Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Salut – Bouddhisme“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Salut – Bouddhisme"

1

Rambelli, Fabio. „Sémiotique bouddhiste : perspectives et questions ouvertes1“. Protée 39, Nr. 2 (16.12.2011): 9–18. http://dx.doi.org/10.7202/1007164ar.

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Après l’intérêt momentané de Roland Barthes pour le bouddhisme zen japonais, plusieurs auteurs ont étudié des aspects sémiotiques de la tradition bouddhiste en général. Dans cet article, nous allons décrire les caractéristiques principales de l’interprétation du zen proposée par Barthes, en particulier son attitude fondamentalement orientaliste et moderniste et sa distance d’avec la pensée bouddhiste classique. Ensuite, nous essaierons de donner un aperçu des questions et des méthodologies explicitement sémiotiques de par leur nature et leur contenu, telles qu’on les a développées au sein de la tradition bouddhiste, à commencer par le rôle de la sémiotique dans la doctrine bouddhiste du salut, avant de continuer par l’étude d’autres thèmes plus spécifiques, comme l’épistémologie, la réalité, et sa représentation, et la textualité. Nous présenterons aussi un exemple de stratégies bouddhistes de remotivation de signes. En conclusion, nous suggérerons de possibles directions de recherche fondées sur une collaboration entre sémioticiens et bouddhologues.
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2

Hébert, Louis. „The Semiotics of Nirvāṇa: Salvation in Buddhism“. Semiotica 2017, Nr. 214 (01.01.2017): 331–50. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2016-0190.

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RésuméD’abord, nous présenterons sommairement le schéma narratif canonique (SNC) de la sémiotique greimassienne. Ensuite, nous appliquerons le SNC à la description de la voie bouddhiste. Nous verrons que le salut pivote deux SNC principaux : l’un individuel, où un être atteint l’éveil ; l’autre collectif, et sans doute utopique, où tous les êtres ont atteint l’éveil (grâce à un être éveillé ou bouddha, qui est une condition nécessaire mais non suffisante pour l’éveil). Dans l’analyse, le bouddhisme est quelquefois comparé au christianisme.
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3

Chiron, Jean-François. „La question du salut des « infidèles » chez Mgr Laneau, à partir du Salut des infidèles et de la Rencontre avec un sage bouddhiste“. Transversalités 168, Nr. 1 (18.01.2024): 167–80. http://dx.doi.org/10.3917/trans.168.0167.

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La question du salut des infidèles est centrale dans les écrits publiés de Mgr Laneau. Tout en maintenant le principe de la nécessité du baptême et d’une connaissance élémentaire des vérités de foi, Laneau met en avant l’excuse d’ignorance invincible. La foi implicite au Christ est présente dans la foi au Dieu créateur et rémunérateur, ainsi qu’un désir implicite du baptême, qui se trouve dans la charité comme dans son principe. Et l’appartenance à l’âme de l’Église est considérée comme suffisante pour ceux qui ont vécu dans l’innocence. Dieu donne ainsi à chacun les moyens de son salut. Laneau pose donc la possibilité pour le plus grand nombre d’être sauvé, même s’il ne semble pas se faire d’illusions sur ce qu’il en est de fait. En posant une présomption d’ignorance involontaire non coupable, le missionnaire illustre ce qu’il y a de plus large dans les courants de pensée postérieurs aux grandes découvertes ; dans les décennies suivantes, le rigorisme d’origine augustinienne l’emportera, jusqu’aux évolutions des xix e et xx e siècles.
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4

Brisset, Claire-Akiko. „Art bouddhique et cryptographie : le « Salut des femmes » dans le Japon du XIIe siècle“. Extrême-Orient, Extrême-Occident, Nr. 30 (30.10.2008): 113–43. http://dx.doi.org/10.4000/extremeorient.106.

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5

Vibert, Stephane. „Individualisme“. Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.083.

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Le concept d’individualisme ne se présente pas comme une notion traditionnelle en anthropologie, ainsi que le montre son absence de la plupart des dictionnaires de la discipline. Popularisée dans l’œuvre de Louis Dumont (1966) par son opposition au holisme caractéristique des sociétés « traditionnelles » (dont l’Inde des castes constitue l’exemple paradigmatique), la notion s’avère souvent mal comprise, puisqu’elle semble suggérer une dichotomie binaire là où il est avant tout question de contraste comparatif et d’accentuation entre des variantes socioculturelles de l’humanité. Parfois accusée de reconduire les grands dualismes ethnocentriques propres à la socio-anthropologie classique (tradition/ modernité, communauté/ société, solidarité mécanique/ solidarité organique) qui ne verraient hors de l’Occident que des univers de conformisme, de tribalisme ou de despotisme (Lozerand 2014), l’étude de l’individualisme se présente pourtant, avant tout, comme « une archéologie de la conception occidentale de l’individu » (Flahault dans Lozerand 2014 : 547). En effet, selon Dumont, la conception moderne du monde se caractérise par une « idéologie individualiste », c’est-à-dire un ensemble de représentations et d’idées-valeurs qui s’articule autour de la figure prééminente de l’individu commeprincipe, à distinguer radicalement du « sujet empirique », échantillon indivisible de l’espèce humaine, parlant, pensant et agissant, tel qu’on le rencontre danstoutesles sociétés sous diverses formes. Figure centrale de l’idéal politique et éthique de l’Occident depuis les Lumières, l’individu (considéré comme antérieur à son existence sociale par les doctrines du droit naturel moderne) n’en reste pas moins pour la discipline anthropologique une « institution » (Mauss 1967 : 150), au sens où il doit nécessairement s’ancrer dans un monde social et culturel qui lui donne signification et consistance. En définissant la modernité comme individualiste là où « l’individu est érigé envaleursuprême », Dumont n’utilise pas le terme dans un sens péjoratif (égoïsme) ou laudatif (autonomie) mais, dans le sillage de Tocqueville, comme l’affirmationsocialed’une valeur. Ce sont les sociétés qui sont individualistes, et non d’abord les individus eux-mêmes. Dans sa prétention à fonder la société à partir d’une juxtaposition d’individus rationnels et originellement déliés, la configuration individualiste propre à la modernité néglige, ou tout du moins subordonne, le trait consubstantiel à toute existence sociale, trait défini comme « holisme » ou « aperception sociologique » : la « présence du social dans l’esprit de chaque homme », qui emporte comme corollaire que « la perception de nous-même comme individu n’est pas innée mais apprise, […]elle nous est prescrite, imposée par la société où nous vivons », laquelle « nous fait une obligation d’être libres » (Dumont 1966 : 21). Ainsi la prééminence de l’individu dans la société moderne appelle-t-elle un certain de nombre de valeurs corrélatives (dont l’égalité de droit, mais aussi la liberté morale ou encore la nation comme « société des individus »), tout en se combinant au sein de chaque culture particulière avec des éléments holistes locaux, ce qui donne une appréciation différenciée de la modernité (sous la figure notamment de variantes nationales). Ainsi que le rappelle Dumont, « l’individualisme est incapable de remplacer complètement le holisme et de régner sur toute la société... de plus, il n’a jamais été capable de fonctionner sans que le holisme contribue à sa vie de façon inaperçue et en quelque sorte clandestine » (Dumont 1991 : 21). C’est que la valeur individualiste, si elle est bien devenue essentielle dans nos sociétés par l’élévation des droits de l’Homme au statut de principe universel, ne peut effectivement s’incarner qu’au sein d’une société particulière, qui en traduit politiquement les attendus de façon toujours contingente et déterminée. L’analyse ne suppose donc pas unretourà des principes holistes, comme s’ils avaient disparu en même temps que les communautés traditionnelles et cohésives, mais plutôt une conscience plus lucide du rôle que jouent les principes holistes dans toute vie humaine pour autant qu’elle est toujours vie en société. L’idéologie de l’individu indépendant se heurte implicitement d’une part à la conservation nécessaire de « totalités partielles » comme lieux verticaux de transmission de la langue, de la culture et du sens (famille, école, associations, communautés), et d’autre part à la réintroduction de principes dits « collectifs » contre « l’utopie libérale », à doses variables selon les pays, comme l’État-providence, l’appartenance nationale, les systèmes d’assurance sociale, les diverses régulations du marché, les principes de solidarité et de redistribution, etc. Il convient également de ne pas confondre l’individualisme compris comme représentation sociale avec deux processus distincts portant sur la confection concrète de la personne et son potentiel de singularité, à savoir l’individuation et l’individualisation. Au XXesiècle, l’anthropologie s’est surtout intéressée auxformes d’individuationpropres aux diverses sociétés, ces pratiques de « constitution de la personne » par inclusion dans un ordre symbolique qui suppose des représentations partagées et des dispositifs rituels. Elle a pu ainsi constater l’extrême hétérogénéité des systèmes de pensée et d’agir visant à conférer une « identité » à l’être humain, preuve d’une large palette culturelle quant aux manières d’appréhender les relations de soi à soi, aux autres et au monde. Marcel Mauss a ainsi montré comment l’être humain ne pouvait apparaître qu’à la suite de multiples processus de subjectivation, ainsi que l’expriment les diverses « techniques du corps », l’expression des émotions ou l’intériorisation de l’idée de mort (Mauss 1950). Car toutes ces caractéristiquesa prioriéminemment « personnelles » varient en fait largement selon les contextes sociaux et culturels où elles prennent signification. La tradition anthropologique a énormément insisté sur la naturerelationnellede l’individuation, ouvrant sur la perception d’un Soi tissé de rapports avec l’environnement social et mythique (Leenhardt, 1947), jusque dans ses composantes mêmes, qu’elles soient matérielles (os, sang, chair, sperme, etc.) ou non (esprit ancestral, souffle, ombre, etc.) (Héritier 1977), parfois même au-delà des « humains » strictement définis (Descola 2005). De même, bon nombre d’auteurs ont souligné l’existence de divers processus historiques et culturels d’individualisationnon réductibles à la prééminence de l’individualisme comme valeur englobante. Le Bart (dans Lozerand 2014 : 89), après Foucault (1984) et Vernant (1989) distingue trois formes d’individualisation qui ne se recoupent jamais parfaitement : l’autonomie sociopolitique, l’existence d’une « vie privée » et le rapport réflexif à soi constituent autant de critères marquant un dépassement de la logique « holiste » d’individuation (définissant un nom, une place, un rôle, un statut) vers une « quête de soi » différenciée, invoquant comme idéal de vie une singularité, un salut ou un « épanouissement » posés théoriquement comme échappant aux injonctions normatives et symboliques de la société. S’articulant plus ou moins à l’individualisme comme valeur, cette visée d’authenticité désormais généralisée dans les sociétés occidentales en illustre également les limites, dès lors qu’en sont précisées les difficultés et les défaillances dans l’existence concrète des acteurs sociaux (déshumanisation du travail, conformisme consommatoire, maladies exprimant la « fatigue d’être soi » comme la dépression, influence des médias de masse et des réseaux sociaux, sentimentalisme et moralisme excessifs, solitude et vide affectif, etc.). Depuis une trentaine d’années et la mise en évidence d’une globalisation aux contours multiples se pose enfin la question de l’extension descriptive et normative de l’individualisme aux diverses cultures et civilisations du monde, que cela soit par le biais de catégories politiques (le citoyen rationnel), économiques (le marchand, le salarié et le consommateur propres au monde capitaliste), juridiques (le sujet de droit), morales (l’agent responsable) ou esthétiques (le dessein d’expressivité originale), etc. Si, selon Dumont, le christianisme et sa valorisation d’un « individu en relation directe avec Dieu » jouent un rôle primordial dans l’émergence de l’individualisme, ce sont bien les catégories humanistes et séculières qui, depuis la colonisation, légitiment les dynamiques d’extension actuelles, notamment du fait de la promotion par les instances internationales des droits humains comme fondement universel de justice sociale. L’anthropologie elle-même, dans un contexte de mise en relation généralisée des sociétés, s’évertue à saisir la place que des cultures différentes accordent à la valeur de « l’individu » (Morris 1994 ; Carrithers, Collins et Lukes 1985), que ce soit dans les grandes religions ou philosophies historiques (islam, judaïsme, bouddhisme, hindouisme, confucianisme, etc.) ou dans les communautés contemporaines, irréversiblement marquées par l’hégémonie occidentale et l’extension d’une économie mondialisée, mais également par des mouvements fondamentalistes ou « revivalistes » de repli identitaire. La valorisation du métissage et de l’hybridité impliquerait en ce sens de réinsérer « l’individu » dans les « paysages » culturels multiples et enchevêtrés qui établissent le lien entre global et local, entre contraintes systémiques et réappropriation communautaire (Appadurai 1996). Dans la dynamique contemporaine de globalisation, l’extension de l’individualisme comme valeur se retrouve dans une position paradoxale, d’une part liée à l’hégémonie d’un système-monde capitaliste et donc accusée de favoriser une « occidentalisation » fatale pour la diversité culturelle, d’autre part identifiée comme porteuse d’émancipation à l’égard de structures et normes contraignantes pour des acteurs (femmes, minorités ethniques, religieuses ou sexuelles, personnes handicapées) privés des droits élémentaires aux plans politique, juridique et socioéconomique.
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Dissertationen zum Thema "Salut – Bouddhisme"

1

Schmidt-Leukel, Perry. „"Den Löwen brüllen hören" : zur Hermeneutik eines christlichen Verständnisses der buddhistischen Heilsbotschaft /“. Paderborn : F. Schöningh, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35595506f.

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2

Boulier-Fraissinet, Jean. „La double négation : introduction à l'expression cohérente de l'itinéraire spirituel“. Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100035.

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Le discours indirect par double négation ( "ni. . . Ni. . . ",et équivalents), partout susceptible d'être présent, est içi enfin étudiée dans la série ordonnée de ses usages les plus performants. D'étape en étape, il sert à nous faire dépasser les obstacles sur le chemin de l'expressivité. Particulièrement efficient pour guidage dans des sujets difficiles, sa meilleure application concerne l'itinéraire spirituel, pour nous archétypal, explicitement chrétien et bouddhiste, du Christ et du Bouddha. La complémentarité des deux cultures est médiatisée par une perspective idéaliste, où tous les êtres sont contemporains de l'entière évolution cosmique, et destinés dans leur gestation au salut selon leurs rythmes et styles différents. La métaphysique est à comprendre dans notre monde, pour tout un chacun, aussi lontemps que nous avons à traverser événements, épreuves, progrès d'heureuse créativité, conscience et sérénité, autant de vies nécessaires pour universelle solidarité. Cela signifie un défi logique dans notre temps.
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Bücher zum Thema "Salut – Bouddhisme"

1

E, Buswell Robert, Gimello Robert M. 1942- und Kuroda Institute, Hrsg. Paths to liberation: The Mārga and its transformations in Buddhist thought. Honolulu: University of Hawaii Press, 1992.

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Buchteile zum Thema "Salut – Bouddhisme"

1

Obadia, Lionel. „Végétarisme et bouddhisme : diète, salut et interdits alimentaires, au fil du temps et des continents“. In Nourritures terrestres : alimentation et religion, 81–99. LARHRA, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/books.larhra.4554.

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