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Zeitschriftenartikel zum Thema „Physique et métaphysique“

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1

Kopacz, André. „Otto Von Guericke, physicien et métaphysicien“. Varia 45, Nr. 1 (14.06.2018): 59–72. http://dx.doi.org/10.7202/1048615ar.

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L’article se propose de montrer avec le nom d’Otto Von Guericke que, contrairement à la lecture heideggérienne de l’histoire de la philosophie, la métaphysique n’a jamais cessé de penser l’être en tant qu’être. En fait, elle a sondé l’être et la différence ontologique avec beaucoup plus d’acuité et de profondeur que l’heideggerianisme. L’intention revient à montrer l’actualité de la métaphysique et de ses concepts lorsque l’on évoque la problématique de l’ontologie fondamentale. Avant d’être un physicien reconnu en son temps, Von Guericke était un métaphysicien. Ce sont ses préoccupations métaphysiques qui l’ont amené sur la voie de l’expérimentation physique, et non l’inverse.
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2

Ly, Igor. „Identité et égalité : le criticisme de Poincaré1“. Philosophiques 31, Nr. 1 (08.09.2004): 179–212. http://dx.doi.org/10.7202/008939ar.

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Résumé Ce travail a pour objet d’examiner comment sont articulés deux thèmes centraux de l’oeuvre philosophique de Poincaré : la question de la nature mathématique de la physique et la critique des questionnements « métaphysiques » relatifs aux théories scientifiques. En s’appuyant sur la dimension linguistique du traitement de ces thèmes par Poincaré et en analysant certains aspects de ses réflexions sur le continu et la mesure des grandeurs physiques, notre examen sera poursuivi en suivant le fil conducteur de la distinction entre les notions d’identité numérique et d’égalité, dont nous tâcherons de montrer qu’elle sous-tend tout à la fois la caractérisation par Poincaré de la métaphysique et ses considérations sur la géométrie et le continu.
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DESTRÉE, Pierre. „'Physique' et 'métaphysique' chez Aristote“. Revue Philosophique de Louvain 90, Nr. 4 (01.11.1992): 422–44. http://dx.doi.org/10.2143/rpl.90.4.556185.

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4

Hespel, Bertrand. „Quand physique et métaphysique se trouvent confondues“. Revue des questions scientifiques 189, Nr. 3 (01.06.2018): 335–41. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v189i3.68993.

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Analyse critique de : Esfeld (Michael), Philosophie des sciences : une introduction. – 3e édition entièrement revue. – Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, 2017. – x, 296 p. – 1 vol. broché de 15 × 22,5 cm. – 23,22 €. – isbn 978-2-88915-221-6.
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Dufossé, Colette. „Théories et vocabulaire de la vision dans les mondes grec et latin du ive au XIIe siècle“. Archivum Latinitatis Medii Aevi 74, Nr. 1 (2016): 21–36. http://dx.doi.org/10.3406/alma.2016.1194.

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Dans l’Antiquité tardive, les théories de la vision sont fondées sur la théorie de Platon. L’approche néoplatonicienne de celle-ci par les commentateurs grecs d’Aristote est transmise à l’Occident latin, plus marqué cependant par le Timée de Platon, seul accessible en traduction. Pour expliquer la formation de l’image dans l’âme de l’observateur, l’Occident centre sa réflexion sur l’intériorité du sujet : la théorie augustinienne des trois visions élargit la théorie visuelle jusqu’à en faire une théorie de la pensée. Elle est ensuite redéfinie au XIIe siècle sous l’influence de la classification boécienne des puissances de l’âme. À partir de la métaphore du Dieu-lumière, les Pères grecs développent un discours métaphysique marqué par la physique aristotélicienne que Jean Scot Érigène transmet au monde latin. Au XIIe siècle, l’étude du Timée permet de transformer cette métaphysique en une optique physique originale. Un lexique latin spécialisé semble alors se constituer, puis est repris dans les traductions du XIIe siècle qui renouvellent la connaissance de cette discipline en Occident.
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Skarsouli, Pinelopi. „Maddalena Bonelli (éd.), Physique et métaphysique chez Aristote“. Philosophie antique, Nr. 14 (01.11.2014): 346–49. http://dx.doi.org/10.4000/philosant.853.

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Llasera, Margaret. „Physique et poésie «métaphysique » en Angleterre, 1600-1650“. Littératures classiques 17, Nr. 1 (1992): 123–37. http://dx.doi.org/10.3406/licla.1992.1021.

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Blum, Paul Richard. „La métaphysique comme théologie naturelle : Bartolomeo Mastri“. Les Études philosophiques 57, Nr. 2 (01.06.2001): 0. http://dx.doi.org/10.3917/leph.012.0031.

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L’élaboration d’une théorie de l’objet sert de guide à la doctrine de la science en général, et à l’élaboration formelle du statut de la métaphysique en particulier. L’étude de Paul Richard Blum porte sur l’objet de la métaphysique selon Bartholomaeus Mastrius (Mastri) : l’auteur y dégage les principales positions de Mastrius, débouchant, à la suite de son modèle scotiste, sur une ontologie formelle totalement détachée de la physique, à la différence de la tradition thomiste.
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Bourneuf, Éric. „En quel sens les objets physiques sont-ils réels?“ Dialogue 33, Nr. 1 (1994): 21–40. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300038749.

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La notion d'objet physique est au cceur de la problématique métaphysique du réalisme: réalistes et antiréalistes construisent habituellement leurs positions sur la base de différentes conceptions de cette notion. De façon générale, les réalistes prétendent que les objets physiques existent et possè-dent des propriétés intrinsèques les définissant indépendamment de nos facultés de perception et de conceptualisation. Par rapport à cette caractérisation, qui nous accompagnera tout au long du texte, nous nous plaçons dans le clan des antiréalistes. Toutefois, notre but présent n'est pas tant de critiquer la conception réaliste de l'objet physique que de proposer les grandes lignes d'une forme d'antiréalisme cohérente. Pour nous situer dans le débat contemporain nous contrasterons nos idées avec le réalisme interne de Putnam et le phénoménalisme, deux positions qui se rapprochent de la nôtre par leur réjet de la notion réaliste d'objet physique. Cependant, le réalisme interne et le phénoménalisme, nous le verrons, prennent souvent la forme de thèses portant sur le langage, ce que nous voudrons éviter de faire. II est à notre avis avantageux, pour répondre à la question qui sert de titre à ce texte, de ramener le débat en deçà des questions de langage, au niveau de la perception non épistémique, oùl'on peut encore, selon les termes de Dretske, voir sans croire.
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Lyssy, Ansgar, und Christian Leduc. „L’économie de la nature — Maupertuis et Euler sur le principe de moindre action1“. Dossier. La philosophie à l’Académie de Berlin au XVIIIe siècle 42, Nr. 1 (13.07.2015): 31–50. http://dx.doi.org/10.7202/1032216ar.

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Le principe de moindre action fut découvert dans le domaine de l’optique (Maupertuis) et dans celui de la mathématisation du corps en mouvement à l’intérieur d’une structure de forces (Euler). Aussi bien Euler que Maupertuis prennent appui sur une compréhension métaphysique de la nature pour justifier l’extension de ce principe à un principe général de physique. Dans le présent article, je soutiens que les deux croient que la nature elle-même ne saurait employer de moyens inutiles pour ses fins, et est donc économique. Le principe de moindre action peut être compris comme une tentative d’intégrer l’idée métaphysique d’une « économie de la nature » à l’intérieur du domaine de la science.
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Leroux, Georges. „Origine, provenance et surgissement. La recherche de la cause originale dans le platonisme grec“. Protée 28, Nr. 1 (12.04.2005): 7–18. http://dx.doi.org/10.7202/030579ar.

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La conception philosophique grecque de l’origine s’amorce avec la recherche présocratique des causes premières et se développe dans la métaphysique de Platon. La doctrine platonicienne intègre les éléments narratifs de la physique et des cosmogonies antérieures, mais elle entreprend de les transformer par la position d’une origine du monde qui soit hors du temps. Cette étude examine plusieurs aspects de cette conception, en particulier dans le texte du Timée et dans le néoplatonisme postérieur.
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Nejeschleba, Tomáš, und Zuzana Hildenbrand. „De la métaphysique de la lumière à l’héliocentrisme“. Revue des questions scientifiques 189, Nr. 4 (01.12.2018): 611–27. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v189i4.69413.

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La vision du Soleil du moine capucin Valérien Magni (1586-1661), grand politicien ecclésiastique et critique de la philosophie aristotélicienne, varie en fonction de son adoption successive de l’héritage de Galilée. Le Soleil apparaît d’abord en tant que notion faisant partie de sa logique, où il figure dans des propositions telles que « Le Soleil brille » que Magni considère comme nécessairement valables. Ensuite, le Soleil réapparaît dans sa théorie de la connaissance, où il prend les phrases « Le Soleil brille » et « Le Soleil se meut » pour un « per se notum » sensoriel. En tant qu’héritier de l’illuminisme, Magni voit dans la lumière le principe épistémologique et ontologique clé et est partisan de « l’héliocentrisme métaphysique » propre à la Renaissance. Petit à petit, sous l’influence de ses expériences avec le vacuum qui ont confirmé la validité de la physique de Galilée, Magni s’oriente cependant aussi vers l’héliocentrisme cosmologique et tente de trouver des liens entre la métaphysique de la lumière et la physique de Galilée, qu’il considère toutes les deux en accord parfait avec le christianisme. * * * The concept of the Sun formulated by the Capuchin friar Valerianus Magni (1586-1661), a renowned religious politician and a critic of Aristotelian philosophy, varies in line with his progressive adoption of Galileo Galilei’s legacy. The Sun first appears as a notion forming part of his logic, where it arises in statements such as “The Sun shines.” which Magni considers to be an undeniable fact. It also re-emerges in his theory of knowledge, where the assertions “The Sun shines.” and “The Sun moves.” are considered sensory “per se notum”. As an heir to Illuminism, he regards light as the key epistemological and ontological principle, and is an advocate of the Renaissance theory called “Metaphysical Heliocentrism”. Gradually however, impressed by his successful vacuum experiments, which confirmed the validity of Galilean physics, Magni eventually also adopts Cosmological Heliocentrism and strives to find parallels between the metaphysics of light and Galilean physics, both of which he considers to be fully consistent with Christianity.
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Gauthier, Yvon. „Moment cinétique et syllogistique dynamique chez Hegel“. Articles 32, Nr. 2 (15.12.2005): 357–68. http://dx.doi.org/10.7202/011872ar.

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Résumé Le terme de moment est omniprésent dans l’oeuvre de Hegel, et les commentateurs n’ont pas suffisamment insisté sur le sens dynamique du « Moment » hégélien qui n’a rien de temporel, mais dénote plutôt le momentum ou moment cinétique de la mécanique newtonienne. Hegel a donné vie à ce concept de moment et en a fait le moteur de sa dialectique qu’on interprète ici comme une syllogistique dynamique de la sursomption des moments du procès de la conscience et du devenir de l’esprit. Une logique dynamique pourrait récupérer avantageusement cette dialectique des concepts. Mais la lecture critique de Hegel veut montrer comment un concept physique est transformé en notion métaphysique et comment une science de la logique « Wissenschaft der Logik » est dévoyée dans une ontologie où c’est une philosophie de la nature qui devient mécanique en assujettissant la physique à un idéalisme objectif supraphysique. Un épilogue sur le vocabulaire hégélien termine l’article.
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Durón García, José Manuel. „Parménide adversaire d'Aristote : Sur une connexion entre la Physique et la Métaphysique“. Síntesis. Revista de Filosofía 4, Nr. 1 (31.07.2021): 107–32. http://dx.doi.org/10.15691/0718-5448vol4iss1a349.

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Les traités Physique et Métaphysique d’Aristote exposent la thèse de Parménide selon deux approches différentes, voire contradictoires. Je soutiens que Parménide est, dans le premier, présenté en partisan de l’immutabilité, tandis que dans le second il est présenté comme tenant du relativisme. Cette différence répond dialectiquement aux fins de la discussion de chaque traité. Je soutiens que la thèse du monisme, à savoir ‘‘toutes les choses sont une’’, comprise, d’une part, d’un point de vue ontologique et, d’autre part, d’un point de vue épistémologique permet à Aristote de brosser des images assez distinctes de Parménide.
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Caiozzo, Anna. „Collectif, Lieu, espace, mouvement : physique, métaphysique et cosmologie (xiie-xvie siècles)“. Cahiers de civilisation médiévale, Nr. 240 bis (01.12.2017): 498–501. http://dx.doi.org/10.4000/ccm.5736.

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Benis-Sinaceur, Hourya. „Idées : le platonisme phénoménologique d’Albert Lautman“. Articles 37, Nr. 1 (14.05.2010): 27–54. http://dx.doi.org/10.7202/039711ar.

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Résumé La question fondamentale d’Albert Lautman concerne la nature du réel et la capacité de l’esprit de l’appréhender. C’est pourquoi elle convoque les données de la physique, leur expression en concepts mathématiques et leur interprétation métaphysique qui doit préciser le rapport de la pensée humaine à la réalité du monde. L’examen des théories mathématiques les plus sophistiquées de son temps (surface de Riemann, loi de réciprocité quadratique, théorie du corps de classes) est destinée à montrer l’affinité de la genèse des concepts mathématiques avec une Dialectique supérieure, qui met en jeu les Idées, comprises en un sens dérivé de Platon. Mon but est d’expliquer comment Lautman comprend les termes « Dialectique », « Idée », « genèse », simultanément sur le plan métaphysique et dans leur incarnation mathématique. Je montrerai que Lautman développe une conception très personnelle du platonisme, différente de celle de la version reçue par la tradition philosophique. Lautman rejette la séparation des Idées et du sensible, et adopte le style de pensée heideggerien pour montrer que les Idées sont mues par une Dialectique et qu’elles entretiennent une relation réciproque, dialectique, avec le sensible.
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Stoffel, Jean-François. „Compte rendu de Robert Fludd : «Œuvres complètes» & Pierre Gassendi : «Examen de la philosophie de Robert Fludd»“. Revue des questions scientifiques 190, Nr. 3-4 (01.12.2019): 445–48. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v190i3-4.70543.

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Fludd (Robert), Œuvres complètes. – Vol. 3 : Histoire métaphysique, physique et technique des deux cosmos / traduit du latin par François Fabre. – Paris : S.É.H.A. ; Milan : Archè edizioni, 2017. – 341 p. – (Textes et travaux de Chrysopœia ; 19). – 1 vol. broché de 17 × 24 cm. – 32,00 €. – isbn 978-88-7252-351-3. Gassendi (Pierre), Examen de la philosophie de Robert Fludd / texte présenté, traduit et annoté par Sylvie Taussig avec le fac-similé du texte latin. – Paris : S.É.H.A. ; Milan : Archè, 2016. – 358 p. – (Textes et travaux de Chrysopœia ; 18). – 1 vol. broché de 17 × 24 cm. – 36,00 €. – isbn 978-2-9518278-7-5.
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Fazzo, Silvia. „L’exégèse du livre Lambda de la Métaphysique d’Aristote dans le De principiis et dans la Quaestio I.1 d’Alexandre d’Aphrodise“. Dossier 64, Nr. 3 (14.07.2009): 607–26. http://dx.doi.org/10.7202/037694ar.

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Résumé Le commentaire continu d’Alexandre d’Aphrodise sur le livre Lambda de la Métaphysique d’Aristote était déjà perdu au xiie siècle. Néanmoins, il exerçait toujours une influence par l’entremise du commentaire d’Averroès et de deux autres textes d’Alexandre : le traité Sur les principes de l’univers et la Quaestio I.1. Le présent article montre que ces deux derniers textes renferment chacun une section qui s’appuie sur Métaphysique Lambda, chapitres 6 et suiv., ce qui confirme le fait, ayant été établi ailleurs, que tous les textes d’Alexandre revêtent un caractère exégétique et prennent pour base les textes d’Aristote. Qui plus est, une comparaison entre le texte du chapitre Lambda et l’interprétation alexandriste permet d’apercevoir l’apport distinctif d’Alexandre à ce que la tradition a reçu comme la théologie d’Aristote. Entre autres choses, nous devons à Alexandre, ou à ses sources proches, l’idée que les cieux, étant animés, se meuvent en cercle parce qu’ils désirent imiter la parfaite quiétude du Premier Moteur. Nous devons également à Alexandre une mise en rapport détaillée de la théorie du livre Lambda avec les analyses du chapitre 8 de la Physique.
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Durón, José Manuel. „Parménide adversaire d´Aristote: Sur une connexion entre la Physique at la Métaphysique“. Síntesis. Revista de Filosofía 4, Nr. 1 (31.07.2021): 107–32. http://dx.doi.org/10.15691/24524476vol4iss1a349.

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Les traités Physique et Métaphysique d’Aristote exposent la thèse de Parménide selon deux approches différentes, voire contradictoires. Je soutiens que Parménide est, dans le premier, présenté en partisan de l’immutabilité, tandis que dans le second il est présenté comme tenant du relativisme. Cette différence répond dialectiquement aux fins de la discussion de chaque traité. Je soutiens que la thèse du monisme, à savoir ‘‘toutes les choses sont une’’, comprise, d’une part, d’un point de vue ontologique et, d’autre part, d’un point de vue épistémologique permet à Aristote de brosser des images assez distinctes de Parménide.
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Berne, Vincent. „Sens et sensibilité chez Whitehead“. Archives de Philosophie Tome 86, Nr. 4 (20.09.2023): 77–93. http://dx.doi.org/10.3917/aphi.864.0077.

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Résumé Avec la cosmologie de la philosophie de l’organisme, Whitehead poursuit son enquête sur les principes de la connaissance naturelle, dans l’idée de faire se correspondre les données phénoménologiques directes et la physique de son temps. En prenant pour modèle le corps percevant, cette métaphysique fait des individus durables les centres d’où s’élabore la connaissance objective. Nous y gagnons sécurité et cohérence dans un monde en perpétuel devenir où les lois de la nature sont elles-mêmes contingentes. Mais le parcours génératif du sens qu’étudie la partie III de Process and Reality interroge : en amont de toute ontologie, l’espace tensif dans lequel la théorie des préhensions inscrit la discussion ne relève-t-il pas plutôt de l’existence sémiotique ?
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Mehl, Édouard. „Kepler métaphysicien“. Revue des questions scientifiques 192, Nr. 3-4 (01.12.2021): 261–79. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v192i3-4.68513.

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Cet article entreprend de déterminer la situation métaphysique de la science keplérienne, et distingue trois phases de son évolution: a) une phase initiale, programmatique, où l’astronomie copernicienne veut faire office de théologie naturelle, et où, réciproquement, la théologie doit servir de sanction aux nouvelles hypothèses; b) une phase intermédiaire, où l’astronomie copernicienne ne cherche plus à se fonder dans un arrière-monde métaphysique, mais dans les causes naturelles des mouvements célestes; c) une phase terminale, postérieure à la découverte de la loi des temps périodiques, où Kepler renonce au projet initial de faire jouer à l’astronomie ou «physique céleste» une fonction ancillaire. Cette physique céleste n’est pas une théologie naturelle, mais une théologie naturalisée. *** This article tries to determine the metaphysical situation of Keplerian science, and distinguishes three phases of its evolution: a. an initial, programmatic phase, where Copernican astronomy wants to serve as a natural theology, and where, reciprocally, theology must serve as a sanction to the new hypotheses; b. an intermediate phase, where Copernican astronomy no longer seeks to be founded in a metaphysical back-world, but in the natural causes of celestial movements; c. a terminal phase, after the discovery of the law of periodic time, where Kepler renounces the initial project of making astronomy or “celestial physics” play an ancillary function. This celestial physics is not a natural theology, but a naturalized theology.
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Brito, Emilio. „La «Dialectique» de Schleiermacher“. Dialogue 32, Nr. 1 (1993): 41–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300014979.

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Peu de temps après la publication de ses Discours sur la religion (1799), et dans le contexte de sa discussion avec les systèmes de Fichte et de Schelling, Schleiermacher a pris conscience de la nécessité d'élaborer une «doctrine de la science», ayant pour tâche de thématiser la connexion des sciences et dé dégager la connaissance métaphysique suprême. Sous le nom de «Dialectique», notre auteur a présenté à plusieurs reprises cette science idéale, sous-jacente aux parties réelles du système philosophique — aux sciences qui ont pour domaine l'effectivité finie — et ayant pour mission de fonder l'unité de la physique et de l'éthique, les deux sciences réelles suprêmes. Le but du présent article est d'offrir une vue déensemble de cet ouvrage, encore peu connu du public francophone. Une premiére section situe le projet de Schleiermacher par rapport aux “triumvirs de l'Idéalisme allemand” (Fichte, Schelling et Hegel). Les deux sections suivantes présentent la partie «transcendantale» de la Dialektik, centrée sur la question métaphysique du fondement du savoir, de la possibilité d'une conformité entre la pensée et l'être. Une dernière section traite, plus sommairement, de la partie “technique” de l'ouvrage, axée sur le problème logique de la connexion et de la cohérence des divers domaines du savoir.
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Caillé, Arthur. „Peut-on seulement savoir ce qu’ est le corps ?“ Archives de Philosophie Tome 87, Nr. 3 (21.06.2023): 113–30. http://dx.doi.org/10.3917/aphi.863.0113.

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Malgré l’intérêt de Leibniz pour la physique de Huygens, leur correspondance entre 1692 et 1695 renferme plusieurs divergences révélatrices de deux ontologies différentes des corps. Selon Leibniz, les lois de Kepler peuvent être expliquées par une circulation harmonique, alors que Huygens substitue à celle-ci une pesanteur intrinsèque des corps. De plus, pour Huygens, il y a une extension dépourvue de tout corps et pourtant matérielle, ce qui n’est pas compatible avec la métaphysique de Leibniz. Enfin, Huygens explique la cohésion des corps par des atomes extrêmement durs ; Leibniz rejette de telles entités, mais complète les lois du mouvement relatif par un niveau substantiel au-delà de l’étendue.
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Le Bihan, Baptiste. „Les propriétés du vide et de l’espace-temps“. Varia 43, Nr. 1 (31.05.2016): 49–66. http://dx.doi.org/10.7202/1036467ar.

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Les propriétés matérielles sont généralement appréhendées comme les propriétés d’une substance matérielle : cette chemise possède la propriété d’être bleue, cette chaussure la propriété d’être en bon état. Pourtant, on peut trouver plusieurs raisons de douter que les propriétés soient nécessairement les propriétés d’une substance matérielle, à la fois en métaphysique avec la théorie du faisceau, et en physique contemporaine à travers les notions d’énergie du vide et de champ. Or, si les propriétés ne sont pas les propriétés de substances matérielles, on peut s’interroger sur la théorie de l’instanciation qu’implique une telle thèse. Dans cet essai, je m’emploierai à examiner la cohérence et la plausibilité de la thèse selon laquelle certaines, voir toutes les propriétés matérielles ne sont pas instanciées par une substance et la théorie de l’instanciation qui en découle.
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Belo, Fernando. „O Lugar da Física na Obra de Aristóteles“. Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 13, Nr. 26 (2005): 63–79. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica2005132626.

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Il s’agit d’abord d’éclairer le motif d'ousia, à partir de trois principes qui rendent possible de comprendre le mouvement des vivants, les étants qui le sont «par eux-mêmes», puis selon les quatre sens du «motif» qui donne ce mouvement et enfin selon la pair dunamis / entelecheia. Ensuite, on considère son double rapport au temps, celui qui le lie au mouvement et celui qui l’oppose aux accidents, rapport qui a été masqué dans la traduction latine des deux sens d'ousia dans les Catégories par substance et essence respectivement, devenues ‘intemporelles’. Dans une deuxième partie, on pose la question de la place de la Physique d’Aristote (qui s’occupe de l’être de l’étant en tant que se mouvant) dans l’ensemble de son oeuvre : c’est en elle qui sont définis et argumentés ces motifs, lesquels, d’une part, rendent possibles ses divers traités scientifiques et, d’autre part, sont repris dans les livres de la Métaphysique (s’occupant de l’être de l’étant en tant qu’étant). La Physique est ainsi l’une et l’autre, une philosophie - avec - sciences. Les considérations finales concernent la façon dont, à travers nommément d’Aquin et d’Occam, l’infidélité à Aristote de l’aristotélisme médiéval et européen a rendu possible que la pensée européenne se fasse à partir de lui et contre lui.
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De Sousa Melo, Candida Jaci. „Controverse sur la causalité mentale dans l’action1“. Articles 35, Nr. 2 (10.03.2009): 345–67. http://dx.doi.org/10.7202/000433ar.

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RésuméLe problème métaphysique central en philosophie de l’esprit concerne la relation entre l’esprit et le corps des agents. Quand on tente d’expliquer, par exemple, le rapport entre les pensées et les actions humaines, on est alors immédiatement confronté avec la difficulté, apparemment insurmontable, d’expliquer la causalité mentale. On doit répondre à la question : nos états de pensée causent-ils effectivement ce que l’on fait? Bien sûr, nos croyances, nos intentions et nos désirs sont à la base de notre comportement, dira le sens commun et une longue tradition philosophique. Cependant, certains philosophes ont récemment manifesté des doutes à propos du rôle réel de nos pensées sur nos actions. Pour contrer ce scepticisme, il nous faut expliquer comment des états de pensée (considérés traditionnellement comme ontologiquement irréductibles aux états neuronaux) peuvent exercer leur rôle causal dans un monde fondamentalement physique. Je vais donner ici les raisons pour lesquelles je crois (comme beaucoup d’autres) que les états de pensée sont indispensables à l’explication complète de nos actions. Pour ce faire, je procéderai à une analyse approfondie de la relation entre la causalité mentale ou intentionnelle et la causalité physique. Je mettrai en perspective deux approches importantes sur la causalité mentale : celle de John Searle, qui défend la réalité des états mentaux et semble résister au réductionnisme, et celle de Jaegwon Kim, qui montre le péril auquel l’approche de Searle est exposée : la surdétermination causale! Selon Searle, le mental est un trait du monde physique (lequel est un système constitué de niveaux dont certains ont des traits mentaux). Aux yeux de Kim cette stratification en niveaux n’apporte aucune solution au problème de la causalité mentale. Kim a-t-il raison?
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Takeda, Hiroki. „Le problème de la chute des graves chez Descartes : entre mathématique, physique et métaphysique“. Dix-septième siècle 248, Nr. 3 (2010): 443. http://dx.doi.org/10.3917/dss.103.0443.

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Fradet, Pierre-Alexandre. „Auscultation d’un coeur battant : l’intuition, la durée et la critique du possible chez Bergson“. Articles spéciaux 67, Nr. 3 (05.04.2012): 531–52. http://dx.doi.org/10.7202/1008603ar.

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L’intuition, la durée et la critique du possible : tels sont les grands concepts et les grandes thèses qui définissent le coeur de la pensée bergsonienne. Pour avoir tenu à dégager les conséquences qu’entraînent ces thèses dans des champs variés (l’épistémologie, les neurosciences, la métaphysique, la physique), bon nombre de commentateurs ont manqué de s’attarder à ce qui en est au plus près : les arguments qui les supportent et les faits qui les corroborent. En rédigeant ce qui suit, nous avons pris à rebours cette attitude des interprètes et avons essayé d’établir, tour à tour, si la méthode intuitive tient, si les caractères de la durée sont valables et si enfin la critique du possible n’appelle pas elle-même une critique. L’objectif général que nous nous sommes assigné alors est moins de démolir la doctrine bergsonienne que d’en cibler les branches qu’il reste à consolider.
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Knee, Philip. „Le monde comme vestige chez Barbey d’Aurevilly“. Quêtes littéraires, Nr. 12 (30.12.2022): 20–29. http://dx.doi.org/10.31743/ql.14863.

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Métamorphosant le réel en un ensemble de traces, Barbey d’Aurevilly opère dans ses romans un devenir-vestige du monde, qui suscite dans l’imagination de son lecteur une quête de ce qui toujours se dérobe à lui. On distinguera, parmi ces vestiges, ceux du sentiment perdu sur le plan individuel, ceux de la tradition perdue sur le plan de l’histoire, et ceux de la faute sur le plan du récit chrétien. On s’efforcera surtout de montrer que ces représentations du révolu, tour à tour psychologique, politique et métaphysique, sont sous-tendues par un univers sensible qui se manifeste par un feuilletage de vestiges. Corporels, par la ruine physique des personnages, ils sont aussi paysagers, en inscrivant la perte dans les territoires où ces personnages se meuvent, et ils appellent enfin des paroles médiatrices de la part de gardiens de la mémoire qui en suggèrent une interprétation voilée ou en font deviner le sens.
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Smith, Barry. „Les objets sociaux“. Philosophiques 26, Nr. 2 (02.10.2002): 315–47. http://dx.doi.org/10.7202/004987ar.

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RÉSUMÉ L’une des raisons qui expliquent l’intérêt renouvelé pour la philosophie autrichienne, et spécialement pour l’oeuvre de Brentano et de ses héritiers, est le fait que les philosophes analytiques ont eu un regain d’intérêt pour les problèmes traditionnels de la métaphysique. Il revient à Brentano, Husserl, et aux philosophes et psychologues qu’ils ont influencés, d’avoir attiré l’attention sur l’épineux problème de l’intentionnalité, qui consiste à rendre compte de la relation entre les actions et les objets ou, plus généralement, de la relation entre les environnements psychologiques des sujets cognitifs et les différents types d’environnements externes (physique, géographique, social) qu’ils habitent. Le présent article s’intéresse à cette version environnementale du problème de l’intentionnalité. Nous nous pencherons non seulement sur les travaux de Husserl et de Scheler, mais aussi sur ceux de Kurt Koffka et de Kurt Lewin en psychologie de la Gestalt. Nous tiendrons compte de l’influente théorie idéaliste subjective des environnements animaux mise de l’avant par J. von Uexküll, que nous comparerons avec une théorie réaliste de l’interaction organisme-environnement, théorie basée sur les écrits des psychologues écologistes J. J. Gibson et Roger Barker. Cette théorie réaliste sera alors exploitée en tant que fondement d’une ontologie des objets sociaux de différents types.
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Valeyre, Fanny. „« ????? et ????? [ne sont] pas la même chose. » ?????, physique, métaphysique dans la pensée de Heidegger de part et d’autre du tournant“. Les Études philosophiques N°194, Nr. 4 (2019): 601. http://dx.doi.org/10.3917/leph.194.0601.

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JUVANON DU VACHAT, Regis. „Lu pour vous : "Les voies de la lumière : Physique et métaphysique du clair-obscur" par Trinh Xuan Thuan“. La Météorologie 8, Nr. 64 (2009): 64. http://dx.doi.org/10.4267/2042/23638.

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Boi, Luciano. „Leibniz sur l’espace, le continu et la substance : mathématique, physique et métaphysique. François Duchesneau, La dynamique de Leibniz, Paris, Vrin, coll. Mathesis, 1994“. Philosophiques 22, Nr. 2 (1995): 407. http://dx.doi.org/10.7202/027344ar.

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Federici Vescovini, Graziella. „De la métaphysique de la lumière à la physique de la lumière dans la perspective des xiiie et xive siècles“. Revue d'histoire des sciences 60, Nr. 1 (2007): 101. http://dx.doi.org/10.3917/rhs.601.0101.

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Krzych, Bartłomiej K. „Trinite – relation(s) – metaphysique ontologie trinitaire et primaute metaphysique de la relation: prolegomena“. Resovia Sacra 28 (31.12.2021): 259–72. http://dx.doi.org/10.52097/rs.2021.259-272.

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La Sainte Trinité est une unité des relations de trois Personnes Divines. L’œuvre de création est une œuvre de Sainte Trinité enracinée métaphysiquement dans des relations entre les Personnes Divines. La création même fonde une relation entre Dieu et les créatures (dont aussi l’univers en tant que tel). Poursuivant ce raisonnement nous constatons que parmi des créatures il y a nombreuses relations de types variés. Alors il est apparent que les relations ou la relation en sens métaphysique (plus au moins aristotélicienne ad aliquid) est une notion fondamentale pour une compréhension de réalité en sa totalité. En d’autres termes: la relation est une catégorie (en sens hartmannienne) primordiale pour toute analyse ontologique de ce qui existe. On peut même dire que, mettant à côté l’esse (qui fonde la base de réalisme: l’esse de Dieu est le source d’existence de créatures et d’univers), la notion de relation est une notion limitative dans toute explication de lois et de niveaux de l’univers. On peut remarquer une telle fait dans la science contemporaine, surtout en physique (les théories quantiques avec ses paradoxes comme par exemple le principe d’incertitude de Heisenberg). Mais également nous voyons en théologie des mouvements intellectuels similaires, i.e. les théologiens, principalement ceux qui pratiquent la théologie dans le contexte de la science (par exemple la «théologie de la science» de Michał Heller) se concentrent justement sur des question de relation en sens large (Trinitas – creatio – Incarnatio – salvatio – scientia) et non pas sur des spéculations purement métaphysico-théologiques. Dans mon étude je voudrais analyser des liens et des rapport réciproques entre théologie et science (particulièrement il s’agissait d’ontologie), en montrant que des acquis scientifiques contemporains ont une impact mesurable sur l’(téo-)ontologie trinitaire. D’autre par ce denier peut servir comme un laboratoire intellectuel pour les philosophes et scientifiques. Je soutiendrai mes considérations avec des exemples spécifiques.
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Yip, Julianne. „Chasing Rotten Ice“. Social Anthropology/Anthropologie Sociale 32, Nr. 1 (01.03.2024): 64–79. http://dx.doi.org/10.3167/saas.2024.320106.

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Abstract Changing sea ice due to anthropogenic climate change demands scientists to revisit their taken-for-granted concepts of sea ice. The ‘rotten ice project’ was one such effort by scientists at the University of Washington's Polar Science Center, which sought to develop novel methods to characterise sea ice as a physical-biological-chemical unit. Rotten ice, however, evaded scientists’ efforts to capture it. Using these ‘escapes’ from scientists’ preconceptions during my fieldwork with the team from 2014 to 2016, I draw on interpretations of Georges Canguilhem's understanding of the relationship between life and knowledge to make sense of what rotten ice demanded. Following Canguilhem's suggestions, I argue that vitalism as an ethos treats concepts as tools for scientists to relate to their environment, challenging them to to remain receptive to the difference that error, experimentation and encounters made to their concepts—and thereby stay open to more-than-human worlds like those found in sea ice. Résumé Les modifications que la glace de mer connaît sous l'influence du changement climatique ont incité les scientifiques à revisiter leurs conceptions acquises sur cette glace de mer. Le « projet pourrissement » est l'un de ces efforts mis en œuvre par les scientifiques du Center de Science Polaire de Washington University. Il cherche à développer de nouvelles méthodes pour caractériser la glace de mer comme unité physique-biologique. La glace pourrissante, néanmoins, est jusqu’à présent parvenue à résister et à échapper aux efforts des scientifiques pour la capturer. En utilisant ces « échappées » des préconceptions des scientifiques durant mon terrain avec l’équipe entre 2014 et 2016, j'ai élaboré mon argument à partir d'une interprétation de la compréhension que Georges Canguilhem a esquissée des relations entre la vie et le savoir ; ceci afin de faire sens de ce que cette glace pourrissante demandait. Comme suggéré par Canguilhem, le vitalisme comme ethos plutôt que comme métaphysique de la matière traite les concepts comme un outil à l'aide duquel les humains peuvent se relier à leurs environnements. Un ethos vitaliste défie les scientifiques de développer des sensibilités aux contingences du savoir scientifique et de rester réceptifs et ouverts aux différences que l'erreur, l'expérimentation et les rencontres font à leurs concepts. Un ethos vitaliste suggère en effet une approche plus intéressée à ceux des concepts qui ne sont pas réduits par les sachants humains ou leurs idéalismes et demeurent ouverte à la découverte des mondes au-delà de l'humain.
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Dumouchel, Paul. „Ce que l'on peut apprendre sur les chauves-souris à l'aide d'une télé couleur“. Dialogue 32, Nr. 3 (1993): 493–505. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300012282.

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Deux ou trois articles (plus ou moins) récents, Nagel (1974), Block (1978), Jackson (1982), forment la toile de fond de discussions actuelles au sujet des qualia et du caractère subjectif de l'expérience, du moins en philosophie de l'esprit. Ces articles ont ceci en commun qu'ils visent tous à montrer qu'un certain aspect de l'expérience consciente – les qualia ou sa dimension subjective – remet en cause l'une ou l'autre, ou l'ensemble (Jackson 1982, 1986) de nos théories psychophysiques. Ce qui est visé, au-delà des théories psychophysiques, c'est le physicalisme, entendu comme une théorie métaphysique portant sur l'ameublement de l'univers, comme l'affirmation que tout ce qui existe ce sont des objets physiques et des propriétés physiques ou des propriétés survenantes sur des propriétées physiqus. C'est pourquoi le point où l'attaque porte est le réductionnisme des théories qui affirment l'identité des états mentaux (ou des événements mentaux) et des états physiques (ou des événements physiques) du cerveau. Peu importe la forme précise de ces théories, qu'elles affirment l'identité des éats mentaux individuels avec des états individuels du cerveau (token identity) ou l'identité des types d'états mentaux avec des types d'états cérébraux, ou encore l'identité des états fonctionnels du cerveau avec les éetats mentaux, toutes sont censées trouver ici, dans deux ou trois expériences de pensée, leurs limites ou le sceau de leur échec.
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Leduc, Christian. „La métaphysique de la nature à l’Académie de Berlin“. Dossier. La philosophie à l’Académie de Berlin au XVIIIe siècle 42, Nr. 1 (13.07.2015): 11–30. http://dx.doi.org/10.7202/1032215ar.

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Dans le présent article, je montre que Maupertuis et Euler proposent une conception contrastée de la métaphysique de la nature. Il s’agit principalement pour eux de repositionner la cosmologie par rapport aux sciences de la nature. Au lieu de considérer la métaphysique comme étant au fondement des théories scientifiques, comme le supposent Descartes, Wolff et, d’une certaine manière, Kant, ou simplement d’interdire l’idée même d’une cosmologie, comme le stipulerait à la même époque d’Alembert, Maupertuis et Euler, renversent l’ordre des disciplines pour donner aux sciences physiques une primauté sur la métaphysique. Ce repositionnement entraîne évidemment plusieurs questions : d’abord, de quelle manière les théories scientifiques peuvent-elles valider ou infirmer un principe métaphysique ? Plus important encore, quel rôle incombe à la métaphysique de la nature, étant donné que les sciences possèdent non seulement une autonomie théorique, mais même une priorité sur les réflexions ontologiques. Il semblerait d’ailleurs que la métaphysique se réduise, pour ces deux philosophes, au seul domaine du cosmologique, en particulier aux questions qui concernent la force et le principe de moindre action, au statut ontologique de l’espace et du temps et aux déterminations de la matière que sont l’étendue, l’inertie, l’impénétrabilité et le mouvement.
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Stevens, Annick. „Studies in Aristotle - (E.) Berti Dialectique, physique et métaphysique. Études sur Aristote. Pp. iv + 510. Louvain-la-Neuve, Paris and Dudley, MA: Éditions Peeters, 2008. Paper, €74. ISBN: 978-90-429-2016-3.“ Classical Review 59, Nr. 2 (15.09.2009): 388–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0009840x09000304.

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Calcaterra, Rosa M. „Le naturalisme de William James“. Archives de Philosophie Tome 87, Nr. 2 (09.04.2024): 11–24. http://dx.doi.org/10.3917/aphi.872.0009.

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Dans cet article, l’auteur examine le naturalisme de James comme un exemple des intersections entre la biologie, la psychologie et la philosophie. L’article reconstruit les principaux arguments épistémologiques, éthiques et métaphysiques de James pour montrer comment sa philosophie s’inscrit dans la biologie de Darwin. Ainsi, le contingentisme de James devient cohérent avec sa critique de l’interprétation du principe darwinien de la « sélection naturelle » et avec l’idée de Darwin de l’ambiguïté comme marque de la réalité physique et humaine.
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Śliwiński, Tomasz. „Podstawy fizyki Kartezjusza“. Acta Universitatis Lodziensis. Folia Philosophica. Ethica-Aesthetica-Practica, Nr. 16 (01.01.2004): 43–69. http://dx.doi.org/10.18778/0208-6107.16.03.

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Le texte ci-dessus traite d'une question-clé pour le jeune philosophe Descartes. Cette dissertation aborde la problématique des fondements du savoir que le philosophe posait pour la première fois dans son traité «Le Monde» (1629-1632). C'est avec ce traite que naît, dans le système de Descartes, le besoin d'établir les bases métaphysiques des nouvelles sciences naturelles et de toute la nouvelle philosophie. En 1630, Descartez n'avait pas encore suffisamment façonné la question de dieu et de sa relation envers le monde, question qui existait tout de même dans son esprit et était novatrice par rapport à ce que l'on ensejgnait à ce sujet au point de susciter la controverse voire méme la réprobation. Cette problématique touchait aux questions physicues au sens large dans le projet de travail du philosophe et établissait la possibilité d'un fonde'ent métaphysique du discours sur l'existence. Cette question, Descartes l'a résolue en embrassant la notion de vérités universalles qu'il a subordonnées au concept du dieu-créateur de l'ordre rationnel du monde. Ces vérités universalles en tant que vérités mathématiques, sont, pour le philosophe non seulement la substance (l'essence) mathétique de l'objet de la connaissance, mais aussi la condition indispensable à la connaissance. Ceci lui a permis une concordance absolue de l'ordre du savoir avec l'ordre réel, que ce savoir décrivait. Ce travail est une reconstruction basée sur la correspondance du philosophe et n'existait pas, à l'époque, comme idée indépendante dans la philosophie de Descartes.
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Renault, Michel. „Analogie formelle et analogie substantielle en économie : l’économique néo-classique, l’énergétique et la physique des champs“. Économie appliquée 45, Nr. 3 (1992): 55–90. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1992.2299.

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Cet article établit une distinction entre analogie formelle et analogie substantielle à travers l'exemple de l’influence de la physique des champs et de l’énergie sur l’économique néo-classique (économie pure). Il montre que la distinction entre les deux types d’analogies est souvent ténue, l’une amenant souvent l’autre. Des conceptions anthropomorphiques, essentialistes ou métaphysiques peuvent ainsi se superposer à des similitudes formelles. Le danger est alors grand de calquer la démarche de l’économie politique sur celle de la physique par le biais d’identification termes à termes de concepts qui ne sont pas de même nature. L’exemple de l’identification de l’analogue d’un principe de conservation de l’énergie en économie et de l’ interprétation anthropomorphique du principe de moindre action est significatif des dangers de l’analogie ; celle-ci n’est en effet jamais neutre.
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Rey, Anne-Lise. „« La Minerve vient de faire sa physique »1“. Dossier 44, Nr. 2 (08.12.2017): 233–53. http://dx.doi.org/10.7202/1042332ar.

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L’article montre qu’après la « révolution scientifique » opérée par l’introduction des idées de Newton en France, Émilie du Châtelet a construit un dispositif épistémique inventif qui lui permet d’articuler principes métaphysiques et experimental philosophy. Je cherche à exposer que, s’il y a bien une relative invisibilité du travail philosophique d’Émilie du Châtelet dans l’historiographie des Lumières, cela tient à la fois au statut de femme savante à cette époque (Émilie Du Châtelet ne peut être réduite ni à une traductrice des textes de Newton, ni à une vulgarisatrice des thèses de Leibniz), mais aussi à la situation philosophique d’Émilie du Châtelet, qui ne peut se réduire à aucune filiation (cartésienne, leibnizienne ou newtonienne) et qui élabore une philosophie naturelle originale.
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Prunea-Bretonnet, Tinca. „Principes métaphysiques et certitude chez Christian Wolff et Émilie du Châtelet“. Les Études philosophiques N° 146, Nr. 3 (02.08.2023): 39–55. http://dx.doi.org/10.3917/leph.233.0039.

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Cet article analyse le rôle des principes premiers dans les Institutions de physique d’Émilie du Châtelet et le rapport de sa conception au projet métaphysique de Christian Wolff, en étudiant la fonction architectonique que revêt la métaphysique générale ou l’ontologie grâce à ce que Wolff appelle les « notions directrices » ou « fondamentales ». J’examine d’abord la doctrine wolffienne telle qu’elle est détaillée dans la dissertation « Des notions directrices et du véritable usage de la philosophie première » de 1729. Ensuite, je regarde de plus près les développements dédiés aux principes premiers dans les Institutions, afin de mettre en lumière leur rôle fondateur en physique. Je souhaite montrer que du Châtelet élabore une conception où les principes métaphysiques – au sens fort conféré au terme de principe ontologique par Wolff – rendent possible l’acquisition de la connaissance et l’accès à la certitude, en assurant l’intelligibilité et le fondement de toutes les sciences. Enfin, je discuterai l’inscription de cette perspective dans la théorie des principes des Lumières, notamment en rapport avec les conceptions sur la métaphysique et le principe premier de Maupertuis et d’Alembert.
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Martin, Jessie. „Institut Benjamenta : la face voilée de la réalité“. Hors dossier 19, Nr. 1 (18.03.2009): 129–45. http://dx.doi.org/10.7202/029502ar.

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Résumé Cet article montre comment le film des frères Quay, Institut Benjamenta, propose une représentation métaphysique du monde. Les cinéastes développent une réflexion filmique sur le paradoxe caché dans la réalité phénoménale. En travaillant sur la perméabilité de concepts physiques tels que le lieu, le langage, l’homme, le film parvient à dépasser les antinomies séculaires qui divisent l’esprit du corps, l’intelligible du sensible. À travers la porosité des frontières topographiques, l’usage singulier de la parole et l’hybridation animale, le film explore toute l’ambiguïté qui couve sous les certitudes perceptives. Il crée un univers flottant et incertain dans l’entre-deux de la perception et confronte, dans la puissance poïétique de la fiction, l’homme avec ce qui lui échappe et avec ce à quoi il tente d’échapper. C’est dans le rapport du sensible et de l’intelligible que l’être, dans le film, fait l’expérience de lui-même.
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MELAY, Alexandre. „Magnétismes, tensions, harmonies. Du spirituel à l'œuvre“. Revista Estado da Arte 2, Nr. 2 (15.06.2021): 1–29. http://dx.doi.org/10.14393/eda-v2-n2-2021-59686.

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Cet article s’inscrit dans une perspective de création-recherche. À partir de ma pratique artistique personnelle, je pose la question de la représentation du spirituel, une entité qui n’à priori pas de forme. Au sein de ma pratique, c’est à travers la production d’“objets subjectifs et méditatifs” que je tente de réinterpréter les fondamentaux des exigences spirituelles des pratiques du bouddhisme zen et de retranscrire cette dimension spirituelle à travers des œuvres à l’esthétique minimaliste propre à ces philosophies du vide. Une recherche artistique métaphysique à l’intersection du spirituel et du philosophique, où le zen permet de donner naissance à des œuvres méditatives, aux formes transcendantales, aux qualités spirituelles ou intellectuelles, qui induisent un état spirituel chez ceux qui les reçoivent. Cet article se donne ainsi pour projet de formaliser l’expérience spirituelle vécue, des traductions physiques et tangibles de réflexions philosophiques et mystiques qui invitent à cette expérience participative du “vide”.
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Higuera, José. „Suarez-Nani, T. – O. Ribordy – A. Petagine (org.), Lieu, espace, mouvement: physique, métaphysique et cosmologie (XIIe-XVIe siècles): actes du Colloque International Université de Fribourg (Suisse), 12-14 mars 2015, (Textes et Études du Moyên Age, 86) Fédération Internationale des Instituts d’Études Médiévales, Barcelona-Roma 2017; 318 pp.; ISBN: 978-2-503-57552-0“. Filosofia Revista da Faculdade de Letras da Universidade do Porto 35 (2019): 170–72. http://dx.doi.org/10.21747/21836892/fil35r2.

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Croce, Benedetto, und Gilles A. Tiberghien. „Sur le principe économique“. Revue internationale de philosophie 268, Nr. 2 (01.06.2014): 155–71. http://dx.doi.org/10.3917/rip.268.0155.

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On trouvera ici publiées deux lettres qui constituent le chapitre IX du livre Matérialisme historique et économie marxiste, publiées en 1906 dans la deuxième édition italienne et restées inédites en Français à ce jour. Dans la première de ces deux lettres à l’économiste W. Pareto, Croce s’efforce de définir la nature d’un fait économique pour donner à l’économie un statut de science. Ce qu’il démontre d’abord, c’est que le fait économique n’est ni un fait mécanique ni un fait hédoniste. C’est un fait de l’activité humaine qui dépend d’un choix : c’est donc un fait pratique mais qui est « indépendant de toute détermination morale ou immorale ». Dans la deuxième lettre Croce s’attaque à une question de méthode montrant qu’on ne peut découper le fait économique en l’isolant et que, par ailleurs, la conception de Pareto est sous tendue par un présupposé métaphysique moniste à savoir que les faits de l’activité humaine sont de même nature que les faits physiques. Mais si l’activité économique est à séparer de l’activité morale elle n’en fait pas moins l’objet d’une approbation ou d’une désapprobation économique . C’est à l’établissement de ces distinctions et d’autres que s’emploie ici Croce.
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Villela-Petit, Maria. „Looking at the earth from a philosophical point of view“. Les Pages du laa 2, Nr. 7 (24.08.2023): 1–16. http://dx.doi.org/10.14428/lpl.v2i7.75573.

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Les scientifiques nous alertent au quotidien quant aux déséquilibres des milieux physiques, chimiques et biotiques qui conditionnent, disent-ils, nos vies sur la terre. Les scientifiques alimentent au quotidien l’enchaînement réciproque de la technique et de l’économie dont l’inflation cause les déséquilibres que les scientifiques diagnostiquent. Les scientifiques fourbissent les armes et crient à la catastrophe. D’aucun nous le disent depuis longtemps, qui parfois sont savants : la science ne se pense pas ! Elle exhibe aujourd’hui ses responsabilités et son irresponsabilité sans pudeur, fière à bras ; voilà même qu’avec la sûreté du maître elle nous fournit les modèles d’un développement durable. La science en question, la science « à la question » ? Vous n’y pensez pas ! Qui se risquerait à troubler l’exactitude de la vérité ?Les architectes, par leur pratique de la trace et du tracé, se soucient de l’habiter. Ce souci, rémanent et perforant, rencontre l’évidence « phénoménologique » d’un séjour sur la terre et sous le ciel. Cette évidence est, par force et en droit, première et constante, elle ne souffre aucune distraction dans le champ du « projet » de l’architecte ! Mais est-elle « scientifique » ?Il se fait que les critiques conjointes de la science et de la métaphysique ont causé, dans le pré de la philosophie, une attention pour la Terre en tant qu’elle est l’assise et l’horizon de l’habiter. Cette attention rejoint le souci des architectes.Mais qu’en est-il des rapports qu’entretiennent l’attention des philosophes pour la Terre et les représentations que les scientifiques dressent du « système » terre ?Maria Villela-Petit a contribué à faire l’état de ces interrogations à l’occasion d’une conférence « Looking at the Earth from a Philosophical Point of View » qu’elle nous propose d’éditer sur les pages du laa. Cette conférence fut prononcée le 16 février 2006, dans le cadre du séminaire du Professeur Rowland Stout, à l’University College of Dublin (UCD).Maria Villela-Petit est née à Rio de Janeiro, où elle a fait ses premières études de philosophie à l’Université Catholique de Rio. À Paris, elle étudie sous la direction de Paul Ricœur et soutient une thèse de doctorat sur « L’intersubjectivité et l’être-en-commun dans la philosophie phénoménologique d’Edmund Husserl ». Chercheur émérite du CNRS (Archives Husserl de Paris), elle a aussi enseigné l’Esthétique à l’Institut Catholique de Paris.Elle est l’auteur de nombreux articles sur Husserl, Heidegger, M. Merleau-Ponty, H. Maldiney, Jean Nabert et Paul Ricœur, mais aussi sur Platon et l’art grec, et sur Simone Weil.
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Palanciuc, Ana. „Aristote, de la physique à la métaphysique“. Été 2004 5, Nr. 2 (25.08.2004). http://dx.doi.org/10.58282/acta.484.

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