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Zeitschriftenartikel zum Thema „Semences locales“

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Hall, Ingrid. „Rapatrier le matériel phytogénétique, en revenir aux semences“. Revue d’études autochtones 51, Nr. 1 (06.09.2022): 109–22. http://dx.doi.org/10.7202/1092144ar.

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La question du rapatriement des landraces (variétés paysannes) auprès des communautés autochtones et locales qui les ont domestiquées, sélectionnées et continuent encore à les cultiver, est au coeur de cet article. Ces vingt-cinq dernières années, face à des institutions internationales frileuses, différents acteurs se sont mobilisés, en dehors mais également depuis ces mêmes institutions, pour que ce terme soit adopté. L’auteure propose ici d’analyser ce processus en termes de controverse scientifique dans le cadre de laquelle les différents acteurs ont ouvert un espace de dialogue et de négociation autour de la gouvernance des ressources phytogénétiques à différentes échelles (globale, nationale, locale). La réflexion porte en grande partie sur le cas, pionnier, de la pomme de terre, mais l’auteure ne s’y est pas restreinte. Cet article s’intéresse aussi à la façon dont ces débats contribuent à déconstruire le commun global constitué pour les ressources phytogénétiques dans les domaines de l’alimentation et de l’agriculture en opérant un double processus de reterritorialisation et de rematérialisation. Ces ressources redeviennent ainsi peu à peu des semences ancrées territorialement, historiquement et culturellement.
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Sarrazin, François. „Pour un modèle d’analyse du phénomène districal“. Économies et Sociétés. Systèmes agroalimentaires 42, Nr. 1130 (2008): 2149–67. http://dx.doi.org/10.3406/esag.2008.959.

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Le modèle du district «industriel» repose sur la très forte coordination de trois formes de régulation des échanges sociaux que sont le don, la redistribution et le marché. La qualité des liens sociaux est envisagée comme la variable explicative de la réussite économique des territoires productifs que le paradigme du don explique, les communautés professionnelles mobilisant les institutions locales à leur profit. Le bassin de multiplication de semences potagères étudié illustre le paradoxe de la concurrence, de l’émulation et de la coopération.
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Soloviev, Pierre, Dominique Jacques, Guibien Cléophas Zerbo und Djingdia Lompo. „Production de semences améliorées d'Acacia senegal“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 303, Nr. 303 (01.03.2010): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.303.a20452.

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L'intérêt économique majeur de l'espèce Acacia senegal réside dans son aptitude à produire de la gomme arabique. Au Burkina Faso, la raréfaction des peuplements naturels d'A. senegal et la faible productivité en gomme arabique de certains d'entre eux ont conduit à développer un programme d'amélioration génétique. L'objectif principal est de produire du matériel forestier de reproduction apte à constituer des plantations productives en gomme. Les deux voies d'amélioration retenues sont la sélection de peuplements à graines et la création de vergers à graines d'" arbres plus ". La méthodologie a consisté à étudier la production moyenne de gomme arabique d'un ensemble d'arbres issus de huit peuplements naturels, 12 peuplements artificiels et trois essais de provenances locales ou étrangères, complétée par des critères de qualité de gomme, d'état sanitaire et de production ligneuse. Les résultats ont conduit à mettre notamment en évidence une variabilité importante du critère " production moyenne de gomme ", tant au niveau inter-peuplement qu'intra-peuplement. Les travaux ont abouti à la sélection de trois peuplements fournissant du matériel forestier de reproduction de la catégorie " sélectionnée " selon les critères de l'Ocde, ainsi qu'à la création d'un verger à graines d' " arbres plus " destiné à fournir à moyen terme du matériel forestier de reproduction de la catégorie " qualifiée ". Les résultats obtenus ouvrent des perspectives d'échanges de semences améliorées et de développement d'un programme d'amélioration génétique au niveau sous-régional. (Résumé d'auteur)
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Achard, François. „Utilisation de <em>Pennisetum pedicellatum</em> Trin. pour la production de foin à la station expérimentale de Gampela, Burkina Faso“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, Nr. 2 (01.02.1991): 239–45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9205.

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Dans la région de Ouagadougou, au Burkina Faso, l'intensification de la production animale passe par la culture fourragère et la préparation de réserves sous forme de foin. Les semences des espèces proposées par les services techniques pour implanter des cultures fourragères sont difficiles à se procurer. On a donc choisi parmi les espèces locales Pennisetum pedicellatum, graminée annuelle spontanée, pour ses diverses qualités : facilité d'implantation, productivité élevée, production de semences importante. P. pedicellatum, semé dans la première moitié du mois de juillet, arrive au stade optimal pour la récolte (fin montaison) entre le 25 août et le 10 septembre. Les pluies, très fréquentes jusqu'au 15 septembre, s'espacent ensuite; un séchage correct du fourrage n'est donc possible qu'après cette date. Les recherches ont été orientées sur les moyens d'obtenir la plus grande quantité de foin avec des plantes récoltées au stade "fin montaison" après le 15 septembre, soit en faisant varier la date de première coupe (essai I), soit en échelonnant les semis de fin juin à début août (essai II). L'objectif a été atteint : dans le cas de l'essai I, avec une date de première coupe le 23 août, 1100 kg MS/ha ont été obtenus (avec les premières repousses); dans l'essai II, avec une date de semis le 20 juillet, la production a été de 1840 kg MS/ha (premières coupe et repousse).
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KPOCHEME, Adjaho Olatondji Eustache Kévin, Christian Duhamel LOGOZO, Hortensia Vicentia ACACHA-ACAKPO und Léonard Essèhou AHOTON. „Evaluation économique et consentement à payer pour des mutants de Amaranthus cruentus sélectionnés au Bénin“. Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 13, Nr. 1 (30.06.2023): 1–12. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v13i1.100.

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Les conséquences du changement climatique se manifestent par la dégradation des revenus des agriculteurs et des petits exploitants, principalement en raison de la faible résistance des semences locales aux effets néfastes tels que la salinisation, les températures élevées et l'humidité excessive. Le Bénin, tout comme d'autres pays dans le monde, est confronté à ces défis. La présente recherche vise l’analyse économique et le consentement à payer en vue d’une utilisation des lignées mutantes de A. cruentus (L) créées et sélectionnées pour leur tolérance. Plus spécifiquement, il s’agit de comparer la rentabilité financière entre les lignées mutantes sélectionnées et le cultivar local, d’analyser les déterminants de l’adoption des lignées mutantes sélectionnées et d’analyser le consentement à payer (CAP). Ce travail a permis de déterminer le CAP moyen des nouvelles variétés sélectionnées. La comparaison des moyennes suivant la méthode des coûts de revient et le modèle de Heckman ont été utilisés. Les données proviennent d’une enquête de terrain effectuée dans les communes de Cotonou, Sèmè-Kpodji et de Zogbodomey et des essais expérimentaux conduits dans les mêmes communes. Les résultats montrent que : (1) la production de l’amarante (lignées mutantes) tolérante à la salinité, notamment la lignée L2, est plus rentable financièrement pour les producteurs que celle du cultivar local ; (2) la décision d’adopter la variété tolérante est expliquée par le sexe et les caractéristiques organoleptiques (temps réduit de cuisson, douceur du goût) au seuil de 1 % ; (3) enfin, le CAP est significativement lié à l’âge, à l’attrait physique et au niveau d’instruction secondaire également au seuil de 1 %. Ces résultats suggèrent que les producteurs bénéficieraient d'une meilleure adaptation au changement climatique et d'une augmentation de leurs revenus en cultivant la variété tolérante à la salinité.
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Mpika, Joseph, Simplice Gaude Biangou Moukiama, Ongouya Liana Dalacantara Epse Makanga und Attibayeba. „Effet de la position des mini-sets des tubercules sur la productivité d’ignames cultivées à Brazzaville (Congo)“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, Nr. 3 (04.09.2024): 818–34. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v18i3.8.

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Les tubercules d’ignames sont l’une des principales sources en glucides. Cependant, la production est faible au Congo, due à l’indisponibilité des semences des variétés locales. L’étude visait à comparer l’effet des mini-sets issus des portions apicale, médiane et basale d’un tubercule de deux cultivars, sur la productivité d’igname. Les tubercules des cultivars C1, C4 et C3 de Dioscorea alata L. et C2 de Dioscorea cayenensis Lam.) étaient divisés en trois portions, puis fragmentés en mini-sets de 25 à 50 g. Ces mini-sets étaient ensuite traités dans une solution contenant 8 litres d’eau, 150 g de cendre de bois et 50 g de fongicide (Mancozèbe). Le semis était fait dans les planches avec l’écartement de 0,40 m x 0,50 m. Le taux de régénération, le diamètre au collet, la hauteur de tige, le nombre de feuilles, le nombre de tubercules par plant, la longueur des tubercules et le poids des tubercules ont été évalués. Les résultats ont montré que les mini-sets issus des portions apicale et médiane des cultivars C1, C3 et C4 de Dioscorea alata germent à la 3ème semaine après semis, avaient un taux de régénération de 92% pour C1 et C4 et 100% pour C3 sur un total de 12 mini-sets mis à régénérer. Cependant, les portions apicales, médianes et basales du cultivar C2 germent 28 à la 4ème semaine après semis, avaient un taux de régénération de 75, 83 et 92%. Néanmoins, il n’existait aucune différence significative sur la croissance végétative des mini-sets issus des différentes portions desdits cultivars. Le rendement en tubercules a diminué chez les mini-sets issus des portions basales de deux cultivars. Cette étude permet non seulement une meilleure connaissance sur la productivité d’ignames, mais aussi la compréhension des bases biologiques de cette plante dans les conditions écologiques et climatiques du Congo.
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Boubacar, Halimatou, und Alzouma Mayaki Zoubeirou. „CROISSANCE DE LEPTADENIA HASTATA (PERS.) DECNE., (ASCLEPIADACEAE) EN PEPINIERE, UNE LIANE COMESTIBLE AU NIGER“. International Journal of Advanced Research 11, Nr. 02 (28.02.2023): 81–90. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/16224.

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Dans louest du Niger, Leptadenia hastata tend a occuper une place importante surtout au niveau des plateaux. Ses multiples fonctions alimentaires, medicinales et economiques font quelle est tres sollicitee par les populations rurales. Mais leffet conjugue des actions anthropiques et des aleas climatiques compromet la survie de cette espece en hypothequant les principales fonctions vitales des ressources naturelles pour les populations locales. Aussi assiste-t-on de plus en plus a une faible regeneration de lespece, les jeunes pieds sont devenus tres rares, la production des semences est limitee. Cette etude conduite dans le jardin botanique de la Faculte des Sciences et Techniques (FAST) de lUniversite Abdou Moumouni de Niamey a pour objectif devaluer la dynamique de la croissance morphologique de lespece. Dans des pots en plastique rempli chacun du substrat constitue de 2/3 de sable pour 1/3 de fumier avec un apport deau journalier, deux lots de graines ont ete ensemences: des graines conservees a la temperature ambiante en laboratoire pendant deux mois (graines recentes) et des graines conservees a la temperature ambiante en laboratoire pendant seize mois (graines âgees). Le taux de germination et de levee ont ete calcules. Les aspects morphologiques de la croissance des plantules ont ete suivis pendant 50 jours. Le taux de germination pour les graines recentes et âgees est respectivement de 97,5% et 96,66%, celui de levee est aussi respectivement de 95,72% et 95,68%. A un mois, les graines âgees ont enregistrees une hauteur des tiges moyenne de 36,68 cm plus elevee que ceux des graines recentes (23,02 cm). Mais au 50eme jour il ny a pas eu de difference significative entre les hauteurs de deux types de graines. De meme, jusqu a la fin de lexperience, il ny a pas eu de difference significative au niveau du diametre au collet, du nombre de feuille et du nombre de ramifications des tiges. La croissance tres rapide de lespece lui confere laptitude detre utilisee dans les programmes de reboisement et de restauration des sols degrades apres seulement 50 jours en pepiniere.
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Sidibe, A., K. Dembele, M. Toure, M. M. Diarra, I. A. A. Ag Sid Ahmed und F. Traore. „Possible alternative for national supply of seed potatoes (Solanum tuberosum L.) from in vitro culture at the Agro-physio-genetic and Plants Biotechnology laboratory of IPR / IFRA of Katibougou, Mali“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, Nr. 9 (25.03.2021): 3117–28. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i9.12.

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The enhancement of the potential for reducing food insecurity and poverty through potato cultivation in Mali is largely limited by difficult access to quality seed. In trying to find ways to reduce these shortcomings outlined above that work has been done. The objective of this work was to assess the economic profitability of the local potato seed sourcing scheme from in vitro propagation and to analyze the competitiveness of the sourcing scheme from imported elite seed. The technical and economic feasibility of the local potato seed supply scheme was assessed at five levels. The first concerns the production of vitro-plants in the laboratory, the second the production of mini zero generation tubers (G0). Regarding the other three levels of evaluation, they were carried out in collaboration with the seed cooperatives by successive multiplication from mini-tubers to obtain seeds of one “G1”, two “G2” and three “G3” generations". The profitability of the procurement scheme from the elite imported and multiplied once seed was evaluated in order to analyze its competitiveness in relation to the local circuit. The valuation indicates positive profit margins. However, it should be noted that the economic efficiency coefficients of vitro-propagation (0.77) and tunnel multiplication (0.75) are less than 1. The production cost of one kilogram of G3 is equal to at 463.39 F CFA. A profit margin of 456.61 F CFA / kg emerges between this unit production cost and the selling price of imported seeds, which amounts on average to 920 F CFA / kg. The production of plants is technically feasible and profitable with a cost price of one kg of G3 in the order of 500 to 600 F CFA against 900 to 1000 F CFA / kg for imported seed. La valorisation du potentiel de réduction de l’insécurité alimentaire et de la pauvreté à travers la culture de la pomme de terre au Mali est limitée en grande partie par l’accès difficile à la semence de qualité. En essayant de trouver des moyens pour réduire ces insuffisances soulignées ci-dessus que ce travail a été effectué. Le présent travail avait pour objectif d’évaluer la rentabilité économique du schéma d’approvisionnement locale en semences de pomme de terre à partir de la vitro propagation et d’analyser la compétitivité du schéma d’approvisionnement à partir de la semence élite importées. La faisabilité technico-économique du schéma d’approvisionnement local en semences de pomme de terre était évaluée à cinq niveaux. Le premier concerne la production de vitro-plants au laboratoire, le deuxième la production de mini tubercules de génération zéro (G0). Pour ce qui concerne les trois autres niveaux d’évaluation, ils ont été réalisés en collaboration avec les coopératives semencières par multiplications successives à partir de mini-tubercules pour obtenir des semences de génération une «G1», deux «G2» et trois «G3». La rentabilité, du schéma d’approvisionnement à partir de la semence élite importée et multipliée une fois, a été évaluée en vue d’analyser sa compétitivité en rapport avec le circuit local. L’évaluation indique des marges bénéficiaires positives. Cependant, il faut remarquer que les coefficients d’efficacité économiques de la vitro-propagation (0,77) et de la multiplication sous tunnels (0,75) sont inférieurs à 1. Le coût de production d’un kilogramme de G3 est égal à 463,39 F CFA. Une marge bénéficiaire de 456,61 F CFA / kg se dégage entre ce coût de production unitaire et le prix de vente des semences importées qui s’élève en moyenne à 920 F CFA / kg. La production de plants est techniquement faisable et rentable avec un coût de revient d’un kg de G3 de l’ordre de 500 à 600 F CFA contre 900 à 1 000 F CFA / kg pour la semence importée.
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Figueiredo Neto, Acácio, Bárbara França Dantas, Francisco De Assis Cardoso Almeida, Marcos Santos Lima und Fabrício Francisco Santos da Silva. „INFLUÊNCIA DA EMBALAGEM E DO LOCALDE ARMAZENAMENTO NA QUALIDADE FISIOLÓGICA DE SEMENTES DE ABÓBORA ‘JACAREZINHO’ (Curcubita moschata Duch). - DOI: 10.13083/1414-3984.v22n04a02“. REVISTA ENGENHARIA NA AGRICULTURA - REVENG 22, Nr. 4 (26.08.2014): 294–305. http://dx.doi.org/10.13083/reveng.v22i4.553.

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As condições de armazenamento são determinantes para garantia da qualidade fisiológica das sementes e, embora a sua qualidade não possa ser melhorada, boas condições durante este período contribuirão para mantê-las viáveis por um tempo mais longo, retardando o processo de deterioração. A manutenção da viabilidade das sementes de frutos carnosos através do armazenamento vem sendo uma das linhas de pesquisa mais importantes para as sementes de grande número de espécies. Diante do exposto, objetivou-se com o presente trabalho avaliar a influência dos diferentes tipos de embalagens, ambientes, e do período de armazenamento sobre a germinação e vigor das sementes de abóbora ‘Jacarezinho’. O trabalho foi conduzido no Laboratório de Análise de Sementes da Embrapa Semiárido, em Petrolina – PE. As sementes foram acondicionadas em embalagens de papel e de plástico (tereftalato de polietileno) e mantidas em ambiente de laboratório e em câmara fria com 10 oC e 45% de UR. As sementes foram avaliadas antes e durante o armazenamento por três, seis e doze meses. Foram avaliados o teor de água, a germinação e o vigor das sementes. Dentre os principais resultados, pode-se constatar que é viável armazenar sementes de abóbora ‘Jacarezinho’ com 6% de teor de água durante doze meses, pois a dormência endógena é superada após este período de conservação. A embalagem de plástico foi considerada a mais adequada assim como o ambiente de laboratório com 29 oC e 45% de UR para as condições climáticas de Petrolina - PE. Os maiores valores de germinação foram obtidos em embalagem de plástico (95%) para os doze meses e papel com 91%, no terceiro mês de armazenamento. A análise de correlação entre o peso seco das sementes (r = -0,80) e o teste frio (r = 0,76) com a emergência de plântulas em campo foi significante a 1% de probabilidade.
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Ramos, Renata De Sousa, Francisco Sales de Oliveira Filho und Selma Dos Santos Feitosa. „TESTE DE EMERGÊNCIA DA ESPÉCIE TRIDAX PROCUMBENS L.“ Revista de Agroecologia no Semiárido 3, Nr. 4 (17.01.2020): 19. http://dx.doi.org/10.35512/ras.v3i4.3827.

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<p>INTRODUÇÃO: Atualmente discute-se sobre a sustentabilidade dos Agroecossistemas, e um dos grandes desafios para a pesquisa é alcançar produtividades satisfatórias com baixo impacto ambiental, dentre estes, a busca por produtos químicos naturais que venham a ajudar a minimizar o uso de herbicidas sintéticos. Especialmente, quando se fala na região Nordeste, onde devido às condições climáticas o controle cultural de plantas daninhas é desafiador, sendo difícil produzir e acumular cobertura morta na superfície do solo, bem como, o rápido estabelecimento das ervas daninhas com a retomada da água no solo. é evidente que as plantas espontâneas devem ser controladas, e a proposta a ser recomendada é o manejo sustentável destas, a fim de tornar a atividade agrícola ambientalmente mais segura em detrimento dos ganhos econômicos, sendo possível utilizar se de recursos naturais disponíveis. OBJETIVOS: Gerar conhecimento científico que norteia as ações desta proposta, que contempla a validação dos resultados na sustentabilidade da agricultura familiar em ecossistemas nordestinos. MATERIAIS E MÉTODOS: A pesquisa foi desenvolvida no Instituto Federal de Educação, Ciência e Tecnologia da Paraíba - IFPB, campus Sousa, unidade São Gonçalo, no setor de Agroecologia. A espécie selecionada para estudo foi a Erva- de- Touro - <em>Tridax procumbens </em>L. A mesma foi escolhida pela forma de infestação dos locares, por constatar a forma que a mesma age diante das culturais anuais, perenes e áreas não cultivadas. Para a realização da coleta das sementes da espécie, foram realizadas no setor da olericultura do IFPB Campus Sousa. Em seguida de coletadas, foram levadas para o laboratório de sementes para retirada e beneficiamento das sementes para realização do teste de emergência. Para conhecer o comportamento quanto a viabilidade das sementes da espécie elencada para o estudo realizou-se teste de emergência para a espécie <em>Tridax</em>., em bandejas com areia lavada, em temperatura ambiente, o teste foi realizado segundo a Regras para Análise de Sementes (RAS). RESULTADOS E DISCUSSÃO: Para a realização do teste de emergência foram obtidos os seguintes resultados: o Índice de Velocidade de Germinação (IVG) ocorreu a partir do 4,5 dia, e houve 50% de germinação das 100 sementes selecionadas para o teste. O teste de emergência realizado proporcionou saber a qualidade de cada semente por espécie, facilitando assim, o desempenho que cada uma desempenhou ao longo da pesquisa. CONCLUSÃO: Os resultados permitem concluir que com a realização do teste de emergência permitiram a compreensão da melhor forma de manejo a espécie em campo. Em função da importância ecológica que o estudo propõe espera-se obter resultados satisfatórios ao tocante ao manejo de plantas daninhas na agricultura familiar.</p>
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Zúñiga Mosquera, Oscar Emerson. „Tecnologias usadas no Brasil para a recuperaçao de sementes crioulas“. Revista de Investigación Agraria y Ambiental 5, Nr. 2 (15.12.2014): 54. http://dx.doi.org/10.22490/21456453.1326.

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<p>Esta investigación tuvo como objetivo caracterizar los procesos de implementación y administración de las tecnologías para la conservación local de las semillas nativas. Las semillas nativas representan una alternativa importante para los agricultores, pues son el resultado de un largo proceso de adaptación a diferentes condiciones ambientales, además son esenciales para los consumidores toda vez que son una garantía de la bioseguridad y seguridad alimentaria. El uso de semillas nativas se ha reforzado con los movimientos y las instituciones vinculados a la agroecología, así como con las familias de los agricultores, que en los últimos años las han estado conservando a través de diferentes tecnologías; estas acciones tienen el objetivo de extender las semillas nativas y variedades locales a los agricultores promoviendo prácticas de la autonomía y la resistencia al avance de los transgénicos.</p>
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HUC, Stéphanie, Gilles FRIBOULET und David PAULIN. „Valorisation agro-écologique de sédiments lacustres en contexte de revégétalisation de pelouse subalpine (Barrage du Mont Cenis, Alpes, France)“. Sciences Eaux & Territoires, Nr. 39 (10.06.2022): 1–6. http://dx.doi.org/10.20870/revue-set.2022.39.7059.

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Utiliser les sédiments lacustres lors d’une vidange de barrage est un moyen d’enrichir le sol dans un contexte agropastoral de montagne. A partir d’une expérience menée dans les Alpes françaises du Nord (barrage du Mont Cenis), deux mélanges grainiers, dont l’un avec des semences sauvages d’origine locale, ont été testés selon deux modalités de reconstitution de sol (deux mélanges de sédiments, compost et fumier). Cinq années de suivi de végétation et d’analyses du sol ont permis d’observer l’évolution du cortège floristique et l’amélioration physico-chimique du sol. Il en résulte des solutions opérationnelles apportées aux agriculteurs pour reconstituer le sol, améliorer la biodiversité des prairies et optimiser les pratiques de pâturages.
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Amaral Yamamoto, Marcio, Graciela Rocha Sobierajski, Demóstenes Ferreira da Silva Filho und Hilton Thadeu Zarate do Couto. „ÁRVORES MATRIZES DE Tabebuia pentaphyla (L.) Hemsl. (Ipê de El Salvador) E Caesalpinia pluviosa DC. (Sibipiruna) EM ÁREA URBANA, SELECIONADAS POR MEIO DE ÍNDICE DE IMPORTÂNCIA“. Revista da Sociedade Brasileira de Arborização Urbana 2, Nr. 3 (30.04.2019): 13. http://dx.doi.org/10.5380/revsbau.v2i3.66325.

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O presente trabalho utilizou conceitos de conservação genética de espécies arbóreas e índice de importância em sistema de banco de dados para avaliar a seleção de matrizes urbanas e conservação genética de indivíduos adaptados ao meio urbano. Duas espécies foram estudadas (Caesalpinia pluviosa DC. e Tabebuia pentaphylla (L.) Hemsl.) pois apresentaram a freqüência mínima para que pudessem ser determinadas as árvores matrizes. Concluiu-se que serão necessárias 50 sementes de cada uma das 50 matrizes para a conservação da diversidade genética presente. As matrizes foram locadas em um mapa do bairro e foram definidos os trajetos de coleta de sementes. Os resultados do estudo de caso mostraram a possibilidade do procedimento de conservação em curto prazo no manejo da floresta urbana.
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Souza, Marcelo Claro, Mariana Casari Parreira, Carita Liberato do Amaral und Pedro Luís da Costa Aguiar Alves. „Efeito da época sobre a emergência de Sida rhombifolia e Solanum viarum em diferentes profundidades de semeadura“. Revista Ceres 58, Nr. 6 (Dezember 2011): 749–54. http://dx.doi.org/10.1590/s0034-737x2011000600011.

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O conhecimento da profundidade ideal de germinação de sementes de plantas daninhas é importante para o desenvolvimento de estratégias de manejo eficientes, seguras e econômicas. Com o objetivo de estudar a emergência de plântulas de Sida rhombifolia L. e Solanum viarum Dunal, em resposta à época (setembro de 2008 e janeiro de 2009) e às profundidades de semeadura (0, 1, 2, 3, 4 e 5 cm), foram realizados dois experimentos em casa de vegetação. Sida rhombifolia mostrou-se sensível às variações de temperatura, em decorrência das épocas de semeadura, e os maiores percentuais de emergência ocorreram nas profundidades entre 1 e 4 cm. Para S. viarum, observou-se forte influência da temperatura sobre a sua emergência, sendo, observado o máximo de emergência, nas profundidades de 1 a 5 cm e sua redução para as sementes locadas na superfície do solo.
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Gaston, Dabiré Tobdem, Sanou Amadou, Bonzi Schémaéza und Somda Irénée. „Effet de l’Еnrobage des Semences de Maïs (Zea mays L.) avec Trichoderma harzianum sur la Levée et la Croissance des Plantules au Burkina Faso“. European Scientific Journal, ESJ 19, Nr. 24 (31.08.2023): 90. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n24p90.

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Au Burkina Faso, de nombreuses espèces de moisissures infectent les grains de maïs entrainant des fontes de semis, des retards de croissance des plantes et la production de mycotoxines dangereuses pour la santé humaine et animale. L’objectif de la présente étude a été d’évaluer le comportement des semences de maïs enrobées avec les conidies d’une souche locale de Trichoderma harzianum ayant présenté des propriétés antifongiques et amélioré la croissance végétative des plantules d’oignon selon des études antérieurs. Six lots de semences de six variétés de maïs ont ainsi été collectés et analysés pour identifier les espèces de moisissures en présence. Les principales espèces identifiées ont ensuite été confrontées in vitro avec T. harzianum pour apprécier l’antagonisme. Des grains de maïs ont enfin été enrobés avec les conidies de T. harzianum en utilisant de l’argile comme liant puis semés et entrenus pendant vingt-cinq (25) jours pour apprécier la levée et la croissance des plantules. Fusarium verticillioides, Aspergillus niger et Aspergillus flavus ont été les trois principaux champignons présents dans les semences analysées à des taux d’infection variant de 8,3 à 89,5%, en fonction des variétés de maïs. L’évaluation de l’antagonisme de T. harzianum a montré une réduction significative de la croissance de ces trois champignons avec des coefficients d’antagonisme compris entre 0,68 et 0,86. Concernant l’effet promoteur de la croissance végétale, l’enrobage des semences avec T. harzianum a permis d’améliorer significativement la levée, la longueur des plantes et des racines ainsi que la biomasse fraiche par rapport aux semences non enrobées. In Burkina Faso, many mold species infect maize grains causing seedling damping off, plant growth retardation, and the production of mycotoxins which are dangerous for human and animal health. The objective of the present study was to evaluate the behavior of maize seeds coated with the conidia of a local strain of Trichoderma harzianum having shown antifungal properties and improved the vegetative growth of onion seedlings according to previous studies. Six seed lots from six varieties of maize were thus collected and analyzed to identify the existing mold species. The main identified species were then confronted in vitro with T. harzianum to assess the antagonistic effects. Maize seeds were finally coated with the conidia of T. harzianum using clay as binder and then sown and maintained for twenty-five (25) days to assess the emergence and growth of the seedlings. Fusarium verticillioides, Aspergillus niger, and Aspergillus flavus were the three main fungi present in analyzed seeds lots with infection rates varying from 8.3 to 89.5%, depending on the maize varieties. The evaluation of the antagonism of T. harzianum showed a significant reduction in the growth of the three fungal species with antagonism coefficients situated between 0.68 and 0.86. In terms of plant growth-promoting effect, seed coating with T. harzianum significantly improved seedling emergence, plant and root length and fresh biomass, compared to non-coated seeds.
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Nogar, María L., Ada Graciela Nogar, Guillermina Jacinto und Silvina Carrizo. „Changes in production methods in Tandil area in Argentina“. Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, Nr. 2-3 (25.03.2016): 93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20594.

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Les transformations territoriales de la pampa sont centrées sur les changements dans l’utilisation des terres rurales, marqués par le déclin de l’élevage et le remplacement fréquent des cultures traditionnelles par la culture de soja. La compétition avec les cultures a obligé les fermes à se déplacer et la pro­duction extensive a été remplacée par des systèmes intensifs, en relation avec l’émergence de nouveaux acteurs. L’intégra­tion de la technologie dans l’agriculture a provoqué des trans­formations socio-territoriales qui ont restructuré les espaces ruraux. L’article montre les scénarios de changement dans l’utilisation des terres rurales de Tandil, par des enquêtes cen­trées sur la progression de l’intensification de la production (soja, pools de semences, lots d’engraissement) et ses résul­tats : la détérioration des ressources naturelles, le déplacement des systèmes de production, principalement le bétail, l’hégé­monie de la monoculture et l’expulsion des acteurs ruraux. Le cadre théorique est basé sur l’analyse des zones rurales, construites à partir des liens ruraux-urbains, pour comprendre ces changements et interpréter les scénarios futurs. Dans la méthodologie, nous avons mené des entretiens non structurés pour relever des données quantitatives et qualitatives, et nous avons comparé les images satellite des données de recense­ments (1988 et 2008). En conséquence, lorsque la rentabilité agricole et le nombre de plantations de soja étaient très éle­vés, les opportunités d’investissement dans d’autres secteurs économiques étaient moindres. Le capital financier, non agri­cole et transnational a ainsi progressé le long de la chaîne de production. Ces investissements ont été apportés par le biais de pools de semences et de lots d’engraissement qui contrôlent aujourd’hui les systèmes de culture et d’élevage. Les nouveaux acteurs, puissances et hiérarchies qui s’entre­croisent se sont positionnés le long de la chaîne de production locale, également mondialisée dans le temps et dans l’espace.
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Haoua, NACAMBO, NANEMA Kiswendsida Romaric, KIEBRE Mariam, TRAORE Renan Ernest, SAWADOGO Nerbewendé, OUEDRAOGO Mahamadi Hamed, TIAMA Djakaridia et al. „Nomenclature locale et usages de Senna obtusifolia (L.) au Burkina Faso.“ Journal of Applied Biosciences 160 (30.04.2021): 16438–53. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.160.1.

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Objectif général : Contribuer à une meilleure connaissance de Senna obtusifolia (L.) au Burkina Faso. Objectifs spécifiques : recenser les connaissances endogènes relatives à la nomenclature de la plante, recenser les connaissances endogènes relatives à l’usage de la plante, collecter la semence de Senna obtusifolia. Méthodologie et résultats : La prospection-collecte menée, a permis de noter la présence de Senna obtusifolia (Casse fétide) dans toute la zone d’étude et de récolter 132 accessions. L’enquête ethnobotanique a permis de collecter des connaissances endogènes relatives à la plante. L’unité d’enquête a été le ménage. Quatorze ethnies ont été rencontrées au sein de 237ménages enquêtés. Des phénomènes de synonymie, d’utilisation du même nom par deux ou plusieurs groupes ethniques et de noms inexpliqués ont été observés. L’espèce est aussi bien utilisée dans l’alimentation que dans la médecine. Elle est également une source de revenus pour la population locale. Conclusion et application des résultats : Nombreuses connaissances endogènes relatives à l’espèce ont été recueillies au sein de la population locale. Ces connaissances endogènes serviront de guide pour la valorisation de l’espèce. Les 132 accessions récoltées serviront à d’autres études telles la caractérisation agromorphologique, la caractérisation physico-chimique et la caractérisation génétique moléculaire afin de mieux comprendre sa diversité, la conserver et mieux valoriser l’espèce. La présente étude permettra donc de poser des bases scientifiques de la conservation, de la valorisation et de l’amélioration génétique de l’espèce. Mots clés : Senna obtusifolia, connaissances endogènes, enquête ethnobotanique, Burkina Faso. Nacambo et al., J. Appl. Biosci. Vol :160 2021 Nomenclature locale et usages de Senna obtusifolia (L.) au Burkina Faso. 16439 Local nomenclature and uses of Senna obtusifolia (L.) in Burkina Faso. ABSTRACT General objective: To contribute to a better knowledge of Senna obtusifolia (L.) in Burkina Faso. Specific objectives: to identify the endogenous knowledge related to the nomenclature of the plant, to identify the endogenous knowledge related to the use of the plant, to collect the seed of Senna obtusifolia. Methodology and results: The survey and collection allowed noting the presence of Senna obtusifolia (Casse fétide) in the studied area and to collect 132 accessions. The ethnobotanical survey allowed the collection of endogenous knowledge related to the plant. The survey unit was the household. Fourteen ethnic groups were encountered in the 237 households surveyed. Phenomena of synonymy, use of the same name by two or more ethnic groups and unexplained names were observed. The species is used in food as well as in medicine. It is also a source of revenues for the local population. Conclusion and application of results: A lot of endogenous knowledge about the species was collected from the local population. This endogenous knowledge will serve as a guide for the development of the species. The 132 accessions collected will be used for other studies such as agromorphological characterization, physico-chemical characterization and molecular genetic characterization in order to better understand its diversity, conserve it and better valorize the species. The present study will thus allow to establish scientific bases for the conservation, the valorisation and the genetic improvement of the species. Keywords: Senna obtusifolia, endogenous knowledge, ethnobotanical study, Burkina Faso.
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Fernane-Meliani, Samia, Z. Abdellaoui, S. Akretche-Kelfat, B. Ancer und F. Brahmi. „Influence des rayons gamma sur les parametres morphologiques et agronomiques de semences d’une variete de ble tendre cultivee en Algerie“. African Journal of Food, Agriculture, Nutrition and Development 21, Nr. 9 (29.10.2021): 18767–83. http://dx.doi.org/10.18697/ajfand.104.20195.

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RESUME: L'objectif de cette étude était de déterminer les effets de diverses doses de rayons gamma sur les paramètres morphologiques et agronomiques de semences de blé (Anza). L’expérimentation a été menée à la station expérimentale de l’Ecole Nationale Supérieure Agronomique, El Harrach (Alger, Algérie), sur une parcelle en bloc aléatoire complet, en évaluant la croissance et les composantes de rendement d’une culture, sur deux années consécutives, de cette variété locale de blé tendre (Anza) cultivée en Algérie. Les graines ont été irradiées avec des rayons gamma de 0,10, 0,15 et 0,20 KGy (KiIoGry), tandis que la dose de 0KGy a été retenue comme témoin. Les résultats ont montré que la germination n'a pas été affectée par l'irradiation. La hauteur de la tige la plus marquée a été donnée par le témoin pendant les deux années de culture. A la première année, la dose de 0,20KGy et le témoin ont manifesté la meilleure longueur de l’épi (8,97cm) et le plus grand nombre de pieds levés/m2 a été noté à la deuxième année avec le blé traité à 0,20KGy (149). Le nombre le plus élevé d’épis /m2 est obtenu par les échantillons irradiés à 0,20 KGy et le témoin a donné le plus grand nombre de grains par épi, alors qu’une amélioration de la masse de 1000 grains a été constatée à 0,20KGy. La dose de 0,20KGy a également produit le meilleur rendement en grains à la récolte des deux année (56 et 55q/ha). Il y a eu une interaction entre l'année de culture et la dose d’irradiation pour le nombre de pieds levés et le nombre d’épis/m2. Les faibles doses de rayons gamma, notamment la dose de 0,20 KGy ont contribué à l’amélioration des caractéristiques morphologiques et agronomiques de la variété locale de blé tendre (Anza) cultivée en Algérie, à savoir : la longueur de l’épi, le nombre de pieds levés et d’épis/m2, la masse de 1000 grains et le rendement en grains. ABSTRACT: The aim of this study was to determine the effect of different doses of gamma rays on morphological and agronomical parameters of wheat seeds (Anza). The experiment was conducted in the experimental station of the National School of Agricultural Sciences, El Harrach, Algiers (Algeria). The wheat crop was carried out on a plot in complete random block, by evaluating the growth and yield components of a crop, over two consecutive years, of this common wheat variety (Anza) grown in Algeria. Seeds samples were irradiated with low doses of gamma rays at 0.10, 0.15 and 0.20 KGy (KiIoGry), while 0KGy dose was used as a control. The results showed that the number of germinated seeds was not affected by the irradiation treatment. The highest stem height was given by the control in both years, whereas in the first crop year, the 0.20KGy dose with the control showed the best spike length (8.97cm). In the second year, the highest number of raised feet/m2 was recorded with wheat at 0.20KGy (149). The evolution of yield components according to irradiation doses revealed that the highest number of spikes/m2 was also obtained from samples irradiated at 0.20KGy, the control gave the highest number of seeds by spike, while an improvement in 1000 grain weight was seen at 0.20KGy in both crops. The 0.20KGy dose also produced the highest grain yield at harvest of the two years (56 and 55q/ha). There was an interaction between the crop year and the radiation dose for the number of raised feet and the number of spikes/m2. The low gamma ray doses, particularly 0.20 KGy dose, contributed to the improvement of the morphological and agronomical properties of the local common wheat (Anza) grown in Algeria, including spike length, number of raised feet and spikes/m2, 1000 grain weight and grain yield.
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Lopes, José Rogério, und Anelise Fabiava Paiva Schierholt. „PRODUÇÃO DE BIOJOIAS NO NORTE DO BRASIL: análise dos impactos institucionais, ambientais e de mercado em redes de sustentabilidade locais“. InterEspaço: Revista de Geografia e Interdisciplinaridade 4, Nr. 12 (22.03.2018): 155. http://dx.doi.org/10.18764/2446-6549.v4n12p155-173.

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BIO JEWELS PRODUCTION IN NORTH OF BRAZIL: analysis of institutional, environmental and market impacts in local sustainability networksPRODUCCIÓN DE BIOJOIAS EN EL NORTE DEL BRASIL: análisis de los impactos institucionales, ambientales y de mercado en redes de sustentabilidad localesO artigo descreve referentes da investigação realizada com atores culturais associados da Cooperativa Açaí, em Porto Velho-Rondônia, que produzem biojoias, ecojoias e artigos em tecido. A cooperativa se insere em uma rede de sustentabilidade ambiental, econômica e social que envolve artesãos, agricultores, coletores de sementes, fiadoras e costureiras, e passa por mudanças causadas por agenciamentos institucionais e a ação de forças modernizantes. O estudo objetiva analisar o modo como a relação desses atores promove uma ressignificação dos saberes comunitários locais em dois sentidos principais: (i) nos termos de uma possível transformação dos artefatos culturais produzidos, bem como das lógicas de distribuição e comercialização desses artefatos em um mercado de bens culturais contemporâneos; (ii) no âmbito das lógicas de organização desses atores, especialmente no que se refere à coletivização da produção e articulações político institucionais.Palavras-chave: Biodiversidade; Biojoias; Sustentabilidade; Mercado Cultural.ABSTRACTThis article describes the research carried out with cultural actors associated with the Açaí Cooperative in Porto Velho-Rondônia, who produce bio jewels, eco jewels and articles in cotton cloth. The cooperative is part of an environmental, economic and social sustainability network that involves artisans, farmers, seed collectors, guarantors and seamstresses, and undergoes changes caused by institutional assemblies and the action of modernizing forces. The study aims to analyze how the relationship of these actors promotes a re-signification of local community knowledge in two main senses: (i) in terms of a possible transformation of the cultural artifacts produced, as well as of the logics of distribution and commercialization of these artifacts in a contemporary cultural goods market; (ii) in the ambit of the logics of organization of these actors, especially with regard to the collectivization of production and institutional political articulations. Keywords: Biodiversity; Bio Jewels; Sustainability; Cultural Market.RESUMENEl artículo describe referentes de la investigación realizada con actores culturales asociados de la Cooperativa Acaí, en Porto Velho – Rondônia, que producen biojoias, ecojoias y artículos en tejido. La cooperativa se inserta en una red de sostenibilidad ambiental, económica y social que involucra artesanos, agricultores, recolectores de semillas, fiadoras y costureras, y pasa por cambios causados por agitación institucional y la acción de fuerzas modernizantes. El estudio tiene como objetivo analizar el modo en que la relación de estos actores promueve una resignificación de los saberes comunitarios locales en dos sentidos principales: (i) en términos de una posible transformación de los artefactos culturales producidos, así como de las lógicas de distribución y comercialización de estos artefactos en un mercado de bienes culturales contemporáneos; (ii) en el marco de las lógicas de organización de esos actores, especialmente en lo que se refiere a la colectivización de la producción y articulaciones políticas institucionales.Palabras clave: Biodiversidad; Biojoias; Sostenibilidad; Mercado Cultural.
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Camara, Boubacar, Saboury Ndiaye, Mamadou Abdoul Ader Diedhiou, Arfang Ousmane Kémo Goudiaby, Maimouna Kande, Fatimata Fall und Daouda Ngom. „Croissance et Développement de <i>Carapa procera</i> DC. sur différents types de terreau en pépinière en Basse Casamance (Sénégal)“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, Nr. 3 (24.08.2023): 1006–19. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i3.20.

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L’espèce Carapa procera est une plante à usage multiples dont l’huile est très prisée par la population locale. Cette étude avait pour objectif de contribuer à une meilleure connaissance de la germination, la croissance et le développement de C. procera en condition de pépinière sur différents types de terreaux. Les semences de provenances différentes (Bignona et Oussouye) ont été utilisées. La moitié de chacune des lots a été trempée dans l’eau de robinet pendant 24 h. Un dispositif expérimental en bloc randomisé avec 12 traitements et quatre répétitions a été installé. Le substrat utilisé est le terreau de Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. mélangé avec du sable à des proportions différentes. Les paramètres tels que la taille des noix, la germination, la croissance et la biomasse végétale ont été évalués. Il ressort des résultats que, les graines provenant d’Oussouye sont plus petites (12,92 g en moyenne) que celles provenant de Bignona (19,61 g en moyenne). Le taux de germination, est plus important pour les graines provenant de Bignona (30,55%) comparait aux graines provenant d’Oussouye (26,38%). Le terreau pur a donné les meilleurs résultats pour tous les autres paramètres étudiés. Quel que soit le traitement, il n’existe pas de différence significative (p=0,96) pour la biomasse sèche feuilles et tige. Le même constat a été fait pour la biomasse racinaire (p=0,61). Ainsi, pour avoir une bonne croissance des plants les semences provenant d’Oussouye sont les mieux conseillées et comme substrat le terreau pur de Khaya senegalensis. English title: Growth, and Development of Carapa procera DC. On different types of potting soil in the nursery in Lower Casamance (SENEGAL) Carapa procera is a multipurpose plant whose oil is highly prized by the local population. This study aims to contribute to a better knowledge of the germination, growth and development of C. procera in nursery conditions on different types of soil. Seeds from different origin (Bignona and Oussouye) were used. Half of each batch was soaked in tap water for 24 h. A randomized block experimental design with 12 treatments and four repetitions was installed. The substrate used is the compost of Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss. mixed with sand in different proportions. Parameters such as nut size, germination, growth and plant biomass were evaluated. The results show that the seeds from Oussouye are smaller (12.92 g on average) than those from Bignona (19.61 g on average). The germination rate is higher for seeds from Bignona (30.55%) compared to seeds from Oussouye (26.38%). Pure potting soil gave the best results for all the other parameters studied. Whatever the treatment, there is no significant difference (P=0.96) for the leaf and stem dry biomass. The same observation was made for root biomass (P=0.61). Thus, to have a good growth of the seedlings the seeds coming from Oussouye are the best advised and as substrate the pure compost of Khaya senegalensis.
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Rakotondrabe, Manohisoa, und Fabien Girard. „Protocoles bioculturels communautaires et travail-frontière : jeux de scripts autour des ressources génétiques à Madagascar“. Knowing Nature 4 (2022): 69–124. http://dx.doi.org/10.4000/11tas.

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Cet article a comme source d’enquête le processus de négociation et de rédaction du Protocole Bioculturel Communautaire (PBC) des paysans d’Analavory sur l’accès et le partage des avantages de l’utilisation des ressources génétiques et des connaissances traditionnelles associées. Il s’agit d’un document de 27 pages, développé dans le cadre d’un projet financé par Darwin Initiative et porté par Bioversity International (2015-2018), intitulé : « Projet de mise en œuvre mutuellement soutenue du Protocole de Nagoya et du Traité sur les plantes pour l’alimentation et l’agriculture ». Ce projet a eu comme objectif premier de mettre en place à Madagascar et au Bénin un cadre juridique assurant l’articulation des deux grands instruments juridiques qui forment le régime international de gouvernance de la biodiversité : le Traité sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (TIRPAA) et le Protocole de Nagoya. Le TIRPAA ne s’applique qu’aux « ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture » (RPGAA) et met en place une sorte de panier virtuel couvrant 64 espèces cultivées pour lesquelles les parties s’engagent à accorder un accès facilité. Quant au Protocole de Nagoya, il s’applique à tous types de ressources dont les conditions d’accès sont fixées dans un cadre bilatéral. L’instrument est surtout venu renforcer les droits des communautés locales en matière d’accès aux ressources génétiques et aux savoirs traditionnels qu’ils détiennent, notamment via la reconnaissance des PBC qui ont fait leur entrée à Madagascar suite à la ratification du Protocole de Nagoya ratifié en 2014. Sortes de chartes écrites par lesquelles les communautés codifient les conditions d’accès à leurs ressources et savoirs associés, les PBC sont aussi présentés comme des outils stratégiques qui permettent de négocier localement les représentations autour de la semence et des savoirs traditionnels.C’est donc comme processus et instrument stratégique, moins comme texte, que le PBC des paysans d’Analavory est analysé. En cela, l’article appréhende le PBC d’Analavory comme « travail-frontière », c’est-à-dire comme ensemble d’« arrangements » qui visent à assurer « la création et la transformation des frontières entre différents mondes sociaux habités par des communautés d’acteurs spécifiques » (Koehrsen 2017) ; et il cherche à déterminer si ce travail-frontière a permis de concilier les représentations vernaculaires de la semence et des savoirs traditionnels et celles issues du régime international de la biodiversité.Ce que notre étude du protocole d’Analavory tend à montrer, c’est qu’il faut être attentif à la façon dont les différents acteurs – financeurs, courtiers, organisations non gouvernementales (ONG), agents de l’État – introduisent des « scripts » ou « scénarios » dans les négociations ; et surtout la façon dont certains scripts, à la fois du fait de la puissance des acteurs qui les portent et de la structure actuelle du courtage en développement qui repose sur des longues chaînes d’aide impliquant de multiples acteurs, finissent par orienter ou perturber le processus d’écriture du PBC sans permettre une conciliation des représentations des différents acteurs. L’allongement de la chaîne d’aide, est-il montré, fait intervenir une variété d’acteurs qui sont en mesure d’introduire des scripts alternatifs. La multiplication des scripts peut à son tour brouiller le travail-frontière, en favorisant aussi l’irruption de scripts cachés. Enfin, certains membres de la communauté sont mis en position d’exploiter le phénomène de brouillage, mais au risque d’un renforcement des pouvoirs d’une élite locale.Le résultat observable sur le terrain est un ensemble d’incommunicabilités et d’équivoques qui ont affecté la portée exacte du protocole et surtout l’absence d’alignement entre les représentations vernaculaires des plantes et des connaissances traditionnelles et les définitions des ressources phytogénétiques telles qu’elles sont inscrites dans le régime international d’accès et de partage des avantages.
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Peltier, Regis. „Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?“ BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20.08.2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT und D. SAUVANT. „Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?“ INRAE Productions Animales 25, Nr. 3 (25.08.2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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HUC, Stéphanie, Jérémie VAN ES, Sylvain ABDULHAK, Thomas SPIEGELBERGER, Alice DUPRÉ LA TOUR und Julien PLANCHE. „Quels mélanges de semences sauvages et locales pour revégétaliser les milieux ouverts dégradés des Alpes ?“ Naturae, Nr. 17 (23.11.2022). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2022a17.

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Identifier les espèces appropriées pour revégétaliser représente un défi pour les praticiens et les scientifiques, en particulier dans les régions montagneuses où les projets de restauration sont nombreux et donnent souvent des résultats mitigés. Jusqu’à présent, seules les espèces d’origine exogène dites « commerciales » sont utilisées pour revégétaliser les stations de ski et autres sites aménagés. Dans cette étude, nous avons cherché à développer une méthode qui cible des espèces sauvages d’origine locale adaptées aux projets de revégétalisation, en tenant compte de facteurs écologiques, techniques et économiques, et à fournir des listes d’espèces servant de base à la collecte et la production de semences afin de développer une filière de semences herbacées sauvages et locales dans les Alpes françaises.Deux mélanges sont proposés pour répondre aux besoins des aménageurs en montagne alpine, l’un pour la moyenne montagne (900-1500 m d’altitude), l’autre pour les zones d’altitude (1500-2800 m d’altitude). Chaque mélange est composé d’espèces « principales », pionnières et structurantes des communautés végétales, indispensables à la réussite des semis. Les espèces « complémentaires » enrichissent le mélange selon les conditions environnementales du milieu (pH, humidité, objectifs de la revégétalisation, etc.). Certaines de ces espèces sont déjà récoltées dans le milieu naturel et mises en production selon le référentiel technique de la marque « Végétal local », afin de garantir la traçabilité des graines et leur diversité génétique. Ces mélanges constituent une aide pour les praticiens, décideurs et prescripteurs impliqués dans la restauration écologique en montagne alpine. L’approche proposée présente une plus-value méthodologique, transférable à d’autres territoires afin de développer les filières de production dans les régions françaises.
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Ndiaye, Moussa, Amsatou Thiam, Eric E. Agoyi, Achille E. Assagbadjo, Birane Dieng und Khandioura Noba. „Valorisation des Espèces Négligées et Sous-Utilisées pour la Sécurité Alimentaire : Traits Morphologiques, Conservation et Regénération des Graines de Blighia sapida K.D. Koenig (Sapindaceae) Suivant les Phytodistricts du Bénin“. European Scientific Journal ESJ 19, Nr. 41 (30.11.2023). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n41p37.

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Blighia sapida est une espèce très domestiquée au Bénin et dont les fruits riches sur le plan nutritionnel sont utilisés pour des raisons alimentaire, phytothérapeute et cosmétique. Malgré son niveau de domestication, l’espèce se trouve aujourd’hui dans une situation de régression progressive dans les agro-forêts. Les causes majeures pourraient être la sélection de provenances moins performantes et l’usage des semences de mauvaises qualités dues à la viabilité très limitée dans le temps des graines de Blighia sapida si elles ne sont pas bien conservées. Face à ce fléau, au fil des générations, les communautés locales ont développé des connaissances endogènes sur des techniques de conservation moins couteuses ayant révélé leurs utilités dans le processus de régénération de l’espèce. Cette étude a porté sur la caractérisation des traits morphologiques des graines de Blighia sapida, ses pratiques de conservation et de dissémination suivants les régions agro écologiques du Bénin. Pour cela, il a été procédé à la sélection dans chaque phytodistrict, des arbres sur lesquels des fruits murs ont été récoltés puis mis en sachet étiqueté et conservé dans un sac glacière muni de gels réfrigérants. Avec l’usage d’un pied à coulisse et d’une balance électronique de précision, les paramètres morphométriques ont été collectés sur les graines extraites des fruits. Les résultats obtenus ont montré qu’au Bénin, sur le plan statistique, il n’y’a pas de variabilité significative des graines entre les provenances étudiées. Cependant, la provenance nord a obtenu les meilleurs résultats sur le poids (59,36 g ± 14,68), l’épaisseur (16,136 mm ± 2,671) et la largeur (20,658 mm ± 2,965) des graines. Ces dernières récoltées en saison sèche, peuvent être conservées au soleil, à la température ambiante ou au frais pour une durée comprise entre 10 et 30 jours. D’après les communautés locales, B. sapida se régénère naturellement (82,5%) ; néanmoins la multiplication par semis de graines (17,5%) se pratique le plus souvent au nord du pays. A la sortie de cette étude, il s’avère indispensable d’élargir ces activités à toutes les zones agro-écologique du Bénin afin de pouvoir affirmer ou infirmer ces informations et de pouvoir sélectionner une meilleure semence qui sera destinée aux programmes de développement.
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Diaz, Alberto Montejo, Alice Lichs Marssaro, Dilze Maria Argolo Magalhaes, Edna Dora Martins Newman Luz und Ronan Xavier Corrêa. „Há variabilidade para resistência à Murcha de Ceratocystis em variedades locais de cacau na Bahia“. Summa Phytopathologica 49 (2023). http://dx.doi.org/10.1590/0100-5405/245935.

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RESUMO As variedades locais de cacau predominantes na Região de Mata Atlântica na Bahia, Brasil, vêm sendo multiplicadas pelos agricultores a partir de mudas produzidas com sementes das plantas mais produtivas. No entanto, essas plantas não têm sido avaliadas quanto à resistência à Murcha de Ceratocystis. Desta forma, nesta pesquisa, os níveis de resistência de diferentes genótipos de variedades locais de cacaueiro foram avaliados, visando à sua utilização no melhoramento para resistência a essa doença. Discos foliares de 119 acessos de cacaueiro, localmente denominados de variedade Comum (49 acessos), Maranhão (34) e Pará (36), foram inoculadas com Ceratocystis cacaofunesta. Com base no número médio de peritécios formados nesses discos, foram definidos diferentes grupos genéticos de cacau dentre os genótipos testados por meio do teste de Scott-Knott. As três variedades apresentaram a maioria dos genótipos classificados juntamente com a variedade controle de resistência (‘Jaca’), sendo que menos de um terço dos genótipos foram classificados junto com o controle suscetível (CCN51). Conclui-se que há variabilidade para resistência à Murcha de Ceratocystis nas variedades locais de cacau, sendo os genótipos resistentes úteis ao melhoramento visando resistência a essa doença.
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