Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Jean (1952-.... ; romancier)“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Jean (1952-.... ; romancier)"

1

Jonassaint, Jean. „Le cinéma de Sembène Ousmane, une (double) contre-ethnographie“. Ethnologies 31, Nr. 2 (09.03.2010): 241–86. http://dx.doi.org/10.7202/039372ar.

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Dans un premier temps, cet article brosse brièvement une biographie intellectuelle de Sembène Ousmane pour faire ressortir les rapports entre sa production et sa trajectoire de sujet sénégalais, Ousmane Sembène de son vrai nom, devenu le romancier et cinéaste Sembène Ousmane. Du même coup, à partir d’une lecture de l’évolution des titres de ses romans du français au wolof, du Docker noir (1956) à Xala (1973), il tente d’expliquer son passage de l’écrit à l’écran. Dans un deuxième temps, ce texte montre la cohérence interne de l’oeuvre cinématographique de La Noire de... (1966) à Moolaadé (2004), en passant par Mandabi (1968), Ceddo (1976) ou Camp de Thiaroye (1988). Ces films qui, tous, mettent en scène une crise suite à une rencontre avec l’Autre (ou d’autres), plus spécifiquement l’irruption d’un ou des éléments étrangers dans un corps social jamais un mais multiple, divers dans un procès de confrontation/transformation. Cette double contre-ethnographie, portrait de Soi et portrait de l’Autre, ni Soi ni l’Autre n’étant un, mais multiple, divers/divisé est une poéthique (poétique et éthique) liée à un engagement personnel de l’écrivain-cinéaste pour une redéfinition de l’image de l’Afrique sur les écrans. En ce sens, son travail se fait notamment, du moins implicitement, contre un certain cinéma ethnographique dont Jean Rouch a été la figure de proue avec des documentaires comme Les Maîtres fous (1954) ou Mammy Water (1966).
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2

Wilson, Michael T. „Wharton’s Revision of Guardian-Ward Romance Fiction in Summer“. Edith Wharton Review 38, Nr. 1 (Mai 2022): 21–49. http://dx.doi.org/10.5325/editwharrevi.38.1.0021.

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Abstract This article analyzes the way that Wharton’s Summer both engages with and revises a relatively common trope of popular nineteenth- and early twentieth-century American fiction centered on romance, the romance between a male guardian and his female ward. To do so, it also analyzes the trope in a range of those other novels, including William J. Locke’s 1905 The Morals of Marcus Ordeyne (so popular that it became a play and then a motion picture), Jean Webster’s 1912 Daddy Long-Legs, and Ethel M. Kelley’s 1917 Turn About Eleanor. Each of these other novels generally obscures or indeed celebrates the uneven power dynamics and age relationships of such couplings, sometimes to quite remarkable degrees, and in ways that foreground the “romantic” elements of the romance fiction genre. In Summer, Wharton, by partially but not entirely revising them, instead recasts the conventions of a guardian-ward romance to force the logical and emotional contradictions of the hierarchies of power coercively inherent in the limited female autonomy of such wards to the surface.
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Américo, Ekaterina Vólkova. „O conceito de fronteira na semiótica de Iúri Lotman“. Bakhtiniana: Revista de Estudos do Discurso 12, Nr. 1 (April 2017): 5–20. http://dx.doi.org/10.1590/2176-457326361.

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RESUMO O presente artigo1 tem por objetivo apresentar o conceito de fronteira na obra do semioticista russo Iúri Lotman (1922-1993), bem como o esquema de assimilação de textos alheios que ocorre justamente na zona fronteiriça. Com base nessas colocações teóricas abordamos as inter-relações culturais, como a presença da língua francesa no romance Guerra e paz de Liev Tolstói e o impacto da calça jeans na cultura soviética.
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Dumas, Catherine. „"Decantar sabiamente todos os pontos luminosos a brilhar na sombra onde penetra um raio de sol"“. Revista 2i: Estudos de Identidade e Intermedialidade 5, Nr. 8 (04.12.2023): 9–20. http://dx.doi.org/10.21814/2i.4846.

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A arte poética de Salette Tavares vem declinada pela artista na sua produção poética e ficcional tanto como ensaística. Neste artigo, cotejam-se um ensaio na sua maior parte inédito, A Dialética das Formas, e a obra poética recém reunida no volume da Imprensa Nacional, Obra Poética 1957-1994. Abre-se a reflexão a dois romances recém-editados, Outro Outro e Irrar. Na obra poética, faz-se o vai e vem entre a poesia textual e a poesia visual e espacial para conseguir um apanhado dos “pontos luminosos” duma obra multifacetada. A análise da obra de Salette Tavares parte da reflexão de Haroldo de Campos que entrevista Ezra Pound, alicerçando-se em certas teorias de Barthes, Meschonnic e Jean-Claude Pinson, através dos “pontos” e das “galáxias”, dos “fulgores” e do “espaço e movimento” assim como das questões de ritmo consequentes.
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Riss, Claude. „LOUÉ soit Jean-Albert Grégoire, créateur originAL“. Cahiers d'histoire de l'aluminium 68, Nr. 1 (13.07.2023): 46–61. http://dx.doi.org/10.3917/cha.068.0046.

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S’appuyant sur l’innovation apportée par le joint homocinétique Tracta, Jean-Albert Grégoire créa une voiture éponyme et fut au XX e  siècle l’inlassable promoteur de la « traction avant », mode désormais dominant. Obsédé par l’amélioration de la sécurité en automobile et séduit par le potentiel des alliages d’aluminium, l’ingénieur Grégoire ne cessa de proposer ses innovations aux constructeurs, en fréquente collaboration avec la société Pechiney. Parmi elles, la « carcasse coulée » fut utilisée par les firmes Adler, Amilcar, Hotchkiss, Panhard, outre J.-A. Grégoire pour ses propres productions. Cette technique innovante engendrait un net accroissement de la rigidité des châssis et améliorait nettement la tenue de route des véhicules. De même pour les suspensions Grégoire telle « l’aérostable ». En pleine guerre (1942) il créa une voiture électrique puis une seconde vingt ans plus tard. Sur commande d’un industriel, il imagina une voiture à turbine (Socema). Synthèse de ses idées et œuvre ultime, la remarquable mais trop coûteuse Grégoire Sport ne connut qu’une gloire éphémère. Historien et critique reconnu du monde de l’automobile, Jean-Albert Grégoire fut aussi romancier. À la fin de sa vie, il rassembla sous forme d’une collection l’essentiel de ses créations. Maintenant propriété de l’Institut pour l’histoire de l’aluminium, cet ensemble est actuellement hébergé au sein du Musée national de l’automobile à Mulhouse.
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Desprez, Delphine. „L’invisible cité de Kitež au reflet de la prose de l’Âge d’Argent“. Études mongoles et sibériennes, centrasiatiques et tibétaines 38, Nr. 1 (2007): 75–118. http://dx.doi.org/10.3406/emong.2007.1183.

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En 1903, le célèbre romancier décadent Dmitri Merejkovski (1865-1941), accompagné de son épouse la poétesse Zinaïda Hippius (1871-1945), quitta Saint-Pétersbourg pour rencontrer à Svetlojar, en outre-Volga, la nébuleuse des groupes de vieux-croyants en rupture avec l’orthodoxie officielle. Quatre ans plus tard, le jeune écrivain passionné d’ethnographie M. Prišvin (1873-1954) suivit le même chemin : c’est sur la confrontation des textes nés de leurs expériences respectives que l’analyse se fonde pour faire ressortir comment l’identité culturelle de certains non-conformistes religieux, cristallisée autour du mythe de la cité de Kitež, a intégré le traumatisme de la violence d’État en une vision du monde entièrement tournée vers le retour de l’Âge d’Or. Cette attente poussa les intellectuels à s’interroger à leur tour sur leurs propres certitudes et leur fit prendre conscience de la fragilité de leurs positions. Dans la pénombre de la forêt, le soir de la Saint-Jean, à proximité de Kitež mystérieusement disparue face à ses agresseurs, les contraires semblent pouvoir se rejoindre, s’interchanger et se concilier. Surgit un mythe de la Sainte Russie fusionnant foi et histoire pour exorciser les traumatismes anciens. Aux yeux des moujiks non-conformistes, la scission au sein de l’Église russe depuis l’introduction des « nouveautés » byzantines (fautivement attribuées à l’influence de Rome) et l’émergence d’un État moderne à l’occidentale passaient en effet pour aussi apocalyptiques que l’invasion mongole.
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Zamith Cruz, Judite. „Marina. Lucchesi, Marco. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023“. EccoS – Revista Científica, Nr. 67 (18.12.2023): e25392. http://dx.doi.org/10.5585/eccos.n67.25392.

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Jogo de espelhos e palavras Analogias duma beleza transitiva Foi entre “formigas e cupins”[1] que descobri e inventei por “ver” o que lia. Do jardim a casa, numa aprazível “distração”, li Marina (do latim, marinus, “marinho”). Se ia em busca de cupins, absorvi-me logo numa bela atividade intrínseca de “ler” a natureza humana. Os estados/processos emocionais deram-se ao meu sonho acordado, frente à lua cheia. Por contraste mínimo, o que acontece no sonho propriamente dito é antes uma não narrativa, uma dissociação não controlada, exibida a superfície de fundo inacessível[2], graciosa alternativa criativa à “associação de ideias”. “O sonho de uma sombra”, em Píndaro (522 – 443 a.C.)[3], foi a ofuscação da “verdade” nua e crua. O sonho e a fantasia permitem a estranha fragmentação da sequência do pensamento escorreito, quando se experiencie a realidade de All-Self (ser com tudo em redor). Um efeito é imaginarmos sermos nós aquela “estrela” e recategorizamos algo num “todos juntos”, “transitarmos”[4], sem fixação, encontrado “tudo em tudo”[5]. “Somos plurais”[6] e mutantes sem “coerência”. Colocado a par o ser e o não ser, dada a aparência de Marina, numa superfície lisa refletida, convoca à reflexão que muda, quando “… todos querem, buscam, sonham com você”[7]. Na afirmação do narrador, Celso, é partilhado o desejo de alguém ou dele com “você”. Num detalhe ora geral, ora específico, algo dela poderá ser comparável ou semelhante a outra coisa, uma analogia. No encalço dela, Marco Lucchesi acompanha-nos no “eterno retorno da leitura”[8], trocadas cartas entre Celso e Marina, na década de noventa do século passado[9]. “Rasgadas”, anos passados por ele, entendidas “inúteis e vazias”[10], tendo ela dirigido um e outro e-mail inúteis, para “confissões”, via ”correspondências”[11], em que culpas confessadas nem sejam alheias a “amores mortos”[12]. Anteriormente, Celso chegaria a procurar Marina em “mundos improváveis”. Em locais de sua casa, a falsa presença, inviável, “tão querida”… Possivelmente desejada, chega a ser atingido o paradoxo da perenidade da vida, no espaço exíguo, amor eterno. Marina encontra-se em quase tudo[13]: “Digamos: a) no terreno baldio das gavetas; b) na agenda que perdeu a validade; c) nas fotos inquietas de um álbum (andorinhas em queda: sem cola, pálidas ou saturadas); d) no velho sótão que não tenho.” Como se “pousássemos os pincéis”, em continuidade, o modelo analógico varia no tempo… O escritor acrescenta: “nosso passado é analógico”[14]. Celso escuta cantos, sons e silêncios (a música “dela”?), no aparelho de rádio analógico... “Analogia”, nas nuances de significado no dicionário, são uma entre outras. E dada a representação de um objeto assemelhar-se ao original, pode Marina ser “pintada” em eternas obras de arte. “Vejo-a”, no que vejo e no que leio: “Coroação da Virgem”, de Fra Angélico (1395 — 1455); “A Madona de San Sisto”, de Rafael (1483 — 1520) … Escolho logo a bela Gioventü, de Eliseu Visconti (1866 - 1944). Figura nº 1 – Óleo sobre tela, Gioventü, de Eliseu Visconti (1898) Fonte: https://en.wikipedia.org/wiki/Giovent%C3%B9 Mas é em Candido Portinari[15], numa obra de 1957 – “O menino com pássaro”, que a voz e ela… se me apagou. Seria recolhida e cuidada por aquele que a encontrasse. Figura nº 2 – Elemento de obra de Candido Portinari (1957) – O menino com pássaro Fonte: https://www.wikiart.org/en/candido-portinari/menino-com-p-ssaro-1957 Numa analogia, a figura oscila de forma contínua, entre passado e presente, imparável no tempo. Sem comparecer perante Celso, também ele num não-lugar se quedou[16]. Os seus braços, “irredentos do todo”[17], vivido um “como se…”, avançariam o distanciamento/estranheza[18] face ao espelhado “teatro de sentimentos”. Fora Marina ferida? Num “jogo de espelhos e palavras”[19], “escrevo por espelhos reticentes, com frases e lacunas movediças” …. “Estendo as mãos para o espelho…”[20]. “Refletida” a escrita em processo, encontro Lucchesi solto no outro. Nos seus termos, a palavra “espelho” dará lugar ao oculto no “jogo de espelho, analogias”[21]. Quando a reflexão teria ainda o Sol no “espelho”, o encontro de ambos jorrava luz. Perdida a década de oitenta, o que é dado, antecipado[22]? Novas luzes e sombras. Celso e Marina foram inicial “espelho de paixão”. Seguiu-se a brecha na paixão. Num salão espelhado da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo, em 1507, vejo uma figuração pintada por Hans Schäufelein. “Herodes” deu lugar à figuração doutros maus tempos, no “Espelho da Paixão” (Speculum Passionis). Cristo diante de Herodes, o malvado, que morreu com o Eclipse lunar. Num “reflexo“, o culpado, no julgamento em “Herodes”[23], convocara Cristo[24], um culpado. Eu sou o outro do outro eterno Eleia, às portas da atual Itália. Numa primeira estrofe de Poema, a expressão dum outro, Parménides (530 a.C. — 460 a.C.), para quem “deus” não foi gerado, existindo[25] ad eternum... A estaca foi colocada num limiar doutro lugar estranho, em Poema: “Aí se encontram as portas”. Talhada a via inovadora do caminhar, tendemos a cruzar linhagens para não nos perdermos. Nem tudo se desgasta e corrompe, com Parménides. No rumo incerto, outra conquista do explorador Ulisses[26], foi ter encontrado o retorno? Ulisses, Celso, Alice, Marina… Pierre e Natacha, Tristão e Isolda. No desencontro, Molly e Leopold ou Eurídice e Orfeu ... A ficarmos “aos pés da biblioteca”[27], a ler vidas nas figuras centrais, estas oferecem um recuo[28]. Abrem portas. Eternas personagens, nem todas juvenis. Celso, o narrador? Alguém que já teve um “matagal” de cabelo perdido, que “nasceu no coração [uma floresta, cabelos…] … com espinhos” - “O elogio da calvície” [29]. Outra personagem de Marina, Alice, foi um exemplo de ajuda, porto marítimo, seguro, onde atracar? Substitui, sem substituir Marina? Alice adotará, também ela, o enigmático porte de “Gioconda”, “a senhora Lisa, esposa de Giocondo”, representada por técnica do sfumato, de Da Vinci (1452 — 1519). Foi seu o “vaso”[30], que Celso amou - “vasos quebrados” [31]. Acresce que “Alice e o vira-lata branco” encontram-se ambos registados num “resumo” de carta[32], em união, bem juntos. Bem articulado no pensado é o que a carta diz e não diz. Mas quem será aquele outro vira latas? Marina ainda pede foto da outra – Alice[33]. Num e-mail registado: “Se puder [você, Celso], mande-me fotos ou vídeos de Alice. Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”. Será verdade? Uma inquebrável lembrança de Celso, uma só vez, Marina tocara piano com ele, a quatro mãos[34]. Celso poderá ter reparado (n)o vaso, a dado passo. Pode ter tido outra imagem fixada à Alice, de então. Seria aquele vaso que “amava”, ou Alice[35], uma figura magnética? “Para fugir de mil perigos”, a quem não faltou Alice? Alice usou “ampolas e unguentos, magos e poções”[36]? Cuidadora, Alice, com Celso, representado nos rapazes com pássaros feridos[37]? Em suma, pareceria a Celso não existir punção operada ou poder maior, quando os relacionamentos morrem, ainda que os vasos sejam compostos de cacos que se colam: “Não posso reparar o irreparável”[38]. No entanto, Celso conhecia a técnica das peças coladas do Japão - a técnica do kintsugi[39]. Observou, até mesmo o outro vaso por si trazido com os gerânios, da sua antiga casa… “Distancia que se perde. Vaso que se encontra…”[40] Na ficção, a fiação tudo interliga “Vimos a fiação que tudo interliga. Semântica e sintaxe”[41]. Dos golpes de génio ficcional e da sangrenta História, Marco Lucchesi concebeu comparações, em que “mudam as guerras”[42] e as linguagens. Numa realidade de rapto, guerra e paixão, o poema épico transcende o amor passado que eterniza. Homero fundador da literatura ocidental, numa autêntica carnificina, a incerta “Guerra de Troia”, contou com Ájax[43] dentro do cavalo, dando guerra (infinita)[44] a Heitor, o destemido troiano, incapaz de lhe perfurar o escudo. A guerra teve que ser interrompida ao pôr do sol, intervindo Apolo. Do inicial “pomo de discórdia” entre deusas até aos feitos, nove anos passados em guerra, Ájax é “muralha”. A Ilíada evidencia que esmagou o escudo de Heitor, com uma só pedra. Quem sabe se Celso seria uma barreira inexpugnável, de tão “glacial”[45], que se tornou? Numa contenda, para o romance histórico, de 1865 e 1869, Liev Tolstói cruzou aqueles que se amaram, na passagem do Grande Cometa, em 1811: na invasão napoleónica, em 1812, a personagem recorrente, Pierre encontra-se com a bela Natacha, aparentemente apaixonada por Boris, amada por Denisov. Como foi possível a “guerra sem paz”[46]? Celso e Marina viveram dessa “Guerra de quase e talvez”[47], no que foi a “guerra que nos mata”[48]. Lendários amores infelizes e apaixonados, trágicos, na bárbara Idade Média (século V a século XV)? Tristão («tristeza») e Isolda (“das mãos de fada”)[49]. E o Rei Marcos que a perdeu[50]. Guerras nos ensaios não-ficcionais e nas ficções. Já a estranha paixão da cantora Molly e Leopold termina com o “sim” dela, apenas num solilóquio. O corpo de Molly – no livro de James Joyce - seria “sensual”[51], no que ressalta o “incêndio” interior. Divergências? Foi numa dada “tarde”, vinte anos passados, que a caixa eletrónica de Celso recebe um primeiro e-mail de Marina. Iria acabar com a guerra entre ambos. Não parece de comparar com a ficção? Marina e Celso encontrar-se-iam no fim da “guerra fria”[52], em data marcada pela queda do muro de Berlim, 9 de novembro de 1989. Numa Rádio Londres, com “mensagem de Inglaterra aos aliados”, durante a longínqua Segunda Guerra Mundial, ele passava a escutar outra transmissão no rádio bem comum, no sistema analógico. Um sinal da mensagem dela, vulgar. Metáforas básicas da descrição do real Quando se coloque uma figura de estilo, cujos sentidos figurados utilizem comparações como a “metáfora do corpo em lua cheia”[53], é a Lua “tão nua e desarmada a vaporosa Lua”. A pessoa é então toda inteira, se bem que a Lua seja fragmentada noutra fase lunar. Damo-nos a facetas diversas, também. E a não ser a transição de fase a mesma daquela grande lua, Marco Lucchesi ainda afrontou a perda irreparável de parte dela, por Celso, num desaforo: “se você esperava tapetes e fanfarras, perdeu a viagem. Abandonei a timidez, digo o que penso, e sem rodeios.”[54] Dada a acentuada guerra entre Celso e Marina, ao referencial “real”, preferi antes juntar à lua a palavra “viagem” e a palavra “mundo”, no que coloco mais do que o que (a)parece – numa alegoria. Assim, na minha perceção subjetiva, uma fenomenologia, ocorreu algo mais a aprofundar. Nessa viragem, limito mais do que o que se me abra à fixação de “guerra”, quando se sucedam figuras de estilo, no livro[55]. Num jogo de linguagem, retiro a desafogada imagem concreta: o passeio na praia, junto da Cinelândia e o que faço? No termo metafórico duma “psicologia de viagem-vida”, encontro logo ali o figurativo, portanto, com os rodeios à casa velha de Celso, com os eventos no trânsito, com as margens do mar face à praia. Meios mundos são a frente “subaquático”[56] e outros territórios e sítios. Poderia convocar imensos espaços de transição, imaginando[57] além de um “mundo submarino”[58]. Lucchesi tantas vezes observa “estrelas”, algumas “estrelas não promissoras”[59]… Voltando ao avesso, na Terra, à “viagem à roda do piano e do quarto”[60], essas são breves viagens e têm fim. Contudo, é dada à incompletude a infinita “viagem à roda dos teus olhos, punhado de beleza, informe, passageira”[61]. Numa estranha viagem de recuo (na revirada do avesso), focada uma “correspondência” sem troca, é de antemão inviabilizado o “sim” e a chegada a bom porto[62]? Da presença na ausência de Marina: tempo de sonho e pesadelo Como “resumir” os “20 anos”[63] de afastamento? Um desapego de “dez mil dias”, após o “terremoto”. “Dez mil dias” sem se falarem? Pretendo dar forma ao texto, quando pense que uma correspondência convencionada abranja reciprocidade e presença, ainda que evitada a “literatice”[64] e o “episódico”. Não “agradará” ao narrador contar das cartas, para se livrar efetivamente delas. Ameaça que irá “destruí-las”. Celso foi intempestivo, aquando do primeiro e-mail de Marina[65], após aqueles vinte anos de alheamento dela… O livro Marina reproduz a reduzida “novela”[66] de singelas cartas e e-mails. Passado o texto a pente fino, no segundo e-mail de Celso, este redige uma desculpa: “Perdi tudo, não sei como. Preciso de um novo computador. Como se não bastassem formigas e cupins. Obstinado, insisto e recupero apenas uma parte”[67]. Numa convencional “não-narrativa”, coloco a tónica na congruência e na intencional, quando seja a “dissonância”[68] desarmante de “lirismos”. Alcançada a agressividade, a crítica mordaz, a sagacidade e o ardil… Frente ao quebra-cabeças, pede-se abertura (de espírito), quando se leia o “romance de ideias”, no pensamento do ser (em Parménides e Heidegger). Na dimensão emocional, a obra de resiliência traz-me a consciência da artificialidade da ficção. Cubro de culpas a protagonista Marina. Coloco logo a poção de amor viático, um mantimento para sustento num “líquido destino”[69]. Logo passa a parecer-me que “essa viagem nunca termina”[70], numa entusiástica volta no carrocel do mundo, num “eterno retorno”[71]. Essa segunda vez que é nomeado o eterno, dá-me esperança, ainda que Celso assuma: … “não quero este destino circular”. ~ E eu quero! Se o “nosso encontro não estava escrito [no destino] … Não houve um deus a decidir nosso destino, nem brilho de uma estrela promissora. Deixámos simplesmente de escrevê-lo [ao destino]”[72]. Escrevamos o que desejemos, então, por linhas tortas. Há ocasiões, em que um sonho se repete e elucida algo[73]… As produções estéticas de artistas foram os produtos de imaginações, ainda que acreditassem ser ajudados pelo diabo, por um santo ou pelo próprio sonho avassalador e as visões enigmáticas. Giuseppe Tartini (1692 - 1770), William Blake (1757 - 1827) ou o cavaleiro Adolf von Menzel (1815 - 1905) são exemplos elucidativos do pensamento mágico dominante, nos séculos XVIII e XIX. Há quase 100 anos, o psicanalista Carl Jung[74] escreveu o seguinte, com um sentido determinista do sonho: “uma experiência anómala, que não é compreendida permanece uma mera ocorrência; compreendida torna-se uma experiência [humana excecional] vivida”. Uma característica desse tipo de experiências únicas é serem inefáveis, mal descritas. Inefáveis ilações, na sombra que vira a luz? Posso recuar atrás, ao sonho e ao tempo de Píndaro[75]. O que alcançou aquele da Verdade, quando viveu entre 522 e 443 antes da nossa era? Com Píndaro, ficou assente que “[no humano] sonho é uma sombra”. Assim colocado, “sombra” opõe-se a brilho, a luz, quando a “verdade” seja ofuscada, esboroada na obscuridade. E na medida em que seja ausente um sentido puro para as palavras, damo-nos a alegorias, a metáforas, da “transparência” da palavra, da luz ao sábio recuo paradoxal. Possa o sonho ser “iluminação”, tal Marina, duma “beleza transitiva”[76], entre as luas cheias. Marina conforma aquilo[77], o deslocado pela sombra, quando fuja a juventude, na transitória impermanência. Que espelho da “verdade”? Logo na primeira configuração, se o par não foi (ou foi?) um “espelho inverso”[78], Marina chega a ser retratada no vidro fosco, na “transformação [dela] num espelho”[79]– “uma Gioconda cheia de segredos”, representada pelo impressionista Eliseu Visconti, em Gioventü. Indecidíveis formatos. Como abordar palavras guardadas num “poço” que, a ser “raso”[80], sempre igual e espalmado, lembra o “infinito” do “abismo (líquido)”[81], entre duas pessoas que “comunicam”[82]? 2 Analise textual de marina O método de analisar textos “Coerência” traduz a ideia, cunhada pelo psicoterapeuta Carl Rogers (1902 – 1987), em que o participante apresente um relato de experiência bem estruturada - lógica, a faceta cognitiva e interpretativa, uma significação de peso na experiência “arrumada”. Na narrativa literária, a noção de “coerência” coloca-se, no antigo Dicionário de teoria da narrativa[83]: “texto como unidade no processo comunicativo, resultante de intenções e estratégias comunicativas específicas, ele é também um texto semanticamente coerente... elementos recorrentes… não integralmente redundante… progressão de informação no interior de um texto … na ‘enciclopédia’ do recetor”[84]. Na nova literatura, Marina alude o “vórtice” do redemoinho amoroso de Celso e Marina, o forte movimento do “terramoto” bem rápido, cruzado com a empolgante sonoridade das bravas ondas. Marina retém uma imensa fluidez, em torno dum eixo fixado ao vórtice entre ambos. Sorvida a voragem sentimental no turbilhão do mar, noutra asserção a “vórtice” – um turbilhão, o fenómeno “incoerente” trespassa a vitalidade dos movimentos guerreiros de “homens”, nos tempos atuais. Onde encontrar uma “secreta harmonia”[85]? Em mulheres, no desaguisado com homens? “Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado”[86]. Seremos bem menos coerentes do que se pensou, tanto mulheres quanto homens. Todos nós, humanos, somos sujeitos de analogias. Com o “corpo inelutável”[87] de Marina, que foi o “corpo em fuga” e se encontra ao lado do seu, Celso é já do outro lado. Seja que suba ele à Tocata e Fuga em ré menor, de Bach[88]? A inconsistência é presente na ausência de outrem. Outra mexida foi dada ao mundo amoroso, com as híbridas histórias-ficções, realidades e alternativas. Na alternativa ao modo de organização de “identidade do ‘eu’ estacionário”, sem fluidez de maior, teríamos a fixação eterna. Um risco pode ser nem encararmos a vida sujeita a contingências/acasos – o sem ganhar folgo, “… e, de repente… o sobressalto”. Em Marina, o leitor transcende o sabido (ontológico) e o instituído “romance”, o que não pressupõe que todos os planos sejam antecipadamente traçados. Não sabemos se Marina nos deixou. Ela foi a “glória de um destino”[89]? Um famigerado destino? Um Deus não decide do destino do par amoroso[90]. “Desconheço a direção [do futuro, indeterminado]. Soubesse de uma senha [mágica, um código … e o controlaria Celso. No fluxo permanente de mudança, já o passado e o devir são escapes [na aparente “fuga”], uma “disfunção” no presente [na fantasia inviável]. Porque não viver o aqui-e-agora? Amplificado o tempo, a “hipertrofia…”, é inviável a luta interior, “contra a qual luta o presente”[91]. “Deu-se por fim a glória de um destino. Porque, Marina, os relógios não morrem”[92]. “O vento segue os rumos do destino [ou da predisposição de sorte]”[93], tão mais improvável do que a precisão do tempo dos relógios. Abordagem narrativa na psicologia Numa aproximação literária, na psicologia narrativa, “as personagens são os elementos permanentes que sustentam o desenrolar do enredo”[94]. Nem as personagens fogem, nem restam fragmentadas, na “transparência da voz”[95]. Quem fale no esqueleto narrativo, pensa em episódios de um “guião” (scripts) identitário ou coletivo e, para a “narrativa de perda”, em Celso, congrega-se uma “organização de significado”, no que dê conta de mudanças dessa organização afetiva e psicológica, tão frequente e intensa de privação, podendo tornar-se duradoura ou reatar uma mera ocorrência súbita. O presente texto sobre Marina apresenta “fenómenos” talhados. Dito de outro modo, dá corpo a “ideias centrais, ao happening, ao incidente em torno do qual um conjunto de ações e de interações são dirigidas, com vista a serem reconhecidas, geridas e integradas, ou com as quais um conjunto de ações se relaciona”[96]. Numa forma de encontrar e descobrir ocorrências, farei um parêntesis para o que sabemos de um autor. Na sua suspensão de ideias feitas, como nos “lugares comuns”, nos “hiatos” e nos “silêncios”, o que “lemos” nos não ditos, sem um código? Para o efeito enredado, temos a ajuda de comparações constantes, numa “codificação aberta” do texto. Utilizam-se atributos/características para as palavras todas inteiras e para a variabilidade de significados não ficar de fora. E as “palavras (sem) envelope”, plenas de pregnância e fugidias, impõem afundar numa rigorosa análise linha-a-linha. Haverá ainda que conceber dimensões gerais, para “linhas-da-história”, duma ou doutra mini narrativa ou história, em Marina, o “tempo eterno” e o imparável “relógio dos ponteiros”; a vida e a morte; a terra e o mar, a nuvem e a pedra, o fogo do amor e as suas cinzas… Ao “questionar” os dados/textos, no aprofundamento que se justifica, efetuam-se as aludidas “comparações constantes entre fenómenos”. Da projeção, da narrativa e do episódio Em Marina, identificam-se esparsas narrativas míticas, nas guerras e nos amores. No amor, o “projetado” Orfeu[97] chega a parecer ser Celso, na sua ânsia de que Marina não morra …[98]. Celso poder-se-á sentir, noutra volta, um Marcus[99], chegando tarde, perdida Isolda, amante de Tristão[100]. “Pobre rei Marcos. Tão tarde descobriu o desamor”[101]. Marina não é escrito na primeira pessoa, autorreferenciada. Discriminada a faceta “projetiva” (ex.: uma pessoa não específica ou segunda pessoa, outros, alguém de quem se fala ou escreve): Marina ou Alice descobrem-se entre uma “Gioconda cheia de segredos”, uma Molly, o “verbo infinito”, na “voz” da cantora. Um eco repetido da voz dela, Marina. O narrador e Marina “nadam no monólogo de Molly”[102]. É preciso dizer que “não sei até que ponto lembro da tua voz [Marina]”[103]. Dito de outro modo, Celso mal se recorda do que Marina “disse/diz”, repetidamente. Falhou a voz e “deixou de dizer”[104]. Por seu lado, os episódios reais reportam-se às mínimas ações/interações, as quais podem ser relatos de experiências significativas, por vezes truncadas nas premissas, donde a maior ou menor coerência lógica ou consistência lógica. Quando as palavras chegam a mudar de estado, digamos, aluadas, tornam-se “líquidas, turvas, transparentes”[105]. Passam palavras estranhas pela fluência de selves (“múltiplos eus”, mentais e subjetivos), transformações identitárias. Apreender-se-ão coerências doutros implícitos, aspetos tácitos e inaudíveis da daqui e dali. Narrativa episódica A partir dos fenómenos esparsos, no grosso volume da vida, alcançamos registos de realizações pessoais e dos impedimentos, destinos e acasos, sortes e desaires. Foi a partir dessas constatações que distingui os fenómenos de meros episódios, nas narrativas/histórias, que lembram “todo o texto mostrar de forma holística as cognições e os processos emocionais do autor”[106]. O que se designou de plot (na língua inglesa) para um “episódio”, portanto, vai de encontro à narrativa, ao deparar-se o leitor com uma sequência de eventos ao longo do tempo (“sucessão”), para um “texto”[107], mesmo no mínimo “enredo”[108]. Na forma bem estruturada, visou-se o elemento sequencial e dinâmico, na literatura (na lógica, “gramática” ou “sintaxe”), considerado o episódio o “único esqueleto indispensável” e “menos variável”[109]. A variabilidade de Marina encontra-se nas intercaladas unidades de significado/segmentos de tópico, nas breves temáticas, as quais identificam a substituição de conteúdos, nos registos escritos por Celso. Acresce haver processos narrativos de vários modos evidenciados, no sentir, no experienciar e no pensar: a “descrição externa/concreta de acontecimentos de vida (atuais ou imaginados / passados, presentes ou futuros); a “descrição interna experiencial” (subjetiva), de episódios/narrativas, com a identificação verbal de “reações afetivas e/ou estados emocionais” (ex.: “triste”, “zangado”, “frustrada”, etc.); e a “análise reflexiva/interpretativa da descrição de eventos e/ou da experiência subjetiva, sendo os eventos presentes, passados ou futuros”[110]. No primeiro domínio narrativo, a ênfase no sentir alcança menor complexidade do que o experienciar (interno) e o refletir/pensar. Episódios mínimos Após o desenlace por afastamento, surge um episódio elaborado quase no final do livro. Possui a tónica na conduta de Celso, antes da adesão ao refletido, somente após a imersão interior num quadro e num cenário: Episódio - Título Promessa de calor na aflição dela: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite (p. 91). Registei outros episódios relatados, com mais de “vinte anos”, exceto o primeiro, possivelmente mais recente: (1) Aflições de Celso no mar[111]; (2) Celso e Marina nadaram no mar e, sentir-se-iam “alegres”, possivelmente ao saírem para a praia[112]; (3) “Mística do encontro” de dois “tímidos” (“dissemos algo escasso, imponderável ... o clima, as gentes, a história”)[113]; e (4) Aludidos passeios de bicicleta[114]. Na narrativa criam-se então replays de experiência, quando se atenda ao “eu” subjetivo frente ao quotidiano, a rituais e a “inéditos”, como nos encontros a dois. Somente o episódio de Celso sozinho e aflito no mar não correu bem. Será invencível o revolto mar e a doença de coração: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[115]. E se é tremendo o risco de morte no mar bravo, não é impossível lutar a dois contra o tempestuoso. O que nem quer dizer deixar de ter mão para apagar aquela ou outra terrível imagem recordada. Afinal, qualquer um sonha com “você”[116]. Ora aquele primeiro “episódio de ‘sonho’”, mas pavoroso, é ilustrativo do mundo irreal, na forma “narrativa”[117]: “um belo dia quase me fui na onda[118] de seis metros. Eu me livrei a muito custo. Um sonho breve que o sal interrompeu. Vantagem provisória...” é acordar. Já o fustigou o voraz turbilhão real da ameaça e perigo no medo da morte dela, quando volte a passar ao mar… Deixar de ser, naquela praia – que “quase levou” Marina … e que é a mesma praia, que “seduz” o narrador[119]. O perigo de afogar-se na praia é real e irreal. Anotei ilações, decorrentes interpretações do texto, nas expressões do autor: (1) Risco frente ao mar[120]; (2) Juventude, em que se possa morrer com alegria[121]; (3) Encontros, fruto de “um milagre matemático… acaso e o seu mistério”[122]; e (4) A bicicleta que “morreu”[123]? A bicicleta? Um indicador do encontro com Marina: “Passeio de bicicleta. Voa o vestido azul. Essa viagem nunca termina”[124]. Noutra apropriação do contexto, o par poderia [ver] “baleias”, ao longe, “delicadas” [125], quando iam pedalando na “bicicleta” … Num contrassenso forjado na comparação, a bicicleta dele era um “cavalo”[126]? Antes dela “morrer”[127], melhor dito, “enferrujar”[128]. Na transição de pensamentos, afetos à morte: “Não há resumo para a última carta. Porque esta é uma carta definitiva. Porque se trata da morte de Marina”[129]. E adiante: “Imploro, Marina, que não morras antes de morrer”[130]. Ficaria ela sem maior sentido de vida? A viragem de alegre “surpresa” chegou a ser concebida, numa anterior “carta destroçada”, restos do que ficou dentro do “caderno escolar” e “cujos pedaços recomponho num mosaico bizantino”[131]: “Carta de amor (desesperado) que rasguei: “...pousa nos lábios uma estrela... secreta harmonia... deserto amanhecer... teu corpo inelutável... lagoa iluminada e seios úmidos... bosque sutil... pequena morte... jogo de espelhos e palavras... teu rosto desenhado no meu peito... à mesa um copo de absinto... duas palavras e voltamos a dormir... infame precipício...” (p. 86). Os procedimentos de análise de experiências são guias de leitura, no que prendem o elucidado “desespero”, o isolamento e o limitado prazer de Celso, quando a vida pudesse afigurar-se um pesado fardo, irado contra Marina, contra o violento mar, o amor eterno… A súmula de alegria - a “surpresa” … Num resumo analítico[132], estabelecem-se relações entre um fenómeno, no sentido da conceção de um episódio. Donde, uma ilustração de seis fatores envolvidos, no episódio Promessa de calor na aflição dela[133]: - Condições causais antecedentes, para a ocorrência reportada (antes do amanhecer, já levantado Celso da areia da praia onde dormiu, ao despontar do sol); - Fenómeno per se (“sacudidos ossos” ao sol, no limite do ser, entre eternas rochas, com a ausência de Marina); - Contexto (a praia junto ao mar ensoleirado); - Estratégias somente idealizadas de ação interativa (ser tomada Marina por indefesa a proteger, no que Celso escreve da sua possibilidade de “ajuda”); - Condições intervenientes (quadro “menino com pássaro” de Portinari…), - O que constrange ou facilita o incidente/fenómeno (recordações de encontros com Marina, num local partilhado e o fenómeno de imaginar um quadro) e - Condições consequentes (a dificuldade de continuar pela noite, sem a presença de Marina e a fixada promessa de calor humano). Nessa leitura duma abstração da experiência, um episódio pode ser idealmente estruturado, se bem que escapem as estratégias de ação interativa. Noutra margem encontram-se a filosofia (de Parménides e Heidegger), o jogo com textos míticos (Ájaz, Rei Marcus…). No “romance de ideias” de Marco Lucchesi, são vastos os domínios de conhecimento. Com o autor aprendi que, ao não aceder a “coisas em si”, tenho as coisas para mim e, talvez, nos apareçam amores e guerras, por prismas do entendimento e da sensibilidade. Dos fenómenos - as aparências - “O que sei?” No quotidiano, sei que vivemos de forma a criarmos conexões entre inauditos episódios, flashbacks, substituições de interesses/temáticas nem buscadas, redundâncias e omissões (como “lacunas de memória”), numa apreensão do que nisso assuma perene “relevância”. O núcleo duro, o “essencial”[134], segundo o autor? “Perdemos as palavras essenciais”[135]. Perdemos “baleias” naquele mar alto, enferrujaram-se as “bicicletas” e desapareceu o “corpo feminino em fuga”[136]. As cartas dizem muito “mais do que parece”[137]. 3 Do mundo poético “Tornei-me um leitor de Parmênides”[138] e de Heidegger No mundo eterno, Parménides colocou o “motor imóvel” do tempo, o “livre-arbítrio”[139], o “cálculo integral”[140] … “causa e concausa”[141] … “tudo em tudo”[142]… Bastará “puxarmos o fio…”[143]? Numa passagem paradoxal da breve (?) “novela”[144], logo vemos como “tudo muda” no (des)encontro, a par de “rádios, guerras, amores”[145]. Não há confissão, não há reparação, na “narrativa não projetiva”. As “narrativas” antes partem dela[146], nos “lugares comuns”[147], registados nas mensagens. O que procura despertar Celso? “A voz de quem morreu, não as histórias”[148]. Bastaria o alcance da superfície, na “voz” dela[149]… No início de Marina, nem se espera a finalização do encontro. Não é desejado o fim do amor. Um mal irremediável. Terá morrido? Obra de “criatividade” dissonante face a espectativas de cartas de amor, Marco Lucchesi coloca-nos a margem de manobra, uma deriva, mudado Celso em permanência e, nesse sentido, as suas posições emocionais básicas são sublevadas e revoltosas, sublimadas, substituídas. Existentia, como a explicitar? Quando numa página inicial, não numerada, o autor nomeia um filósofo italiano, Emanuele Severino (1929 - 2020), que escreveu sobre Martin Heidegger, que exploração de fenómenos “metafísicos”? Martin Heidegger[150], de que trata? Li algures que Heidegger se interessou por “atualidade, realidade, em oposição a possibilidade concebida como ideia”. Ser é a totalidade do que existe. “Aí onde está cada um de nós” - da sein, seria o lugar da nossa presença, duplicada pela sombra da subjetividade. Subjetividade é o vivido que torna algo maior, quanto dá à presença novas formas afetivo-cognitivas. Mundos universais musicais Tenho aquela “vontade” de mudar o passado[151] e de criar uma ideia prospetiva de florescimento. Do mito de amor a Marina, nem estranho virem três damas dar uma flauta a um príncipe, Tamino, que buscará a sua amada. A harmonia da música condensa o “universal”, atingidos géneros e variadas “vozes” trocadas, na “Flauta Mágica”, de Mozart (1756 – 1791). O poder unificador da música é uma metáfora para o príncipe neutralizar o mal. Outra das óperas que acompanham Celso? A ópera de Verdi (1813 – 1901)? Recuo, à procura de La forza del destino, de 1862, cantado por Galina Gorchakova. Será que soubemos escutar o ciciado na voz da atualidade e o que nem se abra ao previsível, no acaso, sem destino[152]? Vozes pessoais de visionários? Na aparência, as palavras são soltas numa poéticas. Meia página abala o leitor. Meia página, umas quantas linhas de “voz”[153] , “voz marinha”, vinda do mar, submarina. Marina. Na “poética da dissonância”, fica aberta a superfície ao “espaço descontínuo”, criado por Lucchesi para ela[154]. A inatingível voz dela? Não sabemos. Na aceção do termo “fragmento”, Heidegger sublinharia essa origem deslocada de textos únicos e incompletos, que deixam espaço por concretizar. Escritores como Lucchesi, coligindo fragmentos, escapam às “correntes literárias”, “movimentos identitários” e “evidências” repetidas. Um significado de recusa de continuidade no vestígio escrito, fragmentado, foi adquirido no mar, que não é terra firme. Todavia, com “intencionalidade”[155] na voz, “nunca poderemos deixar o mundo, o que nunca deixámos”[156], o mundo terreno. Numa particular fenomenologia[157], poder-se-á conceber a “suspensão de julgá-lo”. Como não julgar o mundo do pensamento oblíquo, da metafísica passada? Ficando pela rama, na área concreta, terrena (não marítima, à beira mar, o que “sobrenada” ...). No que importa, não estamos nós fora de água? É de todo difícil alcançar maneira de arrancar o “pensamento de superfície”, também a superfície da página de Marina encante, pela superfície que cobre os reflexos incessantes, os jogos de reflexos, como ilusões e evasões, que surgem e desaparecem. Se não for atingido o que aparece antes do fundo das letras, ficamos aquém de imergir: foi muito antes que Parménides e Heidegger viveram. É preciso dizer que a superfície não se confunde com a aparência - a realidade energética, a dança terreste, da vida dançante[158]. A máscara de Marina já arrasta a ilusão do que aflora (a superfície) – a “transparência da voz”[159]. Esconde-se ela algures, no “re-dobrar” do seu ser[160]. A sua aparência causar-me-ia a diligência em “lê-la” a preceito. A voltar a Parménides e Heidegger, a profundidade[161] do livro dá antes a explorar o ser e as coisas[162], ao invés da superfície (mas com a superfície), a sua luminosidade. Quando a metáfora da luz (do dia, do Sol, da Lua promissora do brilho dos olhos verdes…) não encontra um reino perdido que persiga o ser, quantas ideias ficam subterradas e obscuras ao leitor? Foi a partir daquele ilusório mundo de reflexos (a superfície), que alcancei a incerta profundidade. Será o outro mundo (“marinho”) contrastado ao ilusório da realidade e ainda aquele outro mundo perdura, mutável e instável, matizado de cor intensa e de brilho ténue de águas passadas. Quanto ao retorno à superfície, ao aparecer, no emergir de novo, volta a agitação do mar emocional, que se ressente, no que permanece do eterno esvaziamento. Ficou um poço vazio daquele outro momento de amor ou do que dele reste nas rochas imutáveis. “Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”[163]. Quando “aparecer é um compromisso metafísico”? A “metafísica” foi além de physis. Cientistas designam a metafísica de “especulação” de ideias, tantas vezes incertas, com que se debatam. O que se entende por “real” é, nesse segundo sentido, o que ultrapassa a “realidade” que conhecemos por perceção (inter)subjetiva. O real é um referencial profundo[164]e infinito; a realidade é o que conhecemos ou julgamos conhecer. Numa mediação poética para a metafísica, “aparecer” situa a presença original no mundo do ser, sendo que o mundo adote a incerteza na errância (e na morada no novo mundo). ~ Quanto “aparecer” vive acima da superfície e da aparência das coisas, é o ser que reflete um inóspito caminho de linguagem reflexiva, aproximativa e assintótica[165]. No ato de escrever, Marco Lucchesi delineou-me a possibilidade de especulação, a liberdade crítica e a ironia, abertas portas à metafísica fenomenológica. O existir em processo trouxera-me antes outros saberes e, nos espaços do mundo daqui, foi indicada a deslocação para a saída de “ex-” (em “existir”). Entretanto, aprendi que existir alcança o sentido de “pôr-se de pé”, de acordo com a etimologia. Num apelo a erguer-se (pondo-se de pé), já o próprio ser permanece em lugar recôndito, na condição de vir a aliar o desvelamento do ente – objeto, coisa, um ser, Marina... Outros “reivindicam” para si o “estar-aí” (da-sein), dito que todos “querem, buscam, sonham com você” [Marina], um corpo no que não “fuja”[166], na errância noturna. Consequência da fuga da luz? Será ela dada a “despertar” outra, a emergente Marina de Celso? Encontra-se ela ausente, no que seria de voltar a abordar a limpidez, a superfície, a “transparência”[167] da constelação “prometida” de dois seres. Uma forma de profundidade incompleta. Numa lúcida forma de escrita, patamar de sonho lúcido, Celso encontra-se em guarda. O narrador não deseja “despertar [vidas escritas]” … Talvez busque tão somente a “voz” dela, naquele eco, em que ressoa a limpidez, alcançará outra “voz”. A quem dar “voz”? A Molly, no seu solilóquio, na primeira pessoa[168]. Molly, uma inigualável cantora de ópera; Marina, de que nem sabe Celso se se lembra… da voz, dada à imagem fugidia na melodia, ao piano[169]. O que passou não se encravou. No ser em mudança, serão cristalizadas mínimas recordações, rareando “o caminho da verdade”[170], sem saída (uma aporia) tantas vezes paradoxal. Guerras dos mundos de ideias As ideias “verdadeiras” e as guerras de “opiniões” não se consolidam, nas correntes do paradoxo. Conjugam batalhas sem fim: Parménides e Zenão vs. Platão; Nicolau de Cusa vs. os que não cooperavam… Numa oposição ao seu tempo, questão cerrada e a descoberto, foi a permanência e a transformação. Parménides reteve a pura permanência, unilateral. Exigente na “ponderação”, Platão (428/427 – 348/347 a.C.) dedicou-lhe um diálogo inteiro - Parménides, em que Sócrates levou uma revisão verbal dum oponente, Zenão de Eleia (século V a.C.), para o efeito de inquirir o sentido do Uno, cujas “absurdas consequências seguem (ou não seguem?) em contradição com a referida doutrina”[171]. E se o ser é múltiplo? “Parménides”, um arauto da “revolução”? Esse é um ponto de um “resumo” do livro. Sendo que o germe da destruição estivesse plantado[172], que revisões foram geradas, a propósito das suas ideias? O que queriam mostrar os eleatas, com Zenão adiante das forças, o arauto da geometria e dos estranhos números, o infinito e o zero? Uma revolução, no conceito de tempo: fluxo constante e deixa de haver presente? O paradoxo de Zenão assinala o contrário à opinião recebida e comum, para o tempo virar uma sequência de mínimos momentos separados, donde vivermos o presente e a mudança ser ilusão. Quanto ao espaço? Sendo uno, não dá condições a haver “lugar” e “aqui”. No espaço fragmentado só há “aqui”, ausente o movimento. A revolução tem sentido no paradoxo, forjadas inesperadas dissensões. “Mudam [os tempos e] as guerras”[173]. No século XV, novo sobressalto. Gerador de ódios por contemporâneos, Nicolau de Cusa (1401 – 1464) alarmou muitos, pelo acento na compatibilidade entre extremos. Encarou a conjetura de “opostos”[174], dicotomizado o mundo por valores antagónicos, quando se creia num ponto de vista considerado válido. Nova batalha. Era Napoleónica, em França e na Europa, no ano VIII (ou, no calendário vigente, datado a 9 de novembro de 1799). Contrastaram adesões e oposições a Napoleão, herói e anti-herói, arrebatado o poder no golpe “18 do Brumário”[175]. As mudanças foram inquestionáveis, com a chefia e as saradas guerras. A guerra entre Marina e Celso não foi uma constante, também não persistiu. No foco da maior peleja, a distância a Marina[176] antecedeu outra circunstância: o entendimento de “como [Celso] se vê”[177]. Num “sinal de transição, de deslocamento”[178], veio de Celso a afirmação séria, numa trégua consigo mesmo: “já não habito na distância”[179]. Anteriormente, despedir-se-ia dela, como um Catulo[180], numa linguagem coloquial, sem intensidade e sem profundidade maior… Poderia estar a recuperar o “habitar”, junto dela. Existirem compatibilizados, nas suas oposições, requer o significado: “habitar”. Talvez se encontre algures, na linguagem. Para “morar”, fica bem longínqua a raiz etimológica, no sânscrito - vatami -, cujo termo alemão é wesen. Dir-se-ia que Celso possa já “estar-aí” (da-sein)[181]. No seu lugar - aí -, à fluência não lhe faltará diferença. Como expor uma diferença melhor do que com o ruído feito pelas diferenças da fala e do canto de Celso e Marina? Revejo a aliança, a separação, o que nem quer significar uma divisão de opostos. Há uma distinção nas “vozes”, para um sistema caótico, em várias escalas de linguagens. A organização de mundos No século XXI, em 2023, há ordem para parar e avançar no terreno do ser. “Há mais de dois milénios…”. Heidegger[182] introduziu essa conjetura perdurante[183], nas primeiras palavras de Ser e Tempo. Fora há muito “esquecido” o que surgira em Parménides, uma abstração – Poema – “onde se encontra o ser e o ente”? Ente pode ser objeto, coisa, ser … E o ser é o mais próximo do ser humano, sem que seja “um Deus ou um fundamento do mundo”[184]. Não existe um ente sem um ser. Acresce perguntar: “o que significa pensar?”[185]. Pensa-se em alguém, um ser, enquanto as guerras matam pessoas. Desde que a nossa imaginação pejou o mundo de deuses, entre ninfas, dragões ou quimeras, foi feita a equação, pelo menos: esquecido o humano. Não neutro, mas esclarecido, Heidegger rebelou-se contra ter sido minada essa incógnita do mundo – o ser, o guardião da questão[186]. Colocado o tão saliente à parte (o ser) e juntas as palavras a ideais, “ordenaram-se” melhor as coisas. Nessa incessante transformação, contra as utopias, foram cometidas “supressões” de coisas, acrescentos de quimeras, os “suplementos”, esquecidas possíveis “deformações”[187]. Aguardado o alvorecer da modernidade líquida, após a linha humanista dos anos sessenta do século passado, ainda seria antecipado o outro tempo do ser frágil, das diferenças e vulnerabilidades acrescidas. Vemos superada a razão não linear, o princípio da não-contradição[188], a alinhar o excluído. Arrastamos até mesmo para a paz a “coincidência de opostos”[189]. No reiterado pensamento ímpar de Lucchesi, um visionário de saberes ontológicos, preside o ser humano que é pensado, dito que ser e não ser não sejam iguais. Os seus conhecimentos são buscados entre um que é muitos[190]: ser e não ser e “ser de todo o ser”, na expressão de Giordano Bruno (1548 – 1600). Ruínas e salvação Um genial revolucionário, Giordano Bruno, foi o que retomara o ser, em On the infinite universe and worlds (“Sobre o infinito, o universo e os mundos”). Recordado num post scriptum[191], o opositor, Bruno, foi morto. Para mais escrevera “A ceia das cinzas”[192], em gritante contraste com o fogo da paixão. Deu-se ao desfecho inolvidável, à morte horrenda, após outra intrincada conjetura resistente à “ignorância” por dogmatismo e ceticismo do tempo. Bem além e aquém do “estar aí“, em substancial presença, o que resiste à fixação ao lugar encontra-se na imaginação, em múltiplas superfícies, no não linear, cujas diversas escalas se coloca Marina. Celso vive numa efetiva transição temporal, quando “o agora é um índice [indicador] da eternidade”[193]. Quando ainda se creia na “eternidade do mundo”[194], uma exceção. Enquanto nos insurgimos, Marina poderia “fixá-lo” ao passado em comum[195]. Na “correspondência” truncada, o narrador assumirá a perspetiva de “crer na eternidade do ser. Mundo sem fim e sem Deus. Essa é a ideia que me salva”[196]. Ademais, imaginar a “eternidade” não diz que não se “aclare a contingência” [197], o acaso, por contemplação intuitiva[198] e sensível. No perpétuo salto entre histos, reparo no ocaso do relacionamento, na paragem e esgotamento dum percurso: “[As cartas de Marina, “ibérica prudência”?] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo. Cartas inúteis e vazias! Abracem do não ser a eternidade!!”[199]. Creio no indecidível. Não cumpriremos todas as “promessas”, as coisas voltarão a ser as mesmas nas guerras e nos amores à beira mar: o “vestido azul”, a “pedra”, os “passeios” e as “bicicletas”[200]. Recordações e ilusões para “todas as cartas em princípio circular”[201]. “Quem sabe se…”[202], se “tudo se passa aquém da superfície”[203]? A verdade - domínio duplicado da aparência - agarra o “desvendamento”[204]. Da substância/essência não temos algo, além da aparência. E ainda que deixássemos há muito de atingir “as coisas em si”, vivemos demasiado no escuro em volta. Quanto muito, realizemos nova viragem às partes, quando “o passado é órfão do presente [índice de eternidade]”[205], no mundo compartimentado. Vivemos num “tempo inabordável”[206]. De forma paradoxal, deixámos o “museu”[207] e as “espécies” à solta, que diminuem com seres impreparados. Do ser e tempo[208] à nova hermenêutica, reatada “presença”, o que “aparece” no “compromisso metafísico” com o ser[209]? Numa filosofia para o século XX, o existencialismo ainda contou para O ser e o nada[210], no que importou o significado, o valor e o propósito da vida. Na época, avançado distanciamento/estranheza[211] face ao “teatro de sentimentos”. Na Europa, tanto “narrativa”, quanto “ficção” deram lugar ao “novo romance”[212], uma mistura de atores sociais e coletivos, de géneros misturados, uma “polifonia”[213]. A psicologia da vontade e a narrativa Na psicologia então emergente, William James[214] discriminara a “vontade de acreditar” do que queremos fazer “desacreditar” - o que seja convencionado para a época ou para a “troca” correspondida de “cartas” a e-mails, o que escape à explicação e/ou à compreensão[215]. Narrativa, na psicologia pós-racionalista, congregou a ideia de que “contadores de histórias” seriam os que estariam incrustados ao amor e ao sofrimento. Como sublinhado, nas teorias semânticas, havia outras “vozes” e “polifonias”, quando um discurso se enuncie. Fora enunciado. Ademais as (re)autorias e sensibilidades eram provenientes doutros domínios de saber, tomadas por empréstimo (nas teorias feministas, na narratologia, nas ciências sociais e humanas…). As temáticas ganharam sentidos segundos, o significado de ridículo e a ironia alcançou outra voz crítica, ainda com o romance de ideias. Com Laurence Stern[216] é possível “justificar” uns “resumos” dum Celso[217]. Os condensados foram ordenados, entre “ideias confusas”[218] dum amor límpido. Num modelo dos mundos emocionais e do “eu em processo”, as “organizações de significado pessoal” (OSP) remeteram, em fim de século, a "metáforas básicas da descrição do real”. Traduziram apreensões dinâmicas para “estrutura da personalidade” e consumaram “significados”, para formas de dar sentido à vida. O modelo OSP, de Vittorio Guidano Vittorio Guidano foi um psicoterapeuta romano, que viu a criatividade como possibilidade de transitarmos duma para outra organização de “significado pessoal”, da falta e perda à reorganização noutra emoção, talvez pelo receio da distanciação. Correu na margem de entendimentos do corpo e da culpa. Concebeu uma epistemologia, com Leslie Greenberg, Humberto Maturana, Michael Mahoney e Óscar Gonçalves. Numa visão emocional integradora, a faceta de experienciar a vida (I, em inglês; o nível de “eu experiencial”) nem se opôs mais a “significar” a experiência (a narrativa da experiência). Pode ser dado o exemplo buscado no que conheci em Guidano e num seu amigo, Leslie Greenberg, de saúde mental. Quando com eles estudei, partiram dde G. H. Mead[219], entre muitos outros. No sul africano Leslie Greenberg[220] senti a primazia conferida a existir, tão visceral, no âmago da experiência imediata, o "eu". Frente a frente ao vivido subjetivo, Vittorio Guidano[221] colocava-se noutro plano de conhecimento: o “mim reflexivo” (me, em inglês). Contrastava na relação à energia de Greenberg, uma “presença” por inteiro, uma conexão no momento, em níveis diversos (físico, emocional, cognitivo e espiritual), ou seja, havia uma consciência da plena experiência corporal e emocional, vontade de escuta ativa, busca de compreensão. Modelos para fazer mundo Na distância cavada, lemos que “a gota do mar é pequena, quando o tempo de ausência seja longo.” A memória nem se esvai na comparação e compreendido desgaste. O “piano – sobrenada”[222] … – voga à tona de água, assim sendo a memória[223], num “abismo líquido”[224]. Poderia ser a voz “atemporal”[225], inesquecível, aquela voz entretanto quebrada de Marina? Tendo lá permanecido uma presença, não se cravou… No incomensurável passar dos anos, quais “cardumes de palavras”[226], arrastaram “o vazio”[227]. A eternidade deixou de ser. Morreu um mundo terreno junto do mar. O eco imaginário de Marina, na ausência quedou-se. Existem as “rochas” [que] continuam imutáveis[228], fustigadas por ventos e marés. Do revolto mar à mata-bioma e às pedras encalhadas, sobressai o abandono, nas “correntes indomáveis”[229]. Celso, continente/recetáculo, sem mãos. Haja o que desapareça e volte com a “correnteza”[230]. Sem alcance do “mundo submarino”[231], as águas não brilham. Somente na “superfície” são “transparentes” [232] águas, para um mundo que foi desarticulado e fragmentado em partes. Como referido, no uno, teríamos um mundo total e eterno. Numa perspetiva particular, um amigo meu acentuou a condição física, metafórica e metafísica (“especulativa”) do ser. Sem ler Marina, António Maurício enfatizou o transitório – o humano para “ondas do mar” (o seu mundo parcial). Na expressão oral, coloquei as suas palavras de permeio, com parênteses retos, para elucidar o refletido do infinito: Em resumo, e metaforicamente, parece-me que [esse processo humano, dinâmico instável] tem semelhanças com o que acontece às ondas do mar[233] (…) configurações/formas locais e transitórias desse mar/suporte e alimento de todas as outras formas/configurações potencialmente possíveis do mesmo. Que podem nascer, crescer, viver/existir, reproduzir-se e morrer/deixar de ser/existir, porque são fenómenos/seres transitórios. (…) Mas não é por isso [por haver formas locais e transitórias de mar], que o mar/vácuo quântico/TAO/[234]o sem nome/... (pressuposto background/suporte/meio/ e fim de tudo o que é possível, e por isso intemporal, Total, global, cognoscível e/ou incognoscível), sem ser… seja redutível a qualquer aspeto antropomórfico[235] .... mas contendo-os... O meu amigo tem uma conceção física e de recipiente – o “vaso vazio”, o inamovível Uno[236]. Nessa substância, Maurício faz conter os mundos parciais contrastantes. Na “leitura desviante”, colocamos “entrelinhas”[237]. A “colocar parêntesis” no que se saiba ou julgue saber, houve um retorno ao mundo, no abalo cultural da consciência. Na aproximação a coisas[238], podemos condensar “cardumes de palavras”[239], no que sobreviveu unido, o par que se afastou: As “cartas deitam iodo [como o mar] e sal… [como lágrimas] [240]… novo sal”[241] Crescem as ondas que me arrastam para dentro [daquele mundo submerso]. Põe-se Celso “a nadar“[242]. [No mar] Haveria “… a correnteza“… e entretanto “as ondas sobem cada vez mais altas… Já não encontro salva-vidas. [Celso dirigindo-se a Marina, pede-lhe uma vez:] Nademos juntos”[243]… No relacionamento, terá havido … um “naufrágio e tempestade”[244]. Até no “perigo de [Celso] afogar-se na praia”[245]. Ergue-se, subleva-se ele, humano, que “não tem guelras nem escamas”[246] … No salva-vidas da terrena praia, onde não “para de chover” … “mal sei nadar em tanto azul… [Celso] Andava a saltar “nas rochas, acima do cinturão das algas”, mas mergulhara no mar, “quando é escassa a correnteza”[247]. “Caminho sobre a chuva, ondas revoltas [no mar], branca espuma”[248] … “nadar [para] tão longe” …[249]. Na deriva, as “leituras desviantes” de uma temática[250], colocam vários caminhos de leitura. Não fosse o vazio deixado de palavras… [Sempre permanecem] “As pedras [que] rugem no bater das ondas”[251] [instáveis]. [Muda o significado de] “Praia - Cadeia alimentar, baleias, pescadores”[252] … “Sinto no meu corpo a maresia [que muda também, após a vazante, de cheiro intenso do mar] e assim transformo o sal em novo sal”[253] [Em casa] O “relógio de areia” de Celso, quando se encontrava com Marina, no passado, “ficava na estante” … [porque o tempo era subjetivo]. “Um belo dia [a ampulheta] quebrou-se” … “Vinte anos” separaram [Celso e Marina] … quantos “grãos” de areia [na ampulheta] são necessário” para tanto tempo passado?[254] “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[255], sendo que o sal eliminado, baixe a pressão[256] [arterial] e “transformo o sal em novo sal”[257]. Nova vida. As palavras vão e vêm, na modernidade líquida. A tornarem-se as palavras “úmidas”, é o sinal de sofrimento no “sal” e na “lágrima” salgada. Qual garrafa que se joga ao mar? Flutuaram ambos num domínio intemporal, deram-se a palavras inevitavelmente “fartas de imprecisão, saudosas da beleza”[258]. E que “cartas” se virão a “salvar” do mar do esquecimento, com agrestes “ventos do Atlântico”? Na insana movimentação vital, Celso “decide [a dado momento] atravessar a maresia”[259] e quedou-se o mar de distância entre si e Marina[260], ao primeiro e-mail dela, seguido-das imagens coloridas, palavras dela. Marina aparecer-lhe-ia na imaginação dovbelo solilóquio de Molly Bloom[261], um encantatório eco. É dele o repente, quando não queira voltar ao passado: “Não me afasto deste mundo de areia… Passam navios à distância”[262]. Em terra firme, Celso, não sai de si mesmo. No final do livro, arredio, Celso dará conta do inesquecível mau tempo, em que se sentira “naufrago”, abraçado ao não-lugar[263]: “Passada a tempestade, me afogo nos teus olhos [verdes e do mar]”[264], olhos de luz fina e penetrante. Do repetido reparo no olhar de lince, o que ficamos cientes do passado na marinha de salinas, na praia e noutras paragens? A lembrança foi ter à imagem da “jovem” Lívia, sua prima e amiga de Marina… [Lívia] “deu-se às ondas”[265]. Deixou de ser. Condenado, Marcus, perdeu alguém; Celso perdeu Marina, não fossem as “fugas” intempestivas. Anunciado casamento ou “condenação”, na escuta de Grande Missa em Dó Menor, K 427[266], de Amadeus Mozart (1756 – 1791), o significado diverge, para o cineasta Robert Bresson[267]. A perda não justifica uma causa, que seja culpa de falta de pontualidade dela ou o atraso dele. Preso ao antecipado mito: “Cheguei tarde como o Rei Marcus”[268], já que a bela Isolda amava Tristão e vogariam num barco do amor à beira mar[269]. No enlevo por Isolda, Celso assumia encontrar-se na condição do rei[270]. Outro fora a lição de Orfeu[271], que olhou para trás… “Não se ergueu” (no existir). E como a palavra concretiza o pensamento (quando o alcance), em inumeráveis mundos atingimos a parte num ou noutro fator – o mar subterrâneo, o envelope na palavra, uma sinédoque. A crer na memória “líquida”, mais uma vez, em imaginação de Marina[272], Celso “lembrou-a” de que já teriam pisado as pedras até à onda, ao imenso mar[273] Quando o a sair último apaga a luz Na ausência de fundamentos externos e de princípios internos, temos o reino perdido do ser. No mundo abandonado, aliado no estranhamento, é o esquecimento (“o fundador”) uma implicação do recuo do ser[274]. Como constatado, em Heidegger[275], surgiu o ser, um dos seus dois temas constantes. Como ser nem seja fundamento, nem seja princípio, incorreria na dobra original “ser-ente”[276]. Donde, a possibilidade de “re-dobra” do ser em Marina. Para o incauto efeito, somente desviando-se um autor, poderá recuar o ser, em que as hierarquias da existência passam a ser independentes (ser e ente), deixando de fazer sentido o que veio primeiro. Nenhum deus alguma vez pode unir o disperso, nos tempos que correm. Em Heidegger (1986 [1982]), para quê escrever “Porquê poetas”. Andaria o filósofo nos caminhos da floresta obscura, no que recuaria e o conduziu a Hölderlin (1770 — 1843): “E porquê poetas em tempos atribulados?[277]” Além da destroçada condição de “autor-idade”, o autor deslocou-se à poesia de vestígios inacessíveis. Marco Lucchesi pode ter atendido ao segundo tema de Heidegger, quando foque o eterno, em Parménides[278]. Visado fundamento do enigmático “pensamento”: leu as primeiras descobertas nos fragmentos ou vestígios escritos. De Marina, Lucchesi arrasta já o leitor às primeiras interrogações, como nos ousados fragmentos pré-socráticos incompletos, desbravados e arredios a um ponto, excêntrico a linhagens ou a “influências”. Ocorre pensar noutro ângulo de visão criativa, sem articulação entre o próximo e o longínquo, alcançado um brilho lateral, que perpassa na contemporaneidade. Qual será o derradeiro lugar em que pulse o pensar? – Pergunte-se. Em Poema, de Parménides, fragmento de conceitos acutilantes. Possuímos além da “dobra” constitutiva do ser (nos limites entre ser e ente), a prerrogativa de interrogar, de hesitar, de duvidar e de afirmar. Em que mundos desaparece e reaparece a consciência? Resposta: Nos dias que se sucedem a noites, a alternância revela-se à consciência, no sonho e na realidade percetiva. Da diferença entre mundos, Marina, o que perdura na ausência? Memórias de palavras “recorrentes: o nada, a Morte, abismos e fantasmas”[279]. Perdura o “sonho” no eterno “menino”[280]. Em Marina, o coprotagonista Celso, um retirado fazedor de “não histórias”, afigura-se retirado, o que não significa derrotado. Noutra asserção crítica, quando não se bata em retirada, poderão ser dados saltos na compreensão duma obra de múltiplas leituras. Foi no Prefácio à segunda edição de Crítica da razão pura, que Kant alertou para o pensamento, cujos “saltos temerários” nem seriam escusados. Poder-se-ia ir mais longe, no arriscando, nas nossas frágeis sociedades, a ponto de nem ser dito o que se pense, nem ousar-se o criticar. [1] Lucchesi, Marco. Marina. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023, p. 89. Quanto à “romaria de formigas” (p. 78), a ser desfeita, “vivo em guerra contra os cupins…” (p. 23). “Só as cartas ficaram intactas. Desprezadas até pelos cupins” (p. 24). “Pobres cartas! Ai de nós! Indigestão de todos os cupins” (p. 28). Afinal, outra maçada, será o velho computador perder cartas, “perder tudo” (p. 89). [2] A crença no acesso à profundidade teve os seus dias melhores, quando se acreditou numa via única, uma dimensão da base ao topo, entretanto barrados os códigos e a exatidão, buscada na modernidade. [3] Marina, p. 73. [4] Marina, p. 56: Marina possui uma “beleza transitiva”. Marina, p. 60: “Sou trilho morto, intransitivo [que não chega a ela]. Se não te alcanço não me basto”. Marina, p. 71: o caráter transitivo, sendo o que muda, aproximou-se de “sinal de transição, deslocamento”. [5] Marina, p. 27. [6] Marina, p. 76. [7] Marina, p. 76. [8] Marina, p. 15. [9] Marina, p. 13. [10] Marina, p. 87. [11] Marina, p. 13, p. 17. [12] Marina, p. 67. [13] Marina, p. 85. [14] Marina, p. 85. [15] Marina, p. 91. [16] Marina, p. 55. [17] Marina, p. 87. [18] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [19] Marina, p. 86. [20] Marina, p. 72. [21] Marina, p. 69. [22] Marina, p. 84. [23] Marina, p. 33. [24] Na alusão do autor, a xilogravura de 1507, de Hans Schäufelein the Elder? Um idoso, “o mais velho” (the elder). Ou “Cristo diante de Anás, do espelho da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo”, também de 1507? [25] Marina, p. 22. Parménides é também referido na p. 35 e na p. 98. [26] Marina, p. 49). Ulisses representa o que enfrentou perigos e riscos do mar, explorando o mundo. Escritores foram “navegadores”, por caminhos sem guia e sem antecipação, como James Joyce (1882 – 1941). [27] Marina, p. 49. [28] Marina, p. 71. Celso efetua ainda um recuo, quando “uma janela abre-se ao vento” e se desfaz o enlevo com Marina. Concretamente, recuo terá o sentido militar, na guerra. [29] Marina, pp. 34-34. [30] O vaso é um recetáculo, um contentor para as coisas sensíveis, no Timeu de Platão, datado de 360 a.C. Identifica a chora, no que acolhe as coisas em devir. [31] Marina, p. 89. [32] Marina, p. 77. Nas folhas ímpares, são dados a ler “resumos”, como o da página 27: “Sobre a morte das cigarras e o motor imóvel. As garras do leão. Livre-arbítrio, borboleta e tempestade. Software e cálculo integral. Termina com um verso de Mallarmé.” Geralmente, os “resumos” são ampliados em textos de duas páginas. [33] Marina, p. 81. [34] Marina, p. 43. [35] Marina, p. 89. [36] Marina, p. 78. [37] Marina, p. 67, post scriptum: “Leitor de pássaros, sou como um áugure romano a decifrar tua mensagem”. Na Roma antiga, desde o século VIII a.C., os sacerdotes tornar-se-iam augures, tirando presságios, partindo dos voos, do canto e das entranhas de pássaros, entre outras aves. [38] Marina, p. 89. [39] Marina, p. 87. [40] Marina, post scriptum, p. 98. [41] Marina, p. 50. Na perspetiva computacional, disse-me um informático, a diferença é nítida entre significado e semântica: “fornece-se uma semântica para um argumento (ou seja lá o que for), quando se fornece um método de traduzir os símbolos, que contém para qualquer coisa que tenha significado: dar uma semântica para uma linguagem pressupõe, ou envolve, uma Teoria do Significado. Contrasta com a sintaxe, que é apenas a gramática formal do sistema, que determina que os símbolos estão corretamente juntos ou não. Pode assim seguir-se uma sintaxe do sistema sem ter a mínima ideia da sua semântica”. [42] Marina, p. 43. [43] Marina, p. 18. Na Ilíada, poema homérico, salienta-se o belo e valente Ájax, com que lutou Heitor, sem vencedor ou vencido. [44] Marina, p. 53. [45] Marina, p. 35. [46] Marina, p. 36. [47] Marina, p. 83. [48] Marina, p. 39. [49] Marina, p. 79. [50] Marina, p. 86. [51] Marina, p. 49. [52] Marina, p. 18. A Guerra Fria, tensão geopolítica, no final da Segunda Guerra Mundial (1945), abrangeu Os Estados Unidos da América e a União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (URSS), desde a Presidência de Truman, em 1947, tendo fim na dissolução da URSS. [53] Marina, p. 31. [54] Marina, p. 35. [55] Quando a alegoria apresenta dois significados, literal e figurado, as palavras, cujo significado seja literal, devem dar lugar ao significado alegórico (figurado). [56] Por extensão, ao mundo subaquático, Marina, p. 50: “… o abismo líquido”. Marina, p. 37: “um líquido destino terra adentro. Marina, p. 79: “Presumo que se lembre (ó, líquida memória!) da onda que das pedras nos levou ao mar.” [57] Imagino até mesmo O mundo à minha procura, de Ruben A, um relato autobiográfico em que o escritor dá conta da vida e da escola, que “esquece os livros”. [58] Marina, p. 49. [59] Marina, p.54. [60] Marina, p. 65. [61] Marina, p. 65. [62] Marina, p. 13. [63] Marina, p. 27, p. 29. Na mesma página 29: “de dez mil dias” …, após o “terremoto” - “uma “falha sísmica”. [64] Castro, Ruy. A vida por escrito: ciência e arte da biografia. Lisboa: Tinta da China, 2023., p. 16. A “literatice” passa pela ideia de um biógrafo atravessar a pessoa-personagem, para dela extrair o que não saiba de si mesma nos pormenores, para o efeito de conceção de episódios “inesquecíveis”. [65] Marina, p. 16. [66] Marina, p. 13. [67] Marina, p. 89. [68] Marina, p. 13. [69] Marina, p. 37. [70] O interminável percurso, é destacado na página 93. O texto continua com a presença do tempo, para “Zenão de Eleia: Aquiles corre com a tartaruga”, um paradoxo da verdade de Parménides, numa demonstração “por absurdo”. [71] Marina, p. 16. [72] Marina, p. 54. [73] Durante uma noite, após ter querido escrever insistentemente uma sonata, o compositor italiano Giuseppe Tartini compô-la a dormir e a sonhar. Intitulada O Trilo do Diabo, imaginou que o próprio maligno lhe apareceu em pessoa para tocar violino e o “ajudar”. Ele não era capaz de terminar a obra musical, mas quando acordou conseguiu acabá-la com a única parte da música de que se lembrava. [74] Jung, Carl. (1954 [1951], p. 123) [75] Marina, p. 73. [76] Marina, p. 56. [77] Marina, pp. 55-56: “A jovem [caveira sem carne] cedeu sua beleza ao brinquedo”, tratando-se de morta, que na urna funerária tinha a sua boneca de marfim, segundo Marco Lucchesi, preservada do Tempo dos antoninos, na Roma antiga, pelo autor. Portanto, aquilo, demarca a figura histórica, no achado brinquedo, que a acompanhou na urna. https://en.wikipedia.org/wiki/Crepereia_Tryphaena [78] Marina, p. 56. O “espelho inverso”, do aveso, passa o par a dois contrários ou simetricamente opostos. [79] Marina, p. 69. Quem diga a transformação dela alude à sua representação no quadro de outra. [80] Um poço é um recetáculo, a chora, em Platão. Um continente retém um conteúdo, as ideias sensíveis. [81] Marina, p. 50. [82] Marina, p. 96. Nessa página, é salientada a comunicação, quando gatos ronronam e cães latem. [83] Reis, Carlos, & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, pp. 152-155. [84] Idem, pp. 152-153. [85] Marina, p. 86. [86] Marina, p. 91. [87] Marina, p. 86. [88] Marina, p. 63. [89] Marina, p. 95. [90] Marina, p. 54. [91] Marina, p. 73. [92] Marina, p. 96. [93] Marina, post scriptum, p.97. [94] Reis, Carlos & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, p. 154. [95] Marina, p. 91. [96] Strauss, Anselm, & Corbin, Juliet. Basics for qualitative research: Grounded theory procedures and techniques. Newbury Park, CA: Sage, 1990, p. 96. [97] Marina, p. 95. Numa intercalação da história de Proteu com o mito de Orfeu, essa invenção do poeta romano Virgílio (70 a.C. — 19 a. C.), encontra-se nos versos de número 453 a 527 do Livro IV, das Geórgicas. [98] Marina, pp. 71-72. Vale ouvir a rádio Orfeu … Ouço distante a voz de Orfeu. [99] Marina, p. 80, p. 86. [100] Marina, pp. 79-80. [101] Marina, p. 80. [102] Marina, p. 49. [103] Marina, p. 91. [104] Marina, p. 91. [105] Marina, p. 49. [106] Neymeyer, Robert A. & Mahoney, Michael. Construtivismo em psicoterapia. Tradução de Mônica Giglio Armando e Fábio Appolinário. Porto Alegre, Rio Grande do Sul: Artes Médicas, 1997, p. 173. [107] Quem diga texto, poderia referir-se a trabalhos com que um texto se cruza, num filme, romance ou peça de teatro. [108] Forster, Eduard Morgan. Aspects of the novel. New York, NY: Harcourt, Brace and World, 1927. O “enredo” (plot) distingue-se da “história” (story), na medida em que o enredo ordena os acontecimentos de forma temporal e de forma causal, mas a “história” limita-se a ordená-los no tempo. [109] Scholes, Robert, & Kellogg, Robert. The nature of narrative. New York, NY: Oxford University Press, 1966, p. 207, pp. 238-239. [110] Angus, Lynne; Lewin, Jennifer; Boritz, Tali; Bryntwick, Emily; Carpenter, Naomi; Watson-Gaze, James, & Greenberg, Leslie. Narrative Processes Coding System: A Dialectical Constructivist Approach to Assessing Client Change Processes in Emotion-Focused Therapy of Depression. Research in Psychotherapy: Psychopathology, Process and Outcome 2012, 15(2), 54–61. DOI: 10.7411/RP.2012.006 [111] Marina, p. 23. [112] Marina, pp. 79-80. [113] Marina, p 83. [114] Marina, p. 94. [115] Marina, p. 71. [116] Marina, post scriptum, p. 76. [117] Marina, p. 23. [118] No risco de morte no mar bravo, noutro lugar: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração” (Lucchesi, 2023, p. 71). [119] Marina, p. 23. [120] Marina, p. 23. [121] Marina, p. 80. A expressão é atribuída pelo autor a um livre pensador, Lucilio Vanini (1585 – 1619), que se autodenominou outro, nas obras publicadas como Giulio Cesare Vanini. [122] Marina, p. 83. [123] Marina, p. 93. [124] Marina, p. 93. [125] Marina, p. 14, p. 79. As baleias primam nos seus “afetos radicais” (p. 79). [126] Marina, p. 93. [127] Marina, p. 93. [128] Marina, p. 93. [129] Marina, p. 95. [130] Marina, post scriptum, p. 99. [131] Marina, pp. 85-86. [132] Strauss, Anselm. Qualitative analysis for social scientists. New York, NY: Cambridge University Press, 1987, p. 32. [133] Marina, p. 91: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, num eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite”. [134] Marina, pp. 13-14. [135] Marina, p. 54. [136] Marina, p. 14. [137] Marina, p. 13. [138] Marina, p. 22. [139] A noção de “livre arbítrio contracausal” indica a decisão livre, não determinada por uma causa, um motor. [140] No cálculo integral, pensa-se na heurística, de Arquimedes (287 – 212 a.C.) , com a finalidade inicial de calcular áreas e volumes e seguir a pista e gravar o movimento dos corpos celestes, do sol, da lua e dos planetas, no que se partiu da aritmética e da geometria. [141] Concausa introduz a causa, que coexiste com outra causa, cujo efeito seja conjugado. [142] Marina, p. 27. [143] Marina, p. 27. [144] Marina, p. 13. A brevidade contrasta como o longo tempo que passou, após o encontro prolongado. [145] Marina, p. 43. [146] Marina, p. 69: “Teus olhos sabem narrativas”. [147] Marina, p. 87. [148] Marina, p. 91. [149] Marina, p. 91. [150] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, (1970 [1947]), p. 65. [151] Marina, p. 75. [152] “O acaso dá-nos os pensamentos, o acaso retira-no-los”. Esse é um pensamento de Blaise Pascal (1623 – 1662). [153] Bakhtin, Mikhail M. Speech genres and other late essays. Austin, Texas: University of Texas Press, 1986. Partindo de “géneros de fala”, certas vozes farão coisas diferentes. A noção de “voz” tornou-se um conceito adequado e útil para a caracterização do narrador num texto: “quem ‘fala’”. “Quem é ‘ouvido’”, “quem expressou algo” … A ser “dada uma voz”, a “voz”, conduziu à critica de uma só voz, com Bakhtin. Na conexão de “voz”, com as ciências sociais, avançamos entre “múltiplas vozes”. [154] Marina, p. 13. [155] A “intencionalidade” em Edmund Husserl (1859 – 1938) e) colocou-se em “Meditações cartesianas”, para a forma basilar da consciência e dos processos psíquicos: “consciência de alguma coisa”. Donde, a proximidade das coisas. [156] Lévêque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Publico, 2001, p. 13. [157] O mundo e a consciência veem em conjunto, dum único golpe: se o mundo é exterior/interior à consciência, o que escape é o ribombar de “tempestade”, o espanto perante uma explosão, o ribombar do trovão. [158] Marina, p. 75. [159] Marina, p. 91. [160] A ser retomado o sentido do ser (do ser em si mesmo, do ser do “homem” e do ser do pensamento), com Martin Heidegger (1889 – 1976), a “metafísica” ganhou terreno, na tradição filosófica. Ficou a crítica ao que tenha sido “esquecido” - o ser, com frequência, entre Platão (428/427 – 348/347 a.C.) e Nietzsche (1844 – 1900). [161] Na etimologia de “profundidade”, “pro” indica uma direção a, e “fundus” é o esvaziamento, por extensão de fundo. [162] Na especificidade, “coisa” denota o objeto natural. Acresce o tratamento dado ao objeto ou ao termo natural-artificial, ao real-irreal, ao mental-físico. Na filosofia, “coisa” incorre numa aparição, vaga presença, quando faltem as palavras, por incerteza na “errância”, falhado o alvo … Uma tempestade abrupta, uma explosão. Coisa chega a ser conhecimento, imaginação, vontade... [163] Marina, p. 81. [164] Num referencial da personalidade do adulto, adiante aludido, a psicologia pós-racionalista enquadra um modelo da realidade humana, que conjuga a experiência e o significado da experiência (“eu-mim reflexivo”). À superfície emocional da infância, estudada em John Bowlby, o psiquiatra Vittorio Guidano, aliou a “organização do significado pessoal” (OSP). [165] Uma assíntota, na geometria, para uma curva plana, é uma linha que explora uma distância infinita em relação a um ponto (P), quando esse ponto se distancia ao infinito, sem jamais encontrar a linha. [166] Marina, post scriptum, p. 76. [167] Marina, p. 91. [168] Galindo, Caetano W. Sim, eu digo sim: Uma visita guiada ao Ulysses de James Joyce. São Paulo: Companhia das Letras, 2016, pp. 1104-1106. [169] Marina, p. 43. [170] Parménides. Fragments du poème de Parménides. Paris: PUF, 1996. Na primeira parte do poema, foi concebido um saber puro, a “verdade”, que afeta a via dos jogos de aparência das coisas, vindo a duplicar as aparências, no “desvendamento” (a-letheia, no grego clássico). O Uno, em Parménides, deixou-nos a mensagem fragmentada, na “revelação”, a “abertura”, a verdade escrita, no poema Sobre a natureza. Tanto as diversidades do mundo exterior, quanto as “opiniões dos mortais” (referidas num décimo da segunda parte da obra – o mundo da aparência), foram distanciadas da contemplação. Parménides inspirou a noção de Platão, para a dialética (partindo de duas ideias opostas, gerada uma síntese). [171] Platón. Parménides. Tradução de Guillermo R. de Echandía. Madrid: Alianza, 1987, pp. 55-56. [172] Na circunstância, as tensões antagónicas, entre a unidade e a diversidade, haviam sido protagonizadas por Parménides e Heráclito (cerca de 500 – 450 a.C.). Forçada a ultrapassagem da disputa inicial? [173] Marina, p. 43. [174] Nicolau de Cusa manifestou a sua forma de pensar num mundo em transição, tendo defendido a necessidade de contingência (coincidentia oppositorum), por parte da natureza e aderiu à contemplação intuitiva, em que o conhecimento fosse a unidade dos contrários (no livro Docta ignorantia, “Sobre a ignorância aprendida/sobre a ignorância científica”). [175] Marina, p. 35. [176] Marina, p. 31. [177] Marina, pp. 27-36. Na página 27, assumido ter-se tornado “perigosos”, na página 35, Celso diz ter medo de si mesmo. [178] Marina, p. 71. [179] Marina, post scriptum, p. 97. [180] Marina, p. 87: “[As cartas] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo”. Catulo foi um poeta romano (87/84 a.C. – 57/54 a.C.), entre outros “modernos”, criticados por Marco Cícero, um contemporâneo, escritor e autor de cartas, mas que mudou a literatura europeia, com impacto no século XVIII. [181] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970 [1947]. Na parte final de Carta sobre humanismo, Heidegger esclareceu: “não eis-me aqui! mas sim, se posso expressar-me num francês obviamente impossível, ‘être le là’ e o ‘aí’ é precisamente a-letheia. Como esquecer que da-sein representa o “estar aí”, o “habitar”? [182] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [183] Uma ontologia dedicada ao ser, existência e realidade. [184] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970, p. 77. [185] Heidegger, Martin. Que veut dire penser? In Essais et conferences. Paris: Gallimard, 1958. [186] O ser foi abandonado, quando se colocou adiante o ousia. No saber dos ousiai, enfatizadas substâncias. [187] Goodman, Nelson. Ways of world making. Indianapolis, Indiana: Hackett, 1985, pp. 7-17. [188] Marina, p. 93. Na lógica clássica, uma proposição não pode ser, em simultâneo, “verdadeira” e “falsa” (princípio da não contradição). Uma proposição é falsa ou é verdadeira (princípio do terceiro excluído). [189] Marina, p. 89. Em De docta ignorantia, de 1449, Nicolau de Cusa criou três momentos do “espírito” no itinerário, uma hermenêutica, ora voltado para o “exterior”, ora para o “interior”. Importa para a coincidência de sorte, em não serem anulados pontos de vista diferentes (opostos), do ser humano ao infinito. [190] Marina, p. 89. [191] Marina, post scriptum, p. 62. [192] Marina, p. 89. [193] Marina, p. 73. [194] Marina, p. 35. [195] Marina, p. 35. [196] Marina, p. 93. “Salva-nos” pensar que a unidade primeira não torne a escamotear o ser, frente ao ente, em Deus. A base da metafísica, ciência do ser, foi por muitos anos o debate de “substâncias”, para o que se mantenha por baixo, o “elemento” permanente da coisa. Embora o ser tenha múltiplas aceções, formulam-se todas para um princípio (arché) único, material e definido. Na “correspondência”, o ser não pretende servir a ideia de “ser para Deus”, de ser a pessoa concreta, o que se mantém (ousia, “substância”, “no bem fundo”). [197] Marina, p. 96. [198] Como Nicolau de Cusa, que viu nesse acaso o conhecimento de Deus. [199] Marina, p. 87. [200] Marina, p. 93. [201] Marina, p. 98. [202] Marina, p. 17. [203] Marina, p. 18. [204] O “desvendamento” - aletheia, no remoto Poema de Parménides, um saber do Uno, entretanto desfeito,encontra-se antes de recolocada a ordem do vivido, ou seja, “todas as formas de presença afetivas e intelectuais”, em Jean Lévèque. Lévèque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Público, p. 114. [205] Marina, p. 73. [206] Marina, p. 95. [207] Marina, p. 73. [208] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [209] Marina, p. 22. [210] Marina, p. 93. “Não ser” tem no francês a palavra “néant”. E “nada” encontra-se em mè eon (“o não-ente”), em grego. Nem sendo a chora, o “nada”, o não-ente, nem chega a ser privação do ser, porque o “lugar” não tem qualquer objeto. O vazio de um contentor – o “vaso” - é diferente: possui forma, é chora. [211] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [212] Kundera, Milan. 1988. A arte do romance. Lisboa: Dom Quixote, 1988. Nessa obra, o “romance” é de ideias, a partir de Cervantes (1547 – 1616), por longo tempo “aguardada” a inspiração de Laurence Sterne (1713 – 1768), em D. Quixote. Ao romance de ideias foi dada outra linhagem, na marcação francesa: François Rabelais (1494 — 1553) e Denis Diderot (1713 — 1784), quando alcançaram liberdade crítica e ironia revolucionária, no renascimento e no século XVIII. O multifacetado Rabelais cruzou até as facetas na palavra, ora erudita, ora aventureira, percorrendo o lado festivo e o lado religioso e solene. [213] Marina, post scriptum, p. 76: “São minhas essas vozes: que me indagam, enlaçam, apertam, comprimem. Polifonia da gente que me habita. Mas todos querem, buscam, sonham com você”. [214] James, William. The will to believe and other essays in popular philosophy. New York, NY: Longmans, 1897. [215] Marina, p. 49. Para Carl Gustav Jung (1875 - 1961), a “humanidade” dividiu-se em duas partes: nos que “nadariam”, com James Joyce, no Ulisses, havendo quem se “afogasse” (numa autoridade, num qualquer saber dogmático). No Ulisses, é o monólogo de Molly Bloom condutor a um “sim”. [216] A obra de Lucchesi remete a Viktor Shklovsky. um crítico literário russo, em paralelo a Laurence Stern, autor de dissonantes observações, no que este último escreveu “A vida e as opiniões do cavalheiro Tristram Shandy”, um novo Quixote.” [217] Marina, p. 17: “Cada qual começa com um resumo”. [218] Marina, pp. 29-30. [219] Mead, George Herbert. Works of George Herbert Mead. Vol. 1 Mind, self and society from the standpoint of a social behaviourist. Chicago, Illinois: University of Chicago Press, 1967. A explicação das diferenças entre si e Greenberg, foi esclarecida por Guidano, que utilizou os termos de George Herbert Mead – I (“eu”) e me (“mim”), frente a Greenberg. Mead (1863 — 1931) concebeu o self social (Mead, 1913), no sentido de sermos a única espécie que usa a linguagem, aquisição a partir da qual planeamos, pensamos e comunicamos a experiência. A vida de uma pessoa não seria um atributo individual e privado em Mead, cuja narrativa seja uma autoexpressão, envolvendo o controlo da informação do self. [220] Geller, Shari M. & Greenberg, Leslie S. (2012). Therapeutic presence: A mindful approach to effective therapy. American Psychology Association. https://doi.org/10.1037/13485-000 [221] Guidano, Vittorio. The self in process: Towards a post-racionalist therapy. New York, NY: Guilford, 1991. [222] O que seja acima do nada, sobrenada num “lugar” das coisas sensíveis, que soam e ressoam. [223] Marina, p. 43. [224] Marina, p. 50. [225] Marina, p. 49. “Persegue os temporais”, os maus tempos de vendavais no passado-presente-futuro. [226] Marina, p. 18. [227] Marina, p. 49. [228] Marina, p. 73. [229] Marina, p. 73. [230] Marina, p. 18. [231] Marina, p. 49. [232] Marina, p. 73. [233] Tanto “mar” quanto o cérebro são “suportes físicos” e “alimentos”. A imensidão das “ondas do mar” e da mente em movimento configuram um fluxo movediço e inatingível, em que o ser é originariamente “bem-fundo”, a “substância” (no latim, ousia), para o que sejam variações e transformações das coisas. [234] Lao Tzu. Tao Te Ching. Capítulo 4, n.d. http://pt.wikisource.org/wiki/Tao_Te_Ching/IV. No mundo parcial ancestral chinês, pensar é agir. Reiterada a filosofia no T’ai Chi, a conexão ocorrida no Universo propicia a combinação de mente (li) e matéria (chi), “realidade última”, numa acomodação da unidade do Tao, à semelhança do “ancestral das dez-mil-coisas”: O Tao é um vaso vazio // Cujo uso nunca transborda. // Abismo! // Parece o ancestral das dez-mil-coisas! // Abranda o cume; Desfaz o emaranhado; Modera o brilho; Une o pó. // Profundo! // Parece existir algo! // Eu não sei de quem o Tao é filho. // Parece ser o anterior ao Ancestral. [235] Antropomorfismo para uma forma de pensamento em que elementos da natureza ou figuras de deuses alcançam características humanas. [236] O princípio da identidade, em Parménides, assumiu que todo o objeto é idêntico a si próprio. [237] Marina, p. 18. [238] Sartre, Jean-Paul. Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl, l’intentionalité. La Nouvelle Revue Française, 1939, 304(1), 129-132. Na medida em que a consciência traduz uma aproximação às coisas, poderá “ser algo que não ela própria”. [239] Marina, p. 18. [240] Marina, p. 18. [241] Marina, p. 37. [242] Marina, p. 18 [243] Marina, p. 18. [244] Marina, p. 21. [245] Marina, p. 23. [246] Marina, p. 23. [247] Marina, p. 23. [248] Marina, p. 26. [249] Marina, p. 28. [250] Marina, p. 28. [251] Marina, p. 28. [252] Marina, p. 29. [253] Marina, p. 37. [254] Marina, p. 42. [255] Marina, p. 71. [256] Marina, p. 37. [257] Marina, p. 37. [258] Marina, p. 49. [259] Marina, p. 16. [260] Marina, pp. 16-18. [261] Marina, p. 49. Na obra publicada em 1922, Molly Bloom, cujo nome verdadeiro era Marion, é a personagem de Ulisses, de James Joyce, uma cantora de ópera, reconhecida em Dublin, na Irlanda. No monólogo, é colocado um “fluxo de consciência”, sem parágrafos e sem pontuação de vírgulas e travessões. [262] Marina, p. 55. [263] Marina, p. 55. [264] Marina, p. 95. [265] Marina, p. 61. [266] Marina, p. 95. [267] Casar não foi contemplado por Mozart, tendo vivido poucos mais anos que Jesus. Bresson utilizou a música de Mozart, em 1956, no filme “Um condenado à morte escapou”, passado durante a Segunda Guerra Mundial (1939 a 1945), nomeadamente no Kyrie, de Mozart (caso vocativo da palavra grega kyrios, para “senhor”). No Antigo Testamento, utilizou-se Kyrie na mais antiga tradução grega (Septuaginta), para traduzir a palavra hebraica Yahweh. No Novo Testamento, Kyrie foi o título dado a Cristo, como em Filipenses 2:11. [268] Marina, p. 86. [269] Marina, p. 86. [270] Marina, p. 79. [271] Marina, p. 95. [272] Marina, p. 79. [273] Marina, p. 79. [274] Marina, p. 55: “Ao não lugar me abraço como um náufrago”. No recuo do ser, não será “dispensado” o ser, no que me recorda o protagonista e narrador de Marina, encontrado num não lugar, sob um batimento da “pressão”. [275] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980, pp. 88-89. [276] A dobra é franzida. “Eu-ente”, um depósito material insolúvel, na dobra existe o “sedimento”, em Ensaios e conferências, de Heidegger. [277] No Romantismo, após o Século das Luzes (século XVIII), Hölderlin viveria já ao “cair da noite”. Teriam deixado o mundo três deuses “fraternos” – “Héracles, Dionísio e Cristo”. Acresce dizer, sem romantismo, que alcançada a “noite”, perdermos as referências-guias, as linhagens e ficamos sós. Deixa-se de referir a autoridade (“quem sabe”) e configura-se um destino nem certo, nem seguro. Na incerteza da errância, falharia o alvo que seja excessivamente arriscado. [278] Marina, p. 22, p. 35 e p. 98. [279] Marina, p. 76. [280] Marina, p. 78.
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R. S. Ribeiro, Marcelo. „Tarzan, um negro: para uma crítica da economia política do nome de “África”“. Afro-Ásia, Nr. 63 (25.06.2021). http://dx.doi.org/10.9771/aa.v0i63.38589.

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<p>Desde 1912, inúmeros textos – romances, programas de rádio, histórias em quadrinhos, seriados de televisão, filmes – produziram e articularam representações da África em narrativas envolvendo Tarzan, criado pelo estadunidense Edgar Rice Burroughs (1875-1950). Tomando o nome de “África” como referência, os textos que orbitam e habitam o nome de “Tarzan” pertencem a uma genealogia ocidental e a uma história transcultural. Após abordar a economia da marca registrada “Tarzan ®” em sua circulação global, uma descrição breve e esquemática da filmografia de Tarzan me permite interrogar o que chamo de nomenclausura ocidentalista da “África”. Finalmente, por meio de uma leitura atenta de Moi, un noir (1959), de Jean Rouch, como um prisma através do qual a circulação global de Tarzan pode ser interpretada e reinventada, sugiro possibilidades de transbordamento imaginativo, abrindo o espaçamento transcultural da escritura da “África” como economia política do nome de “África”.</p><p> </p><p>Tarzan, a Black Man: Toward a Critique of the Polit Economy of the Name of “Africa”</p><p>Since 1912, countless texts – novels, radio shows, comic strips, television serials, films – have produced and articulated representations of Africa in narratives featuring Tarzan, a character created by the US author Edgar Rice Burroughs (1875-1950). Taking the name of “Africa” as a reference, the texts which surround and inhabit the name of “Tarzan” belong both to a Western genealogy and to a cross-cultural history. After examining the economy of the global circulation of the “Tarzan” trademark, I give a brief and schematic description of Tarzan’s filmography, which allows me to interrogate what I call the occidentalist name-in-closure of “Africa”. At last, by means of a close reading of Jean Rouch’s Moi, un noir (1959) as a prism through which Tarzan’s global circulation can be interpreted and reinvented, I suggest possibilities of imaginative overflow, opening up the cross-cultural spacing of the writing of “Africa” as political economy of the name of “Africa”.</p><p>Cinema | Africa | Tarzan | Racism</p>
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Felton, Emma. „The City“. M/C Journal 5, Nr. 2 (01.05.2002). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1958.

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In the television series Sex and the City, there is a scene which illustrates a familiar contempt for suburban life as dull and boring. Implicit is the oppositional view that urban life by comparison, is the more exciting one. Charlotte (one of four women whose sexual and romantic relationships are the focus of the series), has spent time with her in-laws in an upper middle class suburban enclave, and is confessing to her three girl friends her fantasies and ultimate sexual encounter with her in-law's hunk of a gardener. She's racked with guilt over the incident, not least because she is married to the sexually non-performing Trey. At this point in the conversation, Samantha, whose voracious appetite for men is her hallmark, dismisses Charlotte's concerns with the retort: 'well honey really, what's the point of living in the suburbs if you can't fuck the gardener?' Ergo, a life of suburban mediocrity deserves some kind of compensation, preferably an exciting sexual antidote. Samantha's remark draws on a wealth of discourses which reinforce the opposition between the city and the suburbs, and the city and the country, where the city is the crucible for adventure, opportunity and sometimes danger. For these New York women, it is precisely excitement and the possibility of sex and romance that holds them to the metropolis. The association of sexual opportunity for women and the metropolis is something of a departure from earlier narratives of the city. Gender and sexual identity - through discourse, narrative, image and metaphor are inscribed in spatial landscapes, with a rich source to be found in articulations of the city. Inscriptions are contingent on social, economic and cultural forces which shift over time and place, often defining and redefining utopian and dystopian visions. The rise of the great nineteenth century European cities, for instance provoked both utopian and dystopian discourse. Industrialization, overcrowding and poverty were issues which provided representations of the city as menacing and deleterious (as represented in the writing of Charles Dickens, Edgar Allen Poe), while the practice of the flaneur--a nineteenth century male who observed and chronicled the new cities of nineteenth century Europe--confirmed the metropolis as a storehouse of aesthetic and experiential delights. The contemporary zeitgeist is largely utopian, the postmodern city is desirable, uber-cool: sexy. Look at any advertising for inner city apartment living to confirm this. The city's erotic potential is characterized by one of the fundamental conditions of urban life: the close proximity in which we all live among strangers (see also Patton 1995). On a psychic, if not material level, this might provide opportunity for reinvention and renewal of self, for an individual freedom and expression denied to those living in smaller and closer communities. This is the attraction and romanticism of the city. The proximity of strangers gives urban life its erotic possibilities, the capacity for anonymity, that chance meetings with strangers, who we so often live and work among. Lawrence Knopp (1995) describes this aspect of city life as: a world of strangers, a particular life space with a logic and sexuality of its own. The city's sexuality is described as an eroticisation of many of the characteristic experiences of modern urban life: anonymity, voyeurism, exhibitionism, consumption, authority (and challenges to it), tactility, motion danger, power, navigation and restlessness. (151) I've been collecting metaphors of the city and these reveal the congruence between eros and the city. I have yet to find one that is masculine. For instance, journalist Harold Nicholson summing up three European cities used woman as metaphor: 'London is an old lady - Paris is a woman - But Berlin is a girl in a pullover, not much powder on her face' (Petro 1989, 21). Jean Baudrillard's description of Las Vegas as 'that great whore' is similarly feminized and sexualized, and metropolises like New York where aggressive advertisements are like 'wall to wall prostitution.' For Baudrillard, in New York, the plumes of smoke are reminiscent of 'girls wringing out their hair after bathing' (in Docker 1995, 106). Author and journalist John Birmingham described Sydney as 'a tart, loud and brash'. I should add to the list a straw poll of metaphors I conducted for Brisbane, my favourite being Brisbane as a 'middle aged woman in resort wear' (thanks to Maureen Burns for this contribution). But maybe, with the focus on urban development, she might be getting younger. For a (heterosexual) man the city can be alluring, dangerous and feminine. Eros, the city, femininity and danger all collide in the film noir genre, in films such as Roman Polanski's Chinatown, Lawrence Kasden's Body Heat, where beautiful femme fatales lead men astray, or further down the path of corruption. Woman as stranger is alluring and seductive for men, but for woman the chance encounter with a male stranger might signal caution and fear. For women, the dangers are clear: the threat of sexual danger, the chance encounter with a male whose intentions may not be benign. `Reclaim the Night' marches are testament to women's concerns about safety and access to public space, particularly at night. Although research shows that the overwhelming majority of assaults upon women occur in the home, by a person known to the woman, this sober fact does not prevent the cautionary strategies most women employ while out at night. Nor does it diminish the fear and limitations which are the reality of women's experience in public space, particularly at night. Historically, women's role in the public space of the city has been an ambivalent one. A number of analyses of women's role in the nineteenth century city identify the ways in which women in public space were managed and regulated by social and economic interests. Courted on the one hand as consumers for the new department stores and a burgeoning capitalist economy, women were also subject to strict codes of conduct, lest their virtue be in question. Judith Walkowitz in The City of Dreadful Delights examined the ways in which public discourse of danger in nineteenth century London, including the account of Jack the Ripper, as malevolent male stranger, function as a form of moral regulation for women in these newly created city spaces. Both Walkowitz and cultural historian Elizabeth Wilson argue that the metropolis of the nineteenth century, eroded the boundaries between private and public spheres and divisions of labour between men and women. A disquiet and concern over women entering these new public spaces manifested in a discourse of danger and morality, underpinned by the idea that women were at the mercy of their passions and required control and guidance. Perhaps unsurprisingly, Freud had something to say about this. He speculated that the condition of agoraphobia, the fear of open spaces, (which for Freud was an intrinsically female neurosis), was linked to a repressed inner desire to walk the streets, to be streetwalkers (Vidler 1993, 35). But times have changed: the contemporary postmodern city, is celebrated, promoted and regulated as one of diversity, inclusivity and liveablity. Access and amenity are the buzzwords of local and state government policy. In the postmodern city everyone ostensibly is made welcome and a plethora of infrastructure support different interests and lifestyles. Cafés culture has provided a social space for women in particular, previously denied wholesale access to that other Australian social space, the pub. Women's earning capacity means that many of their interests are represented culturally and socially and that they are more firmly inserted into the fabric of city life. Television series and sit-coms located in the city, where groups of friends sometimes live together; Friends, Seinfeld, Sex and the City reinforce the perception of city living as a place of opportunity and fun for younger women and men. Promotional literature is quick to exploit this image. A tourism brochure for the inner city Sydney (non!) suburb of Newtown, describes the attractions of the area: `some cities are cursed with suburbs, but Sydney's blessed with Newtown, a cosmopolitan neighbourhood.' As if Cabramatta, Fairfield or Parramatta, all outer suburban areas of Sydney, weren't cosmopolitan. A billboard in Brisbane's urban renewal area of Newstead, advertises apartment living as 'Urban living NOT suburban'. Drawing upon the rhetoric of opposition and expressing the familiar anti-suburban sentiment which for Australia, originated in the bohemian movement of the late nineteenth century (see also Kinnane 1998). This tradition probably reached its apotheosis with Barry Humphries in the 1960s whose comedic alter ego, Edna Everage signified everything that was despicable and mindless about suburbia. Edna's obsession with housing décor, cooking and recipes, social status and the minutiae of domesticity was portrayed with a venomous satire that depended upon a trivialization of traditional feminine competencies. Is there a connection between the anti- suburban tradition of cultural elites and the suburbs' close association with the domestic and feminine sphere of life? Patrick White in describing the mythical suburb of Sarsaparilla claimed it as 'a geographical hell ruled by female demons' (in Duruz 1994). American historian Lewis Mumford in his seminal work The City in History wrote that the suburbs are not 'merely a child centred environment: it is based on a childish view of the world which is sacrificed to the pleasure principle' (1961). Little wonder that today, younger women are fleeing the suburbs and flocking to the city, attracted by its possibility of adventure and eros. The other day I picked up my teenage daughter from her school to which she had returned after a five day camp in the bush. 'Aaaagh', she sighed with a sense of relief, as we approached our densely populated inner city suburb, 'buildings again… and not too many trees'. The following morning we were out in the lush and fecund Samford Valley, this time at her first soccer match for the season. As we drove further into the bush she yelled out, 'Oh no, not all these trees again!' Is this the response of a typical twenty- first century urban woman? References Docker, John. (1995) Postmodernism and Popular Culture: A cultural history. Cambridge, Cambridge University Press. Duruz, Jean. (1994) 'Romancing the Suburbs?' in Katherine Gibson and Sophie Watson (eds) Metropolis Now. Sydney, Pluto Press. Kinnane, Gary. (1998) 'Shopping at Last!:History, Fiction and the Anti-Suburban Tradition.' Australian Literary Studies: Writing the Everyday, Australian Literature and the Limits of Suburbia, 18. 4: 41-55. Knopp, Lawrence. (1995) 'Sexuality and Urban Space: a framework for analysis' in David Bell and Gill Valentine (eds) Mapping Desire. London, Routledge. Mumford, Lewis. (1961) The City in History, Its Origins, Its Transformations and Its Prospects. London, Penguin. Patton, Paul. (1995) 'Imaginary Cities' in Sophie Watson and Katherine Gibson (eds) Postmodern Cities and Spaces. 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Franks, Rachel. „Cooking in the Books: Cookbooks and Cookery in Popular Fiction“. M/C Journal 16, Nr. 3 (22.06.2013). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.614.

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Introduction Food has always been an essential component of daily life. Today, thinking about food is a much more complicated pursuit than planning the next meal, with food studies scholars devoting their efforts to researching “anything pertaining to food and eating, from how food is grown to when and how it is eaten, to who eats it and with whom, and the nutritional quality” (Duran and MacDonald 234). This is in addition to the work undertaken by an increasingly wide variety of popular culture researchers who explore all aspects of food (Risson and Brien 3): including food advertising, food packaging, food on television, and food in popular fiction. In creating stories, from those works that quickly disappear from bookstore shelves to those that become entrenched in the literary canon, writers use food to communicate the everyday and to explore a vast range of ideas from cultural background to social standing, and also use food to provide perspectives “into the cultural and historical uniqueness of a given social group” (Piatti-Farnell 80). For example in Oliver Twist (1838) by Charles Dickens, the central character challenges the class system when: “Child as he was, he was desperate with hunger and reckless with misery. He rose from the table, and advancing basin and spoon in hand, to the master, said, somewhat alarmed at his own temerity–‘Please, sir, I want some more’” (11). Scarlett O’Hara in Margaret Mitchell’s Gone with the Wind (1936) makes a similar point, a little more dramatically, when she declares: “As God is my witness, I’m never going to be hungry again” (419). Food can also take us into the depths of another culture: places that many of us will only ever read about. Food is also used to provide insight into a character’s state of mind. In Nora Ephron’s Heartburn (1983) an item as simple as boiled bread tells a reader so much more about Rachel Samstat than her preferred bakery items: “So we got married and I got pregnant and I gave up my New York apartment and moved to Washington. Talk about mistakes [...] there I was, trying to hold up my end in a city where you can’t even buy a decent bagel” (34). There are three ways in which writers can deal with food within their work. Firstly, food can be totally ignored. This approach is sometimes taken despite food being such a standard feature of storytelling that its absence, be it a lonely meal at home, elegant canapés at an impressively catered cocktail party, or a cheap sandwich collected from a local café, is an obvious omission. Food can also add realism to a story, with many authors putting as much effort into conjuring the smell, taste, and texture of food as they do into providing a backstory and a purpose for their characters. In recent years, a third way has emerged with some writers placing such importance upon food in fiction that the line that divides the cookbook and the novel has become distorted. This article looks at cookbooks and cookery in popular fiction with a particular focus on crime novels. Recipes: Ingredients and Preparation Food in fiction has been employed, with great success, to help characters cope with grief; giving them the reassurance that only comes through the familiarity of the kitchen and the concentration required to fulfil routine tasks: to chop and dice, to mix, to sift and roll, to bake, broil, grill, steam, and fry. Such grief can come from the breakdown of a relationship as seen in Nora Ephron’s Heartburn (1983). An autobiography under the guise of fiction, this novel is the first-person story of a cookbook author, a description that irritates the narrator as she feels her works “aren’t merely cookbooks” (95). She is, however, grateful she was not described as “a distraught, rejected, pregnant cookbook author whose husband was in love with a giantess” (95). As the collapse of the marriage is described, her favourite recipes are shared: Bacon Hash; Four Minute Eggs; Toasted Almonds; Lima Beans with Pears; Linguine Alla Cecca; Pot Roast; three types of Potatoes; Sorrel Soup; desserts including Bread Pudding, Cheesecake, Key Lime Pie and Peach Pie; and a Vinaigrette, all in an effort to reassert her personal skills and thus personal value. Grief can also result from loss of hope and the realisation that a life long dreamed of will never be realised. Like Water for Chocolate (1989), by Laura Esquivel, is the magical realist tale of Tita De La Garza who, as the youngest daughter, is forbidden to marry as she must take care of her mother, a woman who: “Unquestionably, when it came to dividing, dismantling, dismembering, desolating, detaching, dispossessing, destroying or dominating […] was a pro” (87). Tita’s life lurches from one painful, unjust episode to the next; the only emotional stability she has comes from the kitchen, and from her cooking of a series of dishes: Christmas Rolls; Chabela Wedding Cake; Quail in Rose Petal Sauce; Turkey Mole; Northern-style Chorizo; Oxtail Soup; Champandongo; Chocolate and Three Kings’s Day Bread; Cream Fritters; and Beans with Chilli Tezcucana-style. This is a series of culinary-based activities that attempts to superimpose normalcy on a life that is far from the everyday. Grief is most commonly associated with death. Undertaking the selection, preparation and presentation of meals in novels dealing with bereavement is both a functional and symbolic act: life must go on for those left behind but it must go on in a very different way. Thus, novels that use food to deal with loss are particularly important because they can “make non-cooks believe they can cook, and for frequent cooks, affirm what they already know: that cooking heals” (Baltazar online). In Angelina’s Bachelors (2011) by Brian O’Reilly, Angelina D’Angelo believes “cooking was not just about food. It was about character” (2). By the end of the first chapter the young woman’s husband is dead and she is in the kitchen looking for solace, and survival, in cookery. In The Kitchen Daughter (2011) by Jael McHenry, Ginny Selvaggio is struggling to cope with the death of her parents and the friends and relations who crowd her home after the funeral. Like Angelina, Ginny retreats to the kitchen. There are, of course, exceptions. In Ntozake Shange’s Sassafrass, Cypress & Indigo (1982), cooking celebrates, comforts, and seduces (Calta). This story of three sisters from South Carolina is told through diary entries, narrative, letters, poetry, songs, and spells. Recipes are also found throughout the text: Turkey; Marmalade; Rice; Spinach; Crabmeat; Fish; Sweetbread; Duck; Lamb; and, Asparagus. Anthony Capella’s The Food of Love (2004), a modern retelling of the classic tale of Cyrano de Bergerac, is about the beautiful Laura, a waiter masquerading as a top chef Tommaso, and the talented Bruno who, “thick-set, heavy, and slightly awkward” (21), covers for Tommaso’s incompetency in the kitchen as he, too, falls for Laura. The novel contains recipes and contains considerable information about food: Take fusilli […] People say this pasta was designed by Leonardo da Vinci himself. The spiral fins carry the biggest amount of sauce relative to the surface area, you see? But it only works with a thick, heavy sauce that can cling to the grooves. Conchiglie, on the other hand, is like a shell, so it holds a thin, liquid sauce inside it perfectly (17). Recipes: Dishing Up Death Crime fiction is a genre with a long history of focusing on food; from the theft of food in the novels of the nineteenth century to the utilisation of many different types of food such as chocolate, marmalade, and sweet omelettes to administer poison (Berkeley, Christie, Sayers), the latter vehicle for arsenic receiving much attention in Harriet Vane’s trial in Dorothy L. Sayers’s Strong Poison (1930). The Judge, in summing up the case, states to the members of the jury: “Four eggs were brought to the table in their shells, and Mr Urquhart broke them one by one into a bowl, adding sugar from a sifter [...he then] cooked the omelette in a chafing dish, filled it with hot jam” (14). Prior to what Timothy Taylor has described as the “pre-foodie era” the crime fiction genre was “littered with corpses whose last breaths smelled oddly sweet, or bitter, or of almonds” (online). Of course not all murders are committed in such a subtle fashion. In Roald Dahl’s Lamb to the Slaughter (1953), Mary Maloney murders her policeman husband, clubbing him over the head with a frozen leg of lamb. The meat is roasting nicely when her husband’s colleagues arrive to investigate his death, the lamb is offered and consumed: the murder weapon now beyond the recovery of investigators. Recent years have also seen more and more crime fiction writers present a central protagonist working within the food industry, drawing connections between the skills required for food preparation and those needed to catch a murderer. Working with cooks or crooks, or both, requires planning and people skills in addition to creative thinking, dedication, reliability, stamina, and a willingness to take risks. Kent Carroll insists that “food and mysteries just go together” (Carroll in Calta), with crime fiction website Stop, You’re Killing Me! listing, at the time of writing, over 85 culinary-based crime fiction series, there is certainly sufficient evidence to support his claim. Of the numerous works available that focus on food there are many series that go beyond featuring food and beverages, to present recipes as well as the solving of crimes. These include: the Candy Holliday Murder Mysteries by B. B. Haywood; the Coffeehouse Mysteries by Cleo Coyle; the Hannah Swensen Mysteries by Joanne Fluke; the Hemlock Falls Mysteries by Claudia Bishop; the Memphis BBQ Mysteries by Riley Adams; the Piece of Cake Mysteries by Jacklyn Brady; the Tea Shop Mysteries by Laura Childs; and, the White House Chef Mysteries by Julie Hyzy. The vast majority of offerings within this female dominated sub-genre that has been labelled “Crime and Dine” (Collins online) are American, both in origin and setting. A significant contribution to this increasingly popular formula is, however, from an Australian author Kerry Greenwood. Food features within her famed Phryne Fisher Series with recipes included in A Question of Death (2007). Recipes also form part of Greenwood’s food-themed collection of short crime stories Recipes for Crime (1995), written with Jenny Pausacker. These nine stories, each one imitating the style of one of crime fiction’s greatest contributors (from Agatha Christie to Raymond Chandler), allow readers to simultaneously access mysteries and recipes. 2004 saw the first publication of Earthly Delights and the introduction of her character, Corinna Chapman. This series follows the adventures of a woman who gave up a career as an accountant to open her own bakery in Melbourne. Corinna also investigates the occasional murder. Recipes can be found at the end of each of these books with the Corinna Chapman Recipe Book (nd), filled with instructions for baking bread, muffins and tea cakes in addition to recipes for main courses such as risotto, goulash, and “Chicken with Pineapple 1971 Style”, available from the publisher’s website. Recipes: Integration and Segregation In Heartburn (1983), Rachel acknowledges that presenting a work of fiction and a collection of recipes within a single volume can present challenges, observing: “I see that I haven’t managed to work in any recipes for a while. It’s hard to work in recipes when you’re moving the plot forward” (99). How Rachel tells her story is, however, a reflection of how she undertakes her work, with her own cookbooks being, she admits, more narration than instruction: “The cookbooks I write do well. They’re very personal and chatty–they’re cookbooks in an almost incidental way. I write chapters about friends or relatives or trips or experiences, and work in the recipes peripherally” (17). Some authors integrate detailed recipes into their narratives through description and dialogue. An excellent example of this approach can be found in the Coffeehouse Mystery Series by Cleo Coyle, in the novel On What Grounds (2003). When the central protagonist is being questioned by police, Clare Cosi’s answers are interrupted by a flashback scene and instructions on how to make Greek coffee: Three ounces of water and one very heaped teaspoon of dark roast coffee per serving. (I used half Italian roast, and half Maracaibo––a lovely Venezuelan coffee, named after the country’s major port; rich in flavour, with delicate wine overtones.) / Water and finely ground beans both go into the ibrik together. The water is then brought to a boil over medium heat (37). This provides insight into Clare’s character; that, when under pressure, she focuses her mind on what she firmly believes to be true – not the information that she is doubtful of or a situation that she is struggling to understand. Yet breaking up the action within a novel in this way–particularly within crime fiction, a genre that is predominantly dependant upon generating tension and building the pacing of the plotting to the climax–is an unusual but ultimately successful style of writing. Inquiry and instruction are comfortable bedfellows; as the central protagonists within these works discover whodunit, the readers discover who committed murder as well as a little bit more about one of the world’s most popular beverages, thus highlighting how cookbooks and novels both serve to entertain and to educate. Many authors will save their recipes, serving them up at the end of a story. This can be seen in Julie Hyzy’s White House Chef Mystery novels, the cover of each volume in the series boasts that it “includes Recipes for a Complete Presidential Menu!” These menus, with detailed ingredients lists, instructions for cooking and options for serving, are segregated from the stories and appear at the end of each work. Yet other writers will deploy a hybrid approach such as the one seen in Like Water for Chocolate (1989), where the ingredients are listed at the commencement of each chapter and the preparation for the recipes form part of the narrative. This method of integration is also deployed in The Kitchen Daughter (2011), which sees most of the chapters introduced with a recipe card, those chapters then going on to deal with action in the kitchen. Using recipes as chapter breaks is a structure that has, very recently, been adopted by Australian celebrity chef, food writer, and, now fiction author, Ed Halmagyi, in his new work, which is both cookbook and novel, The Food Clock: A Year of Cooking Seasonally (2012). As people exchange recipes in reality, so too do fictional characters. The Recipe Club (2009), by Andrea Israel and Nancy Garfinkel, is the story of two friends, Lilly Stone and Valerie Rudman, which is structured as an epistolary novel. As they exchange feelings, ideas and news in their correspondence, they also exchange recipes: over eighty of them throughout the novel in e-mails and letters. In The Food of Love (2004), written messages between two of the main characters are also used to share recipes. In addition, readers are able to post their own recipes, inspired by this book and other works by Anthony Capella, on the author’s website. From Page to Plate Some readers are contributing to the burgeoning food tourism market by seeking out the meals from the pages of their favourite novels in bars, cafés, and restaurants around the world, expanding the idea of “map as menu” (Spang 79). In Shannon McKenna Schmidt’s and Joni Rendon’s guide to literary tourism, Novel Destinations (2009), there is an entire section, “Eat Your Words: Literary Places to Sip and Sup”, dedicated to beverages and food. The listings include details for John’s Grill, in San Francisco, which still has on the menu Sam Spade’s Lamb Chops, served with baked potato and sliced tomatoes: a meal enjoyed by author Dashiell Hammett and subsequently consumed by his well-known protagonist in The Maltese Falcon (193), and the Café de la Paix, in Paris, frequented by Ian Fleming’s James Bond because “the food was good enough and it amused him to watch the people” (197). Those wanting to follow in the footsteps of writers can go to Harry’s Bar, in Venice, where the likes of Marcel Proust, Sinclair Lewis, Somerset Maugham, Ernest Hemingway, and Truman Capote have all enjoyed a drink (195) or The Eagle and Child, in Oxford, which hosted the regular meetings of the Inklings––a group which included C.S. Lewis and J.R.R. Tolkien––in the wood-panelled Rabbit Room (203). A number of eateries have developed their own literary themes such as the Peacocks Tearooms, in Cambridgeshire, which blends their own teas. Readers who are also tea drinkers can indulge in the Sherlock Holmes (Earl Grey with Lapsang Souchong) and the Doctor Watson (Keemun and Darjeeling with Lapsang Souchong). Alternatively, readers may prefer to side with the criminal mind and indulge in the Moriarty (Black Chai with Star Anise, Pepper, Cinnamon, and Fennel) (Peacocks). The Moat Bar and Café, in Melbourne, situated in the basement of the State Library of Victoria, caters “to the whimsy and fantasy of the fiction housed above” and even runs a book exchange program (The Moat). For those readers who are unable, or unwilling, to travel the globe in search of such savoury and sweet treats there is a wide variety of locally-based literary lunches and other meals, that bring together popular authors and wonderful food, routinely organised by book sellers, literature societies, and publishing houses. There are also many cookbooks now easily obtainable that make it possible to re-create fictional food at home. One of the many examples available is The Book Lover’s Cookbook (2003) by Shaunda Kennedy Wenger and Janet Kay Jensen, a work containing over three hundred pages of: Breakfasts; Main & Side Dishes; Soups; Salads; Appetizers, Breads & Other Finger Foods; Desserts; and Cookies & Other Sweets based on the pages of children’s books, literary classics, popular fiction, plays, poetry, and proverbs. If crime fiction is your preferred genre then you can turn to Jean Evans’s The Crime Lover’s Cookbook (2007), which features short stories in between the pages of recipes. There is also Estérelle Payany’s Recipe for Murder (2010) a beautifully illustrated volume that presents detailed instructions for Pigs in a Blanket based on the Big Bad Wolf’s appearance in The Three Little Pigs (44–7), and Roast Beef with Truffled Mashed Potatoes, which acknowledges Patrick Bateman’s fondness for fine dining in Bret Easton Ellis’s American Psycho (124–7). Conclusion Cookbooks and many popular fiction novels are reflections of each other in terms of creativity, function, and structure. In some instances the two forms are so closely entwined that a single volume will concurrently share a narrative while providing information about, and instruction, on cookery. Indeed, cooking in books is becoming so popular that the line that traditionally separated cookbooks from other types of books, such as romance or crime novels, is becoming increasingly distorted. The separation between food and fiction is further blurred by food tourism and how people strive to experience some of the foods found within fictional works at bars, cafés, and restaurants around the world or, create such experiences in their own homes using fiction-themed recipe books. Food has always been acknowledged as essential for life; books have long been acknowledged as food for thought and food for the soul. Thus food in both the real world and in the imagined world serves to nourish and sustain us in these ways. References Adams, Riley. Delicious and Suspicious. New York: Berkley, 2010. –– Finger Lickin’ Dead. New York: Berkley, 2011. –– Hickory Smoked Homicide. New York: Berkley, 2011. Baltazar, Lori. “A Novel About Food, Recipes Included [Book review].” Dessert Comes First. 28 Feb. 2012. 20 Aug. 2012 ‹http://dessertcomesfirst.com/archives/8644›. Berkeley, Anthony. The Poisoned Chocolates Case. London: Collins, 1929. Bishop, Claudia. Toast Mortem. New York: Berkley, 2010. –– Dread on Arrival. New York: Berkley, 2012. Brady, Jacklyn. A Sheetcake Named Desire. New York: Berkley, 2011. –– Cake on a Hot Tin Roof. New York: Berkley, 2012. Calta, Marialisa. “The Art of the Novel as Cookbook.” The New York Times. 17 Feb. 1993. 23 Jul. 2012 ‹http://www.nytimes.com/1993/02/17/style/the-art-of-the-novel-as-cookbook.html?pagewanted=all&src=pm›. Capella, Anthony. The Food of Love. 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Dissertationen zum Thema "Jean (1952-.... ; romancier)"

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Préclaire, Florian. „Recommencer le monde. Poétiques du récit dans les œuvres de Marie-Hélène Lafon, Laurent Mauvignier, Pierre Michon et Jean Rouaud“. Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030037.

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Depuis les années 80 et jusqu’à aujourd’hui, entre le constat initial de sa perte et celui plus récent de son ressaisissement, le monde s’est imposé aux écrivains ainsi qu’une matière discontinue et douteuse. C’est à partir de traces que les récits de Marie-Hélène Lafon, de Laurent Mauvignier, de Pierre Michon et de Jean Rouaud s’érigent et se constituent, cependant que la réévaluation du rapport au réel et à l’H-histoire leur enjoint de questionner l’origine en termes symboliques. L’appréhension du monde passe ainsi chez eux tantôt par le prisme de l’enquête et tantôt par celui de l’anthropologie pour inscrire le présent dans un lien étroit avec les symboles et les mythes qui racontent les commencements. Aussi, c’est en réinterrogeant en profondeur les modalités de ses récits et de ses poétiques que la littérature contemporaine s’attache à recommencer le monde. Aux prises avec les figures d’engendrement, elle s’ordonne singulièrement entre obliquité et ubiquité ; elle s’applique à repenser l’espace et le temps au présent, ainsi qu’à réévaluer le champ et les formes de ses implications ; elle convoque tout l’empan du spectre des symboliques élémentaires au service de représentations de la création et de figurations d’un être-au-monde ; enfin elle rejoue la place du monde dans le cosmos, pose des mots sur les choses, et réinterroge le lien de l’humain à l’animal afin de délinéer les contours d’un nouvel ethos
From the 1980’s until today, between the initial assessment of its loss and that, more recent, of its re-creation, the world has been adopted by writers as a discontinuous and questionable subject. It is from traces only that the narratives of Marie-Hélène Lafon, Laurent Mauvignier, Pierre Michon and Jean Rouaud are constructed and constituted, while the re-assessment of the relationship to reality and to the story/History is urging them to question the origin of the world in symbolic terms. The understanding of the world is thus filtered in turns through the lens of the investigation or that of the anthropology to closely link the present to the symbols and myths that tell the story of beginnings. Hence, it is by profoundly questioning the arrangements of its narratives and its poetics that contemporary literature commits to recreating the world. Dealing with begetting figures, it positions itself interestingly between obliquity and ubiquity ; it focuses on rethinking place and time to fit the present time, as well as on re-assessing the scope and the arrangements of its implications ; it summons the whole span of the spectrum of elementary symbolism in the service of representations of the creation and of the depiction of ways of being a part of the world ; lastly it reenacts the place of the world in the cosmos, puts words to things, and questions the link between Human and Animal again in order to delineate the shape of a new ethos
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Zahavi, Hadas. „Le statut de témoignage dans l'œuvre de Jean Rouaud“. Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030042.

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De nombreuses études ont tenté de définir les formes d’écritures relatives à l’expérience du soi face aux atrocités de la guerre. En revanche, la recherche testimoniale et littéraire ignore l’idée inverse : comment témoigner d’une guerre que l’on n’a pas vécue ? Cette question non investie jusqu’à présent soulève aujourd’hui des enjeux éthiques et politiques importants. L’occultation de la guerre menée par le monde occidental est essentielle pour la compréhension de la situation politique dont témoignent de nombreux auteurs contemporains. Au cœur de leurs récits de guerre, des écrivains contemporains tels que Jean Rouaud, Jean-Yves Jouannais, Laurent Mauvignier et François Bon livrent des témoignages sur des guerres auxquelles ils n’ont pas pris part. Ils le font à la première personne et au présent, tout en entrant dans les moindres détails des faits racontés. Ces écrivains attestent d’événements relatifs aux guerres passées comme aux conflits actuels. Ces témoignages ne s’appuient exclusivement ni sur la littérature scientifique ou professionnelle ni sur les récits partagés par des témoins directs de la guerre. Ainsi, le fait que ces auteurs n’aient pas assisté à la guerre leur permet de livrer des témoignages pionniers sur les situations actuelles de conflit comme sur les guerres historiques. Pour répondre à cette question de recherche, cette thèse analyse le statut du témoignage dans l’œuvre de Jean Rouaud, écrivain pionnier de cette tendance littéraire, et en retrace l’évolution
The present thesis defines a new model of testimony written by contemporary authorswho were not physically present in the conflicts their writings describe in first-person narrative and the present tense. This literary corpus constitutes a watershed in the history of modern testimonial literature, which ascribes absolute authority as war witnesses to ‘the men who were there’ in the conflict zone during the war. Using first-person narratives, intimate language, and detailed writing, contemporary writers such as Jean Rouaud, Pierre Bergounioux, François Bon, Jean-Yves Jouannais, Pierre Michon, and Annie Ernaux witness events from the two world wars and from current conflict zones. They do not provide testimonies from a perspective external to war; they do not base their writings on scientific or professional literature nor rely on survivors’ ‘first-hand testimonies’. Further, in their writings, traveling to distant conflict zones is not a prerequisite to become an eyewitness to the injustices that occur there. Instead, for these writers, the intergenerational consequences of theworld wars and the involvement of France in conflicts around the world make them witnesses of those conflicts. The fact that these authors never participated directly in a war constitutes a new approach to the ‘eyewitness’ that is valuable for understanding contemporary reality. In an attempt to trace the nature of this tendency in its literary, ethical, and political aspects, the present study is devoted to a lateral reading of the corpus of Jean Rouaud, the pioneering and leading writer of this tendency
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Salaün, François. „Jean-Louis Dubut de Laforest : un romancier populaire“. Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030004/document.

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L’objectif de ma thèse est de montrer la grande originalité de l’œuvre de Jean-Louis Dubut de Laforest et de rendre accessibles au lecteur contemporain ses orientations idéologiques et ses choix esthétiques.L’appartenance de ses romans à une littérature dite « populaire » s’explique par le primat qu’ils ac-cordent à l’action et surtout par les modalités de leur diffusion : un grand nombre d’entre eux ont en effet d’abord été publiés sous la forme de romans-feuilletons dans la presse à grand tirage de son époque. Cependant, chacune de ses créations est profondément ancrée dans un environnement historique que l’auteur reflète, commente et sur lequel il cherche à peser au moyen de l’invention narrative, en vertu d’une ambition sociale plusieurs fois exprimée. Une partie de mon travail consiste donc également à mettre au jour le contexte social et politique de la période de rédaction des romans, entre 1880 et 1902, en m’appuyant essentiellement sur des travaux d’historiens.Après une présentation détaillée des quelque quatre-vingts volumes qui composent l’œuvre de Jean-Louis Dubut de Laforest, il s’agit donc d’étudier son ensemble en privilégiant des axes thématiques où les choix de l’auteur sont particulièrement sensibles. Les motifs étudiés dans la seconde partie donnent leur titre aux différents chapitres : la condition féminine, la prostitution, l’homosexualité, l’antisémitisme, la presse, les relations entre science et religion, l’action politique, les syndicats et mutuelles, l’anarchisme et l’utopie, et le souvenir de la guerre de 1870. Le dernier chapitre envisage la réception de cette œuvre monumentale et le statut du lecteur dans l’ensemble des romans
The aim of my thesis is to show the great originality of Jean-Louis Dubut de Laforest’s literary work and to make accessible his ideological convictions and aesthetic choices to the contemporary reader.The inscription of his novels in the so-called popular literature can be explained by the importance given to the action and mostly by the means of their distribution: a great number of them were first published in serial form in the popular press of his time. However, each of his creations is deeply rooted in its historical background, which is reflected in it and commented on by the author who tries to influence his era through the narrative invention by virtue of his social ambition so frequently expressed. Therefore, a part of my study consists in analyzing the social and political context of the period corresponding to the writing of the novels, between 1880 and 1902, by using history researches. After a detailed presentation of the some eighty volumes of which is composed Jean-Louis Dubut de Laforest’s work, the matter is to study the whole by privileging certain thematic axes where the author’s choices are particularly meaningful. The motifs which are examined in the second part of the study give the name of the different chapters : women’s condition, prostitution, homosexuality, anti-Semitism, the press, science and religion relationship, political action, trade unions and mutual benefit societies, anarchism and Utopia, and the memory of the Franco-Prussian War. The last chapter deals with the reception of this monumental work and the reader’s status in the novels
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Chick, Kristine Robbyn. „Re-framing French culture : transformation and renewal in the films of Jean-Luc Godard, Alain Resnais, Agnès Varda and Jacques Tati (1954-1968)“. Thesis, University of Glasgow, 2011. http://theses.gla.ac.uk/3101/.

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In this dissertation I focus on the cultural transformations and renewal apparent in the films of Godard, Resnais, Varda and Tati in the period 1954-1968. I contend that the Algerian Revolution (1954-1962) – also known as the Algerian War of Independence – contributed to eroding the myth of Résistancialisme and engendered, especially in the generation young enough to be drafted, an initially confused but nevertheless sincere quest for a cause or a Revolution to believe in. This is depicted in the films of Godard, Resnais and Vautier chosen for study here. I also maintain that the aforementioned quest and related cultural, societal and ideological transformations contributed to the events of May 1968. While May 68 is generally considered to have been unforeseen, it was, with hindsight, clearly foreshadowed in the films I have chosen to study. During this period it was not only Algerians but also women who were engaged in a struggle for equality and civil rights, not least of all the right to corporal freedom through fair and legal access to contraception and abortion. Momentous changes in laws governing women and their social status was achieved through sustained challenges to dominant power structures and ideology: therefore, I complement the aforementioned theses by deploying sexual-linguistics and Luce Irigaray and Julia Kristeva’s challenges to Lacanian psychoanalysis in an analysis of Varda’s films to portray these transformations and argue that women are not excluded from the Logos, but rather can be considered to be the very point of origin of the symbolic order and language itself. Moving towards May 68, I conclude by applying Bakhtin’s theories on the role of laughter and Rabelaisian carnival to four of Jacques Tati’s films of this era, which, I argue, offer representations of a growing collective folk movement and are redolent with the symbolism of historic renewal, therefore also pointing forward to the solidarity and rebellion that typified May 68. Finally, I conclude that the films included in my dissertation, when considered together, have the distinct advantage of portraying an insight into the many momentous cultural and societal transformations taking place in a chapter of modern French history more commonly described as ‘quiet’.
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Clamens-Nanni, Frédéric. „Regarder son amour se défaire devant soi : Le roman de la fin du couple selon Jean-Philippe Toussaint, Christian Oster et Jacques Serena“. Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2020. http://www.theses.fr/2020CLFAL009.

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Bien qu’ils n’aient pas à proprement parler un air de famille, Toussaint, Oster et Serena écrivent des romans de la fin du couple qui rendent compte d’un « travail du négatif », trait saillant du roman minuitard depuis les années 1980 selon Fabien Gris. Ces fictions se polarisent désormais plus sur la séparation que sur la rencontre. Elles se donnent comme autant de modulations d’une situation que l’on peut, en paraphrasant Toussaint, caractériser par cette formule : regarder son amour se défaire devant soi. C’est sous les yeux du narrateur que la fin du couple s’accomplit, donc selon sa perspective, son optique. Cette thèse analyse la disjonction des personnages au fil d’un itinéraire visuel en trois étapes. La première montre comment ces récits nient la formule rituelle Leurs yeux se rencontrèrent, infléchissant alors le roman sentimental et ses topoï. Il n’est plus de première vue décisive pour sceller la destinée du couple. Le face à face bascule vers un face à dos, objet de la deuxième étape. Le dos y est envisagé à travers le pivotement qu’il exécute et comme motif à la croisée des arts visuels et du roman. Il s’impose dans le champ de vision du spectateur à qui il oppose une fin de non-recevoir. Après le pivotement, la femme de dos s’éloigne puis disparaît. La troisième étape se construit autour du vide laissé par celle qui s’en est allée et qui occupe une zone aveugle. Toujours en position de spectateur, le narrateur se figure son absence. Telle est l’ultime étape de cet itinéraire visuel : le blanc devant lui devient écran de projection sur lequel défilent les images d’une vie qui se déroule dorénavant sans lui. Le blanc se fait appel du vide, vide vertigineux, gouffre, ou surface réfléchissant sa propre vacuité quand il se retrouve seul avec lui-même
Despite their obvious differences, the novels written by Toussaint, Oster and Serena narrate the end of the love story, with a particular emphasis on negativity – which, according to Fabien Gris, constitutes a defining feature of the Minuit novels since the 1980s. These works of fiction focus more on the breakup than on the first time the lovers met. They describe a series of situations that one could classify with this phrase, borrowed from Jean-Philippe Toussaint: “Watching as your love story unravels before your eyes.” The end of the relationship happens right before the eyes of the narrator, and is portrayed according to his perspective, his viewpoint. This dissertation analyzes the separation of the characters according to three visual steps. The first step shows how those novels undo the traditional formula “when their eyes met” (Jean Rousset), and differ from the pattern of the sentimental novel and its topoi. There is no decisive first encounter anymore that determines the destiny of the couple. There is no more face-to-face for the characters, but rather a “face-to-back”, which is the object of the second chapter. The back is studied as both a symbol of the loved one turning around and as a motif situated at the crossing between visual arts and writing. For the spectator, the back symbolizes a final refusal. After she turns around, the loved woman walks away and then disappears. The third step of the argument focuses on the void she leaves behind as she moves on, a blind spot. Left in the position of a spectator, the narrator has to picture her absence. This is the final stage of this visual itinerary: the emptiness before him turns into a projection screen on which pictures of a life are shown, pictures now happening without him. This white page stands in for a void, a vacuity, an abyss – and also a white canvas reflecting the emptiness in the narrator’s life
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Leduc, Noëmie Anne. „« Nourricritures » sino-américaines : la représentation de l'alimentation chez Gish Jen, Fae Myenne Ng et Amy Tan“. Thesis, Bordeaux 3, 2020. http://www.theses.fr/2020BOR30031.

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Cette thèse porte sur l’œuvre d’écrivaines sino-américaines de deuxième génération : Amy Tan, Gish Jen et Fae Myenne Ng. Nous étudions plusieurs de leurs romans dans lesquels la nourriture constitue un thème particulièrement significatif : The Joy Luck Club (1989), The Kitchen God’s Wife (1991) et The Hundred Secret Senses (1996) de Tan ; Typical American (1991) et Mona in the Promised Land: A Novel (1996) de Jen ; et enfin, Bone (1993) et Steer Toward Rock (2008) de Ng. Il s’agit de démontrer que l’alimentation et ses corrélatifs sont liés à de multiples processus de déstabilisation et de reformulation des normes identitaires tant ethniques que genrées ou littéraires, en mettant en lumière les lignes de convergence mais également les divergences dans la façon qu’ont les auteurs d’écrire la nourriture. Celle-ci est au cœur de la construction de l’identité. La bouche est la zone liminale de l’incorporation ou du rejet des mets et impératifs extérieurs, dont l’ingestion et la digestion ou le crachement et le vomissement permettent de façonner ou de délimiter dans un même temps les corps physiologiques, sociaux, culturels et psychologiques, individuels et collectifs. Il s’agit alors d’explorer le contexte spécifique qui sous-tend la centralité de l’alimentation dans les diverses communautés sino-américaines et les romans qui les représentent. Cela nous permet ensuite d’étudier en quoi les scènes culinaires sont, pour les écrivaines, des topoi privilégiés afin de souligner de multiples problématiques interculturelles, genrées et scripturales, et ainsi de redéfinir les attentes et les modalités qui régissent leur représentation
This dissertation deals with the literary production of three second-generation Chinese American women writers: Amy Tan, Gish Jen et Fae Myenne Ng. It focuses on some of their novels in which food plays a central part: The Joy Luck Club (1989), The Kitchen God’s Wife (1991) and The Hundred Secret Senses (1996) by Tan; Typical American (1991) and Mona in the Promised Land: A Novel (1996) by Jen; and Bone (1993) and Steer Toward Rock (2008) by Ng. It aims to show that food and all other elements related to it are linked to multiple processes of ethnic, gender and literary identity destabilization and reformulation. It highlights both common and diverging features between the different ways in which the authors write about food, which is itself a paramount element in identity construction. The mouth is the liminal area through which the incorporation or rejection of external food and imperatives are carried out. Ingestion and digestion, or spitting out and vomiting enable subjects to shape or delimit physiological, social, cultural and psychological bodies simultaneously, both on a collective and on an individual level. This dissertation thus explores the specific contexts related to food in the diverse Chinese American communities represented in the novels. It then analyzes how culinary scenes are useful topoi for the writers to underline several intercultural, gender, and scriptural issues, and thereby to redefine the expectations and the terms that underlie their representation
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Meyers, Emily Taylor 1979. „Transnational romance: The politics of desire in Caribbean novels by women“. Thesis, University of Oregon, 2009. http://hdl.handle.net/1794/10232.

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xi, 236 p. A print copy of this thesis is available through the UO Libraries. Search the library catalog for the location and call number.
Writers in the Caribbean, like writers throughout the postcolonial world, return to colonial texts to rewrite the myths that justified and maintained colonial control. Exemplary of a widespread, regional phenomenon that begins at mid-century, writers such as Aimé Césaire and George Lamming take up certain texts such as Shakespeare's The Tempest and recast them in their own image. Postcolonial literary theory reads this act of rewriting the canon as a political one that speaks back to power and often advocates for political and cultural independence. Towards the end of the twentieth century and at the beginning of the twenty-first century, Caribbean women writers begin a new wave of rewriting that continues in this tradition, but with certain differences, not least of which is a focused attention to gender and sexuality and to the literary legacies of romance. In the dissertation I consider a number of novels from throughout the region that rewrite the romance, including Jean Rhys's Wide Sargasso Sea (1966), Maryse Condé's La migration des coeurs (1995), Mayra Santos-Febres's Nuestra señora de la noche (2006), and Dionne Brand's In Another Place, Not Here (1996). Romance, perhaps more than any other literary form, exerts an allegorical force that exceeds the story of individual characters. The symbolic weight of romance imagines the possibilities of a social order--a social order dependent on the sexual behavior of its citizens. By rewriting the romance, Caribbean women reconsider the sexual politics that have linked women with metaphorical constructions of the nation while at the same time detailing the extent to which transnational forces, including colonization, impact the representation of love and desire in literary texts. Although ultimately these novels refuse the generic requirements of the traditional resolution for romance (the so-called happy ending), they nonetheless gesture towards a reordering of community and a revised notion of kinship that recognizes the weight of both gendered and sexual identities in the Caribbean.
Committee in charge: Karen McPherson, Chairperson, Romance Languages; David Vazquez, Member, English; Tania Triana, Member, Romance Languages; Judith Raiskin, Outside Member, Womens and Gender Studies
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Lopoukhine, Juliana. „Poétiques et politiques des espaces urbains dans la fiction féminine des années 1910-1930 en Angleterre : la différence sexuelle à l’épreuve de la ville. Rose Macaulay, Katherine Mansfield, Virginia Woolf & Jean Rhys“. Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100117.

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La ville des années 1910-30 concentre les enjeux politiques et historiques, au lendemain de la première guerre mondiale. Elle est à la fois lieu où s’imprime la crise du temps et terreau de sa potentialité, laboratoire des représentations esthétiques ou littéraires au moment moderniste et scène de l’avènement des femmes. Les récits de Rose Macaulay, Katherine Mansfield, Virginia Woolf et Jean Rhys viennent saisir les déterminations historiques et sociopolitiques comme maillage de places dans les espaces urbains de ces années charnières. La subjectivité des personnages féminins constitue la position d’une lecture critique qui façonne et défait les lieux fixés par les modalités du pouvoir et met en œuvre des résistances qui, depuis les effets de voix, font bouger les quadrillages spatiaux et politiques. La difficulté pour les personnages féminins de trouver un lieu où faire entendre leur dire met en éclat les formes de la communauté et les schèmes temporels. L’espace abandonne sa vectorisation, et, devenu force de désœuvrement poétique, génère une crise continue des formes du temps et du récit. Par le biais de poétiques paradoxales dissonantes qui modulent une re-création subjective de la ville, les lieux se délient en figurations de l’espace au fil des images qui travaillent et créent, à même son matériau, une ville sans modèle où s’écrit l’expérience éphémère. Une poiesis, au sens étymologique, va se modeler sur les seuils de l’espace, du temps et de la langue. La force d’irruption du figural opère un frayage qui ré-ouvre le moment moderniste aux potentialités du temps par le biais de l’imaginaire, dont l’événement est sans cesse reconduit dans la langue
From 1910 to 1930, and in the aftermath of the First World War, history and politics were focused on the city. The city crystallised what was at once a temporal crisis and a period rich in potential. It was, at the same time, a laboratory for a new Modernist aesthetics in literature and the stage on which women at last arrived. The writings of Virginia Woolf, Jean Rhys, Katherine Mansfield and Rose Macaulay take on the historical and socio-political determinations that, for women, structured urban space like a grid. The subjectivities of their female characters constitute positions which allow a critical reading both to create and unravel spatial configurations determined by the modalities of power. They start the work of resistance that promises to unhinge the spatial and political grids of power. The difficulty the female voice has in finding a place to be heard generates a force that shatters the bonds of community and temporal structures. Space relinquishes its role in the construction of plot so that conventional forms of time and narrative dissolve in the face of a new poetics. From the point of view of this poetics of paradox, the city is recreated subjectively. New images carve out a new city, without precedent, made from fleeting, ephemeral experiences. A new poetics taken in the etymological sense of making, poiein, is created on the thresholds of space, time and language. The power of figurative language to break through convention that is at work in these writings of the city clears the path for the Modernist moment to erupt and create new potentialities in time, through the power of the imaginary that is always part of language’s possibilities
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Quinton, Laurent. „Une littérature qui ne passe pas : récits de captivité des prisonniers de guerre français de la Seconde Guerre mondiale (1940-1953)“. Phd thesis, Université Rennes 2, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00194520.

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Tout comme les récits de déportation politique et raciale, les récits de captivité des prisonniers de guerre français de la Seconde Guerre mondiale présentent un intérêt non négligeable, du point de vue historique, documentaire, idéologique, mais aussi littéraire.
Entre 1940 et 1953, pas moins de 188 récits — témoignages, journaux, romans — furent publiés, qui constituent un corpus riche qui n'a pas été étudié jusqu'à présent. Cette thèse de doctorat entreprend de démêler, à travers l'étude du contexte littéraire et politique de l'époque, les différents enjeux qui gravitent autour de ces récits.
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Macedo, Éder Alves de. „Dos limites da existência : o existencialismo em A Paixão Segundo G.H., de Clarice Lispector“. reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2014. http://hdl.handle.net/10183/103882.

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Esta pesquisa, em um primeiro momento, pretende apreender o existencialismo como parte dos ideários integrantes das vicissitudes que marcaram a transição para a modernidade literária. A seguir, conceitos presentes na obra O Ser e o Nada: Ensaio de Ontologia Fenomenológica, do filósofo francês Jean-Paul Sartre, são relacionados a elementos constituintes da estrutura narrativa, a saber, o espaço, o tempo e o narrador. Com isso, os conceitos sartrianos de consciência, de Ser e de liberdade, uma vez inter-relacionados a esses elementos da estrutura narrativa, possibilitam a criação de ferramentas que melhor assinalam a relação dessa corrente filosófica com a obra de Clarice Lispector, A Paixão Segundo G. H. É nessa perspectiva que os conceitos de narrador, espaço e tempo à luz do existencialismo são utilizados a fim de que, sob uma ótica filosófica, novos leituras sobre o romance sejam possibilitadas.
This research aims at identifying points of connection between Existentialism and the Modern agenda using as a corpus of investigation the novel A Paixão Segundo G. H., by the Brazilian writer, Clarice Lispector. Concepts apprehended from Jean-Paul Sartre‟s Being and Nothingness: An Essay on Phenomenological Ontology are related to three aspects of the narrative structure, namely space, time and narration. The French philosopher‟s concepts respecting consciousness, being and freedom, when interrelated with Lispector‟s narrative structure, allow the creation of tools that emphasize this relation between philosophy and literature in the analyzed novel. We expect that this endeavor may open new possibilities of reading to that novel, in which narration, space and time can be examined in the light of Existential concepts.
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Buchteile zum Thema "Jean (1952-.... ; romancier)"

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Palmer, R. Barton. „Fritz Lang Remakes Jean Renoir for Hollywood: Film Noir in Three National Voices“. In Transnational Film Remakes. Edinburgh University Press, 2017. http://dx.doi.org/10.3366/edinburgh/9781474407236.003.0003.

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Fritz Lang’s 1954 noir romance Human Desire (1954), both an adaptation of Emile Zola’s novel La Bête humaine (1890) and a remake of Jean Renoir’s 1938 screen version of the same title, provides an invaluable site for the examination of the complex intersections among the three principal traditions, literary and cinematic, that are constitutive of the American film noir. These are: the fiction of James M. Cain, with its emphasis on destructive romantic entanglements; the filmic tradition of poetic realism, recognised in the early post-war period as a stylistic and thematic practice that anticipated the American film noir; and, German Expressionism, as represented by one of its most famed practitioners, Fritz Lang, whose concerns with the workings of the modern justice system notably inflect his versioning of Zola’s sordid tale. Like many transnational film remakes, Human Desire displays a complex series of recontextualising gestures, the larger interest of which is that they illustrate the ways in which the traditions constitutive of noir can be invoked in the process of re-assembling for another cinematic tradition a text that was wildly successful in a related, but finally distinct, form of filmmaking.
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Öhrström, Lars. „To Take Back the Future“. In The Last Alchemist in Paris. Oxford University Press, 2013. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780199661091.003.0025.

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There are different ways to be propelled into stardom. In 1953 Audrey Hepburn used a scooter in the William Wyler film Roman Holiday. The unsteady ride ends at a police station, and with Hepburn earning an Academy Award for best actress. A rather different approach was taken by Michael Douglas and friends in Romancing the Stone (Robert Zemeckis 1984, also produced by Douglas), where Douglas and Kathleen Turner are chased throughout most of the film by Danny DeVito in a white Renault 4L. These more modest modes of transport were not quite the style of Michael J. Fox in Zemeckis’ next movie Back to the Future — Fox’s vehicle to international fame is a plutonium-powered DeLorean sports car. While Piaggio (the makers of the Vespa used by Hepburn) and Renault are large companies that still exist, the DeLorean Motor Company was already bankrupt in 1982, too early to profit from the success of the movie—a worldwide blockbuster sensation in 1985. But even if you could find a used DeLorean DMC-12, the only model ever built by the company, don’t expect it to take you back to the 1950s even if you fuel it up with plutonium. In the movie, Fox’s character Marty McFly gets caught up in a time paradox and literally needs to save his own future. In real life, six years later, at the age of 29, Fox was diagnosed with Parkinson’s disease, beginning a very real life fight to take back his own future by battling the disease at all levels. Parkinson’s disease is what is known as degenerative neurological disorder. It is chronic, and there is at present no cure, but treatment to combat the symptoms exists. It was first described in detail by English physician James Parkinson, and named after him by the influential Jean-Martin Charcot whom we met briefly in Chapter 12. The classical symptoms are tremors, rigidity, slowness of movements, and balance problems. The problems for doctors, and consequently for their patients, is that there is no simple chemical or biochemical test for Parkinson’s disease, sometimes making the diagnosis a complicated affair.
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