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Zeitschriftenartikel zum Thema „Suivi des pathogènes“

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El Idrissi, A. L. „[Prevalence of intestinal parasites disease in three provinces in Morocco]“. Eastern Mediterranean Health Journal 5, Nr. 1 (01.05.1999): 86–102. http://dx.doi.org/10.26719/1999.5.1.86.

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Une étude sur les parasitoses intestinales a été réalisée au niveau des provinces de Taounate, Béni Meilal et Tiznit [Maroc]. Elle a porté sur un échantillon de 1682 personnes, représentatif des deux milieux urbain et rural. Pour chaque prélèvement de selles, trois examens directs entre lame et lamelle ont été pratiqués ainsi qu’un examen selon la technique qualitative de Kato. Cette étude a montré qu’environ deux tiers des habitants du milieu rural des trois provinces sont parasités, alors qu’en milieu urbain environ une personne sur deux l’est. La similitude dans les trots provinces est en faveur de la généralisation des résultats trouvés au reste des provinces du pays. Parmi les groupes de parasites trouvés, le groupe des amibes vient en tète, suivi des flagellés puis des helminthes. Quant aux espèces pathogènes, c’est Entamoeba histolytîca dans le groupe des amibes qui a été le plus fréquemment rencontré. Tous les cas positifs ont été traités par le médicament spécifique
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Gallinari, Camille, Dominique Moui und Béata Francuz. „Élaboration d’un consensus sur le suivi médical des travailleurs exposés à des agents pathogènes en laboratoire de recherche“. Archives des Maladies Professionnelles et de l'Environnement 79, Nr. 3 (Mai 2018): 219. http://dx.doi.org/10.1016/j.admp.2018.03.041.

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Igunma, J. A., und P. V. O. Lofor. „Discordant rate between empirical antibiotics administered and antimicrobial susceptibility in infections caused by <i>Pseudomonas aeruginosa</i> in a tertiary hospital in Nigeria“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, Nr. 1 (16.01.2024): 95–102. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i1.11.

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Background: Early initiation of appropriate antibiotics is key to the effective management of severe bacterial infections. The initiation of targeted antibiotic therapy is possible only when the causative organism is isolated. As a result, antibiotics are usually administered on an empirical basis guided by the clinical presentation, local antibiotic guidelines and other relevant histories. Generally, empirical antibiotics differ for both community- and hospital-acquired infections (HAIs), as a result of which common HAI pathogens such as Pseudomonas aeruginosa should be deliberately targeted, because most routine antibiotics are ineffective against them. Methodology: This was a retrospective cross-sectional study involving the review of the clinical consults sent to clinical microbiologists at the University of Benin Teaching Hospital (UBTH) between January and December 2022. The consults were analyzed for the initial diagnosis, reasons for the invitation and empirical antibiotics administered. Other relevant informations were obtained from the laboratory records. Susceptibility profiles of P. aeruginosa isolates were compared with the empirical antibiotics administered. Discordant empirical antibiotic therapy was defined as the administration of antibiotic regimen with no anti-pseudomonal activity. Results: Of the 256 consults received over the period of study, P. aeruginosa was isolated from 57 (22.3%) patients as pathogens. Out of this, 24.6% (n=14) received at least one anti-pseudomonas antibiotic, which puts the total discordant rate at 75.4%. Metronidazole (22.7%) and ceftriaxone-sulbactam (Tandak) (21.5%) were the most commonly prescribed empirical antibiotics. The most common reason for consultation was a diagnosis of sepsis at 40.2% followed by pan-resistant isolates at 34.8% Conclusion: Although the commonly prescribed antibiotics in our setting are broad spectrum, they lack coverage for P. aeruginosa which is one of the most common pathogens implicated in HAIs. French title: Taux de discordance entre les antibiotiques empiriques administrés et la sensibilité aux antimicrobiens dans les infections causées par Pseudomonas aeruginosa dans un hôpital tertiaire au Nigeria Contexte: L'instauration précoce d'un traitement antibiotique approprié est essentielle à la prise en charge efficace des infections bactériennes graves. L’instauration d’une antibiothérapie ciblée n’est possible que lorsque l’organisme causal est isolé. En conséquence, les antibiotiques sont généralement administrés sur une base empirique, guidée par la présentation clinique, les directives locales en matière d'antibiotiques et d'autres antécédents pertinents. En général, les antibiotiques empiriques diffèrent à la fois pour les infections nosocomiales et celles nosocomiales (IAS), de sorte que les agents pathogènes courants des IAS, tels que Pseudomonas aeruginosa, doivent être délibérément ciblés, car la plupart des antibiotiques courants sont inefficaces contre eux. Méthodologie: Il s'agit d'une étude rétrospective transversale portant sur la revue des consultations cliniques adressées aux microbiologistes cliniciens de l'Hôpital Universitaire du Bénin (UBTH) entre janvier et décembre 2022. Les consultations ont été analysées pour le diagnostic initial, les raisons de l’invitation et antibiotiques empiriques administrés. D'autres informations pertinentes ont été obtenues à partir des dossiers de laboratoire. Les profils de sensibilité des isolats de P. aeruginosa ont été comparés à ceux des antibiotiques empiriques administrés. Une antibiothérapie empirique discordante a été définie comme l’administration d’un régime antibiotique sans activité anti-pseudomonas. Résultats: Parmi les 256 consultations reçues au cours de la période d'étude, P. aeruginosa a été isolé comme pathogène chez 57 (22,3%) patients. Sur ce total, 24,6% (n=14) ont reçu au moins un antibiotique antipseudomonas, ce qui porte le taux discordant total à 75,4%. Le métronidazole (22,7%) et la ceftriaxonesulbactam (Tandak) (21,5%) étaient les antibiotiques empiriques les plus couramment prescrits. Le motif de consultation le plus fréquent était un diagnostic de sepsis à 40,2% suivi d'isolats pan-résistants à 34,8%. Conclusion: Bien que les antibiotiques couramment prescrits dans notre contexte soient à large spectre, ils manquent de couverture pour P. aeruginosa qui est l'un des plus courants agents pathogènes courants impliqués dans les IAS.
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Lango-Yaya, Ernest, Donatien Clotaire Rafai, Tatiana Ngalema, Freddy Marcelin Agboko, Romaric Lebon Bondom und Marcellin Namzeka. „Prevalence Des Infections Parasitaires Dues Aux Protozoaires Identifies Au Laboratoire National De Biologie Clinique Et De Sante Publique, Bangui Republique Centrafricaine“. European Scientific Journal, ESJ 17, Nr. 21 (30.06.2021): 115. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p115.

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Les Protozoaires sont des parasites de petite taille, de forme diverses parmi lesquels on distingue les Protozoaires intestinaux (Amibes, Flagellés, Coccidies, Ciliés et Microsporidies) qui sont les plus répandus. Selon l’OMS, les parasitoses intestinales constituent un problème de santé publique dans le monde en général et en Afrique en particulier. Les formes graves sont généralement provoquées par certains protozoaires intestinaux à savoir Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis et Trichomonas intestinalis qui jouent un rôle dans la survenue du syndrome dysentérique. C’est dans ce contexte que cette étude est menée dans l’objectif est d’évaluer la prévalence des Protozoaires digestifs selon leur degré de pathogénicité chez les patients. La mise en évidence des parasites a été effectuée par la technique de Formolether et de l’examen à l’état frais. Cette étude a montré que sur 11500 patients, 3922 soit 34,1% étaient parasités. Parmi les patients parasités le sexe féminin était prédominant avec un pourcentage de 57,51%. La tranche d’âge la plus touchée est celle comprises entre 20 à 29 ans (39,4%), les enfants de moins de 1 an étaient moins touchés (1,2%). Le parasite le plus représentatif est le kyste d’Entamoeba histolytica 30,40% suivi de Trichomonas intestinalis 1,4%. L’amibiase, la giardiose et la trichomonose restent les protozooses les plus pathogènes associées à l’hygiène défectueuse et du péril fécal. Protozoa are parasites of small size, of various shapes, among which we distinguish the intestinal Protozoa (Amoeba, Flagellates, Coccidia, Ciliates and Microsporidia) which are the most widespread. According to WHO, intestinal parasitosis is a public health problem in the world in general and in Africa in particular. The severe forms are generally caused by certain intestinal protozoa namely Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis and Trichomonas intestinalis which play a role in the occurrence of dysenteric syndrome. It is in this context that this study is being carried out with the objective of assessing the prevalence of digestive protozoa according to their degree of pathogenicity in patients. The detection of the parasites was carried out by the formalin-ether technique and the examination in the fresh state. This study showed that out of 11,500 patients, 3,922 or 34.1% were parasitized. Among the parasitized patients the female sex was predominant with a percentage of 57.51%. The most affected age group is between 20 to 29 years old (39.4%), children under 1 year old were less affected (1.2%). The most representative parasite is the Entamoeba histolytica cyst 30.40% followed by Trichomonas intestinalis 1.4%. Amebiasis, giardiasis and trichomoniasis remain the most pathogenic protozoa associated with poor hygiene and faecal hazard.
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Abba, Hamadou, Ban-Bo Bebanto Antipas, Edith Marguerite Nikiema, Jean Bienvenue Ouoba, Kadidja Gamougame, Evariste Bako, Soutongnooma Caroline Bouda et al. „Prévalence et caractérisation des sérotypes de <i>Salmonella</i> isolées au CHU la Référence Nationale de N’Djaména au Tchad“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, Nr. 6 (18.01.2024): 2215–24. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i6.7.

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Les Salmonelles se retrouvent parmi les agents pathogènes multirésistants qui suscitent une grande inquiétude au Centre Hospitalier de Référence Nationale (CHU-RN) de N’Djamena. Ils sont responsables des toxi-infections alimentaires et de la fièvre typhoïde. Le but de cette étude était d’actualiser la connaissance sur la présence, la diversité et l’antibiorésistance de Salmonella spp dans le milieu hospitalier au Tchad. Au total, 341 spécimens de selles des patients hospitalisés et externes ont été collectés entre août 2018 et févier 2019. L’identification des souches de Salmonella a été réalisée à l’aide de la galérie Api 20E et confirmée par l’automate compact VITEK® 2TM 15 au Tchad et sur le milieu XLT4 de l’institut Pasteur en France. Les isolats ont été caractérisés à l'aide d’un sérotypage en utilisant le Kit de Kauffmann-White. Les tests de sensibilité aux antimicrobiens ont été réalisés selon les directives de EUCAST. Les résultats montrent que le phénotype de résistance aux bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE) a été signalé dans 42% des isolats. Environ 2% (6/314) des échantillons étaient positifs pour Salmonella. Parmi les 6 sérovars identifiés, Salmonella enteritidis (50%) était le plus commun, suivi de S. colindale (33,3%) et S. grampian (16,7). 100% des isolats (6) étaient résistants à au moins un antimicrobien. La résistance a été le plus fréquemment observée à l'amoxicilline-acide clavulanique, Cotrimoxazole et à la Tétracycline (100%). De plus, une diminution de sensibilité au ceftriaxone (83,3%) et l’aztreoname (83,3%) a été observée. Nos résultats ont indiqué une augmentation de la contamination par Salmonella et l’apparition des isolats résistants à plusieurs antimicrobiens dans le CHU. Salmonella spp are among the pathogens and multi-resistant agents that are causing great concern at the National Reference General Hospital (HGRN) in N'djamena. They are responsible for food poisoning and typhoid fever. This study has aimed to update knowledge on the presence, diversity and antibiotic resistance of Salmonella spp in hospitals in Chad. A total of 341 stool specimens from inpatients and outpatients were collected between August 2018 and February 2019. The identification of Salmonella strains was carried out using the Api 20E gallery and confirmed by the VITEK® 2TM 15 compact automaton in Chad and on the XLT4 medium at the Pasteur Institute in France. Isolates were characterized by serotyping using the Kauffmann-White Kit. Antimicrobial susceptibility testing was performed according to EUCAST guidelines. Extended-spectrum beta-lactamase (ESBL) resistance phenotype was reported in 42% of isolates. About 2% (6/314) of the samples were positive for Salmonella. Among the 6 sérovars identified, Salmonella enteritidis (50%) was the most common, followed by S. colindale (33.3%) and S. grampian (16.7). 100% of isolates (6) were resistant to at least one antimicrobial. Resistance was most frequently observed to amoxicillin-clavulanic acid, Cotrimoxazole and Tetracycline (100%). Moreover, a decrease in sensitivity to ceftriaxone (83.3%) and aztreonam (83.3%) was observed. Our results indicated an increase in Salmonella contamination and the appearance of isolates resistant to several antimicrobials in the CHU.
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Atchessi, Nicole, Megan Striha, Rojiemiahd Edjoc, Emily Thompson, Maryem El Jaouhari und Marianne Heisz. „Surveillance des expositions en laboratoire aux agents pathogènes humains et aux toxines au Canada, en 2020“. Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, Nr. 10 (14.10.2021): 468–76. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i10a04f.

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Contexte : La Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines et le Règlement sur les agents pathogènes humains et les toxines exigent que les incidents de laboratoire soient signalés au système de surveillance de déclaration des incidents en laboratoire au Canada de l’Agence de la santé publique du Canada. L’objectif du présent rapport est de décrire les incidents de laboratoire concernant des expositions survenues au Canada en 2020 et les personnes affectées par ces incidents. Méthodes : Les incidents survenus en laboratoire en 2020 dans des laboratoires canadiens autorisés ont été analysés. Le taux d’incidents d’exposition a été calculé et des statistiques descriptives ont été effectuées. Les incidents d’exposition ont été analysés selon le secteur, type d’activité, type d’événement, cause fondamentale et agent pathogène ou toxine. Les personnes affectées ont été analysées selon l’éducation, la voie d’exposition, le secteur, le rôle et l’expérience en laboratoire. Le temps écoulé entre l’incident et la date du rapport a également été analysé. Résultats : Quarante-deux incidents touchant 57 personnes ont été signalés au système de surveillance de déclaration des incidents en laboratoire au Canada en 2020. Aucune infection contractée en laboratoire n’a été soupçonnée ou confirmée. Le taux d’exposition annuel était de 4,2 incidents pour 100 permis en vigueur. La plupart des cas d’exposition sont survenus pendant les activités de microbiologie (n = 22, 52,4 %) ou ont été signalés par le secteur hospitalier (n = 19, 45,2 %). L’erreur de procédure (n = 16, 27,1 %) et les incidents liés à un objet tranchant ou pointu (n = 13, 22,0 %) étaient les incidents les plus fréquemment signalés. La plupart des personnes touchées ont été exposées par inhalation (n = 28, 49,1 %). Ils travaillaient à titre de techniciens ou de technologues (n = 36, 63,2 %). Les problèmes liés aux procédures opératoires normalisées étaient la cause fondamentale la plus courante (n = 24, 27,0 %), suivie des interactions humaines (n = 21, 23,6 %). Le nombre médian de jours entre les cas d’exposition et la date de déclaration était de six jours. Conclusion : Le taux d’incidents en laboratoire était plus faible en 2020 qu’en 2019, quoique la pandémie en cours ait pu contribuer à cette diminution en raison de la fermeture de lieux de travail non essentiels, notamment des laboratoires, pendant une partie de l’année. Le type d’incident le plus fréquent était l’erreur de procédure, tandis que les problèmes liés au non-respect des procédures opératoires normalisées et les interactions humaines étaient les causes fondamentales les plus citées.
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Delafosse, Arnaud, Zakaria Bengaly und Gérard Duvallet. „Absence d'interaction des infections à Trypanosoma theileri avec le diagnostic des trypanosomoses animales par détection des antigènes circulants“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, Nr. 1 (01.01.1995): 18–20. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9480.

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Ce travail reprend des données accumulées au centre international de recherche-développement sur l'élevage en zone subhumide (CIRDES) lors de suivis épidémiologiques. Les prévalences de Trypanosoma vivax, Trypanosoma congolense et Trypanosoma brucei obtenues à l'aide du test ELISA de détection des antigènes circulants ont été comparées chez des animaux infectés ou non par Trypanosoma theileri. Le but était de mettre en évidence l'existence d'éventuelles réactions sérologiques croisées entre T. theileri et les trypanosomes pathogénes. Les résultats obtenus montrent l'absence d'interaction des infections à T. theileri avec le diagnostic des trypanosomes pathogènes par détection des antigènes circulants.
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Ekpetsi Bouka, C., K. Batawui, A. Napala, P. Bastiaensen, N. Faye und Guy Hendrickx. „Parasitoses des veaux dans la région septentrionale du Togo“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, Nr. 1 (01.01.2001): 17. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9800.

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L’examen parasitologique de 738 bovins de types zébu, taurin et de leurscroisements (zébu x taurin) du nord du Togo, d’âge compris entre 1 et12 mois, a permis de mettre en évidence plusieurs agents pathogènes et vecteursappartenant à différents groupes de parasites (piroplasmes, trypanosomes,nématodes, tiques et glossines) et d’évaluer leur fréquence relative(Babesia : 16,9 p. 100 de prévalence ; Trypanosoma : 11,0 p. 100 ; stronglesdigestifs : 46,4 p. 100). Les actions pathogènes de ces parasites sur leurs hôtesont été évaluées par la mesure du taux d’hématocrite (29,3 p. 100 enmoyenne) qui s’est élevé en fin de saison sèche (31,1 p. 100) et dans leszones d’application d’insecticides épicutanés sur le bétail (29,6 p. 100) où lesanimaux étaient suivis dans le cadre du Projet régional de lutte contre la trypanosomoseanimale (Plta). Au plan épidémiologique, le parasitisme desbovins a varié en fonction des zones éco-géographiques, des saisons, du suivides animaux par le Plta, des races, du type d’élevage et de l’âge des animaux.Il a pu être confirmé que la trypanosomose et la strongylose étaient des fléauximportants, en revanche Babesia sp. s’est révélée comme un hémoparasitedont l’impact sur la santé des veaux avait été sous-estimé.
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Lefur, Awena, Anne-Hélène Querard und Grégoire Couvrat-Desvergnes. „Péritonite à Kocuria Rhizophila en dialyse péritonéale : A propos de 2 cas et revue de la littérature“. Bulletin de la Dialyse à Domicile 7, Nr. 1 (20.04.2024): 21–31. http://dx.doi.org/10.25796/bdd.v7i1.82923.

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Les auteurs rapportent deux cas cliniques de péritonite à Kocuria rhizophila, un germe peu fréquent mais pathogène, survenus dans un centre de dialyse sur une période de trois mois en 2022. Ces cas ont nécessité la dépose du cathéter de dialyse péritonéale, illustrant la gravité potentielle de ces infections. Les auteurs décrivent les caractéristiques clinico-biologiques de ces péritonites et soulignent la difficulté de distinguer Kocuria des autres cocci Gram positif, comme les staphylocoques, en raison de leur ressemblance morphologique, et la nécessité d’une identification précise pour un traitement approprié. La discussion aborde la fréquence et la gestion des péritonites à Kocuria en France, basée sur une étude observationnelle de cohorte utilisant les données du Registre de Dialyse Péritonéale de Langue Française (RDPLF) entre janvier 2018 et mai 2023. Cette étude a révélé que les péritonites à Kocuria représentaient 3,5% des péritonites documentées, Kocuria rhizophila étant le plus fréquemment identifié. L’étude met en évidence un taux important de récidives et la nécessité fréquente de retirer le cathéter, soulignant la gravité de ces infections. Conclusion : Les auteurs suggèrent qu’en cas de péritonite à Kocuria rhizophila, une dépose-repose rapide du cathéter pourrait être envisagée en raison du taux élevé de récidives. Ils appellent également à une vigilance accrue et à un suivi rapproché des patients traités conservativement par antibiothérapie pour minimiser le risque de récidive et d’échecs techniques, indiquant un besoin de stratégies thérapeutiques adaptées face à ce pathogène spécifique.
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Camus, Emmanuel. „La cowdriose caprine et ovine en Guadeloupe“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (01.05.1991): 139–43. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9241.

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Les foyers de cowdriose caprine éclatent sur toute la Basse-Terre et la Grande-Terre, sans réelles fluctuations saisonnières. Le cycle épidémiologique de la maladie est caractérisé par un équilibre instable entre un stock de Cowdria très pathogène, une tique vectrice largement répandue mais très faiblement infectée et une population de chèvres créoles comprenant des lignées plus résistantes que d'autres. Les symptômes sont les suivants : fièvre élevée, symptômes nerveux suivis de la mort si un traitement antibiotique n'est pas administré rapidement. Le seul diagnostic de certitude repose sur l'examen microscopique du cerveau. La meilleure façon de lutter contre la cowdriose est de traiter régulièrement les animaux avec des acaricides.
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Kalloum, Slimane, Abdelkader Iddou, Mostefa Khelafi und Abdelkader Touzi. „Utilisation du procédé de la digestion anaérobie pour le traitement des boues des stations d’épuration des eaux usées“. Journal of Renewable Energies 16, Nr. 4 (22.10.2023): 611–18. http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v16i4.404.

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Les stations d’épuration urbaines ont pour rôle d’éliminer la pollution contenue dans les effluents domestiques, avant leur rejet dans le milieu naturel. Si l’eau, en fin de traitement, est épurée, la pollution initiale se retrouve stockée et concentrée dans les boues issues des diverses étapes de traitement de l’eau. Ces boues étant alors considérées comme un déchet valorisable, qu’il faut éliminer tout en respectant certaines contraintes réglementaires. Cette étude consiste au traitement des boues des stations d’épuration (lagunage naturel) par la digestion anaérobie, pendant une durée de 33 jours et dans un bioréacteur de type batch d’une capacité de 1 litre. Durant l’expérience, nous avons obtenu un taux d’abattement de la DCO, DBO5 et MS et de 88, 90 et 81% respectivement, suivi d’une destruction totale de la flore pathogène. D’autre part, la digestion a permis de réduire l’ammonium et l’azote de 72 et 80% respectivement.
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ELSEN, J. M., F. LANTIER, R. RUPP, B. CAYRON, F. EYCHENNE, F. SCHELCHER, I. PALHIERE und B. BED’HOM. „Organisation à l’INRA des observations et expérimentations sur des animaux modèles ou agronomiques infectés par une Encéphalopathie Spongiforme Transmissible“. INRAE Productions Animales 17, HS (19.12.2004): 7–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3614.

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Les investissements mis en place par l’INRA pour aborder l’étude des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) dans les populations animales, de ferme ou en conditions expérimentales, sont décrits : laboratoire de génotypage du gène PrP à grande échelle, domaine expérimental de Langlade où sont suivis des ovins soumis à une tremblante naturelle, très grande animalerie protégée (Installations Nationales PRotégées pour l’étude des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles « INPREST ») pour les gros animaux de ferme, bergerie protégée de l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), animaleries rongeurs protégées sur les sites INRA de Nouzilly et Jouy-en-Josas, et de Toulouse (ENVT). Cet ensemble d’investissements donne aux scientifiques les moyens de mener à bien leurs investigations sur la physiopathologie des EST animales, les déterminants génétiques de la sensibilité/résistance à ces pathologies, la nature de l’agent pathogène et notamment sa variabilité, ainsi que sur l’évaluation des risques et le diagnostic.
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Ugwu, O. B., T. K. C. Udeani, C. L. Anigbo und C. S. Anigbo. „Detection of microbial pathogens colonizing foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, Nr. 2 (03.04.2024): 169–80. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i2.8.

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Background: Diabetic foot ulcer (DFU) is a major complication of diabetes mellitus (DM) which is associated with high morbidity and mortality. There is high rate of bacteria colonization especially in those with tendencies for poor wound dressing. This is accompanied by high rate of inappropriate antibiotic usage. The aim of this study is to characterize microbial pathogens colonizing foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria, and to determine the antibiotic susceptibility of these isolates.Methodology: This was a descriptive cross-sectional study of consecutively enrolled diabetic patients with foot ulcers in two tertiary healthcare facilities in Enugu, Nigeria, between May 2021 and February 2022. A structured questionnaire was used to obtain socio-demographic and clinical data of the patients. Pus samples and/or tissues were collected from the ulcer lesion of each patient for aerobic and anaerobic microbial cultures and biochemical identification using standard conventional techniques.Results: A total of 310 diabetic patients with foot ulcers were recruited into the study, with 62.3% (193/310) males and 37.7% (117/310) females, and mean age of 56.0±13.9 years. Bacteria and yeast were isolated from samples of 280 (90.3%) patients while samples of 30 (9.7%) patients had no microbial growth. Males had higher frequency of microbial isolates (90.7%, 175/193) than females (89.7%, 105/117), while the age group ≤ 40 years had higher frequency of microbial isolates (100%, 43/43) compared to other age groups, although the differences are not statistically significant (p>0.05). The distribution of the isolates showed that 15.7% (44/280) were monomicrobial while 84.3% (236/280) were polymicrobial. The highest single isolate was Bacteroides fragilis with 5.0% (14/280), followed by Staphylococcus aureus with 3.2% (9/280). Bacteroides fragilis and S. aureus occurred as the highest combined bacteria isolates with 5.7% (16/280). Most of the patients were colonized by combination of bacterial isolates. The susceptibility indicates that most of the anaerobic bacteria were sensitive to metronidazole while S. aureus isolates were resistant to ofloxacin at a rate of 65.0%. Conclusion: The findings in this study showed that there is high bacteria and fungi colonization of foot ulcers of diabetic patients in Enugu, Nigeria. Routine care of wounds especially frequent changes of dressing materials and the use of potent antiseptics, are recommended. Contexte: L'ulcère du pied diabétique (UPD) est une complication majeure du diabète sucré (DM) associée à une morbidité et une mortalité élevées. Il existe un taux élevé de colonisation bactérienne, en particulier chez les personnes ayant tendance à mal panser les plaies. Cela s’accompagne d’un taux élevé d’utilisation inappropriée d’antibiotiques. Le but de cette étude est de caractériser les agents pathogènes microbiens colonisant les ulcères du pied des patients diabétiques à Enugu, au Nigeria, et de déterminer la sensibilité aux antibiotiques de ces isolats. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude transversale descriptive portant sur des patients diabétiques recrutés consécutivement et souffrant d'ulcères du pied dans deux établissements de soins de santé tertiaires à Enugu, au Nigeria, entre mai 2021 et février 2022. Un questionnaire structuré a été utilisé pour obtenir des données sociodémographiques et cliniques du les patients. Des échantillons de pus et/ou des tissus ont été prélevés sur la lésion ulcéreuse de chaque patient pour des cultures microbiennes aérobies et anaérobies et une identification biochimique à l'aide de techniques conventionnelles standard. Résultats: Au total, 310 patients diabétiques souffrant d'ulcères du pied ont été recrutés dans l'étude, avec 62,3% (193/310) d'hommes et 37,7% (117/310) de femmes, et un âge moyen de 56,0±13,9 ans. Des bactéries et des levures ont été isolées à partir d'échantillons de 280 (90,3%) patients, tandis que des échantillons de 30 (9,7%) patients ne présentaient aucune croissance microbienne. Les hommes présentaient une fréquence plus élevée d'isolats microbiens (90,7%, 175/193) que les femmes (89,7%, 105/117), tandis que le groupe d'âge ≤ 40 ans présentait une fréquence plus élevée d'isolats microbiens (100.0%, 43/43) par rapport aux autres groupes d’âge, bien que les différences ne soient pas statistiquement significatives (p>0,05). La répartition des isolats a montré que 15,7% (44/280) étaient monomicrobiens tandis que 84,3% (236/280) étaient polymicrobiens. L'isolat le plus élevé était Bacteroides fragilis avec 5,0% (14/280), suivi de Staphylococcus aureus avec 3,2% (9/280). Bacteroides fragilis et S. aureus étaient les isolats bactériens combinés les plus élevés avec 5,7% (16/280). La plupart des patients étaient colonisés par une combinaison d’isolats bactériens. La sensibilité indique que la plupart des bactéries anaérobies étaient sensibles au métronidazole tandis que les isolats de S. aureus étaient résistants à l'ofloxacine à un taux de 65,0%. Conclusion: Les résultats de cette étude ont montré qu'il existe une forte colonisation bactérienne et fongique des ulcères du pied des patients diabétiques à Enugu, au Nigeria. Des soins de routine des plaies, des changements particulièrement fréquents des matériaux de pansement et l'utilisation d'antiseptiques puissants sont recommandés.
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Benaissa, A., A. Ould El Hadj-Khelil, A. Adamou, B. Babelhadj, M. Hammoudi und A. Riad. „Qualité de la viande de dromadaire dans les abattoirs de Ouargla en Algérie. II. Contamination bactérienne superficielle des carcasses“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, Nr. 4 (02.10.2015): 229. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20565.

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Dans le but d’apprécier la qualité microbiologique de la viande de dromadaire produite à l’abattoir de la wilaya de Ouargla en Algérie, la contamination superficielle d’origine bactérienne de 60 carcasses camelines a été évaluée. Les prélèvements ont été réalisés par écouvillonnage de trois sites (cuisse, flanc et épaule). Les échantillons ont été prélevés dans un intervalle d’une heure après l’abattage de l’animal, après le dépouillement, à la fin de l’éviscération et avant l’inspection post mortem. Les taux de germes ont varié en fonction des carcasses et des sites de prélèvement. La flore prédominante a été la flore aérobie mésophile totale, dont le niveau de contamination a été de 2,8 log UFC/cm2, représentant 25 p. 100 de la flore dénombrée, suivie par les entérobactéries avec 2,4 log UFC/cm2 (21 p. 100), les coliformes totaux avec 2,2 log UFC/cm2 (20 p. 100), les coliformes fécaux avec 2,0 log UFC/ cm2 (18 p. 100), et les staphylocoques avec 1,8 log UFC/cm2 (16 p. 100). La présence de souches de salmonelles et d’Escherichia coli a été détectée sur toutes les zones prélevées de la carcasse. La viande cameline de l’abattoir de Ouargla a présenté un niveau de contamination élevé par les germes pathogènes (salmonelles et staphylocoques). Une contamination fécale (E. coli) élevée a également été observée. De bonnes pratiques d’hygiène durant la phase d’abattage doivent être mises en œuvre afin de diminuer le niveau de contamination.
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QUENTEL, C., M. BREMONT und H. POULIQUEN. „La vaccination chez les poissons d’élevage“. INRAE Productions Animales 20, Nr. 3 (07.09.2007): 233–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3463.

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Les poissons, tout au moins les téléostéens, sont dotés d’un système immunitaire proche de celui des vertébrés supérieurs. Il est composé de deux systèmes majeurs, le système inné ou non spécifique et le système acquis, spécifique du pathogène. Les poissons sont capables de reconnaître un antigène et de développer une réponse immunitaire spécifique. Il est donc possible de les vacciner. Les poissons peuvent être immunisés selon plusieurs voies, l’injection, la balnéation et l’administration orale. Différents types de vaccins existent&nbsp;: des vaccins inactivés, qui sont pour l’essentiel des vaccins anti-bactériens produits par fermentation des bactéries suivie d’une inactivation au formol, des vaccins vivants atténués qui, dans un premier temps, ont été surtout étudiés vis-à-vis des maladies virales afin d’essayer de pallier la déficience des vaccins tués. Bien qu’efficaces par balnéation, ils ne sont pas commercialisés car incompatibles avec les stratégies de contrôle à la fois vétérinaire et environnemental. Enfin, avec le développement de la biologie moléculaire de nouveaux types de vaccins sont en cours d’élaboration chez les poissons comme les vaccins recombinants sub-unitaires dont l’efficacité n’a cependant pas été démontrée. Par contre, les résultats avec les vaccins à ADN sont très prometteurs et ces derniers devraient dans un avenir proche permettre d’optimiser la vaccination chez les poissons.
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Dicko, Hammadoun, und Et Al. „Prévalence des infections associées aux soins en réanimation au Mali“. Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 17, Nr. 1 (30.04.2022): 77–83. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v17i1.2231.

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Introduction : Ce travail a été initié pour faire un état des lieux des infections associées aux soins en réanimation et identifier les pathogènes en causes. Méthodes : Une étude prospective descriptive a été menée en réanimation à l’hôpital universitaire du Point G, Bamako. L’échantillon était constitué de 218 patients hospitalisés avec une durée de séjour de plus de 48 heures et qui ont été interrogés à l’aide d’un questionnaire standardisé. Notre étude s’est déroulée sur une période de 09 mois, Septembre 2020 à Juin 2021. Résultats : Notre étude a permis de recenser 64 patients atteints d’une infection associée aux soins. La prévalence était de 29,4%. Le taux d’incidence global d’épisode infectieux était de 33,5%. On notait une égalité entre les deux sexes avec un ratio de 1. L’âge moyen des patients était de 47,1 ± 22,2 ans. Les facteurs de risque ont été : la gravité de l’état pathologique des malades, les comorbidités associées et la fréquence des dispositifs médicaux invasifs. Parmi les infections associées aux soins, les bactériémies ont été les plus fréquentes (44,8%.), suivies des infections urinaires (32,9%.) et des PAVM (22,3%). L’hémoculture a été l’examen le plus réalisé (64) avec un taux de positivité de 50%. Les microorganismes retrouvés étaient les entérobactéries (bacilles Gram négatifs fermentant) ont été plus fréquents avec 36,8%, suivis des bacilles Gram négatifs non fermentant (23,7%), les levures (23,7%) et les Cocci Gram positif (15,8%). La mortalité était de 68,8%. Conclusion : au terme de cette étude, il ressort une augmentation de la prévalence des infections associées aux soins en réanimation avec une mortalité élevée
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Bissong, M. E. A., und M. Moukou. „Mobile phones of hospital workers: a potential reservoir for the transmission of pathogenic bacteria“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 23, Nr. 4 (24.10.2022): 407–15. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v23i4.9.

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Background: Mobile phones are increasingly associated with the transmission of pathogenic microbial agents. In the clinical setting where there is usually high exposure to pathogens, these devices may serve as vehicles for the transmission/spread of pathogens. This study determined the prevalence of bacterial contamination of mobile phones of health workers and the predisposing factors, in order to ascertain the risk of transmission of pathogenic bacteria through mobile phones.Methodology: This study was carried out in a private medical center at Mbouda, Cameroon, involving 78 health workers including health professionals (nurses, physicians, laboratory scientists) and hospital support workers (cleaners, cashiers and security guards), recruited by convenient sampling. Sterile swab sticks moistened with physiological saline were used to swab about three quarter of the surface of each phone. The swabs were cultured on MacConkey and Mannitol Salt agar plates which were incubated aerobically at 37oC for 24 hours, while Chocolate agar plate was incubated in a candle extinction jar for microaerophilic condition. The isolates were identified using standard biochemical tests including catalase, coagulase, and the analytical profile index (API) system. Data were analyzed using the Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 20.0.Results: Mobile phones of 75 of the 78 (96.2%) health workers were contaminated, with highest contamination rates for the phones of laboratory scientists (100%, 12/12), followed by support staff (98.9%, 13/14), nurses (97.7%, 43/44) and physicians (87.3%, 7/8), but the difference in contamination rates was not statistically significant (p=0.349). A total of 112 bacteria belonging to 12 genera were isolated, with predominance of Staphylococcus aureus (31.3%, n=35), Micrococcus spp (30.4%, n=34), coagulase negative staphylococci (10.7%, n=12) and Pseudomonas spp (5.4%, n=6). The laboratory (18.8%, 21/112) and medical wards (16.1%, 18/112) had the highest bacterial contamination of mobile phones (p=0.041), and more bacterial species were isolated from smartphones (68.8%, n=77/112) than keypad phones (31.2%, n=35/112) (p=0.032). There was no significant difference between phone contamination rates and the practice of hand hygiene or decontamination of work surfaces (p>0.05).Conclusion: The presence of potentially pathogenic bacteria on cell phones of health-care workers emphasizes the role of fomites in the transmission of infectious diseases. Consequently, good hand hygiene and decontamination practices are encouraged among health workers in order to limit the spread of hospital-acquired infections. Contexte: Les téléphones portables sont de plus en plus associés à la transmission d'agents microbiens pathogènes. Dans le cadre clinique où il y a généralement une forte exposition aux agents pathogènes, ces dispositifs peuvent servir de véhicules pour la propagation de la transmission des agents pathogènes. Cette étude a déterminé la prévalence de la contamination bactérienne des téléphones portables des agents de santé et les facteurs prédisposants, afin de déterminer le risque de transmission de bactéries pathogènes par les téléphones portables.Méthodologie: Cette étude a été réalisée dans un centre médical privé à Mbouda, au Cameroun, impliquant 78 agents de santé, y compris des professionnels de la santé (infirmiers, médecins, scientifiques de laboratoire) et des agents de soutien hospitalier (agents de nettoyage, caissiers et agents de sécurité), recrutés par échantillonnage pratique. Des écouvillons stériles humidifiés avec du sérum physiologique ont été utilisés pourécouvillonner environ les trois quarts de la surface de chaque téléphone. Les écouvillons ont été cultivés sur des plaques de gélose MacConkey et Mannitol Salt qui ont été incubées en aérobiose à 37°C pendant 24 heures, tandis que la plaque de gélose au chocolat a été incubée dans un pot d'extinction de bougie pour une condition microaérophile. Les isolats ont été identifiés à l'aide de tests biochimiques standard, notamment la catalase, la coagulase et le système d'indice de profil analytique (API). Les données ont été analysées à l'aide du package statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 20.0.Résultats: Les téléphones portables de 75 des 78 agents de santé (96,2 %) étaient contaminés, avec les taux de contamination les plus élevés pour les téléphones des scientifiques de laboratoire (100%, 12/12), suivis par le personnel de soutien (98,9%, 13/14), infirmières (97,7%, 43/44) et médecins (87,3%, 7/8), mais la différence de taux de contamination n'était pas statistiquement significative (p=0,349). Au total, 112 bactéries appartenant à 12 genres ont été isolées, avec une prédominance de Staphylococcus aureus (31,3%, n=35), Micrococcus spp (30,4%, n=34), staphylocoques à coagulase négative (10,7%, n=12) et Pseudomonas spp (5,4%, n=6). Le laboratoire (18,8%, 21/112) et les services médicaux (16,1%, 18/112) avaient la contamination bactérienne la plus élevée des téléphones portables (p=0,041), et plus d'espèces bactériennes ont été isolées des smartphones (68,8%, n=77/112) que les téléphones à clavier (31,2%, n=35/112) (p=0,032). Il n'y avait pas de différence significative entre les taux de contamination du téléphone et la pratique de l'hygiène des mains ou de la décontamination des surfaces de travail (p>0,05).Conclusion: La présence de bactéries potentiellement pathogènes sur les téléphones portables des travailleurs de la santé souligne le rôle des fomites dans la transmission des maladies infectieuses. Par conséquent, de bonnes pratiques d'hygiène des mains et de décontamination sont encouragées chez les agents de santé afin de limiter la propagation des infections nosocomiales.
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MOULOUNGUI, Z., E. LACROUX, C. VACA-GARCIA und J. PEYDECASTAING. „Destruction des farines animales : valorisation des fractions lipidiques en biolubrifiants et additifs biocarburants, et du résidu protéique (ou de l’ensemble)“. INRAE Productions Animales 17, HS (20.12.2004): 117–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3637.

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L’objectif des travaux est d’étudier la faisabilité de nouvelles voies d’élimination et de valorisation des farines animales. Nous abordons ici l’étude de deux voies de valorisation complémentaires et indépendantes: d’une part, la valorisation de la fraction lipidique en «biocarburant» et «biolubrifiant» et, d’autre part, celle du résidu délipidé ou de l’ensemble de la matrice dans la fabrication de matériaux polymères. Dans un premier temps, les études développées se proposent de mettre en oeuvre un suivi qualité selon les recommandations de la Direction Générale de l’Alimentation. Ensuite, l’étude de la mise en oeuvre d’outils d’extraction à haut débit et de méthodes rapides de caractérisation des constituants majeurs et mineurs a pour but de caractériser la matrice «farines animales». La connaissance de la composition de la matrice a gouverné l’orientation de la stratégie de transformation de la fraction lipidique axée sur les études de transfert d’acyles. Elle permet d’obtenir des acides gras à partir des lipides extraits, puis de les utiliser pour synthétiser des esters gras simples. En perspective, nous proposons d’associer cette méthodologie à des technologies spécifiques qui permettront d’envisager la décontamination des farines animales lors de leur transformation. La deuxième partie des travaux consiste à utiliser les farines animales ainsi que les farines obtenues après extraction des lipides comme matières premières dans le cadre d’une étude de faisabilité concernant de nouveaux matériaux polymères. Il s’agit de procéder à la déstructuration thermochimique des macromolécules animales (susceptible de dégrader l’agent pathogène) dans le but de les réduire à l’état de monomères destinés à participer à la synthèse d’un nouveau polymère. Les essais de liquéfaction de cette matrice en présence de phénol ont donné des résultats encourageants. La fabrication de matériaux polymères constituerait une voie de valorisation permettant d’écouler de grandes quantités de farines animales.
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Amor, A. Ben, I. Essaddam, H. Snene und S. Ben Becher. „Retentissement psychologique du diabète type 1 sur l’enfant. Expérience d’une unité de diabétologie pédiatrique“. European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S132. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.258.

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ObjectifL’objectif de notre travail est d’étudier le retentissement psychologique de diabète type 1 chez un échantillon d’enfants suivis par l’unité de diabétologie pédiatrique du service PUC de l’hôpital Béchir Hamza de Tunis.Patients et méthodesNotre étude est une enquête épidémiologique transversale de type descriptif des enfants vus en consultation externe ou au cours de l’hospitalisation pendant une période de 6 mois (juillet 2014–décembre 2014). Les informations sont recueillies sur le dossier médical et auprès des parents et/ou des enfants (quand l’âge est supérieur ou égal à 6 ans).RésultatsTrente-quatre enfants présentant un diabète de type 1 ont été colligés. L’âge moyen est de 9 ans (2–18 ans), 73,5 % ont une histoire familiale de diabète avec un lien de parenté du 1er degré dans 32 % des cas. Soixante-quatre pour cent avaient un diabète de type 2, la notion de diabète compliqué était présente dans 28 % des cas. La durée d’évolution de la maladie dans notre série est de 33 mois. 16,7 % des malades ont un fléchissement scolaire après le début du diabète, cause directe de redoublement dans 14,7 % des cas. 40 % des enfants cachent leur maladie à l’école et en société. Au total, 22,6 % des enfants ont présenté une dépression masquée sous forme de plaintes somatiques, 54,8 % ont présenté des troubles de comportement après l’annonce de diagnostic dont 82,4 % sous forme d’agressivité. De plus, 6,9 % des malades ont présenté des équivalents suicidaires (auto-injection de doses élevées d’insuline, consommation excessive de sucreries, mise en danger…) 18,8 % ont verbalisé un besoin de consulter en pédopsychiatrie.ConclusionIl est fondamental de bien comprendre la réaction de l’enfant face à sa maladie chronique, qui peut parfois produire ou renforcer des modes relationnels pathogènes restructurant les défenses de l’enfant sur un mode pathologique. Un dépistage précoce avec une prise en charge multidisciplinaire est nécessaire.
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Dembele, A., B. Maiga, ME Cissé, P. Togo, A. Diarra, AK Doumbia und Et Al. „Septicémie dans le service des Urgences Pédiatriques du CHU-Gabriel Toure“. Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 15, Nr. 2 (27.11.2020): 67–71. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v15i2.1735.

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Introduction : Affection potentiellement mortelle, la septicémie se caractérise par des décharges importantes et répétées dans le sang, de germes pathogènes et de leurs poisons provenant d'un foyer, créant une infection générale grave conduisant à un dysfonctionnement d'organe. Sa gravité devient maximale quand, dans certaines circonstances tenant à la nature du germe et au terrain, elle se complique d'un choc toxi-infectieux au pronostic toujours redoutable. Au Mali, il existe peu d'étude nationale sur la septicémie et sa prévalence. L'objectif de notre étude était d'étudier les aspects cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutifs de la septicémie au service des urgences pédiatriques du CHU Gabriel Touré. Matériels et Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive allant du 1er Janvier 2017 au 31 Décembre 2018, soit 24 mois chez les enfants de 1 mois à 15 ans. Les données ont été recueillies sur une fiche d'enquête individuelle à partir des dossiers des malades hospitalisés et le registre des permanents du CVD (Centre de Développement des Vaccins). Résultats : Pendant la période d'étude, 5919 enfants ont été hospitalisés. La septicémie a été évoquée chez 378 dont 43 patients répondaient aux critères d'inclusion soit une fréquence de 11,38%. La tranche d'âge de 1 à 24 mois était la plus touchée avec 53,49 %. Le sex ratio était de 0,34. Tous les patients (100 %) présentaient une fièvre élevée à l'admission suivie de la détresse respiratoire (48,84 %) et de l'altération de l'état général (34,88 %). La porte d'entrée était majoritairement cutanée et ostéo-articulaire avec 41,86 % et 18,60 %. Le staphylococcus aureus a été le germe le plus isolé à l'hémoculture (25 cas sur 37 hémocultures positives) soit 67,57 %. La tri-antibiothérapie et la bi-antibiothérapie ont été les plus utilisées à proportion égale, 83,72%. Les Céphalosporines de 3ième génération ont été les plus prescrites. L'évolution a été marquée par 44,18 % de décès. Conclusion : Il y a encore de nombreux progrès à accomplir concernant le diagnostic, l'approche thérapeutique et la surveillance des patients car la mortalité reste toujours importante.
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Tessier, Claire, Laure Atiana, Eric Cardinale und Martine Denis. „Salmonella dans la filière porcine à la Réunion : étude longitudinale de la ferme à la fourchette“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, Nr. 3 (30.06.2015): 117. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10168.

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Salmonella est le principal agent zoonotique pathogène en Europe après Campylobacter (2). Les produits à base de viande de porcs sont souvent incriminés. Cependant, ce pathogène est difficilement détectable en élevage puisque le portage est asymp­tomatique. Malgré une localisation tropicale, la filière porcine de la Réunion est également concernée par ce problème (1).L’objectif de cette étude a été d’identifier les différentes voies de contamination tout au long de la filière porcine. Pour cela, un lot de porcs (sélection de trois truies par lot et cinq porcelets par truie) dans trois élevages positifs en salmonelles ont été suivis depuis la mise bas jusqu’au produit fini. Au stade de l’élevage, l’excrétion de salmonelles a été mise en évidence par des prélèvements indi­viduels de fèces quelques jours après la mise bas, puis pendant la nurserie, le postsevrage et l’engraissement. Des échantillons d’ali­ment et d’eau ainsi que des prélèvements d’environnement par chiffonnage (salles et couloir avant transfert, abords de l’élevage, autres productions animales sur le site) ont également été collectés à chaque visite.Au stade de l’abattoir et de l’atelier de découpe, des chiffonnettes ont été prélevées à différentes étapes avant le passage du lot (camion de transport et box d’attente après nettoyage et désin­fection, matériel sur la chaîne d’abattage et de découpe avant le début de l’abattage du jour) ainsi que sur les animaux identifiés (dos des porcs à l’entrée à l’abattoir et carcasses après la deuxième flagelleuse, avant et après le froid-choc). Les caecums ainsi que des produits de découpes (côte et rouelle de porc) provenant du lot d’étude ont également été échantillonnés.La méthode de détection de Salmonella a été adaptée à partir de la norme ISO 6579 Annexe D (4). La quantification de Salmonella par la méthode mini-MSRV (3) a également été réalisée sur les prélèvements de fèces collectées pendant la croissance à l’élevage. Tous les isolats ont été sérotypés et génotypés par électrophorèse sur gel en champ pulsé (PFGE) en utilisant l’enzyme XbaI (5).Sur les 879 échantillons collectés, 27 p. 100 (79/293), 28,2 p. 100 (82/291) et 22,7 p. 100 (67/295) étaient positifs respectivement pour les élevages A, B et C. Les 908 isolats appartenaient à 55 pulsotypes et 14 sérotypes ; S. 4,[5],12:i:-, S. Rissen, S. Typhimurium et S. Livingstone ont été prédomi­nants (tableau I). Les tableaux II et III montrent la distribution des pulsotypes de l’élevage B. Au stade de la maternité, tous les porcelets étaient négatifs et seulement une truie a excrété Salmonella à une seule occasion. L’infection des porcs a été observée après le sevrage (élevages A et B) mais aussi pendant l’engraissement (élevage C). L’infection à Salmonella a duré entre 34 et 40 jours en moyenne, avec des taux d’excrétion très variables pendant la croissance des animaux. L’excrétion a été plus élevée dans les caecums que dans les fèces. En élevage, les pulsotypes excrétés par les porcs ont été identiques à ceux isolés des box après le nettoyage et la désinfection, et du couloir avant le transfert des animaux.
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Niang, M., M. Diallo, Ousmane Cissé, Mamadou Koné, M. Doucouré, Dominique Le Grand, Valérie Balcer und Laurence Dedieu. „Transmission expérimentale de la péripneumonie contagieuse bovine par contact chez des zébus : étude des aspects cliniques et pathologiques de la maladie“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, Nr. 1-2 (01.01.2004): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9908.

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Une reproduction expérimentale de péripneumonie contagieuse bovine (Ppcb) a été effectuée par mise en contact étroit de quatorze zébus sains avec 12 bovins N’Dama naturellement infectés, issus d’un foyer actif de Ppcb. Les zébus sains ont été obtenus de différents troupeaux indemnes de Ppcb et non vaccinés contre la maladie depuis plusieurs années. Quatre zébus témoins, n’ayant jamais été en contact avec l’agent pathogène Mycoplasma mycoides subsp. mycoides Small Colony (MmmSC), ont été isolés. L’expérimentation a duré 12 mois pendant lesquels tous les animaux ont été suivis cliniquement et prélevés à intervalles réguliers pour les analyses sérologiques et bactériologiques. Une analyse post mortem a été réalisée sur tous les animaux afin de déceler des lésions caractéristiques de la Ppcb et de prélever des échantillons pour l’isolement de MmmSC. L’ensemble des résultats a montré l’efficacité de transmission de la Ppcb par contact. Les animaux ont été classés en trois groupes en fonction de l’intensité des signes cliniques et post mortem, et des résultats de laboratoire : forme aiguë avec deux morts (5/13), forme subaiguë à chronique (6/13) et forme résistante (2/13). Les animaux ayant cliniquement manifesté la maladie ont présenté des lésions nécropsiques variées (hépatisation, séquestres, liquide pleural, adhérence pulmonaire, cicatrices fibreuses, etc.) ainsi qu’une séroconversion. MmmSC a pu être isolé des poumons hépatisés et du contenu des séquestres. En revanche, deux animaux, classés résistants, n’ont jamais présenté de signes clinique ni sérologique. Les animaux témoins sont demeurés cliniquement sains durant toute la période d’expérimentation ; à l’autopsie aucune lésion caractéristique de la Ppcb n’a été notée et les analyses de laboratoire sont restées négatives. La présente étude confirme les observations antérieures selon lesquelles la Ppcb peut être transmise avec succès aux bovins par contact. Ces résultats permettent de définir les bases expérimentales pour de futures études telles que la caractérisation des réponses immunes et pathologiques des bovins aux différentes phases et formes de la maladie.
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Auguste-Denise, Boyé Mambé, Boumi Demin Marcos, Kouadio N’Gonian Serge, Acka Franck Borel, Kouadio Yatty Justin und Niaba Pierre Valérie. „Inventaire Et Identification Des Dégâts Des Insectes Infestant Les Plants De Manioc (Manihot Esculenta Crantz) À Deux Et Huit Mois Après Plantation Et Essai De Lutte Biologique Dans La Localité De Daloa (Côte d’Ivoire)“. European Scientific Journal, ESJ 18, Nr. 14 (30.04.2022): 180. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n14p180.

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Le manioc est devenu un aliment de base des populations de Côte d’Ivoire. La présente étude qui lui est consacrée a été réalisée dans la période d'avril à octobre 2020 et avait pour objectif d'établir l'inventaire de l'entomofaune qui lui est associée, trouver leurs dégâts afin de mettre en place une stratégie de lutte pouvant réduire ces pathogènes. Cette étude a été réalisée sur deux variétés de manioc : Bocou 1 et Yavo. Plusieurs méthodes ont été utilisées pour la collecte des insectes à savoir : le piégeage, la capture à la main et au filet fauchoir. Les résultats ont montré une entomofaune très diversifiée avec 12 ordres d’insectes parmi lesquels il peut être cité : les Hétéroptères (les plus nombreux), suivis des Diptères, des Thysanoptères, des Coléoptères, des Hyménoptères et des Orthoptères. Ces insectes ravageurs sont vecteurs de plusieurs maladies dont la virose avec une incidence de 38,88% chez la variété Bocou 1, la bactériose avec une incidence de 85,55% chez la variété Yavo et 67,77% chez la variété Bocou 1. La solution aqueuse à base de neem a été également utilisée afin de lutter contre ces ravageurs. Cette solution s’est montrée efficace contre les insectes ravageurs des cultures de manioc. Cette étude a donc permis de faire l'inventaire de quelques insectes associés au manioc dans cette localité et d’établir une méthode de lutte biologique. Cassava has become a staple food for people in Côte d'Ivoire. The present study devoted to it was carried out in the period from April to October and aims to establish an inventory of the entomofauna associated with it, to find their damage in order to set up a control strategy that can reduce these pathogens. This study was carried out on two varieties of cassava: Bocou 1 and Yavo. Several methods were used for the collection of insects namely: trapping, capture by hand and with a hay net. The results showed a very diverse entomofauna with 12 orders of insects among which we can cite: Heteroptera, the most numerous, followed by Diptera, Thysanoptera, Coleoptera, Hymenoptera, Orthoptera. These insect pests are vectors of several diseases including virosis with an incidence of 38.88% in variety Bocou 1, bacteriosis with an incidence of 85.55% in variety Yavo and 67.77% in variety Bocou 1. The aqueous solution based on neem has also been used to control these pests. This solution has been shown to be effective against insect pests of cassava crops. This study therefore made it possible to make an inventory of some insects associated with cassava in this locality and to establish a method of biological control.
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Salé Charles, Essomé, Ngoh Dooh Jules Patrice, Heu Alain, Ndogho Pegalepo Angèle, Ngatsi Zemko Patrice, Chewachong Godwill und Ambang Zachee. „Évaluation des activités antifongiques des extraits de graines de Thevetia peruviana contre Phytophthora colocasiae (Oomycètes) agent causal du mildiou du taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) au Cameroun“. Journal of Applied Biosciences 151 (31.07.2020): 15584–97. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.7.

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Objectif : Le mildiou du taro dû à Phytophthora colocasiae est l’affection la plus importante de cette culture au Cameroun depuis près d’une décennie. Cette étude a été réalisée pour évaluer l’activité antifongique des extraits des graines du laurier jaune scéniquement appelé Thevetia peruviana (Appocynacées) sur le développement in vitro de P. colocasiae et in vivo sur les fragments des feuilles infectées artificiellement. Méthodologie et résultats : les extraits de T. peruviana ont été préparés à partir des solvants : eau, méthanol, acétone et acétate d’éthyle aux concentrations respectives de 12,5 ; 25 ; 50 et 100 mg/ml. Une solution de 20 µl des fructifications de P. colocasiae isolé des feuilles infectées du cultivar de taro «Macumba» puis cultivé sur milieu V8-Agar, a été utilisée à une concentration de 5x104 sporanges/ml. Pour les tests in vitro, des explants de P. colocasiae d’environ 0,8 cm de diamètre ont été déposés dans des boîtes de Pétri stériles contenant le milieu PDA supplémenté avec les différentes concentrations d’extraits, et mises en incubation à 23±1°C pendant sept jours pour l’évaluation de la croissance radiale. La sensibilité in vivo du pathogène aux extraits s’est faite sur des fragments de feuilles de taro par application de 20 µl de suspension sporangiale de P. colocasiae suivie de 20 µl d’extrait. Les résultats obtenus in vitro ont montré que les extraits aqueux, méthanoliques et à l’acétate d’éthyle ont totalement inhibé la croissance de l’agent pathogène à 25 mg/ml, tandis que l’extrait à l’acétone a inhibé la croissance à 12,5 mg/ml. Les fragments de feuilles inoculés au champignon et traités à l’extrait à l’acétone n’ont pas développé les symptômes du mildiou après cinq jours d’inoculation du pathogène. Conclusion et application potentielle : L’extrait des graines de T. peruviana à l’acétone à la dose de 12,5 mg/ml a inhibé totalement la croissance radiale de P. colocasiae in vitro. Cet extrait s’est révélé efficace contre P. colocasiae et peut donc constituer une alternative de lutte contre le mildiou du taro. L’activité de cet extrait était comparable à celle du fongicide synthétique de référence (le Callomil plus 72 WP) utilisé. Les extraits bruts des graines de T. peruviana renfermeraient un grand nombre de composés bioactifs, qui une Essomé et al., J. Appl. Biosci. 2020 Évaluation des activités antifongiques des extraits de graines de Thevetia peruviana contre Phytophthora colocasiae (Oomycètes) agent causal du mildiou du taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) 15585 fois purifiés, pourraient présenter une activité antifongique assez levée au même titre que les fongicides synthétiques. Cette étude préliminaire constitue une base pour des essais futurs dans les conditions naturelles. Mots clés : extraits bruts, Thevetia peruviana, activités antifongiques, Phytophthora colocasiae, Colocasia esculenta. ABSTRACT Evaluation of antifungal activities of Thevetia peruviana extracts against Phytophthora colocasiae, causal agent of late blight of taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) in Cameroon. Objective: Taro leaf blight caused by Phytophthora colocasiae is the most devastating disease in taro production in Cameroon for one decade now. This study was conducted to evaluate the antifungal activities of extracts from Thevetia peruviana (yellow oleander) seeds on the in vitro growth of the fungus as well as on detached taro leaf fragments infected artificially. Methodology and Results: Aqueous, methanolic, acetone and ethlyl acetate extracts of T. peruviana were prepared and used at concentrations of 12.5, 25, 50 and 100 mg / ml. P. colocasiae was isolated from an infected taro leaf cultivar "Macumba or Ibo coco" in V8 agar medium and maintained in pure culture from which a suspension of 5 x 104 sporangia/ml was prepared. Mycelial fragments of P. colocasiae of about 0.8 cm in diameter were cut and placed in sterile Petri dishes containing Potato Dextrose Agar (PDA) medium supplemented with different concentrations of plant extracts and incubated at 23±1°C for seven days for the evaluation of the radial growth. In vivo sensitivity of the pathogen to plant extracts was done by application of 20 µl of sporangial suspension on taro leaves followed by 20 µl of each extract. The results obtained showed that the methanolic, ethyl acetate, and aqueous extracts completely inhibited the growth of the pathogen at 25 mg/ml while total inhibition of the pathogen was obtained with acetone extract at 12.5 mg/ml. No symptoms were observed on leaf fragments that received a drop of the fungus and acetone extract. Conclusion and potential application: The acetone extract at the concentration of 12.5 mg/ml totally inhibited the in vitro radial growth of P. colocasiae and significantly delayed the development of the disease on leaf fragments. This extract, active against P. colocasiae could be used as alternative to fungicides for the control of taro leaf blight. This activity was comparable to that of the reference fungicide used: Callomil plus 72 WP. These extracts are still crude and may contain a large number of different compounds, which after purification could present even a better activity than the fungicides used. This preliminary study provides a base line for future trials in natural conditions in greenhouse and in the field. Keywords: Crude extracts, Thevetia peruviana, antifungal activities, Phytophthora colocasiae, taro.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT und D. SAUVANT. „Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?“ INRAE Productions Animales 25, Nr. 3 (25.08.2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Sakr, S., M. Abboud, K. Tawbeh, B. Hamam und I. Sheet. „A retrospective study of antibiotic resistance patterns of bacterial pathogens isolated from patients in two Lebanese hospitals for two consecutive years (2018 and 2019)“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, Nr. 3 (02.07.2021): 377–90. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i3.9.

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Background: Misuse of antibiotics is the leading factor promoting emergence of bacterial resistance, a situation that has become a serious public health challenge. Among the leading bacteria that have developed resistance to antibiotics are Staphylococcus aureus, Enterococcus faecalis, Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae and Pseudomonas aeruginosa, which have caused infections in patients, resulting in considerable mortality. The objective of this retrospective study was to assess antibiotic resistance rates of bacterial pathogens isolated from clinical specimens in two Lebanese hospitals between the years 2018 and 2019. Methodology: Bacteria isolated from routine clinical specimens collected from hospitalized patients in two hospitals, Haroun and Bekaa, in Lebanon for 2018 and 2019, were analyzed. Bacteria isolation and identification were carried out at the laboratory of each hospital using conventional microbiological methods. Antimicrobial susceptibility testings (AST) of each bacterial isolate to antibiotics were performed by the disc diffusion test and interpreted using EUCAST, CLSI or WHO/AST guidelines. Comparisons of the mean resistance rates of each isolate to individual antibiotics by year of isolation were done using the Z-test and p< 0.05 was considered statistically significant. Results: There were a total of 1698 bacteria isolates recovered from hospitalized patients in the two hospitals for 2018 and 2019, of which 87.5% were Gram-negative and 12.5% were Gram-positive bacteria. The most frequent among the Gram-negative isolates was E. coli (66.1%) followed by P. aeruginosa (13.3%), K. pneumoniae (7.7%), Proteus mirabilis (6.7%) and Enterobacter spp (6.3%), while coagulase positive staphylococci CoPS (68.4%) and E. faecalis (31.6%) were the two Gram positive isolates. Of the Gram-negative isolates over the two-year period, 72.2% of E. coli and 76.3% of K. pneumoniae were resistant to ceftazidime, 93% of P. mirabilis to colistin, and 98% of Enterobacter to cefoxitin, but low resistance rates were demonstrated by E. coli to imipenem (1%), K. pneumoniae to tigecycline and amikacin (0.9%), P. mirabilis to imipinem (2%), and Enterobacter to amikacin, ertapenem and tigecycline (3%). Resistance of P. aeruginosa varied between 2% to colistin and 24% to levofloxacin. For the Gram-positive bacteria, 79.1% of E. faecalis were resistant to erythromycin while 70% of CoPS were resistant to cefoxitin, but no isolate was resistant (0%) to linezolid, and only 1% to teicoplanin. Except for Enterobacter spp that showed significant increase in resistance rates (by 250%) to piperacillin/tazobactam in 2019 over 2018, resistance rates of other Gram-negative isolates significantly decreased in 2019 compared to 2018 (p<0.05). For the Gram-positive isolates, resistance rates to many antibiotics tested significantly increased (by a factor of 36.5 - 2569%) in 2019 compared to 2018 among E. faecalis isolates in contrast to the rates for CoPS which significantly decreased by 16.7 - 65.7%, except for penicillin G which increased by a factor of 123%. Conclusion: Overuse and misuse of antibiotics, which is possible because of the easy access of the populace to these drugs, is a leading factor contributing to the high antibiotic resistance rates in this study. There is need to promote awareness of antimicrobial resistance in Lebanon among students especially in non-health related majors and enactment of govermental policy that will limit access to antibiotics. Keywords: antibiotic resistance; changing pattern; hospitalized patients; retrospective French title: Une étude rétrospective des profils de résistance aux antibiotiques de pathogènes bactériens isolés de patients dans deux hôpitaux libanais pendant deux années consécutives (2018 et 2019) Contexte: La mauvaise utilisation des antibiotiques est le principal facteur favorisant l'émergence de la résistance bactérienne, une situation qui est devenue un sérieux défi de santé publique. Parmi les principales bactéries qui ont développé une résistance aux antibiotiques figurent Staphylococcus aureus, Enterococcus faecalis, Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae et Pseudomonas aeruginosa, qui ont provoqué des infections chez les patients, entraînant une mortalité considérable. L'objectif de cette étude rétrospective est d'évaluer les taux de résistance aux antibiotiques des pathogènes bactériens isolés à partir d'échantillons cliniques dans deux hôpitaux Libanais entre les années 2018 et 2019. Méthodologie: Les isolats bactériens prélevés sur des patients hospitalisés dans deux hôpitaux, Haroun et Bekaa, au Liban pour 2018 et 2019, ont été analysés. L'isolement et l'identification des bactéries ont été réalisés au laboratoire de chaque hôpital en utilisant des méthodes microbiologiques conventionnelles. Les tests de sensibilité aux antimicrobiens (AST) de chaque isolat bactérien aux antibiotiques ont été réalisés par le test de diffusion sur disque et interprétés selon les directives EUCAST, CLSI ou WHO/AST. Des comparaisons des taux moyens de résistance de chaque isolat à des antibiotiques individuels par année d'isolement ont été effectuées à l'aide du test Z et p<0,05 a été considéré comme statistiquement significatif. Résultats: Il y a eu un total de 1698 isolats de bactéries récupérés de patients hospitalisés dans les deux hôpitaux durant 2018 et 2019, dont 87,5% étaient à Gram négatif et 12,5% étaient des bactéries à Gram positif. Les isolats à Gram négatif les plus fréquents étaient E. coli (66,1%), suivis de P. aeruginosa (13,3%), K. pneumoniae (7,7%), Proteus mirabilis (6,7%) et Enterobacter spp (6,3%), tandis que les staphylocoques à coagulase positive CoPS (68,4%) et E. faecalis (31,6%) étaient les deux isolats Gram positifs. Parmi les isolats à Gram négatif sur la période de deux ans, 72,2% d'E. coli et 76,3% de K. pneumoniae étaient résistants à la ceftazidime, 93% de P. mirabilis à la colistine et 98% d'Enterobacter à la céfoxitine, mais faible les taux de résistance ont été démontrés par E. coli à l'imipénem (1%), K. pneumoniae à la tigécycline et à l'amikacine (0,9%), P. mirabilis à l'imipinem (2%) et Enterobacter à l'amikacine, à l'ertapénem et à la tigécycline (3%). La résistance de P. aeruginosa variait entre 2% à la colistine et 24% à la lévofloxacine. Pour les bactéries Gram positif, 79,1% des E. faecalis étaient résistantes à l'érythromycine tandis que 70% des CoPS étaient résistantes au céfoxitin, mais aucun isolat n'était résistant (0%) au linézolide et seulement 1% à la teicoplanine. À l'exception d'Enterobacter spp qui ont montré une augmentation significative des taux de résistance (de 250%) à la pipéracilline/tazobactam en 2019 par rapport à 2018, les taux de résistance des autres isolats à Gram négatif ont considérablement diminué en 2019 par rapport à 2018 (p<0,05). Pour les isolats Gram-positifs, les taux de résistance à de nombreux antibiotiques testés ont augmenté de manière significative (d'un facteur de 36,5 à 2569%) en 2019 par rapport à 2018 parmi les isolats d'E. faecalis contrairement aux taux de CoPS qui ont significativement diminué de 16,7 à 65,7%, à l'exception de la pénicilline G qui a augmenté d'un facteur de 123%. Conclusion: la surutilisation et la mauvaise utilisation des antibiotiques, ce qui est possible en raison de l'accès facile de la population à ces médicaments, est l'un des principaux facteurs contribuant aux taux élevés de résistance aux antibiotiques dans cette étude. Il est nécessaire de promouvoir la sensibilisation à la résistance aux antimicrobiens au Liban parmi les étudiants, en particulier dans les spécialisations non liées à la santé, et la promulgation d'une politique gouvernementale qui limitera l'accès non contrôlé aux antibiotiques. Mots clés: résistance aux antibiotiques; changement de modèle; patients hospitalisés; rétrospective
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Jamiu, M. O., A. O. Okesola, V. O. Ogunleye und P. E. Fasulu. „Prevalence of and factors associated with significant bacteriuria among pregnant women attending the antenatal clinic of Adeoyo Maternity Hospital, Yemetu, Ibadan, Nigeria“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, Nr. 4 (27.09.2021): 489–97. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.9.

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Background: Significant bacteriuria is commonly reported in pregnancy which greatly predisposes pregnant women to urinary tract infection (UTI), one of the commonest health challenges in pregnancy worldwide especially in developing countries such as Nigeria. The objectives of this study are to determine the prevalence of and factors associated with significant bacteriuria among pregnant women attending the antenatal clinic (ANC) of Adeoyo Maternity Hospital, Yemetu, Ibadan, Nigeria, as well as determine the bacterial aetiology and antimicrobial susceptibility patterns of the isolates.Methodology: This is a laboratory-based cross-sectional study of 206 pregnant women between the ages of 15 and 47 years attending the ANC of the hospital, selected by simple random sampling method. Demographic and clinical data were obtained from the subjects using a structured questionnaire. Clean-catch specimen of mid-stream voided urine was collected from each subject participant. Urine samples were processed for culture and isolation of significant bacterial pathogens using standard bacteriological methods, and isolates identified to species level by the combination of colony morphology, Gram reaction, conventional biochemical tests and Analytical Profile Index (API) 20E test kits. Antibiotic susceptibility testing of the isolates to selected antibiotics was performed using the disk diffusion method.Results: The prevalence of significant bacteriuria in the study population was 8.7% (18/206), with 27.8% (5/18) symptomatic and 72.2% (13/18) asymptomatic. All isolated bacteria were Gram-negative with the most frequent being Escherichia coli 9 (50.0%), followed by Klebsiella pneumoniae 6 (33.3%), Pseudomonas aeruginosa 1 (5.6%), Acinetobacter haemolyticus 1 (5.6%) and Enterobacter aerogenes 1 (5.6%). The isolates were most sensitive to gentamicin (100%) and nitrofurantoin (94.4%), while they demonstrated highest resistance to amoxicillin-clavulanic acid (33.3%). Significant bacteriuria was associated with pyuria (p=0.01) and past history of UTI (p=0.004).Conclusions: The high prevalence of asymptomatic significant bacteriuria in this study necessitates the need for screening and treatment of pregnant women for this entity to prevent the subsequent development of UTI that may have grave consequences on pregnancy outcome. French title: Prévalence et facteurs associés à une bactériurie significative chez les femmes enceintes fréquentant la clinique prénatale de la maternité Adeoyo, Yemetu, Ibadan, Nigéria Contexte: Une bactériurie importante est couramment signalée pendant la grossesse, ce qui prédispose grandement les femmes enceintes aux infections des voies urinaires (IVU), l'un des problèmes de santé les plus courants pendant la grossesse dans le monde, en particulier dans les pays en développement comme le Nigéria. Les objectifs de cette étude sont de déterminer la prévalence et les facteurs associés à une bactériurie significative chez les femmes enceintes fréquentant la clinique prénatale (CPN) de l'hôpital de maternité Adeoyo, Yemetu, Ibadan, Nigéria, ainsi que de déterminer l'étiologie bactérienne et les modèles de sensibilité aux antimicrobiens de les isolats. Méthodologie: Il s'agit d'une étude transversale en laboratoire portant sur 206 femmes enceintes âgées de 15 à 47 ans fréquentant les CPN de l'hôpital, sélectionnées par une méthode d'échantillonnage aléatoire simple. Les données démographiques et cliniques ont été obtenues auprès des sujets à l'aide d'un questionnaire structuré. Un échantillon propre d'urine évacuée à mi-chemin a été recueilli auprès de chaque participant sujet. Les échantillons d'urine ont été traités pour la culture et l'isolement d'agents pathogènes bactériens importants à l'aide de méthodes bactériologiques standard, et les isolats ont été identifiés au niveau de l'espèce par la combinaison de la morphologie de la colonie, de la réaction de Gram, des tests biochimiques conventionnels et des kits de test de l'indice de profil analytique (API) 20E. Les tests de sensibilité aux antibiotiques des isolats aux antibiotiques sélectionnés ont été effectués à l'aide de la méthode de diffusion sur disque. Résultats: La prévalence de la bactériurie significative dans la population étudiée était de 8,7% (18/206), avec 27,8% (5/18) symptomatique et 72,2% (13/18) asymptomatique. Toutes les bactéries isolées étaient Gram-négatives, la plus fréquente étant Escherichia coli 9 (50,0%), suivie de Klebsiella pneumoniae 6 (33,3%), Pseudomonas aeruginosa 1 (5,6%), Acinetobacter haemolyticus 1 (5,6%) et Enterobacter aerogenes 1 (5,6%). Les isolats étaient les plus sensibles à la gentamicine (100%) et à la nitrofurantoïne (94,4%), alors qu'ils présentaient la résistance la plus élevée à l'amoxicilline-acide clavulanique (33,3%). Une bactériurie significative était associée à une pyurie (p=0,01) et à des antécédents d'infection urinaire (p=0,004). Conclusions: La prévalence élevée de bactériurie significative asymptomatique dans cette étude nécessite le dépistage et le traitement des femmes enceintes pour cette entité afin de prévenir le développement ultérieur d'infections urinaires pouvant avoir de graves conséquences sur l'issue de la grossesse.
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Oyedum, U. M., F. A. Kuta, S. A. Garba und S. O. Enejiyon. „Comparative analysis of the phytochemical and antibacterial activity of the root extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, Nr. 4 (27.09.2021): 504–14. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.11.

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Background: Over time, herbal plants and their various components have been major sources of therapeutic medicine for man. A comparative study was carried out to determine the phytochemical components and antibacterial activities of the different crude extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa roots on four enteric bacteria; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli and Proteus vulgaris.Methodology: Root samples of E. heterophylla and V. paradoxa were collected, washed, air dried and processed to fine powder in the microbiology laboratory of Federal University of Technology, Minna, Nigeria. Crude extract of the root samples was done by the cold maceration technique using four solvents (chloroform, methanol, petroleum ether and water). Phytochemical analysis of the extracts was done using previously described technique, and in vitro antibacterial activities of different concentrations of the extracts (50-200 mg/ml) and a standard antibiotic (ciprofloxacin) were tested on four enteric bacteria (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) by the agar diffusion test. In vivo antibacterial activities of the two plants were also tested by daily oral administration of 2000 mg/kg bodyweight (for 7 days) of each extract on inbred mice infected through intraperitoneal inoculation of an infective dose of each of the four enteric bacteria. Data were computed as mean ± standard error and analysed by the Statistical Analysis System (SAS) version 9.4. Associations between variables were determined using analysis of variance (ANOVA), with p < 0.05 considered as significant value.Results: Phytochemical analysis of the crude extracts of both plants revealed the presence of cardiac glycosides, saponins, alkaloids, flavonoids, and tannins but V. paradoxa contain more carbohydrates and starch, and less phlobatannins, compared to E. heterophylla. In vitro assay showed dose-dependent antibacterial activity of the methanol, aqueous and chloroform (but not petroleum ether) extracts of the two plant roots. The in vitro antibacterial activities of the different extracts of V. paradoxica extracts were significantly higher (higher mean diameters of inhibition zones) than those of E. heterophylla (p<0.05), and methanol extracts gave the highest antibacterial effects. However, the root extract of E. heterophylla gave a higher antibacterial activity with the in vivo assay on inbred mice than V. paradoxa, and methanol extracts of the two plant extracts gave the highest in vivo activity, followed by aqueous extract and least activity was obtained with the chloroform extract.Conclusion: Crude extracts of E. heterophylla and V. paradoxa roots produce antibacterial activity against enteric Gram-negative bacteria pathogens involved in diarrhoea illnesses. Further researches should be directed towards isolation and characterization of the active compounds in the crude extracts. French title: Analyse comparative de l'activité phytochimique et antibactérienne des extraits de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa Contexte: Au fil du temps, les plantes médicinales et leurs divers composants ont été une source majeure de médecine thérapeutique pour l'homme. Une étude comparative a été réalisée pour déterminer les composants phytochimiques et les activités antibactériennes des différents extraits bruts de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa sur quatre bactéries entériques; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli et Proteus vulgaris. Méthodologie: Des échantillons de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa ont été collectés, lavés, séchés à l'air et transformés en poudre fine dans le laboratoire de microbiologie de l'Université fédérale de technologie, Minna, Nigéria. L'extraction brute des échantillons de racines a été réalisée par la technique de macération à froid en utilisant quatre solvants (chloroforme, méthanol, éther de pétrole et eau). L'analyse phytochimique des extraits a été effectuée en utilisant la technique décrite précédemment, et les activités antibactériennes in vitro de différentes concentrations des extraits (50-200 mg/ml) et d'un antibiotique standard (ciprofloxacine) ont été testées sur quatre bactéries entériques (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) par le test de diffusion sur gélose. Les activités antibactériennes in vivo des deux plantes ont également été testées par administration orale quotidienne de 2000 mg/kg de poids corporel (pendant 7 jours) de chaque extrait sur des souris consanguines infectées par inoculation intrapéritonéale d'une dose infectieuse de chacune des quatre bactéries entériques. Les données ont été calculées en tant que moyenne ± erreur standard et analysées par le système d'analyse statistique (SAS) version 9.4. Les associations entre les variables ont été déterminées à l'aide d'une analyse de variance (ANOVA), avec p < 0,05 considéré comme une valeur significative. Résultats: L'analyse phytochimique des extraits bruts des deux plantes a révélé la présence de glycosides cardiaques, de saponines, d'alcaloïdes, de flavonoïdes et de tanins mais V. paradoxa contient plus de glucides et d'amidon, et moins de phlobatannins, par rapport à E. heterophylla. Un essai in vitro a montré une activité antibactérienne dose-dépendante des extraits au méthanol, aqueux et au chloroforme (mais pas à l'éther de pétrole) des deux racines des plantes. Les activités antibactériennes in vitro des différents extraits d'extraits de V. paradoxica étaient significativement plus élevées (diamètres moyens des zones d'inhibition plus élevés) que celles d'E. heterophylla (p<0,05), et les extraits au méthanol ont donné les effets antibactériens les plus élevés. Cependant, l'extrait de racine d'E. heterophylla a donné une activité antibactérienne plus élevée avec le test in vivo sur des souris consanguines que V. paradoxa, et les extraits au méthanol des deux extraits de plantes ont donné l'activité in vivo la plus élevée, suivie par l'extrait aqueux et l'activité la plus faible a été obtenu avec l'extrait chloroformique. Conclusion: Des extraits bruts de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa produisent une activité antibactérienne contre les bactéries pathogènes entériques à Gram négatif impliquées dans les maladies diarrhéiques. D'autres recherches devraient être dirigées vers l'isolement et la caractérisation des composés actifs dans les extraits bruts.
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Lécu, Alexis. „Maladies infectieuses et conservation des espèces animales : rôle actif des zoos dans la recherche et la lutte contre les risques sanitaires menaçant la biodiversité“. Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 176 (2023). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.71015.

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Le déclin frappant actuellement la biodiversité animale a des causes multifactorielles. Cofacteur parfois mineur, les maladies infectieuses peuvent avoir un impact catastrophique lorsqu’elles touchent une population animale par ailleurs déjà affaiblie et la conduire jusqu’à l’extinction comme le prouvent certains exemples du dernier siècle écoulé. Les parcs zoologiques peuvent s’avérer de déterminants acteurs pour lutter contre ce risque infectieux ; s’appuyant sur des standards zootechniques et vétérinaires élevés, ils savent conserver les espèces à l’abri des pathogènes principaux et préparer le profil des animaux à un retour dans leur biotope en cas de réintroduction. Ils soutiennent la recherche sur les maladies in situ, en participant au financement, à l’organisation et parfois à l’expertise nécessaire à la lutte sur le terrain. Enfin, ils ont un rôle majeur dans la recherche en termes d’épidémiologie, diagnostic, traitements et prophylaxies grâce au suivi et retour d’expérience des individus dont ils prennent soin. Mots-Clés : Maladies infectieuses, biodiversité, faune sauvage, zoo
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Fertout-Mouri, Nadjia, Ali Latreche, Zoheir Mehdadi und Zohra Bengherraz. „Activité antibactérienne de quatre extraits de Teucrium polium L. du mont de Tessala (Algérie occidentale).“ Bulletin de la Société Royale des Sciences de Liège, 2016, 253–62. http://dx.doi.org/10.25518/0037-9565.6472.

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Les plantes possèdent d’extraordinaires vertus thérapeutiques. Elles contiennent un grand nombre de molécules qui ont des intérêts multiples mis à profit dans l’industrie pharmaceutique, en alimentation, en cosmétologie et en dermopharmacie. Une grande partie des recherches actuelles porte sur l’étude de molécules antimicrobiennes et il nous a semblé donc, intéressant d’inscrire notre travail dans ce contexte de recherche. Ce travail porte sur une plante médicinale très utilisée par les populations algériennes, Teucrium polium L., poussant dans la région de Sidi Bel Abbès, sur le mont de Tessala Toutes les parties aériennes sont utilisées pour l’extraction. Cette dernière, réalisée par des solvants de polarité croissante, a permis d’obtenir quatre extraits : éther diéthylique, acétate d’éthyle, n-butanol et aqueux. C’est en fait l’extrait aqueux qui représente le rendement le plus élevé, suivi de ceux des extraits n-butanolique, acétate d’éthyle et éther diéthyle. L’activité antibactérienne des extraits de Teucrium polium L. sont testés sur quatre souches bactériennes pathogènes dont trois de type Gram(-) (Escherichia coli ATCC 25922, Proteus mirabilis ATCC 35659, Pseudomonas aeruginosa ATCC 27853) et une de type Gram(+) (Staphylococcus aureus ATCC 25923). Il apparait que l’extrait n-butanolique montre la meilleure efficacité vis-à-vis des souches testées (75% de sensibilité) ; l’extrait aqueux reste le moins efficace. Par ailleurs, Echerichia coli exhibe une forte résistance (80%). Les concentrations moyennes inhibitrices (CMI) varient entre 06,25 et 12,50μg/ml, ce qui révèlerait une inhibition très forte.
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PAUL, Mathilde, Mily LEBLANC-MARIDOR, Nathalie ROUSSET, Anne HEMONIC, Jocelyn MARGUERIE, Philippe Le COZ, Bernadette Le NORMAND et al. „Réduction de l’usage des antibiotiques en filières monogastriques : état d’avancement et perspectives“. INRAE Productions Animales, 25.01.2023. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.4.7322.

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La quantité d’antibiotiques utilisés dans les filières monogastriques (porcs, volailles et lapins) a chuté fortement à partir des années 2000, et connaît une relative stabilisation depuis quelques années. Les plans EcoAntibio successifs ont renforcé la dynamique et contribué à réduire drastiquement l’usage des antibiotiques critiques. Cette évolution est la résultante combinée d’évolutions réglementaires, d’actions volontaires privées mises en œuvre dans les filières de production, et de démarches professionnelles collectives et individuelles. Différentes actions ont été mises en place, reposant sur une approche multifactorielle de la santé, l’établissement d’un diagnostic fin des troubles sanitaires de l’élevage, et un travail sur leurs causes sous-jacentes pour définir des mesures préventives adaptées. L’accent est mis sur la conduite d’élevage, l’assainissement vis à vis d’agents pathogènes particuliers, la biosécurité, la vaccination, la nutrition, et l’usage de substances alternatives. Les pratiques d’antibiothérapie ont aussi évolué, avec la mise en place de guides de bonnes pratiques consensuels, la généralisation de l’examen bactériologique et de l’antibiogramme, la bonne observance des posologies, et le suivi précis de la santé pour adapter les traitements. La mise en place de ces évolutions repose par ailleurs sur un bon rapport de confiance entre éleveur, vétérinaire et technicien d’élevage, l’accompagnement des éleveurs ayant aussi été renforcé via des dispositifs de sensibilisation et de formation. La poursuite de la rationalisation des usages reposera sur le ciblage des exploitations à risque au regard des usages d’antibiotiques et la mise en place d’actions sur-mesure.
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Kouame, Kra Fréderic, Don Josette Agre, Komoe Koffi, Baka Yapi Richmond und Kouadio Edouard Yves Gilchrist. „Effet in Vitro des Extraits d’Algues [Sargassum natans (Børgesen) Børgesen et Sargassum fluitans (Børgesen) Børgesen, Sargassaceae] sur le Fusarium, Agent Pathogène de la Fusariose asculaire de la Tomate (Solanum lycopersicum L., Solanaceae)“. European Scientific Journal ESJ 3 (07.03.2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.3.2023.p119.

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La tomate occupe une place très importante dans la vie socio-économique de la population ivoirienne. Elle est une source importante de revenus pour les producteurs. Cependant, Fusarium sp. est parmi les champignons telluriques les plus agressifs causant la maladie de la fusariose chez la tomate. Pour lutter contre ce pathogène les agriculteurs utilisent généralement des méthodes de lutte chimique. Cette lutte n’est pas sans effet secondaire. Elle a des répercussions sur la santé humaine et animale ainsi que sur l’environnement. Afin d’assurer une meilleure production, de réduire l’incidence et la sévérité des maladies de la tomate particulièrement de la fusariose vasculaire en Côte d’Ivoire et de protéger l’environnement et la santé des populations, des bio-fongicides à base des extraits d’algues Sargassum natans et Sargassum fluitans ont été testés in vitro sur la croissance mycélienne de Fusarium sp. Un échantillonnage d’organes de tomate symptomatiques dans la localité de Songon suivi d’isolement au laboratoire ont permis d’obtenir des souches de Fusarium sp. Des tests d’inhibition de la croissance mycélienne par les bio-fongicides Callifert spécial maraichage et le mélange des extraits d’algues à l’adjuvant Cawet max se sont avérés efficaces, avec un taux d’inhibition de 100 % aux concentrations de 20 et 30 %. Par contre, l’extrait d’algues seul s’est montré moins efficace à la concentration 30 %.
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Kouame, Kra Fréderic, Don Josette Agre, Komoe Koffi, Baka Yapi Richmond und Kouadio Edouard Yves Gilchrist. „Effet in Vitro des Extraits d’Algues [Sargassum natans (Børgesen) Børgesen et Sargassum fluitans (Børgesen) Børgesen, Sargassaceae] sur le Fusarium, Agent Pathogène de la Fusariose asculaire de la Tomate (Solanum lycopersicum L., Solanaceae)“. European Scientific Journal ESJ 3 (07.03.2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.3.2023p119.

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La tomate occupe une place très importante dans la vie socio-économique de la population ivoirienne. Elle est une source importante de revenus pour les producteurs. Cependant, Fusarium sp. est parmi les champignons telluriques les plus agressifs causant la maladie de la fusariose chez la tomate. Pour lutter contre ce pathogène les agriculteurs utilisent généralement des méthodes de lutte chimique. Cette lutte n’est pas sans effet secondaire. Elle a des répercussions sur la santé humaine et animale ainsi que sur l’environnement. Afin d’assurer une meilleure production, de réduire l’incidence et la sévérité des maladies de la tomate particulièrement de la fusariose vasculaire en Côte d’Ivoire et de protéger l’environnement et la santé des populations, des bio-fongicides à base des extraits d’algues Sargassum natans et Sargassum fluitans ont été testés in vitro sur la croissance mycélienne de Fusarium sp. Un échantillonnage d’organes de tomate symptomatiques dans la localité de Songon suivi d’isolement au laboratoire ont permis d’obtenir des souches de Fusarium sp. Des tests d’inhibition de la croissance mycélienne par les bio-fongicides Callifert spécial maraichage et le mélange des extraits d’algues à l’adjuvant Cawet max se sont avérés efficaces, avec un taux d’inhibition de 100 % aux concentrations de 20 et 30 %. Par contre, l’extrait d’algues seul s’est montré moins efficace à la concentration 30 %.
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