaeval Europe : both a record of the actions taben by past capitouls and a manual for new recruits to the office
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Lacroix, Camille. „La defense collective en Toulousain à la fin du Moyen âge (vers 1350 - vers 1550)“. Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20075/document.

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Le processus de mise en défense du bas Moyen Âge pose la question de l’évolution des communautés d’habitants du Toulousain. La compréhension des dynamiques de la défense nécessite une approche pluridisciplinaire fondée sur l’analyse des sources écrites, planimétriques, figurées et archéologiques. La richesse de la documentation met en lumière les rapports sociaux et l’organisation d’un groupe face au danger. Le phénomène des forts villageois a servi de support à une réflexion plus large sur les types et les formes de dispositifs défensifs. Une démarche comparative sur les structures interroge ainsi les modèles de fortifications et leur évolution. Au-delà de la dimension humaine et communautaire de la mise en défense, l’étude multi-scalaire éclaire les relations entre communauté et autorité seigneuriale, le rapport au territoire et l’interaction entre Toulouse et ses campagnes, mais aussi les réseaux de solidarité dans la protection d’un espace partagé
The defence process in the late Middle Ages raises the question of evolution of communities inhabitanting in Toulouse area. Understanding the defensive dynamics requires a multidisciplinary approach based on the analysis of written, planimetric, iconographic and archaeological sources. The documentation’s precious contents highlight the social relationship and the organization of a group facing danger. The “forts villageois” phenomenon served a larger reflection about types and forms of defensive measures. A comparative approach on the structures questions fortifications models and their evolution. Beyond the human and community scope the multi-scale study points out the relationships between community and lord, the relation to the territory and the interaction between Toulouse and the surrounding villages, as well as the solidarity networks in a shared space protection
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Foltran, Julien. „Les monastères et l'espace urbain et périurbain médiéval en Pays d'Aude : Lagrasse, Alet et Caunes“. Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20132/document.

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À travers les exemples de Lagrasse, Alet-les-Bains et Caunes-Minervois, cette thèse propose de déterminer les mécanismes et le rôle des acteurs du développement des bourgs monastiques du VIIIe au milieu du XVIe siècle en pays d’Aude. Les modalités du peuplement des sites sont appréhendées, ainsi que les relations entre la communauté des religieux et celle des habitants. La construction de l’espace urbain de ces villes moyennes du Moyen Âge est un des thèmes principaux, abordé à travers l’inventaire des maisons, l’analyse des plans anciens et les sources écrites médiévales et modernes. L’espace périurbain est envisagé comme un secteur permettant aux deux communautés d’assurer une partie de leur approvisionnement et, en ce sens, comme un espace qu’elles devaient se partager et qui devenait essentiel dans les relations qu’elles entretenaient
Through the examples of Lagrasse, Alet-les-Bains and Caunes-Minervois, this thesis intends to determine the mechanisms and the stakeholders’ role in the development of monastic towns in the Aude department from the 8th century to the mid-16th century. The modes of settlement on these sites are examined, as well as the relations between the religious community and the inhabitants. The construction of urban space in these medium-sized medieval towns is one of the main topics addressed through the inventory of houses, the analysis of historic plans and of medieval or modern written sources. The peri-urban space is regarded as an area allowing both communities to secure a part of their supplies and, in this sense, as a space they had to share and that was essential to the relations between them
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Chaleat, Franck. „"Devant la porte du priore, dessoubz le chastel dudict lieu" : la question des bourgs dits "castraux" et "monastiques" : oekoumène, synoecisme et sens des lieux durant le "long moyen Age" dans les agglomérations péricastrales et périmonastiques du Charolais-Brionnais (Bourgogne du Sud)“. Thesis, Lyon, 2016. http://www.theses.fr/2016LYSE2183.

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« Bourg castral » et « bourg monastique » sont deux concepts phares de l’histoire des villes françaises, qui visent à modéliser l’apparition, autour de l’an Mil, de localités nouvelles autour des lieux de pouvoir seigneuriaux que sont les châteaux ou les monastères. Dans l’historiographie, ce regroupement inédit des populations est expliqué par le pouvoir exercé sur les hommes, mais aussi par la protection ou les privilèges que peuvent apporter les maîtres de la terre. Socialement, ceci s’intègre dans la dynamique plus globale de l'encellulement, soit un processus de polarisation des aires de dépendances sociales au profit delieux emblématiques comme l’église paroissiale ou le complexe seigneurial. La thèse présentée s'est attachée à explorer de manière comparative les modalités spatiales de genèse et de développement de quatre bourgs castraux ou monastiques de Bourgogne du Sud, afin de pouvoir comprendre sur le temps long la constitution spatiale et sociale de l’habitat groupé autour des réduits seigneuriaux, tout en testant la valeur explicative des modèles historiques du bourg castral ou monastique. Le choix du cadre géographique s'est porté sur l'espace homogène que forment les pays charolais et brionnais, entre Loire et Saône, soit une zone à forte dominante rurale, dépourvue de ville centrale, est constituée d'un chapelet de petites villes majoritairement dotées d'un monastère ou d'un château médiévaux.En accord avec les récentes évolutions historiographiques (nuances apportées au modèle de l’incastellamento, remise en cause de la naissance du village et de la rupture de l’an Mil), mais aussi les renouvellements méthodologiques (critique de la hiérarchie des divers types de sources dans l’écriture de l’histoire des lieux de peuplement, place de la lecture morphologique des plans), l’approche choisie a été celle d’une analyse prioritairement spatiale des agglomérations, qui met au centre de la réflexion l’espace matériel appréhendable, et convoque ensuite toutes les sources pouvant fournir des renseignements strictementspatiaux. La seconde dimension retenue est celle de la lecture régressive, notamment par le biais d’une analyse de morphologie historique de tous les plans anciens : le but est de déconstruire l'évolution spatiale des agglomérations en remontant le plus loin possible dans le temps. Les résultats montrent en premier lieu une diversité de schéma d’évolution des agglomérations, loin du modèle auréolaire souvent mis en avant pour figurer l’attraction du pôle seigneurial ; on note aussi une évolution et une plasticité continues des plans des localités, par la succession de phases de lotissements, quelquefois très loin de la configuration montrée par le plan cadastral napoléonien. La place du pôle seigneurial, importante socialement, n’est pas forcément déterminante spatialement : lorsque, dans la moitié des cas, on peut supposer une structuration déjà forte du territoire à l’époque carolingienne, cetteorganisation restera une grille extrêmement présente dans les développements ultérieurs, qui explique par bien des côtés les implantations et les délimitations de la fin du Moyen Âge ; lorsqu’il y a prise en main autoritaire et nouvelle d’un lieu par le pouvoir seigneurial, on note au contraire une organisation planifiée qui impose une structuration propice à une polarisation sociale profonde. Quoi qu’il en soit, l’espace seigneurial doit compter avec deux réseaux qui le précèdent et qu’il modèle en partie : le réseau paroissial qui paraît rester très stable jusqu’à la fin du Moyen Âge, et le réseau routier, dont les carrefours dictent en large part les premiers regroupements
The concepts of bourg castral and bourg monastique are two of the most important concepts of french urban history, aiming to modelize the genesis of new settlements around the feudal seats of power such as castles or monasteries near the beginning of the 11th century. Historiographically, this unprecedented grouping movement was justified by the power exercised over the people but also by the protection and privileges provided by the lords. In the social aspect, this is included in the general dynamics of encellulement (R. Fossier), which is a polarization process of social dependancy areas in favour of emblematic places like the parish church or the seigniorial buildings. The present thesis aims to comparatively explore the spatial modesof genesis and evolution of four « bourgs » in South Burgundy, in order to understand the long-term spatial and social constitution of agglomerations around seigniorial structures, and also to test the heuristic value of historical models of bourgs castraux or bourgs monastiques. The geographic area chosen for this study is the homogenic space of Charolais-Brionnais, between the Loire and the Saône rivers, a mostly rural area. With no central town, this territory is characterized by several small towns often combined with a medieval castle or a monastery.In accordance with recent historiographic evolutions (such as the re-evaluation of the incastellamento model, the reconsideration of the village genesis, and the rethinking of the 11 th century interruption) and methodological renewals (re-examining the hierarchization of historic sources regarding settlement history, the new place of morphologic analysis of plans), we first chose to focus on a spatial analysis of agglomerations, in which the material space is the central point of the study. The analysis thenproceeds to examine other sources which can provide strictly spatial data. Secondly, we chose a regressive reading of space, by means of historic morphological study of ancient town plans : the goal is to deconstruct the spatial evolution of towns by looking as far as possible back into the past.First of all, the results show a variety of urban evolution patterns downgrading the ring model (usually summoned to explain the attraction of seigniorial centers). Also, successive housing estate operations demonstrate a continuous evolution and plasticity of town plans, which in consequence are sometimes very different from the configuration shown by the napoleonic cadastre. While the seigniorial center is socially important, its spatial role is not always decisive : in half of the cases, the carolingian strong territorial structure has remained as a determining grid for later developments, which accounts for many implantationsand demarcations at the end of the Middle Ages. In other cases, a planned structure can be set up when the territorry is authoritatively supervised by a new seigniorial power. These planned structures foster deep social polarization. In any case, the feudal space must deal with two former networks : the parish network, which is very stable up to the end of the Middle Ages, and the road network, which favours settlement at crossroads
« Bourg castral » und « bourg monastique » sind zwei wichtige Konzepte der französischen Geschichte der Städte, sie zielen darauf, das Erscheinen von neuen Siedlungen um die Orte der herrschaftlichen Macht, befestigte Schlösser und Kloster zu modellieren, und dies etwa zu Beginn des 11. Jahrhunderts. In der Historiographie lässt sich diese völlig neue Zusammenführung der Bevölkerung durch die auf das Volk ausgeübte Macht erklären, aber auch durch den Schutz oder durch die Privilegien, die ihm die Machtträger gewährten. Sozial gesehen integriert sich diese Zusammenführung in die gesamte Dynamik des« encellulement », es geht um einen Prozess der Polarisierung der Orte sozialer Abhängigkeit zugunsten emblematischer Orte, herrschaftlicher Sitze oder Pfarrkirchen. Diese Doktorarbeit zielt darauf ab, in vegleichender Form die räumlichen Modalitäten der Entstehung und Entwicklung von vier Ortschaften (« bourgs ») des südlichen Burgunds zu erforschen, damit wir die räumliche und soziale Entstehung des verdichteten Aufbaus der Dörfer um die Altstadt auf eine lange Zeit verstehen können. Wir werden auch den Erklärungswert der historischen Modelle « bourg castral » oder « bourg monastique » prüfen. Als geographischer Rahmen haben wir den vom Charolais und Brionnais homogen gebildeten Raum gewählt, ein ländlich geprägtes Gebiet zwischen Saône und Loire. Ohne zentrale Stadt besteht das Gebiet aus einer Kette kleiner Städte, die oft über ein Kloster oder ein befestigtes Schloss verfügen.Im Einklang mit den jüngsten historiographischen Entwicklungen (das Modell des incastellamento wird nuanciert, die Ortschaftsgründung und die Zäsur des Jahres 1000 werden in Frage gestellt) aber auch mit den methodologischen Innovationen (Kritik an der Hierarchie zwischen den verschiedenen Quellen in der Geschichtsschreibung der Bevölkerungsorte, Platz und Rolle des morphologischen Lesens der Pläne). Wir haben eine vor allem räumliche Analyse der Siedlungen gewählt. Im Zentrum der Studie steht das konkrete, materielle Gebiet, dann werden alle Quellen gesammelt, die Informationen ausschliesslich über den Raum liefern können. Dann haben wir uns für die Rückschreibung entschieden, insbesondere durch eine Analyse der historischen Morphologie der alten Pläne. Das Ziel ist die räumliche Entwicklung der Siedlungen zu zerlegen, indem wir so weit wie möglich in die Vergangenheit zurückgehen.Das Ergebnis zeigt in erster Linie eine Vielfalt der Schemen der Entwicklungen der Siedlungen, weit weg vom ringförmigen Modell, das oft erwähnt wird um die Anziehungskraft des herrschaftlichen Zentrums darzustellen. Es ist auch zu bemerken, dass es eine ständige Entwicklung und Veränderung der Sadtpläne gibt, wegen der Aufeinanderfolge der Parzellierung (als Locatio), sehr oft weit weg von der Darstellung des napoleonischen Katasters. Die sehr wichtige Rolle des herrschaftlichen Zentrums ist aber in sozialer Hinsicht, räumlich nicht immer entscheidend. In der Hälfte der Fälle kann man vermuten, dass es eine stärkere Strukturierung des Gebiets schon zur karolingischer Zeit gab, diese Organisation wird ein vorhandenes Rasterzur späteren Entwicklungen bleiben und kann in gewisser Weise die Ansiedlungen und Abgrenzungen am Ende des Mittelalters erklären. Im Gegenteil, wenn eine herrschaftliche Macht ein Gebiet autoritär beherrschen will, ist es anzumerken, dass eine geplante Organisation entsteht, die zu einer Strukturierung führt, die günstig für eine tiefe soziale Polarisierung ist. Auf alle Fälle muss der herrschaftliche Raum mit zwei Netzwerken rechnen, die ihm vorausgehen und die er teilweise gestaltet : das Netzwerk der Pfarrgemeinden, das bis zum Ende des Mittelalters stabil zu sein scheint und das Strassennetz, dessen Kreuzungen die ersten Bevölkerungsversammlungen bestimmen
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Haquette, Bertrand. „L'Aire des La Viesville. Bailliage et lignage en Artois à la fin du Moyen Âge“. Thesis, Lille 3, 2013. http://www.theses.fr/2013LIL30031.

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Le pays d'Aire est un espace prospère à la frontière des comtés de Saint-Pol, de Flandre et d'Artois. Cette région rurale et céréalière est arrosée par la Lys, rivière permettant le commerce avec les grandes villes de Flandre. L'ensemble forme l'assise territoriale d'un bailliage artésien dont le siège est placé à Aire-sur-la-Lys, petite ville vivant dans l'ombre de sa puissante voisine Saint-Omer et de la cité de Thérouanne. Cet espace intermédiaire entre Ypres et Hesdin, Lille et Saint-Omer, possède toutefois d'incontestables atouts économiques et une identité originale. Aire, farouchement artésienne mais fortement influencée par la Flandre, fut toujours à la recherche d'un protecteur à la fin du Moyen Age. Ce rôle fut confié tantôt au prévôt de la collégiale tantôt au bailli. Un lignage noble originaire d'Enguinegatte entreprend de mettre la main sur la région, d'abord en menant une subtile politique matrimoniale puis en monopolisant la charge de bailli. Cet office, cumulé à la charge de chambellan local, leur permet de constituer un solide réseau local dans lequel sont impliqués l'échevinage, les chanoines mais aussi le cousinage et les bâtards du lignage. Les Viesville sont alors les véritables maîtres d'Aire et profitent de la reconversion économique de la région après les grandes pestes. La famille parvient à surmonter les coups durs reçus dans le premier quart du XVe siècle mais son influence est finalement balayée par la guerre menée en Artois par Louis XI après la mort de Charles le Téméraire. Véritable "cygne noir", cet avatar dans la lente construction de l'Etat coûte à cette famille tout ce qu'il lui avait apporté dans un premier temps
The country of Aire is a prosperous area on the border of the counties of Saint-Pol, Flanders and Artois. This rural and cereal area is watered by the Lys river which allows trade with the big cities of Flanders. It forms the territorial basis of an Artesian bailiwick which headquarter is located in Aire-sur-la-Lys, a town living in the shade of the powerful neighbourhood of Saint-Omer and Thérouanne. This intermediate space between Ypres and Hesdin, Lille and Saint-Omer, has however indisputable economic advantages and its own identity. Aire, fiercely from Artois but strongly influenced by Flanders, was at the end of the Middle Ages always in search of a protector. This role was sometimes entrusted to the provost of the collegiate church, sometimes to the bailiff. A noble lineage native of Enguinegatte began to get hold on the region, at first by leading a subtle marital politic then by monopolizing the bailiff’s office. This status, added to the one of the chamberlain of the duke of Burgundy, allowed them to establish a robust local network in which were implied local elites, canons but also cousins and illegitimate children of the lineage. The La Viesville were then the real masters of Aire and took advantage of the economic reconversion of the region after the Great Plague. The family succeeded in overcoming the shocks received in the first quarter of the XVth century but its influence was finally annihilated by the war led in Artois by Louis XI after the death of Charles the Bold. Real " black swan ", this step in the slow construction of the State cost to this family all that it had brought before
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Mukai, Shinya. „Sérignan et Vendres, deux villages biterrois face à la guerre dans la seconde moitié du XIVe siècle : étude du gouvernement villageois au bas Moyen âge“. Thesis, Toulouse 2, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU20084.

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Dans le Bas-Languedoc de la seconde moitié du XIVe siècle, avec l’aggravation de la guerre franco-anglaise, l’insécurité devient permanente à cause de l’incursion des armées anglo-gasconnes et du pillage des routiers, et augmentent les exigences royales liées à l’état de guerre : fortification, mobilisation et taxation. Quel impact la guerre a-t-elle sur le village ? Comment les villageois répondent-ils à ce nouvel environnement caractérisé par l’insécurité montante et par la pression accrue de la fiscalité royale ? La guerre ne suscite-t-elle pas une profonde transformation de la société villageoise ? Notre thèse a pour objectif d’éclaircir le fonctionnement et le changement du gouvernement villageois face à la guerre dans la seconde moitié du XIVe siècle. Nous avons choisi comme les objets centraux de notre recherche deux villages : Sérignan et Vendres. Ceux-ci se trouvent à proximité de Béziers, dans le Biterrois, au centre du Bas-Languedoc. Avant tout, ces deux villages conservent les comptes consulaires les plus volumineux du Biterrois de la seconde moitié du XIVe siècle, qui contiennent de riches renseignements sur la société, en général, et des individus, en particulier. En vue d’étudier le village en guerre, se posent quatre pistes de recherche : 1. Actions défensives de la communauté villageoise ; 2. Emprise de la guerre sur les finances villageoises ; 3. Politique et administration au sein du village ; 4. Relations extérieures de la communauté villageoise. Les valeurs du gouvernement villageois dans le Biterrois de la seconde moitié du XIVe siècle peuvent être résumées en trois mots : liberté, équité, généralité. C’est-à-dire la liberté politique contre les pouvoirs extérieurs, l’équité fiscale au sein de la communauté, le consensus général entre les habitants
In Bas-Languedoc of the latter half of the XIVth century, with the aggravation of the French-English war, the insecurity becomes normalized because of the incursion of the Anglo-Gascon army and of the pillage of the campaigners, and the royal demands ― fortification, mobilization and taxation ― increase in relation with the state of war. What impact does the war make on the village? How do the villagers respond to this new and unprecedented environment characterized by the mounting insecurity and the huge pressure of the royal taxation? Doesn’t the war spark off a profound transformation of the village society? The objective of our thesis is to shed light on the functioning and the reorganizing of village government in face of the war during the latter half of the XIVth century. We have chosen as the central objects of our research two villages: Sérignan and Vendres. These are situated near Béziers, in Biterrois, in the middle of Bas-Languedoc. Above all, these two villages conserve the consular account books, which are the most voluminous in Biterrois of the latter half of the XIVth century and contain rich and significant information about the society and individual villagers. In order to study the villages in wartime, we take four courses of research: 1. defensive actions of the village community; 2. influence of the war on the village finance; 3. politics and administration inside the village; 4. external relations of the village community. The values of village government in Biterrois of the latter half of the XIVth century can be summarized in three words: liberty, equity, and ‘‘generality’’. That is to say, the political liberty against external powers, the fiscal equity inside the community, and the general consensus among inhabitants
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Bulté, Cécile. „Images dans la ville. Décors monumentaux et identités urbaines en France à la fin du Moyen Age“. Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040172.

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Lys de la royauté ou croix de l’Église, l’espace des villes médiévales se caractérise par les marques qu’y ont apposées les institutionsmédiévales. À la fin du Moyen Âge, les nouvelles élites urbaines s’approprient ce marquage de l’espace public par l’image en yimposant leurs propres signes. Elles affirment alors leur présence sur la scène publique et artistique. Aux XIVe et XVe siècles, ledécor civil se fait l’expression tangible de cette transformation sociale ; des signes emblématiques et de petites sculptures figuréesinvestissent l’espace urbain. L’institution municipale fait édifier un bâtiment emblématique, l’hôtel de ville, dont le portail armoriéfait écho aux emblèmes qu’elle fait placer dans les lieux stratégiques. Les particuliers, à leur tour, transposent à leurs habitations cesmodes de représentation monumentale. Officiers ou marchands, ces hommes nouveaux couvrent leurs résidences de blasons, figuresreligieuses ou emblématiques. Les ensembles décoratifs, en les rattachant à un métier, une institution ou une paroisse, disent laposition sociale et les valeurs morales que revendiquent les commanditaires bourgeois. Ceux-ci, par la présentation de leurs insignespersonnels, de leur devise ou de leur nom, mettent en scène leur identité, introduisant dans l’espace public urbain des fragments desubjectivité. Des petites figures singulières et radicales se déploient : corps nus et exposés, scènes grotesques et allégoriques, quifigurent la déchéance possible pour valoriser le statut. Structurés et hiérarchisés, ces décors forment un système relationnel danslequel l’ascension répond à l’exclusion, signes d’un ordre social en transformation
Whether royal lily or Christian cross, the space of medieval towns is characterized by the marks placed on it by medieval institutions.At the end of the Middle-Ages, the new urban elites make the process of marking the city their own by imposing their own signs onthe public space. Thus, they assert their presence on the public and artistic scene. In the 14th and 15th century, civilian decorationbecomes the tangible expression of this social transformation ; emblems and small sculptural figures conquer the urban space. Anemblematic edifice, the town hall, is erected by the municipal institution, whose emblazoned portal echo other emblems placed atstrategic locations. Private citizens, in turn, transplant into their homes these monumental modes of representation. Officers ormerchants – these men of a new kind – cover their residences with coats of arms, religious or emblematic figures. By linking them toa profession, an institution or a parish, these decorative programs state the social standing and moral values that those affluentcommissioners claim for themselves. By presenting their personal insignia, their motto or their name, they put their identity on stage,thereby introducing fragments of subjectivity in the public and urban space. Some singular and radical small figures begin toproliferate: exposed, naked bodies, grotesque and allegorical scenes that foreshadow one’s possible downfall in order to exalt one’scurrent status. Structured and hierarchically organized, these decors form a relational system in which social promotion dialogueswith exclusion : telltale signs of a social order in transformation
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Gaëtan, Loïc. „Les agglomérations antiques du Val de Saône : émergence et mutations d’un réseau urbain de la fin de l’âge du Fer au début du Moyen Âge“. Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2019. http://www.theses.fr/2019UBFCC007/document.

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Cette thèse vise l’étude des processus d’émergence, de structuration et de mutation d’un réseau urbain antique depuis la fin de la Protohistoire jusqu’au Moyen Âge dans une micro-région située aux confins des territoires antiques éduens, lingons et séquanes, le Val de Saône. Celle-ci se caractérise par une armature dense d’agglomérations gallo-romaines possédant une somme et une qualité de données inégalée en Gaule, fruit de recherches anciennes et récentes. Alors que ces agglomérations ont été parmi les premières étudiées au cours des années 1980, leur exploitation s’est limitée à l’étude des hiérarchies et des fonctions urbaines durant le Haut-Empire, délaissant la chronologie et l’évolution du système urbain.Le corpus de sites a fait l’objet d’une démarche d’homogénéisation et de cartographie des données grâce à des outils spécialement développés. Pour répondre aux questions d’organisation spatiale et de chronologie, de nouvelles acquisitions d’informations ont été réalisées. Ces données, rassemblées dans des notices et synthétisées à travers une série de descripteurs, permettent de réfléchir sur une meilleure définition de la caractérisation des agglomérations et sur l’étude de leur parcours chronologique.C’est à partir de la typo-chronologie des agglomérations que les dynamiques spatiales, morphologiques et temporelles sont mises en évidence à l’échelle du Val de Saône, puis comparées avec les données du Centre-Est de la Gaule. L’analyse in-terne des agglomérations permet d’appréhender la place et le rôle des composantes principales des occupations comme les parures monumentales, les types d’habitat ou l’artisanat. L’enquête montre l’importance et la variété des agglomérations dans le système de peuplement du Val de Saône depuis la fin de la période laténienne. L’organisation des ré-seaux antiques, issue d’un héritage protohistorique très marqué, et les dynamiques urbaines indiquent des récurrences et des spécificités à chacune des cités.Cette thèse constitue ainsi une synthèse inédite sur l’émergence, le développement et le devenir de ce réseau urbain remarquable, dont la structure est encore nettement discernable aujourd’hui
The aim of this thesis is to study the processes of emergence, structuring and mutation of an ancient urban network from the end of the Protohistory to the beginning of the Middle Ages in a micro-region located on the edge of the ancient éduens, lingons and séquanes territories, the Saône Valley. This area is characterized by a density of Gallo-Roman small towns with an amount and a high quality of data unequalled in Gaul, as a result of ancient and recent research. While these small towns were among the first studied in the 1980’s, their exploitation was limited to the study of hierarchies and urban functions during the High Empire, neglecting the chronology and the evolution of the urban system.The site corpus has been homogenized and mapped using new tools that were specially developed for that. To meet the expectations of spatial organization and chronology, new information has been gathered. These data, collected in notes and synthesised through a set of archaeological descriptors, allow us to reflect on a better definition of the small towns characterization and on the study of their evolution paths.It is from the typo-chronology of the towns that spatial, morphological and temporal dynamics are highlighted on the scale of the Saône Valley, then are compared to the Central-East of Gaul’s data. The internal analysis of towns makes it possible to understand the place and role of the main components of occupancies such as monumental adornments, habitat types or handicraft. The research shows the importance and the variety of the urban area towns in the settlement system of Saône Valley from the end of the Latenian period. The organization of ancient networks, resulting from a very marked protohistorical heritage, and the urban dynamics indicate recurrences and specificities to each of the cities.This thesis makes an unprecedented synthesis on the emergence, development and future of this remarkable urban network, whose structure is still distinctly discernible nowadays
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Xandry, Catherine. „Organisation d'un territoire aux abords de la ville : le cas de Metz, Strasbourg et Reims du milieu du Moyen Age au début de l'époque moderne“. Thesis, Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAG015/document.

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L’idée d’une thèse s’intéressant aux environs proches, au périurbain d’une ville vient d’une constatation : la plupart des études réalisées sur le phénomène urbain au Moyen Âge, que ce soient des monographies de villes, des études archéologiques…, traitent principalement de l’espace, de la topographie intra-muros. Ce travail a donc pour but d’étudier une ville dans un ensemble plus large, en examinant ce qui se trouve dans les environs proches de l’enceinte et en laissant de côté, pour une fois, l’intérieur des remparts. Dans cette optique, il étudie la composition, l’organisation géographique, et l’évolution topographique du périurbain de la ville durant une période allant de la fin du Moyen Âge à l’époque moderne. Il s’agit de se poser la question des rapports entre la ville et son périurbain, en voyant comment elle l’utilise et en quoi il lui est nécessaire. Afin de contourner l’écueil de la monographie, trop facilement susceptible de traiter d’un cas « exception », cette recherche met en comparaison trois villes de même nature, Reims, Metz et Strasbourg, toutes trois villes épiscopales, d’origine romaine et de plus de 10.000 habitants au cours de la période étudiée
The idea of a PhD on the close vicinity, the ‘periurban’ area of a city, stems from an observation: most of the studies done on the urban phenomenon in the Middle Ages, whether cities monographs or archeological studies, focus mainly on the intramural space and topography. To the contrary, the current work aims to study a city in a broader whole, through the review of the close vicinity of the precinct, and ignoring, for once, which is inside the walls. In this regard, it studies the composition, the geographical organization and the topographic evolution of the ‘periurban’ area of the city, during a period from the end of the Middle Ages to the modern era. Its questioning focuses on the relationship between the city and its ‘periurban’, how it uses it, and how it needs it. In order to prevent the too common risk for monographs of addressing an ‘exception’, this research draws a comparison between three cities, Reims, Metz and Strasbourg, similar in that they all are Episcopal cities, of roman origin and counting more than 10.000 inhabitants during the period studied
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Vuillemin, Adrien. „Enceintes urbaines en moyenne Alsace (1200-1850)“. Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAG003.

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Cette étude porte sur les systèmes défensifs d'une quarantaine de villes petites et moyennes, édifiés en Alsace centrale entre les XIIIe et XVe siècles, jusqu'à leur déclassement ou démantèlement définitif au XIXe siècle. Les ressources sollicitées sont de natures diverses : prospections des vestiges conservés, sondages archéologiques, documentation iconographique (plans, gravures, photographies anciennes), archives médiévales et modernes. Parmi ces dernières, une grande enquête sur l’état de conservation des enceintes des petites villes, bourgs et villages d’Alsace, initiée par le directeur des fortifications d’Alsace en 1779, livre un tableau exhaustif des systèmes fortifiés avant leur abandon. Les questions abordées portent sur les matériaux de construction, les diverses composantes de la défense (portes, murs, fossés, remparts...), les données topographiques et la chronologie des aménagements. Les enseignements majeurs, dans un domaine où seules les enceintes des grandes villes ont jusqu'à présent attiré l'attention, sont la diversité des réponses apportées au besoin de défense mais également des chronologies et types de structures qui n'ont rien à envier à ces grandes villes. Tout au moins jusqu'au XVIe siècle ; car sauf exception, ces villes petites et moyennes n'ont en effet pas pu prendre le virage du bastionnement des fortifications. Elles ont en revanche assez bien entretenu les structures héritées du Moyen Âge pour encore pouvoir être considérées comme des points d’appui dans la défense de la région par l'administration royale peu avant la Révolution
This study deals with the defensive systems of three dozen small and middle-sized towns of central Alsace, from their building between the 13th and 15th Centuries, to their definitive dismantling during the 19th Century. Various resources were exploited : examination of existing remains, archaeological surveys, visual sources (maps, prints, old photographs), Middle Age and Modern period archives. The latter source included a major condition report on Alsace’s small cities, towns and villages, initiated by the province’s head of fortifications in 1779, which offers a complete overview of fortification systems before they were abandoned.The study addresses the questions of the construction materials used, the variety of defensive elements (doors, walls, moats, ramparts, etc.), topographical data and a chronology of their construction.The major teachings, in a field so far focused on large cities’ walls, are the broad range of solutions to the protective needs and the diversity of their chronology and layout models that are just as interesting as those of larger cities. This is noted until the 16th Century, when, with few exceptions, these small and middle-sized towns were not able toupgrade their defense to the level of bulwarks. Well maintained though, they were still seen as a major defensive support for the region by the royal administration, soon before the French revolution
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Bizri, Melinda. „Construction et pratique sociale de l'espace fortifié en Velay (XIIIe - XVe siècles)“. Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2017. http://www.theses.fr/2017CLFAL025/document.

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Les espaces fortifiés médiévaux du Velay (diocèse médiéval du Puy-en-Velay), sont analysés dans leur constitution et leur utilisation. L’enquête concerne un corpus de sites castraux, bourgs fortifiés, maisons fortes, prieurés et églises fortifiées de 145 communes situées en majorité dans le département de la Haute-Loire (France- Auvergne). Les changements que ces espaces fortifiés opèrent sur la période XIIIe-XVe s. sont mis en avant : morphologie spatiale et choix d’occupation des espaces, évolution de l’habitat individuel seigneurial et des enceintes en contexte rural et urbain. L’ensemble est documenté par des textes qui indique la nature des relations entre les différents groupes sociaux, acteurs de la construction du territoire fortifié : relations entre les seigneurs et l’évêque du Puy ou le roi, relations entre les seigneurs et les communautés urbaines ou rurales, émergence de nouveaux groupes sociaux (la petite noblesse). L’accent est mis sur l’articulation de ces espaces et le rapport social et symbolique que chacun des groupes sociaux entretient avec la fortification. Les intentions de dominations et les résistances de chacun des groupes sociaux sont ainsi mis en évidence par l’analyse du parcellaire, des édifices et de la forme de la fortification
The fortified medieval areas of the Velay (medieval diocese of Puy-en-Velay) are analysed in their constitution and their use. The survey concerns a corpus of castle sites, fortified towns, fortified houses, priories and fortified churches in 145 communes, mostly in the department of Haute-Loire (France-Auvergne). The changes that these fortified spaces operate during the 13th-15th centuries are highlighted: spatial morphology and choices of occupancy of these areas, evolution of individual seigneurial habitats and enclosures in rural and urban context. The nature of the relations between the different social groups building this fortified territory is mainly documented by texts : relationships between the lords and the bishop of Le Puy or the king, relationships between the lords and the urban or rural communities, emergence of new social groups (the small gentry). The purpose focuses on the articulation of these areas and the social and symbolic relationships that each of the social groups has with fortifications. Thus, the intentions of domination and the resistance of each of the medieval social groups are revealed by analysing the plots, the buildings and the form of the fortification
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Lefèvre, Benjamin. „La fabrique urbaine d'Angers du 3e au 13e siècle“. Phd thesis, Université François Rabelais - Tours, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00551376.

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L'objectif de ce travail est de déterminer les processus à l'œuvre dans le développement d'Angers sur une période s'étendant de l'édification de l'enceinte de la Cité au tournant des 3e – 4e s. jusqu'à l'édification d'une nouvelle enceinte au milieu du 13e s. Trois approches ont été retenues. La première est une analyse de certains aspects de la topographie historique : morphologie parcellaire, réseaux viaires, quartiers à dominante ecclésiastique et funéraire. À partir de la documentation historique, matérielle comme écrite, la deuxième approche s'intéresse aux territoires en tant que tels : civitas, urbs, suburbium, burgus et parrochia. Tous se rapportent à tout ou partie de la ville, fractions de l'espace urbain autonomisées par certains groupes sociaux en fonction de besoins propres. La dernière approche traite des relations mettant en jeu les acteurs et leurs territoires à travers la manière dont ceux-ci appréhendent et mobilisent leur espace, considérant que leurs actions traduisent leurs représentations spatiales. Un chapitre conclusif de modélisation chrono-chorématique mobilise l'ensemble des informations traitées et des conclusions avancées et met en évidence les structures sous-jacentes de l'agglomération.
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