Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Ordre des Chartreux – Spiritualité“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Ordre des Chartreux – Spiritualité"

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Pittion, Jean-Paul. „L’Adieu du monde, ou Le Mespris de ses vaines grandeurs et plaisirs périssables du Chartreux Dom Polycarpe de la Rivière (1619) : une rhétorique de l’offuscation ?“ Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, Nr. 15 (30.12.2020): 91–106. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.15.07.

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L’Adieu du Monde ou Le Mespris de ses vaines grandeurs et plaisirs périssables de Dom Polycarpe de la Rivière est paru à Lyon en 1619. Son auteur qui fut chantre de la chapelle de Marguerite de Valois à Usson, et passa neuf ans à la Grande Chartreuse, met en écriture un vaste savoir joignant textes patristiques, érudition humaniste et poésies grecque, latine et française. Dom Polycarpe pratique la rhétorique de la citation, l’assortit de disquisitiones savantes et la met au service d’une dénonciation des attraits du Monde. Il convoque les autorités qu’il cite en juges et témoins. Le discours d’un mépris implacable envers les princes de l’Église, les courtisans et les femmes, n’arrive toutefois pas à masquer la parole d’un homme toujours hanté par la sensualité. Entre amour charnel et amour spirituel, l’ἔρως qui inspire le texte est plus proche de l’ésotérisme de Philon ou de Grégoire de Nysse que de l’ἁγάπη du maître de la spiritualité cartusienne, Saint Bernard. Le texte de L’Adieu du Monde est le témoin d’une forme de spiritualité partagée par certains cercles humanistes et un exemple d’écriture baroque, au crépuscule de la Renaissance française.
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van Der Aalst, A. J. „De Spiritualiteit van Het Christelijk Oosten“. Het Christelijk Oosten 43, Nr. 1 (12.11.1991): 4–20. http://dx.doi.org/10.1163/29497663-04301003.

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La spiritualité de l'Orient chrétien: IV La spiritualité liturgique Dans ce quatrième article l’auteur essaie d’esquisser la relation entre la liturgie et la vie spirituelle. Puisque Ie sujet est très vaste, il en relève un point central: Ie symbolisme dans la liturgie. Le symbolisme se manifeste dans l’espace et Ie temps. Il est clair dans l’architecture de l’église, dans l’art des icönes, comme aussi dans Ie temps, ou Ie passé et l’avenir sont rendus présents en célébrant les mystères. Les personnes et les choses ont également un sens symbolique. Les célébrants habillés de leurs vêtements liturgiques forment un ordre sacré, une hiérarchie. Nombreux sont les détails qui viennent rehausser la splendeur des cérémonies et qui aident à représenter Dieu et Ie Christ parmi les hommes et Ie ciel surterre. Ce symbolisme est emaciné dans une société sacrale. Pourtant, on constate un paradoxe: d’un côté la création et les créatures, sortant de la main de Dieu, sont regardées commes bonnes, mais d’autre part elles doivent être bénies et consacrées sans cesse. Une valeur spéciale est attribuée à la bénédiction et à la consécration. Les mystères ou sacrements, comme beaucoup de rites et de prières du rituel, sont des instruments pour rendre Ie sacré présent. Mais ce monde sacramentel s’affaiblit lentement. Le changement de culture a une répercussion sur Ie culte. Reconnaître que Dieu est à l’oeuvre par des instruments humains et matériels, c’est essentiel pour la structure sacramentelle du christianisme. Mais on peut interpréter ce fait d’une façon moins cultuelle. En accentuant moins l’union dans Ie mystère au profit de l’imitation du Christ, on pourrait présenter un christianisme plus convaincant et contagieux.
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Marino, Maria Fernanda García. „Carthusian symbolism in Architecture and Art: San Lorenzo of Padula“. Resourceedings 2, Nr. 3 (12.11.2019): 76. http://dx.doi.org/10.21625/resourceedings.v2i3.629.

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The aim of this contribution is to demonstrate through the study of the concrete example of the Charterhouse di San Lorenzo in Padula (Province of Salerno, Italy) how and to what extent, the utopian value of the spirituality of the Carthusian monks - inspired by the model of the Desert Fathers and the Church of primitive Christianity, devoted to the practices of strict enclosure, of rigorous abstinence, of meditation, of contemplation and of prayer - has affected the definition and development of a specific iconography; both for what concerns the figurative arts, which have as a milestone the theme of martyrdom and angels (the creatures closest to God), present within the monasteries of the order, both for what interests the architectural structure of buildings. Always the same as themselves, especially for the design, distribution and function of the spaces, which as a whole and in particular, they reflect, strictly and everywhere, the immutability of the Carthusian Rule, never changed since the foundation of the order in 1084. Following the model of the first monastery, built on the Chartreuse massif, in Grenoble (France), made by St. Bruno of Cologne, new settlements were erected and spread throughout Europe, with an exponential growth that does not suffer interruptions until the end of eighteenth century and that, left a deep and unequivocal cultural mark in the territory on which they extended. The Charterhouse model, a kind of Earthly Jerusalem like an imitation of the Celestial Jerusalem, can be well included in the universe of utopian architecture, but of the possible ones, where spirituality became tangible reality and where the sacredness of space conceived and built by the monks puts us in touch today the man with sensitive and perceptible experience, the so-called hierophany.
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„L'Ordre des Chartreux au XIIIe siècle. Actes du colloque international d'histoire et de spiritualité cartusienne, VIIIe centenaire de la fondation de la chartreuse de Valbonne, 11–13 juin 2004. (Analecta Cartusiana, 234.) Salzburg: Institut für Anglistik und Amerikanistik, Universität Salzburg, 2006. Paper. Pp. 145; color figures, tables, and maps. €40.“ Speculum 82, Nr. 04 (Oktober 2007): 1063. http://dx.doi.org/10.1017/s0038713400012252.

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Vibert, Stephane. „Tradition et modernité“. Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.
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Dissertationen zum Thema "Ordre des Chartreux – Spiritualité"

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Zermatten, Coralie. „Les formes de communication des Chartreuses de Franconie avec leur ordre et leur environnement 1328-1525“. Doctoral thesis, Paris, EPHE, 2009. http://www.theses.fr/2009EPHE4026.

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Cette étude cherche à savoir si les six chartreuses de Franconie forment une unité au sein de l’ordre des Chartreux, mais pose également la question de l’identité « franconienne » des chartreux. Le Land zu Franken est un espace fortement connoté, puisque les discours tenus par les contemporains tendent à définir le territoire en fonction de leurs intérêts particuliers. L’ordre des Chartreux s’installe tardivement et propose un renouvellement des ordres contemplatifs incarnés jusque-là par les Bénédictins et les Cisterciens dont l’expansion se termine à la fin du XIIIe siècle. Une étude des mécanismes institutionnels de l’ordre, accompagnée d’une prosopographie des officiers cartusiens de la région, montre que les chartreux de Franconie s’insèrent dans le cadre plus large de la province d’Allemagne inférieure, dont l’organisation est faite depuis le chapitre général. Les officiers, par leurs déplacements contenus dans les limites de la province, construisent le réseau entre les communautés. Le processus de fondation montre que l’ordre est utilisé par les fondateurs dans un but de représentation de pouvoir, ce qui explique pourquoi les maisons sont réunies dans la vallée du Main. Par ailleurs, la liturgie funéraire des chartreux motive également le choix des fondateurs pour cette observance, puisque quelques chartreuses deviennent des lieux de sépultures. Les relations des chartreux franconiens avec le monde sont aussi envisagées à l’appui de leurs activités littéraires et leur engagement dans l’introduction de la Réforme
The purpose of this work is to analyse in which way the six charterhouses of Franconia could be regarded as a coherent ensemble, and if it is possible to recognize a franconian identity of the Carthusian monks. The territory of the Land zu Franken is contested since the contemporaries tend to define the territory according to their private interests. The order of the Carthusian monks settles tardily in Franconia. They propose a renewal of the contemplative orders which were so far incarnated by the Benedictines and Cistercians whose expansion finishes at the end of 13th century. A study of the institutional mechanisms of the order, accompanied by a prosopography of the officers of the area shows that the monks of Franconia fit within the border framework of the province of lower Germany. The officers, by their displacements limited within the area of the province, build the network between the communities and thereby provide a structure of lower Germany. The process of foundation shows that the order of the Carthusians is used by the founders with an aim of representation of their might which explains why the houses are joined together in the valley of the Main, where the lordships stand in a fierce competition. The funerary liturgy of the Carthusians also explains the choices of the founders for this observance, since some monasteries become places of burials. Finally, the relations of the franconian Carthusians with the world are considered by their literary activities, as well as by their engagement in the beginning of the Reformation
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Wendling, Fabrice. „Hugues de Miramar, Liber de miseria hominis : édition "Princeps". Introduction, traduction et commentaire“. Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30056.

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La présente thèse consiste dans l'édition princeps, avec introduction, traduction et commentaire, du Liber de miseria hominis de Hugues de Miramar, chartreux à Montrieux au milieu du XIIIe siècle. L'ouvrage est un traité de spiritualité centré sur les thèmes du mépris du monde et de l'excellence de la voie cartusienne, et transmis par deux manuscrits, qui véhiculent deux versions de la même oeuvre, une courte et une longue. L'introduction et le commentaire se sont notamment attachés à exposer les questions critiques posées par les manuscrits, à présenter l'auteur, sa personnalité spirituelle et son oeuvre, et à justifier notre choix de n'éditer ici que la version courte du Liber. Plusieurs points d'intérêt ont été relevés, comme la personnification de la mort, qui tourne l'oeuvre vers la fin du Moyen Âge, ou la teneur autobiographique de l'ouvrage, qui mêle les genres littéraires d'un traité et d'un récit. Le texte est un précieux témoin de la sensibilité religieuse du XIIIe siècle
This thesis is the first edition, with introduction, translation and commentary, of the Liber de miseria hominis by Hugues de Miramar, a Carthusian monk who lived in Montrieux in the middle of the XIIIth century. The work is a spiritual treatise mainly dealing with the themes of world contempt and of the excellence of the carthusian creed, taking the shape of two manuscripts, that offer two versions of the same work, a shorter one and a longer one. In the introduction and the commentary, particular attention was paid to setting out the critical questions raised by the manuscritps, to presenting the author, his spiritual individuality and his work, and to justifying our choice of editing here only the shorter version of the Liber. Several points seemed worthy of interest, namely the personification of death, that sets the work circa the end of the Middle Ages, as well as the autobiographical content of the book, which blends the literary styles of a treatise and a retrospective first-person narrative. The text provides priceless evidence of religious sensitivity in the XIIIth century
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Wassermann, Dirk. „Dionysius der Kartäuser : Einführung in Werk und Gedankenwelt /“. Salzburg : Institut für Anglistik und Amerikanistik, Universität Salzburg, 1996. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb371724178.

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Gaul, Heinrich. „Manasses I. Erzbischof von Reims /“. Salzburg : Institut für Anglistik und Amerikanistik, Universität Salzburg, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35533932c.

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Hanna, Elias. „La spiritualité de la vie monastique dans l'église maronite“. Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040007.

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L'objectif de la thèse est de dégager la spiritualité de la vie monastique dans l'église maronite de "la lampe monastique", ouvrage composé par l'évêque Abdallah Qaraali (1672-1742) en 1721. Le livre fait le commentaire des premières règles du monachisme maronite reformé en 1695. Le travail est divisé en deux parties suivies de trois annexes. La première partie, intitulée tradition et sources, traite dans une première section des traits caractéristiques de l'ascétisme maronite primitif, et dans une seconde section des sources qui ont inspiré la reforme monastique dans l'église maronite qui a eu lieu en 1695. La seconde partie discute dans une première section les fondements de l'engagement monastique et dans la seconde section les cadres de la vie monastique et son éthique. La recherche est suivie de trois annexes dont deux sont des traductions en langue française de textes choisis.
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Claverie, Pierre-Vincent. „L' ordre du Temple en Terre sainte et à Chypre au XIIIe siècle“. Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010577.

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L'ordre du Temple connut un essor rapide après sa fondation en 1120 en Terre sainte où l' essentiel de son patrimoine fut acquis en une cinquantaine d'années. Par sa dimension à la fois religieuse et militaire, ce pur produit des croisades attira de nombreux lignages chevaleresques en quête d'aventures et de promotion sociale. Les templiers assurèrent avec les hospitaliers et les chevaliers teutoniques la défense de la Syrie franque à partir d'Acre, où ils élaborèrent en 1258 un protocole de conciliation susceptible d'apaiser leurs rivalités au niveau politique et foncier. L'ordre du Temple se replia après la chute de la ville, en 1291, à Chypre pour opérer un bref retour sur le continent au tournant du XIVe siècle en concertation avec les Mongols de Perse. L'ordre se heurta sous le règne d'Henri II de Lusignan à l'affirmation de la monarchie chypriote, qu'il avait déjà défiée par le passé, avant d'être supprimé par la papauté en 1312 malgré son extrême popularité en Orient.
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Zermatten, Coralie. „Les formes de communication des chartreuses de Franconie avec leur ordre et leur environnement 1328-1525“. Doctoral thesis, Paris, EPHE, 2009. https://tud.qucosa.de/id/qucosa%3A25846.

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Nova Cella de Grünau, Cella Salutis de Tückelhausen, Hortus Angelorum de Wurtzbourg, Cella Beatae Mariae de Nuremberg, Pontis Mariae d'Astheim et enfin Hortus Mariae d'Ilmbach sont les six chartreuses fondées en Franconie, région morcelée en multiples seigneuries et centres urbains. La Franconie est-elle une réalité pour l’ordre des Chartreux des XIVe et XVe siècles ? Ce sont d’abord l’historiographie de l’ordre des chartreux ainsi que celle de la Franconie qui doivent être confrontées dans le but d’identifier cet objet de recherche finalement assez peu évident. Plusieurs mécanismes institutionnels cartusiens sont ensuite décortiqués afin de mettre en perspective le fonctionnement de l’ordre sur un territoire clairement défini. Enfin l’étude de l’appropriation de l’observance par les Franconiens expose les modalités de l’insertion des chartreuses dans leur environnement immédiat.
The purpose of this work is to analyse in which way the six charterhouses of Franconia could be regarded as a coherent ensemble, and if it is possible to recognize a franconian identity of the Carthusian monks. The territory of the Land zu Franken is contested since the contemporaries tend to define the territory according to their private interests. The order of the Carthusian monks settles tardily in Franconia. They propose a renewal of the contemplative orders which were so far incarnated by the Benedictines and Cistercians whose expansion finishes at the end of 13th century. A study of the institutional mechanisms of the order, accompanied by a prosopography of the officers of the area shows that the monks of Franconia fit within the border framework of the province of lower Germany. The officers, by their displacements limited within the area of the province, build the network between the communities and thereby provide a structure of lower Germany. The process of foundation shows that the order of the Carthusians is used by the founders with an aim of representation of their might which explains why the houses are joined together in the valley of the Main, where the lordships stand in a fierce competition. The funerary liturgy of the Carthusians also explains the choices of the founders for this observance, since some monasteries become places of burials. Finally, the relations of the franconian Carthusians with the world are considered by their literary activities, as well as by their engagement in the beginning of the Reformation.
Unter der Bezeichnung fränkische Kartausen versteht man eine Gruppe von sechs Klöstern, die zwischen 1328 und 1453 gestiftet wurden: Nova Cella in Grünau (1328), Cella Salutis in Tückelhausen (1348), Hortus Angelorum in Würzburg (1350), Cella Beatae Mariae in Nürnberg (1380), Pontis Mariae in Astheim (1409) und Hortus Mariae in Ilmbach (1453). Diese Bezeichnung wird vor allem durch die heutige Vorstellung des fränkischen Raumes geprägt: Bilden die Kartäuser von Franken im Mittelalter tatsächlich eine einheitliche zu untersuchende Gruppe? Lässt sich von einem Gruppenbewusstsein der fränkischen Kartäuser sprechen, wenngleich die Verwendung des Begriffs Identität im Mittelalter Schwierigkeiten mit sich bringt? Ist es möglich, dass die fränkischen Kartausen vom Orden selbst als solche verstanden wurden oder handelt es sich um eine, dem kartäusischen System fremde Konstruktion?
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Biron-Ouellet, Xavier. „Un prédicateur et sa cité : spiritualité, émotion et société dans la Toscane du XIVe siècle. Le cas de Simone Fidati da Cascia“. Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0015.

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Cette thèse présente la première grande étude historique du prédicateur Simone Fidati da Cascia. Ce frère de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin fut particulièrement reconnu pour son activité pastorale à Florence, bien qu'il ait aussi été actif à Sienne, Pise, Pérouse et Rome. Quoique négligé par l'historiographie, il s'agit d'un auteur prolifique qui nous a entre autres laissé un grand commentaire des Évangiles en latin, un texte d'instructions religieuses en vernaculaire toscan et un recueil de lettres. L'objectif premier de cet thèse est de saisir les rapports entre spiritualité et société en s'intéressant au discours affectif d'un prédicateur et à ses effets sur son auditoire. Pour y parvenir, cette étude commence par reconstruire la biographie de Simone Fidati et d'établit la nature de sa relation avec son maître Ange Clareno, leader d'un mouvement dissident au sein de l'Ordre franciscain (1ere partie). Par la suite, il s'agit d'insérer Fidati dans la société florentine en mettant au jour le réseau de relations qu'il noue avec différents groupes sociaux, religieux comme laïcs, masculins comme féminins (2e partie). Enfin, la thèse culmine avec une analyse du rôle des émotions dans le discours du prédicateur. En utilisant la notion de "script émotionnel", cette analyse propose d'envisager les émotions sous forme de séquences visant à mouvoir les auditeurs selon un cheminement affectif qui mène à l'amour de Dieu et à la tranquillité de l'âme. Cette fonction "thérapeutique" du directeur spirituel est le coeur de son activité pastorale, guidant non seulement les esprits, mais aussi les comportements des hommes et des femmes en société
This dissertation is the first comprehensive study concerning the augustinian preacher Simone Fidati da Cascia. Mostly known for his pastoral activity in Florence, he has also been active in Siena, Pisa, Perugia, and Rome. Although he has been neglected by the historiography, he is a prolific author that left us a long commentary on the Gospel, a vernacular text of religious instruction, and a collection of letters. The main idea of this thesis is to understand the relation between spirituality and society through the study of the affective discourse delivered by a preacher and its effect on his audience. To this end, the dissertation begins with a biographical study of Simone Fidati which works to reveal the nature of his relation with his master Angelo Clareno, the leader of a dissident franciscan movement (1st part). Follows a second part where Fidati is inserted in the florentine society, bringing to light his network of friends from different social groups, religious and lay, masculin and feminine. In the third and last part, this dissertation engage with the modern notion of "emotional script" to make sense of the emotions in the discourse of the preacher. This notion helps us understand emotions as sequences aiming at moving the souls of the audiences along an affective path toward love of God and tranquility of mind. This "therapeutical" function of the spiritual director is at the heart of his pastoral activity, not only guiding the spirits, but also the behaviours of men and women in society
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Cerrini, Simonetta. „Une expérience neuve au sein de la spiritualité médiévale : l'ordre du Temple (1120-1314) : étude et édition des règles latines et françaises“. Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1997PA040234.

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La première partie de cette thèse contient l’édition critique de la règle de l'ordre du Temple (1120-1314), le premier ordre religieux-militaire de la chrétienté. L’édition du texte latin approuvé au concile de Troyes (1129), est suivie par celle de la version en langue d'oïl. Les deux éditions sont augmentées d'un apparat des variantes et d'un apparat des sources, ainsi que d'un glossaire. Un chapitre est consacré à l'analyse de la tradition de la règle et des statuts : on y trouvera une liste des mentions de ces textes dans des inventaires de bibliothèques médiévales, ainsi que le recensement et la description des manuscrits subsistants de textes normatifs de l'ordre. La deuxième partie contient l'étude de la genèse de la règle qui comporte l'analyse du prologue, l'identification des participants au concile, l'attribution à Hugues de Payns, premier grand maitre, de la lettre christi militibus, et l'anticipation de la date de cette dernière et du de laude nove militie de Saint Bernard avant le concile de Troyes. Dans la troisième partie, le résumé et le commentaire des textes latins et français rendent compte de l'esprit de la règle. L'analyse des sources de la règle - essentiellement la règle de Saint Benoit-, le repérage de loci paralleli ainsi que l'approfondissement de certains articles montrent l'effort pour canaliser dans des voies institutionnelles la nouveauté de l'ordre, ou le frère du temple était en même temps un chevalier. Une tendance 'anti-ascétique' et une tendance 'anti-héroïque' sont mises en valeur : la règle veille à la bonne condition physique des templiers pour affronter le combat, mais elle reprouve la chasse, la 'prouesse' et la 'largesse', usages typiques de la chevalerie. Le commentaire de la version française illustre les divergences de la traduction vis-à-vis du texte latin. On émet l'hypothèse que le texte latin constitue une sorte de procès-verbal du concile, alors que le plan français, très différent et plus rationnel, pourrait correspondre à celui qui fut exposé par Hugues de Payns lors du concile de Troyes. La version française montre qu'une fois le statut du templier approuvé par le concile, les exigences pratiques prirent le pas sur l'esprit de la règle
The first part of this thesis includes a critical edition of the order of the temple's rule (1120-1314), the first order in Christianity to be at once a military and a religious one. The edition of the latin text, which was approved at the council of Troyes in 1129, is followed by its version in the 'oil' language. The two editions are enlarged with an apparatus of their variations and sources, as well as with a glossary. A chapter is dedicated to the analysis of the tradition of the templar’s rule and statutes. One will find a list of the mentions of these texts in the inventories of medieval libraries, as well as the census and description of the existing manuscripts of the order's standard texts. The second part contains the study of the genesis of the rule. This includes the analysis of the prologue, the identification of the members of the council, the attribution to Hughes de Payns, the first great master of the order, of the letter intituled christi militihus, and the datation, previous to the council of Troyes, of that letter and of Saint Bernard's de laude nove militie. In the third part, a summary and a commentary of the latin and french texts give account of the spirituality of the rule. This contains the analysis of the sources of the rule - essentially from saint Benok's rule - and the identifying of the loci paralleli. Through some articles, more deeply studied, one can perceive the church's effort to contain the newness of the order within institutional channels (the temple monk was also paradoxically a knight). There, 'anti-ascetic' and 'anti-heroic' tendencies are accentuated. The rule sees that the templar is in good physical condition in order to fight, but it forbids hunting, 'prowess' and 'largess' which are chivalry characteristics. The commentary of the french version shows differences between the french translation and the original latin text. One can suppose that the latin text is like the proceedings of the council. On the other hand, the french draft is different and more rational. It might correspond to Hugues de Payns's proposal to the council of Troyes. The french version shows that when the templar's status was approved by the council, practical exigencies overrode the spirituality of the rule
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Jérôme, Thomas. „Entre apogée et déclin : vivre sa foi au Grand Siècle, dans les chartreuses féminines, 1570-1715“. Thesis, Artois, 2014. http://www.theses.fr/2014ARTO0003.

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La vie des communautés de moniales repose sur une double réalité. Tout d’abord, une considération matérielle. Derrière les évidentes questions économiques, se dissimule la vie quotidienne des moniales : vêtements, nourriture, hiérarchie, ou encore la question essentielle des rapports avec le dehors. Ensuite, une réalité spirituelle. À la fin du XVIe siècle, l’issue du concile de Trente ouvre une période de renouveau pour le clergé catholique. L’accueil des réformes tridentines, en particulier celle de la clôture, est un point fondamental pour les communautés régulières féminines. À cette question primordiale s’ajoute celle de la pratique de la foi, d’une manière individuelle ou collective. Bien entendu, l’approche de ces deux aspects ne peut se faire sans évoquer le passé médiéval des chartreuses féminines. Elle soulève à elle seule la problématique de l’acceptation d’une curare monialium au sein de l’ordre cartusien, ou encore celle du passé diaconal des premières moniales. Depuis leur naissance nébuleuse au XIIe siècle jusqu’au Grand Siècle, le parcours des filles de saint Bruno révèle une forte identité monastique, à la fois conformiste et marginale
Life in communities of nuns relies on a double reality. First, a concrete one. Indeed, behind the obvious economic issues, there is the nuns' everyday life, about clothes,food, hierarchy or the essential issue of the links with the outside. Then , a spiritual reality. At the end of the XVI th century, the end of the Council of Trent is at the same time the beginning of a period of revival for the Catholic clergy. Indeed, the acceptance of the reforms resulting from the Council – particularly the enclosure – is an essential aspect for the feminine communities. Moreover, there is also the problem of faith practice , both on individual and collective levels. Of course, debating about these two aspects cannot be made possible without taking into account the medieval background of the feminine charterhouses. What is at stake is the acceptance of a curare monalium within the Carthusian order itself, or the issue of the origin of nuns as deaconesses. From their nebulous origin in the XII th century to the Grand Siècle, Saint Bruno Order's nuns have shown a very strong cloistered identity, both conformist and non-conformist
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Bücher zum Thema "Ordre des Chartreux – Spiritualité"

1

Paroles de chartreux. Paris: Éd. du Cerf, 1987.

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2

Christiane, Pérez, Hrsg. L' ordre des chartreux au XIIIe siècle: Actes du colloque international d'histoire et de spiritualité cartusienne ; VIIIe centenaire de la fondation de la chartreuse de Valbonne, 11-13 juin 2004. Salzburg: Institut für Anglistik und Amerikanistik, 2006.

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3

Contributions to the history of the Carthusian order in Central Europe. Salzburg: FB Anglistik und Amerikanistik, Universität Salzburg, 2018.

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4

Seigneur, Pierre Jacques Le. L' ordre des Chartreux dans le diocèse de Gap. Salzburg: Institut für Anglistik und Amerikanistik, Universität Salzburg, 2004.

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5

Fifteenth-century Carthusian reform: The world of Nicholas Kempf. Leiden: E.J. Brill, 1992.

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6

Colloque internationale d'histoire et de spiritualité cartusiennes (10e 1988 Villeneuve-lès-Avignon, France). Les chartreux et l'art, XIVe-XVIIIe siècle: Actes du Xe Colloque international d'histoire et de spiritualité cartusiennes (Villeneuve-lès-Avignon, 15-18 septembre 1988). [Paris]: Éditions du Cerf, 1989.

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7

Vagner. ordre des Chartreux et la Chartreuse de Bosserville. HardPress, 2020.

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8

Lettres des premiers chartreux. Paris: Cerf, 1999.

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9

Vers la maturité spirituelle. Presses de la Renaissance, 2002.

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Buchteile zum Thema "Ordre des Chartreux – Spiritualité"

1

Bauer, Olivier. „Théologie protestante de la santé“. In Clinique du sens, 61–66. Editions des archives contemporaines, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3282.

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Comment la théologie protestante — entendue au double sens de conception protestante et de discours réflexif sur cette conception — conçoit-elle la santé ? Nous proposons un état de la question qui met en évidence, dans le cadre d’une spiritualité largement sécularisée, la spécificité et l’originalité d’une théologie protestante de la santé : elle refuse de faire de la santé spirituelle un ordre spécifique de la santé pour en faire le sens donné à la santé et à la maladie dans ses ordres biologique et psychosocial.
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