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Zeitschriftenartikel zum Thema „Petits exploitants agricoles“

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MONTCHO, Bernard, und Séraphin ATIDEGLA CAPO. „Analyse Des Contraintes A La Durabilité De La Motorisation Agricole Dans La Commune De Ketou, Benin, Afrique De L’Ouest“. International Journal of Progressive Sciences and Technologies 39, Nr. 2 (27.07.2023): 239. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v39.2.5489.

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La durabilité de la motorisation agricole dans la Commune de Kétou nécessite avant toute action d’évaluer les contraintes auxquelles sont confrontés les exploitants agricoles. Ce qui va constituer un levier pour mieux orienter les stratégies liées à la relance d’un programme d’envergure de promotion de la mécanisation agricole. L’approche méthodologique adoptée comprend la collecte des données, leur traitement et l’analyse des résultats. Les données ont été collectées à l’aide des questionnaires et de guide d’entretien auprès d’un échantillon de 135 paysans utilisant des agro équipements. La perception des populations sur la faible motorisation agricole et les contraintes liées à son adoption ont été analysées par des tests statistiques. Les résultats obtenus ont montré que la pauvreté des producteurs (IV=0,41) et l’analphabétisme (IV=0,21) sont perçus par les paysans comme les principales causes de la faible motorisation. Par ailleurs, la prédominance de petits producteurs (IV=0,17) et le faible niveau de vulgarisation des équipements (IV=0,10) représentent des facteurs intermédiaires mais également non négligeables dans la justification de la faible motorisation agricole. L’analyse des contraintes socio-économiques majeures identifiées révèle que 35 % des enquêtés ont déclaré que leur situation économique ne peut leur permettre d’acquérir le matériel agricole, 30 % de ces paysans ont déploré le coût assez élevé des agro équipements ainsi que leur entretien. Mais, 18 % ont relevé les difficultés d’accès aux crédits qui ne leur favorisent pas l’acquisition d’agro équipements modernes tels que les motoculteurs, les tracteurs, etc. Les autres difficultés recensées sont liées à l’individualisme des producteurs (10 %) et à la taille des exploitations agricoles (7 %). Au plan technique, la motorisation agricole est diversement appréciée. Ainsi 40 % des paysans enquêtés évoquent les difficultés relatives à l’essouchage des terres, 23 % la non disponibilité des pièces de rechange , 12 % le faible niveau de vulgarisation des équipements agricoles et 8 % ont souligné l’inexistence de services après-vente.
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Billard, Cécile, Valéry Gond, Johan Oszwald, Xavier Arnauld de Sartre und Benno Pokorny. „Trajectoires des pratiques agricoles paysannes en Amazonie“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, Nr. 319 (01.01.2014): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20552.

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L'important corpus de recherches sur les changements d'utilisation des terres et de la couverture du sol en Amazonie brésilienne met généralement en évidence un effet significatif des systèmes de production paysanne. Cependant, l'influence des caractéristiques socio-économiques spécifiques des petits exploitants sur l'utilisation des terres et le changement de couverture des sols n'apparaît pas clairement. Afin de mieux comprendre cet aspect, une étude de cas dans la colonie de Palmares-2 en Amazonie brésilienne a été menée au niveau des ménages pour cerner l'influence de certaines variables socio-économiques sur leur utilisation des terres. Les changements d'utilisation des terres à l'échelle de l'exploitation familiale ont été analysés à l'aide d'images LANDSAT TM et SPOT disponibles pour 1986, 1992, 2001 et 2007. Ces données SIG (système d'information géographique) ont été associées aux informations recueillies lors d'une enquête auprès de 44 exploitants. L'analyse montre que les niveaux de revenus influencent positivement les taux de déforestation sur cette période, et que l'expansion des zones cultivées et des pâturages s'accroît avec le niveau d'éducation des ménages. La disponibilité de crédits non remboursables est corrélée avec l'expansion de jachères forestières. Les surface nues et/ou brûlées sont plus importantes parmi les exploitations à faible capital implantées moins durablement sur la région. Les résultats de cette étude indiquent clairement la pertinence des niveaux de revenus et d'éducation comme facteurs d'explication sur l'utilisation des terres et le changement de couverture des sols par les paysans d'Amazonie.
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ITOO, Renaud, Espérance ZOSSOU, Florent OKRY und Simplice VODOUHE. „Consentement des Agriculteurs à Payer les Services de Vulgarisation agricole : cas des vidéos de formation“. Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 10, Nr. 2 (31.12.2020): 23–30. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v10i2.34.

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La problématique de la contribution des agriculteurs aux charges financières de la vulgarisation agricole reste d’actualité dans les pays de l’Afrique subsaharienne marquée par la prédominance de petits exploitants agricoles vivant dans un contexte de pauvreté, d’insécurité alimentaire et d’un faible taux d’alphabétisation. La présente étude vise à analyser le consentement à payer (CAP) des agriculteurs pour suivre des vidéos de formation agricole. Cette étude a été conduite auprès de 173 agriculteurs dans 6 villages des communes de Dangbo et Adjohoun (Bénin). La Méthode d’Evaluation Contingente (MEC) a été utilisée pour recueillir le CAP des agriculteurs. L’analyse des données a été faite avec des statistiques descriptives et le modèle Tobit censuré. Les agriculteurs enquêtés sont prêts à payer en moyenne 250 F CFA (0.4 $ US) pour suivre une vidéo. Les résultats révèlent aussi que le genre, le niveau d’instruction, la fréquence des visites du conseiller agricole, l’accès au crédit agricole et le nombre d’années de pratique agricole affectent positivement le consentement à payer des agriculteurs. Aussi, le CAP des agriculteurs varie d’un village à un autre. Ces résultats donnent de l’espoir sur une possibilité de contribution des agriculteurs au financement des services de vulgarisation agricole ; ce qui favoriserait l’émergence de services privés de vulgarisation agricole pour le renforcement des systèmes d’innovation agricole. Les résultats obtenus sont conformes à plusieurs travaux scientifiques antérieurs qui ont montré que les caractéristiques socio-économiques des agriculteurs déterminent leur consentement à payer pour l’obtention de divers biens. L’originalité de la présente étude est qu’elle utilise la méthode d’évaluation contingente pour un service qui est resté longtemps par le passé public et gratuit.
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Sossou, Hervé C., Souléïmane A. Adekambi, Victor Codjo und Elysée M. Houedjofonon. „Typologie des exploitations agricoles : caractérisation et accès aux services agricoles au Bénin (Afrique de l’Ouest)“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, Nr. 3 (09.09.2021): 1191–207. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i3.25.

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Le secteur agricole constitue un levier très important du développement de l’économie béninoise. Il est dominé par la présence d’exploitations agricoles qui mènent plusieurs activités. L’objectif de cette étude était de caractériser ces exploitations agricoles et d’analyser leurs accès aux services agricoles au Bénin. Les données ont été collectées à l’aide des questionnaires et de guide d’entretien auprès d’un échantillon de 4880 exploitions agricoles. L’analyse typologique a été faite à l’aide d’une classification ascendante hiérarchique et d’une analyse en composantes principales. L’analyse du taux d’accès des exploitants agricoles aux services agricoles a été faite grâce aux statistiques descriptives et au calcul de pourcentage dans des tableaux croisés. L’analyse des variances a permis d’analyser les variations des taux d’accès des services agricoles entre les classes d’exploitations agricoles. Les résultats de l’étude ont montré qu’il existe trois catégories d’exploitations agricoles au Bénin. Il s’agit des gros agriculteurs (27,91%), des agriculteurs moyens (21,45%) et les petits agriculteurs qui sont majoritairement représentés (50,64%). L’appartenance à l’un ou l’autre des groupes d’exploitation est déterminée par la superficie des champs, le nombre d’actifs agricoles, l’utilisation de la traction motorisée, de la traction animale, le nombre de têtes de bovins, etc. L’analyse du taux d’accès des exploitations agricoles aux services agricoles a révélé que ces taux varient d’une catégorie d’exploitation à une autre. Cette étude permettra aux décideurs politiques de définir et bien orienter les politiques de recherches développement vers les acteurs du monde rural. The agricultural sector is a very important lever for the development of the Beninese economy. It is dominated by the presence of farms that carry out several activities. The objective of this study was to characterize these farms and to analyze their access to agricultural services in Benin. Data were collected using questionnaires and interview guides from a sample of 4880 farms. The cluster analysis was done using an ascending hierarchical classification and principal component analysis. The analysis of the access rate of farmers to agricultural services was made through descriptive statistics and percentage calculation in cross tables. The analysis of variances was used to analyze the variations in the rates of access to agricultural services between the classes of agricultural holdings. The results of the study showed that there are three categories of farms in Benin. These are large farmers (27.91%), medium farmers (21.45%) and small farmers who are mostly represented (50.64%). Membership in one or another of the farming groups is determined by the area of the fields, the number of agricultural workers, the use of motorized traction, animal traction, the number of heads of cattle. , etc. Analysis of the access rate of farms to agricultural services revealed that these rates vary from one farm category to another. This study will enable political decision-makers to define and properly orient development research policies towards actors in the rural world.
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Palé, Sié, Farid Traoré, Joost Wellens, Cyrille Bassolo Baki, Aboubakar Sako und Bernard Tychon. „Estimation des surfaces irriguées ripariennes à l’aide de Earth Engine. Une étude de cas dans le sous-bassin versant de la Haute-Comoé, Burkina Faso“. Cahiers Agricultures 33 (2024): 1. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023023.

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La mise au point d’une méthode automatique d’estimation des surfaces irriguées par les petits exploitants agricoles en Afrique aux abords des cours d’eau, à partir d’outils libres et de données satellitaires gratuites, reste un défi majeur à cause de la diversité des cultures qui y sont pratiquées, de l’étroitesse des parcelles, de la variabilité des cycles culturaux et de la similarité des réflectances des zones irriguées, des zones humides enherbées et de la végétation arborée riparienne. Cet article visait donc à développer une méthode qui permette d’extraire les surfaces agricoles irriguées par les agriculteurs informels le long des berges du fleuve Comoé au cours de la campagne agricole de saison sèche. Pour ce faire, une image composite, obtenue des images de janvier 2019 des satellites Sentinel-1 et 2, combinée à des indices spectraux dérivés et sensibles aux surfaces irriguées (NDVI, MNDWI et NBR2), a fait l’objet d’une classification supervisée à l’aide du classificateur Random Forest sur la plateforme Earth Engine, après une série de masquages automatiques des sols nus, des surfaces des plans d’eau, des infrastructures et de la forêt galerie. Testée sur des données de janvier 2019, pendant laquelle la plupart des agriculteurs ont mis en place leurs cultures, la méthode proposée permet d’estimer efficacement les superficies irriguées. Elle a permis de distinguer les classes ‘zones irriguées’ et ‘zones humides enherbées’ avec une précision globale de 98 %, un coefficient Kappa de 0,91 et des F-scores respectifs de 99 % et 92 %. L’étude a ainsi montré qu’il est possible de développer à moindre coût une méthode automatique et efficace d’évaluation de surfaces irriguées ripariennes à partir de la plateforme Earth Engine.
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Stankiewicz, Emilia. „Viewpoint: How blockchain, platform economy and fintech combined can be used to facilitate economic inclusiveness in developing countries“. Management & Prospective Volume 40, Nr. 5 (31.05.2024): 134–46. http://dx.doi.org/10.3917/g2000.405.0134.

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L’objectif de cet article est d’étudier le processus entrepris par un consortium international pour définir un modèle d’entreprise et développer un produit, à savoir un portefeuille mobile basé sur la blockchain à l’usage des petits exploitants agricoles au Kenya. Le potentiel perturbateur des réseaux peer-to-peer et des grands livres distribués est illustré par l’étude de cas basée au Kenya, qui examine le processus de création et de mise en oeuvre d’un modèle d’entreprise et d’une méthode de paiement innovante. L’analyse présentée ici contribue à la littérature en discutant de l’utilisation de la technologie blockchain et des plateformes numériques pour proposer une solution possible pour l’inclusion économique des micro-agriculteurs au Kenya, et en démontrant ses avantages potentiels en termes de création de valeur. Cet article met en outre en lumière les possibilités offertes par la blockchain pour les processus d’entreprise. Enfin, nous citons les implications associées à la finance décentralisée, en discutant de l’innovation du modèle d’entreprise à l’aide de la technologie blockchain.
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Zossou, Espérance, Seth Graham-Acquaah, John Manful, Simplice D. Vodouhe und Rigobert C. Tossou. „Les petits exploitants agricoles à l’école inclusive : cas de l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio sur la post-récolte du riz local au Bénin“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, Nr. 4 (19.11.2021): 1678–97. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.29.

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En Afrique subsaharienne, les petits exploitants agricoles ruraux ont difficilement accès aux connaissances et informations actualisées afin d’améliorer leur revenu. Pour renforcer l’apprentissage collectif au sein des acteurs des chaînes de valeur du riz local blanc et étuvé, la vidéo et la radio ont été utilisées de façon participative. La présente étude visait à comprendre l’influence de cet apprentissage collectif sur (i) le changement des pratiques des transformations et (ii) la qualité du riz local. Des interviews et suivis hebdomadaires ont été réalisés entre 2009 et 2018 au sud et nord du Bénin auprès de 240 transformateurs choisis aléatoirement. Des échantillons de riz ont été également collectés pour des analyses de qualité au laboratoire. L’analyse des données a été faite avec les tests t de Student, Wilcoxon, ANOVA, et le modèle de régression de Poisson. Les résultats ont montré une amélioration des pratiques de 14% ; 23% et 58% respectivement dans les villages contrôles, radio et vidéo. Dans le processus d’amélioration des pratiques, les transformateurs ont renforcé leur créativité en développant des technologies appropriées à leur environnement ; ce qui a eu un impact positif sur les qualités physiques et de cuisson du riz. Dans un contexte de pauvreté, d’insécurité alimentaire, de ruralité et d’analphabétisme, l’apprentissage collectif par la vidéo et la radio locale se révèle être une opportunité pour le renforcement du système d’innovation agricole. English title: Smallholder farmers at inclusive school: Lessons learnt from collective learning through video and radio on local rice processing in Benin In sub-Saharan Africa, rural smallholder farmers have limited access to timely and up-to-date knowledge and information to improve their incomes. To strengthen collective learning among rice sector’ stakeholders, videos and radio were participatory used. This study aims to assess the impact of this collective learning on (i) changing rice processors practices and (ii) the quality of local rice. Interviews and weekly follow-ups were conducted between 2009 and 2018 in southern and northern Benin with 240 randomly selected rice processors. Rice samples were also collected for quality analysis in the laboratory. Data analysis was done with Student's t-tests, Wilcoxon, one-way ANOVA, and the Poisson regression model. The results showed an improvement in rice processors practices of 14%; 23% and 58% respectively in control, video and radio villages. During the improvement of their practices, rice processors have increased their creativity by developing appropriate technologies to their environment; and this has positively impact on the physical and cooking qualities of the rice. In a context of poverty, food insecurity, rurality and illiteracy, collective learning through video and radio seems to be an opportunity to strengthen the agricultural innovation system, and a booster for change through adoption and adaptation of innovation.
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Hiernaux, Pierre, Kalilou Adamou, Alberto Zezza, Augustine A. Ayantunde und Giovanni Federighi. „Lait de vache trait dans les petites exploitations familiales du Sahel semi-aride : des rendements faibles mais de grande valeur !“ Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, Nr. 4 (27.06.2017): 143. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31199.

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Les volumes de lait de vache traits ont été mesurés tous les quinze jours sur une année chez 300 petits exploitants agro­pastoraux de la zone semi-aride du Sahel, dans la commune de Dantiandou au Niger. Les effectifs de vaches − adultes, en lactation et effectivement traites le matin et/ou le soir − ont été systématiquement enregistrés, ainsi que des informations sur la gestion de la pâture, la supplémentation alimentaire des vaches, et la consommation, la transformation du lait et la vente des produits laitiers. En outre, les carrières de reproduc­tion des 334 vaches ont été documentées par enquête rétros­pective. Le volume moyen par jour d’une traite a été de 0,82 ± 0,45 L. Il n’a pas été significativement différent entre la traite du matin et celle du soir, ni entre les saisons, ni entre les éle­vages. Cependant, les volumes totaux de lait trait par élevage, dont la moyenne annuelle a été de 507 ± 362 L, ont fortement varié en fonction des saisons et des élevages. En moyenne, ils ont été plus élevés dans les élevages des campements peuls récemment sédentarisés (624 ± 377 L) que dans ceux des éle­vages villageois djerma (352 ± 275 L). Cet écart était princi­palement dû à un effectif de vaches plus important dans les campements (7,1 ± 5,3 vs 4,3 ± 4,0), bien que la proportion de vaches en lactation y ait été plus faible (57 %) que dans les troupeaux villageois (73 %). Les résultats ont montré qu’une meilleure gestion par les agroéleveurs des campements avec des traites moins fréquentes, un recours plus fréquent à la pâture de nuit, à la transhumance et à une supplémentation alimentaire régulière ont contribué à améliorer l’état d’en­graissement des vaches et leurs performances reproductives. Malgré ces rendements laitiers modestes, la valeur monétaire du lait trait a représenté 16 % des revenus agricoles et non-agricoles des ménages des campements, et 7 % de ceux des villages. Les produits laitiers étaient largement consacrés à la consommation familiale : 78 % dans les campements et 84 % dans les villages.
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Chivallon, Christine. „Paquette, Romain (2001) Un potentiel humain sous-évalué : les petits exploitants agricoles de la Caraïbe et du monde. Sherbrooke, Les Productions G.G.C. Ltée, 382 p. (ISBN 2-89444-132-0)“. Cahiers de géographie du Québec 46, Nr. 129 (2002): 421. http://dx.doi.org/10.7202/023068ar.

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Aoudji, Augustin Kossi N., Anselme Adegbidi, Jean Cossi Ganglo und Philippe Lebailly. „Plantations de teck, Tectona grandis L.f., en sylviculture paysanne au Sud Bénin“. BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, Nr. 319 (01.01.2014): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20554.

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Cette étude se place dans le cadre du système agricole pour caractériser les modes de culture du teck, Tectona grandis L.f., sur les petites exploitations au Sud Bénin, avec pour objectif de cerner des orientations politiques à même de valoriser le potentiel de la sylviculture paysanne. La question posée est la suivante : par quels moyens les petits agriculteurs intègrent-ils la sylviculture sur leurs exploitations ? Une évaluation empirique a été menée en se basant sur un échantillon de 221 petits exploitants sélectionnés par échantillonnage en grappes sur cinq communes du département de l'Atlantique. Les données ont été recueillies par le biais d'entretiens en tête-à-tête à l'aide d'un questionnaire standardisé. Une approche à variable multiples associant analyse typologique et analyse en composante principale (Acp) a permis d'établir une typologie des systèmes de plantation du teck. Cette typologie se base sur les critères suivants : objectifs de production, superficies plantées en teck, taille de l'exploitation et contribution de la main-d'oeuvre familiale à la production de bois. L'étude a permis d'identifier trois systèmes de plantation associés aux différentes stratégies d'intégration d'une activité de sylviculture paysanne. Ces trois systèmes ont été classés selon les critères suivants : " petite taille à main-d'oeuvre dominante " (33,48 % de l'échantillon), " taille moyenne à capital dominant " (37,56 %), et " grande taille à capital dominant " (28,96 %). Les exploitants se spécialisent dans la production de perches pour satisfaire la demande régionale de bois d'oeuvre à bas prix pour la construction urbaine. Les trois raisons principales motivant l'intégration des plantations de teck sont, dans l'ordre, la recherche de revenus, la satisfaction des besoins en bois de construction des ménages et la sécurisation des titres fonciers. Cependant, l'ordre des deux dernières est inversé dans le cas du système " grande taille à capital dominant ". La sécurité foncière et l'existence d'un marché domestique sont indispensables pour réussir le développement d'une sylviculture paysanne.
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Jegouzo, Guenhaël. „L'évolution après 1975 du célibat agricole masculin“. Population Vol. 46, Nr. 1 (01.01.1991): 41–61. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1991.46n1.0061.

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Résumé Jegouzo Guenhaël. - L'évolution après 1975 du célibat agricole masculin. Si en France, les hommes agriculteurs exploitants - en réalité surtout ceux de la petite paysannerie et des fractions basses de la moyenne - et les salariés agricoles sont les groupes sociaux aux taux de nuptialité les moins élevés, cette situation se retrouve, à des degrés variables, dans la plupart des autres pays de la CEE, comme viennent le montrer des données récentes. Tout au moins ce célibat agricole, prolongé ou définitif sans union libre, ne serait-il pas en voie de réduction dans notre pays depuis une quinzaine d'années ? La tendance antérieure qui conduisait depuis 1950 à l'accroissement continu du taux de célibat définitif (à 40-49 ans) s'est retournée, sauf dans quelques régions, du fait du recul de la petite agriculture. Par contre, le célibat prolongé (à 30-39 ans) ne diminue pas et, malgré des mariages plus fréquents avec des filles nées hors de l'agiculture, les difficultés de se marier auraient augmenté chez les jeunes, le chômage ayant eu pour effet de retenir davantage à la terre les garçons que les filles. Le maintien de disparités élevées, même si certaines de celles-ci s'abaissent, révèle une profonde crise d'adaptation d'une partie de l'agriculture aux changements de son contexte économique et social.
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Agbaye, F. P., A. O. Sokunbi, M. A. Onigemo, O. Alaba, O. A. J. Anjola, E. A. Amao, Y. A. A. Oso, K. K. Agbalaya, O. J. Ishola und B. Yusuf. „Variation in body measurements and semen quality of Nigeria sheep breeds“. Nigerian Journal of Animal Production 48, Nr. 1 (28.02.2021): 55–61. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2912.

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small holder farmers enjoy in rearing small ruminants however, there are paucity of information on the morphometric traits and semen characteristics of Nigeria breeds of sheep in Ikorodu. Therefore, the effects of breeds on body measurements and semen quality of four sheep breeds in Nigeria were assessed. Twenty matured rams aged 2½ years and weighed 31.13±4.8 kg comprising five rams per breed namely: Balami (BAL), Ouda (UD), Yankasa (YAK) and West African Dwarf (WAD) were used for the study. Body measurements and semen quality of each ram was assessed for a period of six weeks after the four weeks of acclimatization. Live body weights (LBW), scrotal circumference (SC), height at wither (HtW), rump length (RpL) and rectal temperature (RT) were evaluated for body parameters. Semen samples were collected using electro-ejaculation method and evaluated for semen volume (SV), progressive sperm motility (PSM), sperm concentration (SC), normal sperm morphology (NSM), sperm livability (SL), and sperm acrosome integrity (SAI) using standard procedures. Results revealed that Yankasa had significantly (p<0.05) the higher live body weights (38.33kg) Live body weights while WAD recorded the least live body weights (28.50kg) live body weights which, was similar (p>0.05) with values recorded for Balami (28.67kg) and Ouda(29.0kg) breeds. Scrotal circumference was significantly (p<0.05) the lowest (24.50cm) in WAD but were similar (p>0.05) in Ouda (28.00cm), BAL (27.67cm) and YAK (26.33cm). The HtW showed similar trend with scrotal circumference. Meanwhile, there were no significant variation (p>0.05) in the value recorded for RpL (cm) and RT (0C). While, PSM, SAI and SV for all the breeds of sheep were statistically similar (p>0.05) in values and SC, SL and SNM were statistically different (p<0.05) between breeds. La petite taille corporelle, la capacité de production élevée et les taux de croissance rapides des moutons sont des caractéristiques remarquables que les petits exploitants agricoles apprécient dans l'élevage de petits ruminants, cependant, il y a peu d'informations sur les traits morphométriques et les caractéristiques du sperme des races de moutons du Nigeria à Ikorodu. Par conséquent, les effets des races sur les mésures corporelles et la qualité du sperme de quatre races de moutons au Nigéria ont été évalués. Vingt béliers matures âgés de 2 ans et demi et pesant 31,13 ± 4,8 kg comprenant cinq béliers par race à savoir: Balami (BAL), Ouda (UD), Yankasa (YAK) et mouton nain de l'Afrique de l'Ouest (WAD) ont été utilisés pour l'étude. Les mesures corporelles et la qualité du sperme de chaque bélier ont été évaluées pendant une période de six semaines après les quatre semaines d'acclimatation. Les poids corporels vivants (LBW), la circonférence scrotale (SC), la hauteur au garrot (HtW), la longueur de la croupe (RpL) et la température rectale (RT) ont été évaluées pour les paramètres corporels. Des échantillons de sperme ont été collectés à l'aide de la méthode d'électro-éjaculation et évalués pour le volume de sperme (SV), la motilité progressive des spermatozoïdes (PSM), la concentration de spermatozoïdes (SC), la morphologie normale des spermatozoïdes (NSM), l'habitabilité des spermatozoïdes (SL) et l'intégrité des acrosomes du sperme (SAI) en utilisant des procédures standard. Les résultats ont révélé que Yankasa avait significativement (p <0,05) les poids corporels vivants les plus élevés (38,33 kg), tandis que WAD a enregistré les poids corporels vivants les moins élevés (28,50 kg) qui étaient similaires (p> 0,05) avec des valeurs enregistrées pour les races Balami (28,67 kg) et Ouda (29,0 kg). La circonférence scrotale était significativement (p <0,05) la plus basse (24,50 cm) dans le mouton nain de l'Afrique de l'Ouest mais était similaire (p> 0,05) chez Ouda (28,00 cm), BAL (27,67 cm) et YAK (26,33 cm). La hauteur au garrot (HtW) a montré une tendance similaire avec la circonférence scrotale. Pendant ce temps, il n'y avait pas de variation significative (p> 0,05) dans la valeur enregistrée pour la longueur de la croupe (RpL) (cm) et la température rectale (RT) (0C). Alors que PSM, SAI et SV pour toutes les races de moutons étaient statistiquement similaires (p> 0,05) en valeurs et SC, SL et SNM étaient statistiquement différents (p <0,05) entre les races.
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DOSSOU, Ayidé Aristide Armel, Fifanou G. VODOUHE, Rosaine N. YEGBEMEY und Jacob A. YABI. „Accès au crédit et performance économique et financière des exploitations de l’Union Nationale des Producteurs de Soja au Centre du Bénin“. Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, Nr. 1 (30.06.2019): 79–94. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i1.65.

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La diversification agricole par la promotion d’autres filières reste une priorité pour la nouvelle politique agricole béninoise afin de réduire sa dépendance à l’égard de la filière coton qui demeure la principale culture de rente du pays. Dans le Plan Stratégique de Développement du Secteur Agricole, la filière soja est l’une des filières retenues pour être accompagnée par l’état compte tenu de son importance socioéconomique, agronomique et environnementale. C’est dans ce contexte que la présente étude a été réalisée avec pour objectif de produire des connaissances plus approfondies sur la rentabilité de la production de soja au centre du Bénin. L’approche méthodologique adoptée a combiné les méthodes d’enquête qualitatives et quantitatives pour collecter les données auprès de 100 producteurs de soja échantillonnés dans cinq zones de production de l’une des plus grandes communes de production de cette spéculation au Bénin (Dassa-Zounmè). Quatre indicateurs de rentabilité (la Marge nette, le Ratio-bénéfice-coût, la Productivité moyenne nette du travail et le Taux de rentabilité interne) ont été utilisés pour analyser les performances économiques et financières des exploitations. Il ressort des analyses que la production de soja est rentable dans la commune de Dassa-Zounmè. Cependant, la variation de la rentabilité de production en fonction de la taille de l’exploitation et de l’accès au crédit des exploitants est statistiquement plus importante que la variation au sein du groupe. Les producteurs ayant une grande superficie de soja (superficie 2,45 ha) et bénéficiant des appuis financiers formels sous forme de crédits sont significativement plus performants que les autres types d’exploitation de petite taille n’ayant pas accès au crédit agricole pour chaque indicateur de rentabilité. Ces résultats suggèrent donc la nécessité d’un renforcement des stratégies de financement des producteurs afin d’augmenter la rentabilité au niveau des petites exploitations dans le cadre d’une production durable de soja au Bénin.
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Munza, B. M., M. R. Hassan, R. J. Tanko, S. M. Yashim und D. Y. Salihu. „Effect of feeding regime on growth performance of growing Yankasa rams fed basal diet of sorghum hay or silage supplemented with concentrate“. Nigerian Journal of Animal Production 48, Nr. 3 (06.03.2021): 162–72. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2963.

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Smallholder farmers in sub-Saharan Africa offer their stocks little or no supplementary feed but depend mostly on native pastures which are in low nutrient quality. The study was aimed at evaluating the effect of feeding regime on growth performance, nutrient metabolism, rumen indices and economics of production of Yankasa rams fed basal diets of grain sorghum hay or silage supplemented with concentrate. Sixteen growing Yankasa rams weighed 17.0±0.2 kg were randomly assigned to four feeding regime treatment: T1 = Sorghum hay + concentrate daily, T2 = Sorghum silage + concentrate daily, T3 = Sorghum silage + concentrate after 1-day and T4 = Sorghum silage + concentrate after 2-days. The parameters measured were hay intake, concentrate intake, total feed intake, daily feed intake, initial weight, final weight, weight gain, daily weight gain, feed conversion ratio (FCR), apparent nutrient digestibility, nitrogen balance and costs-benefit. The result showed that hay intake (25.28 – 29.23 kg), concentrate intake (6.19 – 19.41 kg), total feed intake (35.41 – 48.47 kg), daily weight gain (0.04 – 0.05 kg) and weight gain (2.85 – 3.35 kg) were significantly (P<0.05) affected by the feeding regime with rams fed silage + concentrate daily recording higher values. Better FCR was obtained in rams fed silage + concentrate after 2-days. Dry matter (79.22%), crude protein (85.59%), NDF (75.30%) and ADF (78.02%) digestibility coefficients were higher (P<0.05) for rams fed silage + concentrate after 1-day (every other day). The percentage of nitrogen absorbed and retained were higher (P<0.05) in rams fed silage + concentrate after 1-day (85.62 and 82.72%, respectively). The cost per kg gain of N1046.40 for rams fed hay + concentrate daily was significantly (P <0.05) lower than the cost per kg gain of other feeding regimes. It can be concluded that sorghum silage could be fed alongside concentrate daily for improved feed intake and weight gain, but for better cost-efficiency, it is recommended that farmers should feed hay and supplement concentrate daily to rams. Les petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne offrent peu ou pas d'aliments supplémentaires à leurs stocks, mais dépendent principalement de pâturages indigènes de faible qualité nutritive. L'étude visait à évaluer l'effet du régime alimentaire sur la performance de croissance, le métabolisme des nutriments, les indices rumen et l'économie de la production de béliers Yankasa nourris à des régimes basaux de foin de sorgho de grain ou d'ensilage complétés par du concentré. Seize béliers Yankasa en croissance pesaient 17,0±0,2 kg ont été assignés au hasard à quatre traitements du régime alimentaire : T1 = foin de Sorgho + concentré tous les jours, T2 = ensilage de Sorgho + concentré tous les jours, T3 de Sorgho + concentré après 1 jour et T4 = ensilage de Sorgho + concentré après 2 jours. Les paramètres mesurés étaient l'apport en foin, l'apport en concentré, la consommation totale d'aliments pour animaux, l'apport quotidien en aliments pour animaux, le poids initial, le poids final, le gain de poids quotidien, le rapport de conversion des aliments pour animaux (FCR), la digestibilité apparente des éléments nutritifs, l'équilibre azoté et les coûts-avantages. Le résultat a montré que l'apport en foin (25.28 à 29.23 kg), l'apport en concentré (6.19 à 19.41 kg), la consommation totale d'aliments (35.41 à 48.47 kg), le gain de poids quotidien (0,04 à 0,05 kg) et le gain de poids (2.85 à 3.35 kg) ont été considérablement (P<0.05) affectés par le régime d'alimentation avec des béliers nourris à l'ensilage + concentré enregistrant quotidiennement des valeurs plus élevées. Un meilleur FCR a été obtenu dans l'ensilage alimenté par bélier + concentré après 2 jours. Matière sèche (79.22 %), protéines brutes (85.59 %), NDF (75.30 %) et ADF (78.02%) les coefficients de digestibilité étaient plus élevés (P<0.05) pour les béliers nourris à l'ensilage après 1 jour (tous les deux jours). Le pourcentage d'azote absorbé et retenu était plus élevé (P<0.05) chez les béliers nourris à l'ensilage + concentré après 1 jour (85.62 et 82.72 %, respectivement). Le gain par kg de N1046.40 pour les béliers nourris quotidiennement au foin + concentré était significativement (P <0.05) inférieur au coût par kg de gain des autres régimes alimentaires. On peut conclure que l'ensilage de sorgho pourrait être alimenté aux côtés du concentré quotidien pour améliorer l'apport alimentaire et le gain de poids, mais pour une meilleure rentabilité, il est recommandé que les agriculteurs nourrissent le foin et complètent le concentré quotidiennement aux béliers
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Hoare, Richard. „Lessons from 15 years of human-elephant conflict mitigation: Management considerations involving biological, physical and governance issues in Africa“. Pachyderm 51 (30.06.2012): 60–74. http://dx.doi.org/10.69649/pachyderm.v51i.291.

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The systematic study of human–elephant conflict (HEC) and its mitigation began in the mid-1990s. The IUCN African Elephant Specialist Group and its Human–Elephant Conflict Working Group took the lead in research required and the subsequent dissemination of tools to manage the problem. Over 15 years we have now seen widespread application of HEC mitigation methods by wildlife practitioners and affected communities all over the African elephant range. This paper re-evaluates and refines some established mitigation methods and introduces innovations that have appeared recently. The evolution of the arsenal of HEC mitigation methods suggests that currently relevant developments fall into three categories: biological, physical and governance. These broadly reflect new knowledge about problem animals themselves, better application of fencing and olfactory deterrents, and evaluation of options for damage compensation and land-use policy. We now have a much-improved understanding of the behaviour of ‘problem’ elephants which points to the futility of killing them. Credible evaluation of the use of fencing models and designs is now possible. The package of low-tech and sustainable defences based around the olfactory deterrent of chilli is well established and producing good results in smallholder agricultural situations. The deterrent potential of bees is assessed. Recommendations for the critical area of HEC mitigation through new official policy and governance initiatives are mostly in the proposal or experimental stage; this relates to political rights and land use and is the most urgent and crucial part of containing the problem across the continent. It is being marketed to elephant range States under an umbrella term – the Vertical Integration Model. Effective HEC mitigation is difficult to understand and problematic to implement; it remains a complex package of apparently disparate measures that have to be used in combination and flexibly, at different scales. Future HEC mitigation will be as much an art as a science, but since we now have a solid research foundation, we can proceed with some confidence to address the inherent socio-political difficulties. Additional key words: re-evaluation, innovations, governance initiatives L’étude systématique du conflit homme-éléphant (CHE) et son atténuation a commencé au milieu des années 1990. Le Groupe de Spécialistes de l’Eléphant d’Afrique de l’UICN et son Groupe de travail sur les conflits Homme-Eléphant a pris les devants afin de trouver des outils pour gérer le problème et les diffuser plus tard. Depuis 15 ans, nous voyons l’application généralisée des méthodes de gestion des CHE par les praticiens de la faune et les communautés affectées partout dans l’habitat des éléphants d’Afrique. Ce document réévalue et raffine certaines méthodes d’atténuation établies et introduit des innovations qui sont apparues récemment. L’évolution de l’« arsenal » de méthodes de gestion des CHE suggère que, actuellement, les développements appropriés se répartissent en trois catégories: biologiques, physiques et de la gouvernance. Elles reflètent largement: de nouvelles connaissances sur les animaux à problèmes eux-mêmes, une meilleure application du clôturage et des répulsifs olfactifs, et une évaluation des options pour le dédommagement et une politique foncière. Nous avons maintenant une meilleure compréhension du comportement des éléphants « à problèmes » qui pointe à la futilité de les tuer. Une évaluation crédible de l’utilisation des types de clôtures est maintenant possible. L’ensemble des défenses viables et rudimentaires basées sur la dissuasion olfactive de piment est bien établi et produit de bons résultats dans des situations agricoles des petits exploitants. Le potentiel dissuasif des abeilles est évalué. Des recommandations pour le domaine critique d’atténuation des CHE grâce à une nouvelle politique officielle et des initiatives de gouvernance sont pour la plupart au stade de proposition ou expérimental, ce qui a trait aux droits politiques et à l’utilisation des terres et c’est la partie la plus urgente et cruciale pour contenir le problème à travers le continent. Il est « vendu » aux états de l’aire de répartition sous le terme générique — de modèle d’intégration verticale. Une atténuation efficace du CHE est difficile et problématique à comprendre et à mettre en œuvre, il reste un ensemble complexe de mesures apparemment disparates qui doivent être utilisées en combinaison et avec souplesse, à différentes échelles. L’atténuation future du CHE sera autant un art qu’une science, mais puisque nous avons maintenant une base de recherche solide, nous pouvons procéder avec une certaine confiance pour faire face aux difficultés socio-politiques inhérentes. Mots-clés supplémentaires : réévaluation, innovations, initiatives de la gouvernance
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Désert, Gabriel. „Machinisme et agriculture dans la France du XIXe siècle“. Historical Papers 19, Nr. 1 (26.04.2006): 185–216. http://dx.doi.org/10.7202/030924ar.

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Résumé Le relatif retard pris par la productivité de l'agriculture française à partir du milieu du XIXe siècle pose le problème de ses causes. L'auteur pense que l'une d'elles est la difficulté qu'éprouvent les agriculteurs français à prendre le virage technologique nécessaire. Ils se montrent hésitants devant l'adoption d'un machinisme agricole, varié dans ses aspects et sans cesse perfectionné. Dans une première partie sont présentées l'évolution de ce machinisme, ses étapes avec leurs caractères propres, sa répartition dans l'espace national. Partant de ce tableau évolutif, l'auteur s'interroge sur ses raisons, sur ses rythmes variables dans le temps. Il pense que le conservatisme, la routine des paysans, l'insuffisante qualification de la main-d'oeuvre agricole, constituent des facteurs non déterminants. Il privilégierait plutôt, en faisant des éléments importants d'explication, le faible dynamisme des constructeurs français, les structures socio-économiques de monde paysan, notamment l'abondance des petites et très petites exploitations, la conjoncture des prix et, peut-être, l'insuffisant exode rural qui permet aux exploitants de disposer d'une main-d'oeuvre salariée relativement peu coûteuse. Le contexte démo-socio-économique rend compte à la fois de la grande lenteur de la mécanisation et des disparités zonales très marquées, bien qu elles s'estompent à partie de l'extrême fin du XIXe siècle. Finalement la mécanisation de i agriculture française s'est bien réalisée, mais lente- ment, tardivement et modérément. Le mérite en revient aux "notables' ruraux qui ont donné ïexemple et stimulé la masse paysanne en organisant des concours et des expositions. Ceux-ci sont devenus efficaces à partir du moment où la paysannerie a pris conscience de /' utilité des machines et a disposé des moyens financiers nécessaires à leur acquisition.
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Dorvil, Weldenson, Cathy Clermont-Dauphin, Jean-Luc C. Hotte, Jean-Marie Théodat, Hérauld Museau und Michel Brossard. „Légumineuses, Agroforesterie, Labour et Pâturage : les déterminants de la diversité des systèmes de culture à Saint-Raphaël, Haïti“. International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, Nr. 4 (19.09.2023): 1643–61. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i4.28.

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En vue d’évaluer l’impact des pratiques agricoles sur les sols, les approches d’expérimentation de longue durée et de simulation à partir de modèles numériques sont de plus en plus fréquentes. Cependant, dans le contexte des pays du Sud, elles sont souvent difficiles à mettre en œuvre, faute de moyens. Cette étude avait pour objectif de décrire la diversité des systèmes (SC) de culture rencontrés dans une petite région d’altitude d’Haïti, afin d’utiliser ces connaissances, pour raisonner dans une deuxième étape, un dispositif d’évaluation « on-farm » de leurs effets sur les sols. Le concept de système de culture met en avant les interactions fortes existant entre les décisions techniques que prennent les agriculteurs sur leurs parcelles, aussi bien en termes de successions et associations culturales, de gestion de leur disponibilité en nutriments et en eau, et de contrôle des bioagresseurs des cultures. Notre étude s’était appuyée sur 78 parcelles d’agriculteurs sélectionnées avec l’aide de personnes ressources de la région, pour représenter la diversité des unités pédo- bioclimatiques. Chaque parcelle a fait l’objet d’une enquête auprès de son exploitant en vue de décrire ses choix techniques de ces 10 dernières années. On a mis en évidence la coexistence de quatre systèmes de culture (SC) : un système intensif (SI), un système semiintensif (SSI), un système agroforestier (SA) et un système de pâturage permanent (SSU). Ils étaient répartis suivant le pédoclimat avec le SI dominant dans le périmètre irrigué, le SSI dans le plateau non irrigué, le SA dans les vallées et le SSU dans les versants. Le labour n’était absent qu’en SSU. Les indicateurs de ces systèmes étaient facilement accessibles et peuvent être mobilisés en vue de raisonner un dispositif d’évaluation des performances agro-environnementales des pratiques des agriculteurs et concevoir des améliorations de gestion. English title: Legumes, Agroforestry, ploughing and pasture: determinants of the cropping systems diversity in Saint-Raphael, Haiti In order to assess the impact of agricultural practices on soils, long-term experimental and simulation approaches based on numerical models are becoming increasingly common. However, in the context of Southern countries, they are often difficult to implement due to lack of financial resources. The objective of this study was to describe the diversity of cropping systems (SC) encountered in a small highland region of Haiti, in order to use this knowledge to reason, in a second step, an "on-farm" evaluation system of their effects on soils. The concept of cropping systems highlights the strong interactions between the technical decisions that farmers make on their plots, both in terms of crop succession and associations, management of nutrient and water availability, and control of crop pests. Our study was based on 78 farmers' plots selected with the help of resource persons in the region, to represent the diversity of soil- bioclimatic units. Each plot was surveyed to describe the technical choices made by the farmer over the last 10 years. Four cropping systems (SC) were found to coexist: an intensive system (SI), a semi-intensive system (SSI), an agroforestry system (SA) and a permanent pasture system (SSU). They were distributed according to the pedoclimate, with the SI system dominating in the irrigated perimeter, the SSI system in the non-irrigated plateau, the SA system in the valleys and the SSU system on the slopes. Plowing was absent only in SSU. The indicators of these systems were easily accessible and can be used to reason out an evaluation system of the agro-environmental performance of farmers' practices and to design management improvements.
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Sylla, El Hadji Malick, Bruno Barbier, Sidy Mohamed Seck, Patrick Van Damme, Souleymane Niang und Cheikh Ahmed Tidiane Faye. „Is small beautiful ? L’irrigation dans le delta du fleuve Sénégal, une question de taille“. BASE, 2023, 96–108. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.20362.

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Description du sujet. Le débat sur la relation entre la taille des exploitations agricoles et les résultats de production est ancien, mais il n’est pas encore tranché. Au Sénégal, ce débat est alimenté par le fait que les gouvernements récents tendent à favoriser des exploitations irriguées de grande taille, alors que les premiers périmètres distribués étaient de très petites parcelles. Objectifs. Cet article contribue à identifier, dans une zone où il y a des grandes et des petites exploitations, le type d’exploitation qui produit le plus et qui a les meilleurs rendements. Méthode. Une enquête a été réalisée auprès de 326 ménages de riziculteurs dans les communes de Diama et de Ross Béthio, sises dans le delta du fleuve Sénégal. Résultats. Les petites exploitations obtiennent de meilleurs rendements mais leurs revenus globaux sont trop faibles. Les plus grandes exploitations rizicoles réalisent des rendements moins importants mais permettent à leurs exploitants d’obtenir des revenus suffisants pour vivre et faire fonctionner l’exploitation. Selon nos enquêtes, les couts de production sont les principaux facteurs explicatifs des rendements parmi les riziculteurs enquêtés. Les petits producteurs ont des couts de production relativement élevés pour maximiser leur profit là où les grands exploitants limitent les couts de production pour obtenir des rendements qui restent acceptables pour un revenu d’exploitation décent. Conclusions. Pour mieux lutter contre la pauvreté et atteindre l’autosuffisance en riz, les politiques agricoles devraient permettre aux petits cultivateurs de capter de nouveaux investissements et encourager les grands producteurs à investir plus dans la riziculture afin d’augmenter leurs rendements et leurs profits.
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Saydeh, Marie, und Jean-François Bissonnette. „Concilier biodiversité et agriculture : dépasser la dualité du land sparing contre le land sharing“. VertigO Hors-Série 38 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/12er3.

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À l’échelle mondiale, certaines pratiques agricoles ont simplifié les écosystèmes en réduisant la biodiversité de façon irréversible. Or, la perte de biodiversité constitue une menace pour tous les êtres humains, et plus particulièrement pour les populations qui dépendent étroitement de ressources naturelles variées. Par conséquent, le besoin de concilier production agricole et maintien de la biodiversité est criant, comme en témoigne le débat scientifique opposant le land sparing au land sharing. Chacune de ces approches propose une perspective ; la première propose d’intensifier l’agriculture et de créer des aires de conservation séparées, la deuxième cherche à mieux imbriquer les fonctions de la biodiversité dans les systèmes agricoles. Bien que ces approches soient importantes dans le développement de connaissances scientifiques, l’incidence de ce débat pour la formulation de politiques publiques peut être lourde de conséquences. À titre d’illustration, l’approche du land sparing peut encourager des mesures favorables aux acteurs de l’intensification agricole et défavorables aux petits exploitants en systèmes extensifs disposant de ressources limitées. Ainsi, la dualité sur laquelle le débat du land sparing contre le land sharing repose tend à limiter l’attention accordée aux divers contextes socioéconomiques et écologiques étudiés. Nous proposons, par considération éthique à l’égard des populations plus vulnérables et moins représentées dans ce type de recherche, de dépasser le débat en lui-même afin d’éviter d’imposer une approche plutôt que l’autre. Il semble préférable de considérer au premier chef les caractéristiques propres à chaque contexte agricole, ainsi que les relations qui se tissent entre agriculteurs et biodiversité.
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Maniriho, Aristide, Fabio Berti, Dr Edouard Musabanganji und Professeur Philippe Lebailly. „La rentabilité de la production de pomme de terre dans la région des sols de laves au Rwanda“. Tropicultura, Nr. 4 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1909.

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Cet article vise à analyser la rentabilité des petits exploitants de la pomme de terre dans la région des sols de laves au Rwanda. Les données utilisées ont été collectées auprès de 132 producteurs choisis de façon aléatoire. Les méthodes d’analyse budgétaire, de la comparaison de la valeur de la production aux couts de production, et d’analyse corrélationnelle ont été employées dans l’analyse des données. Les résultats de l’analyse budgétaire montrent que la production de la pomme de terre est rentable et que la rentabilité est sensible à une baisse de rendement ainsi qu’à une hausse des coûts de production. Par comparaison, l’analyse de sensibilité montre que les effets de la diminution de l’offre sur le revenu net sont plus néfastes que ceux de l’augmentation du coût de production. Pour améliorer le niveau de rentabilité, les producteurs de pomme de terre devraient adopter des pratiques agricoles susceptibles de booster la productivité. L’analyse corrélationnelle met en évidence une relation positive et significative entre le revenu agricole net et les autres indicateurs, notamment l’expérience de l’exploitant et la surface des terres exploitées. Ces variables sont des facteurs qu’il faut considérer pour maintenir et/ou améliorer le niveau de rentabilité agricole.
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Laurença, Martins-Faure. „Les petits exploitants agricoles et l’État brésilien sur la frontière avec la Guyane française“. Confins, Nr. 16 (20.11.2012). http://dx.doi.org/10.4000/confins.7993.

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Herment, Laurent. „Survivants ou Conquérants : Reproduction sociale et accumulation patrimoniale chez les petits exploitants agricoles de Seine – et - Oise durant le premier XIXe siècle (1789 - 1860)“. L'Atelier du CRH, Nr. 06 (07.05.2010). http://dx.doi.org/10.4000/acrh.2130.

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Bourel, Etienne. „Forêt“. Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.012.

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Dans l’histoire de l’anthropologie, la forêt occupe une place singulière. Son étymologie latine la rattachant au sauvage, elle prend place dans la dialectique topographique construisant le civilisé. À l’heure de l’anthropocène et de la crise environnementale, tandis que l’on s’interroge sur l’opportunité de payer des « services environnementaux » et de rétribuer le stockage du carbone, c’est à partir des savoirs issus du monde forestier que se réenvisage l’oikos : l’idée de durabilité a, en effet, été élaborée en vue de gérer les forêts européennes (alors en voie de disparition) il y a maintenant trois siècles. Ainsi, comme formes du politique, sont à envisager les multiples modalités que des groupes humains peuvent entretenir avec la « forêt » et les variations des imaginaires les ayant habitées. Dans son Anthropologie de la forêt (2007), Paulin Kialo oppose deux principaux modèles de relation à l’espace forestier au Gabon : le premier, « pro-forêt », synthétise les liens qu’entretiennent les populations pové à leur environnement (conçu comme totalité et matrice de vie) tandis que le second, « anti-forêt », renvoie aux perspectives minières et lucratives des exploitants industriels (européens, en premier lieu). Il parait toutefois important de mettre en avant les nuances dans ces relations car l’auteur introduit subrepticement un troisième groupe, les Babongo (groupe dit « Pygmée »), dont les considérations existentielles font passer les Pové du côté des « anti-forêts » - quand ils pratiquent cette forme d’agriculture (sur brûlis), consistant à « manger la forêt » en pays Gar (Condominas 1982). Comme d’autres sociétés agricoles (Obadia 2008), ils ne sont donc pas « par nature » respectueux de l’environnement (forestier, en l’occurrence). L’appréciation des forêts est bien affaire d’interprétation. Les imaginaires dont elles relèvent varient et, comme entités distinctes, elle font l’objet de projections (Harrison 1992). Les savoirs scientifiques et techniques n’échappant pas à la règle (Paré 2014), elles conservent des dimensions poétiques et sensibles y compris dans les sociétés industrielles (Arnould 2014). En somme, elles permettent de penser l’imbrication de la territorialité dans les différentes sphères du social, à chaque fois selon des perceptions, systèmes de pensée et des valeurs se modulant dans l’espace et le temps (Michon 2003). La longue réflexion de James Frazer (1981[1890]) sur le cycle de la germination avait déjà pour ressort une investigation relative aux rituels dans le bois de Némi. De fait, les forêts sacrées se retrouvent sous de nombreuses latitudes et selon des appréciations différenciées, tantôt clairières pour l’initiation, tantôt groupement d’arbres réservé aux « dieux » (Cartry 1993). Si les « peaux de la terre » dont parle Danouta Liberski-Bagnoud (2002) contribuent à tisser généalogie et paysage, les sanctuaires boisés se présentent dorénavant comme des ressources pour penser les questions contemporaines tant écologiques, sociales que symboliques. Toutefois, la biodiversité locale qu’ils contribuent à préserver n’est, en tant que telle, qu’une conséquence dérivée de leur dimension religieuse (Juhé-Beaulaton 2010). La forêt comme lieu ressource du politique, Émile Zola l’envisageait dans Germinal, quand le coron s’y réunissait et décidait de prolonger la grève. Nakaé Chomin interrogeait la vie de la Cité depuis la forêt, tout comme Davi Kopenawa s’appuie sur les conceptions yanomamis pour fustiger les logiques urbaines (Kopenawa et Albert 2010). Et c’est encore au fond de la forêt que les néo-ruraux cévenols ou ariégeois, désappointés, retrouvent l’État (Hervieu-Léger et Hervieu 2005). Dans les petites sociétés sylvestres en Iakoutie, les chamanes nouent des alliances avec les esprits pour permettre le bon déroulement de la chasse (Hamayon 1990). Le long du fleuve colombien Chocó, communautés noires et indiennes se répartissent le travail magico-thérapeutique après le diagnostic d’une infortune (Losonczy 1997). Finalement, c’est peut-être en se demandant comment les forêts pensent (Kohn 2013) ou en procédant à l’analyse de leurs vies sociales (Hecht, Morrison et Padoch 2014) que les relations humains-forêts sont restituées dans l’épaisseur de leurs dynamiques et de leurs complexités
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