Zeitschriftenartikel zum Thema „Traduction – Histoire – Chine“

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Mengzhi, Fang. „Sci-Tech Translation and its Research in China“. Meta 44, Nr. 1 (02.10.2002): 185–97. http://dx.doi.org/10.7202/002718ar.

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Résumé Cet article décrit avec précision la longue histoire de la traduction scientifique et technique en Chine, de l'Antiquité à nos jours. Il en présente et en discute la classification et les formes. Ces 20 dernières années, on a pu assister à un nouveau développement de la traduction scientifique et technique en Chine. S'appuyant sur les principes et les méthodes de la stylistique et de la linguistique moderne, ainsi que d'autres disciplines, l'auteur présente une étude sur la recherche en traduction scientifique et technique pendant cette dernière période.
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Chen, Huiting. „Los filtros culturales y las estrategias del traductor: Estudio de la traducción china de Del Sentimiento Trágico de la Vida basado en la Teoría de Variación“. Hikma 21, Nr. 2 (23.12.2022): 125–46. http://dx.doi.org/10.21071/hikma.v21i2.14082.

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Las variaciones en la traducción son resultado de las medidas que ha adoptado el traductor, las cuales, revelan la historia, el medio sociopolítico y la propia cultura del país receptor. (Álvarez y Vidal, 1996, p. 5) Con este trabajo se pretende revisar las versiones chinas de Del Sentimiento Trágico de la Vida basado en el mecanismo de los filtros culturales de la Teoría de Variación. Tras la introducción y el fundamento teórico, se organiza el análisis a tres niveles: el contexto social, la traducción lingüística y la cultura tradicional, con el objetivo de indagar qué variaciones ha sufrido la traducción china de Del Sentimiento Trágico de la Vida, las posibles razones, así como las estrategias del traductor. Palabras clave: Teoría de Variación, Filtro cultural, Del Sentimiento Trágico de la Vida, Traducción español-chino, Estudio transcultural
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3

Schultze, Marie-Laure. „Le Chien de faïence“. Voix Plurielles 8, Nr. 2 (26.11.2011): 190–92. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v8i2.367.

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Marie-Laure Schultze est enseignante-chercheure depuis une vingtaine d'années. Elle a travaillé en Angleterre, au Canada et surtout en France, où elle est actuellement en poste à Aix-Marseille Université. Elle y a ouvert avec une collègue des ateliers (exceptionnellement rares dans les universités françaises) de traduction créatrice et d’écriture plurilingue ; ces ateliers sont destinés à leurs étudiants apprenant l’anglais et consolidant le français. En parallèle, et dans les interstices laissés par sa recherche sur la place de l’écriture créatrice dans l’apprentissage des langues et sa famille (un compagnon et trois enfants constituent le noyau de la drupe), elle écrit et publie bon an mal an cahin caha ses textes (de la fiction courte, du théâtre, deux romans en chantier, des histoires pour enfants...) sur son blog http://carnetdetextes.wordpress.com/
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Milburn, Olivia. „The Book of the Young Master of Accountancy: An Ancient Chinese Economics Text“. Journal of the Economic and Social History of the Orient 50, Nr. 1 (2007): 19–40. http://dx.doi.org/10.1163/156852007780324002.

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AbstractIn ancient China, economic theory developed from the Warring States period onwards. Many philosophers included economic ideas in their works. A number of important theories were first articulated in an extremely obscure text, the Jinizi, a book was associated with the preunification state of Yue. The Jinizi is the earliest known text to include the concept of economic cycles, and it stresses the role of investment and savings in economic development, and price stabilisation. These ideas subsequently formed the cornerstone of ancient Chinese economic theory. This paper includes the first translation of the Jinizi into English. En Chine ancienne, la théorie économique se développa à partir de la période des Royaumes Combattants. Plusieurs philosophes inclurent des concepts économiques dans leurs travaux. Un nombre de théories importantes furent articulées dans un texte extrêmement obscure, le Jinizi, un livre associé avec l'état de Yue avant l'unification de la Chine. Le Jinizi est le premier texte à avoir inclu le concept des cycles économiques, et il appuie le rôle de l'investissement et de l'épargne dans le développement économique, et de la stabilisation des prix. Ces idées formèrent par la suite le point clé de la théorie économique en Chine ancienne. Cet article comprend la première traduction du Jinizi en Anglais.
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Dos Santos, Francisca. „“Lengua e identidad": La traducción literaria y el compromiso ético del traductor“. Mutatis Mutandis. Revista Latinoamericana de Traducción 6, Nr. 1 (29.04.2013): 4–21. http://dx.doi.org/10.17533/udea.mut.15173.

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Descansa en las manos y en la mente del traductor la responsabilidad y autonomía de un trabajo milenario que ha atravesado generaciones, y ha dejado como herencia el conocimiento de diferentes pueblos y la reconstrucción de sus culturas a lo largo de nuestra historia. Reconstrucción hecha con base en valores morales e ideológicos pertenecientes a la formación y la visión de mundo de los traductores. El objetivo de nuestro artículo es esbozar una reflexión teórica en torno a la lengua y la identidad del traductor, manifestada en los trabajos de traducción literaria, donde hemos podido diagnosticar una interferencia mayor por parte del traductor-escritor, en su afán por lograr las equivalencias lingüísticas. La experiencia traductora, y principalmente estética, que utilizaremos para tal reflexión parte del análisis de algunos fragmentos de la obra Esau y Jacó, del escritor brasilero Machado de Asis, traducida en 2006 al español de Chile. En el análisis de las unidades nos deparamos con algunos problemas de la traducción, y según nuestra lectura, estos conforman importante material de reflexión lingüística y cultural. Finalmente concluimos con un debate en torno a la ética del traductor literario, y su complejo compromiso en la construcción de la cultura.
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Kang, Mathilde. „La migration des œuvres françaises en Asie“. French Cultural Studies 29, Nr. 1 (12.01.2018): 49–58. http://dx.doi.org/10.1177/0957155817738676.

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Le présent article propose d’examiner la problématique de la migration des œuvres de la littérature française vers le continent d’Asie. Il tentera d’établir l’origine de cette migration, le parcours migratoire des œuvres ainsi que les conditions de leur accueil dans les pays asiatiques notamment en Chine et au Japon. Parmi les nombreux aspects reliés au transfert des œuvres vers leurs nouveaux lectorats, le rôle de vecteur que joue la traduction sera analysé. Sera aussi mis en relief le rôle de tremplin et d’intermédiaire du Japon dans l’accomplissement du transfert des œuvres françaises. Enfin Madame Chrysanthème tout comme La Dame aux camélias sera étudiée sous l’angle de leur rencontre avec la littérature locale.
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Arrous, Michel. „Qian Kong, La traduction et la réception de Stendhal en Chine 1922-2013“. Studi Francesi, Nr. 190 (LXIV | I) (01.04.2020): 187–88. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.22806.

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Hille, Marie-Paule. „Traduction commentée des sentences parallèles (duilian) de Ma Qixi (1857-1914), fondateur du Xidaotang“. Journal of Sufi Studies 10, Nr. 1-2 (14.12.2021): 174–96. http://dx.doi.org/10.1163/22105956-12341330.

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Résumé Cet article propose d’explorer les procédés par lesquels une pensée soufie s’est diffusée dans les lieux de culte et de vie communautaire des musulmans chinois dans le nord-ouest de la Chine pendant la première moitié du XXe siècle. La traduction et l’étude des seize sentences parallèles (duilian) écrites entre 1908 et 1914 par le saint fondateur du Xidaotang, Ma Qixi (1857-1914), montrent que l’usage d’une terminologie puisée dans les registres de la pensée morale et des religions chinoises (néo-confucianisme, bouddhisme, taoïsme) et la maîtrise de procédés textuels chinois, tels que le parallélisme et la correspondance, ont été des ressorts efficaces pour répandre les préceptes islamiques, les règles de conduite morale en société et les principes d’une spiritualité soufie. Ces sentences parallèles, exposées dans les lieux fréquentés par les croyants, rappelaient les règles de vie en communauté et guidaient les fidèles sur le chemin de la Voie. Bien que le message religieux soit exprimé dans la matrice d’une pensée chinoise, tant terminologique que textuelle, sa signification n’en reste pas moins islamique pour ceux qui le reçoivent et l’interprètent. L’examen approfondi de ce corpus de sentences parallèles révèle qu’elles véhiculent des catégories de l’action qui incitent à l’accomplissement des actes méritoires ; leur originalité réside probablement dans le fait qu’elles rappellent à tout moment, dans les espaces communs, la figure de l’exemplarité et le principe de l’unicité divine.
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Hongtu, Li. „Traduction et réception du concept de bien-être en Chine : étude autour de l’œuvre de John Stuart Mill“. Tocqueville Review 42, Nr. 1 (01.06.2021): 17–32. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.42.1.17.

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En 1859, le penseur anglais John Stuart Mill publie De la liberté. En faisant de l’individualité un élément essentiel du bien-être humain, il se distingue alors d’un autre grand philosophe politique du XIXᵉ siècle, Alexis de Tocqueville. En 1903, lorsque deux penseurs chinois, Ma Junwu et Yan Fu, entreprennent de traduire l’ouvrage de Mill, de nouvelles compréhensions de la notion de bien-être ( well-being) naissent de leur interprétation et aboutissent à une scission du concept en Chine. 幸福 (x ingfu) et 福祉 ( fuzhi) portent des connotations et des orientations différentes de la notion de bien-être. Ainsi, l’examen de ces déplacements conceptuels, en particulier dans le contexte chinois, constitue un sujet digne d’intérêt pour la recherche à un double titre : il nous permet non seulement de mieux comprendre les définitions possibles du bonheur, mais aussi les différents moyens de l’atteindre.
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Xingzhi, Wan. „Cambio de Identidad y Relación Reflejado en Un Caso Especial de Retrotraducción: Del Mo Xia Zhuan al Historia del Caballero Encantado“. Sinología hispánica. China Studies Review 16, Nr. 1 (15.02.2024): 125–46. http://dx.doi.org/10.18002/sin.v16i1.7682.

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Mo Xia Zhuan (1922/1933) es la primera traducción china de la novela clásica española Don Quijote de la Mancha (1603/1988). Fue traducida por Lin Shu (1852-1924), un traductor monolingüe, en colaboración con Cheng Jialin, utilizando como texto intermedio la traducción inglesa de P. A. Motteux (1663-1718). Por tanto, durante el proceso de traducción, se produjeron muchos cambios en contraste con el texto original. En el año 2021, Alicia Relinque (1960- ) ha traducido esta versión de vuelta al español para representar los encuentros culturales que hay detrás del texto, así como para ver qué elementos culturales se “activaron” y cuáles se “oscurecieron”. A modo de estudio piloto, este estudio tiene como objetivo analizar un caso particular de retrotraducción, centrándose en los cambios de identidad y las relaciones de los personajes para averiguar qué alteraciones se han producido y sus posibles razones durante el proceso de traducción, lo que puede llevar a caracterizar el fenómeno de la retrotraducción y dotar de mayor complejidad la naturaleza de la traducción en general.
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Yu, Sicong. „La conciencia de género en la práctica traductora: un análisis comparativo de dos traducciones de ‘‘Amor en una colina desnuda’’.“ Revista Internacional de Culturas y Literaturas, Nr. 27 (2024): 123–39. http://dx.doi.org/10.12795/ricl2024.i27.07.

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Amor en una colina desnuda es una novela escrita por Anyi Wang, escritora contemporánea de origen chino que publicó esta obra en 1988 como parte de la trilogía de “Los tres amores”. En ella se aborda la historia de amor entre dos personajes que se desarrolla fuera del matrimonio, invitando a reflexionar sobre la relación amorosa intersexual y el destino de la mujer. Dado que la perspectiva de género es una temática relevante en la obra, resulta importante analizar el proceso de traducción al castellano y al inglés para identificar el grado de intervención de la conciencia de género en el mismo y los posibles efectos en los lectores. Cabe destacar que la versión en inglés fue realizada por una traductora e investigadora del estudio feminista, mientras que el traductor de la versión en castellano no cuenta con este perfil. Este aspecto es importante tenerlo en cuenta, ya que podría tener implicaciones en el enfoque y la sensibilidad de la traducción en relación a la temática de género presente en la novela.
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Gaune, Rafael. „El jesuita como traductor. Organización, circulación y dinámicas de la compañía de Jesús en Santiago de Chile, 1593-1598“. Historia Crítica, Nr. 50 (Mai 2013): 13–35. http://dx.doi.org/10.7440/histcrit50.2013.01.

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Wu, Tianchu. „Qian KONG. La Traduction et la réception de Stendhal en Chine 1922-2013 . Paris, Honoré Champion, série « Route de la soie », 2019, 356 p.“ Romantisme 194, Nr. 4 (07.12.2021): V. http://dx.doi.org/10.3917/rom.194.0136e.

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Le Baillif, Anne-Marie. „Paris, « un lieu centre de tous les centres ». Est-ce toujours d’actualité ?“ Interlitteraria 25, Nr. 2 (31.12.2020): 435–42. http://dx.doi.org/10.12697/il.2020.25.2.14.

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Paris, “The Centre of All Centres”. Is It Still the Case? In La République Mondiale des Lettres published in 1999 and 2008, Ms. Casanova wrote: “Paris is the Greenwich meridian for literature” for the 19th and 20th centuries. Writers and artists have come to the city in the past because it was extremely attractive for creative and economic reasons. But at the beginning of the 21st century, with the rise of the New Media for writing, publishing and diffusing, is it correct to say that Paris is still supreme? Is location more important than the time devoted to writing and reading? The claims on which Ms. Casanova builds her assertions are not supported by the facts of recent history and geography. She refers to “La belle santé économique et la liberté” in Paris but she forgot to mention why artists came from central Europe. It was just because the life was cheaper in Paris than in Berlin, as Walter Benjamin observed in 1926. She notes that Paris was the world centre for high fashion and that writers came together there to be inspired by the place and each other. But these things are no longer true: Paris is one of the most unaffordable cities in the world. Fashion in clothes is determined in many centres, with fashion weeks held in New York, Milan and China; aesthetics no longer depend on a single country. Literary creativity has spread across many continents and the internet and social media provide access to millions of people around the globe. Globalisation has unified the world, note Jean-Philippe Toussaint and Sylvain Tesson, and brought the standardization of cultures. There is also the matter of the dominant language today. The French language has not changed since Ms. Casanova was doing her research, but French writers now dream of being translated into English to reach the largest audience around the world. Publishers also favour English to make the most profit because literature and art are now worldwide commodities. Writers and researchers use the Internet, which connects them with documents, libraries and people all over the world. Newspapers such as Le Monde and Le Figaro in France provide literary reviews from around the world; for example, Histoire de la Traduction Littéraire en Europe Médiane, compiled by Antoine Chalvin, Marie Vrinat-Nikolov, Jean-Léon Muller and Katre Talviste, was written up in Cahiers Littéraires du Monde. What about the readership? If publishing and merchandizing are accelerating and globalizing because of how the Internet changes time and distance, the writer still has to follow the rhythm of the subject.
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Le Baillif, Anne-Marie. „Paris, « un lieu centre de tous les centres ». Est-ce toujours d’actualité ?“ Interlitteraria 25, Nr. 2 (31.12.2020): 435–42. http://dx.doi.org/10.12697/il.2020.25.2.14.

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Paris, “The Centre of All Centres”. Is It Still the Case? In La République Mondiale des Lettres published in 1999 and 2008, Ms. Casanova wrote: “Paris is the Greenwich meridian for literature” for the 19th and 20th centuries. Writers and artists have come to the city in the past because it was extremely attractive for creative and economic reasons. But at the beginning of the 21st century, with the rise of the New Media for writing, publishing and diffusing, is it correct to say that Paris is still supreme? Is location more important than the time devoted to writing and reading? The claims on which Ms. Casanova builds her assertions are not supported by the facts of recent history and geography. She refers to “La belle santé économique et la liberté” in Paris but she forgot to mention why artists came from central Europe. It was just because the life was cheaper in Paris than in Berlin, as Walter Benjamin observed in 1926. She notes that Paris was the world centre for high fashion and that writers came together there to be inspired by the place and each other. But these things are no longer true: Paris is one of the most unaffordable cities in the world. Fashion in clothes is determined in many centres, with fashion weeks held in New York, Milan and China; aesthetics no longer depend on a single country. Literary creativity has spread across many continents and the internet and social media provide access to millions of people around the globe. Globalisation has unified the world, note Jean-Philippe Toussaint and Sylvain Tesson, and brought the standardization of cultures. There is also the matter of the dominant language today. The French language has not changed since Ms. Casanova was doing her research, but French writers now dream of being translated into English to reach the largest audience around the world. Publishers also favour English to make the most profit because literature and art are now worldwide commodities. Writers and researchers use the Internet, which connects them with documents, libraries and people all over the world. Newspapers such as Le Monde and Le Figaro in France provide literary reviews from around the world; for example, Histoire de la Traduction Littéraire en Europe Médiane, compiled by Antoine Chalvin, Marie Vrinat-Nikolov, Jean-Léon Muller and Katre Talviste, was written up in Cahiers Littéraires du Monde. What about the readership? If publishing and merchandizing are accelerating and globalizing because of how the Internet changes time and distance, the writer still has to follow the rhythm of the subject.
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Ortega Arjonilla, Dr Emilio. „Algunas consideraciones teóricas sobre la enseñanza-aprendizaje de la traducción e interpretación en el contexto universitario“. CPU-e, Revista de Investigación Educativa, Nr. 24 (27.01.2017): 1–4. http://dx.doi.org/10.25009/cpue.v0i24.2400.

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No resulta fácil conceptualizar lo que entendemos por traducción, sobre todo teniendo en cuenta la evolución espectacular que han experimentado tanto los estudios de traducción e interpretación como la propia práctica de la traducción e interpretación desde mediados del pasado siglo XX hasta nuestros días.Si en 1941 asistimos a la creación del primer centro universitario contemporáneo dedicado a la formación de traductores e intérpretes en la ciudad de Ginebra (ETI de Ginebra, Suiza), algunos años más tarde (1945) presenciamos la creación y utilización de las primeras cabinas de interpretación, lo que permitió la puesta en marcha de la modalidad de interpretación simultánea con motivo de la celebración de los juicios de Núremberg en la ciudad alemana del mismo nombre.Desde entonces, gracias a la creación de organismos internacionales con varias lenguas oficiales (entidades y organismos de la ONU y entidades de la Unión Europea, entre otros) y a la internacionalización creciente de todos los ámbitos del saber y de los sectores productivos, hemos asistido a un crecimiento y una diversificación sin precedentes en la historia de la humanidad en lo que al uso de la traducción e interpretación se refiere. Lo que se ha visto reflejado en la multiplicación de centros universitarios de formación de traductores e intérpretes en todo el planeta, en los que se forma instruye a esos profesionales de la mediación lingüística y cultural que hacen posible el milagro de la comunicación a escala internacional.Este crecimiento exponencial de la práctica traslativa plantea, sin embargo, toda una serie de problemas a la reflexión teórica en torno a eso que llamamos traducción o interpretación, como veremos a continuación.El primer problema al que nos enfrentamos a la hora de conceptualizar reside en la vinculación que la traducción tiene con las lenguas y culturas en las que se reflexiona sobre ella. Es decir, no existe un discurso universal e irrefutable sobre qué es y qué no es traducción, ni sobre dónde debemos situar los límites de lo traducible o intraducible, sino que hay multiplicidad de discursos que están anclados en una determinada tradición lingüística, cultural e incluso filosófica a la que deben su forma de percibir la traducción como instrumento del intercambio de información a escala internacional.El segundo problema al que nos enfrentamos es el de la vulgarización que acompaña a la reflexión sobre la traducción: todo hablante de más de una lengua se siente autorizado para opinar sobre qué es y qué no es traducción. Así, hay quien confunde el conocimiento de lenguas con la traducción, la traducción pedagógica con la pedagogía de la traducción o la práctica habitual de la traducción en un contexto determinado de actuación con la Traducción, como si fuese posible tener una única forma de concebir y practicar eso que llamamos traducción.En tercer lugar, nos encontramos con un fenómeno relativamente reciente que condiciona la reflexión en torno a la traducción: me refiero a los fenómenos que se engloban dentro de lo que llamamos GILT (Globalización/Internacionalización/Localización/Traducción). Es decir, tenemos que acotar dónde situamos la traducción y qué debemos considerar como actividades translativas y qué no, aunque estas no supongan la traducción completa de un documento sino solo su adaptación o cualquier otra transformación que suponga pasar un mensaje de una lengua A (origen) a una lengua B (meta) con un objetivo preciso que tiene en cuenta a un destinatario (individual o colectivo) en la comunidad de hablantes de la lengua y cultura meta del proceso de traducción.Como suele ocurrir con muchos términos y conceptos longevos, la traducción también nos pone por delante un reto importante dada su polisemia. Así, por un lado, la palabra o término “traducción” se utiliza en ocasiones para designar una actividad (oral o escrita), un proceso (el de traslación de contenidos y mensajes de una lengua a otra) y un producto (el resultado de esa traslación). Esto plantea algunas dificultades en la reflexión teórica o metateórica, traductológica, si se prefiere, que se concreta en los siguientes aspectos:En primer lugar, siguiendo a Zinaida Lvovskaya, debemos distinguir entre Teoría General de la Traducción (TGT) y Teorías Particulares de la Traducción (TPT). Con la primera designamos toda aquella reflexión traductológica en la que el objeto de estudio, la traducción, se contempla desde una perspectiva teórica o metateórica sin entrar en consideraciones sobre su aplicabilidad a un determinado par de lenguas o a un contexto de actuación (sanitario, jurídico, económico, tecnológico, etc.). Con la segunda, sin embargo, nos referimos a la reflexión teórica que se centra en un ámbito determinado de aplicación o en un par de lenguas concreto (inglés-español, francés-español, chino-español, etc.). Hay autores, como Jean-René Ladmiral que prefieren distinguir entre Filosofía de la Traducción y Teoría de la Traducción para referirse a lo que Lvovskaya considera como TGT y TPT respectivamente.En segundo lugar, es obvio, siguiendo a Jakobson, que la traducción puede realizarse en el seno de una misma lengua y cultura (traducción intralingüística), entre dos lenguas y culturas (traducción interlingüística) o haciendo intervenir códigos lingüísticos y no lingüísticos (traducción intersemiótica). Esto da como resultado numerosas actividades profesionales que hoy en día conocemos como traducción-adaptación de obras en una misma lengua (edición actualizada, por ejemplo, de un clásico de la literatura), traducción de todo tipo de documentos de una lengua a otra, lo que afecta a todos los ámbitos del saber (ciencias, técnicas y tecnologías, derecho, política, economía, literatura, historia, filosofía y un largo etcétera) y, por último, todas aquellas prácticas de la traducción que englobamos dentro de lo que denominamos traducción audiovisual (doblaje, subtitulado, audiodescripción para ciegos, subtitulado para sordos, etcétera) o multimedia (localización de páginas web, de videojuegos, etcétera).En tercer lugar, la revolución tecnológica a la que estamos asistiendo en las últimas décadas ha provocado que, junto a la traducción tradicional, también nos encontremos con el uso masivo de herramientas de traducción asistida por ordenador (TAO) en determinados contextos de actuación, y con el uso creciente de la traducción automática (TA), lo que supone que el traductor tradicional se convierta en posteditor, o si se prefiere, en revisor de la traducción generada por una máquina.En cuarto lugar, no debe confundirse la traducción como actividad que se centra en textos escritos (independientemente del soporte en el que se divulguen) con la interpretación, que siempre tiene por objeto la “traducción oral” de discursos (interpretación de conferencias) o de intervenciones en distintos contextos de actuación, ya sean estos asistenciales (interpretación para los servicios públicos: ámbitos asistencial sanitario, judicial, policial o social), económico-financieros (interpretación para la actividad económico-financiera, comercial o empresarial), políticos y diplomáticos, para los medios de comunicación y un largo etcétera.En resumen, la diversidad de actividades que hoy en día incluyen la traducción (textos escritos) y la interpretación (discursos o intervenciones orales) exige un rigor en la consideración del objeto de estudio para ajustar, tanto en la enseñanza como en la práctica profesional, el uso de las estrategias y técnicas adecuadas para la obtención de un producto de calidad, ya sea en el ejercicio de la traducción (texto traducido) o en el de la interpretación (discurso interpretado).No se puede confundir, por tanto, entre traducción pedagógica (que no deja de ser un método para la enseñanza-aprendizaje de una lengua extranjera), pedagogía de la traducción e interpretación (que incluye los métodos y estrategias para formar a futuros traductores e intérpretes) y teoría y práctica de la traducción e interpretación, entendiendo que una cosa es la reflexión teórica, general o particular, y otra bien distinta la práctica, condicionada por diversos factores, de la traducción o de la interpretación en un contexto específico de actuación, ya sea éste biosanitario, jurídico, humanístico, político, tecnológico o económico.Indudablemente no pretendo condensar en estas líneas todo lo que rodea a una disciplina tan amplia como la Traductología, que pretende dar cuenta, desde un punto de vista teórico, de todas esas actividades traslativas que se realizan de forma cotidiana en todo el mundo en forma de traducción (textos escritos) o interpretación (discursos o intervenciones orales). La idea era llamar la atención sobre la complejidad y diversificación crecientes que acompañan a estas actividades de mediación lingüística y cultural a escala internacional y evitar, de paso, que se hagan afirmaciones gratuitas o simplificadoras sobre un ámbito del saber, el de la Traductología, que trata de desentrañar la complejidad de los fenómenos traslativos con rigor académico, distinguiendo entre objetos de estudio teórico, aplicaciones prácticas, herramientas de apoyo a la traducción y métodos de enseñanza-aprendizaje en contexto universitario.
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Zhu, Jinyu. „La tendencia domesticante de la traducción china del cuento La viuda Ching, pirata, de Jorge Luis Borges“. Sendebar 30 (12.11.2019). http://dx.doi.org/10.30827/sdb.v30i0.8543.

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El artículo pretende revisar la traducción china del cuento «La viuda Ching, pirata» de Jorge Luis Borges, centrándonos en la tendencia domesticante existente en el texto meta. Para ello, llevaremos a cabo un análisis de la fuente de la historia, la presencia del conflicto de la injerencia cultural y de la retrotraducción. Mediante los ejemplos seleccionados, analizaremos las soluciones que propone el traductor, los motivos de la selección del método traductor, las variaciones con respecto al texto original y los errores de traducción, con el objetivo de sacar conclusiones de que el traductor ha intensificado el color de la cultura meta y en cierto modo, ha modificado el valor estético del cuento de Borges.
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Zhu, Jinyu. „La tendencia domesticante de la traducción china del cuento La viuda Ching, pirata, de Jorge Luis Borges“. Sendebar 30 (12.11.2019). http://dx.doi.org/10.30827/sendebar.v30i0.8543.

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El artículo pretende revisar la traducción china del cuento «La viuda Ching, pirata» de Jorge Luis Borges, centrándonos en la tendencia domesticante existente en el texto meta. Para ello, llevaremos a cabo un análisis de la fuente de la historia, la presencia del conflicto de la injerencia cultural y de la retrotraducción. Mediante los ejemplos seleccionados, analizaremos las soluciones que propone el traductor, los motivos de la selección del método traductor, las variaciones con respecto al texto original y los errores de traducción, con el objetivo de sacar conclusiones de que el traductor ha intensificado el color de la cultura meta y en cierto modo, ha modificado el valor estético del cuento de Borges.
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Hou, Jian. „Funciones culturales de las notas en la traducción española de El suplicio del aroma de sándalo“. Orientando, Nr. 18 (03.10.2019). http://dx.doi.org/10.25009/orientando.v0i18.2630.

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El suplicio del aroma de sándalo es una novela clave de Mo Yan, ganador del Premio Nobel de Literatura en 2012. La novela es una historia de amor y una crítica a la corrupción política durante los años finales de la Dinastía Qing −la última época imperial china−, en la que el autor inserta numerosos factores culturales de la tradición china.Blas Piñero Martínez, traductor de la versión castellana, realizó una traducción con un total de 321 notas, transmitiendo detalladamente dichos factores culturales. Este artículo, con base en las teorías de la traducción cultural de Even-Zohar, E. Gentzler y Wang Dongfeng, intenta analizar las funciones culturales de las notas en la traducción de Piñero Martínez de la novela de Mo Yan.
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Kin Man, Cheong. „Le rôle des médias culturels subalternes chez les peuples indigènes du monde sinophone : analyse sémantique, enjeux et traductions“. AVANCA | CINEMA, 26.02.2021. http://dx.doi.org/10.37390/avancacinema.2020.a177.

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The paper aims to discuss the role that visual anthropology and subaltern cultural medias play among the considered indigenous peoples in the Chinese speaking world, and particularly in the four cross-Strait territories of China, Taiwan, Hong Kong and Macao. This paper suggests a semantic and historic analysis of the terms of indigenous, while retracing the arrival of these western concepts in Greater China as well as the manipulations and translations along history which are subjects of the present research. The western discipline of visual anthropology, together with cultural medias find their equivalences in these Chinese speaking territories, and are used for multiple purposes, which are not always clear. An analysis of their presence and use in these four territories by their respective administrations or by the indigenous themselves may allow us also to have a more precise understanding of the ties that each of these governments maintains with its constitutionally and potentially indigenous peoples. Finally, it will be stressed the fact that the reappropriated western labeling of the indigenous may not necessarily work in the specific theoretical context of the Chinese speaking world while attention should be paid to potentially subaltern groups in individual cases.
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