Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Hésitation vaccinale“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Hésitation vaccinale"

1

Vonnez, Jean-Luc. „Hésitation vaccinale : accueillir la part tendre“. Revue Médicale Suisse 17, Nr. 758 (2021): 1954. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2021.17.758.1954.

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2

Velut, G. „Hésitation vaccinale et conduite à risque en santé“. Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 63, Nr. 3 (Juni 2015): 217–18. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2015.04.011.

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3

Dib, Fadia, Gwenn Menvielle und Pierre Chauvin. „Tous égaux face aux papillomavirus ? L’infection et la vaccination HPV au prisme des inégalités sociales de santé“. Questions de santé publique, Nr. 38 (November 2019): 1–8. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2019038.

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En France, chez les femmes, les inégalités sociales sont particulièrement marquées pour le cancer du col de l’utérus. La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) est un moyen de prévention efficace, toutefois les taux de couverture demeurent très faibles (autour de 30 %). Ce faible taux est probablement en partie causé par le phénomène d’«hésitation vaccinale» dont les déterminants en France restent mal connus. Les interventions pour lutter contre l’hésitation vaccinale en matière de vaccination HPV et améliorer la couverture vaccinale en France sont nécessairement des interventions complexes. S’il s’agit de réduire les inégalités sociales en matière de vaccination HPV, ces interventions nécessitent de mieux connaître les différents déterminants de cette hésitation vaccinale dans les différents groupes sociaux si on fait l’hypothèse (en l’absence de données empiriques en France), qu’ils sont différents: résistance croissante à la vaccination dans les catégories supérieures, moindre proposition des professionnels dans les catégories défavorisées, difficulté à parler de santé sexuelle dans certaines familles, par exemple. Ces interventions complexes doivent être imaginées en co-construction avec les bénéficiaires (jeunes filles, parents et professionnels de santé). Leur évaluation doit être envisagée dès leur mise en œuvre, être perçue par les acteurs comme un mode d’apprentissage et faire appel à des méthodes mixtes.
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BEGUE, Pierre. „Vaccination Hesitation and Vaccination Challenges in 2017“. International Journal of Medicine and Surgery 4, s (2017): 78–83. http://dx.doi.org/10.15342/ijms.v4is.147.

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5

Dalmat, Yann-Mickael. „Hésitation vaccinale ? AHF lance la campagne : « As-tu fais ta part ? »“. Option/Bio 32, Nr. 631-632 (April 2021): 9. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(21)00066-0.

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6

Luyt, Domitille, Thomas Cardot, Sylvain Gautier, Marie Herr, Anne Rousseau, Benjamin Davido, Elisabeth Delarocque-Astagneau und Loïc Josseran. „Hésitation vaccinale à la COVID-19 : une étude chez les étudiants en santé“. Santé Publique Vol. 34, HS1 (11.07.2022): 22d. http://dx.doi.org/10.3917/spub.220.0022d.

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7

Miane, B., J. J. Grob, M. A. Richard, C. Gaudy, S. Monestier, S. Hesse, M. Garcia et al. „Hésitation vaccinale et corticophobie dans la dermatite atopique de l’enfant : étude observationnelle unicentrique“. Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 147, Nr. 12 (Dezember 2020): A103—A104. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2020.09.059.

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Faye, Abdou Karim. „Comportement de Consommation Santé (CCS) en contexte africain. Apports théoriques et implications marketing d’un modèle intégrateur appliqué à la vaccination contre la Covid-19“. La Revue des Sciences de Gestion N° 324, Nr. 5 (22.02.2024): 67–82. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.324.0067.

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La pandémie de la covid-19 a fait l’objet de nombreuses recherches en sciences sociales. Notre recherche, en sciences de gestion, particulièrement en marketing des comportements de santé (marketing social), s’inscrit dans ce cadre. Elle a pour objectif d’identifier et d’analyser les facteurs qui provoque l’hésitation à se faire vacciner contre la Covid’19. En partant d’une large revue documentaire sur des études qualitatives antérieures et d’une revue de la littérature sur les théories comportementales de la santé, neuf variables ont été retenues et testées, à travers une étude quantitative, avec un traitement des données par les équations structurelles sous PLS. À la lumière des résultats obtenus, nous retenons un modèle intégrateur dans lequel l’hésitation vaccinale est expliquée par des variables contextuelles liées au vaccin, mais également des variables individuelles ou de groupe. Les données obtenues ont permis aussi de démontrer une relation de médiation modérée. Mots-clés : hésitation vaccinale, Covid-19, marketing social, comportement de santé, PLS.
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GOCKO, X. „LA TRIBU EXERCER“. EXERCER 35, Nr. 205 (01.09.2024): 291. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.205.291.

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Dans ce numéro de rentrée, vous allez découvrir un article qui aborde l’hésitation vaccinale face à la Covid-19 des soignants de première ligne1. Sujet difficile, mais la rubrique « Communiquer pour exercer » vous fournit parallèlement un outil communicationnel pour répondre à cette hésitation : l’acronyme VACCINE avec un petit clin d’oeil jennérien2. Bien entendu, cet outil ne peut pas répondre à l’entièreté du continuum des hésitants vaccinaux. Les batailles entre neurones du doute des régions contiguës du cortex frontal mésial et de l’aire motrice cingulaire rostrale sont probablement particulièrement rudes dans la tribu des opposants vaccinaux3. Parmi la dizaine d’heuristiques à l’origine des erreurs de raisonnement (biais cognitifs), celle du tribalisme désigne notre tendance à suivre ou à adopter l’opinion dominante de notre groupe de référence4. Et pour la Covid, nous ne parlons pas ici de la tribu des Osages du film Killers of the Flower Moon, mais plutôt de personnes qui, pendant la crise Covid, ont préféré les vaccins russes ou abordé le sujet des puces implantées… Dans ce numéro de rentrée, vous allez aussi découvrir l’avis du conseil scientifique du CNGE sur la recommandation de la HAS pour les stratégies médicamenteuses chez le patient diabétique de type 2. Le conseil scientifique du CNGE souligne la prise en compte des données scientifiques récentes plaçant les inhibiteurs du SGLT2 (gliflozines) et les agonistes du GLP-1 (suffixe : glutide) au rang de thérapeutiques médicamenteuses majeures. Il pose, en revanche, la question de la première intention pour la metformine face à l’absence de bénéfice clinique formellement démontré en première ligne sur les complications micro- et macrovasculaires5. Si vous êtes surpris par cette absence de preuve, c’est que votre appartenance à la tribu exercer est récente. Dans le n° 115, il y a juste dix ans, un article intitulé « Reconsidérer les bénéfices et les risques des médicaments hypoglycémiants du diabète de type 2 » a expliqué à la tribu exercer cette absence de preuves et insistait sur la prévention des événements cardiovasculaires avec les IEC et les statines. Je laisse découvrir aux récents membres de la tribu exercer les doutes autour de la validité du critère intermédiaire HbA1c5,6. Là encore, la tribu exercer le sait depuis dix ans, à noter la tribu du prestigieux JAMA a partagé ce doute en 20247 ! Et pour finir, avec le doute, un commentaire d’article confirme l’impression de la tribu des généralistes : les patients qui nous consultent ne sont pas les mêmes que ceux inclus dans les ECR thérapeutiques8… Finalement, appartenir à une tribu est bien synonyme d’heuristiques mais pas forcément d’erreurs de raisonnement. Il faut, en revanche, ne pas se tromper de tribu. Bienvenue dans la tribu exercer !
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10

CORNUZ, J., und X. GOCKO. „LA PREMIERE LIGNE FRANCOPHONE ET LA CRISE DE LA COVID-19“. EXERCER 34, Nr. 189 (01.01.2023): 3. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.189.3.

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Le mot « crise » en chinois est décrit par deux idéogrammes signifiant « danger » et « opportunité ». Si nous avons facilement perçu la notion de danger à travers la crise de la COVID-19, celle d’opportunité semble moins évidente au premier abord. Comme le dieu Janus, la crise de la COVID-19 a deux faces, d’ailleurs souvent médiatisées. La face probablement la plus visible pour les soignants est la mise en tension sans égale des systèmes de soins à travers le monde. Les images de malades agonisant dans les couloirs témoignent de cette tension qui, comme la maladie, peut être qualifiée d’émergente. Alors même que les hôpitaux étaient débordés, les cabinets médicaux étaient désertés. En France, cet imbroglio a même été organisé par l’État avec une recommandation initiale aux patients de ne plus consulter la première ligne... L’État a par la suite inversé la vapeur. Était-ce une réelle prise de conscience du risque de négliger la prévention ou le soin des maladies chroniques ? Rien n’est moins sûr, c’était peut-être simplement une réponse d’apaisement aux professionnels qui avaient manifesté leur étonnement et mécontentement. Il n’est pas certain que l’État ait compris la notion de syndémie et son entrelacement de facteurs biologiques et environnementaux1. Il n’est pas certain que l’État ait compris l’importance de la première ligne, de la prévention et des soins apportés aux maladies chroniques avec la prise en compte des inégalités sociales. Et pourtant, les réanimations débordaient de patients avec des maladies chroniques, dont le gradient social est criant… Une première ligne forte pourrait donc modifier l’impact d’une maladie infectieuse émergente. Alors danger ou opportunité pour le système de santé ? L’autre face très médiatique est probablement celle de la crise des savoirs. Tous les savoirs ont été malmenés : scientifiques, médicaux, expérientiels, profanes… Utilité des masques, saga de l’hydroxychloroquine, hésitation vaccinale, efficacité du dépistage communautaire2, gains de fonctions, controverses scientifiques ont occupé les plateaux de télévision et les esprits. Comment la première ligne, les médecins généralistes, ont-ils vécu dans et avec ce brouhaha infodémique3? Comment ont-ils géré l’incertitude inhérente à leur métier, mais exacerbée par le contexte de crise ? Malgré toutes les incertitudes autour de tous ces savoirs, comment ne pas saluer aussi un séquençage du virus express, un développement vaccinal aussi rapide ? La première ligne a participé à la recherche avec le test de médicaments avant l’orage cytokinique. Elle a aussi assuré sa transposition didactique auprès des patients en leur expliquant le développement rapide des vaccins et leur balance bénéfices/risques. Alors danger ou opportunité pour les savoirs ? Face à toutes ces questions, un petit groupe de médecins de première ligne a témoigné, réfléchi, et réfléchit encore aux deux faces du mot « crise ». Vous découvrirez dans exercer un résumé de leurs réflexions par pays (Belgique, Canada, France, Suisse) et, pour aller plus loin, les minutes d’un symposium sur le sujet qui a eu lieu à Lausanne en septembre 2022 publié dans la Revue médicale suisse4. Tous ces travaux ne sont que le début de la réflexion de la première ligne francophone, puisque le dieu Janus regarde à la fois vers le danger et vers l’opportunité, vers le passé et vers l’avenir.
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Dissertationen zum Thema "Hésitation vaccinale"

1

Araujo, Chaveron Lucia. „Preferences and antecedents of vaccine decision among healthcare professionals and the adult population in France“. Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUS220.

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La littérature sur l'hésitation vaccinale souligne l'importance de la balance bénéfice-risque (BBR) dans l'acceptation vaccinale. La pandémie de COVID-19 et les politiques vaccinales en France offrent l'opportunité d'évaluer l'impact du passe sanitaire et de l'obligation vaccinale sur l'intention future de vaccination, d'étudier les antécédents psychologiques 7C au cours de la campagne vaccinale, d'explorer les préférences BBR parmi la population générale et les professionnels de santé, et de caractériser les individus refusant constamment la vaccination indépendamment des attributs BBR. Quatre études ont été réalisées : a) une étude transversale pour analyser l'impact du passe sanitaire sur l'intention vaccinale future ; b) une enquête répétée pour suivre l'évolution des antécédents psychologiques chez les professionnels de santé ; c) une expérience de choix discrets (DCE) pour étudier les préférences BBR ; et d) une échelle de certitude intégrée à la DCE pour définir les profils de comportement vaccinal. Nos résultats suggèrent que la mise en œuvre du passe sanitaire n'a pas efficacement convaincu les personnes âgées, qui auraient été celles bénéficiant le plus de la vaccination, mais que céder à la forte incitation/obligation vaccinale n'était pas associé à une diminution, mais plutôt à une augmentation de la future intention vaccinale contre la COVID-19. Parmi les professionnels de la santé, la décision d'accepter la vaccination sous l'obligation dépendait uniquement de la perception de la vaccination comme une action collective, et non de la perception BBR du vaccin. Cependant, à mesure que la pandémie et les recommandations de rappel vaccinal évoluaient et que les professionnels de la santé acquéraient plus d'expérience avec le vaccin contre la COVID-19, ils ont recommencé à prendre en compte la BBR du vaccin dans leurs décisions vaccinales. Notre étude de préférences a suggéré que tant le grand public que les professionnels de santé n'ayant pas un titre universitaire ne prenaient pas en compte l'aspect numérique des bénéfices par rapport aux risques dans des scénarios vaccinaux hypothétiques, mais qu'ils considèrent plutôt des attributs qualitatifs entourant le concept BBR tels que la fréquence et la gravité de la maladie, et les effets de protection indirecte. En revanche, nous avons estimé que l'acceptation hypothétique du vaccin parmi les professionnels de la santé ayant un titre universitaire augmentait significativement de 40% lorsque le ratio bénéfice-risque de la vaccination passait de 10:1 à 100:1. Enfin, nous avons constaté que par rapport aux répondants qui acceptaient certains mais pas tous les scénarios du DCE, ceux qui acceptaient tous les scénarios étaient plus susceptibles d'avoir une perception positive de la BBR et d'être motivés par l'incitation de l'employeur ou des autorités à se faire vacciner, tandis que ceux qui refusaient tous les scénarios étaient plus susceptibles d'avoir une faible confiance dans les autorités pour gérer la pandémie, une faible confiance dans la sécurité des vaccins, et ne percevait pas le vaccin comme une action collective pour arrêter la pandémie. Ils ont de même montré une réactance à l'incitation de l'employeur ou des autorités à se faire vacciner. Nos recherches suggèrent que les campagnes vaccinales visant les individus réticents à la vaccination devraient se concentrer sur l'amélioration de la confiance dans les autorités et la confiance dans le vaccin (sécurité du vaccin). De plus, les campagnes vaccinales devraient fournir des informations sur la vaccination en tant qu'action collective, en mettant l'accent sur les bénéfices de protection indirecte et les risques de développer la maladie
The literature on vaccine hesitancy largely reports the importance of the perception of the benefit-risk balance (BRB) in vaccine acceptance. The COVID-19 pandemic and the unprecedented vaccination policies implemented by the French government during a novel vaccine campaign provided an opportunity to assess the impact of COVID-19 certificate or vaccine mandate on future COVID-19 vaccine intention considering the perceived BRB of COVID-19 vaccination, evaluate the 7C-psychological antecedents of vaccination across the novel COVID-19 vaccine campaign, explore preferences around the concept of BRB among the general adult population and among healthcare sector-workers (HCSWs), define and characterize individuals who constantly refused vaccination regardless of BRB attributes. Four different studies were conducted during this thesis, a) a cross-sectional study to explore the impact of the COVID-19 certificate-mandate and perceived vaccination BRB on future vaccine intention among the general population, b) a repeated cross-sectional survey among HCSWs to monitor their psychological antecedents of vaccine acceptance at different stages of the COVID-19 vaccination campaign, c) a discrete choice experiment (DCE) to investigate the vaccination BRB preferences of the general public and HCSWs and d) a vaccine eagerness scale integrated into the previous DCE to define different vaccination behavior profiles around the concept of vaccine BRB. Our findings suggest that the COVID-19 certificate enactment did not effectively persuade elderly people, who would have been those with the greatest potential benefit from vaccination, but that ceding to the strong incentive/mandate was not associated with reduced, but rather increased intention for future COVID-19 vaccination. Among HCSWs, the decision to accept vaccination under the mandate depended solely on the perception of vaccination as a collective action, but not on the vaccination perception of benefits vs. risks. However, as the pandemic and vaccine booster recommendations evolved and as HCSWs gained more experience with the COVID-19 vaccine, they resumed considering vaccine BRB in their vaccine decisions. Our preference study suggested that both the general public and non-university-level HCSWs do not consider the numerical aspect of benefits vs. risks in hypothetical vaccine scenarios, they rather consider qualitative attributes surrounding the BRB concept such as disease frequency and severity, and indirect protection effects. By contrast, we estimated that hypothetical vaccine uptake among university-level HCSWs significantly increases by 40% when vaccination benefit-risk ratio moves from 10:1 to 100:1. Finally, we found that compared to respondents who accepted some but not all scenarios of the single profile DCE, those accepting all scenarios were more likely to have a positive perception the BRB and be motivated by employer's or authorities' incitation to get vaccinated, while those refusing all scenarios were more likely to have low confidence in authorities to manage the epidemic, low confidence in vaccine safety, not perceive vaccine as collective action to stop the epidemic and show reactance to employer's or authorities' incitation to get vaccinated. The research suggests that vaccine campaigns targeting vaccine-reluctant individuals should focus on improving confidence in authorities and confidence in the vaccine (vaccine safety). Additionally, vaccination campaigns should provide information about vaccination as a collective action, emphasizing its indirect protection benefits and the risks of developing the disease
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2

Eisenhauer, Catherine. „Applications of digital epidemiology in the study of behavior, opinion, and infectious disease dynamics“. Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2021. http://www.theses.fr/2021UNIP5159.

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L'ère de l'internet a changé le monde sous nos yeux. Elle a profondément modifié la façon dont nous interagissons avec l'information, tissons des liens et prenons des décisions. Ces changements ont des ramifications importantes et potentiellement dangereuses pour la santé publique, notamment dans le contexte de la désinformation en ligne. Mais ces évolutions ont également donné lieu à de nouvelles opportunités grâce à la disponibilité sans précédent de nouveaux écosystèmes de données et de nouvelles méthodes de collecte de données. L'épidémiologie digitale est une nouvelle branche de la santé publique qui tire parti de ces nouvelles sources d'information pour étudier les questions de santé. Apparu dans les années 1990, ce domaine naissant a connu une croissance exponentielle au cours des dix dernières années, alors que de nouveaux ensembles de données et outils informatiques devenaient de plus en plus accessibles. L'objectif de cette thèse est d'explorer les applications de l'épidémiologie digitale dans l'étude de l'opinion, du comportement et des épidémies de maladies infectieuses. La thèse est structurée en trois sections principales. Dans la première, nous examinons les outils utilisés en épidémiologie digitale et leurs limites. En prenant l'hésitation vaccinale sur Twitter comme exemple, nous examinons plusieurs méthodes utilisées dans les sciences sociales computationnelles et discutons de la manière dont elles pourraient être appliquées dans le contexte de la santé publique. La deuxième section plonge plus profondément dans Twitter et explore la dynamique du comportement de partage des ressources dans les discussions sur les vaccins. Nous constatons que les ressources non fiables dominent le discours hésitant sur les vaccins, tant en termes de prévalence que de viralité. De plus, nous identifions trois domaines en ligne, Natural News, News Target et YouTube, qui représentent près de la moitié de toutes les ressources partagées par les communautés hésitantes. Dans la troisième section, nous analysons les données d'une enquête de science citoyenne menée pendant la première phase de la pandémie de SARS-CoV-2 en France. Ces analyses décrivent les comportements et les attitudes pendant et après un confinement national. Les associations entre l'adhésion aux comportements de protection recommandés et des facteurs liés à la démographie, à la psychologie et à la perception sont explorées. Enfin, nous réfléchissons aux stratégies possibles pour combattre la désinformation en matière de santé, aux défis éthiques de l'épidémiologie digitale et à la viabilité de l'épidémiologie digitale dans des contextes de santé publique plus larges
The age of the internet has changed the world before our eyes. It has profoundly impacted the way we interact with information, form relationships, and make decisions. This shift has important and potentially dangerous ramifications for public health, particularly in the context of online misinformation. But it has also given rise to new opportunities through the unprecedented availability of new ecosystems of data and novel methods of data collection. Digital epidemiology is a relatively new branch of public health that seeks to leverage these new sources of information to investigate health related questions. First characterized in the mid 1990s, this nascent field has grown exponentially in the past ten years as new datasets and computational tools have become increasingly accessible. The goal of this thesis is to explore applications of digital epidemiology in the study of opinion, behavior, and infectious disease dynamics. It is structured into three primary sections. In the first, we review tools used in digital epidemiology and their limitations. Taking vaccine hesitancy on Twitter as a case study, we then evaluate methods used in the field of computational social science and discuss how they could be beneficially applied in the context of public health. The second section dives deeper into Twitter and explores the dynamics of resource sharing behavior in vaccine discussions. Here, we find that unreliable resources dominate vaccine hesitant discourse in both prevalence and virality. Moreover, we identify three online domains, Natural News, News Target, and YouTube, that account for nearly half of all resources shared among hesitant communities. In the third section we analyse data from a citizen science survey conducted during the early stages of the SARS-CoV-2 pandemic in France. These analyses describe patterns in behavior and attitude during and after a national lockdown. Associations between the adherence to recommended protective behaviors and factors related to demography, psychology, and perception are explored. Finally, we reflect on possible strategies to combat health misinformation, ethical challenges in digital epidemiology, and the viability of digital epidemiology in broader public health contexts
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Bücher zum Thema "Hésitation vaccinale"

1

Reconnaître les controverses de l'hésitation vaccinale. EDP Sciences, 2022. http://dx.doi.org/10.1051/978-2-7598-2766-4.

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Ce livret a pour objectif de présenter les controverses et les débats à l'œuvre dans l'hésitation vaccinale pour favoriser la construction d'une opinion raisonnée critique, nuancée et argumentée sur cette question socialement vive. Pour l'essentiel, il reprend l'un des premiers enseignements numériques mis à grande échelle en 2020 sur les « Enjeux de la transition écologique » auprès de plusieurs milliers d'étudiants de licence de toutes disciplines de l'Université Paris-Saclay. La première partie traite d'aspects généraux relatifs aux vaccins : en quoi ils sont cohérents, ce qu'ils contiennent, comment ils sont conçus et choisis. La deuxième partie porte sur le contexte français de trois maladies évitables par la vaccination : la rougeole, l'hépatite B et les cancers dus aux papillomavirus humains, dont les vaccins (l'un recommandé, les deux autres obligatoires) sont controversés. La troisième partie est favorisée sur le nouveau concept d'hésitation vaccinale, avec ses causes, ses conséquences et ses arguments. Bien sûr, de nombreux autres vaccins suscitant une hésitation sont retenus comme celui de la grippe de 2009 et l'actualité à propos de la pandémie de la COVID-19 n'a pas été ignorée.
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