Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Révolte – Sénégal“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Révolte – Sénégal"

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Blum, Françoise. „Sénégal 1968 : révolte étudiante et grève générale“. Revue d’histoire moderne et contemporaine 59-2, Nr. 2 (2012): 144. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.592.0144.

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MIN, Jinyoung. „L’origine et le déroulement de la révolte Mai 68 du Sénégal, - autour du point de vue de l'influence de Mai 68 en France“. Societe d'Etudes Franco-Coreennes 87 (30.12.2018): 139–58. http://dx.doi.org/10.18812/refc.2019.87.139.

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Dissertationen zum Thema "Révolte – Sénégal"

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Sambou, Christian. „Les conflits armés ouest-africains : Sénégal, Mali et Côte-d'Ivoire. Lecture des guerres pour la reconnaissance“. Electronic Thesis or Diss., université Paris-Saclay, 2021. http://www.theses.fr/2021UPASU013.

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Le travail que nous présentons porte sur « les conflits armés ouest-africains : Sénégal, Mali, Côte-d'Ivoire ». Nous contribuons à analyser ces conflits sous une perspective nouvelle des « guerres pour la reconnaissance ».Notre travail de recherche apporte deux innovations majeures dans le champ d'étude des conflits armés internes. A travers des études de cas, nous explorons plusieurs problèmes. Celui d'abord de la manifestation de ces conflits. Nous avons ainsi consacré un intérêt particulier à distinguer des formes de violences politiques - violences sécessionnistes, violences opportunistes- qui caractérisent les conflits dont l'interprétation est demeurée homogénéisant. Une telle démarche a permis de démontrer la diversité motivationnelle dans l'engagement violent des mouvements rebelles contre les gouvernements centraux. Nous analysons les violences sécessionnistes en Casamance (Sénégal) et dans l'Azawad (Mali), que nous distinguons des violences rebelles pour la conquête du pouvoir central en Côte-d'Ivoire, conceptualisées comme des "violences opportunistes".Ensuite, nous proposons une lecture nouvelle et critique de ces conflits en défendant la thèse que les mouvements rebelles s'engagent en guerre pour la reconnaissance d'une égale dignité au sein de l'État-nation. Cet engagement est fait au nom de groupes sociaux auxquels ils s'identifient et qui évoluent dans des territoires dont ils revendiquent l'indépendance et/ou l'autonomie. La thèse des guerres pour la reconnaissance est valable pour les cas des conflits armés au Sénégal et au Mali.Nous interprétons les conflits armés qui opposent des mouvements rebelles au gouvernement central, comme des effets de violences symboliques. Les frustrations, les dénis d'autonomie, l'indifférence, les dénis de droits civiques constituent des sources de conflictualités. Les comportements violents des mouvements rebelles sont analysés comme caractéristiques d'une guerre pour la reconnaissance. Notre lecture des conflits ouvre un regard critique par rapport à une grille classique dominée par des paradigmes économicistes et rationalistes
The thesis we propose focuses on "West African armed conflicts: Senegal, Mali, Ivory Coast". We contribute to analyze these conflicts toward a new perspective of "wars for recognition".Our research brings two major innovations to the field of internal armed conflicts study. Through case studies, we explore several problems, first the manifestation of these conflicts. We have thus devoted particular interest to distinguish forms of political violence - secessionist violence, opportunistic violence - that characterize conflicts whose interpretation has remained homogenous. Such an approach has allowed us to demonstrate the diversity of rebel movements violence's motivations against central governments. We analyze secessionist violence in Casamance (Senegal) and Azawad (Mali), which we distinguish from rebel violence for the conquest of central power in Côte d'Ivoire, conceptualized as "opportunistic violence”.Second, we propose a new and critical reading of these conflicts by arguing that rebel movements engage in war for the recognition of equal dignity within the state. This commitment is made in the name of social groups with which they identify and which evolve in territories whose independence and/or autonomy they claim. The thesis of wars for recognition is applicable to the cases of armed conflict in Senegal and Mali.We consider the armed conflicts that oppose rebel movements to the central government as effects of symbolic violence. Frustration, denial of autonomy, lack of empathy, denial of civil rights are sources of conflict. The violent behavior of rebel movements is analyzed as characteristic of a war for recognition. Our reading of the conflicts opens a critical view regarding a classical framework dominated by economist and rationalist paradigms
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Guèye, Moustapha. „Pluralisme et rôle des médias dans les conflits en Afrique de l'ouest dans les années 1990 : Le cas spécifique de la Casamance (Sénégal)“. Paris 2, 2008. http://www.theses.fr/2008PA020083.

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Les années 1990 inaugurent la vague de démocratisation en Afrique de l'Ouest. Le pluralisme médiatique est accompagné de violences dans la quasi-totalité de la sous-région. Des conflits s'embrasent du Libéria à la Côte d'Ivoire, en passant par le Mali et le Niger. Le pluralisme médiatique, la démocratisation précoce et son corollaire, sont désignés comme en étant les principales causes. La nostalgie des régimes de parti unique fait oublier l'instabilité institutionnelle qui a caractérisé cette période, avec ses coups d'Etat en série et la confiscation des libertés. Cette thèse porte sur les rapports de cause à effet entre l'avènement du pluralisme médiatique et l'exacerbation des antagonismes au sein des "nations en construction". A partir des exemples de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Niger, cette étude vise à spécifier le rôle des médias dans les conflits, qui ont surgi dans ces pays et à déterminer, le cas échéant, l'existence d'autres facteurs plus déterminants dans les causes de cette tourmente. Le cas particulier de la Casamance est analysé dans ce contexte sous-régional où le Sénégal, avec sa "tradition démocratique" et la "vitalité de sa presse", est considéré comme un modèle de stabilité, malgré l'existence d'une rébellion indépendantiste dans la région sud du pays, depuis plus d'un quart de siècle. Le rôle de la presse dans ce conflit est apprécié à partir d'organes de la presse publique comme Le Soleil et de titres privés comme Le Témoin pour son orientation "populaire" et Sud Quotidien pour son "élitisme".
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Diédhiou, Paul. „Le processus de construction de l'identité joola : analyse socio-anthropologique des conflits en milieu ajamat (Casamance, Sénégal)“. Besançon, 2002. http://www.theses.fr/2002BESA1011.

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La crise que traverse la Casamance, région méridionale du Sénégal en proie à un conflit, est souvent présentée comme un " irrédentisme casamançais " qui oppose les populations du sud à majorité joola (" anismistes et chrétiennes ") à celles du nord (musulmanes). Mais ces analyses tiennent très peu compte du processus de construction de l'identité joola. Se fondant sur les formes de coopération et le phénomène qui existaient entre villages, l'analyse historico-dynamique et " déconstructiviste " empruntée dans cette thèse rejette les arguments culturalistes et prétendument anthropologiques et s'appuie sur la notion de crime de sang pour expliquer la contradiction à laquelle est confrontée le groupe ethnique joola. Celui-ci est constitué à priori comme homogène et doté d'un ethnonyme reconnu de tous par ceux qui composent ce groupe. Or, il suffit de soumettre à cet ethnonyme, du reste attributionnel, l'approche évoquée précédemment pour se rendre compte que la conscience d'appartenir à une " ethnie " remonte de la colonisation, période à partir de laquelle les Joola " découvrent " d'autres groupes ethniques. La thèse expose donc les conditions d'émergence de l' "ethnie " joola et les fondements de la crise casamançaise en analysant les référents que les intellectuels joola du MADFC, en quête d'une nouvelle identité, utilisent pour légitimer la lutte.
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Bücher zum Thema "Révolte – Sénégal"

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Mai 1968 à Dakar, ou, La révolte universitaire et la démocratie: Le Sénégal cinquante ans après. Dakar: L'Harmattan Sénégal, 2018.

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