Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Laboratoire d'innovation“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Laboratoire d'innovation"

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Jeanneau, Laurent. „La Franche-Comté, laboratoire d'innovation sociale“. Alternatives Économiques 292, Nr. 6 (15.07.2010): 45. http://dx.doi.org/10.3917/ae.292.0045.

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Huet, Jean-Michel, Diane de Pompignan, Mathilde Noé und Anne-Sophie Oster. „Le Sud, futur laboratoire d'innovation du monde“. L'Expansion Management Review N° 150, Nr. 3 (2013): 113. http://dx.doi.org/10.3917/emr.150.0113.

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Félix, Pierre-Laurent, und Patrick Pajon. „La construction de l'identité d'un laboratoire d'innovation. Une perspective narrative“. Revue française de gestion 31, Nr. 159 (01.11.2005): 303–28. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.159.303-328.

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4

Baverey-Massat-Bourrat, Séverine. „De la copie au nouveau médicament. Le Laboratoire de Chimie Thérapeutique et Rhône-Poulenc : Un réseau alternatif d'innovation“. Entreprises et histoire 36, Nr. 2 (2004): 48. http://dx.doi.org/10.3917/eh.036.0048.

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Defelix, Christian, Jean-Denis Culie, Didier Retour und Annick Valette. „Les pôles de compétitivité, laboratoires d'innovation en ressources humaines ?“ Revue Française de Gestion Industrielle 25, Nr. 3 (01.09.2006): 69–86. http://dx.doi.org/10.53102/2006.25.03.561.

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6

MONTFORT, Bernard, Michel REBETEZ und Francoise BESSONE. „La réalisation d'un fascicule d'images commentées : synergie entre la sécurité en laboratoire de chimie, l'informatique et le français : compte rendu d'innovation“. Didaskalia, Nr. 11 (1997). http://dx.doi.org/10.4267/2042/23849.

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7

Portmess, Lisa Rafferty. „Mobile Knowledge, Karma Points and Digital Peers: The Tacit Epistemology and Linguistic Representation of MOOCs / Savoir mobile, points de karma et pairs numériques : l’épistémologie tacite et la représentation linguistique des MOOC“. Canadian Journal of Learning and Technology / La revue canadienne de l’apprentissage et de la technologie 39, Nr. 2 (14.02.2013). http://dx.doi.org/10.21432/t23s30.

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Media representations of massive open online courses (MOOCs) such as those offered by Coursera, edX and Udacity reflect tension and ambiguity in their bold promise of democratized education and global knowledge sharing. An approach to MOOCs that emphasizes the tacit epistemology of such representations suggests a richer account of the ambiguities of MOOCs, the unsettled linguistic and visual representations that reflect the strange lifeworld of global online courses and the pressing need for promising innovation that seeks to serve the restless global desire for knowledge. This perspective piece critically appraises the linguistic laboratory of thought such representation reveals and its destabilized rhetoric of technology and educational practice. The mobile knowledge of MOOCs, detached from context and educational purpose and indifferent to cultural boundary distortions, contains both the promise of democratized education and the shadow of post-colonial knowledge export. Les représentations médiatiques des cours en ligne ouverts et massifs (MOOC en anglais) comme ceux offerts par Coursera, edX et Udacity reflètent une tension et une ambiguïté occasionnées par leur audacieuse promesse de démocratisation de l’éducation et de partage global du savoir. Étudier les MOOC en accentuant l'épistémologie tacite de ces représentations mène à une explication plus riche des ambiguïtés inhérentes aux MOOC, de l’incertitude des représentations linguistiques et visuelles reflétant l’étrange monde vécu des cours en ligne à l’échelle globale et le besoin pressant d'innovation prometteuse visant à répondre au désir insatiable de connaissance à travers le monde. Le présent essai évalue de manière critique le laboratoire linguistique d’idées révélées par une telle représentation ainsi que son discours instable sur la technologie et sur les pratiques pédagogiques. Libéré de tout contexte et d’objectif pédagogique et indifférent aux distorsions des barrières culturelles, le savoir mobile des MOOC contient à la fois la promesse d'une éducation démocratisée et le spectre d’un savoir postcolonial.
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Vinck, Dominique. „Science(s)“. Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.025.

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Les sciences désignent à la fois une série d'activités productrices de connaissances, plus ou moins différenciées d'autres activités sociales, et le résultat de ces activités (descriptions et énoncés de découvertes ou de lois décrivant ou prédisant des phénomènes, théories, méthodes de travail, savoir-faire incorporés, normes de comportement des scientifiques). Pour l'anthropologue, elles sont à la fois un objet de recherche et un cadrage (institutionnel, méthodologique et cognitif) de son travail, ce qui l'engage aussi dans une inévitable réflexivité. Du point de vue des sciences sociales, la science a été appréhendée (tradition mertonienne) comme une institution sociale distincte et exemplaire, dont la finalité est la production de connaissances rationnelles certifiées par les pairs. L'institution se caractérise par une structure normative qui régit le comportement des scientifiques telles que : universalisme, communalisme, désintéressement et scepticisme organisé. Les scientifiques qui agissent conformément à ces normes sont rationnels et humbles, capables de soumettre leurs productions à l’évaluation critique de leurs pairs, d’évaluer sans à priori le travail d’autrui et de s’auto-contrôler. Le respect de ces normes dépend de systèmes de communication (publication dans les revues scientifiques en particulier) et de gratification (nomination, distinction, obtention de fonds) dont l'analyse permet d'expliquer certains phénomènes de stratification au sein de la "communauté" scientifique. Cette approche a toutefois suscité de nombreux débats notamment quant à ce que représentent vraiment ces normes. Des contre-normes (p.ex. « garder le secret ») seraient aussi explicatives des comportements des scientifiques que les normes identifiées par Merton. Par ailleurs, dans leurs discussions internes, les scientifiques mobilisent autant les normes que les contre-normes pour défendre leur position ou affaiblir celle d’un collègue. Et surtout, ces normes seraient de nature idéologique et politique, utilisées par les scientifiques pour légitimer l’autonomie des sciences vis-à-vis du reste de la société, en particulier dans un contexte de montée en puissance de régimes autoritaires menaçant les scientifiques dans différentes régions du monde, comme ce fut le cas au cours du XXe siècle. Dans ce contexte, Merton (1973) a traité l'institution scientifique comme un modèle de démocratie des esprits, à l’abri des influences politiques. Toutefois, mobilisées au profit du développement technico-économique et de l’action publique (parfois militaire), les sciences constituent des sources de pouvoir, notamment en faisant autorité. Les questions de l'orientation et de la mobilisation des sciences fait dès lors l'objet de débats politiques récurrents. Elles soulèvent des questions de légitimité dans la société (sciences au service du progrès, de l'industrie, du prestige des Nations, de l'exploitation de la nature vs de projets de libération ou de résolution des problèmes auxquels le monde est confronté) tandis que leur spécificité a fait l’objet de nombreux débats chez les philosophes. Dans les relations Nords-Suds, elle est parfois traitée comme un enjeu des relations entre pays hégémoniques et non-hégémoniques ou en terme de centre-périphérie. Plus généralement, sa légitimité est questionnée vis-à-vis d'autres savoirs, locaux et indigènes notamment. De même, la fragmentation interne des sciences (prolifération de sous-spécialisations) a conduit les Nations Unies (convention de Rio de 1992) à demander qu'un effort d'intégration soit accompli car les problèmes auxquels sont confrontées les sociétés ont besoin d'une approche globale et non émiettée. Les dynamiques internes des sciences ont également été analysées de diverses autres façons : comme système d’échange de dons (Hagstrom 1965), comme système d’échange capitaliste et de lutte compétitive pour l’accumulation d’un capital symbolique (Bourdieu 1976), comme système politique où chacun tend à développer son domaine en gagnant de la crédibilité, convertible en ressources permettant de poursuivre (Latour, Woolgar 1988). Les relations entre scientifiques, voir aussi avec des non-scientifiques (industriels, médias, gouvernements, mouvements citoyens, communautés paysannes, etc.), constituent des réseaux sociaux dont les caractéristiques (taille, homogénéité / hétérogénéité, structure) expliquent les sciences en tant que phénomène social plus ou moins articulé à d'autres activités des sociétés. Depuis les années 1970, des chercheurs en sciences sociales (anthropologie, sociologie, histoire) ont investi l’étude des sciences en s’inspirant notamment des travaux de l’historien Kuhn (1957) (paradigme) et de l'anthropologie avec pour prétention de rendre compte des contenus (Sociology of Scientific Knowledge, SSK) et des pratiques scientifiques. Les sciences apparurent alors sous un nouveau jour. Les sciences sociales ne se cantonnent dès lors plus à l’examen des conditions sociales de possibilité de la science mais tentent d'expliquer aussi les productions scientifiques (données, théories, concepts) à partir de facteurs sociaux ou à partir des pratiques sociotechniques concrètes. Elles mettent en évidence la flexibilité interprétative des énoncés scientifiques (ni la nature, ni la méthode, ni la logique n’impose de vérité unique aux chercheurs) qui conduit à prendre en compte aussi d'autres facteurs explicatifs, notamment les rapports de forces, les mouvements de société, les traditions de pensée, les savoirs tacites, la nature du rapport au monde et à la nature, et les savoir-faire hérités. Du côté de la sociologie et de l'histoire, des auteurs vont rendre compte de l’action scientifique comme d'une rivalité entre scientifiques pour produire des énoncés de connaissances et les imposer aux autres. Ces scientifiques étant liés à des groupes sociaux, les intérêts de ces derniers orienteraient en partie le choix des objets de recherche, des approches et, par conséquent, les productions scientifiques. Les controverses entre chercheurs conduiraient ceux-ci à renforcer la robustesse de leurs affirmations et constitueraient ainsi un moteur des dynamiques scientifiques. Ces approches conduisent aussi à symétriser les analyses portant sur la constitution des savoirs scientifiques et celles portant sur les autres formes de savoirs, de systèmes de pensées ou de croyances. Des chercheurs britanniques (Bloor 1976 ; Collins 1985) prônent alors des principes de causalité, d'impartialité, de symétrie et de réflexivité dans l'étude des sciences. “Connaissances vraies” et “croyances fausses” devraient être expliquées par les mêmes registres de causalité (relations causales entre des variables sociologiques et contenus de connaissance, production négociée de connaissances consensuelles et clôture des controverses, analyse du discours). A la fin des années 1970, des chercheurs commencent à s’intéresser aux pratiques scientifiques concrètes. Ils observent les processus d’ajustement locaux et contingents et décodent les savoirs tacites incorporés dans les individus, instruments et formes d’organisation. Leurs études rendent compte de la production des faits, des données, des énoncés et des accords entre chercheurs, de l’articulation entre éléments hétérogènes, de la construction collective et négociée des publications. Adoptant des postures héritées de l'anthropologie, ils décrivent les processus de fabrication et de stabilisation des énoncés scientifiques en séjournant longuement au sein de laboratoires où se produisent des savoirs scientifiques. Ainsi, Latour, de retour d'une enquête en Afrique, débarque dans un laboratoire de biochimie réputé ; il cherche à y étudier “la pensée scientifique” en train de se faire et rend compte de l'importance des pratiques d'inscription. Il publie Laboratory Life. The Social Construction of Scientific Facts en 1979 (Latour, Woolgar, 1988). Knorr-Cetina (1981), en Allemagne, Lynch (1985), aux États-Unis, mobilisent l’ethnométhodologie et montrent les productions scientifiques comme des accomplissements pratiques situés. D’autres chercheurs héritiers de l’école pragmatique américaine et de l’interactionnisme symbolique de Chicago rendent aussi compte des productions scientifiques en rendant compte des perspectives des acteurs en présence. L’anthropologue Traweek (1988) étudie le monde des physiciens des particules, de même que d'autres le feront d'autres laboratoires (p.ex. Houdart 2013) ou de lieux de fabrication de connaissances technologiques (Downey 1998 ; Vinck 1999). Soucieux de rendre compte de l'intrication des sciences dans la société, notamment via les processus d'innovation, des chercheurs (Callon 1986 ; Latour 1989) conçoivent une approche (théorie de l’acteur-réseau, analyse des processus de traduction et de construction de réseaux sociotechniques) devant permettre de rendre compte des sciences et techniques en évitant les dichotomies héritées (nature/culture, sujet/objet, notamment). Ils ouvrent ainsi la réflexion sur une nouvelle anthropologie des connaissances.
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Dissertationen zum Thema "Laboratoire d'innovation"

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Coustillac, Lili. „Méthodes et outils pour soutenir l’éco-conception dans un laboratoire d’innovation industriel“. Electronic Thesis or Diss., Compiègne, 2023. http://www.theses.fr/2023COMP2784.

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Afin de rester compétitives, les entreprises se doivent d’être innovantes et de proposer régulièrement de nouveaux produits, services, process, … Si, pendant longtemps, les innovations se sont concentrées sur la dimension technique, aujourd’hui, elles s’appuient sur trois leviers principaux : les prix, la technologie et les usages. Depuis peu, l’innovation durable, qui consiste à innover en prenant en compte les impacts environnementaux, est également considérée comme un levier d’innovation supplémentaire. Pour répondre à ces nouvelles demandes, notamment autour de l’innovation par l’usage et l’innovation durable, les entreprises ne se demandent plus si elles doivent innover mais plutôt comment le faire. Elles « cherchent à renouveler leurs modalités d’innovation et de création ». De nouvelles méthodes et de nouveaux outils sont déployés en contexte industriel. Une des pratiques proposées est la mise en place de nouveaux lieux, dédiés à l’innovation, inspirés du mouvement maker tels que les FabLabs, les Living labs, les Hackerspaces, les Makerspaces, ... Ces nouveaux espaces, portés par des acteurs divers, renouvellent les modalités d’innovation et de création par la mise en oeuvre de processus collaboratifs et itératifs. Ils ont pour objectifs de remettre les usages au coeur des processus d’innovation, de centrer le processus sur l’utilisateur et ses besoins, de donner un nouveau souffle aux processus d’exploration et d’innovation des entreprises, de revaloriser les compétences pratiques et de s’adapter à un contexte de désindustrialisation. Pour réaliser ces objectifs, ces laboratoires d’innovation s’appuient sur trois grands piliers : un lieu caractérisé par une architecture, une disposition et un décor particuliers qui influencent le comportement des occupants ; une équipe composée d’acteurs variés et hétérogènes comme des chercheurs, des ingénieurs ainsi que des experts en méthodes et outils de créativité et de prototypage et enfin des méthodes visant à faciliter et accompagner la génération d’idées et le travail de groupe, notamment à travers des sessions de co-créativité. Dans le cadre de l’innovation durable, très peu d’outils sont adaptés aux pratiques de ces nouveaux lieux d’innovation. En effet, les laboratoires d’innovation soutiennent la génération d’idées et de premiers concepts alors que les outils d’éco-innovation ou d’éco-conception tel que l’Analyse de Cycle de Vie, reposent sur l’évaluation des impacts environnementaux de produits finalisés. Nous proposons de développer un outil d’éco-créativité qui a pour objectif d’accompagner les participants d’une session de co-créativité pour générer des idées nouvelles, originales, respectueuses de l’environnement et adaptées au contexte dans lequel elles se manifestent. Pour évaluer les effets de l’introduction d’un tel outil pendant des séances de co-créativité, une méthodologie d’analyse exhaustive de ces séances a été développée. Pour réaliser ces travaux, nous avons intégré le Clean Mobility LAB, laboratoire d’innovation d’un grand groupe d’ingénierie et de production d’équipements automobiles international, FORVIA FAURECIA
To remain competitive, companies must be innovative and regularly offer new products, services, processes, etc. If, for a long-time, innovation has focused on the technical dimension, today it relies on three main levers: prices, technology and uses. Recently, sustainable innovation, which consists in innovating while considering the environmental impacts, is also considered as an additional innovation lever. To meet these new demands, particularly around innovation through use and sustainable innovation, companies are no longer wondering if they should innovate but rather how to do so. They “seek to renew their methods of innovation and creation”. New methods and tools are deployed in an industrial context. One of the practices proposed is the establishment of new places, dedicated to innovation, inspired by the maker movement such as FabLabs, Living labs, Hackerspaces, Makerspaces, ... These new spaces, supported by various actors, renew the modalities of innovation and creation through the implementation of collaborative and iterative processes. Their objectives are to put uses back at the heart of innovation processes, to focus the process on the user and his needs, to give a new impetus to the exploration and innovation processes of companies, to upgrade practical skills and adapt to a context of deindustrialization. To achieve these objectives, these innovation laboratories are based on three main pillars: a place characterized by a particular architecture, layout and decor that influence the behavior of participants; a team composed of diverse and heterogeneous actors such as researchers, engineers as well as experts in methods and tools of creativity and prototyping and finally methods to facilitate and support the generation of ideas and group work, notably through co-creativity sessions. In the context of sustainable innovation, very few tools are adapted to the practices of these new places of innovation. Indeed, innovation laboratories support the generation of ideas and first concepts while eco-innovation or eco-design tools such as Life Cycle Assessment, are based on the assessment of the environmental impacts of products. We propose to develop an eco-creativity tool that aims to accompany the participants of a co-creativity session to generate new ideas, original, respectful of environment and adapted to the context in which they manifest. To evaluate the effects of the introduction of such a tool during co-creativity sessions, a comprehensive analysis methodology of these sessions was developed. To carry out this work, we have integrated the Clean Mobility LAB, innovation laboratory of a large international automotive equipment engineering and production group, FORVIA FAURECIA
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Osorio, Ferney. „Gestion des laboratoires d’innovation : Une approche méthodologique pour la conception de l’intention stratégique“. Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2021. http://www.theses.fr/2021LORR0229.

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Depuis plusieurs années, les espaces propices à la créativité et à l'innovation se multiplient. Les gouvernements, les entreprises, les universités et les communautés se sont tournés vers la mise en place de laboratoires d'innovation comme lieux où les processus d'innovation sont censés être améliorés par des formes de collaboration ouvertes et agiles. Cependant, il existe des préoccupations concernant le fait que l’absence d'une intention stratégique claire et partagée fragilise la finalité des laboratoires d'innovation et que ces initiatives peinent à faire converger et à partager leur intention stratégique avec toutes les parties prenantes. Par conséquent, cette thèse, en suivant une approche de recherche-action dans plusieurs contextes de recherche, vise à expliquer comment l’intention stratégique des laboratoires d’innovation est construite et peut être utilisée pour guider leur performance. Dans cette recherche, les laboratoires d’innovation sont reconnus comme des formes organisationnelles intermédiaires créées pour soutenir et faciliter l’intention d’innovation dans des contextes multi-acteurs. En outre, il est également abordé la manière dont les laboratoires d'innovation requièrent des processus de prise de conscience et de restitution qui leur permettent de créer et de maintenir un alignement stratégique parmi leurs parties prenantes. En conséquence, ce travail se concentre sur la conception d’outils qui permettent (1) de représenter les éléments constitutifs de l’intention stratégique organisationnelle d’un laboratoire d’innovation, (2) de comprendre comment cette intention se déploie dans le temps et les étapes qu’elle traverse, et (3) d’identifier les compétences et les rôles au sein des équipes du laboratoire d’innovation contribuant à guider l’intention du laboratoire d’innovation. L'ensemble de ces résultats constitue une approche méthodologique pour accompagner les processus de conception de stratégies au sein des espaces collaboratifs
Since several years now, there has been a proliferation of prodigious spaces for fostering creativity and innovation. Governments, companies, universities, and communities have turned to the implementation of innovation laboratories as the places where innovation processes are expected to be enhanced through open and agile forms of collaboration. However, there are concerns on how the lack of a clear and shared strategic intent undermines the innovation laboratories’ purpose and how these initiatives struggle to share and align their strategic intent with all the stakeholders. Thus, this dissertation, following an action research approach under multiple research settings, aims to explain how the strategic intent of innovation laboratories is built and can be used to guide their performance. Throughout this thesis, innovation laboratories are recognized as intermediary organizational forms created to support and facilitate the innovation intent in multi-stakeholder contexts. Moreover, it is also addressed how innovation lab settings require sensemaking and feedback processes that allow them to create and maintain a strategic alignment among their stakeholders. Accordingly, this work focuses on the design of mechanisms that enable (1) the representation of the constituent elements of the organizational strategic intent of an innovation lab, (2) understanding how this intent unfolds over time and the stages it goes through, and (3) the identification of competences and roles within innovation lab teams that help to navigate the innovation lab intent. Altogether, they constitute a methodological approach to support strategy making processes in such collaborative environments
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Bücher zum Thema "Laboratoire d'innovation"

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Collin, Mathilde. L'Université catholique de Louvain et la coopération au développement: Entre microcosme des relations internationales et laboratoire d'innovations sociales (1908-1981). Louvain-la-Neuve: Academia-Bruylant, 2008.

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L'Université catholique de Louvain et la coopération au développement: Entre microcosme des relations internationales et laboratoire d'innovations sociales (1908-1981). Louvain-la-Neuve: Academia-Bruylant, 2008.

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