Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Grands Groupes bancaires“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Grands Groupes bancaires"

1

Araujo, Pedro, und Felix Bühlmann. „Les élites bancaires suisses : entre localisme et transnationalisme“. Revue française de sociologie Vol. 64, Nr. 1 (22.01.2024): 85–110. http://dx.doi.org/10.3917/rfs.641.0085.

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Cet article se propose d’étudier la manière selon laquelle l’internationalisation du milieu bancaire helvétique a transformé les carrières de ses élites bancaires. En combinant une analyse des correspondances multiples des dirigeants des 37 plus grandes banques suisses en 2010 avec une analyse qualitative fondée sur des données prosopographiques et des entretiens biographiques, nous montrons que les carrières des dirigeants bancaires sont polarisées par une opposition entre des élites transnationales et des élites nationales. Les élites transnationales, évoluant dans des grands groupes, se caractérisent par une forte mobilité internationale, sous forme de séjours de formation et d’expériences professionnelles à l’étranger, tandis que les élites nationales, évoluant dans des structures moins financiarisées, se distinguent par un ancrage régional.
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2

Vernier, Éric, Hodonou Dannon und Régis Dumoulin. „Diversité du conseil d’administration et politique de dividende des grands groupes bancaires systémiques : théories et investigations empiriques“. Management & Sciences Sociales N° 23, Nr. 2 (01.07.2017): 48–61. http://dx.doi.org/10.3917/mss.023.0048.

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Cet article étudie la relation entre la diversité du conseil d’administration des 30 grands groupes bancaires systémiques et leur politique de distribution de dividende. L’analyse de données de panel cylindré grâce à l’estimateur GMM (Generalised Method of Moments) a été mobilisée sur la période 2010-2015. Globalement, les résultats obtenus confirment l’hypothèse de lissage des dividendes développée par Lintner (1956) et indiquent que les baisses de dividende sont rarement observées dans le cas des grands groupes bancaires systémiques. En outre, la proportion des femmes siégeant au conseil d’administration et celle des administrateurs indépendants influencent négativement et significativement la distribution de dividende. Il y va de même de la fréquence des réunions du conseil d’administration et de l’augmentation des comités spécialisés de ce conseil. Cependant, la dualité du style de leadership est positivement et significativement reliée à la distribution de dividende. Les effets de la taille, des stocks de liquidité disponibles et des opportunités de croissance sur la distribution de dividende des groupes bancaires systémiques sont conformes à la théorie de Fama & French (2001).
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3

Dannon, Hodonou, und Éric Vernier. „Analyse comparative de la rémunération des dirigeants des grands groupes bancaires mutualistes et non mutualistes français“. Revue d'économie financière N°134, Nr. 2 (2019): 205. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.134.0205.

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4

de Bandt, Olivier, Boubacar Camara, Pierre Pessarossi und Martin Rose. „Can better capitalised banks be more profitable? An analysis of large French banking groups before and after the financial crisis“. Economie et Statistique / Economics and Statistics, Nr. 494-495-496 (11.10.2017): 131–48. http://dx.doi.org/10.24187/ecostat.2017.494t.1922.

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5

Baret, Pierre, und Marion Chivot. „Un grand groupe bancaire peut-il dépasser les limites des Principes Equateur pour s’affirmer comme « durable » ? Le cas d’HSBC“. Management & Sciences Sociales N° 13, Nr. 2 (01.07.2012): 44–57. http://dx.doi.org/10.3917/mss.013.0044.

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Cet article vise à tester empiriquement la proposition selon laquelle les PE constituent un outil pertinent, mais insuffisant pour véritablement implémenter la RSE dans le secteur bancaire. de fait, quelle est la capacité d’un grand groupe bancaire à dépasser effectivement les limites des PE et s’imposer, non plus simplement comme « offensif », mais véritablement comme une banque « durable » ? C’est à cette question que nous tentons de répondre dans la présente recherche, à travers le cas du Groupe HSBC. Le résultat de notre étude montre que les PE constituent un outil intéressant pour accompagner une banque « classique » vers un comportement plus responsable en termes de financement de projet. Leur application effective permet de devenir « offensif » sur ce volet. Mais leurs limites sont trop importantes pour permettre à une grande banque classique de franchir la marche qui lui permettrait d’être considérée comme une « banque durable ».
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6

Koeune, Jean-Claude. „Numéro 8 - mars 2003“. Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16213.

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En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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Koeune, Jean-Claude. „Numéro 8 - mars 2003“. Regards économiques, 12.10.2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.03.01.

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En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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Dissertationen zum Thema "Grands Groupes bancaires"

1

Chelbi, Olfa. „Between disintermediation and head-on competition : an analysis of the strategic responses of established banks to two cases of competitive change“. Electronic Thesis or Diss., Institut polytechnique de Paris, 2024. http://www.theses.fr/2024IPPAX023.

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La question de comment les grandes entreprises établies réagissent à l'arrivée de nouveaux entrants est un problème contemporain auquel font de plus en plus face les managers compte tenu de l'environnement compétitif au sein duquel ils évoluent et qui marqué par la diversité des formes que prennent la competition. Il s’agit également d’une question qui est fréquemment discutée dans la littératureUne compréhension approfondie des mécanismes de réponse déployés par les entreprises établies, de la manière dont ces réponses dépendent de variables spécifiques et analyser pourquoi certaines réponses sont plus efficaces que d'autres est de la plus haute importance. Cette thèse s'interroge sur la manière dont les acteurs impliqués font face à ce type de situation empirique.Pour répondre à cette question, la recherche menée s'est focalisée sur le cas de l'industrie bancaire qui connaît depuis 2010 l'essor de startups appelées Fintech. Ces startups sont de nature diverse et opèrent dans différents segments d'activité traditionnellement exploités par les banques. Nous avons fait le choix de nous concentrer sur deux catégories de Fintechs qui nous permettent de discuter de la dynamique concurrentielle et collaborative entre les banques établies et les startups Fintechs. Tout d'abord, les Fintechs qui s'adressent au segment Banque/Paiement, appelées "challenger banks", qui ont émergé avec l'objectif de créer une expérience bancaire moderne, 100% digitale et de défier les banques traditionnelles. Deuxièmement, les acteurs tiers qui comprennent les agrégateurs de comptes et les initiateurs de paiements qui ont également mis les banques sous tension en créant des inquiétudes quant au risque de désintermédiation des banques dans les relations avec les clients.Le recours à un design de recherche flexible a été une dimension clé de cette recherche, ainsi que la combinaison de deux types d'étude de cas et l'utilisation de différentes approches méthodologiques telles que l'utilisation de narrations et l'utilisation de template méthodologiques et théoriques comme des moyens pour l’investigation du terrain.Nous aboutissons ainsi aux résultats suivants. Premièrement, nous examinons quatre types de réponses stratégiques mises en place par les banques établies pour répondre à l'émergence des Fintechs, à savoir la concurrence, l'imitation, l'intégration des technologies des Fintechs et la création d'un écosystème de Fintech.Deuxièmement, nous examinons l'enchaînement des réponses dans le temps et les véhicules utilisés par les entreprises pour initier leurs réponses stratégiques.Troisièmement, nous examinons l'efficacité de ces réponses et leurs résultats pour les grandes banques.Les contributions de ce travail doctoral se situent à différents niveaux compte tendu du large éventail de contextes étudiés. Au niveau général, nous contribuons à la littérature sur les réponses stratégiques des grandes entreprises et des entreprises établies à des changements concurrentiels et à la dynamique entreprise établie-nouvel entrant en étudiant deux aspects : le moment et la typologie des réponses employées par les grandes entreprises établies et les véhicules à l’origine de ces réponses. Au niveau spécifique, nous contribuons à la littérature sur la coopétition, et plus spécifiquement à la littérature sur la coopétition asymétrique, qui est une littérature émergente en quête de théorisation et de contributions empiriques. Nous contribuons également à la littérature sur le rôle des acteurs tiers et institutionnels dans le développement de la coopétition.Par ailleurs, nous contribuons à la littérature sur les business model en considérant le business model comme un domaine émergent d'application de différentes théories telles que la théorie de l'imitation et de concepts tels que la coopétition
The question of how large and established firms react to the rise of new entrants is a contemporary issue for managers in today’s competitive environment and an issue that is frequently discussed in the literature. Understanding in depth the response mechanisms deployed by established firms, how these responses are contingent upon specific variables and understanding why some responses perform better than others is therefore of the utmost importance. This thesis questions the way involved actors deal with this type of empirical situation.To answer this question, the research carried out focused on the case of the banking industry which has experienced since 2010 the rise of startups referred to as Fintech startups.These startups are diverse in nature and operate in different business segments traditionally operated by banks. We chose to focus on two categories of Fintechs that allow us to discuss the competitive as well as the collaborative dynamic between established banks and rising Fintech startups. First, Fintechs addressing the Banking/Payment segment referred to as challenger banks which emerged with the goal of creating a modern, 100% digital banking experience and challenging traditional banks. Second, third party providers that include account aggregators and payment initiators which also put banks under pressure by raising concerns about a risk of disintermediation of banks in the relationships with clients.The reliance on a flexible research design was a key dimension in this research along withthe combination of two types of case study designs and the use of different approaches such as the use of narratives and the use of methodological and theoretical templates as a form of inquiry of the field.The longitudinal investigation of the field has allowed us to achieve the following results. First, we discuss four types of strategic responses put in place by established banks to respond to the emergence of Fintech startups namely coopetition, imitation, the integration of fintech technologies and the creation of a Fintech ecosystem.Second, we discuss the sequencing of the responses over time and the vehicles that are used by firms to respond.Third, we discuss the efficiency of these responses and their outcomes for large banks.The contributions of this doctoral work are multi-faceted, given the wide range of settings investigated. On the general level, we contribute to the literature on strategic responses of large and established firms to market change and to the incumbent-new entrant dynamic by investigating two aspects ; the time and typology of responses employed by large and established firms and the initiators of these responses. On the specific level, we contribute to the literature on coopetition, and more specifically to the literature on asymmetrical coopetition, which is an emerging literature in search of theorization and empirical contributions. We also contribute to the literature on the role of third-party and institutional players in the development of coopetition.We also contribute to the literature on business models by taking the business model as an emerging domain of application of different theories such as the theory of imitation and concepts such as coopetition
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