Zeitschriftenartikel zum Thema „Racisme en médecine“

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DAPVRIL, C., und JS CASWALLADER. „RACISME ET DISCRIMINATIONS EN SANTE“. EXERCER 35, Nr. 204 (01.06.2024): 285–86. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.204.285.

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D’après une communication de Sarraouinia Gakunzi (Sorbonne Université, Paris) Le racisme et les discriminations ont un impact important sur la santé et l’accès aux soins. En 2015, une méta-analyse montrait que le racisme était associé à une moins bonne santé mentale1. La pandémie du Covid-19 en 2020 a également révélé des inégalités de santé liées aux discriminations sociales et ethniques2. À Sorbonne Université, un enseignement sur le racisme et les discriminations en santé a été mis en place, à destination des étudiants de 3e cycle (E3C) de médecine générale en deuxième année, pour développer la compétence professionnalisme.
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Bodenmann, Patrick, Farah Hrasnica, Dimitri Prod’hom, Ève Marie Perrin, Alessandro Ishii, Raphaël Porret, Cédric Fricker et al. „Racisme et pratique de la médecine : éléments pour un apprentissage nécessaire“. Revue Médicale Suisse 16, Nr. 700 (2020): 1373–79. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2020.16.700.1373.

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Watson-Creed, Gaynor. „Le détournement cognitif en médecine universitaire ou la persistance du racisme anti-Noirs“. Canadian Medical Association Journal 195, Nr. 3 (22.01.2023): E138—E142. http://dx.doi.org/10.1503/cmaj.212145-f.

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Dryden, OmiSoore, und Onye Nnorom. „Il est temps de mettre fin au racisme systémique envers les Noirs en médecine au Canada“. Canadian Medical Association Journal 193, Nr. 12 (21.03.2021): E430—E432. http://dx.doi.org/10.1503/cmaj.201579-f.

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Harvey, Carol J. „À la découverte du Nord : La rivière sans repos de Gabrielle Roy“. Le dossier 29, Nr. 2 (30.11.2017): 411–27. http://dx.doi.org/10.7202/1042267ar.

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Depuis la parution en 1970 du sixième roman de Gabrielle Roy, La rivière sans repos, ni la critique littéraire ni le public ne lui a accordé beaucoup d’attention. Dans cet article, nous proposons une relecture du roman en vue de montrer à quels égards Gabrielle Roy était en avance sur son temps en mettant Elsa, une femme inuite, au centre de son texte. Après avoir rappelé brièvement la genèse du roman, nous étudierons les éléments-clés de la thématique: le conflit identitaire et le désarroi qui se produisent chez Elsa quand deux cultures sont en contact, l’ancienne et la moderne; la confrontation entre les valeurs traditionnelles des Inuit perçues comme inférieures et la culture moderne jugée supérieure qui représente le progrès, les sciences, la médecine et le matérialisme. Nous dégagerons par la suite certaines composantes des paysages du Nord qui appuient symboliquement Elsa et ses proches. Il ressort de cette étude que Roy voyait clairement le racisme et autres injustices du système colonial du Canada. Sans les dénoncer ouvertement, pourtant, l’auteure nous invite à lire entre les lignes de son roman et à en voir la portée idéalogique.
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Berlivet, Luc. „« Chassez le naturel… »: Les sciences sociales aux prises avec le déterminisme biologique (note critique)“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 73, Nr. 2 (Juni 2018): 443–73. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2019.7.

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RésumésL’objet de cette note critique est d’analyser les principaux apports de la recherche historique, et, dans une moindre mesure, sociologique et anthropologique, des dix dernières années dans trois domaines distincts mais imbriqués : l’histoire de l’eugénisme, de l’hérédité et de la notion biologique de race. Après avoir clarifié les relations existant entre ces différents objets trop souvent amalgamés, l’article s’emploie à comparer l’évolution de leurs champs de recherche respectifs, en distinguant ce qui relève de l’approfondissement de thèmes déjà abordés précédemment et ce qui participe de l’exploration de perspectives nouvelles. Des développements sont consacrés aux approfondissements historiographiques relatifs aux politiques eugénistes de stérilisation forcée, au rapport étroit qui a pu se nouer entre eugénisme et natalisme dans certains pays comme la France, ou encore à la généalogie de la catégorie de race et aux dispositifs d’objectivation de la diversité raciale. Le renouvellement profond des trois domaines de recherche au cours de la période considérée est analysé à travers deux dimensions complémentaires : l’élargissement notable de l’horizon géographique des enquêtes et la reproblématisation des objets scientifiques. Alors même que la focalisation des travaux antérieurs sur les expériences européennes et nord-américaines avait pu laisser croire que la biopolitique, l’eugénisme et le « racisme scientifique » étaient l’apanage des pays occidentaux, la multiplication récente de recherches portant sur l’Amérique latine, l’Asie et, dans une moindre mesure, le Moyen-Orient et l’Afrique, a définitivement invalidé cette vision réductrice. Parallèlement, une meilleure prise en compte des perspectives de genre, l’exploration des continuités historiques entre eugénisme et génétique médicale, ainsi que la réévaluation du rôle de la (bio)médecine dans les débats sur l’hérédité humaine et la notion de race ont profondément renouvelé les trois champs de recherche étudiés.
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Joneja, Mala, Shikha Patel, Sabreena Lawal und Jenna Healey. „Le racisme anti-Noirs et les études de médecine: un cadre curriculaire pour reconnaître les erreurs du passé et en tirer des leçons“. Canadian Medical Association Journal 195, Nr. 1 (08.01.2023): E56—E59. http://dx.doi.org/10.1503/cmaj.220422-f.

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Lévy, Monique. „Henri Nahum, La Médecine française et les Juifs, 1930-1945 , préface de Jean Langlois, Paris, L’Harmattan, collection Racisme et eugénisme, 2006, 407 p., illustrations, 39 euros“. Archives Juives Vol. 40, Nr. 1 (01.03.2007): IV. http://dx.doi.org/10.3917/aj.401.0145d.

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Nau, Jean-Yves. „Polémique émergente sur l’existence d’une médecine « racisée »“. Revue Médicale Suisse 16, Nr. 706 (2020): 1722–23. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2020.16.706.1722.

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Pereitti-Courtis, Delphine. „Sexe, race et médecine“. Emulations - Revue de sciences sociales, Nr. 15 (18.08.2015): 45–58. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.015.007.

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Le corps des Africain·e·s devient, à partir de la fin du XVIIIe siècle et tout au long du XIXe siècle, un objet d’étude prisé des médecins français dans un contexte où la taxinomie raciale et les contacts entre Africain·e·s et Européen·ne·s se développent. Les médecins métropolitains, assistés ensuite des médecins coloniaux, dissertent sur l’anatomie des Noir·e·s d’Afrique et sur les contours de leur altérité raciale et sexuelle. Les femmes d’Afrique, et plus particulièrement les Hottentotes et les Boschimanes du Sud du continent, semblent incarner leur race à travers leurs caractères sexuels décrits comme exubérants : la stéatopygie et le tablier. Les attributs sexuels des femmes noires ne constituent pas uniquement un marqueur racial intéressant pour les médecins, leur analyse leur permet aussi d’émettre des hypothèses sur l’hypersexualité africaine. À ces imaginaires médicaux sur le sexe et la sexualité des Africain·e·s s’ajoutent, dans les écrits des médecins français jusqu’au milieu du XXe siècle, de nombreux questionnements sur les causes des mutilations sexuelles.
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Chardin, D., O. Humbert, V. Bourg, F. Peyrade, D. Benisvy, C. Zwarthoed, A. Schiazza, M. J. Ouvrier und J. Darcourt. „Quand la médecine nucléaire trouve la racine du mal“. Médecine Nucléaire 41, Nr. 3 (Mai 2017): 190–91. http://dx.doi.org/10.1016/j.mednuc.2017.02.141.

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Ohayon, A. „Les médecins hygiénistes français face à la politique raciale allemande. 1933–1939“. L'Évolution Psychiatrique 66, Nr. 2 (April 2001): 348–56. http://dx.doi.org/10.1016/s0014-3855(01)90065-9.

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Peiretti-Courtis, Delphine. „Psychologie raciale et médecine : la construction d’une « mentalité africaine » dans le contexte colonial français (XIX e -XX e siècles)“. L'Autre Volume 25, Nr. 1 (12.03.2024): 67–78. http://dx.doi.org/10.3917/lautr.073.0067.

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Cet article met en lumière le développement des études médicales sur les caractères « moraux » des peuples et plus spécifiquement des Africain.es et la constitution d’un imaginaire puissant sur l’existence d’une supposé « mentalité africaine », au cours du XIX e siècle et de la première moitié du XX e siècle. Les méthodes de la médecine clinique et de l’anthropologie raciale se voient appliquées à la psychologie des peuples dans un but scientifique mais également économique et politique dans le contexte colonial. L’un des objectifs de l’article est d’éclairer les permanences de ces représentations tout au long de la période, mais également les ruptures et évolutions diverses, liées à l’apport de nouvelles sciences. À partir des premières décennies du XX e siècle, la psychologie des individus n’est en effet plus uniquement déterminée par l’idée de race, mais par d’autres facteurs, externes, comme le milieu, l’alimentation ou la culture. Si l’essentialisation n’est plus biologique, elle est désormais culturelle.
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RAKOTOBE, Rova, und Rivoarison RANDRIANASOLO. „Analyse Quantitative De Composés Minéraux De Deux Plantes De Madagascar : Dianella Ensifolia Et Smilax Anceps“. International Journal of Progressive Sciences and Technologies 41, Nr. 2 (21.11.2023): 368. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v41.2.5733.

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Utilisée dans plusieurs pays, notamment en Afrique, la médecine traditionnelle est aussi très pratiquée à Madagascar. Dans notre étude, nous avons choisi deux plantes bien connues dans de nombreuses parties de l’île : le Dianella ensifolia et le Smilax anceps, récoltées en 2021 dans la partie Est de Madagascar. La population locale les utilise pour guérir de nombreux maux et en tant que stimulant. Dianella ensifolia est connue et utilisée en tant que diurétique et comme tisane pour exciter les cellules cérébrales. Smilax anceps est une plante utilisée pour son action diurétique, pour le traitement de plaies et surtout pour son action anti-hémorragique. Afin de rechercher l’explication relative à ces utilisations traditionnelles, nous avons donc effectué une analyse des diverses parties des plantes : la racine et les feuilles. Les analyses ont montré un ordre de grandeur des composants allant de 0,01 g/kg, pour le manganèse, à 21 g/kg et 17 g/kg pour le potassium, respectivement pour le Dianella ensifolia et pour le Smilax anceps. Nous avons également relevé une valeur élevée de fer, un oligoélément essentiel pour le bon fonctionnement de l’organisme et permet de rester en bonne santé.
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Ureña, Carolyn. „Fanon’s Idealism: Hopeful Resignation, Violence, and Healing“. Bandung 6, Nr. 2 (05.11.2019): 233–51. http://dx.doi.org/10.1163/21983534-00602005.

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The Spirit of Bandung is marked by its idealism, a state of mind few associate with the revolutionary Martinican physician and psychiatrist Frantz Fanon, who is perhaps best known for Les damnés de la terre, in particular its opening chapter on violence. And yet, Fanon’s work, too, is marked by a keen sense of hope as he urges himself and his readers, “[to] make a new start, develop a new way of thinking, and endeavor to create a new man.” As a clinician and philosopher who combined phenomenology, psychiatry, and psychoanalysis in his work, Fanon draws our attention to the importance of healing the physical, affective, and epistemological wounds of anti-black racism by attending to the social relations that produce them. This paper takes as a point of departure Fanon’s “Letter to the Resident Minister (1956),” in which he resigns from his post as Médecin-Chef de service at the Psychiatric Hospital of Blida-Joineville in war-torn Algeria. More than a gesture, I argue that Fanon’s active withdrawal as a representative of French colonialism enabled Fanon to write Wretched of the Earth and raises the question of what role hopeful resignation can have in achieving decolonial healing.
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TANGARA, Dougoutigui, Amadou DIOP, Harouna TIRERA, Benoît Yaranga KOUMARE, Mohamed El Bechir NACO, Djibril FALL, Serigne Omar SARR und Yérim Mbagnick DIOP. „Borreria verticillata plante médicinale sénégalaise : Étude de l'activité antioxydante d'extraits méthanoliques, chloroformiques, aqueux et acétates de la plante entière (racine, tige, feuille, fleurs)“. Journal of Applied Biosciences 171 (31.03.2022): 17812–20. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.171.4.

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Objectifs : Le but principal de notre étude était de contribuer à la valorisation du potentiel thérapeutique par étude de l'activité antioxydante d'extraits (méthanoliques, chloroformiques, aqueux, acétates) de la plante entière (racine, tige, feuille, fleurs) de Borreria verticillata, plante médicinale sénégalaise. Méthodologie et résultats : L’activité antioxydante des extraits de Borreria verticillata a été déterminée par le test d’inhibition du DPPH utilisant l'acide ascorbique comme standard. Les absorbances ont été mesurées à la spectrophotométrie UV/Vis. L’acide ascorbique a inhibé plus fortement le radical DPPH avec une valeur de CI50 de 0,15 µg/ml. Les extraits acétate d’éthyle, aqueux, méthanolique et chloroformique avaient présenté respectivement des CI50 de 4,44 µg/ml, 5,23 µg/ml, 5,39 µg/ml et 8,82 µg/ml, Cette étude a montré que les extraits d’acétate d’éthyle, aqueux et méthanolique se sont révélés plus actifs sur l’inhibition du DPPH que l’extrait chloroformique. Conclusion et applications : Ces extraits inhibent l'absorbance du DPPH• selon des concentrations attestant que les extraits de cette plante contiennent des antioxydants. Les extraits de Borreria verticillata ont présenté des capacités antioxydantes importantes. Ces potentiels antioxydants pourraient justifier son utilisation en médecine traditionnelle. La connaissance de cette plante pourrait être utilisée pour construire une stratégie de conservation appropriée pour cette espèce. Des essais d’isolement de molécules actives à partir des extraits les plus actifs sur l’inhibition du DPPH pourraient permettre d’élucider la nature chimique des principes actifs. En perspective, il serait nécessaire de poursuivre ce travail en vue de l’identification des substances responsables des activités observées par les utilisateurs en médecine traditionnelle sénégalaise. Mots clés : Borreria verticillata, plante médicinale sénégalaise, DPPH, activité antioxydante, 17812 Tangara et al., J. Appl. Biosci. Vol: 171, 2022 Borreria verticillata plante médicinale sénégalaise : Étude de l'activité antioxydante d'extraits méthanoliques, chloroformiques, aqueux et acétates de la plante entière (racine, tige, feuille, fleurs) Borreria verticillata Senegalese medicinal plant: Study of the antioxidant activity of methanolic, chloroform, aqueous and acetate extracts from the whole plant (root, stem, leaf, flowers). ABSTRACT Objectives: The main goal of our study was to contribute to the enhancement of the therapeutic potential by studying the antioxidant activity of extracts (methanolic, chloroformic, aqueous, acetates) of the whole plant (root, stem, leaf, flowers) of Borreria verticillata, Senegalese medicinal plant. Methodology and Results: The antioxidant activity of Borreria verticillata extracts was determined by the DPPH inhibition test using ascorbic acid as a standard. The absorbances were measured by UV / Vis spectrophotometry. Ascorbic acid inhibited the DPPH radical more strongly with an IC50 value of 0.15 µg / ml. The ethyl acetate, aqueous, methanolic and chloroform extracts had respectively shown IC50s of 4.44 µg / ml, 5.23 µg / ml, 5.39 µg / ml and 8.82 µg / ml, This study showed that the ethyl acetate extracts, aqueous and methanolic were found to be more active on the inhibition of DPPH than the chloroform extract. Conclusion and application of results: These extracts inhibit the absorbance of DPPH • according to concentrations attesting that the extracts of this plant contain antioxidants. Borreria verticillata extracts have shown significant antioxidant capacities. These potential antioxidants could justify its use in traditional medicine. Knowledge of this plant could be used to construct an appropriate conservation strategy for this species. Tests for the isolation of active molecules from the extracts that are most active in inhibiting DPPH could help to elucidate the chemical nature of the active ingredients. In perspective, it would be necessary to continue this work with a view to identifying the substances responsible for the activities observed by users in traditional Senegalese medicine. Keywords: Borreria verticillata, Senegalese medicinal plant, DPPH, antioxidant activity
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A. Dahounom, Aboudou,, und Koffi Koudouvo. „Enquête Ethnobotanique Sur Les Plantes Médicinales Utilisées Dans La Prise En Charge Traditionnelle Des Maladies Infectieuses Dans La Région Sanitaire Lomé-Commune Du Togo“. European Scientific Journal, ESJ 17, Nr. 21 (30.06.2021): 46. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p46.

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Afin de promouvoir la Médecine traditionnelle togolaise (MTT), préserver/conserver des savoirs et savoir-faire endogènes, une enquête ethnobotanique a été menée de Mai 2018 à Juillet 2019 pour recenser les recettes de plantes aux propriétés anti-infectieuses vendues dans les marchés de la Région Sanitaire Lomé-Commune du Togo. ATRM(Achat en Triplet de Recettes Médicinales) a été la méthode de collecte des données. Les données recueillies qui portent sur les caractéristiques ethnopharmacologiques de ces recettes, ont été traitées et analysées avec des logiciels ethnobotaniques et statistiques appropriés afin de sélectionner quelques plantes pour de futurs tests de laboratoire. Cent deux (102) recettes d’association de plantes constituées par 68 espèces appartenant à 37 familles, ont été recensées. Annonaceae et Leguminosae-Caesalpinioideae (5 espèces chacune), Apocynaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Papilionoideae (4 espèces chacune), ont été les familles les plus représentées. Anacardiaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Mimosoideae, avec respectivement 129, 75 et 63 citations, ont été les familles dont les espèces sont plus citées. Arbres (39,71%), herbes (38,24%), arbustes (14,7%), lianes (2,94%), arbrisseaux (2,94%) et palmiers (1,47%) ont été les types biologiques d’appartenance de ces espèces. Suivant les valeurs usuelles (VU), Lannea kerstingii (VU=2,29), Bridelia ferruginea(VU=2,00) et Zanthoxylum xanthoxyloides(VU=1,82) ont été les espèces plus usuelles. Ecorce de tronc (53,57%), racine (16,13%), tige feuillée (6,9%), plante entière (6,65%), fruit (6,28%), et écorce de racine (6,04%) ont été les parties les plus utilisées des espèces recensées qui sont préparées par décoction (93.14%) et macération (6,86%) puis administrées exclusivement par voie orale. Bridelia ferrugiea et Chamaechrista rotundifolia ont été sélectionnées pour de futurs tests antimicrobiens. Ces résultats illustrent la richesse de la MTT en connaissances endogènes sur les plantes aux propriétés anti-infectieuses. In order to promote traditional Togolese medicine, to preserve and conserve endogenous knowledge and expertise, an ethnobotanical survey was carried out from May 2018 to July 2019 to record the recipes of plants with anti-infectious properties sold in the markets of the Lomé-Commune Health Region of Togo. ATRM (Achat en Triplet de Recettes Médicinales) was the data collection method. The data collected about the ethnopharmacological ethnobotanical and statistical software for selection some plants for future laboratory tests. One hundred and two associations of plant’s recipes composited by 68 species belonging to 37 families were identified. Annonaceae and Leguminosae-Caesalpinioideae(5 species each), Apocynaceae, Euphorbiaceae, and Leguminosae-Papilionoideae(4 specie each) were the most represented families while Anacardiaceae(129 citations), Euphorbiaceae(75 citations) and Leguminosae-Mimosoideae(63 citations) were family of the most cited species. Trees(39.71%), grasses(38.24%), shrubs(14.7%), lianas(2.94%), bushes(2.94%) and palms(1.47%) were the different biological types to which these species belonged. According to the Used value(UV) Lannea kerstingii(UV=2.29), Bridelia ferruginea(UV=2.00) and Zanthoxylum xanthoxyloides(UV=1.82) were the most usual species. Stem bark(53.57%), root(16.13%), leafy stem(6.9%), whole plant(6.65%), fruit(6.28%), and root bark(6.04%) were the most commonly used parts of the listed species. These recipes which are prepared by decoction (93.14%) and maceration(6.86%) are administered exclusively by oral route. Bridelia ferrugiea and Chamaechrista rotundifolia were selected for laboratory tests to evaluate their antimicrobial activities in future. Conclusion: These results illustrate the richness of traditional Togolese medicine in endogenous knowledge about anti-infectious’ medicinal plants.
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Oyedum, U. M., F. A. Kuta, S. A. Garba und S. O. Enejiyon. „Comparative analysis of the phytochemical and antibacterial activity of the root extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa“. African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, Nr. 4 (27.09.2021): 504–14. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.11.

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Background: Over time, herbal plants and their various components have been major sources of therapeutic medicine for man. A comparative study was carried out to determine the phytochemical components and antibacterial activities of the different crude extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa roots on four enteric bacteria; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli and Proteus vulgaris.Methodology: Root samples of E. heterophylla and V. paradoxa were collected, washed, air dried and processed to fine powder in the microbiology laboratory of Federal University of Technology, Minna, Nigeria. Crude extract of the root samples was done by the cold maceration technique using four solvents (chloroform, methanol, petroleum ether and water). Phytochemical analysis of the extracts was done using previously described technique, and in vitro antibacterial activities of different concentrations of the extracts (50-200 mg/ml) and a standard antibiotic (ciprofloxacin) were tested on four enteric bacteria (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) by the agar diffusion test. In vivo antibacterial activities of the two plants were also tested by daily oral administration of 2000 mg/kg bodyweight (for 7 days) of each extract on inbred mice infected through intraperitoneal inoculation of an infective dose of each of the four enteric bacteria. Data were computed as mean ± standard error and analysed by the Statistical Analysis System (SAS) version 9.4. Associations between variables were determined using analysis of variance (ANOVA), with p < 0.05 considered as significant value.Results: Phytochemical analysis of the crude extracts of both plants revealed the presence of cardiac glycosides, saponins, alkaloids, flavonoids, and tannins but V. paradoxa contain more carbohydrates and starch, and less phlobatannins, compared to E. heterophylla. In vitro assay showed dose-dependent antibacterial activity of the methanol, aqueous and chloroform (but not petroleum ether) extracts of the two plant roots. The in vitro antibacterial activities of the different extracts of V. paradoxica extracts were significantly higher (higher mean diameters of inhibition zones) than those of E. heterophylla (p<0.05), and methanol extracts gave the highest antibacterial effects. However, the root extract of E. heterophylla gave a higher antibacterial activity with the in vivo assay on inbred mice than V. paradoxa, and methanol extracts of the two plant extracts gave the highest in vivo activity, followed by aqueous extract and least activity was obtained with the chloroform extract.Conclusion: Crude extracts of E. heterophylla and V. paradoxa roots produce antibacterial activity against enteric Gram-negative bacteria pathogens involved in diarrhoea illnesses. Further researches should be directed towards isolation and characterization of the active compounds in the crude extracts. French title: Analyse comparative de l'activité phytochimique et antibactérienne des extraits de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa Contexte: Au fil du temps, les plantes médicinales et leurs divers composants ont été une source majeure de médecine thérapeutique pour l'homme. Une étude comparative a été réalisée pour déterminer les composants phytochimiques et les activités antibactériennes des différents extraits bruts de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa sur quatre bactéries entériques; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli et Proteus vulgaris. Méthodologie: Des échantillons de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa ont été collectés, lavés, séchés à l'air et transformés en poudre fine dans le laboratoire de microbiologie de l'Université fédérale de technologie, Minna, Nigéria. L'extraction brute des échantillons de racines a été réalisée par la technique de macération à froid en utilisant quatre solvants (chloroforme, méthanol, éther de pétrole et eau). L'analyse phytochimique des extraits a été effectuée en utilisant la technique décrite précédemment, et les activités antibactériennes in vitro de différentes concentrations des extraits (50-200 mg/ml) et d'un antibiotique standard (ciprofloxacine) ont été testées sur quatre bactéries entériques (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) par le test de diffusion sur gélose. Les activités antibactériennes in vivo des deux plantes ont également été testées par administration orale quotidienne de 2000 mg/kg de poids corporel (pendant 7 jours) de chaque extrait sur des souris consanguines infectées par inoculation intrapéritonéale d'une dose infectieuse de chacune des quatre bactéries entériques. Les données ont été calculées en tant que moyenne ± erreur standard et analysées par le système d'analyse statistique (SAS) version 9.4. Les associations entre les variables ont été déterminées à l'aide d'une analyse de variance (ANOVA), avec p < 0,05 considéré comme une valeur significative. Résultats: L'analyse phytochimique des extraits bruts des deux plantes a révélé la présence de glycosides cardiaques, de saponines, d'alcaloïdes, de flavonoïdes et de tanins mais V. paradoxa contient plus de glucides et d'amidon, et moins de phlobatannins, par rapport à E. heterophylla. Un essai in vitro a montré une activité antibactérienne dose-dépendante des extraits au méthanol, aqueux et au chloroforme (mais pas à l'éther de pétrole) des deux racines des plantes. Les activités antibactériennes in vitro des différents extraits d'extraits de V. paradoxica étaient significativement plus élevées (diamètres moyens des zones d'inhibition plus élevés) que celles d'E. heterophylla (p<0,05), et les extraits au méthanol ont donné les effets antibactériens les plus élevés. Cependant, l'extrait de racine d'E. heterophylla a donné une activité antibactérienne plus élevée avec le test in vivo sur des souris consanguines que V. paradoxa, et les extraits au méthanol des deux extraits de plantes ont donné l'activité in vivo la plus élevée, suivie par l'extrait aqueux et l'activité la plus faible a été obtenu avec l'extrait chloroformique. Conclusion: Des extraits bruts de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa produisent une activité antibactérienne contre les bactéries pathogènes entériques à Gram négatif impliquées dans les maladies diarrhéiques. D'autres recherches devraient être dirigées vers l'isolement et la caractérisation des composés actifs dans les extraits bruts.
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Pourchez, Laurence. „Ethnomédecine“. Anthropen, 28.09.2021. http://dx.doi.org/10.47854/anthropen.v1i1.51288.

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Terme issu des années 1960, l’ethnomédecine prend racine dès 1917 dans le travail de W.H. Rivers qui s’intéresse à la manière de soigner des sociétés non occidentales. Elle est comprise en sciences humaines comme l’étude des médecines traditionnelles et des logiques internes à une culture qui émet des conduites, des discours et des représentations relatives à la maladie. En médecine, elle prend plutôt la forme d’une synthèse entre la médecine occidentale et les médecines traditionnelles des pays non occidentaux de laquelle émerge une approche ethnomédicale holistique et pluridisciplinaire.
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L. Pap, Andras, und Eszter Kovacs Szitkay. „Science, identity and the law: Intersecting conceptualization and operationalization of race and ethnicity“. Sociétés plurielles Identity versus science?..., Articles (10.05.2023). http://dx.doi.org/10.46298/societes-plurielles.2023.11295.

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Pour une publication sur Épisiciences. The comparative legal scholar authors, working a broad project mapping how law conceptualizes and operationalizes race, ethnicity and nationality, provide an assessment of the triadic relationship between law, identity (making and claims recognition) and science. The project focuses on race and ethnicity, excluding the discussion of gender identity, but the latter is used as a point of reference to demonstrate the transformative changes in the past years in how the meaning of the terms of identity are assigned and conceptualized in social sciences and humanities, and to a certain degree in politics and law. Yet, there is a debilitating lack of linguistic and conceptual resources, cultural tools, and a solid and proper vocabulary for thinking about racial identity, which is particularly stark in the field of law, especially international law, which habitually operates with the concepts of race, ethnicity, and nationality when setting forth standards for the recognition of collective rights or protection from discrimination, establishing criteria for asylum, labeling actions as genocide, or requiring a “genuine link” in citizenship law, without actually providing definitions for these groups or of membership criteria within these legal constructs. The paper provides an overview of the obstacles, challenges and controversies in the legal institutionalization. In technical terms, the operationalization of ethnic/racial/national group affiliation can follow several options: self-identification; authority given to elected or appointed members (representatives) of the group (leaving aside legitimacy-, or ontological questions regarding the authenticity or genuineness of these actors); classification by outsiders, through the perception of the majority; or by outsiders but using “objective” criteria, such as names, residence, et cetera. The paper also provides an assessment of how “objective” criteria, data and constructions provided by science translate into the legal discourse. Case studies will be used from anthropological/historical “scientific knowledge,” and the operationalization of (performative) whiteness and otherness in the US, to contemporary examples of requiring DNA-heritage certificates in naturalization and Diaspora-programs (for example for birthright schemes in Israel); race-focused forensic datasets; and race-based medicine and reproductive technologies – where the methodology and conceptualization of “scientific race” is analyzed in a comparative and critical framework. Les auteurs, juristes comparatistes, travaillant sur un vaste projet qui cartographie la manière dont le droit conceptualise et opérationnalise la race, l’ethnicité et la nationalité, fournissent une évaluation de la relation triadique entre le droit, l’identité (la reconnaissance de l’identité et des revendications) et la science. Le projet se concentre sur la race et l’ethnicité, excluant la discussion de l’identité de genre, mais cette dernière est utilisée comme point de référence pour démontrer les changements transformateurs de ces dernières années dans la façon dont la signification des termes d’identité est assignée et conceptualisée dans les sciences sociales et humaines, et dans une certaine mesure dans la politique et le droit. Pourtant, il existe un manque débilitant de ressources linguistiques et conceptuelles, d’outils culturels et d’un vocabulaire solide et approprié pour réfléchir à l’identité raciale, ce qui est particulièrement flagrant dans le domaine du droit, notamment le droit international, qui utilise habituellement les concepts de race, d’ethnicité et de nationalité lorsqu’il établit des normes pour la reconnaissance des droits collectifs ou la protection contre la discrimination, qu’il établit des critères pour l’asile, qu’il qualifie des actions de génocide ou qu’il exige un « lien authentique » dans le droit de la citoyenneté, sans réellement fournir de définitions pour ces groupes ou de critères d’adhésion dans ces constructions juridiques. L’article donne un aperçu des obstacles, des défis et des controverses liés à l’institutionnalisation juridique. En termes techniques, l’opérationnalisation de l’affiliation à un groupe ethnique/racial/national peut suivre plusieurs options : auto-identification ; autorité donnée aux membres (représentants) élus ou nommés du groupe (en laissant de côté les questions de légitimité ou ontologiques concernant l’authenticité ou l’authenticité de ces acteurs) ; classification par des personnes extérieures, à travers la perception de la majorité ; ou par des personnes extérieures mais en utilisant des critères « objectifs », tels que les noms, la résidence, etc. L’article fournit également une évaluation de la manière dont les critères, données et constructions « objectifs » fournis par la science se traduisent dans le discours juridique. Des études de cas seront utilisées, allant de la « connaissance scientifique » anthropologique/historique et de l’opérationnalisation de la blancheur (performative) et de l’altérité aux États-Unis, à des exemples contemporains d’exigence de certificats d’héritage ADN dans les programmes de naturalisation et de diaspora (par exemple pour les programmes de droit de naissance en Israël) ; des ensembles de données médico-légales axées sur la race ; et de la médecine et des technologies de reproduction fondées sur la race – où la méthodologie et la conceptualisation de la « race scientifique » sont analysées dans un cadre comparatif et critique.
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Deirdre, Meintel. „Ethnicité“. Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Gagnon, Éric. „Âgisme“. Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.089.

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En une formule d’une belle densité, Simone de Beauvoir a résumé cette attitude négative à l’égard du vieillissement qu’est l’âgisme : « Si les vieillards manifestent les mêmes désirs, les mêmes sentiments, les mêmes revendications que les jeunes, ils scandalisent; chez eux, l’amour, la jalousie semblent odieux, la sexualité répugnante, la violence dérisoire. Ils doivent donner l’exemple de toutes les vertus. Avant tout on réclame d’eux la sérénité » (1970, p. 9-10). L’âgisme repose sur une vision stéréotypée et dépréciative des personnes âgées, perçues comme déclinantes et dépendantes, malades et peu attirantes, conservatrices et incapables de s’adapter aux changements (sociaux ou technologiques). Inutiles, ces personnes représentent un fardeau pour les plus jeunes; déclinantes, elles n’ont plus aucune passion ou projet; dépassées et incompétentes, elles doivent se tenir en retrait. Cette vision se traduit par des comportements condescendants ou d’évitement, de la discrimination et de l’exclusion de certains espaces ou sphères d’activités, comme le travail, les discussions politiques ou la sexualité. Elle a des effets délétères sur les personnes âgées (image de soi négative, retrait et isolement), ainsi que des coûts économiques et sociaux (Puijalon et Trincaz, 2000; Nelson, 2002; Billette, Marier et Séguin, 2018). L’âgisme repose sur une homogénéisation (les personnes âgées sont toutes semblables), une dépréciation (le vieillissement est toujours négatif, il est décrépitude et dépendance) et une essentialisation (cette décrépitude et cette dépendance sont naturelles et inévitables). On ne peut expliquer l’âgisme uniquement par la valorisation de la jeunesse, de la nouveauté et de l’indépendance, même si ces valeurs jouent un rôle, non plus que par l’ignorance ou l’anxiété que provoquent le déclin, la confusion et la mort, quoique cela fasse aussi partie de l’expérience du vieillissement (Ballanger, 2006). L’âgisme – du moins les formes les plus étudiées et pour lesquelles le terme a été forgé – émerge en Occident dans un contexte social et politique particulier. Quatre grands phénomènes doivent être pris en considération. Le premier est démographique. Le vieillissement de la population dans les sociétés occidentales et industrialisées a fait des personnes âgées un groupe toujours plus important de consommateurs, d’électeurs et de bénéficiaires de services. Très tôt, cette importance numérique a soulevé un ensemble d’inquiétudes et de controverses touchant la croissance des coûts de santé, le financement des caisses de retraite et l’équité fiscale entre les générations, le soutien des personnes dépendantes. Ces débats contribuent à faire de la vieillesse un problème social, ainsi qu’une menace et un poids pour les plus jeunes générations en l’associant au déclin, à la dépendance et à des coûts (Katz, 1996). Le second phénomène est l’invention de la retraite dans les sociétés salariales. En fixant une limite d'âge pour le travail (65 ans, par exemple), on a créé une nouvelle catégorie sociale, les retraités, et déterminé à quel âge on devient vieux. Le vieillissement s’est trouvé du même coup associé à l’inactivité et à la non-productivité, au retrait du travail et de l’espace public. Le troisième phénomène est la production de savoirs sur le vieillissement. Après la Seconde Guerre mondiale, «une constellation d’experts se déploie avec force et autorité autour des personnes âgées», comme le dit si bien Aline Charles (2004 : 267) : médecins, travailleurs sociaux, ergothérapeutes. Deux nouveaux champs d’expertise se développent, la gériatrie et la gérontologie, qui vont faire du vieillissement un domaine spécifique de savoirs et d’interventions. Ces expertises participent étroitement à la manière dont le vieillissement est pensé, les enjeux et les problèmes formulés (Katz, 1996). Elles contribuent à renforcer l’association faite entre le déclin, la dépendance et l’avancée en âge. Elles le font par le biais des politiques, des programmes et d'interventions visant à évaluer la condition des personnes, à mesurer leur autonomie, leur vulnérabilité et les risques auxquels elles sont exposées (Kaufman, 1994), et par une médicalisation du vieillissement, qui en fait un problème de santé appelant des mesures préventives et curatives. Enfin, le quatrième phénomène est politique. La reconnaissance et la dénonciation de l’âgisme apparaissent dans la foulée du mouvement des droits civiques et des luttes contre les discriminations raciales aux États-Unis (Butler, 1969). Elles s’inscrivent dans le mouvement de défense des droits de la personne. Plus largement, elles prennent naissance dans un contexte où l'égalité des droits devient centrale dans la représentation des rapports sociaux : l'âgisme contrevient à un idéal d'accès aux biens et aux services, il engendre des inégalités dans la participation à la parole et aux décisions ainsi que l'exclusion. (Dumont, 1994). Reprise par différents groupes d’intérêts, ainsi que par des institutions nationales et internationales, la critique et la dénonciation de l'âgisme conduisent à l’énonciation de droits pour les personnes âgées et à la mise sur pied de mécanismes pour garantir le respect de ces droits, à des campagnes d’éducation et de sensibilisation, à l’adoption de plans d’action, de lois et de règlements pour prévenir les discriminations. Elles rendent le phénomène visible, en font un problème social, lui attribuent des causes et des effets, proposent des mesures correctives ou des visions alternatives du vieillissement. Les représentations et les attitudes négatives à l’égard du vieillissement ne sont pas propres à l’Occident, tant s’en faut. Mais l’âgisme ne doit pas non plus être confondu avec toute forme de classification, de segmentation ou de division selon l’âge. Il émerge dans des sociétés individualistes, qui tendent à disqualifier ceux qui répondent moins bien aux valeurs d’indépendance, de productivité et d’épanouissement personnel. Des sociétés où il n’y pas à proprement parler de classes ou de groupes d’âge, avec leurs rites, leurs obligations et leurs occupations spécifiques (Peatrik, 2003), où les catégories d’âge sont relativement ouvertes et ne comportent pas de frontières nettes et de statuts précis, hormis la retraite pour la catégorie des «aînés», favorisent un redéfinition du vieillissement en regard des normes du travail et de la consommation; des sociétés où les rapports et les obligations entre les générations ne sont pas clairement définis, et donnent lieu à des débats politiques et scientifiques. Les anthropologues peuvent s'engager dans ces débats en poursuivant la critique de l’âgisme. Cette critique consiste à relever et à déconstruire les discours et les pratiques qui reposent sur une vision stéréotypée et péjorative du vieillissement et des personnes âgées, mais également à montrer comment les politiques, le marché de l’emploi et l’organisation du travail, la publicité, les savoirs professionnels et scientifiques, la médicalisation et les transformations du corps, comme la chirurgie plastique ou les usages des médicaments, reposent sur de telles visions. Elle porte égalerment sur les pratiques discriminatoires, en examinant leurs répercussions sur la vie et le destin des individus, comme la réduction des possibilités d’emploi ou la perte de dignité, ou encore sur la manière dont l’âgisme se conjugue à des stéréotypes sexistes et racistes, pour déprécier et marginaliser davantage des catégories spécifiques de personnes âgées. Elle permet de mieux comprendre quels intérêts matériels et symboliques servent ces représentations et ces pratiques, et dans quel contexte l'âgisme apparait. Mais la critique peut être élargie à l’ensemble des discours du vieillissement. Très vite, des représentations concurrentes de la vieillesse ont émergé dans les pays occidentaux. La critique de l’âgisme a conduit à l’apparition de nouveaux modèles, comme la vieillesse «verte», le vieillissement «actif» ou le vieillissement «réussi» (successful aging), donnant une image positive de la vieillesse et proposant aux personnes âgées de nouveaux idéaux (demeurer indépendant et actif), de nouvelles aspirations (authenticité, expression de soi et développement personnel) et de nouveaux modes de vie (actifs et socialement utiles). Ces nouveaux modèles font la promotion de conduites qui favorisent la santé et retardent le déclin, comme la participation sociale ou les activités intellectuelles et sportives (Biggs, 2001; Charles, 2004; Raymond et Grenier, 2013; Lamb, 2017). Ces nouveaux modèles ne sont toutefois pas exempt de clichés et de stéréotypes, ils sont tout autant normatifs et réducteurs que les représentations âgistes, et servent aussi des intérêts politiques (réduction du soutien aux ainés dépendants) et économiques (développement d’un marché de biens et services pour les aînés). Surtout, ils reposent sur les mêmes normes que l’âgisme, dont ils inversent simplement la valeur : l’activité plutôt que le retrait, l’autonomie plutôt que la dépendance, la beauté plutôt que la décrépitude. On demeure dans le même univers culturel de référence. Ces modèles traduisent en fin de compte un refus du vieillissement, entretenant ainsi une aversion envers celui-ci. On peut pousser la critique encore plus loin, en comparant ces représentations et ces modèles avec ceux qui prévalent ailleurs qu’en Occident. Cela permet notamment une analyse des formes de subjectivation, c’est-à-dire de la manière dont les individus font l’expérience de l’avancée en âge. L’anthropologie peut ainsi contribuer à mieux comprendre les représentations culturelles et les modèles du vieillissement et les pratiques qui leurs sont associées, les politiques et les formes d’organisation des relations entre les individus, d’aménagement de l’espace et du temps qu’elles favorisent. Elle peut contribuer à mieux comprendre comment ces représentations et ces modèles façonnent l’expérience des individus : leurs rapports à soi, aux autres, au monde, la manière dont ils reconnaissent et réagissent aux signes de la vieillesse (rides, douleurs, lenteur), de la sénescence ou de la démence, la manière dont ils anticipent leur vieillissement et s’y préparent, les responsabilités et obligations qu’ils se reconnaissent, leurs attentes à l’égard des plus jeunes, les activités qu’ils s’interdisent ou s’obligent à faire, le type d’indépendance qu’ils recherchent (Leibing, 2004; Lamb, 1997, 2017). La comparaison permet de dégager la variété des expériences et des formes alternatives de vieillissement. Elle permet de mettre en lumière le caractère très relatif des signes du vieillissement, mais aussi des qualités par lesquelles un individu est reconnu comme une personne, un sujet ou être humain.
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