Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Humeur dépressive“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Humeur dépressive"

1

Braconnier, A. „Début des états anxio-dépressifs : Étude clinique préliminaire“. Psychiatry and Psychobiology 1, Nr. 2 (1986): 170–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003266.

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RésuméL'étude de vingt jeunes sujets déprimés, dont un peu plus de la moitié présentait une dépression secondaire à un état anxieux aigu, a amené l'auteur à entreprendre une étude clinique prospective sur les modes de début des états anxieux et anxio-dépressifs. L'exemple clinique d'un de ces modes de début faisant partie de l’étude préliminaire sur cette question est ici rapporté. On observe, comme cela a été décrit chez des sujets plus âgés, un enchaînement séquentiel caractéristique : anxiété aiguë suivie d’une agoraphobie et d’un risque de dépression secondaire. Cependant l’existence avant la première crise d'angoisse aiguë cliniquement patente d’une humeur «anxio-dépressive», certes minime et infra-clinique, pose la question de l'âge de début, du mode de début et des relations initiales entre le «corpus» anxieux et le «corpus» dépressif.
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Rein, W., H. Giedke und D. Axmann. „Traitements antidépresseurs (amitriptyline et oxaprotiline), éléments psychopathologiques prédictifs de l'efficacité thérapeutique“. Psychiatry and Psychobiology 1, Nr. 1 (1986): 85–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000377.

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RésuméLa valeur prédictive du diagnostic et de la symptomatologie a été étudiée chez 42 malades hospitalisés souffrant de troubles dépressifs majeurs et traités par antidépresseurs (oxaprotiline ou amitriptyline). A 4 semaines de traitement, le score à l'échelle de dépression de Hamilton (17 items) a été pris comme critère d'amélioration : étaient considérés comme améliorés les sujets dont le score était ≤ 9, et comme non améliorés ceux dont le score était > 9. L'intensité de la dépression avant traitement était comparable dans les deux groupes. La sémiologie de la dépression a été évaluée aussi par une échelle plus complète, l'EADM 1 (Pichot et Coll.) qui permet d'établir un profil syndromique à 7 facteurs : «humeur et idéation dépressive», «plaintes subjectives», «agitation névrotique», «ralentissement psychomoteur », «plaintes somatiques», «anxiéteé» et «troubles de l'appétit».Ni les sous-groupes diagnostiques (endogène/non endogène) ni l'opposition agitation/ralentissement ni le sexe ni les traitements ni les taux plasmatiques d'amitryptiline ne différenciaient les deux groupes de sujets (améliorés et non améliorés). L'âge des sujets améliorés était significativement plus élevé. Les taux plasmatiques moyens d'oxaprotiline étaient significativement plus élevés dans le groupe des sujets améliorés.Deux facteurs de l'EADM 1, le facteur 1, humeur et idéation dépressive et le facteur 5, plaintes somatiques, permettaient par analyse discriminante un classement correct de 79 % des malades par rapport au critère d'amélioration. Un score élevé avant traitement au facteur 1 joint à un score bas au facteur 5 indiquaient un bon pronostic à 4 semaines.
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3

Poudat, Céline, und Aurore Boulard. „Récits de vie d’adolescents. Humeur dépressive et figures parentales“. SHS Web of Conferences 8 (2014): 1563–77. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20140801384.

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Freixa i Baque, E., und P. Boyer. „Activité électrodermale spontanée chez des sujets déprimés soumis à un traitement antidépresseur et neuroleptique séquentiel“. Psychiatry and Psychobiology 1, Nr. 1 (1986): 91–95. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000389.

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RésuméVingt patients présentant une dépression primaire d'après les critères de Feighner ont été assignés par tirage au sort, après une période de «wash-out», à l'un des deux traitements sé-quentiels par clomipramine et thioridazine. Le groupe A recevait d'abord la thioridazine seule pendant 15 jours, puis en association avec la clomipramine. Le groupe B recevait d'abord la clomipramine seule pendant 15 jours, puis en association avec la thioridazine. Aucun autre médicament n'était autorisé pendant les cinq semaines du traitement. Les réponses électrodermales spontanées de potentiel (SSPRs) ont été enregistrées au début et à la fin de l'étude, ainsi qu'au 14e jour, c'est-à-dire, juste avant l'association du deuxième médicament. Les résultats montrent que les SSPRs sont significativement plus fréquentes pour le groupe A que pour le groupe B au 14e jour, alors que le contraire était constaté au début du traitement ; aucune différence significative n'apparait à la fin de l'étude où le taux de SSPRs reste extrêmement bas, inférieur à 1.5 réponses/mn (l'ensemble des sujets pouvant être considéréS comme «non-répondeurs»).Ces chiffres contrastent avec les données obtenues chez les sujets normaux présentant des faibles niveaux «d'humeur dépressive» : en effet, pour ces sujets, il existe aussi une corrélation positive entre taux de réponse électrodermale et niveau de dépression, mais au lieu d'être des «non-répondeurs», ils présentent un rythme élevé de réponse (de Bonis et Freixa i Baque, 1978). Cette opposition pourrait traduire une discontinuité entre P«humeur» dépressive des sujets normaux et la dépression endogéne, la première se rapportant à un état, la deuxième à un trait.
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5

MALMARTEL, A. „Episode dépressif caractérisé de l'adulte“. EXERCER 32, Nr. 175 (01.09.2021): 314–15. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.175.314.

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En 2017, la Haute Autorité de santé a publié des recommandations concernant le diagnostic et la prise en charge des épisodes dépressifs caractérisés en soins primaires1. Le diagnostic repose sur la présence, depuis au moins deux semaines, de 2 critères principaux (humeur dépressive, perte d’intérêt/abattement, perte d’énergie/ fatigabilité augmentée) et d’au moins 2 autres symptômes (concentration et attention réduite, diminution de l’estime de soi et de la confiance en soi, sentiment de culpabilité et d’inutilité, perspectives négatives et pessimistes pour le futur, idées et comportement suicidaires, troubles du sommeil, perte d’appétit). La sévérité est définie par le nombre de symptômes : 2 symptômes principaux et 2 autres symptômes correspondent à un épisode léger ; 2 symptômes principaux et 3 ou 4 autres symptômes à un épisode modéré ; 3 symptômes principaux et 4 autres symptômes à un épisode sévère...
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Mascrès, Christiane, und Michael Strobel. „Relations entre humeur dépressive et somatisation: Recension des écrits autour du portrait cible du somatisateur.“ Canadian Psychology/Psychologie Canadienne 41, Nr. 1 (2000): 52–60. http://dx.doi.org/10.1037/h0088162.

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7

Epelbaum, C., und P. Hardy. „Mélancolie délirante: caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et thérapeutiques“. Psychiatry and Psychobiology 5, Nr. 5 (1990): 309–18. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003813.

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RésuméLes spécificités des mélancolies délirantes en regard des autres types de dépression ont fait l’objet de nombreuses recherches dont les résultats apparaissent parfois contradictoires. Sur un plan épidémiologique, les mélancolies délirantes se distinguent peu des autres types de dépression quant au sex-ratio, à l’âge de début, au nombre d’épisodes antérieurs, à l’existence d’antécédents familiaux de troubles thymiques ou quant à la prédominance des formes unipolaires ou bipolaires. Du point de vue clinique, un certain nombre d’éléments paraissent caractériser le tableau des mélancolies délirantes (importance du ralentissement psychomoteur, culpabilité accrue, humeur dépressive et agitation plus intense). D’autres paramètres sont signalés par certains auteurs, mais non par tous, comme plus particuliers à cette entité. Sur un plan biologique, certains marqueurs de la mélancolie délirante ont été isolés (MHPG-HVA plus faible, dosage de β-décarboxylase, etc). Mais aucun de ces indices, en particulier la positivité du test à la dexaméthasone n’est réellement spécifique de cette pathologie. Le traitement des mélancolies délirantes apparaît en revanche bien établi et diffère de celui des autres formes de dépression; supériorité de l’association neuroleptiques-antidépresseurs tricycliques par rapport à la monothérapie antidépressive et surtout l’électro-convulsivo-thérapie qui est fréquemment indiquée d’emblée en raison de la gravité de l’état de ces patients. Il apparaît toutefois que certaines particularités cliniques, évolutives et thérapeutiques confèrent au cadre des mélancolies délirantes une homogénéité et une spécificité suffisantes pour le distinguer du groupe des autres dépressions. Ces caractéristiques, qui sont pour la plupart des variables continues, sont de nature à situer les mélancolies délirantes dans un gradient de sévérité accru en regard des autres dépressions, plutôt que dans une dichotomie. Ces divergences de résultats observés à propos d’autres paramètres pourraient résulter d’insuffisances méthodologiques mais également de l’hétérogénéité du groupe des mélancolies délirantes. Cette dernière hypothèse paraît ouvrir les voies de recherche les plus prometteuses.
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8

Brethes, M. O. „De l’art comme catharsis à l’épanouissement par la créativité : accompagnement par l’art-thérapie évolutive dans un cas de trouble bipolaire“. European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 674. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.081.

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L’exposé présente le suivi par l’art-thérapie évolutive d’une patiente atteinte de trouble bipolaire. Au début du suivi, la patiente était très affaiblie, en phase dépressive, en arrêt de travail prolongé. Son traitement associait du lithium, un neuroleptique, un antidépresseur et un anxiolytique. Ses productions artistiques (poèmes, nouvelles, journal, dessins) lui servaient de catharsis uniquement, ce qui renforçait son identification à la souffrance ressentie et à la pathologie. Une tentative de suicide a nécessité un sevrage momentané du traitement.L’accompagnement par l’art-thérapie évolutive, en apprenant à l’artiste comment utiliser consciemment sa créativité pour agir sur son humeur, a permis à la patiente de se forger une vision du monde plus optimiste, qui donne du sens à son questionnement existentiel. Guidée par l’art-thérapeute, elle a intentionnellement réorienté ses créations pour refléter une joie sereine et davantage de confiance en la vie. Elle utilise maintenant en autonomie des outils créatifs concrets pour gérer ses émotions sans s’y identifier. Cette rééducation créative, riche en prises de conscience, incite l’artiste à choisir désormais avec soin les émotions qu’elle vitalise par son art ou au travers des œuvres, films et livres dont elle s’inspire.Après deux ans de suivi art-thérapeutique, en association avec le suivi psychiatrique en place, la patiente a pu reprendre son activité professionnelle initiale à plein temps. Son humeur est stabilisée par une dose deux fois moindre de thymorégulateur et de neuroleptique, sans antidépresseur et sans anxiolytique. Cet allègement du traitement a permis à cette personne obèse de retrouver de l’énergie, de reprendre une activité physique normale et d’amorcer une perte de poids régulière. Grâce à cette nouvelle manière de vivre sa créativité, elle se sent véritablement épanouie et actrice de sa transformation.L’exposé s’appuiera sur un diaporama présentant quelques supports artistiques de cette évolution, tel le tableau « L’envol ».
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Féline, A. „L’utilisation Pratique des Benzodiazépines dans le Traitement des Troubles Anxieux“. Psychiatry and Psychobiology 3, S2 (1988): 183s—188s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002212.

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RésuméLes benzodiazépines ont fait la preuve de leur efficacité dans le traitement des désordres anxieux relativement «purs», en tout cas libres d’une symptomatologie psychotique, dépressive, phobique ou obsessionnelle, qui pourrait leur être associée. Cependant, dans ce cadre même, l’utilisation de molécules à cinétique d’action très inégale, la différence des posologies utilisées, les associations médicamenteuses souvent multiples, les durées de traitement souvent très excessives témoignent s’il en était besoin de pratiques d’utilisation non codifiées et mal maîtrisées.Dans les attaques de panique et, plus banalement, dans les crises d’angoisse observables dans l’urgence médicale, la prescription d’une benzodiazépine par voie orale est une réponse peu évitable, efficace à condition qu’elle n’initie pas une prescription prolongée.C’est sans doute dans le registre du trouble de l’adaptation avec humeur anxieuse (309.24 du DSM III) que les benzodiazépines ont leurs meilleures indications. Il a été suggéré avec pertinence que des molécules à demi-vies longues soient utilisées lorsque la charge anxieuse est constante et importante, des molécules à demi-vies brèves si l’anxiété est variable, à recrudescence vespérale. La prescription ne devra pas excéder 6 semaines.Dans les troubles phobiques, le trouble-panique et le trouble obsessionnel-compulsif, des stratégies thérapeutiques excluant dans la durée l’utilisation des benzodiazépines sont actuellement retenues.Pour le traitement d’un état dépressif majeur ou d’un trouble dysthymique, fussent-ils très infiltrés ou saturés d’angoisse, c’est le choix de l’antidépresseur à prescrire, la dose à laquelle il faudra l’utiliser qui constituent les impératifs essentiels. Le principe d’une monothérapie est à promouvoir; si la prescription d’une benzodiazépine comme tranquillisant ou hypnotique s’avère indispensable, elle devra être courte et en tout cas ne pas être prolongée après la guérison de l’accès dépressif.Lors du sevrage d’un alcoolisme ou d’une toxicomanie, les benzodiazépines comme traitement de confort ou d’accompagnement sont largement utilisées. Il n’existe aucune justification à leur prolongation qui n’évite pas les rechutes et qui expose au risque de dépendance chez des personnalités à risques.De manière générale, l’excessive banalisation de la prescription des benzodiazépines doit être dénoncée; le médecin doit proposer un projet de prescription dont il restera le garant de manière à éviter les autoprescriptions durables par le patient.
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Gargot, T., und N. Bouaziz. „Évolution favorable d’un cas de syndrome de Wernicke et Korsakoff en secteur de psychiatrie“. European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 530. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.386.

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Le syndrome de Wernicke est caractérisé par un syndrome confusionnel, une paralysie oculomotrice, une ataxie cérébelleuse. Il serait secondaire à une carence en vitamine B1 souvent liée à une carence d’origine alcoolique. Le syndrome de Korsakoff est une complication du syndrome de Wernicke auquel s’ajoutent des troubles de la mémoire antérograde, des fabulations, des fausses reconnaissances et une polyneuropathie. Classiquement, le syndrome de Korsakoff est considéré de mauvais pronostic. Qu’apporte une prise en charge bio-psychosociale de ces troubles en secteur de psychiatrie ? Nous rapportons le cas d’un patient hospitalisé pour une tentative de suicide sans alcoolo-dépendance connue. Quelques jours après son admission, il présente un syndrome confusionnel, une paralysie oculomotrice, une ataxie cérébelleuse, une amnésie antérograde, des fabulations, des fausses reconnaissances et une polyneuropathie des membres inférieurs. Un diagnostic de syndrome de Wernicke compliqué de syndrome de Korsakoff a été posé. Par ailleurs, apparaissent une humeur dépressive, une alcoolo-dépendance niée, un délire confuso-onirique, une décompensation d’hypertension artérielle, diabétique et une hyperexcitabilité auriculaire. Des dosages montrent des carences en 25-OH vitamine D et en vitamine B9. Le dosage de la vitamine B1 est normal. Il reçoit des benzodiazépines à l’admission. En phase aiguë, il reçoit des vitamines B1, B6, D et B9. Après amélioration, il est traité par de la fluoxétine et de l’acamprosate. L’imagerie cérébrale après rémission ne montre pas d’atteinte des corps mamillaires. Un suivi psychométrique par mini mental state examination, un test de l’horloge et un test des 5 mots de Dubois a montré une normalisation. Après rémission, nous avons utilisé une approche psychothérapeutique motivationnelle. Une lourde prise en charge sociale axée sur la réinsertion a été nécessaire. Le syndrome de Korsakoff pris à un stade précoce ne serait pas toujours de mauvais pronostic. Une vision bio-psycho-sociale semble pertinente dans ces pathologies.
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Dissertationen zum Thema "Humeur dépressive"

1

Ayotte-Lavoie, Odrey. „Les effets d'un programme d'équitation thérapeutique sur le contrôle de soi et les humeurs dépressives chez des adolescentes en troubles de comportement“. Mémoire, Université de Sherbrooke, 2013. http://hdl.handle.net/11143/6398.

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Cette étude à cas unique de type A-B-A vise à vérifier, à l'aide quels sont les effets d'un programme d'équitation thérapeutique de dix (10) séances sur les humeurs dépressives et le contrôle de soi chez des adolescentes en troubles de comportement et si ces effets se maintiennent après la fin du programme. Les sujets sélectionnés sont trois (3) adolescentes de 16 et 17 ans, hébergées en Centre de réadaptation Estrie du Centre jeunesse de l'Estrie pour troubles de comportement. L'évaluation, d'une durée de quinze (15) semaine [i.e. semaines], se fit à l'aide de la version française du Beck Depression Inventory-II (BDI-II) pour mesurer les humeurs dépressives, les échelles de comportements extériorisés et de problèmes d'attention de la version autorapportée pour adolescent du Achenbach (version YSR) pour le contrôle de soi et un questionnaire maison pour calculer les variations de l'humeur avant et après les séances d'équitation thérapeutique.
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Itzhacki, Jacobo. „Reward effects of light“. Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAJ083/document.

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Pour élucider les effets récompensants de la lumière, deux approches expérimentales ont été adoptées. Une étude chez le rongeur diurne Arvicanthis ansorgei indique que le raccourcissement de la longueur du jour avec la diminution de l'intensité lumineuse induit des changements du rythme de l’activité locomotrice, de la quantité de dopamine dans le système de la récompense et sur l'expression du gène Per2 dans le noyau suprachiasmatique. Ces altérations ont été améliorées par l'exposition journalière à des créneaux d’une heure de lumière à la fin du jour. Dans une étude humaine, le bien-être subjectif mesuré par d'échantillonnage de ressentis, a été corrélée avec des mesures de fluctuations lumineuses environnementales chez des participants en bonne santé et des insomniaques. Les résultats ont montré que le bien-être subjectif augmente proportionnellement à l'intensité de la lumière chez de jeunes en bonne santé contrairement à un déficit global en matière d'évaluation hédonique chez les insomniaques. De plus amples études devraient être menées afin d'élucider l'effet des signaux lumineux environnementaux sur les circuits de récompense
To elucidate the reward effects of light, two experimental approaches have been adopted. An experiment for the study of the effects of exposure to a winter-like photoperiod on the diurnal rodent Arvicanthis ansorgei indicated that shortened day length with reduced light intensity induces a phase change in locomotor activity, alterations in the dopamine content in reward system structures, and alterations in the Per2 clock gene expression in the suprachiasmatic nucleus. These measures were improved by daily exposure to a one-hour pulse of light at late in the day. In a human model, subjective wellbeing, measured by experience sampling, was correlated with ambient luminosity measurements in participants with insomnia and healthy controls. Results indicated that subjective wellbeing increases with increasing light intensity in healthy young volunteers, in contrast to an overall deficit in reward evaluation in insomniacs. Light exposure should be taken into account as an important factor in determining the quality of life of insomniacs and in depression. Further studies should be conducted to elucidate the effect of ambient light signals on reward circuits
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3

Calvel, Laurent. „L’influence des effets directs, non circadiens de la lumière et de la phototransduction mélanopsinergique sur l’humeur, la veille et le sommeil“. Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAJ039/document.

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Les troubles du sommeil et la dépression ont une interaction fonctionnelle et constituent un enjeu majeur de santé publique. La lumière influence la physiologie, le comportement, en particulier la locomotion, le sommeil et l’humeur, via des effets, circadiens (entrainement de l’horloge) et directs,non-circadiens. L’objectif de ce travail a été de caractériser les effets directs, non circadiens de la lumière sur les comportements, et d’évaluer le rôle des différents photorécepteurs impliqués. Des souris « melanopsin knockout » ont été exposées à différents niveaux de luminance (<10 lux, 150 lux,600 lux) sans changer la phase du rythme circadien. Nos résultats montrent que l’intensité lumineuse influence l’humeur, le sommeil, et la locomotion et qu’à <10 lux, il existe une altération de l’humeur et de l’homéostasie du sommeil. Ces effets sont principalement mélanopsine dépendants. Si elles sont confirmées chez l’homme, ces observations seront pertinentes pour optimiser les indications de la luminothérapie et l’utilisation de la lumière dans notre société
Sleep regulations and mood disorders exert strong functional interactions, representing a major public health challenge. Light greatly influences physiology and behavior, including regulation of locomotion,sleep and mood. These non-visual effects are either, indirect through the phase shifting of circadian rhythms or direct. Our goal was to characterize the direct, non-circadian effects of light on behaviorand to assess the contribution of the different photoreceptors involved. To achieve this, melanopsin knockout mice were exposed to different luminance (<10 lux, 150 lux, 600 lux) without changing the phase of circadian rhythm. Our results indicate that light influences mood, locomotion and sleep, with< 10 lux leading to mood and sleep homeostasis alteration. These effects are primarily mediated by melanopsin-based phototransduction. If confirmed in humans, our observations will have applications for the clinical use of light as well as for societal lighting conditions
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Bücher zum Thema "Humeur dépressive"

1

Sarah, Gurcel, Hrsg. Une humeur de chien: Roman. [Paris]: Denoël, 2011.

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2

With humour and hope: Learning from our mothers' depression and alcoholism. Victoria, B.C: Trafford, 2001.

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3

S, Akiskal Hagop, und Burton S. W, Hrsg. Dysthmic disorder. London: Gaskell, 1990.

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4

S, Lang Susan, Hrsg. Beating the blues: New approaches to overcoming dysthymia and chronic mild depression. New York: Oxford University Press, 2006.

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5

Thase, Michael E. Beating the blues: New approaches to overcoming dysthymia and chronic mild depression. New York: Oxford University Press, 2004.

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6

Thase, Michael E., und Susan S. Lang. Beating the Blues: New Approaches to Overcoming Dysthymia and Chronic Mild Depression. Oxford University Press, USA, 2004.

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7

Thase, Michael E., und Susan S. Lang. Beating the Blues: New Approaches to Overcoming Dysthymia and Chronic Mild Depression. Oxford University Press, USA, 2004.

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8

Thase, Michael E., und Susan S. Lang. Beating the Blues: New Approaches to Overcoming Dysthymia and Chronic Mild Depression. Oxford University Press, 2004.

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Buchteile zum Thema "Humeur dépressive"

1

Chapelle, Frédéric. „Chapitre 4. Trouble de l’Adaptation mixte avec anxiété et humeur dépressive“. In Traiter la dépression et les troubles de l'humeur, 108–35. Dunod, 2017. http://dx.doi.org/10.3917/dunod.rusin.2017.01.0108.

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2

Tebeka, Sarah, und Caroline Dubertret. „Humeur et syndrome dépressif“. In La Ménopause en Pratique, 197–201. Elsevier, 2019. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-74372-6.00031-x.

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