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Zeitschriftenartikel zum Thema „Guerre et Révolution (1794-1815)“

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Hesse, Carla. „La Preuve Par la Lettre pratiques juridiques au tribunal révolutionnaire de Paris (1793–1794)“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 51, Nr. 3 (Juni 1996): 629–42. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1996.410874.

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” L'écriture est un témoin qui est difficilement corrompu ». (Montesquieu)La guerre idéologique est terminée… Voilà un peu plus de quinze ans, avec Penser la Révolution française, François Furet assenait à l'ensemble de l'historiographie antérieure de la Révolution un coup dont elle ne devait pas se relever : l'histoire politique de la Révolution française, disait-il, se confond avec l'événement qu'elle s'efforce de relater. En finir avec cette historiographie « commemorative », c'était la tâche assignée à une histoire conceptuelle, une histoire dont les catégories ne fussent pas le reflet des catégories et positions politiques de la Révolution elle-même. Il fallait pour ce faire jeter les bases d'un nouveau mode d'appréhension de la Révolution : d'époque à ressusciter, à la Michelet, elle devait devenir un problème à analyser. Un problème défini, sur les pas de Tocqueville, comme celui de la tradition démocratique en France.
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Duprat, Annie. „Une guerre des images : Louis XVIII, Napoléon et la France en 1815“. Revue d’histoire moderne & contemporaine 47-3, Nr. 3 (01.06.2000): 487–504. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.g2000.47n3.0487.

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Résumé Fondé sur une étude des caricatures politiques publiées en France en 1814-1815, cet article met en valeur la permanence d'un langage graphique qui associe les signes iconographiques traditionnels de la France d'Ancien Régime (couronne, fleur de lys, sceptre, par exemple) et les nouveautés issues de la Révolution (France coiffée du bonnet de la Liberté). Pendant l'intermède drolatique des Cent-Jours, un nouveau signe apparaît, l'éteignoir inventé par les bonapartistes pour stigmatiser la monarchie restaurée, règne de l'obscurité qui étouffe les lumières du xvme siècle et de la Révolution. La France est présentée comme la victime de ce combat des chefs. This subject, an important aspect of cultural history as well as the history of political images, examines the struggle between the impérial power of Napoléon lst and Louis XVTJIth, by studying political caricatures produced during the years 1814 and 1815. Many political symbols proceed from the old régime culture, ôthers belong tô the revolutionary times but there is a novelty, the « éteignoir », an old fashioned cap, pointing out the darkness of the' restaured Bourbons monarchy. Finally, France is the great victim of thèse royal struggle.
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Soulas, Nicolas. „Sédimentation des expériences politiques et séquelles postrévolutionnaires : les Cent-Jours dans le couloir rhodanien“. Parlement[s], Revue d'histoire politique N° 27, Nr. 1 (18.05.2018): 165–78. http://dx.doi.org/10.3917/parl2.027.0165.

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Dans le couloir rhodanien, le retour de Napoléon et l’expédition du duc d’Angoulême au cours du printemps 1815 favorisent la résurgence des antagonismes politiques hérités de la décennie révolutionnaire dans un climat de guerre civile. Contrairement à d’autres zones du territoire, les élections municipales et les épurations préfectorales se traduisent par une profonde rupture politique tandis qu’elles contribuent au retour sur le devant de la scène politique des vétérans de la « Terreur » et réactivent les frontières politiques que la Révolution française avait fait naître.
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Oury, Guy-Marie. „Un martyr canadien de la Révolution française“. Les Cahiers des dix, Nr. 53 (30.10.2012): 15–36. http://dx.doi.org/10.7202/1012957ar.

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Henri-François de Noyelle (1763-1794) est né à Loches dans une famille canadienne rentrée en France après la capitulation du pays. Il conserva toujours un lien avec le « pays » où vivaient toujours des membres de sa famille. Il fit partie de la marine française et fut envoyé aux Antilles pendant la Guerre d’indépendance américaine. Revenu en France il devint moine à l’abbaye bénédictine de Saint-Florent de Saumur. Quand la Révolution ferma ce couvent en 1790, il alla rejoindre ses frères à Marmoutier. Mais les ecclésiastiques réfractaires étaient pourchassés par la justice révolutionnaire. Arrêté à Amiens en décembre 1793, il fut guillotiné au mois d'août suivant.
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Débat, Guillaume. „La guillotine à Toulouse et en Haute-Garonne : autour de l’échafaud révolutionnaire (1792-1799)“. Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 129, Nr. 300 (2017): 491–511. http://dx.doi.org/10.3406/anami.2017.8898.

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Cet article porte sur la guillotine et sur l’étude de la justice et de la répression pénale au cours de la décennie révolutionnaire à Toulouse. Nous avons abordé cette question chronologiquement, faisant ainsi apparaître trois périodes distinctes : juillet 1792-septembre 1793 tout d’abord, une «Terreur » toulousaine entre septembre 1793 et le printemps 1794 ensuite et, enfin, la réaction thermidorienne et le Directoire. Toulouse répond à un modèle particulier, différent du modèle parisien : les événements qui se déroulent dans la capitale influent moins sur le cours de la Révolution dans la «Ville rose » que les réalités strictement locales. Ainsi, l’accroissement du nombre des décapitations entre septembre 1793 et avril 1794 est à relier avec la guerre du Roussillon. Le basculement, lors de la réaction thermidorienne et du Directoire, vers une guillotine utilisée dans la punition des crimes de droit commun trouve quant à lui une explication dans la conjonction de plusieurs dynamiques : rejet de la guillotine politique et défense renforcée de la propriété privée à l’échelle nationale, et volonté d’apaisement des tensions politiques à l’échelle locale.
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Lafleur, Gérard. „Liens commerciaux entres les Petites Antilles et l’Amérique du Nord sous l’Ancien régime“. Dossier Antilles et Louisiane 32, Nr. 2 (03.11.2014): 13–39. http://dx.doi.org/10.7202/1027195ar.

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La proximité géographique de l’Amérique du Nord, les possibilités offertes par les cultures du Nord-est du territoire, le besoin des productions coloniales, en faisaient naturellement un partenaire commercial naturel pour les Antilles à partir du moment où les colonies américaines s’étaient organisées et qu’une marine marchande locale pouvaient s’appuyer sur un arrière-pays agricole. Ce commerce était interdit par les deux puissances principales, qui tentaient de faire appliquer l'Exclusif en opposition avec leurs sujets américains (français et britanniques) qui voulaient faire des affaires les plus fructueuses possibles. Les puissances centrales, lointaines, n’avaient pas les moyens de l'interdire complètement. Les productions étaient complémentaires ; morue et boeuf salés, poissons séchés, farine, bois de construction (lumber), légumes secs d’une part, sucre, rhum, mélasses d’abord puis coton, cacao ensuite et café à partir des années 1730 d’autre part. Le commerce entre les colonies britanniques des Antilles et de l'Amérique du nord était naturellement autorisé mais il devint suspect à partir de 1770 au moment où la tension s'accentua entre la Grande-Bretagne et ses colonies nord américaines. Deux îles concentraient le commerce interlope dans la zone, Saint-Eustache (Statius) île néerlandaise située au centre des Petites Antilles et plus tardivement, Saint-Barthélemy devenue suédoise, pour les Petites Antilles et Saint-Thomas et Sainte-Croix, îles danoises dans les îles Vierges, proche des Grandes Antilles. Malgré les oppositions des métropoles, notamment la Grande-Bretagne et la France, le commerce avec l'Amérique du Nord se développa clandestinement en utilisant toutes les ressources de l'interlope et les autorités locales mirent beaucoup de mauvaise volonté à exercer la répression préconisée par les métropoles. Après la Guerre de Sept Ans et l’occupation des territoires français par les Anglais, puis surtout après la Guerre d’Amérique et la naissance des Etats-Unis d’Amérique, alliés de la France, la situation changea et le commerce put se développer sans entraves avec les Nord-américains par les ports d’entrepôts mais aussi grâce à des pratiques clandestines favorisées par les règlements. La Révolution stoppa cette coopération car l’Etat américain choisit le camp Anglais sous la pression de l’administration britannique à l’inverse des habitants des ports qui adhérèrent aux idées de la Révolution et qui restaient fidèles à leurs anciennes amitiés. Après 1794, avec la politique agressive de Victor Hugues, les alliances se renversèrent et les Américains devinrent, provisoirement, les ennemis à combattre mais le commerce avec l’Amérique du nord reprit de plus belle au XIXe siècle.
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Crépin, Annie. „Auvergnats malgré eux. Prisonniers de guerre et déserteurs étrangers dans le Puy-de-Dôme pendant la Révolution française (1794-1796)“. Annales historiques de la Révolution française, Nr. 323 (01.03.2001): 138–40. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.1066.

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Simonin, Anne. „Actualité de la Terreur“. Annales. Histoire, Sciences Sociales 77, Nr. 4 (Dezember 2022): 673–701. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2023.2.

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RésuméLa Terreur, ces dix-huit mois du gouvernement révolutionnaire de l’an II généralement compris entre mars 1793 et juillet 1794, est probablement la période de l’histoire de la Révolution qui résiste le plus à l’interprétation. Et l’intérêt, pour ne pas dire la passion, dans la recherche des causes et des responsables qui anime ceux qui en furent les contemporains, et les potentielles victimes, est d’une intensité qui ne se démentira pas au xixe siècle, voire au xxe siècle, chez les historiens cette fois. L’historiographie récente de la Terreur, dont certains ouvrages sont ici analysés, est d’un ton plus apaisé. Malgré des désaccords persistants, un consensus s’est fait jour. Les émotions sont reconnues comme facteur décisif des choix radicaux faits par les acteurs. Ces choix ne sont pas seulement rationnels et contraints, puisque dictés par les circonstances ; ils ne trahissent pas non plus une vision politique cohérente, un système matrice d’une pensée totalitaire, mais bien plutôt des ajustements que des individus sont forcés de faire pour rester en cohérence avec les « communautés émotionnelles » auxquelles ils appartiennent. Les émotions ne sont pas un paradigme neuf : c’est Lucien Febvre qui, dès la fin des années 1930, a alerté sur leur importance pour l’historien. Appliquées à la Terreur, dans les champs historiographiques français et anglais, les émotions participent d’une nouvelle histoire des élites. Mais peuvent-elles, à elles seules, rendre compte de cet état d’exception qu’est l’état de guerre expérimenté par la France durant la Terreur ?
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Genton, François. „Der Kongreß tanzt (1931): eine „Wiener Idylle“ (Siegfried Kracauer)? Zum kritischen Potenzial der von Erich Pommer produzierten Ufa-Tonfilmoperetten“. Austriaca 79, Nr. 1 (2014): 221–39. http://dx.doi.org/10.3406/austr.2014.5038.

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Le congrès s’amuse (1931 ) : une «Vienne idyllique» (Siegfried Kracauer) ? On reconnaît aujourd’hui en Fiance au congrès de Vienne des mérites que le discours républicain (et napoléonien) dominant lui a longtemps refusés. Ainsi Thierry Lentz écrit-il dans l’introduction de son livre Le Congrès de Vienne. Une refondation de l'Europe 1814-1815 (2013) qu’il a fait l’histoire «européenne» de ce grand événement afin de combattre les préjugés qui ont cours en France à son endroit. Il semble ainsi que la France rejoint un certain consensus européen concernant la Révolution française et l’ère napoléonienne telles qu’elles ont été et sont encore traditionnellement décrites dans les livres d’histoire, mais aussi dans un grand nombre de produits culturels visant un large public. Ce «geste» consensuel tardif a-t-il été anticipé un peu plus de dix ans après la Grande Guerre par les spectateurs français et allemands, puisque les versions allemande et française du film musical d’Erik Charell Le congrès s’amuse furent en 1931 -1932 des deux côtés du Rhin l’un des plus grands, sinon le plus grand succès de la saison ? En d’autres termes, ce dernier film oppose-t-il la normalité gaie de la Vienne pacifique et paisible de Metternich aux excès de violence des périodes révolutionnaire et napoléonienne, satisfaisant à sa façon le désir de paix des peuples français et allemand au début de la décennie qui conduisit à la deuxième guerre mondiale et leur refus d’affronter directement au cinéma les grandes questions politiques du moment ? En plaçant cette comédie dans la lignée des films européens à thématique révolutionnaire et napoléonienne, du cinéma muet aux débuts du cinéma parlant, et en se fondant sur une interprétation prenant en compte les spécificités de ce film par rapport aux oeuvres contemporaines ou aux adaptations et imitations ultérieures, cette étude vise à montrer que les comédies produites par l’UFA à l’époque d’Erich Pommer étaient souvent bien davantage qu’un art populaire et commercial visant un divertissement dénué du moindre contenu critique.
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Czisnik, Marianne. „La Royal Navy pendant les guerres de la Révolution et de l’Empire (1793-1815)“. Annales historiques de la Révolution française, Nr. 343 (15.03.2006): 177–84. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.10182.

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Calvié, Lucien. „Chants guerriers et patriotiques en Allemagne de la fin du Saint Empire au Vormärz : réflexions sur un genre et sa critique“. Chroniques allemandes 10, Nr. 1 (2003): 65–79. http://dx.doi.org/10.3406/chral.2003.1866.

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De Atta Troll à Germania, au cours des années 1840, Heine développe une critique acérée d’un genre, celui des chants guerriers et patriotiques allemands, des guerres de « libération » de 1813-1815 à la crise franco-allemande de 1840 à propos de la récurrente « question du Rhin » et plus encore de l’idéologie qui est à son fondement. Ces chants guerriers et patriotiques, pendant la période considérée, se caractérisent par une forte continuité thématique : « liberté germanique » et luthérienne opposée aussi bien à la Rome antique et papale (Los von Rom !) qu’à la France impériale et référence au Saint Empire médiéval, surtout autour du thème barbarossien ; mais aussi faiblesse d’une revendication démocratique ou révolutionnaire qui reste incertaine et sporadique. La critique heinéenne trouve son complément dans la mouvance jeune-hégélienne, jusqu’à la veille de 1848, de façon modérée chez Robert Prutz, autour de la revendication d’une presse et d’une parole libres, plus radicale chez Arnold Ruge, qui veut voir dans le patriotisme une aliénation comparable à celle de la religion. Chez Ruge, comme aussi parfois chez Heine, l’idée d’une révolution allemande à la fois unitaire et démocratique s’oppose aux errements et aux dangers du lyrisme nationaliste antifrançais.
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Andrès, Bernard. „L’humain fait monstre chez Pierre de Sales Laterrière (1743-1815) et Jacques Grasset de Saint-Sauveur (1757-1810)“. Tangence, Nr. 91 (28.10.2010): 43–65. http://dx.doi.org/10.7202/044809ar.

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En racontant, vers 1812, sa vie professionnelle et amoureuse au Québec puis au Bas-Canada, Pierre de Sales Laterrière défie les préjugés de ses contemporains, au point que l’édition posthume de ses Mémoires sera expurgée des détails jugés trop « scabreux » par l’abbé Casgrain. Certains de ces passages échappèrent toutefois à la censure. Ils concernent les dessous de la formation médicale, les expériences cliniques et les dissections auxquelles se livraient alors les carabins, tant à Paris qu’à Boston ou à Trois-Rivières. En examinant la façon dont le mémorialiste met en scène le « sujet » médical à des fins satiriques et polémiques, on observera les seuils de tolérance de la société canadienne sous le Régime anglais, alors que la colonie s’éveille aux Lumières sur fond de révolutions (américaine et française), puis de guerres napoléoniennes.
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Crouzet, François M. „Les conséquences des guerres de la Révolution et de l'Empire pour l'économie britannique (1793-1815)“. Revue économique 40, Nr. 6 (1989): 1119–36. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1989.409188.

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Crouzet, François M., und Francois M. Crouzet. „Les conséquences des guerres de la Révolution et de l'Empire pour l'économie britannique (1793-1815)“. Revue économique 40, Nr. 6 (November 1989): 1119. http://dx.doi.org/10.2307/3501982.

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Bernier, Émilie. „La démocratie, c'est le mal.“ Canadian Journal of Political Science 39, Nr. 1 (März 2006): 214–17. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423906389998.

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La démocratie, c'est le mal., Marc Angenot, Québec : Presses de l'Université Laval, 2004, 182 pages.Par ce titre incisif, Angenot indique le point de départ de l'ensemble des critiques adressées à la démocratie parlementaire et au suffrage universel au cours du développement idéologique qui a préparé les grandes révolutions du siècle dernier: l'identification d'un mal social. L'auteur vise à retracer l'histoire des critiques et des contre-propositions formulées par certains secteurs de l'extrême gauche, socialistes et libertaires, au cours du “ long XIXe siècle ” (de 1815 à la Première Guerre mondiale) devant les vices et les crimes d'un état social jugé corrompu en ses principes. Il ne s'agit pas de soumettre d'anciennes querelles idéologiques à l'épreuve de la réalité car polémiquer avec des chimères est loin d'être le but d'Angenot. Si cette démarche a un intérêt d'actualité, c'est plutôt parce que les grands malheurs du XXe siècle, à savoir les dérives du bolchevisme et des fascismes, trouvent leur origine dans ce foisonnement idéologique, dans la mesure où il y a préparé les esprits. Il demeure donc pertinent d'interroger ces argumentaires et d'identifier l' “ aveuglement ” sur lequel ils s'érigent. Le problème est cette “ hostilité de principe ” qui s'est exprimée à travers le discours du militantisme antidémocratique. La méthode est de rappeler l'essentiel des conjectures et de recréer les débats internes et inhérents à toute mouvance militante, afin d'expliquer la persistance d'une telle hostilité.
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Czisnik, Marianne. „La Royal Navy pendant les guerres de la Révolution et de l'Empire (1793-1815). Essai de parcours bibliographique“. Annales historiques de la Révolution française 343, Nr. 1 (2006): 177–84. http://dx.doi.org/10.3406/ahrf.2006.2875.

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Brignon, Arnaud. „Les « ichtyolites » (Actinopterygii) de la collection Jean-Baptiste Beurard (1745–1835) : intérêt historique et redécouverte de la série type d’Armigatus brevissimus (Blainville, 1818) du Cénomanien du Liban“. BSGF - Earth Sciences Bulletin 192 (2021): 34. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2021025.

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Cet article souligne le rôle Jean-Baptiste Beurard dans l’histoire de la paléoichtyologie. Ancien chanoine de la cathédrale de Toul, il trouva après les affres des débuts de la Révolution un emploi d’agent du gouvernement attaché à l’administration des mines entre 1794 et 1815. Chargé de la surveillance des mines de mercure dans les nouveaux départements annexés par la France sur la rive gauche du Rhin, il redécouvrit en juillet 1799 le fameux gisement d’« ichtyolites » (poissons fossiles) imprégnés de cinabre de Münsterappel daté du Permien inférieur. Il envoya plusieurs spécimens dans des collections institutionnelles parisiennes. Des représentants de l’espèce Paramblypterus duvernoy (Agassiz, 1833) (Actinopterygii, Amblypteridae), probablement envoyés par Beurard avant 1809 d’après le témoignage de Barthélémy Faujas de Saint-Fond, ont été identifiés dans les collections du Muséum national d’Histoire Naturelle, Paris. Un autre spécimen ayant appartenu de manière incontestable à Beurard est conservé dans les collections Géosciences de Sorbonne Université et revêt un intérêt historique tout particulier. Beurard possédait également dans sa collection deux échantillons de poissons fossiles du Cénomanien de Haqel dans l’actuel Liban, qu’il avait reçu de son neveu Claude Charles Harmand (1784–1847), officier de marine, en 1817. À partir d’eux, Henri Marie Ducrotay de Blainville décrivit deux espèces qu’il nomma Clupea beurardi Blainville, 1818a et Clupea brevissima Blainville, 1818a. La première n’est plus considérée comme valide et la seconde est aujourd’hui assignée au genre Armigatus Grande, 1982 (Actinopterygii, Clupeomorpha) dont elle est l’espèce type. Un de ces spécimens est conservé au Natural History Museum, Londres, et provient de la collection de William Willoughby Cole (1807–1886), comte d’Enniskillen, qui avait acquis une partie de la collection Beurard. Étiqueté par erreur Clupea beurardi par Beurard, cet échantillon porte en réalité les quatre syntypes d’Armigatus brevissimus. Un lectotype est désigné ici pour fixer le statut de cette espèce, certainement la plus abondante et la plus iconique du gisement de Haqel.
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Thirouin, Marie-Odile. „La Russie à l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon (xviiie-xxe siècles)“. Modernités russes, Nr. 20 (15.07.2022). http://dx.doi.org/10.35562/modernites-russes.569.

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Une recherche menée en 2021 dans les archives de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, société savante datant du début du xviiie siècle, a mis en évidence un ensemble de textes témoignant de l’existence de liens entre la Russie et Lyon avant la fondation de l’université locale (1896) et avant la création de la première chaire de slavistique lyonnaise (1920). Ces documents sont de trois natures différentes : lettres (de Russie ou sur la Russie), mémoires manuscrits et enfin discours, ayant donné lieu à publication ou non. Parmi ces textes, on trouve trace de deux ardents patriotes russes, l’un venu d’Ukraine et l’autre de Pologne. Le médecin Danilo Samojlovič (1742-1805) devient en 1785 associé de l’Académie de Lyon pour assurer la promotion et la diffusion de ses idées nouvelles sur le traitement de la peste. Karolina Oleśkiewicz est pour sa part l’auteur d’un long manuscrit intitulé Révélations sur la Russie, portrait légitimiste de sa patrie d’adoption rédigé entre 1839 et 1845, peut-être en réponse aux attaques de Custine ou Henningsen contre la Russie. Inversement, plusieurs Lyonnais ont eu à faire avec la Russie au xviiie et au xixe siècle, sans même parler du diplomate et écrivain marseillais Claude-Charles de Peyssonnel (1727-1790), auteur d’une Dissertation sur la langue Sclavone, prétendument Illyrique (1765), dont on trouve un fragment manuscrit dans les archives de l’Académie. Le médecin et naturaliste Jean-Emmanuel Gilibert (1741-1814) tire de son long séjour en Pologne-Lituanie, à la veille du dernier partage de la Pologne, la matière de mémoires pour l’Académie (sur la géographie de la région, ses mœurs, ses habitants), de même que son confrère le naturaliste et minéralogiste Louis Patrin (1742-1815), à propos de la Sibérie. Le contexte change radicalement avec Philippe Benoit (1793-1881), fait prisonnier lors de la campagne de Russie de 1812 : il rapporte de son séjour forcé une longue relation de captivité (Souvenirs d’un Ardéchois prisonnier de guerre en Russie de 1812 à 1814), des poèmes et une pièce de théâtre inédite (Fëdor ou une révolte de serfs en Russie). Deux lettres de Charles de Pougens (pour l’impératrice douairière Marie et son fils le grand-duc Constantin) et d’Alexandre Moreau de Jonnès (sur la propagation du choléra dans le Sud de la Russie) complètent au xixe siècle la collection des documents de l’Académie touchant à la Russie. La Révolution russe de 1917 fait une remarquable irruption dans deux discours de réception à l’Académie, ceux des avocats Pierre Villard (1857-1930) et Jules Millevoye (1852-1930), en 1918 et 1922. Après 1930 et jusqu’au xxie siècle, la Russie disparaît pratiquement des activités de l’Académie de Lyon où elle aura été surtout présente, logiquement, pendant la période où cette dernière avait pris l’initiative d’intensifier ses échanges avec l’Europe occidentale.
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Brucker, Nicolas. „Comment peut-on être allemand ? Clandestinité, identité et médiation. Le cas de Charles de Villers“. Clandestins, clandestinités - Gestes de couleur : arts, musique, poésie, Nr. 17-2 (15.12.2022). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.4051.

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Dans le contexte de l’émigration des nobles durant la Révolution française (1790-1800), la clandestinité consiste à cacher son identité et à voiler son origine. La communication épistolaire rend nécessaires certains subterfuges. Les hommes de lettres qui poursuivent une activité éditoriale recourent à d’autres stratégies pour garantir leur anonymat. Charles de Villers (1765-1815), journaliste, traducteur et essayiste réfugié en Allemagne dès 1794, est représentatif de cette catégorie. Il s’est, comme d’autres intellectuels, assimilé à la culture du pays d’accueil, et s’est rapidement imposé comme un intermédiaire culturel de premier plan. La clandestinité, par l’abolition de toute attache identitaire antérieure, a favorisé la transformation vers l’apatridie politique et la construction d’une identité transnationale. La biculturalité n’est pas l’addition de deux identités, mais le rejet d’un modèle exclusif et l’acceptation d’une instabilité certes inconfortable, mais source de dynamisme et de création. Il en résulte un style de médiation marqué par le goût du débat et le refus du consensus.
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