Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Supermarché coopératif et participatif“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Supermarché coopératif et participatif"

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Ouahab, Alban, und Julien Kleszczowski. „Prix du cas pédagogique RIODD-CCMP-EXCELIA 2023 : La Louve, supermarché coopératif et participatif“. Revue de l’organisation responsable Vol. 19, Nr. 3 (25.09.2024): 17–19. http://dx.doi.org/10.3917/ror.193.0017.

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Aufrère, Laura, Philippe Eynaud, Olivier Gauthier und Corinne Vercher-Chaptal. „Entreprendre en commun(s)“. Revue Française de Gestion 45, Nr. 279 (März 2019): 83–96. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.2019.00332.

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Les littératures sur l’entrepreneuriat et les communs sont généralement distinctes. Pourtant, on observe sur le terrain des initiatives qui conjuguent une démarche entrepreneuriale et une volonté de créer des communs. L’article1renseigne ce rapprochement en mobilisant les perspectives processuelles qui se développent dans le champ de l’entrepreneuriat et dans celui des communs. Ce cadre permet d’analyser,viaune étude ethnographique, le processus d’émergence d’un supermarché coopératif organisé en commun(s). Les résultats montrent que le rapprochement entre la démarche entrepreneuriale et la création de communs repose sur une communauté organisante à même de mobiliser une pluralité de principes d’échanges.
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Boisvert, Denis, und Benoit Seguin. „Implantation en mode coopératif d’un système de gestion de bibliothèques dans huit établissements du réseau de l’Université du Québec (UQTR, UQAC, UQAR, UQO, UQAT, ETS, INRS, ENAP)“. Documentation et bibliothèques 56, Nr. 2 (18.03.2015): 49–62. http://dx.doi.org/10.7202/1029132ar.

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Historique de l’exploitation de systèmes intégrés de gestion de bibliothèques (SIGB) dans le réseau de l’Université du Québec. Choix et acquisition d’un SIGB commercial. Modèle de gestion à caractère participatif. Mise en oeuvre du projet d’implantation du nouveau SIGB en trois étapes. Mise sur pied d’un catalogue unifié : caractéristiques et défis surmontés dans le cadre de la fusion de huit banques de données. Équipe de soutien et environnement technologique à l’UQTR (Université du Québec à Trois-Rivières). Cadre financier et respect des contingences. Outils de gestion. Rôle du plan de communication. Impacts sur le personnel : processus d’apprentissage et formation. Utilisation d’un outil de gestion de projet.
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Clotilde, Grassart. „Les supermarchés coopératifs et participatifs, un modèle socio-productif émergeant ?“ Revue de la régulation, Nr. 34 | 1er semestre (07.07.2023). http://dx.doi.org/10.4000/regulation.22518.

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Romdhani, Ali, Guglielmo Fernandez Garcia und René Audet. „La transition en tension : comment les supermarchés coopératifs et participatifs mettent-ils en œuvre le changement social ?“ VertigO Volume 23 Numéro 3 (2023). http://dx.doi.org/10.4000/11t87.

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On observe en France depuis une décennie un fort engouement pour le modèle des supermarchés participatifs et coopératifs (SCP) qui proposent aux citoyens de se réapproprier la distribution alimentaire pour offrir des produits de qualité à juste prix. À partir de l’étude de cas de Breizhicoop à Rennes (France), notre objectif est de démontrer comment s’articule un récit de changement social autour de deux tensions structurantes : l’offre de produit et la gestion du magasin. De ces résultats, nous discutons deux limites adressées aux SCP, à savoir la reproduction de l’organisation entrepreneuriale classique et la formation d’un entre-soi homogène et exclusif. Nous adressons plusieurs apprentissages pour la transition socioécologique.
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Dissertationen zum Thema "Supermarché coopératif et participatif"

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Grassart, Clotilde. „Standardiser l'alternative ? : Une analyse socio-économique de l'émergence des projets de supermarché coopératif et participatif en France“. Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDSESAM/2024/2024ULILA013.pdf.

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Cette thèse de socioéconomie étudie l'émergence des projets de supermarché coopératif et participatif (SCP) en France en tant que critique et réponse pratique à la crise économique et au défaut d'acceptabilité sociale que rencontre la grande distribution depuis le début des années 2000. Présenté comme alternatif, le modèle des SCP est issu d'une organisation qui a vu le jour en 1973 aux États-Unis, la Park Slope Food Coop. Ce modèle essaime en France depuis quelques années sous l'impulsion du magasin parisien, La Louve. La thèse montre qu'à l'origine de ces organisations se trouvent des consommatrices et consommateurs soucieux d'allier la praticité et la diversité qu'offrent les grandes et moyennes surfaces, et le projet social et démocratique porté par le mouvement historique des coopératives de consommateurs. À rebours des représentations associant monde associatif et amateurisme, le projet principiel est la création d'un supermarché non lucratif en mesure de concurrencer les distributeurs fordistes qui dominent le secteur depuis la fin du XXe siècle (dont Leclerc, Carrefour et Auchan) au moyen du travail bénévole de ses sociétaires. La recherche étudie ces entreprises collectives à partir du cadre d'analyse des modèles socio-productifs pour rendre compte des logiques d'adaptation, de différenciation et des spécificités de ce mode de distribution à partir du triptyque produit/organisation/travail. Au croisement des mondes militant et économique, l'analyse de la politique produits, de l'organisation productive et de la division du travail entre personnel salarié et bénévoles pour chacune des cinquante organisations françaises recensées rend compte des tensions, des formes de continuité, de transfert et d'opposition qui se manifestent dans la construction de ces alternatives alimentaires à l'échelle nationale. À l'appui d'une méthode mixte de recherche, combinant construction et traitement d'une base de données d'une part, et observation participante et entretiens semi-directifs d'autre part, la thèse interroge la capacité de ces organisations à « faire modèle ». Pour cela elle se centre sur ce qui les oppose et les unit d'un point de vue stratégique et sur les logiques de différenciation et de normalisation qui accompagnent leur diffusion en France à l'appui d'une pluralité d'outils d'analyse, et en particulier à partir d'une ACM portant sur les caractéristiques socio-productives des organisations et d'une sociologie des réseaux sociaux
This thesis examines the emergence of Food Coop projects in France. Achievement of consumer protests, these projects are considered as practical responses to the economic and social crisis faced by mass distribution since the early 2000s. Presented as an alternative, this Food Coop model stems from the Park Slope Food Coop in the United States, which was founded in 1973. In recent years, this model has spread in France, spearheaded by La Louve, Parisian supermarket. The consumers behind these projects aim to combine the convenience of supermarkets with the social and democratic values of the historic consumer cooperative movement. Contrary to representations associating the non-profit world with amateurism, the main project is to create non-profit supermarket that would be able to compete with giants like Leclerc, Carrefour, and Auchan. Such a project would be possible thanks to the volunteer work of its members. The thesis studies fifty Food Coop projects in France based on from the product/organization/work triptych derived from the analytical framework of productive models. Crossing the worlds of activism and economics this analysis explores the coalitions, similarities, tensions, rivalries, and oppositions that structure the construction of these food alternatives and diffusion of this model nationally. The thesis questions the ability of these organizations to create a new model in food retail sector using a mixed-methods research approach: combining database construction and analysis on the one hand, and observations and interviews on the other hand. Using a variety of analytical tools, it focuses firstly on what unites and contrasts them in terms of strategy, and, secondly, at the distinction and standardization logics that accompany the emergence of the model in France. In particular, this result is based on a multiple correspondence analysis of the socio-productive characteristics of the organizations, and an analysis of social networks
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Ouahab, Alban. „Contester et Consentir : la mise au travail des membres d’une organisation alternative : le cas d’un supermarché coopératif et participatif“. Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01E044.

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Cette thèse explore la question du travail dans les organisations alternatives et propose de répondre à la problématique suivante : « comment peut s’organiser le travail dans des organisations alternatives en dehors d’une logique capitaliste ? Une telle organisation peut-elle permettre de s’émanciper des formes d’oppression au travail ? » Le manuscrit s’inscrit dans les perspectives émergentes sur les organisations alternatives qui proposent un nouveau projet d’émancipation pour les études critiques en gestion. Nous proposons une approche anti-essentialiste de ces organisations et insistons sur l’enjeu théorique des imaginaires pour accompagner l’émergence des alternatives. Toutefois, nous soulignons l’absence de recherche sur le travail dans ces organisations. Nous mobilisons ici la Labour Process Theory qui a particulièrement étudié la question de l’aliénation au travail en expliquant le contrôle du travail par des dispositifs coercitifs et une fabrique du consentement. Classiquement centrées sur les conflits sociaux dans les usines, nous suivons de récentes perspectives qui appliquent la LPT à de nouvelles organisations. Nous présentons ensuite notre méthode ethnographique de trois ans au sein de la Louve, le premier supermarché coopératif et participatif de France. Les résultats montrent que le travail à la Louve se présente comme la construction permanente d’un équilibre entre contestation et consentement. Les membres de la coopérative s’organisent pour porter un projet contestataire vis-à-vis des acteurs traditionnels de la grande distribution. Un imaginaire commun est activement fabriqué, régulé et stabilisé pour obtenir le consentement des membres au contrôle de leur travail volontaire. Cependant, cette organisation du travail maintient des rapports de pouvoir au sein de la coopérative en séparant les coopérateurs qui contrôlent la politique alimentaire de l’organisation de ceux qui ne font que la mettre en œuvre
This thesis explores the issue of labour in alternative organizations to understand “how labour can be organized outside the logic of capitalism? Could it be a source of emancipation?” This research is anchored in perspectives on alternative organizations which emergence proposes a new emancipatory project for critical management studies. We follow an anti-essentialist view of alternative organizations and insist on the theoretical significance of conceptualizing imaginaries to develop those organiza tions. However, we note the lack of research on labour in those alternative structures. To bridge this gap, we draw on Labour Process Theory which particularly explore alienation at work. It explains labour control as the combination of coercive apparatuses and the manufacture of workers’ consent. While originally focused on factory life, we follow recent research on labour process in new contemporary forms of organizations. We then present our ethnographic fieldwork of three years in la Louve, the first new wave food coop in France. Our results show that labour at la Louve is the permanent equilibrium between contestation and consent. Members organize and unite to enact a rejection of mainstream food retailers. A common imaginary is actively manufactured, regulated and stabilized to secure members’ consent to the control of their workforce. This work organization is however not neutral but sustain power relations within the coop. It divides members between those in control of the food policy and those only enforcing this policy through deskilled manual work
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Magnier, Jeoffrey. „L’habitat participatif au prisme de ses acteurs : une analyse des mécanismes d’institutionnalisation et des effets relationnels appuyée sur deux opérations lilloises“. Thesis, Lille 1, 2018. http://www.theses.fr/2018LIL1A021/document.

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Cette thèse porte sur le processus d’institutionnalisation de l’habitat participatif, mettant en question la conjonction d’intérêt des acteurs associatifs et politiques qu’il connait depuis le début des années 2010. Ces initiatives citoyennes, apparues vers le milieu des années 2000 sous des appellations diverses, se sont unifiées sous le vocable « habitat participatif » en 2010, manifestant ainsi la volonté d’apparaitre en un mouvement unique et revendicatif de valeurs sociales et environnementales accrues par rapport au parc de logement traditionnel. Ces opérations ne sont cependant pas les premières du genre avec des formes proches de projets émergeants dès la fin des années 1970, jusqu’au milieu des années 1990 sous des appellations diverses, guidés par l’action collective : habitat groupé autogéré, habitat groupé ou encore habitat partagé. Au-delà de la différence générationnelle, ce travail met l’accent sur les mécanismes de transformations temporels, sociaux et politiques du mouvement de l’habitat participatif, ainsi que sur leurs effets sur les acteurs impliqués. Durant cinq ans, l’étude s’est nourrie d’une enquête sur deux opérations de la Métropole Lilloise ayant émergé dans ces deux contextes historiques, permettant ainsi d’alimenter les analyses fondées sur une méthodologie qualitative variée (entretiens, observations, analyse documentaire). Pour mieux caractériser les opérations françaises et leurs évolutions, le choix a été fait de les mettre en perspective avec les exemples du Danemark et du Canton de Genève. S’inscrivant dans une sociologie de la ville, avec une orientation théorique et méthodologique inspirée par l’interactionnisme sans pour autant s’y enfermer, la thèse propose une analyse historique et thématique de la genèse de la construction allant des implications historiques du vivre ensemble et de la conception du commun, à la construction associative à travers les décennies. Le détour génésiaque s’offre ainsi comme un préalable indispensable pour comprendre les mécanismes d’action et leurs effets sur les acteurs politiques et professionnels dont les pratiques et les usages sont ancrés dans un monde où l’habitant reste souvent une figure mineure de la participation. C’est l’habitant-acteur qui fait l’objet du dernier axe de ce travail, dans la dimension individuelle, mais également collective : d’une part pour saisir les motifs d’implication dans ces projets alternatifs de long-terme, d’autre part, pour mettre en lumière les modifications induites dans la vision et les pratiques habitantes
This thesis is based on the inclusion of cohousing, since the early 2010, in a process of institutionalization in which the interests of associative and political actors converge. These city initiatives, which appeared in the mid-2000s under various names, were unified under the term "habitat participatif" in 2010, thus demonstrating the will to appear as a single movement representing greater social and environmental values compared to the traditional housing stock. However, these operations were not the first of their kind with similar collective projects emerging from the late 1970s until the mid-1990s under various names: self-managed group housing, grouped housing or shared housing. Beside the generational difference, this work focuses on the mechanisms of temporal, social and political transformations of the cohousing movement, as well as their effects on the actors involved. For five years, the study was based on two Lille Metropole operations that emerged in these two historical contexts, thus making it possible to study the results of a varied qualitative analysis. To strengthen the approach and to highlight evolution patterns, I put the French case into perspective with the examples of Denmark and the Canton of Geneva. Guided by the principles of urban sociology and by interactionism, without strictly sticking to them, I first develop the theoretical and methodological framework of this research. Then I move on to make a historical and thematic analysis of the genesis of construction, ranging from the historical implications of living together and the conception of the common, to associative construction over the decades. I believe that a detour in the genesis of this phenomenon is an essential prerequisite to understand the mechanisms of action and their effects on political and professional actors, whose practices and uses are rooted in a world where the inhabitant is often only a minor figure. The inhabitant actor is the ultimate object of analysis of this work, in both an individual and a collective dimension. This is mainly done, on the one hand, to grasp the reasons to get involved in these alternative long-term projects and, on the other hand, to highlight the changes induced in the vision and the living practices
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Ruiz, Eric. „L'autopromotion, une piste pour l'innovation architecturale, environnementale et urbaine“. Thesis, Grenoble, 2014. http://www.theses.fr/2014GRENH017/document.

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Au-delà du cadre classique de la production du logement, des projets originaux à l’initiative de citoyens ou impliquant fortement des habitants, se développent sur le territoire européen et notamment français. S‘émancipant de l’offre professionnelle privée ou publique, ces maîtrises d’ouvrages d’usagers produisent un habitat original, tant du point de vue architectural et environnemental, que de l’insertion sociale et au territoire qui l’accueille. Ce type de dynamique n’est pas un phénomène nouveau. En Amérique Latine notamment, des mouvements populaires et coopératifs développent ce type de démarche depuis plusieurs décennies. Insuffisamment étudié, ce phénomène mérite d’être analysé plus précisément, en particulier dans le champ de l’architecture et du point de vue des porteurs de ces projets : les habitants. Cette recherche vise à montrer, par une analyse des différentes typologies d’organisations collectives, adoptées par ces maîtrises d’ouvrage non professionnelles d’habitants, les atouts et les résultats de leur production, du point de vue de : la question « spatiale », qui interroge la notion de l’habitat et de son usage ; la question du « métier » du concepteur, qui interroge le mode de production du projet au travers de la relation architecte – maîtrise d’ouvrage (non professionnelle) ; et enfin la question de « l’insertion spatiale et sociale », qui interroge la dimension urbaine de ces projets et citoyenne de leurs promoteurs. Se basant sur les notions de « droit à l’œuvre » et de « droit à la ville » définies par Henri Lefebvre et de « bien commun » définie par Elinor Ostrom, cette thèse propose un apport de connaissances visant à contribuer à la réponse des professionnels et des politiques publiques, à une demande sociale chaque jour plus présente en matière d’initiatives citoyennes dans la production de l’habitat
Further to the production of housing within a traditional Framework are curently developed all over europe and specialy in France. Moving away from public or private standar models, the projects inspired by the end users tend to produce very original habitats, in terms of architecture and environment as well as social and territorial insertion. This kind of dynamic is not a new phenomenom. Particulary in Latin America, popular and cooperative movements have developed this type of approach for decades. Insufficiently studied, this phenomenom merits more precise analysis, particulary in the field of architecture and from the point of view of the managers of such projects : the inhabitants. This research aims to demonstrate, through an analysis of different types of collective organizations adopted by these non-professional inhabitants leadership, the benefits and results of their production, in terms of: the "spacial" question, which looks at the concept of habitat and its use ; the issue of "skill" of the designer, who questions the mode of production of the project through the architect relationship - project management (non-occupational) ; and finally the area of "spatial and social inclusion", which looks at the urban dimension of these projects and their "property developers". Based on the concepts of "right to do" and "right to the city" defined by Henri Lefebvre and "common good" defined by Elinor Ostrom, this thesis provides a contribution of knowledge to contribute to the response of professionals and public policy, to a real social demand present every day in terms of citizen initiatives in the production of housing
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Darroman, Mélanie. „Renaissance de l'habitat participatif en France : vers de nouvelles formes négociées de fabrication de la ville ? Deux études de cas dans l'agglomération bordelaise : le projet HNord (Bordeaux) et La Ruche (Bègles)“. Thesis, Bordeaux, 2014. http://www.theses.fr/2014BORD0485.

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Cette thèse interroge les effets combinés des enjeux d’un urbanisme durable et d’un impératif participatif grandissant des habitants – usagers – citoyens, dans le cadre de la fabrication métropolitaine contemporaine. Depuis le début des années 2000, des expériences alternatives d’habitat émergent en France sous l’impulsion de revendications sociales portées par la société civile. Le terme générique d’« habitat participatif », définit récemment par la loi pour l’Accès au Logement et à un Urbanisme Négocié (ALUR), publiée au Journal Officiel le 26 mars 2014, rassemble ainsi d’une même voix la variété de ces initiatives à l’œuvre, contribuant à pérenniser les dynamiques de structuration et de diffusion d’un mouvement de l’habitat participatif. Faisant référence aux expressions citoyennes contestataires des années 1970-1980, avec la critique d’un urbanisme moderne et des politiques publiques, les projets actuels marquent la renaissance des questionnements autour de la place de la maîtrise d’usage – incarnée par les habitants-usagers – dans la chaîne de production des logements et, plus largement, dans les processus décisionnels d’aménagement des territoires. Porteuse de pratiques participatives innovantes, la résurgence de l’habitat participatif révèle des logiques diverses d’engagements citoyens, militants ou professionnels, et des formes négociées de fabrication de l’habitat. Dès lors, s’opposent des dynamiques « bottom-up » – illustrées par des demandes et des initiatives habitantes, et des dynamiques « top-down » – portées par des instances politico-institutionnelles en plein renouvellement de leurs modes d’action et savoir-faire. Supportée par une trame multidimensionnelle de négociations, la thèse propose alors une analyse des interactions et des formes d’hybridation de cette production collective en cours à travers trois dimensions : la dimension valorielle, pour fixer le socle des transactions sociales ; la dimension organisationnelle et relationnelle, pour observer la micropolitique des groupes-projets ; la dimension processuelle, pour saisir les temporalités du projet et les moments clés de la négociation sur l’ensemble du processus. Pour cela, nous nous appuyons sur deux cas d’étude dans l’agglomération bordelaise, en pleine métropolisation : le cas de la coopérative d’habitants HNord, sur l’îlot Dupaty à Bordeaux ; et celui d’un projet d’habitat participatif multi-partenarial, La Ruche, sur la commune de Bègles au sein de l’Opération d’Intérêt National (OIN) Bordeaux-Euratlantique. Encadrée par un dispositif CIFRE avec l’Etablissement Public d’Aménagement Bordeaux-Euratlantique (EPA), la recherche repose sur une approche ethnographique, basée sur de nombreuses situations d’observation participante, des entretiens d’acteurs cibles et une analyse documentaire. Les enquêtes menées à différentes échelles offrent une vision macro, méso et microsociale des processus de production et de diffusion de l’habitat participatif. Les résultats de la thèse mettent alors en évidence les modalités de partenariats entre différentes sphères d’acteurs – les habitants, les institutions et les experts – dans la production de l’habitat participatif conduisant à un changement de paradigme sociétal et professionnel à travers le renouvellement des modes d’habiter, des savoirs et savoir-faire. Ainsi, nous proposons une réflexion sur les moyens et possibilités d’intégration de cette dynamique collective et citoyenne au sein des processus décisionnels d’aménagement urbain pour la fabrication métropolitaine et, de voir en quoi ce phénomène participatif et collaboratif peut-il constituer un outil de management territorial novateur préfigurant le futur de nos cités
This PhD thesis questions the combined effects of the challenges of sustainable urban development and a growing priority for inhabitants – users – citizens, to participate in contemporary metropolitan production. Since the early 2000s, there is in France an emergence of alternative housing experiences as a result of social demands. The generic term of « participative housing », recently defined by the bill for access to housing and urban renovation (ALUR), published in the Official Journal on March 26, 2014, gathers with one voice, the variety of these initiatives at work, contributing to ensure the dynamic structuring and dissemination of the participative housing movement. Referring to the civil protests of 1970-1980, criticizing modern urban planning and public policy, the current projects tackle once again of how to combine the inhabitants expertise with professional expertise in the production of housing, and more broadly in the decision-making processes of regional planning. Producing innovative participatory practices, the resurgence of participative housing reveals different logics of social commitments on the part of citizens, activists and professionals, and negotiated forms of housing production. As a consequence, the « bottom-up » dynamic, based on the demands and initiatives of the inhabitants, opposes the « top-down » dynamic, based on the initiative of politico-institutional bodies in full renewal of their modes of action and know-how. Supported by a multi-dimensional framework of negotiations, the thesis analyzes the interactions and forms of hybridization of this ongoing collective production through a three dimensional approach : the value related dimension, to set the base of social transactions ; the organizational and relational dimension to observe the micro-political groups-projects ; the procedural dimension to grasp the temporality of the project and the key moments of negotiation of the whole process. For this, we build on two case studies in the Bordeaux area, being subject to processes of metropolization : the case of the residents cooperative HNord in the Dupaty housing block in Bordeaux ; and the multi-partnered participative housing project, La Ruche, in the town of Bègles within the framework of the « Operation of National Interest » (OIN) Bordeaux-Euratlantique. Governed by a CIFRE program with the « Local Planning and Development authority » (EPA) Bordeaux-Euratlantique, the research is based on an ethnographic approach : participant observation, interviews with target stakeholders and a literature review. The investigations conducted at different scales offer a macro, meso and micro-social understanding of the process of participative housing production and dissemination. The results of the thesis highlight the partnership conditions between different groups of stakeholders – inhabitants, institutions and expertsn – in the production of participative housing leading to a societal and professional paradigm shift through a renewal of ways of living, knowledge and expertise. Thus, we propose a reflection on ways and possibilities how to integrate this collective and civic dynamics in the decision-making processes of urban planning for metropolitan production and to see how this participatory and collaborative phenomenon can serve as an innovative tool in territorial management for our future cities
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