Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Partis politiques – Albanie“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Partis politiques – Albanie"

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Heinich, Nathalie. „Les dimensions du territoire dans un roman d’Ismaïl Kadaré“. Sociologie et sociétés 34, Nr. 2 (29.04.2004): 207–18. http://dx.doi.org/10.7202/008139ar.

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RésuméQui a ramené Doruntine ?roman de l’écrivain albanais Isamïl Kadaré, illustre remarquablement, à partir d’une histoire de déplacement entre territoires, l’articulation entre la pluralité des dimensions qu’engage de façon générale la question territoriale, du plus individuel au plus collectif : enjeux psychanalytique, anthropologique, historique, religieux, politique. Ce roman constitue donc une exploration systématique de la notion de territoire, dans toutes ses acceptions et ses implications. C’est du moins ce que met en évidence l’analyse structurale qui en est tentée ici, dans une tradition empruntée à l’anthropologie. Cette technique d’analyse suspend les opérations classiques de la sociologie littéraire que sont la recherche d’un sens caché, l’explication par le contexte ou même — de façon plus moderne — l’analyse pragmatique des usages de la littérature.
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Moret, Sébastien. „Emprunts et vigueur des langues et des nations chez Antoine Meillet: les exemples arménien et albanais“. Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, Nr. 37 (08.10.2013): 145–57. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2013.699.

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La Première guerre mondiale avait à peine commencé que déjà l’Europe s’interrogeait sur son avenir et sur la réorganisation cartographique et géopolitique qui suivrait la fin des hostilités. Dans le cadre de cet article, nous nous proposons d’analyser les idées d’Antoine Meillet concernant le futur politique de l’Arménie et de l’Albanie. Les deux situations seront comparables, puisque dans les deux cas Meillet s’appuiera sur une argumentation linguistique au centre de laquelle se trouveront les emprunts et leur traitement par les langues concernées, à savoir l’albanais et l’arménien. Mais si le point de départ de l’analyse sera identique, les conclusions de Meillet ne le seront pas. Ainsi, à partir de l’étude des emprunts en arménien, il démontrera la pertinence de faire se lever une Arménie indépendante, alors que, dans le cas de l’Albanie, Meillet émettra un doute quant au bien-fondé d’avoir, en 1912, créé un État albanais indépendant. Les arguments avancés interpellent bien évidemment les linguistes et il faudra, en conclusion, les intégrer dans leur contexte d’apparition, et se demander dans quelle mesure ils ne servent pas à prouver un fait déjà établi à l’avance.
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Bromberger, Christian. „Méditerranée“. Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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Dissertationen zum Thema "Partis politiques – Albanie"

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Çili, Henri. „La communication politique en Albanie 1991-2009 : l'arrivée de l'image“. Thesis, Paris 2, 2012. http://www.theses.fr/2012PA020009/document.

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Ce travail de doctorat sur la communication politique dans l’Albanie postcommuniste vise à étudier la place, le rôle, les effets de l’industrie de l’image et de la communication politique basée sur l’image pendant les campagnes électorales au niveau national et local durant la période de la transition politique en Albanie. Au centre des analyses effectuées, nous avons établi des thèmes, importants et cruciaux comme le rôle, la fonction et la place des images dans le cadre de la communication politique et électorale, l’évolution et la transformation de ce rôle jusqu’au point où elle a réussi à se placer au centre des stratégies de persuasion et de propagande des partis politiques et des autres acteurs politiques du pays. L’image dans le contexte de cette thèse est considéré comme un ensemble significatif de formes, de couleurs, de mouvements, qui représentent des objets réels ou imaginaires, des signes spatiaux souvent associés à des bandes sonores et des textes, articulés sur des supports variés : affiches électorales, spots publicitaires électoraux et structuration des apparitions télévisées des acteurs politiques locaux, et la « scénographie –type » des évènements organisés dans le cadre des campagnes électorales. Toujours en fonction des besoins de cette étude, nous allons appeler cet aspect de la communication politique : « communication par l’image», et par ce terme que nous emprunterons tout au long de cette thèse, nous entendrons : Communication à travers les affiches électorales, la publicité électorale ainsi que la structuration scénographique de l’apparition des acteurs politiques locaux devant les médias en période de campagne électorale. L’utilisation de l’image dans la communication politique en Albanie représente une caractéristique locale importante. Il s’agit d’une tendance qui suit les dynamiques communicationnelles en Occident. Par un comportement de mimétisme, les acteurs politiques locaux ont trouvé intéressant, efficace et rentable d’appliquer en Albanie le modèle occidental de la communication politique sous tous ses aspects et surtout en ce qui concerne la logique interne des processus qui constituent la communication politique, les infrastructures qui rendent possible la communication politique, les principes des rapports des acteurs qui produisent la communication politique dans le triangle politique -médias - images, et jusqu’à l’introduction dans le pays des modèles de communication politique au travers des compagnies occidentales, surtout américaines, qui sont consultées par les principaux partis politiques localement situés ou qui restent derrière eux dans le processus de réalisation des stratégies politiques réalisées au cours des élections.Le processus de l’adoption des instruments, techniques et des modèles qui viennent de l’Occident a été réalisé dans le contexte albanais avec une rapidité surprenante pour s’achever en l’espace d’une seule décennie. La question qui se pose ici, ce serait : Quels sont les effets de la communication à travers les images sur l’intégralité du processus politique local ? Il s’agit, en effet, d’une communication politique qui s’éloigne toujours plus d’une tradition locale fondée sur la communication politique directe, interpersonnelle, face à face, orale et fondée sur un réseau organisationnel partisan. Bref, il faudrait bien évidemment étudier les avantages de la communication par l’image par rapport à la communication politique verbale et celle organisationnelle – partisane. Cette thèse a pour objectif de décrire et d’analyser la façon dont s’est développé ce processus dans le temps, quelle était la logique interne de cette transformation, comment la société albanaise est passée d’une communication politique fondée sur la parole écrite ou sur des moyens oraux de l’expression, vers une communication orientée vers un univers d’images ou vers le virtuel
This doctoral thesis on political communication in post-communist Albania, aims to study the national and local election campaigns carried out during the political transition in Albania after 1991. This is done so to highlight the communication through images. The analysis thus centres on the role, evolution, transformation and the use of images to enable political and electoral communication. We use images in this thesis to mean: electoral posters, electoral campaign adverts, as well as the construction of the TV appearances of the local political actors, which we will call a “typical stage”. In this thesis when interpreting this aspect of political communication we will use “image communication” to mean: communication through electoral posters, electoral campaign adverts as a set up stage for the local political leaders to play in front of the media during the election campaigns. The use of images in political communication in Albania represents a distinguished local feature, which in turn shows also the integration to what happened in Western Europe. This can be seen as a full reflection of the western political communication regarding: the internal rationale process of creating political communication, the infrastructure enabling political communication, the principles of the actors that produce political communication in the politics-media-image industry triangle as well as the importing of these models through the western companies. The latter are mostly American and they consult and stand behind the most important political parties during the political election campaigns It is worth noting that within a decade most of the western models, instruments and technical features were fully adapted in Albania. Therefore the enquiry that arises concerns the implication of extensively using image communication. The recent political communication is distancing even more to the local tradition of direct personal and oral political communication highlighting the advantage of image communication to political communication. 318 The objective of this thesis is to describe and analyse the development of this process over time, the internal rationale of this transformation and how political communication moved away from oral and direct communication to the more universal and virtual images. As regards to time, this thesis focuses on the use of virtual images during the political communication course accompanying national election campaign from 1991, the first free elections held in Albania, to 2009, the last national elections in the country. In this thesis we also include the last local elections for the Tirana Municipality starting in year 2000 to 2007. These elections are the embryo of the above mentioned phenomena that were in turn quickly adopted at the national level and thus changing the political communication landscape. The political candidate Edi Rama has constantly won these elections from year 2000 thus representing what we earlier called image communication, as he was the first to embrace and use the power of image. He modelled a new type of politician who would enter politics after working in the media. His approach was copied extensively and his success is evident as in 2005 he became the leader of the socialist party, one of the biggest parties in the country, without being a career politician neither in the country’s political scene nor within the party
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Ogou, Dogba Blaise. „Les évolutions de la règle électorale dans les systèmes politiques transitionnels : les élections législatives en Europe du Sud-Est (1989-2009)“. Thesis, Bordeaux, 2016. http://www.theses.fr/2016BORD0019/document.

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Le sujet central de cette thèse concerne les évolutions de la règle électorale dans les régimespost-communistes et traite de la contribution de ces évolutions à la démocratisation dessystèmes politiques de l’Europe du Sud-Est, à partir d’un échantillon d’Etats (Albanie,Bulgarie, Macédoine, Roumanie et Serbie-Monténégro). La transition démocratique et lechangement de régime impliquent la construction d’une nouvelle légitimité politique. Cettelégitimité passe par les élections qui sont au coeur de la démocratie. Ce travail cherche àcomprendre comment sont choisies les règles régissant ces élections. Le choix du systèmeélectoral est, dans une grande mesure, la conséquence de plusieurs processus. L’accent mis surles facteurs déterminants de l’adoption et de la réforme électorale permet de comprendre lesmotivations et les objectifs des évolutions de la règle électorale en Europe post-communiste.L’étude de la législation réformée et l’analyse du comportement des acteurs électorauxpermettent de constater que les leaders politiques ont très souvent contourné le sensdémocratique de la norme électorale. Dans cet échantillon d’Etats, les évolutions de la règleélectorale ont eu des conséquences relatives sur le nombre des partis politiques représentés auParlement. Le changement de régime a favorisé l’alternance des majorités électorales etparlementaires. Cette alternance démontre que les principes démocratiques des électionscontribuent à la stabilisation démocratique, même si le contexte et les enjeux politiques propresà cette région favorisent une relative instabilité des majorités parlementaires etgouvernementales
The central subject of this thesis concerns the developments of the electoral rule in postcommunistregimes and discusses the contribution of these changes to the democratization ofpolitical systems of Southeast Europe, from a sample of states (Albania, Bulgaria, Macedonia,Romania and Serbia-Montenegro). Democratic transition and regime change involves theconstruction of a new political legitimacy. This legitimacy is through elections that are at theheart of democracy. This work seeks to understand how the rules are chosen these elections.The choice of electoral system is, to a large extent, the result of several processes. The focus onthe determinants of adoption and electoral reform to understanding the motivations and goalsof the developments of the electoral rule in post-communist Europe. The study of the reformedlegislation and behavior analysis of electoral allow players to see that the political leaders haveoften bypassed the democratic sense of the electoral standard. In this sample of countries,changes in the electoral rule had consequences on the number of political parties represented inParliament. Regime change has favored the alternation of parliamentary and electoralmajorities. This alternation shows that the democratic principles of elections contribute to thedemocratic stabilization, even if the context and the political stakes in this region favor a relativeinstability of parliamentary and government majority
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Cojocaru, Corina. „Les régimes parlementaires et le mécanisme constitutionnel en Europe centrale et orientale : Albanie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Moldavie, République tchèque“. Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010364.

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Parmi les dix-sept pays de l’Europe Centrale et Orientale, seulement six pays sont des régimes parlementaires avec « un mode de gouvernement de cabinet » : Albanie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Moldavie et République tchèque où les Présidents sont élus par les Parlements et le pouvoir exécutif reste bicéphale. Ce mode de gouvernement de cabinet s’applique difficilement dans la pratique au sein de certains pays d’Europe Centrale et Orientale et soulève un certain nombre d’interrogations, soit parce la construction du nouveau régime politique dépendaient d’une sous-catégorie du modèle post-communiste tell que rencontrée en 1989 (initiale, gelée et mature), soit parce que certains pays ne connaissent pas une réelle tradition de la démocratie parlementaire (comme c’est le cas des pays de l’Europe Occidentale) et le mode de gouvernement de cabinet fut un choix aléatoire dans la zone observée, soit parce que les Parlements des ces pays ne disposent pas de pouvoirs forts et d’une majorité parlementaire stable (conséquences du mode de scrutin). Nous avons souligné dans cette étude la nécessité d’une révision de certaines dispositions constitutionnelles, surtout en République de Moldavie (pays qui a connu plusieurs régime politique depuis son Indépendances en 1991) et en République tchèque, ainsi que d’une redéfinition des intérêts des acteurs politiques pour faire prévaloir le primat du juridique sur le politique en renforçant le rôle de la Cour constitutionnelle au nom de la défense de la Constitution et pour assurer un régime parlementaire viable, fondé sur une collaboration réelle des pouvoirs où l’exécutif ne se manifeste pas comme le maître absolu du travail législatif
Among the 17 countries from Central and Eastern Europe, only 6 are parliamentary regimes with a type of Govermnent of Cabinet : Albania, Estonia, Hungary, Latvia, Republic of Moldova and the Czech Republic, where the Presidents are being elected by the Parliaments and the executive power is bicephal. This mode of government is difficult to apply in practice in Central and Eastern Europe, since it raises certain questions in different countries, either because of the fact that the construction of a new political regime depended upon a sub-category of a post-communist model from the period of 1989 (initial, frozen and mature), or because of the fact that some countries do not have a veritable tradition of parliamentary democracy, as well as of the fact that the type of Government of Cabinet was more of a casual choice in the researched region, or because of the fact that the Parliaments from these countries do not have strong powers and a stable parliamentary majority (consequences of the type of electoral scrutiny). We have emphasized in this study the importance of the revision of certain Constitutions, especially in the Republic of Moldova (a country that had several political regimes since the independence proclamation in 1991) and the Czech Republic, as well as a redefinition of the interests of political actors, with a view to strengthen the legality over policy, by the consolidation of the role of the Constitutional Court, hereby defending the Constitution and ensuring a viable parliamentary system, based on real cooperation of all powers, where the Government does not present itself as the “absolute power” over the responsibilities of the Parliament
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Cojocaru, Corina. „Les régimes parlementaires et le mécanisme constitutionnel en Europe centrale et orientale : Albanie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Moldavie et République Tchèque“. Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA01A260.

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Parmi les dix-sept pays de l'Europe Centrale et Orientale, seulement SIX pays sont des régimes parlementaires avec «un mode de gouvernement de cabinet »: Albanie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Moldavie et République tchèque où les Présidents sont élus par les Parlements et le pouvoir exécutif reste bicéphale. Ce mode de gouvernement de cabinet s'applique difficilement dans la pratique au sein de certains pays d'Europe Centrale et Orientale et soulève un certain nombre d'interrogations, soit parce la construction du nouveau régime politique dépendaient d'une sous-catégorie du modèle post-communiste tell que rencontrée en 1989 (initiale, gelée et mature), soit parce que certains pays ne connaissent pas une réelle tradition de la démocratie parlementaire (comme c'est le cas des pays de l'Europe Occidentale) et le mode de gouvernement de cabinet fut un choix aléatoire dans la zone observée, soit parce que les Parlements de ces pays ne disposent pas de pouvoirs forts et d'une majorité parlementaire stable. (conséquences du mode de scrutin). Nous avons souligné dans cette étude la nécessité d'une révision de certaines, dispositions constitutionnelles, surtout en République de Moldavie (pays qui a connu plusieurs régime politique depuis son Indépendances en 1991) et en République tchèque, ainsi que d'une redéfinition des intérêts des acteurs politiques pour faire prévaloir le primat du juridique sur le politique en renforçant le rôle de la Cour constitutionnelle au nom de la défense de la Constitution et pour assurer un régime parlementaire viable, fondé sur une collaboration réelle des pouvoirs où l'exécutif ne se manifeste pas comme le maître absolu du travail législatif.
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Hasimja, Ermal Sintomer Yves. „Les défis de la représentation politique en Albanie“. Saint-Denis : Université de Paris 8, 2007. http://www.bu.univ-paris8.fr/web/collections/theses/Hasimja_Ermal.pdf.

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Buchteile zum Thema "Partis politiques – Albanie"

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Manilla, Giovanna, und Silvia Pallini. „Villa Badessa (Italia) – Piqeras (Albania) : un’originale prospettiva di inte(g)razione linguistica e sociale?“ In Plurilinguisme, politique et citoyenneté, 142–51. Observatoire européen du plurilinguisme, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/oep.herre.2020.01.0142.

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S’il est vrai que le plurilinguisme est une chance d’enrichissement non seulement culturel, mais également économique, il y a lieu de se demander dans quelle mesure les zones qui ont connu ou connaissent la disparition d’une langue d’ancienne implantation souffrent en termes de développement local. Le cas de Villa Badessa (dans les Abruzzes), l’îlot linguistique historique arbëresh le plus récent et septentrional d’Italie, montre bien les enjeux posés par un parcours d’intégration linguistique et sociale qui, à partir de la récupération de la mémoire de la migration d’autrefois et par la réappropriation de l’identité culturelle partiellement ensevelie, peut aboutir à la mise en œuvre de projets de développement local et de coopération entre deux régions, à savoir les Abruzzes et la région de Himarë (Albanie).
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