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Zeitschriftenartikel zum Thema „Littérature du XIIIe siècle“

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1

Fasseur, Valérie. „L’Évangile dans la littérature en Languedoc (XIIe-XIIIe siècle)“. Cahiers de Fanjeaux 34, Nr. 1 (1999): 81–118. http://dx.doi.org/10.3406/cafan.1999.1726.

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2

Beaussart, François-Jérôme. „Figures féminines dans la littérature mariale (XIIe-XIIIe siècles)“. Le Moyen Age CIV, Nr. 3 (1998): 435. http://dx.doi.org/10.3917/rma.043.0435.

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3

Collet, Olivier. „Littérature, histoire, pouvoir et mécénat : la cour de Flandre au XIIIe siècle“. Médiévales 19, Nr. 38 (2000): 87–110. http://dx.doi.org/10.3406/medi.2000.1480.

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4

Flori, Jean. „Littérature et société au xiie siècle“. Bien Dire et Bien Aprandre, Nr. 8 (01.04.2022): 71–98. http://dx.doi.org/10.54563/bdba.1280.

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5

Cordonnier, Rémy. „Des serpents en Irlande! Quelques notes à propos du Libellus septem peccatorum mortalium venena eorumque remedia describens qui dicitur Venenum Malachiae“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 26 (31.12.2014): 51–65. http://dx.doi.org/10.1075/rein.26.04cor.

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Le Venenum Malachiae est un petit traité de la fin du XIIIe siècle, qui s’appuie sur les propriétés des bêtes venimeuses pour transmettre un enseignement moral. Or, s’il a fait l’objet de quelques études par les spécialistes de la littérature moralisante du Moyen Âge, il n’a en revanche pas attiré l’attention des spécialistes de la littérature animalière. Pourtant ce texte n’est pas sans intérêt, tant par la diversité de ses sources, qui saupoudrent de Sénèque et de Cicéron les traditionnels Isidore ou Grégoire le Grand, que par la diversité et la relative rareté littéraire des espèces mentionnées. Mon propos n’est pas ici de développer le thème du venin et du péché associé aux reptiles et aux autres animaux vénéneux, mais simplement d’attirer l’attention des collègues sur ce petit texte dont j’offre ici un bref état de la question agrémenté de remarques plus spécifiques sur les animaux évoqués dans ce texte qui, je l’espère, susciteront la curiosité du lectorat privilégié de Reinardus.
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6

Martín, Llúcia. „Chevaux et ânes humanisés dans la littérature catalane“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 27 (31.12.2015): 143–61. http://dx.doi.org/10.1075/rein.27.08mar.

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Dans cet article, nous présentons deux œuvres catalanes médiévales, l’anonyme Disputació d’en Buch ab son cavall et la Disputa de l’Ase d’Anselm Turmeda, qui ont comme thème principal le dialogue entre un animal (un cheval ou un âne) et un homme, avec un ton satirique et une intention parodique. Même s’il s’agit d’œuvres présentant de grandes différences formelles et de complexité narrative, toutes deux sont à considérer comme très originales par l’humanisation de l’animal qui, pendant quelques moments du récit, acquiert un degré de subtilité qui dépasse celui de son interlocuteur.L’exemplum animalier dans la littérature catalane est un genre encore peu étudié. Outre les bestiaires, on peut mentionner les œuvres d’origine orientale, comme les exemples du Llibre de les bèsties de Ramon Llull au XIIIe siècle, très proches de ceux du Calila et Dimna, ou bien des collections d’exempla, récits et fables contenues dans des œuvres plus volumineuses à caractère doctrinal. Dans cette contribution, nous nous occuperons des récits et disputes mettant en scène des équins qui donnent l’exemple, et qui parlent avec les hommes.
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7

Shin’ichi, Saeki. „Figures du samouraï dans l’histoire japonaise Depuis Le Dit des Heiké jusqu’au Bushidô“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, Nr. 4 (August 2008): 875–94. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900025889.

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RésuméComment l’idée de Voie du guerrier s’est-elle peu à peu fabriquée au cours de l’histoire japonaise ? Comment et pourquoi les guerriers médiévaux se sont-ils construits un univers culturel en rupture avec celui de la cour impériale de Kyôto ? Dans Le Dit des Heiké, composé dans la première moitié du XIIIe siècle, ce qu’on désigne alors comme la Voie de l’Arc et du Cheval suscite des réactions diverses, depuis la répulsion jusqu’à la sympathie. Cette tension donne peu à peu naissance aux grandes oeuvres de la littérature médiévale japonaise dite guerrière. Avec la paix de l’époque Tokugawa, le bushidô est rejeté par les élites samouraïs. Mais en même temps se recrée une éthique guerrière dans un monde désormais sans combats. C’est de cette contradiction que naît le bushidô moderne qui devient, à partir du XIXe siècle, l’une des pièces du discours nationaliste. Les samouraïs deviennent les chevaliers du Japon d’autrefois et le bushidô une forme de code chevaleresque. Mais il s’agit d’une reconstruction complète, d’une réinvention du passé, au service des objectifs du nouvel État-nation.
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8

Guerreau-Jalabert, Anita. „Aliments symboliques et symbolique de la table dans les romans arthuriens (XIIe-XIIIe siècles)“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 47, Nr. 3 (Juni 1992): 561–94. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1992.279063.

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Ces quelques exemples, choisis parmi bien d'autres, sont tout à fait représentatifs de ce que l'on peut attendre d'une enquête sur les thèmes de l'alimentation et de la commensalité dans la littérature arthurienne : des notations en quantité variable suivant les auteurs, au total assez fréquentes, mais redondantes et en définitive d'une grande imprécision tant sur la nature exacte des mets consommés que sur leur préparation et sur le service de table. L'examen attentif de cet ensemble de mentions montre que ce qui intéressait les auteurs, c'était bien moins les descriptions détaillées, originales ou pittoresques que l'indication même d'un repas ou d'un type d'aliments. Sur ce point comme sur les autres, il est donc inutile de rechercher quelque « réalisme » que ce soit dans cette littérature dont les thèmes narratifs relèvent toujours d'un codage symbo-lique qui en limite singulièrement la diversité et la fidélité au réel : toute référence aux données matérielles, aux pratiques effectives n'y est représentée que par un petit nombre de notations similaires, qui relèvent de la convention de langage. Un processus identique de stylisation caractérise par exemple la description du paysage, réduit aux quelques éléments opposés et complémentaires que sont la forêt, la lande, la montagne, la plaine, la mer, l'espace cultivé et l'espace habité.
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Boulton, Maureen. „Les amours du poète: Poésie et biographie dans la littérature du XIIIe siècle. Daniel Lacroix“. Speculum 81, Nr. 3 (Juli 2006): 873–74. http://dx.doi.org/10.1017/s0038713400016195.

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10

Noto, Giuseppe. „Daniel Lacroix, Les amours du poète. Poésie et biographie dans la littérature du XIIIe siècle“. Studi Francesi, Nr. 150 (L | III) (31.12.2006): 574. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.27182.

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Moran, Patrick. „La guerre comme marqueur générique dans la littérature narrative des xiie–xiiie siècles“. Le Moyen Age CXXV, Nr. 1 (2019): 21. http://dx.doi.org/10.3917/rma.251.0021.

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12

Becker, Karin. „La mentalité juridique dans la littérature française (XIIIe-XVe siècles)“. Le Moyen Age CIII, Nr. 2 (1997): 309. http://dx.doi.org/10.3917/rma.032.0309.

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Noto, Giuseppe. „Alain Corbellari, La voix des clercs. Littérature et savoir universitaire autour des dits du xiiie siècle“. Studi Francesi, Nr. 154 (LII | I) (01.06.2008): 160. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.9115.

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14

Boutet, Dominique. „Discours des origines et pensée politique dans la littérature des XIIe et XIIIe siècles“. Revue Française d'Histoire des Idées Politiques N°52, Nr. 2 (2020): 31. http://dx.doi.org/10.3917/rfhip1.052.0031.

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15

Pressouyre, Léon. „Quelques fonctions de la sculpture religieuse dans la littérature des XIIe et XIIIe siècles“. Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France 1991, Nr. 1 (1993): 115. http://dx.doi.org/10.3406/bsnaf.1993.9637.

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Ribémont, Bernard. „Le bourreau dans la littérature médiévale des xiie et xiiie siècles : un personnage absent ?“ Le Moyen Age Tome CXXVII, Nr. 3 (24.04.2022): 665–80. http://dx.doi.org/10.3917/rma.273.0665.

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17

Gauthey, Thomas. „L’éléphant en Inde et en Afrique dans les écrits de voyage occidentaux, du XIIIe au début du XVIe siècle“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 27 (31.12.2015): 112–29. http://dx.doi.org/10.1075/rein.27.06gau.

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Le sens du mot “éléphant” ne semble, a priori, guère problématique pour les clercs médiévaux. Pourtant, jusqu’au début du XIIIème siècle, la réalité qu’il recouvre n’est connue que par des héritages antiques et le passage d’un unique éléphant dans la ménagerie de Charlemagne. La paix mongole et l’ouverture de la route de l’Inde permettent l’essor d’une littérature qui lui laisse une part majeure: la littérature de voyage. L’éléphant est d’une certaine manière une incarnation animalière de la démesure orientale, comme le sous-entend le vocabulaire emphatique qui lui est associé; certains auteurs se montrent ainsi particulièrement admiratifs de cet animal, qualifié de “mirabile” par Jordan Catala de Séverac, qui sert à la fois d’instrument militaire et de force de travail. Mais l’animal, si singulier, est difficile à décrire, surtout à un public qui n’en a vraisemblablement jamais vu. Il convient de relever, également, l’importance que revêt la couleur de l’animal et surtout le fait qu’il est décrit à la fois comme un animal domestique et sauvage. Ces écrits, de fait, précisent les connaissances scientifiques rapportées depuis l’Antiquité, et même les infirment: l’éléphant cesse d’être considéré comme exclusivement asiatique (ce qui était le cas depuis Isidore de Séville), on rapporte que ses pattes sont bel et bien flexibles (alors que le Physiologus affirmait le contraire), et, enfin, la chasteté exemplaire qui lui était prêté dans les écrits paléochrétiens est mise à mal par les récits de capture de l’animal.
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Ding, Leticia. „Renart et les escoufles, l’intertextualité de l’univers animal médiéval dans le Chevalier Silence de Jacques Roubaud“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 28 (31.12.2016): 50–64. http://dx.doi.org/10.1075/rein.28.04din.

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Le Chevalier Silence (1997) est l’œuvre de l’oulipien Jacques Roubaud. Ce texte se présente comme une réécriture du Roman de Silence d’Heldris de Cornouailles (XIIIe siècle), mais rapidement, au fil de la lecture, on se rend compte que le récit roubaldien emprunte un grand nombre de passages à d’autres textes médiévaux. Parmi ceux-ci, Roubaud réactualise le Roman de Renart et L’Escoufle de Jean Renart. La manière dont il remet au goût du jour ces deux œuvres passe par un jeu intertextuel et un entrelacement des textes, où les personnages des deux récits se retrouvent dans un même système diégétique. Par ce mécanisme d’écriture, Roubaud veut, d’une part, faire découvrir ou redécouvrir la littérature médiévale à un jeune public et à un lecteur moderne, en l’amusant. D’autre part, il s’adresse également aux médiévistes, car le jeu intertextuel, fruit d’une grande érudition, propose des énigmes au sujet des sources et des références empruntées.
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Harf-Lancner, Laurence. „La métamorphose illusoire : des théories chrétiennes de la Métamorphose aux images médiévales du loup-garou“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, Nr. 1 (Februar 1985): 208–26. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283152.

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Mon propos n'est pas ici de traquer le loup-garou dans les replis de l'imaginaire médiéval ou moderne mais, à travers un ensemble remarquablement riche et cohérent, celui des histoires de loups-garous dans la littérature du Moyen Age, de retrouver la résonance, dans la sensibilité médiévale, du thème de la métamorphose animale. Thème prolifique : le Moyen Age a hérité de l'ample moisson des légendes gréco-romaines de métamorphoses ; ce thème est également constant dans les contes merveilleux qui, avec l'irruption de la culture populaire dans la culture savante au XIIe siècle, imprègnent dès ses débuts la littérature narrative en langue vernaculaire.A première vue, deux conceptions de la métamorphose s'opposent au Moyen Age :.- celle de la littérature apologétique, qui nie la réalité de la métamorphose et la range parmi les illusions diaboliques ;.- celle de la littérature narrative profane, qui trouve dans le folklore une matière susceptible d'être modelée selon les impératifs d'un idéal mondain : cette littérature ne met pas en doute la réalité de la métamorphose.
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Lachaud, Frédérique. „La notion d'office dans la littérature politique en France et en Angleterre, XIIe-XIIIe siècles“. Comptes-rendus des séances de l année - Académie des inscriptions et belles-lettres 153, Nr. 4 (2009): 1543–70. http://dx.doi.org/10.3406/crai.2009.92735.

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Noto, Giuseppe. „Silvère Menegaldo, Le jongleur dans la littérature narrative des xiie et xiiie siècles. Du personn“. Studi Francesi, Nr. 151 (LI | I) (01.04.2007): 149–50. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.25952.

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Rescia, Laura. „De la fable à l'emblème“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 12 (15.09.1999): 163–71. http://dx.doi.org/10.1075/rein.12.13res.

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Résumé La philautie s'est incarnée dans la tradition mythologique classique à partir du Ie siècle dans l'image du beau chasseur Narcisse, qui tomba amoureux de son reflet. La fable d'Ésope "La guénon et ses petits", reprise par Avianus et ses imitateurs, a également illustré le miserable sort de l'homme aveuglé par l'excès d'amour de soi même. Reprise par les auteurs des bestiaires à partir du XIIe siècle, non sans glissements sémantiques importants, l'iconologie du singe côtoie, s'associe et enfin se superpose à celle du "beau demoiseau": le phénomène se produit dans la littérature d'emblèmes de la fin du XVIe au début du XVIIe siècle. Nous avons retrouvé l'origine de l'association des deux héros philautiques tout en suivant leur traces dans trois textes de cette période: Discours des hieroglyphes... de Pierre L'Anglois (1583), Duodecim specula... du père jesuite Jean David (1610), Cinq livres des hiéroglyphiques... de Pierre Dinet (1614). Les trois éléments constitutifs de l'emblème (devise, image et epigramme) se composent ici de manière tout à fait originale pour dessiner l'horizon sémantique de l'amour de soi. On en retrouvra des échos dans la littérature romanesque.
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Aerts, E. „La relation entre l’homme et le chat dans les anciens Pays-Bas au moyen âge et à l’époque moderne“. Vlaams Diergeneeskundig Tijdschrift 84, Nr. 4 (31.08.2015): 212–22. http://dx.doi.org/10.21825/vdt.v84i4.16597.

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Les rapports entre l’homme et le chat dans les anciens Pays-Bas au cours des siècles passés peuvent être qualifiés de kaléidoscopiques, mais aussi contradictoires, problématiques et ambigus. Les hommes, surtout des intellectuels dans l’Église, ont bien vite apprécié les côtés utiles de leur relation avec le chat, mais ont aussi, dès le XIIe siècle, commencé à diaboliser l’animal. Dans les anciens Pays-Bas également, l’image du chat démonologique était largement répandue, mais on n’y trouve aucune trace de procès de chats ou d’exécutions de chats à proprement parler. Au même moment s’est développée, tant dans la littérature que dans les arts plastiques, une représentation emblématique associant le chat à d’autres caractéristiques négatives comme la paresse, la vanité, l’arrogance et surtout la luxure.
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Roudil, Jean. „Le vouloir dire et le dit. Tradition partagée et originalité dans la littérature juridique espagnole du XIIIe siècle“. Cahiers de linguistique hispanique médiévale 18, Nr. 1 (1993): 133–67. http://dx.doi.org/10.3406/cehm.1993.1085.

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Boutet, Dominique. „Amour et séquestration, entre lyrique et romanesque dans la littérature d’oïl aux XIIe et XIIIe siècles“. Romania 131, Nr. 523 (2013): 257–80. http://dx.doi.org/10.3406/roma.2013.7416.

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Voisenet, Jacques. „Le renard dans le bestiaire des clercs médiévaux“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 9 (31.12.1996): 179–88. http://dx.doi.org/10.1075/rein.9.14voi.

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Résumé La littérature cléricale du Haut Moyen Âge laisse peu de place au renard contrairement au loup et à l'ours qui jouent de façon privilégiée le rôle de l'animal démoniaque. Le renard se range sans conteste dans la cohorte maléfique en incarnant la tromperie, l'erreur et le péché. A partir du XIIe siècle, véritable avènement du renard, celui-ci offre une image complexe et devient la figure ambiguë de la novitas.
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Smets, An. „L’image ambiguë du chien à travers la littérature didactique latine et francaise (XIIe –XIVe siècles“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 14 (03.12.2001): 243–53. http://dx.doi.org/10.1075/rein.14.17sme.

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Sale bête ou compagnon fidèle? Dès les plus anciens temps, on retrouve dans les textes cette double attitude envers “le meilleur ami de l’omme”. Aussi au moyen âge, la plupart des textes montrent les deux côtés de la médaille, même si certains auteurs ne cachent pas leur opinion tantôt plus positive, tantôt plus négative. Ainsi, les bestiaires latins se montrent plûtot neutres ou légèrement positifs, alors que leurs successeurs français soulignent déja plus les défauts. Les encyclopédistes du treizième siècle sont également plus neutres, contrairement aux auteurs des encyclopédies moralisées, dont la plupart ne cachent pas leur antipathie. Une explication possible se trouve dans les sources utilisées, mais pour pouvoir tirer des conclusions définitives, il faudrait élargir la présente enquête vers des siècles antérieurs ou postérieurs, vers d’autres genres littéraires ou vers d’autres langues.
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Haugeard, Philippe. „L'enchantement du don. Une approche anthropologique de la largesse royale dans la littérature médiévale (XIIe-XIIIe siècles)“. Cahiers de civilisation médiévale 49, Nr. 195 (2006): 295–312. http://dx.doi.org/10.3406/ccmed.2006.2942.

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Gontero, Valérie. „L’Anel Faé. Analyse d’un motif merveilleux dans la littérature arthurienne en vers des xiie et xiiie siècles“. Les Lettres Romanes 57, Nr. 1-2 (Februar 2003): 3–18. http://dx.doi.org/10.1484/j.llr.3.64.

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Hasenohr, Geneviève. „Typologie des larmes dans la littérature de spiritualité française des xiiie-xve siècles“. Le Moyen Français 37 (Januar 1997): 45–63. http://dx.doi.org/10.1484/j.lmfr.3.55.

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Colombo Timelli, Maria. „Émergences d’une littérature militaire en français (xiie-xve siècle), dir. Joëlle“. Studi Francesi, Nr. 200 (LXVII | II) (01.08.2023): 436–37. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.53825.

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Pairet, Ana. „La folie dans la littérature médiévale: étude des représentations de la folie dans la littérature des XIIe, XIIIe et XIVe siècles par Huguette Legros“. French Review 90, Nr. 1 (2016): 201–2. http://dx.doi.org/10.1353/tfr.2016.0260.

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Vitz, Evelyn Birge. „Résurgences: Mythe et littérature à l'âge du symbole (XIIe siècle). Daniel Poirion“. Speculum 64, Nr. 2 (April 1989): 483–87. http://dx.doi.org/10.2307/2852006.

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Roccati, G. Matteo. „Jean-Yves Casanova & Valérie Fasseur (dir.), L’Aquitaine des littératures médiévales (xie-xiiie siècle)“. Studi Francesi, Nr. 174 (LVIII | III) (01.11.2014): 563–64. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.1060.

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Abi-Rached, Naoum. „La poesie dialectale libanaise“. Hawliyat 9 (24.12.2018): 39–56. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v9i0.304.

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Pendant longtemps, dans les pays arabes et dans les esprits de certains, la prose fut considérée comme un genre mineur ; seul l'art poétique méritait bien ses lettres de noblesse. Il s'agit d'une idée dont les racines remonteraient à la période antéislamique qui aurait réservé à la poésie et aux poètes une place de prédilection. Par la suite, avec l'avènement de l'islam et sous les quatre premiers califes, la poésie se fit plus discrète pour revenir plus forte que jamais avec les Omeyyades et puis avec les Abbassides. La période dite de décadence que nous situons schématiquement entre le XIIIe et le XIXe siècle, n' a pas dérogé à cette règle. Les Mille et Une Nuits, que certains considèrent comme le chef-d'œuvre par excellence de la littérature de l'imaginaire populaire arabe, ne sont toujours pas classées par les spécialistes arabes dans le genre « sérieux » ; cette œuvre est rangée sous la rubrique du conte populaire. Les reproches formulés par l'intelli- gentsia al-&üssa à l'encontre des Mille et Une Nuits et de toutes les œuvres qui appartiennent au même genre soutiennent que ni les thèmes traités ne sont nobles, ni la langue utilisée n'est correcte ni soutenue. La conclusion en fut qu'il s'agit bien là d'un genre mineur destiné à amuser le peuple et à alimenter l'ima- ginaire du vulgum pecus ou la 'âmma. Durant les siècles qui ont précédé la renaissance Nama, la prose, lorsqu 'elle n'avait pas pour objet la philosophie falsafa, la grammaire, les sciences de la religion, l'exégèse coranique ou les sciences d'une manière plus large, et qu'elle ne satisfaisait pas aux principes de l'éloquence et de la rhétorique Fasâ&a et balâàa, n'appartenait pas au corpus du adab au sens noble du terme.
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Baldwin, John W. „Jean Renart et le Tournoi de Saint-Trond : Une Conjonction de L'Histoire et de la Littérature“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, Nr. 3 (Juni 1990): 565–88. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278858.

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La fin du XIIe siècle constitue un point culminant dans le développement du tournoi, véritable mise en scène des exploits de la chevalerie. Depuis le XIe siècle, date de son « invention » supposée dans le Maine par un certain Geoffroy de Preuilly, il s'était répandu dans la France septentrionale puis dans tout l'Occident chrétien. Autour de 1200, un ensemble exceptionnellement riche de sources éclaire son déroulement. Comme les tournois avaient été proscrits dès 1130 par les autorités ecclésiastiques, les clercs étaient peu disposés à en décrire tout le déroulement dans leurs chroniques. Ainsi Gislebert de Mons, chancelier du comte Baudouin V de Hainaut, énumère treize tournois auxquels Baudouin participa. Depuis son adoubement en 1168 jusqu'à la grande assemblée de Mayence en 1184, il participa activement à des tournois dans la vallée du Rhin et dans le nord-est de la France, mais le chroniqueur est avare en détails sur leur déroulement. Les comptes rendus les plus complets furent écrits en langue vernaculaire, et non en latin, pour le plaisir des classes aristocratiques qui parrainaient ces pratiques.
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Roccati, G. Matteo. „Valérie Gontero, L’«Anel Faé». Analyse d’un motif merveilleux dans la littérature arthurienne en vers des XIIe et XIIIe siècles“. Studi Francesi, Nr. 144 (XLVIII | III) (15.12.2004): 580. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.37187.

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Jones, Catherine M. „Le message et sa fiction: La communication par messager dans la littérature française des XIIe et XIIIe siècles. Jacques Merceron“. Speculum 76, Nr. 4 (Oktober 2001): 1078–79. http://dx.doi.org/10.2307/2903670.

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WIAME, Pierre. „Des Pierres sauvages à La Pierre sans chagrin.“ Revue internationale Henry Bauchau. L’écriture à l’écoute, Nr. 7 (25.11.2015): 279–88. http://dx.doi.org/10.14428/rihb.v0i7.17643.

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Henry Bauchau possédait dans sa bibliothèque le roman écrit par l’architecte François Pouillon, Les Pierres sauvages. L’ouvrage, paru en 1964, relate la construction de l’abbaye du Thoronet au XIIe siècle. En 1966, paraît le recueil, La Pierre sans chagrin – poèmes du Thoronet. Il y a là plus qu’une coïncidence, l’article montre par comparaison d’extraits des deux ouvrages qu’Henry Bauchau s’est inspiré tout autant du roman de F. Pouillon que de la célèbre abbaye cistercienne. Le poème tend à l’épure, la lecture du roman ajoute à sa compréhension. Au-delà des deux œuvres, on constate que leurs auteurs se sont servis de la littérature comme moyen de se reconstruire après des épreuves douloureuses.
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Bottex-Ferragne, Ariane. „Lire, écrire et transcrire en strophe d’Hélinand“. Études françaises 53, Nr. 2 (17.08.2017): 103–30. http://dx.doi.org/10.7202/1040899ar.

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Cet article poursuit le double objectif de fournir une analyse du manuscrit BnF, fr. 2199 et de poser certains fondements à une poétique de la réception des littératures médiévales en strophe hélinandienne (8aabaabbbabba). Exclusivement composé de poèmes adoptant ce modèle strophique (Miserere et Carité du Reclus de Molliens, Vers de la mort d’Hélinand de Froidmont), ce recueil de la fin du xiiie siècle présente une diversité d’interventions graphiques qui tendent à rehausser, chacune à leur manière, les caractéristiques formelles des textes qu’il contient. À ce titre, il fournit une occasion privilégiée d’interroger la réception du corpus hélinandien à la lumière des éléments de forme qui ont pu attirer l’attention du lectorat médiéval. Il s’agira dès lors d’aborder la mise en livre singulière de cet ouvrage comme une sorte d’« art poétique visuel » qui permettra, à terme, de pallier certaines lacunes de la documentation textuelle consacrée à ce corpus.
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Addas, Claude. „Entre musalsal et silsila, une frontière ténue: Le cas de la muṣāfaḥa et de la mushābaka“. Al-Qanṭara 41, Nr. 1 (24.09.2020): 15. http://dx.doi.org/10.3989/alqantara.2020.001.

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[fr] Deux chaînes d’affiliation (silsila) d’un genre spécifique font leur apparition dans le monde musulman, à la toute fin du VI/XIIe siècle, en Orient (Mésopotamie) d’une part et en Occident (Maroc), d’autre part: l’une désignée dans les sources sous le label de silsilat al-muṣāfaḥa, l’autre sous celui de silsilat al-mushābaka. Répertoriées, le plus souvent, dans les ouvrages relevant de la littérature prosopographique au sens large, les « chaînes » en question, qui se sont rapidement disséminées à travers tout le dār al-islām, se rapportent à un rituel spécifique perpétuant, de génération en génération, un contact physique avec le Prophète. Largement répandues dans le milieu des oulémas, elles sont assimilées, à l’époque ottomane, à des ḥadīths musalsalāt, des « traditions enchaînées ».
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Lacomba, Marta. „Au-delà du Cantar de Mío Cid. Les épigones de la geste cidienne dans la littérature historiographique castillane de la fin du xiiie siècle“. Mélanges de la Casa de Velázquez, Nr. 34-1 (15.04.2004): 394–97. http://dx.doi.org/10.4000/mcv.333.

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Bolduc, Michelle. „La corne et l’ivoire: étude sur le récit de rêve dans la littérature romanesque des XIIe et XIIIe siècles by Mireille Demaules“. French Review 85, Nr. 6 (2012): 1165–66. http://dx.doi.org/10.1353/tfr.2012.0165.

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Bourbouhakis, Emmanuel. „Ingela Nilsson, Raconter Byzance: la littérature au XIIe siècle. Paris: Les Belles Lettres, 2014. Pp. 258.“ Byzantine and Modern Greek Studies 43, Nr. 02 (10.09.2019): 314–16. http://dx.doi.org/10.1017/byz.2019.1.

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Olsen, Birger Munk. „La réception de la littérature classique grecque et latine du IXe au XIIe siècle. Une étude comparative“. Classica - Revista Brasileira de Estudos Clássicos 19, Nr. 2 (02.12.2006): 167–79. http://dx.doi.org/10.24277/classica.v19i2.112.

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O artigo se propõe a examinar a recepção da literatura clássica grega e latina dos séculos IX ao XII, baseando-se nos manuscritos e fragmentos conservados das obras de um corpus de cinqüenta autores gregos e cinqüenta autores latinos. Os resultados da pesquisa mostram que os testemunhos no Ocidente são singularmente mais numerosos que os de Bizâncio. Para as vinte e cinco obras mais conhecidas, assinalamos, por exemplo, cerca de três mil cópias de textos latinos contra aproximadamente duzentos textos gregos, o que torna problemático o estabelecimento de estatísticas signi?cativas para o domínio bizantino. Esse desvio pode ser explicado de muitas formas, antes de tudo pelo papel importante, no Ocidente, dos clássicos no ensino dos mosteiros, que fazem copiar em seus scriptoria coleções geralmente consideráveis de livros escolares. Em Bizâncio, ao contrário, os mosteiros, tendo uma concepção bem diversa da cultura monástica, parecem não ter tido nenhum papel na transmissão da literatura antiga. Assim sendo, os livros clássicos deviam encontrar-se essencialmente nas bibliotecas privadas dos amadores esclarecidos ou dos mestres, e eram menos estáveis e numerosas do que as pessoas morais do Ocidente.
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Cornec, Cécile Le. „L’anguille dans les textes scientifiques et littéraires médiévaux“. Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 21 (17.12.2009): 98–114. http://dx.doi.org/10.1075/rein.21.07lec.

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L’anguille a dans la culture médiévale un statut ambivalent: les oeuvres scientifiques invitent à s’en méfier, alors que les livres de cuisine la mettent à l’honneur. à l’instar de sa cousine serpentine la lamproie, l’anguille occupe également une place de choix dans la littérature. Elle suscite la convoitise effrénée des gourmands, notamment dans la fameuse branche du Roman de Renart. Dans ce texte, comme dans le fabliau Les Trois Dames qui troverent l’anel, l’anguille apparaît aussi comme l’instrument idéal du piège tendu par un fourbe ingénieux. Que signifie le choix de cette espèce? Nous nous demandons ici comment les pratiques et les représentations médiévales relatives à l’anguille permettent d’éclairer son rôle narratif et symbolique dans ces textes littéraires. De Hildegarde de Bingen aux régimes de santé du xiv e siècle, en passant par les encyclopédistes dominicains du xiii e siècle, les savants médiévaux dressent de l’anguille un portrait peu amène: animal hybride, trop lié à la terre pour être un véritable poisson, elle fournit une nourriture malsaine tant que ses propriétés n’ont pas été amendées par l’art culinaire. Dans le fabliau Les Trois Dames qui troverent l’anel, le choix de l’anguille semble obéir surtout à un souci réaliste, même si d’éventuelles connotations sexuelles ne sont pas à exclure. Quant aux anguilles qui servent d’appât à Renart pour piéger Isengrin, elles apparaissent d’abord comme les poissons de la gula, l’aliment “maigre” chéri des goinfres hypocrites.
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Russo, Valeria. „Guilty Mother, Forgiven Mother. The Maternal Fault of Jocasta, from the Roman de Thèbes to Jean Mansel“. Bien Dire et Bien Aprandre, Nr. 38 (08.12.2023): 157–70. http://dx.doi.org/10.54563/bdba.1938.

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Coupable d’inceste, mais inconsciente de sa faute, Jocaste est un personnage ambigu. Au fil des adaptions du mythe, le jugement moral et le châtiment que cette figure subit peuvent suivre deux schémas narratifs différents, qui correspondent à autant de versions anciennes de la légende : dans la tragédie de Sophocle, Jocaste se suicide dès qu’elle découvre l’inceste ; dans les Phéniciennes d’Euripide (comme dans la Thébaïde de Stace) elle tente de mettre un terme au conflit entre ses deux fils, mais elle se suicide à l’épée en réalisant que ses efforts sont vains.Il en est de même pour la littérature française qui, au cours du Moyen Âge, s’approprie à plusieurs reprises la légende thébaine. À travers la présente contribution, nous tentons de montrer comment la narration en langue d’oïl de cette période présente la vie de Jocaste et à travers quels procédés narratifs. Pour ce faire, cet article prend en considération un corpus large, du xiie au xve siècle, du Roman de Thèbes à la Fleur des histoires de Jean Mansel.
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Lachaud, Frédérique. „Littérature de civilité et « processus de civilisation » à la fin du XIIe siècle : le cas anglais d'après l'Urbanus magnus“. Actes de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public 32, Nr. 1 (2001): 227–39. http://dx.doi.org/10.3406/shmes.2001.1815.

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Roccati, G. Matteo. „Anna Kukulka-Wojtasik, La dame et l’amour au Moyen Âge. Symbolique du portrait amoureux dans la littérature courtoise du xiie siècle“. Studi Francesi, Nr. 160 (LIV | I) (01.04.2010): 121. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.7132.

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SIDARUS, ADEL. „UN DÉBAT SUR L'EXISTENCE DE DIEU SOUS L'ÉGIDE PRÉTENDUE D'ALEXANDRE LE GRAND“. Arabic Sciences and Philosophy 19, Nr. 2 (September 2009): 247–83. http://dx.doi.org/10.1017/s095742390999004x.

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AbstractThe philosophical debate presented in these pages (edition, translation and analysis) is extracted from a 13th-century Coptic Arabic summa ecclesiastica. The venue is alleged to have taken place in Alexandria under the aegis of its proper founder. In a gathering of five philosophers or sages (ḥakīm-s) coming from India to the Maghreb, passing of course through Greece, amongst whom was present the great Aristotle, Alexander's preceptor and the undisputed authority that summed up the debate and put an end to it. The disputation turns on the existence or not of a supreme creator and organizer, reminding the public sessions convened by the Sassanid and Muslim Rulers. However, the mise en scène here is linked without contest to the famous encounter of 325 b.C. between the Macedonian Conqueror and the Brahmans or Indian gymnosophites. We know how this episode was glossed in different ways in the Greek literature until it was “recovered” in an apologetic monotheistic view by the new Christian imperial order from the 4th century a.C. onward. Although our Coptic writer from the Middle Ages intends to prove with the text he offers to us the rightness of the “miaphysite” teaching of his Church, he, or his source, stands fully in line with that tradition, despite the fact that we could not trace a specific source from the rich variety of linguistic traditions on the matter. All the same, the ideological and linguistic analysis of the text brings us to suggest a Greek original that goes back to Late Antiquity.RésuméTiré d'une somme ecclésiastique copto-arabe du XIIIe siècle, le débat philosophique que nous présentons ici (édition, traduction et analyse), est prétendu avoir eu lieu à Alexandrie, sous l'égide de son propre fondateur. S'y trouvent réunis cinq sages ou philosophes (ḥakīm-s), venus depuis l'Inde jusqu'au Maghreb, passant bien sûr par la Grèce, dont la délégation ne manque pas d'inclure le grand Aristote, le précepteur d'Alexandre le Grand et l'autorité incontestée qui récapitule et clôt le débat. La ‘dispute’ porte sur l'existence ou non d'un créateur-ordonnateur suprême, rappelant les sessions publiques convoquées par les souverains sassanides ou musulmans. Mais la mise en scène ici se rattache incontestablement à la célèbre rencontre du Conquérant macédonien avec les brahmanes ou gymnosophistes indiens en 325 av. J.-C. On sait comment cet épisode a été glosé de différentes manières dans la littérature grecque, jusqu'à sa cristallisation dans le Roman d'Alexandre, avant d'être “récupéré”, dans une perspective monothéiste apologétique, par la nouvelle donne impériale chrétienne depuis le IVe siècle ap. J.-C. Si notre auteur copte du Moyen Âge arabe veut voir dans le texte qu'il nous livre une confirmation de la doctrine “miaphysite” de son Église, il se situe néanmoins, lui ou sa source, dans cette ligne-là, sans qu'on ait pu, pour autant, en retracer la source dans les différentes traditions linguistiques existantes. Ceci dit, l'analyse idéologique et linguistique du texte du débat nous mène à suggérer, comme source immédiate, un original grec de la Basse Antiquité.
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