Zeitschriftenartikel zum Thema „François de Fossa“

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Fominykh, T. A., A. P. D’yachenko und V. S. Ulanov. „MARIE FRANÇOIS XAVIER BICHAT (1771-1802)“. Crimea Journal of Experimental and Clinical Medicine 10, Nr. 4 (2021): 58–63. http://dx.doi.org/10.37279/2224-6444-2020-10-4-58-63.

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The article tells about the great French surgeon, anatomist and physiologist Marie-François Xavier Bichat, the founder of science about tissues – histology, discoverer in an anatomy and creator of such medical disciplines, as a thanatology (science about death) and pathoanatomy. The most essential moments and facts from biography of scientist are described, his basic scientific insights are briefly expounded. Main scientific works and publications, and also described by Bichat anatomic structures and formations are enumerated. His name is carried on by several eponyms in anatomy fossa (pterygopalatine fossa), Bichat’s protuberance (buccal fat pad), Bichat’s foramen (cistern of the vena magna of Galen), Bichat’s ligament (lower fasciculus of the posterior sacroiliac ligament), Bichat’s fissure (transverse fissure of the brain) and Bichat’s tunic (tunica intima vasorum). The substantive provisions of the scientific conceptions offered to them in morphology and pathoanatomy are expounded. The critical importance of scientific works and discoveries of Marie-François Xavier Bichat for modern science and practical medicine is emphasized
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Ophee, Matanya. „Athénaïs Paulian’s Airs and Variations, op. 1“. Soundboard Scholar 8, Nr. 1 (2022): 1–12. http://dx.doi.org/10.56902/sbs.2022.8.18.

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This article reproduces Airs et Variations, op. 1, by Athénaïs Paulian (Bonn: Simrock, c. 1829), with a brief historical commentary and notes on performance. The commentary includes notes on Paulian's role in the Parisian guitar scene of Sor, Aguado, de Fossa, and others; the Italian soprano Angelia Catalani; and the popularity of the aria "Das klinget so herrlich," from Mozart's Singspiel Die Zauberflöte. Notes This article is one of a series of seven celebrating the work of Matanya Ophee (1932–2017) on the ninetieth anniversary of his birth. Written between 1982 and 1991, these articles first appeared in early issues of the GFA’s magazine Soundboard. The writings in this series are really columns—short introductions to scores, which are also reproduced here as they appeared in the original magazines. Ophee’s long-form research appears in various places, but an important anthology is his Essays on Guitar History (Columbus, OH: Orphee, 2016). An introduction to the present series, surveying Ophee’s contribution to Soundboard, is provided by Stanley Yates. Below are links to each article in the series: Introduction Matanya Ophee’s Contributions to Soundboard Magazine: A Retrospective, by Stanley Yates Articles A Rondo Allegro by François Molino Carlos Pedrell’s Al atardecer en los jardines de Arlaja Rudolph Süss’s Lyrische Suite no. 1, op. 23 J.N. Bobrowicz’s Grand Polonaise, op. 24 Rudolph Süss’s Lyrische Suite no. 2, op. 24 Elsa Just’s Ständchen for Guitar Trio Athénaïs Paulian’s Airs and Variations, op. 1
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Ouellet, François. „Le Balzac de François Fosca“. L'Année balzacienne 16, Nr. 1 (2015): 215. http://dx.doi.org/10.3917/balz.016.0215.

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Pinto, Gerson Neves. „Se o direito me fosse contado“. Revista Eletrônica Direito e Sociedade - REDES 8, Nr. 3 (01.12.2020): 219. http://dx.doi.org/10.18316/redes.v8i3.7517.

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Charron, Marc. „Berman, étranger à lui-même?“ TTR : traduction, terminologie, rédaction 14, Nr. 2 (24.07.2003): 97–121. http://dx.doi.org/10.7202/000571ar.

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Résumé Dans notre article, nous tentons d’illustrer la nature du fossé qui existe, chez Antoine Berman, entre la pratique du traducteur et le discours épistémologique du traductologue. Pour ce faire, nous proposons une analyse de plusieurs passages des premières pages de sa traduction française du roman d’Augusto Roa Bastos, Yo el Supremo, en fonction de principes traductologiques avancés par Berman lui-même dans deux essais parus au cours des années 80. Dans ces essais, Berman oppose le « polyfacétisme » propre au roman latino-américain aux « tendances antivernaculaires » qui caractérisent la prose française et qui compliquent la tâche de quiconque essaie de traduire vers le français une langue de départ dans laquelle l’oralité, le dialogisme et le vernaculaire dominent. Nous décrivons neuf des douze tendances dégagées par Berman et, à l’aide d’extraits tirés de sa traduction Moi le Suprême, montrons que « Berman le traducteur » n’a peut-être pas su mettre en pratique des principes dont « Berman le traductologue » avait pourtant conscience.
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Poitras, Daniel. „Notre maître l’avenir, ou le terreau des ancêtres? L’ambivalence temporelle chez Fernand Dumont (1956-1967)“. Recherche 58, Nr. 1 (01.06.2017): 119–42. http://dx.doi.org/10.7202/1039933ar.

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Au tournant des années 1960, Fernand Dumont se penche sur le passé du Québec et constate les ravages provoqués par le fatalisme et la « Grande-Peur québécoisée », qui atrophient l’expérience du passé. Le jeune sociologue attend de l’historien qu’il libère ses contemporains des fixations sur les mythes désuets et effectue une transmutation des valeurs anciennes en valeurs nouvelles. Plutôt que d’étudier le rôle que Dumont donne à l’historien à travers le seul récit émancipatoire du Québec, je propose d’insérer ce récit dans le régime d’historicité pour mieux saisir la transformation du rapport à l’historiographie et à l’actualisation du passé chez Dumont. Si la question des traditions à retrouver (ou carrément à donner) au Québec pour le sortir de ses ornières mobilise toute sa génération intellectuelle, Dumont manifeste une ambivalence temporelle qui le fait osciller entre le futurisme et l’appel aux ancêtres. En commentant sévèrement les historiens canadiens-français et en puisant sans vergogne dans l’histoire française, Dumont cherche à retrouver tantôt un « cheminement de la liberté », tantôt une « tradition socialiste » propres au Canada français, mais il constate à tout moment la fragilité et l’évanescence de ces repères passés, ce qui l’amène à puiser dans l’histoire française. Mais le volontarisme historiographique des années 1960 sera-t-il suffisant pour combler ce fossé et donner aux contemporains des lieux de mémoire inspirants?
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Bourguiba, Leïla. „La France, possible havre d’impunité pour criminels syriens ? Un sauvetage in extremis de la compétence universelle des tribunaux français“. Confluences Méditerranée N° 126, Nr. 3 (09.11.2023): 99–115. http://dx.doi.org/10.3917/come.126.0100.

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Le développement de la justice pénale internationale est sans aucun doute une évolution majeure du droit international. La Cour pénale internationale en est l’une des figures emblématiques. Son incapacité à se saisir du drame syrien, pour des raisons juridiques, a mis en lumière le travail effectué par d’autres acteurs, notamment les juridictions pénales nationales exerçant leur compétence universelle. Si l’Allemagne a pu mener à terme plusieurs procès sur ce fondement, les juridictions françaises, travaillant pourtant étroitement avec leurs homologues allemands, sont à la peine. Pourquoi ? L’arrêt dit « Chaban » rendu en novembre 2021 par la Chambre criminelle de la Cour de cassation a mis en lumière le fossé abyssal qui séparait les incantations à la lutte contre l’impunité de la diplomatie française et le carcan procédural national paralysant tout exercice de la compétence universelle. Si l’Assemblée plénière, formation solennelle de la Cour de cassation, a procédé à un sauvetage in extremis de la compétence universelle des tribunaux français, il faut constamment demeurer vigilant pour en assurer l’effectivité.
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Rizzoni, Nathalie. „Marivaux, Pannard et Le Chemin de Fortune“. Revue d'histoire littéraire de la France o 98, Nr. 2 (01.02.1998): 215–30. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1998.98n2.0215.

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Résumé En 1734, Marivaux publie dans Le Cabinet du philosophe un canevas dramatique curieux à la tonalité éminemment morale, qu'il intitule Le Chemin de Fortune . Quatre ans plus tard, le Théâtre de la Foire propose à ses spectateurs Le Fossé du Scrupule , un opéra-comique dont la dramaturgie repose manifestement sur ce même canevas, renouant ainsi, contre toute attente à l'époque, avec la tradition médiévale des « moralités » et des figures allégoriques sur la scène : possédés par le désir d'accéder promptement à la richesse, plusieurs personnages représentant différentes classes de la société sont tour à tour tiraillés par La Cupidité et Le Scrupule, la première les engageant à se délester de leurs vertus afin de « sauter le fossé », tandis que le second s'efforce de les retenir. Plébiscité par le public, Le Fossé du Scrupule fait date dans l'histoire de l'opéra-comique. Son auteur ? Charles-François Pannard, un des dramaturges les plus célèbres de son temps, dont la route, avant Le Fossé du Scrupule , avait déjà croisé à diverses reprises celle de Marivaux. Ce relais de Marivaux à Pannard sur Le Chemin de Fortune suscite plusieurs interrogations et notamment : pourquoi Marivaux, qui avait bien évidemment toutes les qualités requises pour mener son projet à terme, a-t-il préféré ne pas achever lui-même cette fable sur la tentation de « parvenir » ?
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Fremigacci, Jean. „Les parlementaires africains face à la construction européenne 1953-1957“. Matériaux pour l’histoire de notre temps N° 77, Nr. 1 (01.03.2005): 5–16. http://dx.doi.org/10.3917/mate.077.0002.

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Résumé Face à la construction européenne, les parlementaires africains et malgaches firent d’abord preuve, à l’époque de la CED (1953-1954) d’un souverainisme français et républicain surprenant. Dans un second temps, la perte de confiance dans la métropole aidant, l’Eurafrique apparut comme la voie de l’avenir. Mais le traité de Rome devait sonner le glas des espérances eurafricaines. Entre l’Afrique sous-développée marchant vers son indépendance et l’Europe industrielle, le fossé ne pouvait que s’élargir.
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Carrasco Pagnossi, Nádia, und Jasmim Sedie Drigo. „Tradução do texto: Reflexões sobre os Negros“. História & Ensino 24, Nr. 1 (29.07.2018): 283. http://dx.doi.org/10.5433/2238-3018.2018v24n1p283.

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O presente trabalho é uma tradução da obra “Reflexões sobre os negros”, da revolucionária francesa Olympe de Gouges, escrito em 1788. A autora apresenta sua experiência com a escravidão, a injustiça e o preconceito que a população negra sofria, mesmo que em uma época de ideias iluministas. Além de refletir sobre esses temas, Gouges critica a Comédie Française, instituição teatral, por não permitir que uma de suas peças de teatro fosse representada ao público, já que continha uma crítica à discriminação racial. A intenção da tradução foi tornar essa obra acessível ao público para ser usada como recurso didático em sala de aula no ensino básico.
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Sardet, Christian. „Deux siècles d’arts et de sciences à Nice et Villefranche sur Mer : 1) Les anciens : de 1800 à 1900“. Arts et sciences 8, Nr. 3 (2024): 6–27. http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2024.1182.

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Nous racontons l’histoire de l’évolution des connaissances de la flore et la faune dans la région niçoise et en particulier celle de la faune pélagique. Dans les années 1800, Antoine Risso, Jean Gabriel Prêtre, François Péron et Alexandre Lesueur décrivent et peignent les fleurs, les poissons et des invertébrés marins. Au milieu du siècle, le naturaliste niçois, Jean Baptiste Vérany accueille des savants allemands et suisses - Johannes Müller, Rudolf Leuckart, Ernst Haeckel et Carl Vogt - qui influencent les recherches et le destin de la biologie dans la région par leurs descriptions illustrées d’organismes jusqu’alors ignorés comme les siphonophores et les radiolaires. Et dans les années 1880, Hermann Fol, Jules Barrois et Alexis Korotneff créent une station marine accueillante à Villefranche sur Mer, reconnue depuis comme un site exceptionel pour l’étude du plancton. A partir du milieu du 19ème, le Muséum d’Histoire Naturelle de Nice s’enrichit des collections de Risso, Vérany et Jean Baptiste Barla épaulés par Vincent Fossat, un peintre / illustrateur talentueux. A la fin du siècle, la région niçoise attire les souverains et aristocrates anglais et russes, des biologistes et des peintres impressionistes. Dans un article compagnon (Sardet 2024 /2 Les modernes – de 1970 à 2024), nous montrons que les organismes explorés au 19ème siècle sont toujours l’objet de recherches à l’Institut de la Mer de Villefranche (IMEV).
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Redondo, Cécile. „La notion de « praxéologie » pour soutenir l’articulation entre fondements épistémologiques et pratiques enseignantes dans le champ des pédagogies de l’éducation au développement durable“. Phronesis 10, Nr. 2-3 (24.09.2021): 194–215. http://dx.doi.org/10.7202/1081792ar.

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Dans le champ de l’éducation au développement durable (EDD), l’arrière-plan théorique est souvent absent (Considère et Tutiaux-Guillon, 2013 ; Tutiaux-Guillon, 2013), laissant penser qu’une culture partagée serait installée et que les pratiques iraient de soi. En effet, l’exploration des pédagogies de l’EDD met en évidence des bases épistémologiques absentes, lacunaires ou bien très personnelles et marquées idéologiquement. Nous appuyons notre argumentaire sur les résultats de notre thèse soutenue en 2018 construite sur un dispositif méthodologique ayant permis de recueillir les déclarations de plus d’un millier d’enseignants français du Primaire et du Secondaire sur leurs pratiques en EDD. L’analyse outillée des concepts de la théorie anthropologique du didactique (TAD) développée par Chevallard (2011a) avec la notion de « praxéologie » met en évidence un fossé manifeste existant entre les modalités pédagogiques mises en oeuvre et les appuis théoriques à l’origine de ces pédagogies. Dans ce contexte, la mise en évidence d’un certain nombre de références issues de la littérature scientifique, laisse penser que certains appuis sont identifiables (et certains freins contournables) pour oeuvrer en faveur d’une culture pédagogique mieux partagée et d’un développement professionnel effectif des enseignants.
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KIM, Taehee. „Le macronisme et la philosophie de Paul Ricoeur“. Societe d'Etudes Franco-Coreennes 104 (30.04.2024): 109–33. http://dx.doi.org/10.18812/refc.2024.104.109.

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En périodes de crise, lorsque le fossé entre le monde académique et la réalité s'élargit, les sciences humaines ont fréquemment joué le rôle d'avertisseurs. Nombre de philosophes, Platon y compris, ont sondé les voies par lesquelles leurs doctrines pourraient s'incarner au sein du champ politique. Lors de l'élection présidentielle française de 2017, Emmanuel Macron, ayant été assistant de Paul Ricoeur s 'est imposé comme le candidat présidentiel prééminent de son temps. Durant le cycle électoral, il a publiquement valorisé Ricoeur en tant que mentor politique, captant ainsi une attention médiatique soutenue pour son image de 'philosophe- roi'. Au sein de cette recherche, nous scrutons le lien entre l'idéologie politique d'Emmanuel Macron et l'influence philosophique de Paul Ricoeur. À cet égard, nous examinons initialement la posture politique de Ricoeur et la résonance de sa pensée dans l'approche politique de Macron, notamment en matière d'immigration, lors du mouvement des 'gilets jaunes', et autour de la notion de 'laïcité'.
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Sheinis, L. „Guinard. Fibromes utérins et grossesse. (7-e Congrés Français de Chirurgie, séance du 7 avril. Semaine Médicale, № 23, 1893). Fibroids of the uterus and pregnancy“. Journal of obstetrics and women's diseases 7, Nr. 5 (22.09.2020): 421–22. http://dx.doi.org/10.17816/jowd75421-422.

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The patient, 33 years old, entered the Saint-Louis hospital (Paris) in August 1892, at the 3rd month of her pregnancy. Of the previous pregnancies, 3 ended in timely and completely correct childbirth, children are alive; The 4th pregnancy ended in stillbirth, which required the imposition of forceps. Before the end of the last regulation - profuse menorrhagia and mild leucorrhea. Was admitted to the hospital with complaints of very severe pain in the stomach. During examination, two tumors were found: one occupies the left fossam iliacam, goes over the navel and in its consistency resembles a pregnant uterus, another tumor, solid and much less mobile, lies in the cavity of the pelvic floor on the right side. Between these two tumors, the right personality, sensitive to pressure, is felt.
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Aubert, Marie-Hélène. „Réduire le fossé entre la société française et ses institutions : une nécessité pour restaurer l'influence de la France“. Revue internationale et stratégique 63, Nr. 3 (2006): 173. http://dx.doi.org/10.3917/ris.063.0173.

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Prado Mendonça, Marcela, und Marcelo de Sant’Anna Alves Primo. „A palavra de uma cidadã na tormenta revolucionária: o pensamento político de Olympe de Gouges“. Princípios: Revista de Filosofia (UFRN) 27, Nr. 52 (31.01.2020): 305–29. http://dx.doi.org/10.21680/1983-2109.2020v27n52id19019.

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Nosso texto pretende refletir acerca dos modos de discurso e do alcance dos textos políticos de Olympe de Gouges. Em particular, vamos nos ater a três escritos da autora que, através de gêneros discursivos diferentes, permitem ver a sua produção plural e seu engajamento político no contexto da França revolucionária: 1) A Refléxion sur les noirs – 1788 – que apresenta sua experiência com a escravidão, a injustiça e o preconceito que a população negra sofria, mesmo que em uma época de ideias iluministas. Mais do que isso, ela critica a Comédie Française, a qual não permitia que uma de suas peças de teatro fosse representada ao público, já que continha uma contundente crítica à discriminação racial; 2) A Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne – 1791 - que surgiu durante o momento em que as mulheres tinham seus próprios clubes políticos; 3) Por último, o panfleto Les trois urnes – 1793 – texto que desnuda o caráter autoritário do Estado jacobino pós-revolução e que levou Olympe a ser guilhotinada.
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Briot, Danielle, und Jean-Louis Poidevin. „Stratigraphie 87Sr/86Sr de quelques laminites carbonatées du Rupélien supérieur du fossé de Limagne : incursions marines dans le rift du Massif central français ?“ Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science 326, Nr. 7 (April 1998): 479–83. http://dx.doi.org/10.1016/s1251-8050(98)80074-8.

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FALIPOU, E., C. FAVRE, R. LACASSE und C. BOUTIN. „Prédiction des performances in situ des dispositifs d’assainissement non collectif à partir d’essais normalisés“. 5 5, Nr. 5 (20.05.2022): 81–100. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202205081.

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Cet article porte sur la comparaison des conditions de fonctionnement de dispositifs de traitement des eaux usées dédiés à l’assainissement non collectif et se base sur i) les résultats de huit essais normalisés, ii) plus de 300 mesures d’eaux usées brutes in situ et iii) plusieurs seuils réglementaires nationaux de qualité de rejet portant sur les paramètres carbonés. Jusqu’alors, les performances in situ à atteindre s’exprimaient principalement sous forme de concentrations. Du fait des concentrations différentes des eaux usées brutes dans les deux conditions de mesure (au moins 1,5 fois plus élevées en conditions in situ que sur plateforme), la comparaison des concentrations mesurées sur plateforme aux seuils réglementaires à respecter en conditions in situ n’est plus possible. Une approche basée sur les rendements des dispositifs est proposée. Les rendements à atteindre sont déterminés à partir des concentrations de rejet réglementaires. Ainsi, pour les concentrations de rejet de 30 mg/L en matières en suspension (MES) et 35 mg/L en demande biochimique en oxygène sur 5 jours (DBO5) requises par la réglementation française, les rendements minima sont de 96 % pour les MES et 95 % pour la DBO5. Ces performances épuratoires requises en conditions in situ correspondent aux performances minimales à atteindre sur plateforme. Une modélisation par une loi bêta analyse les rendements mesurés lors des essais normalisés et définit leur robustesse. En cas d’usage d’une fosse toutes eaux, une analyse complémentaire intègre son rendement dans la prédiction. Ces nouveaux critères de performance sont plus exigeants et, pour les huit dispositifs étudiés, quatre d’entre eux atteignent effectivement les objectifs de qualité réglementaires.
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Charbonneaux, Juliette. „L’imagier franco-allemand du Monde et de la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Une rhétorique du Vivre-Ensemble“. Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 3, Nr. 1 (15.04.2014): 154–69. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v3.n1.2014.136.

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L’omniprésence et l’abondance des images associant en une figure dirigeants français et allemands dans les médias européens contemporains tendent à laisser penser que ce motif a toujours été là, disponible pour dire et écrire l’actualité. Pourtant, il semble peu probable qu’au sortir de la seconde guerre mondiale il en ait été de même. Dans cette perspective, l’submission vise à déconstruire cet effet d’évidence en interrogeant le rôle et la place tenus par les images périodiques dans la construction et l’institution d’une figure du « vivre-ensemble » franco-allemand. Cette opération prend la forme d’une analyse socio-sémiotique : la réflexion porte à la fois sur les images — photographies et caricatures — et leurs légendes, sur leur agencement dans la page de journal et sur leurs conditions de production. La démarche procède également d’une double comparaison : en diachronie, dans un temps relativement long (de 1949 à 2012), et en synchronie, sur la base d’une confrontation de deux titres de presse quotidienne nationale de « référence », l’un français et l’autre allemand, Le Monde et la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). Une interrogation sur les conditions de possibilité de la présence de l’image dans ces deux périodiques permet d’abord de dégager combien la place de l’imagerie franco-allemande ne va pas de soi, mais résulte d’un processus de longue haleine. Toutefois, malgré défis et obstacles, à la fois techniques et idéologiques, la figure franco-allemande s’impose par le biais de la stabilisation de modèles de représentation qui en font un motif naturel et incontournable. Ainsi, des cadres éditoriaux pérennes favorisent son implantation et sa reconnaissance au quotidien. À l’intérieur de ces cadres, à la surface des images, la figuration de la ressemblance et de la proximité entre les dirigeants français et allemands contribue à forger la représentation d’une indéfectible unité binationale. Tout comme le fait l’actualisation continue d’un motif européen donné à voir à leurs côtés. Media images depicting French and German leadership as a “fellowship” (omnipresent and abundant as they are) tend to convey the impression that this portrayal has always existed, and are readily available as an endorsement in the rendering of news. And yet, it hardly seems likely that this would have been the case at the close of the Second World War. This submission aims to deconstruct this presupposition by examining the function and importance of media images in the construction and implementation of Franco-German “fellowship” by way of a socio-semiotic analysis of both the images (photos and political cartoons) and their legends, page location, and conditions of production. The analysis is two-pronged: the first aspect, diachronic, spans a relatively long period (1949-2012); the second, synchronic, is based on the confrontation between two notable national dailies in France and Germany: Le Monde and the Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). An analysis of the conditions enabling the presence of the depiction in these two periodicals demonstrates how this Franco-German image is not self-evident, but rather the result of a long and drawn-out process. And despite challenges and obstacles, both technical and ideological, the Franco-German image still manages to impose itself through the stabilizing effect of representational models which render it natural and unavoidable. Thus, entrenched editorial frameworks encourage its establishment and recognition on a daily basis. Within these frameworks, on the image surface, the depiction of similarity and harmony between French and German leaders helps forge the appearance of an unwavering binational unity, aided by the inevitable presence of the European logo at their side. A onipresença e a abundância de imagens que associam dirigentes franceses e alemães nos meios de comunição europeus dá a impressão de que essa parceria sempre existiu e que se tratava de uma realidade a ser endossada e retratada pelas notícias. No entanto, é pouco provável, ao final da Segunda Guerra Mundial, que isso fosse acontecer. Nessa perspectiva, este artigo busca desconstruir esse “efeito de evidência”, interrogando o papel e o lugar ocupado pelas imagens periódicas na construção e na instituição de uma “convivência” franco-alemã. Para isso, será realizada uma análise socio-semiótica: uma reflexão que deve tratar dar imagens – fotografias e caricaturas –, das legendas, do seu agenciamento na página do jornal e de suas condições de produção. A análise também propõe uma dupla comparação: uma diacrônica, aplicada a um período relativamente longo (de 1949 à 2012); e a outra sincrônica, feita a partir de uma confrontaçãoentre dois veículos da imprensa nacional de “referência”, um francês e uma alemão, Le Monde e Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). Um questionamento sobre as condições que possibilitam a presença da imagem nesses dois periódicos permite ainda perceber em que sentido o lugar ocupado pelas imagens franco-alemãs não resulta do acaso, mas de um processo mais longo. Contudo, apesar dos desafios e obstáculos, técnicos e também ideológicos, o retrato franco-alemão se impõe pelo viés da estabilização de modelos de representação que fazem dessa imagem uma causa natural e incontornável. Dessa forma, enquadramentos editoriais perenes favorecem sua implantação e reconhecimento no quotidianodos leitores. No interior dessas quadros, na superfície das imagens, a figuração da semelhança e da proximidade entre os dirigentes franceses e alemães contribui para forjar a apresentação de um indefectível unidade binacional. Soma-se a isso o fato delas se situarem a favor de uma atualização contínua da causa europeia.
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Veltman, Calvin J. „Les incidences du revenu sur les transferts linguistiques dans la région métropolitaine de Montréal“. Article 17, Nr. 3 (12.04.2005): 323. http://dx.doi.org/10.7202/055724ar.

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Les données les plus complètes que nous possédions sur le revenu, le groupe ethnique et la langue proviennent de la Commission royale d'enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme. D'après ces données tirées du recensement canadien de 1961, ce sont les membres de la communauté juive qui ont les meilleurs revenus au Québec. Le groupe ethnique anglais vient en deuxième, suivi des divers groupes allophones, puis viennent les francophones et les Italiens, ces deux derniers groupes ethniques ayant des revenus bien inférieurs à la moyenne. La Commission d'enquête a en outre démontré que les unilingues anglais avaient des revenus nettement supérieurs aux Québécois bilingues, lesquels avaient à leur tour un revenu plus élevé que les unilingues français. Deux études plus récentes confirment qu'il existe toujours une disparité de revenus entre les anglophones et les francophones. Selon une étude effectuée en 1971 par la Commission Gendron, la proportion des postes détenus par les anglophones augmente à mesure que s'élèvent les revenus. Cette étude reposait toutefois sur un échantillon d'employés d'entreprises et nous ne savons pas quel est le rapport entre cet échantillon et l'ensemble de la population. Une autre étude, réalisée en 1976 pour le Montréal Star, révèle d'importantes disparités de revenus en faveur des anglophones, mais elle suggère néanmoins que le fossé se serait quelque peut comblé ces dernières années. Ces données risquent toutefois, d'être faussées à cause du libre choix des répondants. Les données sur lesquelles se fonde la présente étude sont tirées de tabulations spéciales provenant du recensement canadien de 1971. Les données de 1971 recueillies par Statistique Canada sont supérieures à celles des recensements précédents tant par leur étendue que par leur qualité. Comme elles reposent sur un échantillon du tiers de la population, elles permettent d'éviter en quelque sorte les erreurs dues au libre choix et les difficultés d'échantillonnage. La supériorité du recensement de 1971 vient en outre de ce que pour la première fois se posait la question de la langue le plus fréquemment parlée à la maison. En comparant les réponses à cette question avec les réponses à la question sur la langue maternelle, il est possible d'évaluer la portée des transferts linguistiques sur la composition de la population. Ces estimations peuvent se faire directement à partir du recensement de 1971, sans devoir recourir à des comparaisons longitudinales avec les recensements antérieurs. Nous entendons en premier lieu dans la présente étude, établir la relation langue et revenu dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, en comparant dans la mesure du possible les données de 1971 avec celles qu'a publiées la Commission Laurendeau-Dunton sur le bilinguisme et le biculturalisme. En deuxième lieu, nous présenterons des données sur les transferts linguistiques entre les francophones, les anglophones et les allophones. Et enfin, nous proposerons des interprétations et tenterons d'apporter des conclusions d'ordre politique.
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Bertrand, Régis. „Estudio de los cementerios franceses contemporáneos. Los problemas de método“. Revista Trace, Nr. 58 (09.07.2018): 71. http://dx.doi.org/10.22134/trace.58.2010.371.

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El estudio de los cementerios franceses todavía está poco desarrollado en Francia. La inspección directa mediante la recolección en el terreno de los datos observables, gracias a un formulario, se debe combinar con el estudio de la documentación escrita y fotográfica, que permite identificar el núcleo antiguo y las ampliaciones, encontrar las tumbas más antiguas y reconstituir la ornamentación vegetal. En este artículo se examina la implantación del cementerio y sus relaciones con los lugares de culto, su cercado y sus símbolos confesionales ostensibles (inscripciones de la puerta, cruz central del cementerio católico), la distinción interna entre el espacio de inhumación (las fosas comunes o las concesiones) y el de circulación y los rastros de las antiguas distinciones confesionales, abolidas en teoría en 1881. El estudio de las tumbas se hace mediante una muestra representativa y homogénea que responde a la problemática planteada desde el punto de vista cuantitativo de aparición, difusión o evolución, y mediante la recolección selectiva, en el caso de la investigación patrimonial. Todavía queda por hacer lo esencial de esas investigaciones.Abstract: The French cemetery is a field of study that still awaits development in France. Observable data collecting and its direct noting on a grid through the in situ survey must be combined with the study of written and photographic documentation, which allows the identification of the old nucleus and its expansions, the discovery of oldest tombs, and the reconstruction of vegetation setting. This article examines the setting up of cemeteries and their relationships with the places of worship, their enclosure, and their conspicuous denominational features, (inscriptions on the gate, central cross of catholic cemeteries), the inner distinction between burial space (common graves or burial plots) and traffic space, and the remains of old denominational distinctions, theoretically abolished in 1881. Study of tombs is frequently made through a representative and homogenous sample, which corresponds to a series of questions posed in terms of appearance, distribution, or evolution. It is also made through selective collecting of data, in the case of patrimonial surveys. The essential of these researches is still to be made.Résumé : L’étude des cimetières français est encore peu développée en France. Le relevé direct par enquête de terrain des données observables, grâce à une grille de questionnements, doit être combiné avec l’étude de la documentation écrite et photographique, qui permet d’identifier le noyau ancien et les agrandissements, de retrouver les plus anciens tombeaux, de reconstituer des décors végétaux. Nous examinons ici l’implantation du cimetière et ses rapports avec les lieux de culte, sa clôture et ses signes confessionnels ostensibles (inscriptions de la porte, croix centrale du cimetière catholique), la distinction intérieure entre espace d’inhumation (fosses communes ou concessions) et de circulation, les traces des anciennes distinctions confessionnelles, abolies en théorie en 1881. L’étude des tombeaux se fait suivant un échantillon représentatif et homogène pour une problématique posée en termes quantitatifs d’apparition, de diffusion ou d’évolution, et par collecte sélective dans le cas d’enquêtes patrimoniales. L’essentiel de ces recherches reste à faire.
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GOCKO, X. „Rupture anthropologique et Covid-19“. EXERCER 32, Nr. 175 (01.09.2021): 291. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.175.291.

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La pandémie de Covid-19 a brutalement modifié nos comportements et nos droits. Le masque a remplacé la poignée de main. Nous, médecins généralistes, avions l’habitude d’une poignée de main parfois ferme, parfois douce, parfois prolongée. Elle était le premier et le dernier contact interindividuel. Déjà, pour certains d’entre nous, elle était parfois remplacée par un signe de la main durant les épidémies de gastroentérite ou de grippe, mais un sourire accompagnait ce changement de rituel. Le masque cache désormais une partie de ce visage. Il est le symbole de la méfiance, de la potentielle dangerosité d’autrui. Pour Emmanuel Levinas, l’expérience d’autrui prend la forme du visage : « … l’accès au visage est d’emblée éthique ». Il nous propose de ne pas en rester à la description anatomique, à l’objectivité mais de comprendre, ressentir, la subjectivité de la personne. Il nous rappelle que « … la meilleure manière de rencontrer autrui, c’est de ne pas même remarquer la couleur de ses yeux ! »1. Cette rupture anthropologique a été très rapidement comparée à d’autres ruptures anthropologiques, comme la guerre ; en atteste le discours du président français de mars 2020. Pendant la Grande Guerre est sorti des rangs l’appel à la dignité des morts, qui est à l’origine de deux lois en 1915 : « mort pour la France » et « droit à une sépulture perpétuelle aux frais de l’État ». Ainsi, la fosse commune initiale anonyme où a été retrouvé Alain Fournier, auteur du Grand Meaulnes en 1991, est abandonnée au profit de sépultures plus dignes2. Que dire des rites funéraires pendant la Covid-19 ? De l’interdiction des familles de voir le mourant ? Des restrictions des rituels funéraires, qu’ils soient cultuels ou culturels ? Nous voyons dans nos cabinets les familles endeuillées et les effets de la mise en bière immédiate et de l’hermétisme du cercueil. Cette rupture anthropologique est aussi une justification de certaines théories eschatologiques. Dans cette fin du monde, les millénaristes en attente du Sauveur, de l’Élu ou de la parousie ont été remplacés par les collapsologues. Certains expliquent l’effondrement à venir de notre civilisation par les effets du capitalocène. La logique destructrice du capitalisme explique le réchauffement climatique, et la fonte du permafrost libère des virus inconnus… Certains répondent à cet effondrement de la biosphère et de la civilisation par la création d’« oasis survivalistes » : où la méfiance mène à l’isolement3. Ce même isolement qui, pendant la crise Covid-19, a amplifié les violences faites aux femmes… Qu’avons-nous fait, nous, médecins généralistes, face à cette rupture anthropologique ? Eh bien, nous avons poursuivi notre action. Même sans poignée de main, même derrière un masque, nous avons entretenu notre relation avec les patients. Nous les avons accompagnés tout au long de la vie. Et ce numéro 175 d’exercer va faciliter notre accompagnement. Comment ? Avec une réflexion sur notre ressenti lorsque nous dépistons les violences conjugales, et des outils d’aide à la décision pour les vaccins contre la Covid-19 et pour les soins palliatifs ambulatoires. Un article vous propose aussi de discuter l’origine du Sars-CoV-2. Ce numéro de rentrée nous rappelle que nos soins dans la globalité sont à même d’adoucir cette rupture anthropologique.
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Leman-Delerive, Germaine. „Jahier Ivan (dir.), L’enceinte des premier et second âges du Fer de la Fosse Touzé (Courseulles-sur-Mer, Calvados). Entre résidence aristocratique et place de collecte monumentale, Paris, Éd. de la Maison des Sciences de l’Homme, 2011, 246 p. (Documents d’archéologie française, 104), ISBN 978-2-7351-1122-9. Prix : 44 €“. Revue du Nord N° 393, Nr. 5 (01.12.2011): I. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.393.0299a.

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Corrêa, Elisa Cristina Delfini, und Daniela Fernanda Assis de Oliveira Spudeit. „Suzanne Briet e a luta pelos direitos das mulheres*“. Ciência da Informação Express 2 (05.03.2021): 1–8. http://dx.doi.org/10.60144/v2i.2021.22.

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Reneé-Marie-Helene-Suzanne nasceu em 01 de fevereiro de 1894, em Paris, mas cresceu na região das Ardenas no norte da França. Foi Bibliotecária e documentalista, tendo se tornado famosa por sua contribuição para a área de Biblioteconomia e Ciência da Informação no século passado, conhecida em especial por sua obra publicada em 1951 “O que é a documentação?” (Qu'est-ce que la documentation?) cuja a importância desse legado é inegável, sempre revisitado em análises e estudos até os dias atuais. Contudo, um olhar mais amplo para a vida desta ilustre personagem da história da Ciência da Informação, revela facetas igualmente interessantes que podem tornar Briet uma referência também em outras áreas da vida na sociedade de hoje. Fonte: Eloi (2020) Para além de sua brilhante atuação na Biblioteca Nacional da França (BNF) e de sua contribuição para a Ciência da Informação, Briet dedicou-se a vários projetos pioneiros para sua época. Antes de atuar como bibliotecária, lecionou inglês e história entre 1917 a 1920 em uma escola secundária em Annaba, na Argélia, África. Com 25 anos, em 1919 Briet auxiliou na criação da organização não-governamental internacional Zonta, para o reconhecimento dos direitos das mulheres pelo mundo. Mais tarde, tornou-se presidente da União das Mulheres Europeias em que participou de muitas ações em prol da valorização e empoderamento feminino. Dada a aproximação do dia da mulher neste 08 de março de 2021, queremos destacar a atuação de Briet em sua luta pelos direitos femininos, para que esta nota possa servir de inspiração a todas as pessoas que, ainda hoje, entendem a necessidade e o valor de apoiar as causas feministas. Quando Suzanne Briet começou sua carreira na Bibliothèque Nationale com a idade de trinta anos, entrou em um campo que em breve seria reformulado pela convergência de dois movimentos na França - a “biblioteca moderna” movimento e o surgimento da documentação como uma profissão distinta com suas próprias técnicas, padrões e treinamento. Maack (2003?, p. 721) afirma que, nessa época, a biblioteca era considerada um espaço masculino, o que representou um grande desafio para sua atuação profissional. A autora explica que Briet também testemunhou e participou de uma série de reformas e inovações que eventualmente transformariam a BN de uma instituição limitada por tradições elitistas e um orçamento insuficiente em uma biblioteca nacional com um papel vital de liderança na França. Briet é considerada uma das pioneiras da feminização da Biblioteconomia na França que, segundo Buckland, ocorreu entre a primeira e segunda guerras mundiais. Segundo o autor (1995, p. 235): Muitas novas ideias estavam sendo introduzidas naquela época, algumas influenciadas pela prática norte-americana e encorajadas pela Escola da Biblioteca de Paris que operou, sob o patrocínio da Associação Americana de Bibliotecas, de 1923 a 1929. Deve ter sido uma experiência interessante, apesar das dificuldades políticas e econômicas e, mais tarde, da Segunda Guerra Mundial. Ao iniciar seu trabalho na Biblioteca Nacional da França (BNF) em 1924, Suzanne conheceu outras mulheres ilustres para a Ciência da Informação: Louise Noelle Malclès (1899-1977), que cuidava da sala da bibliografia da Sorbonne, Yvonne Odon (1902-1082), responsável pela literatura geográfica para o Biblioteca Nacional e finalmente, Georgette de Grolier (1899-1988). Todas essas mulheres são nomes importantes para o desenvolvimento e consolidação de ações em prol da informação científica na França. Feminista e ativista, participante do movimento de educação popular, ela acreditava na democratização do acesso à informação para todos e foi isso que norteou sua vida profissional. Além de atuar ativamente na Union française des organismes de documentation (UFOD), foi membro da Bureau Bibliographique de France (BFF) e Association pour le developpment de la Lecture Publique (ADLP). Assim que ingressou na BNF, Suzanne Briet já pôde sentir os primeiros sinais do enfrentamento masculino em oposição à presença feminina no trabalho na biblioteca. Ao retomar a história e o legado de Briet na BNF, Maack comenta que Roland-Marcel tinha ambiciosos planos de modernizar a biblioteca por meio da criação de sua legislação e sua revitalização financeira e, para isso, era necessário recrutar pessoal que o acompanhasse nessa visão. Maack nos conta que Roland-Marcel estava ansioso para contratar Suzanne Briet quando soube que ela obteve o primeiro lugar no exame nacional de certificação para bibliotecários e tinha sido altamente recomendado por seus professores: Depois de entrevistá-la, Roland-Marcel escreveu ao ministro de instrução pública e artes finas em julho de 1924 e solicitou autorização para contratar imediatamente a Mlle. Briet, pois acreditava que ela seria um membro valioso dentre o seu pessoal, porque falava inglês fluentemente, tinha conhecimento prático e um excelente intelecto. Embora Roland-Marcel tenha concordado em aguardar a aprovação da legislação sobre a BN antes de nomear uma nova equipe, ele seguiu em frente com a nomeação de Briet “como um caso excepcional” (ROLAND-MARCEL, 1924) A força da resistência masculina ao trabalho feminino na biblioteca fica comprovada no texto de Maack (2004) quando afirma que: A única referência direta de Briet a Roland-Marcel em suas memórias um incidente no início de sua carreira, quando ela era uma das apenas três mulheres em sua equipe profissional. Ela observa que o administrador geral “teve a honra” de trazer à sua atenção uma moção apresentada a ele pelos delegados de um clube informal (amicale) de funcionários do sexo masculino pedindo que o número de mulheres bibliotecárias seja limitado. O pedido foi motivado pelo fato de ter sido uma mulher promovida a uma posição gerencial (conservadora-adjunta) e que ela não teria autoridade sobre seus colegas ou subordinados. Maack diz em seu artigo que Roland-Marcel então confessou-lhe que a atitude desses delegados foi-lhe tão desagradável que ele pretendia tomar um rumo oposto de ação (Briet, 1976, Amicales, p. 14). Merece destaque o desempenho de Roland-Marcel que, durante os seis anos em que dirigiu a biblioteca, conseguiu nomear outras profissionais do gênero feminino, apesar de ter poucas linhas salariais disponíveis. Embora nem todos os bibliotecários masculinos fossem hostis à nomeação de mulheres, E. G. Ledos, que liderou o departamento de catalogação, reconheceu que havia considerável ceticismo e ambivalência sobre o crescimento do “elemento feminino” na equipe profissional (MAACK, 2003?, p. 723). Ledos escreveu em 1936: “Embora a carreira da [biblioteca] tenha sido aberta a mulheres no exterior por muito tempo, a França resistiu bastante à essa ideia, e não havia uma clara apreensão sobre o que resultaria dessa experiência. Por sua inteligência, produtividade e comprometimento, as duas primeiras mulheres que foram designadas para o Catálogo Geral [...] dissiparam todos esses medos e causaram preconceitos silenciosos” (op.cit.,p. 243). Assim, por meio de seu trabalho como bibliotecária, Briet pôde desenvolver sua liderança no movimento feminino dentro e fora da BNF, numa época onde a atuação feminina em instituições importantes como esta ainda eram muito raras. Briet acreditava no controle da informação por todos e na democratização do acesso de todos à informação. Toda a sua vida profissional foi orientada para esse ideal. Briet fez parte de um seleto time de mulheres que abriram caminhos para que a figura feminina ingressasse em grandes instituições nacionais não apenas na França, onde outras personagens femininas também se destacaram, mas também nos Estados Unidos da América, onde o nome de Margaret Mann recebe destaque na biblioteca da Sociedade de Engenharia, em Nova Iorque. Para que pudessem assumir seu espaço no mundo de trabalho da época, tanto Briet quanto suas colegas francesas precisaram agir de forma estratégica e política. Isso só foi possível porque as mulheres permaneceram unidas nesse propósito, mas também pela arte de conquistar aliados, inclusive do gênero masculino, nas instituições em que trabalhavam. Dessa forma, puderam construir carreiras de sucesso numa Biblioteconomia até então dominada pelos homens. Essas mulheres, bibliotecárias e produtoras intelectuais, evoluíram em contextos particulares, sendo que as francesas enfrentaram maior resistência que as norte americanas, embora a discriminação hierárquica e territorial fosse comum aos dois países. Briet expandiu sua atuação em favor dos direitos das mulheres participando ativamente na criação da organização não governamental internacional Zonta para o reconhecimento das mulheres no mundo, em atuação até dos dias de hoje. Na década de 1950, criou e assumiu a presidência da l’Union des femmes européennes (União das Mulheres Europeias). Esse legado deixado ao movimento feminino ecoa em nossa sociedade contemporânea: ambas as instituições permanecem ativas e ainda muito necessárias. Entrevistada por Renée Lemaître e Mary Maack nos anos 80, Suzanne Briet confessa sua dificuldade em conseguir expor sua trajetória como feminista, pois sua luta era tanto proativa quanto discreta, fruto de uma educação que lhe ensinou a ser reservada e modesta. Mulheres intelectuais e de atitude ainda não eram admitidas nos anos 1920-1930: "Suzanne Briet não teve medo de agir, mas estava com medo de ser mal julgada por ousar agir, ela, uma mulher, frente a frente com os homens que não sabiam empreender”. A atuação feminista de Briet é inspiradora e ainda necessária atualmente. Os direitos conquistados pelas mulheres permanecem ameaçados pela cultura machista que persiste no século XXI. Conquistar seu espaço na Biblioteca e Documentação francesas demandou grandes esforços e a fez enfrentar constantes resistências as suas ideias inovadoras, levando-a a sua aposentadoria precoce. Buckland, autor cujos textos trouxeram de volta o reconhecimento de Briet para a Ciência da Informação, afirma que “é inconcebível que uma das melhores teóricas francesas da ciência e da sociedade da informação tenha sido totalmente negligenciada na França. Espero sinceramente que seu trabalho seja reconhecido e estudado na França. Suzanne Briet merece ser lembrada." (RAUZIER, 2006, não paginado). Concordamos com Buckland em número, gênero e grau mas, principalmente em gênero! * Esta nota traz trechos do artigo publicado na Revista Brasileira de Biblioteconomia e Documentação – RBBD, v.14, número especial sobre Suzanne Briet como produto científico de evento realizado na Universidade do Estado de Santa Catarina – UDESC, no ano de 2018: CORRÊA, E. C. D.; SPUDEIT, D. F. A. de O. O legado de Suzanne Briet: vida e obra além da documentação. Revista Brasileira de Biblioteconomia e Documentação, São Paulo, v. 14, p. 24-40, jul. 2018. ISSN 1980-6949. Disponível em: https://rbbd.febab.org.br/rbbd/article/view/1184/1062. Acesso em: 03 mar. 2021.
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Zamith Cruz, Judite. „Marina. Lucchesi, Marco. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023“. EccoS – Revista Científica, Nr. 67 (18.12.2023): e25392. http://dx.doi.org/10.5585/eccos.n67.25392.

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Jogo de espelhos e palavras Analogias duma beleza transitiva Foi entre “formigas e cupins”[1] que descobri e inventei por “ver” o que lia. Do jardim a casa, numa aprazível “distração”, li Marina (do latim, marinus, “marinho”). Se ia em busca de cupins, absorvi-me logo numa bela atividade intrínseca de “ler” a natureza humana. Os estados/processos emocionais deram-se ao meu sonho acordado, frente à lua cheia. Por contraste mínimo, o que acontece no sonho propriamente dito é antes uma não narrativa, uma dissociação não controlada, exibida a superfície de fundo inacessível[2], graciosa alternativa criativa à “associação de ideias”. “O sonho de uma sombra”, em Píndaro (522 – 443 a.C.)[3], foi a ofuscação da “verdade” nua e crua. O sonho e a fantasia permitem a estranha fragmentação da sequência do pensamento escorreito, quando se experiencie a realidade de All-Self (ser com tudo em redor). Um efeito é imaginarmos sermos nós aquela “estrela” e recategorizamos algo num “todos juntos”, “transitarmos”[4], sem fixação, encontrado “tudo em tudo”[5]. “Somos plurais”[6] e mutantes sem “coerência”. Colocado a par o ser e o não ser, dada a aparência de Marina, numa superfície lisa refletida, convoca à reflexão que muda, quando “… todos querem, buscam, sonham com você”[7]. Na afirmação do narrador, Celso, é partilhado o desejo de alguém ou dele com “você”. Num detalhe ora geral, ora específico, algo dela poderá ser comparável ou semelhante a outra coisa, uma analogia. No encalço dela, Marco Lucchesi acompanha-nos no “eterno retorno da leitura”[8], trocadas cartas entre Celso e Marina, na década de noventa do século passado[9]. “Rasgadas”, anos passados por ele, entendidas “inúteis e vazias”[10], tendo ela dirigido um e outro e-mail inúteis, para “confissões”, via ”correspondências”[11], em que culpas confessadas nem sejam alheias a “amores mortos”[12]. Anteriormente, Celso chegaria a procurar Marina em “mundos improváveis”. Em locais de sua casa, a falsa presença, inviável, “tão querida”… Possivelmente desejada, chega a ser atingido o paradoxo da perenidade da vida, no espaço exíguo, amor eterno. Marina encontra-se em quase tudo[13]: “Digamos: a) no terreno baldio das gavetas; b) na agenda que perdeu a validade; c) nas fotos inquietas de um álbum (andorinhas em queda: sem cola, pálidas ou saturadas); d) no velho sótão que não tenho.” Como se “pousássemos os pincéis”, em continuidade, o modelo analógico varia no tempo… O escritor acrescenta: “nosso passado é analógico”[14]. Celso escuta cantos, sons e silêncios (a música “dela”?), no aparelho de rádio analógico... “Analogia”, nas nuances de significado no dicionário, são uma entre outras. E dada a representação de um objeto assemelhar-se ao original, pode Marina ser “pintada” em eternas obras de arte. “Vejo-a”, no que vejo e no que leio: “Coroação da Virgem”, de Fra Angélico (1395 — 1455); “A Madona de San Sisto”, de Rafael (1483 — 1520) … Escolho logo a bela Gioventü, de Eliseu Visconti (1866 - 1944). Figura nº 1 – Óleo sobre tela, Gioventü, de Eliseu Visconti (1898) Fonte: https://en.wikipedia.org/wiki/Giovent%C3%B9 Mas é em Candido Portinari[15], numa obra de 1957 – “O menino com pássaro”, que a voz e ela… se me apagou. Seria recolhida e cuidada por aquele que a encontrasse. Figura nº 2 – Elemento de obra de Candido Portinari (1957) – O menino com pássaro Fonte: https://www.wikiart.org/en/candido-portinari/menino-com-p-ssaro-1957 Numa analogia, a figura oscila de forma contínua, entre passado e presente, imparável no tempo. Sem comparecer perante Celso, também ele num não-lugar se quedou[16]. Os seus braços, “irredentos do todo”[17], vivido um “como se…”, avançariam o distanciamento/estranheza[18] face ao espelhado “teatro de sentimentos”. Fora Marina ferida? Num “jogo de espelhos e palavras”[19], “escrevo por espelhos reticentes, com frases e lacunas movediças” …. “Estendo as mãos para o espelho…”[20]. “Refletida” a escrita em processo, encontro Lucchesi solto no outro. Nos seus termos, a palavra “espelho” dará lugar ao oculto no “jogo de espelho, analogias”[21]. Quando a reflexão teria ainda o Sol no “espelho”, o encontro de ambos jorrava luz. Perdida a década de oitenta, o que é dado, antecipado[22]? Novas luzes e sombras. Celso e Marina foram inicial “espelho de paixão”. Seguiu-se a brecha na paixão. Num salão espelhado da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo, em 1507, vejo uma figuração pintada por Hans Schäufelein. “Herodes” deu lugar à figuração doutros maus tempos, no “Espelho da Paixão” (Speculum Passionis). Cristo diante de Herodes, o malvado, que morreu com o Eclipse lunar. Num “reflexo“, o culpado, no julgamento em “Herodes”[23], convocara Cristo[24], um culpado. Eu sou o outro do outro eterno Eleia, às portas da atual Itália. Numa primeira estrofe de Poema, a expressão dum outro, Parménides (530 a.C. — 460 a.C.), para quem “deus” não foi gerado, existindo[25] ad eternum... A estaca foi colocada num limiar doutro lugar estranho, em Poema: “Aí se encontram as portas”. Talhada a via inovadora do caminhar, tendemos a cruzar linhagens para não nos perdermos. Nem tudo se desgasta e corrompe, com Parménides. No rumo incerto, outra conquista do explorador Ulisses[26], foi ter encontrado o retorno? Ulisses, Celso, Alice, Marina… Pierre e Natacha, Tristão e Isolda. No desencontro, Molly e Leopold ou Eurídice e Orfeu ... A ficarmos “aos pés da biblioteca”[27], a ler vidas nas figuras centrais, estas oferecem um recuo[28]. Abrem portas. Eternas personagens, nem todas juvenis. Celso, o narrador? Alguém que já teve um “matagal” de cabelo perdido, que “nasceu no coração [uma floresta, cabelos…] … com espinhos” - “O elogio da calvície” [29]. Outra personagem de Marina, Alice, foi um exemplo de ajuda, porto marítimo, seguro, onde atracar? Substitui, sem substituir Marina? Alice adotará, também ela, o enigmático porte de “Gioconda”, “a senhora Lisa, esposa de Giocondo”, representada por técnica do sfumato, de Da Vinci (1452 — 1519). Foi seu o “vaso”[30], que Celso amou - “vasos quebrados” [31]. Acresce que “Alice e o vira-lata branco” encontram-se ambos registados num “resumo” de carta[32], em união, bem juntos. Bem articulado no pensado é o que a carta diz e não diz. Mas quem será aquele outro vira latas? Marina ainda pede foto da outra – Alice[33]. Num e-mail registado: “Se puder [você, Celso], mande-me fotos ou vídeos de Alice. Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”. Será verdade? Uma inquebrável lembrança de Celso, uma só vez, Marina tocara piano com ele, a quatro mãos[34]. Celso poderá ter reparado (n)o vaso, a dado passo. Pode ter tido outra imagem fixada à Alice, de então. Seria aquele vaso que “amava”, ou Alice[35], uma figura magnética? “Para fugir de mil perigos”, a quem não faltou Alice? Alice usou “ampolas e unguentos, magos e poções”[36]? Cuidadora, Alice, com Celso, representado nos rapazes com pássaros feridos[37]? Em suma, pareceria a Celso não existir punção operada ou poder maior, quando os relacionamentos morrem, ainda que os vasos sejam compostos de cacos que se colam: “Não posso reparar o irreparável”[38]. No entanto, Celso conhecia a técnica das peças coladas do Japão - a técnica do kintsugi[39]. Observou, até mesmo o outro vaso por si trazido com os gerânios, da sua antiga casa… “Distancia que se perde. Vaso que se encontra…”[40] Na ficção, a fiação tudo interliga “Vimos a fiação que tudo interliga. Semântica e sintaxe”[41]. Dos golpes de génio ficcional e da sangrenta História, Marco Lucchesi concebeu comparações, em que “mudam as guerras”[42] e as linguagens. Numa realidade de rapto, guerra e paixão, o poema épico transcende o amor passado que eterniza. Homero fundador da literatura ocidental, numa autêntica carnificina, a incerta “Guerra de Troia”, contou com Ájax[43] dentro do cavalo, dando guerra (infinita)[44] a Heitor, o destemido troiano, incapaz de lhe perfurar o escudo. A guerra teve que ser interrompida ao pôr do sol, intervindo Apolo. Do inicial “pomo de discórdia” entre deusas até aos feitos, nove anos passados em guerra, Ájax é “muralha”. A Ilíada evidencia que esmagou o escudo de Heitor, com uma só pedra. Quem sabe se Celso seria uma barreira inexpugnável, de tão “glacial”[45], que se tornou? Numa contenda, para o romance histórico, de 1865 e 1869, Liev Tolstói cruzou aqueles que se amaram, na passagem do Grande Cometa, em 1811: na invasão napoleónica, em 1812, a personagem recorrente, Pierre encontra-se com a bela Natacha, aparentemente apaixonada por Boris, amada por Denisov. Como foi possível a “guerra sem paz”[46]? Celso e Marina viveram dessa “Guerra de quase e talvez”[47], no que foi a “guerra que nos mata”[48]. Lendários amores infelizes e apaixonados, trágicos, na bárbara Idade Média (século V a século XV)? Tristão («tristeza») e Isolda (“das mãos de fada”)[49]. E o Rei Marcos que a perdeu[50]. Guerras nos ensaios não-ficcionais e nas ficções. Já a estranha paixão da cantora Molly e Leopold termina com o “sim” dela, apenas num solilóquio. O corpo de Molly – no livro de James Joyce - seria “sensual”[51], no que ressalta o “incêndio” interior. Divergências? Foi numa dada “tarde”, vinte anos passados, que a caixa eletrónica de Celso recebe um primeiro e-mail de Marina. Iria acabar com a guerra entre ambos. Não parece de comparar com a ficção? Marina e Celso encontrar-se-iam no fim da “guerra fria”[52], em data marcada pela queda do muro de Berlim, 9 de novembro de 1989. Numa Rádio Londres, com “mensagem de Inglaterra aos aliados”, durante a longínqua Segunda Guerra Mundial, ele passava a escutar outra transmissão no rádio bem comum, no sistema analógico. Um sinal da mensagem dela, vulgar. Metáforas básicas da descrição do real Quando se coloque uma figura de estilo, cujos sentidos figurados utilizem comparações como a “metáfora do corpo em lua cheia”[53], é a Lua “tão nua e desarmada a vaporosa Lua”. A pessoa é então toda inteira, se bem que a Lua seja fragmentada noutra fase lunar. Damo-nos a facetas diversas, também. E a não ser a transição de fase a mesma daquela grande lua, Marco Lucchesi ainda afrontou a perda irreparável de parte dela, por Celso, num desaforo: “se você esperava tapetes e fanfarras, perdeu a viagem. Abandonei a timidez, digo o que penso, e sem rodeios.”[54] Dada a acentuada guerra entre Celso e Marina, ao referencial “real”, preferi antes juntar à lua a palavra “viagem” e a palavra “mundo”, no que coloco mais do que o que (a)parece – numa alegoria. Assim, na minha perceção subjetiva, uma fenomenologia, ocorreu algo mais a aprofundar. Nessa viragem, limito mais do que o que se me abra à fixação de “guerra”, quando se sucedam figuras de estilo, no livro[55]. Num jogo de linguagem, retiro a desafogada imagem concreta: o passeio na praia, junto da Cinelândia e o que faço? No termo metafórico duma “psicologia de viagem-vida”, encontro logo ali o figurativo, portanto, com os rodeios à casa velha de Celso, com os eventos no trânsito, com as margens do mar face à praia. Meios mundos são a frente “subaquático”[56] e outros territórios e sítios. Poderia convocar imensos espaços de transição, imaginando[57] além de um “mundo submarino”[58]. Lucchesi tantas vezes observa “estrelas”, algumas “estrelas não promissoras”[59]… Voltando ao avesso, na Terra, à “viagem à roda do piano e do quarto”[60], essas são breves viagens e têm fim. Contudo, é dada à incompletude a infinita “viagem à roda dos teus olhos, punhado de beleza, informe, passageira”[61]. Numa estranha viagem de recuo (na revirada do avesso), focada uma “correspondência” sem troca, é de antemão inviabilizado o “sim” e a chegada a bom porto[62]? Da presença na ausência de Marina: tempo de sonho e pesadelo Como “resumir” os “20 anos”[63] de afastamento? Um desapego de “dez mil dias”, após o “terremoto”. “Dez mil dias” sem se falarem? Pretendo dar forma ao texto, quando pense que uma correspondência convencionada abranja reciprocidade e presença, ainda que evitada a “literatice”[64] e o “episódico”. Não “agradará” ao narrador contar das cartas, para se livrar efetivamente delas. Ameaça que irá “destruí-las”. Celso foi intempestivo, aquando do primeiro e-mail de Marina[65], após aqueles vinte anos de alheamento dela… O livro Marina reproduz a reduzida “novela”[66] de singelas cartas e e-mails. Passado o texto a pente fino, no segundo e-mail de Celso, este redige uma desculpa: “Perdi tudo, não sei como. Preciso de um novo computador. Como se não bastassem formigas e cupins. Obstinado, insisto e recupero apenas uma parte”[67]. Numa convencional “não-narrativa”, coloco a tónica na congruência e na intencional, quando seja a “dissonância”[68] desarmante de “lirismos”. Alcançada a agressividade, a crítica mordaz, a sagacidade e o ardil… Frente ao quebra-cabeças, pede-se abertura (de espírito), quando se leia o “romance de ideias”, no pensamento do ser (em Parménides e Heidegger). Na dimensão emocional, a obra de resiliência traz-me a consciência da artificialidade da ficção. Cubro de culpas a protagonista Marina. Coloco logo a poção de amor viático, um mantimento para sustento num “líquido destino”[69]. Logo passa a parecer-me que “essa viagem nunca termina”[70], numa entusiástica volta no carrocel do mundo, num “eterno retorno”[71]. Essa segunda vez que é nomeado o eterno, dá-me esperança, ainda que Celso assuma: … “não quero este destino circular”. ~ E eu quero! Se o “nosso encontro não estava escrito [no destino] … Não houve um deus a decidir nosso destino, nem brilho de uma estrela promissora. Deixámos simplesmente de escrevê-lo [ao destino]”[72]. Escrevamos o que desejemos, então, por linhas tortas. Há ocasiões, em que um sonho se repete e elucida algo[73]… As produções estéticas de artistas foram os produtos de imaginações, ainda que acreditassem ser ajudados pelo diabo, por um santo ou pelo próprio sonho avassalador e as visões enigmáticas. Giuseppe Tartini (1692 - 1770), William Blake (1757 - 1827) ou o cavaleiro Adolf von Menzel (1815 - 1905) são exemplos elucidativos do pensamento mágico dominante, nos séculos XVIII e XIX. Há quase 100 anos, o psicanalista Carl Jung[74] escreveu o seguinte, com um sentido determinista do sonho: “uma experiência anómala, que não é compreendida permanece uma mera ocorrência; compreendida torna-se uma experiência [humana excecional] vivida”. Uma característica desse tipo de experiências únicas é serem inefáveis, mal descritas. Inefáveis ilações, na sombra que vira a luz? Posso recuar atrás, ao sonho e ao tempo de Píndaro[75]. O que alcançou aquele da Verdade, quando viveu entre 522 e 443 antes da nossa era? Com Píndaro, ficou assente que “[no humano] sonho é uma sombra”. Assim colocado, “sombra” opõe-se a brilho, a luz, quando a “verdade” seja ofuscada, esboroada na obscuridade. E na medida em que seja ausente um sentido puro para as palavras, damo-nos a alegorias, a metáforas, da “transparência” da palavra, da luz ao sábio recuo paradoxal. Possa o sonho ser “iluminação”, tal Marina, duma “beleza transitiva”[76], entre as luas cheias. Marina conforma aquilo[77], o deslocado pela sombra, quando fuja a juventude, na transitória impermanência. Que espelho da “verdade”? Logo na primeira configuração, se o par não foi (ou foi?) um “espelho inverso”[78], Marina chega a ser retratada no vidro fosco, na “transformação [dela] num espelho”[79]– “uma Gioconda cheia de segredos”, representada pelo impressionista Eliseu Visconti, em Gioventü. Indecidíveis formatos. Como abordar palavras guardadas num “poço” que, a ser “raso”[80], sempre igual e espalmado, lembra o “infinito” do “abismo (líquido)”[81], entre duas pessoas que “comunicam”[82]? 2 Analise textual de marina O método de analisar textos “Coerência” traduz a ideia, cunhada pelo psicoterapeuta Carl Rogers (1902 – 1987), em que o participante apresente um relato de experiência bem estruturada - lógica, a faceta cognitiva e interpretativa, uma significação de peso na experiência “arrumada”. Na narrativa literária, a noção de “coerência” coloca-se, no antigo Dicionário de teoria da narrativa[83]: “texto como unidade no processo comunicativo, resultante de intenções e estratégias comunicativas específicas, ele é também um texto semanticamente coerente... elementos recorrentes… não integralmente redundante… progressão de informação no interior de um texto … na ‘enciclopédia’ do recetor”[84]. Na nova literatura, Marina alude o “vórtice” do redemoinho amoroso de Celso e Marina, o forte movimento do “terramoto” bem rápido, cruzado com a empolgante sonoridade das bravas ondas. Marina retém uma imensa fluidez, em torno dum eixo fixado ao vórtice entre ambos. Sorvida a voragem sentimental no turbilhão do mar, noutra asserção a “vórtice” – um turbilhão, o fenómeno “incoerente” trespassa a vitalidade dos movimentos guerreiros de “homens”, nos tempos atuais. Onde encontrar uma “secreta harmonia”[85]? Em mulheres, no desaguisado com homens? “Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado”[86]. Seremos bem menos coerentes do que se pensou, tanto mulheres quanto homens. Todos nós, humanos, somos sujeitos de analogias. Com o “corpo inelutável”[87] de Marina, que foi o “corpo em fuga” e se encontra ao lado do seu, Celso é já do outro lado. Seja que suba ele à Tocata e Fuga em ré menor, de Bach[88]? A inconsistência é presente na ausência de outrem. Outra mexida foi dada ao mundo amoroso, com as híbridas histórias-ficções, realidades e alternativas. Na alternativa ao modo de organização de “identidade do ‘eu’ estacionário”, sem fluidez de maior, teríamos a fixação eterna. Um risco pode ser nem encararmos a vida sujeita a contingências/acasos – o sem ganhar folgo, “… e, de repente… o sobressalto”. Em Marina, o leitor transcende o sabido (ontológico) e o instituído “romance”, o que não pressupõe que todos os planos sejam antecipadamente traçados. Não sabemos se Marina nos deixou. Ela foi a “glória de um destino”[89]? Um famigerado destino? Um Deus não decide do destino do par amoroso[90]. “Desconheço a direção [do futuro, indeterminado]. Soubesse de uma senha [mágica, um código … e o controlaria Celso. No fluxo permanente de mudança, já o passado e o devir são escapes [na aparente “fuga”], uma “disfunção” no presente [na fantasia inviável]. Porque não viver o aqui-e-agora? Amplificado o tempo, a “hipertrofia…”, é inviável a luta interior, “contra a qual luta o presente”[91]. “Deu-se por fim a glória de um destino. Porque, Marina, os relógios não morrem”[92]. “O vento segue os rumos do destino [ou da predisposição de sorte]”[93], tão mais improvável do que a precisão do tempo dos relógios. Abordagem narrativa na psicologia Numa aproximação literária, na psicologia narrativa, “as personagens são os elementos permanentes que sustentam o desenrolar do enredo”[94]. Nem as personagens fogem, nem restam fragmentadas, na “transparência da voz”[95]. Quem fale no esqueleto narrativo, pensa em episódios de um “guião” (scripts) identitário ou coletivo e, para a “narrativa de perda”, em Celso, congrega-se uma “organização de significado”, no que dê conta de mudanças dessa organização afetiva e psicológica, tão frequente e intensa de privação, podendo tornar-se duradoura ou reatar uma mera ocorrência súbita. O presente texto sobre Marina apresenta “fenómenos” talhados. Dito de outro modo, dá corpo a “ideias centrais, ao happening, ao incidente em torno do qual um conjunto de ações e de interações são dirigidas, com vista a serem reconhecidas, geridas e integradas, ou com as quais um conjunto de ações se relaciona”[96]. Numa forma de encontrar e descobrir ocorrências, farei um parêntesis para o que sabemos de um autor. Na sua suspensão de ideias feitas, como nos “lugares comuns”, nos “hiatos” e nos “silêncios”, o que “lemos” nos não ditos, sem um código? Para o efeito enredado, temos a ajuda de comparações constantes, numa “codificação aberta” do texto. Utilizam-se atributos/características para as palavras todas inteiras e para a variabilidade de significados não ficar de fora. E as “palavras (sem) envelope”, plenas de pregnância e fugidias, impõem afundar numa rigorosa análise linha-a-linha. Haverá ainda que conceber dimensões gerais, para “linhas-da-história”, duma ou doutra mini narrativa ou história, em Marina, o “tempo eterno” e o imparável “relógio dos ponteiros”; a vida e a morte; a terra e o mar, a nuvem e a pedra, o fogo do amor e as suas cinzas… Ao “questionar” os dados/textos, no aprofundamento que se justifica, efetuam-se as aludidas “comparações constantes entre fenómenos”. Da projeção, da narrativa e do episódio Em Marina, identificam-se esparsas narrativas míticas, nas guerras e nos amores. No amor, o “projetado” Orfeu[97] chega a parecer ser Celso, na sua ânsia de que Marina não morra …[98]. Celso poder-se-á sentir, noutra volta, um Marcus[99], chegando tarde, perdida Isolda, amante de Tristão[100]. “Pobre rei Marcos. Tão tarde descobriu o desamor”[101]. Marina não é escrito na primeira pessoa, autorreferenciada. Discriminada a faceta “projetiva” (ex.: uma pessoa não específica ou segunda pessoa, outros, alguém de quem se fala ou escreve): Marina ou Alice descobrem-se entre uma “Gioconda cheia de segredos”, uma Molly, o “verbo infinito”, na “voz” da cantora. Um eco repetido da voz dela, Marina. O narrador e Marina “nadam no monólogo de Molly”[102]. É preciso dizer que “não sei até que ponto lembro da tua voz [Marina]”[103]. Dito de outro modo, Celso mal se recorda do que Marina “disse/diz”, repetidamente. Falhou a voz e “deixou de dizer”[104]. Por seu lado, os episódios reais reportam-se às mínimas ações/interações, as quais podem ser relatos de experiências significativas, por vezes truncadas nas premissas, donde a maior ou menor coerência lógica ou consistência lógica. Quando as palavras chegam a mudar de estado, digamos, aluadas, tornam-se “líquidas, turvas, transparentes”[105]. Passam palavras estranhas pela fluência de selves (“múltiplos eus”, mentais e subjetivos), transformações identitárias. Apreender-se-ão coerências doutros implícitos, aspetos tácitos e inaudíveis da daqui e dali. Narrativa episódica A partir dos fenómenos esparsos, no grosso volume da vida, alcançamos registos de realizações pessoais e dos impedimentos, destinos e acasos, sortes e desaires. Foi a partir dessas constatações que distingui os fenómenos de meros episódios, nas narrativas/histórias, que lembram “todo o texto mostrar de forma holística as cognições e os processos emocionais do autor”[106]. O que se designou de plot (na língua inglesa) para um “episódio”, portanto, vai de encontro à narrativa, ao deparar-se o leitor com uma sequência de eventos ao longo do tempo (“sucessão”), para um “texto”[107], mesmo no mínimo “enredo”[108]. Na forma bem estruturada, visou-se o elemento sequencial e dinâmico, na literatura (na lógica, “gramática” ou “sintaxe”), considerado o episódio o “único esqueleto indispensável” e “menos variável”[109]. A variabilidade de Marina encontra-se nas intercaladas unidades de significado/segmentos de tópico, nas breves temáticas, as quais identificam a substituição de conteúdos, nos registos escritos por Celso. Acresce haver processos narrativos de vários modos evidenciados, no sentir, no experienciar e no pensar: a “descrição externa/concreta de acontecimentos de vida (atuais ou imaginados / passados, presentes ou futuros); a “descrição interna experiencial” (subjetiva), de episódios/narrativas, com a identificação verbal de “reações afetivas e/ou estados emocionais” (ex.: “triste”, “zangado”, “frustrada”, etc.); e a “análise reflexiva/interpretativa da descrição de eventos e/ou da experiência subjetiva, sendo os eventos presentes, passados ou futuros”[110]. No primeiro domínio narrativo, a ênfase no sentir alcança menor complexidade do que o experienciar (interno) e o refletir/pensar. Episódios mínimos Após o desenlace por afastamento, surge um episódio elaborado quase no final do livro. Possui a tónica na conduta de Celso, antes da adesão ao refletido, somente após a imersão interior num quadro e num cenário: Episódio - Título Promessa de calor na aflição dela: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite (p. 91). Registei outros episódios relatados, com mais de “vinte anos”, exceto o primeiro, possivelmente mais recente: (1) Aflições de Celso no mar[111]; (2) Celso e Marina nadaram no mar e, sentir-se-iam “alegres”, possivelmente ao saírem para a praia[112]; (3) “Mística do encontro” de dois “tímidos” (“dissemos algo escasso, imponderável ... o clima, as gentes, a história”)[113]; e (4) Aludidos passeios de bicicleta[114]. Na narrativa criam-se então replays de experiência, quando se atenda ao “eu” subjetivo frente ao quotidiano, a rituais e a “inéditos”, como nos encontros a dois. Somente o episódio de Celso sozinho e aflito no mar não correu bem. Será invencível o revolto mar e a doença de coração: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[115]. E se é tremendo o risco de morte no mar bravo, não é impossível lutar a dois contra o tempestuoso. O que nem quer dizer deixar de ter mão para apagar aquela ou outra terrível imagem recordada. Afinal, qualquer um sonha com “você”[116]. Ora aquele primeiro “episódio de ‘sonho’”, mas pavoroso, é ilustrativo do mundo irreal, na forma “narrativa”[117]: “um belo dia quase me fui na onda[118] de seis metros. Eu me livrei a muito custo. Um sonho breve que o sal interrompeu. Vantagem provisória...” é acordar. Já o fustigou o voraz turbilhão real da ameaça e perigo no medo da morte dela, quando volte a passar ao mar… Deixar de ser, naquela praia – que “quase levou” Marina … e que é a mesma praia, que “seduz” o narrador[119]. O perigo de afogar-se na praia é real e irreal. Anotei ilações, decorrentes interpretações do texto, nas expressões do autor: (1) Risco frente ao mar[120]; (2) Juventude, em que se possa morrer com alegria[121]; (3) Encontros, fruto de “um milagre matemático… acaso e o seu mistério”[122]; e (4) A bicicleta que “morreu”[123]? A bicicleta? Um indicador do encontro com Marina: “Passeio de bicicleta. Voa o vestido azul. Essa viagem nunca termina”[124]. Noutra apropriação do contexto, o par poderia [ver] “baleias”, ao longe, “delicadas” [125], quando iam pedalando na “bicicleta” … Num contrassenso forjado na comparação, a bicicleta dele era um “cavalo”[126]? Antes dela “morrer”[127], melhor dito, “enferrujar”[128]. Na transição de pensamentos, afetos à morte: “Não há resumo para a última carta. Porque esta é uma carta definitiva. Porque se trata da morte de Marina”[129]. E adiante: “Imploro, Marina, que não morras antes de morrer”[130]. Ficaria ela sem maior sentido de vida? A viragem de alegre “surpresa” chegou a ser concebida, numa anterior “carta destroçada”, restos do que ficou dentro do “caderno escolar” e “cujos pedaços recomponho num mosaico bizantino”[131]: “Carta de amor (desesperado) que rasguei: “...pousa nos lábios uma estrela... secreta harmonia... deserto amanhecer... teu corpo inelutável... lagoa iluminada e seios úmidos... bosque sutil... pequena morte... jogo de espelhos e palavras... teu rosto desenhado no meu peito... à mesa um copo de absinto... duas palavras e voltamos a dormir... infame precipício...” (p. 86). Os procedimentos de análise de experiências são guias de leitura, no que prendem o elucidado “desespero”, o isolamento e o limitado prazer de Celso, quando a vida pudesse afigurar-se um pesado fardo, irado contra Marina, contra o violento mar, o amor eterno… A súmula de alegria - a “surpresa” … Num resumo analítico[132], estabelecem-se relações entre um fenómeno, no sentido da conceção de um episódio. Donde, uma ilustração de seis fatores envolvidos, no episódio Promessa de calor na aflição dela[133]: - Condições causais antecedentes, para a ocorrência reportada (antes do amanhecer, já levantado Celso da areia da praia onde dormiu, ao despontar do sol); - Fenómeno per se (“sacudidos ossos” ao sol, no limite do ser, entre eternas rochas, com a ausência de Marina); - Contexto (a praia junto ao mar ensoleirado); - Estratégias somente idealizadas de ação interativa (ser tomada Marina por indefesa a proteger, no que Celso escreve da sua possibilidade de “ajuda”); - Condições intervenientes (quadro “menino com pássaro” de Portinari…), - O que constrange ou facilita o incidente/fenómeno (recordações de encontros com Marina, num local partilhado e o fenómeno de imaginar um quadro) e - Condições consequentes (a dificuldade de continuar pela noite, sem a presença de Marina e a fixada promessa de calor humano). Nessa leitura duma abstração da experiência, um episódio pode ser idealmente estruturado, se bem que escapem as estratégias de ação interativa. Noutra margem encontram-se a filosofia (de Parménides e Heidegger), o jogo com textos míticos (Ájaz, Rei Marcus…). No “romance de ideias” de Marco Lucchesi, são vastos os domínios de conhecimento. Com o autor aprendi que, ao não aceder a “coisas em si”, tenho as coisas para mim e, talvez, nos apareçam amores e guerras, por prismas do entendimento e da sensibilidade. Dos fenómenos - as aparências - “O que sei?” No quotidiano, sei que vivemos de forma a criarmos conexões entre inauditos episódios, flashbacks, substituições de interesses/temáticas nem buscadas, redundâncias e omissões (como “lacunas de memória”), numa apreensão do que nisso assuma perene “relevância”. O núcleo duro, o “essencial”[134], segundo o autor? “Perdemos as palavras essenciais”[135]. Perdemos “baleias” naquele mar alto, enferrujaram-se as “bicicletas” e desapareceu o “corpo feminino em fuga”[136]. As cartas dizem muito “mais do que parece”[137]. 3 Do mundo poético “Tornei-me um leitor de Parmênides”[138] e de Heidegger No mundo eterno, Parménides colocou o “motor imóvel” do tempo, o “livre-arbítrio”[139], o “cálculo integral”[140] … “causa e concausa”[141] … “tudo em tudo”[142]… Bastará “puxarmos o fio…”[143]? Numa passagem paradoxal da breve (?) “novela”[144], logo vemos como “tudo muda” no (des)encontro, a par de “rádios, guerras, amores”[145]. Não há confissão, não há reparação, na “narrativa não projetiva”. As “narrativas” antes partem dela[146], nos “lugares comuns”[147], registados nas mensagens. O que procura despertar Celso? “A voz de quem morreu, não as histórias”[148]. Bastaria o alcance da superfície, na “voz” dela[149]… No início de Marina, nem se espera a finalização do encontro. Não é desejado o fim do amor. Um mal irremediável. Terá morrido? Obra de “criatividade” dissonante face a espectativas de cartas de amor, Marco Lucchesi coloca-nos a margem de manobra, uma deriva, mudado Celso em permanência e, nesse sentido, as suas posições emocionais básicas são sublevadas e revoltosas, sublimadas, substituídas. Existentia, como a explicitar? Quando numa página inicial, não numerada, o autor nomeia um filósofo italiano, Emanuele Severino (1929 - 2020), que escreveu sobre Martin Heidegger, que exploração de fenómenos “metafísicos”? Martin Heidegger[150], de que trata? Li algures que Heidegger se interessou por “atualidade, realidade, em oposição a possibilidade concebida como ideia”. Ser é a totalidade do que existe. “Aí onde está cada um de nós” - da sein, seria o lugar da nossa presença, duplicada pela sombra da subjetividade. Subjetividade é o vivido que torna algo maior, quanto dá à presença novas formas afetivo-cognitivas. Mundos universais musicais Tenho aquela “vontade” de mudar o passado[151] e de criar uma ideia prospetiva de florescimento. Do mito de amor a Marina, nem estranho virem três damas dar uma flauta a um príncipe, Tamino, que buscará a sua amada. A harmonia da música condensa o “universal”, atingidos géneros e variadas “vozes” trocadas, na “Flauta Mágica”, de Mozart (1756 – 1791). O poder unificador da música é uma metáfora para o príncipe neutralizar o mal. Outra das óperas que acompanham Celso? A ópera de Verdi (1813 – 1901)? Recuo, à procura de La forza del destino, de 1862, cantado por Galina Gorchakova. Será que soubemos escutar o ciciado na voz da atualidade e o que nem se abra ao previsível, no acaso, sem destino[152]? Vozes pessoais de visionários? Na aparência, as palavras são soltas numa poéticas. Meia página abala o leitor. Meia página, umas quantas linhas de “voz”[153] , “voz marinha”, vinda do mar, submarina. Marina. Na “poética da dissonância”, fica aberta a superfície ao “espaço descontínuo”, criado por Lucchesi para ela[154]. A inatingível voz dela? Não sabemos. Na aceção do termo “fragmento”, Heidegger sublinharia essa origem deslocada de textos únicos e incompletos, que deixam espaço por concretizar. Escritores como Lucchesi, coligindo fragmentos, escapam às “correntes literárias”, “movimentos identitários” e “evidências” repetidas. Um significado de recusa de continuidade no vestígio escrito, fragmentado, foi adquirido no mar, que não é terra firme. Todavia, com “intencionalidade”[155] na voz, “nunca poderemos deixar o mundo, o que nunca deixámos”[156], o mundo terreno. Numa particular fenomenologia[157], poder-se-á conceber a “suspensão de julgá-lo”. Como não julgar o mundo do pensamento oblíquo, da metafísica passada? Ficando pela rama, na área concreta, terrena (não marítima, à beira mar, o que “sobrenada” ...). No que importa, não estamos nós fora de água? É de todo difícil alcançar maneira de arrancar o “pensamento de superfície”, também a superfície da página de Marina encante, pela superfície que cobre os reflexos incessantes, os jogos de reflexos, como ilusões e evasões, que surgem e desaparecem. Se não for atingido o que aparece antes do fundo das letras, ficamos aquém de imergir: foi muito antes que Parménides e Heidegger viveram. É preciso dizer que a superfície não se confunde com a aparência - a realidade energética, a dança terreste, da vida dançante[158]. A máscara de Marina já arrasta a ilusão do que aflora (a superfície) – a “transparência da voz”[159]. Esconde-se ela algures, no “re-dobrar” do seu ser[160]. A sua aparência causar-me-ia a diligência em “lê-la” a preceito. A voltar a Parménides e Heidegger, a profundidade[161] do livro dá antes a explorar o ser e as coisas[162], ao invés da superfície (mas com a superfície), a sua luminosidade. Quando a metáfora da luz (do dia, do Sol, da Lua promissora do brilho dos olhos verdes…) não encontra um reino perdido que persiga o ser, quantas ideias ficam subterradas e obscuras ao leitor? Foi a partir daquele ilusório mundo de reflexos (a superfície), que alcancei a incerta profundidade. Será o outro mundo (“marinho”) contrastado ao ilusório da realidade e ainda aquele outro mundo perdura, mutável e instável, matizado de cor intensa e de brilho ténue de águas passadas. Quanto ao retorno à superfície, ao aparecer, no emergir de novo, volta a agitação do mar emocional, que se ressente, no que permanece do eterno esvaziamento. Ficou um poço vazio daquele outro momento de amor ou do que dele reste nas rochas imutáveis. “Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”[163]. Quando “aparecer é um compromisso metafísico”? A “metafísica” foi além de physis. Cientistas designam a metafísica de “especulação” de ideias, tantas vezes incertas, com que se debatam. O que se entende por “real” é, nesse segundo sentido, o que ultrapassa a “realidade” que conhecemos por perceção (inter)subjetiva. O real é um referencial profundo[164]e infinito; a realidade é o que conhecemos ou julgamos conhecer. Numa mediação poética para a metafísica, “aparecer” situa a presença original no mundo do ser, sendo que o mundo adote a incerteza na errância (e na morada no novo mundo). ~ Quanto “aparecer” vive acima da superfície e da aparência das coisas, é o ser que reflete um inóspito caminho de linguagem reflexiva, aproximativa e assintótica[165]. No ato de escrever, Marco Lucchesi delineou-me a possibilidade de especulação, a liberdade crítica e a ironia, abertas portas à metafísica fenomenológica. O existir em processo trouxera-me antes outros saberes e, nos espaços do mundo daqui, foi indicada a deslocação para a saída de “ex-” (em “existir”). Entretanto, aprendi que existir alcança o sentido de “pôr-se de pé”, de acordo com a etimologia. Num apelo a erguer-se (pondo-se de pé), já o próprio ser permanece em lugar recôndito, na condição de vir a aliar o desvelamento do ente – objeto, coisa, um ser, Marina... Outros “reivindicam” para si o “estar-aí” (da-sein), dito que todos “querem, buscam, sonham com você” [Marina], um corpo no que não “fuja”[166], na errância noturna. Consequência da fuga da luz? Será ela dada a “despertar” outra, a emergente Marina de Celso? Encontra-se ela ausente, no que seria de voltar a abordar a limpidez, a superfície, a “transparência”[167] da constelação “prometida” de dois seres. Uma forma de profundidade incompleta. Numa lúcida forma de escrita, patamar de sonho lúcido, Celso encontra-se em guarda. O narrador não deseja “despertar [vidas escritas]” … Talvez busque tão somente a “voz” dela, naquele eco, em que ressoa a limpidez, alcançará outra “voz”. A quem dar “voz”? A Molly, no seu solilóquio, na primeira pessoa[168]. Molly, uma inigualável cantora de ópera; Marina, de que nem sabe Celso se se lembra… da voz, dada à imagem fugidia na melodia, ao piano[169]. O que passou não se encravou. No ser em mudança, serão cristalizadas mínimas recordações, rareando “o caminho da verdade”[170], sem saída (uma aporia) tantas vezes paradoxal. Guerras dos mundos de ideias As ideias “verdadeiras” e as guerras de “opiniões” não se consolidam, nas correntes do paradoxo. Conjugam batalhas sem fim: Parménides e Zenão vs. Platão; Nicolau de Cusa vs. os que não cooperavam… Numa oposição ao seu tempo, questão cerrada e a descoberto, foi a permanência e a transformação. Parménides reteve a pura permanência, unilateral. Exigente na “ponderação”, Platão (428/427 – 348/347 a.C.) dedicou-lhe um diálogo inteiro - Parménides, em que Sócrates levou uma revisão verbal dum oponente, Zenão de Eleia (século V a.C.), para o efeito de inquirir o sentido do Uno, cujas “absurdas consequências seguem (ou não seguem?) em contradição com a referida doutrina”[171]. E se o ser é múltiplo? “Parménides”, um arauto da “revolução”? Esse é um ponto de um “resumo” do livro. Sendo que o germe da destruição estivesse plantado[172], que revisões foram geradas, a propósito das suas ideias? O que queriam mostrar os eleatas, com Zenão adiante das forças, o arauto da geometria e dos estranhos números, o infinito e o zero? Uma revolução, no conceito de tempo: fluxo constante e deixa de haver presente? O paradoxo de Zenão assinala o contrário à opinião recebida e comum, para o tempo virar uma sequência de mínimos momentos separados, donde vivermos o presente e a mudança ser ilusão. Quanto ao espaço? Sendo uno, não dá condições a haver “lugar” e “aqui”. No espaço fragmentado só há “aqui”, ausente o movimento. A revolução tem sentido no paradoxo, forjadas inesperadas dissensões. “Mudam [os tempos e] as guerras”[173]. No século XV, novo sobressalto. Gerador de ódios por contemporâneos, Nicolau de Cusa (1401 – 1464) alarmou muitos, pelo acento na compatibilidade entre extremos. Encarou a conjetura de “opostos”[174], dicotomizado o mundo por valores antagónicos, quando se creia num ponto de vista considerado válido. Nova batalha. Era Napoleónica, em França e na Europa, no ano VIII (ou, no calendário vigente, datado a 9 de novembro de 1799). Contrastaram adesões e oposições a Napoleão, herói e anti-herói, arrebatado o poder no golpe “18 do Brumário”[175]. As mudanças foram inquestionáveis, com a chefia e as saradas guerras. A guerra entre Marina e Celso não foi uma constante, também não persistiu. No foco da maior peleja, a distância a Marina[176] antecedeu outra circunstância: o entendimento de “como [Celso] se vê”[177]. Num “sinal de transição, de deslocamento”[178], veio de Celso a afirmação séria, numa trégua consigo mesmo: “já não habito na distância”[179]. Anteriormente, despedir-se-ia dela, como um Catulo[180], numa linguagem coloquial, sem intensidade e sem profundidade maior… Poderia estar a recuperar o “habitar”, junto dela. Existirem compatibilizados, nas suas oposições, requer o significado: “habitar”. Talvez se encontre algures, na linguagem. Para “morar”, fica bem longínqua a raiz etimológica, no sânscrito - vatami -, cujo termo alemão é wesen. Dir-se-ia que Celso possa já “estar-aí” (da-sein)[181]. No seu lugar - aí -, à fluência não lhe faltará diferença. Como expor uma diferença melhor do que com o ruído feito pelas diferenças da fala e do canto de Celso e Marina? Revejo a aliança, a separação, o que nem quer significar uma divisão de opostos. Há uma distinção nas “vozes”, para um sistema caótico, em várias escalas de linguagens. A organização de mundos No século XXI, em 2023, há ordem para parar e avançar no terreno do ser. “Há mais de dois milénios…”. Heidegger[182] introduziu essa conjetura perdurante[183], nas primeiras palavras de Ser e Tempo. Fora há muito “esquecido” o que surgira em Parménides, uma abstração – Poema – “onde se encontra o ser e o ente”? Ente pode ser objeto, coisa, ser … E o ser é o mais próximo do ser humano, sem que seja “um Deus ou um fundamento do mundo”[184]. Não existe um ente sem um ser. Acresce perguntar: “o que significa pensar?”[185]. Pensa-se em alguém, um ser, enquanto as guerras matam pessoas. Desde que a nossa imaginação pejou o mundo de deuses, entre ninfas, dragões ou quimeras, foi feita a equação, pelo menos: esquecido o humano. Não neutro, mas esclarecido, Heidegger rebelou-se contra ter sido minada essa incógnita do mundo – o ser, o guardião da questão[186]. Colocado o tão saliente à parte (o ser) e juntas as palavras a ideais, “ordenaram-se” melhor as coisas. Nessa incessante transformação, contra as utopias, foram cometidas “supressões” de coisas, acrescentos de quimeras, os “suplementos”, esquecidas possíveis “deformações”[187]. Aguardado o alvorecer da modernidade líquida, após a linha humanista dos anos sessenta do século passado, ainda seria antecipado o outro tempo do ser frágil, das diferenças e vulnerabilidades acrescidas. Vemos superada a razão não linear, o princípio da não-contradição[188], a alinhar o excluído. Arrastamos até mesmo para a paz a “coincidência de opostos”[189]. No reiterado pensamento ímpar de Lucchesi, um visionário de saberes ontológicos, preside o ser humano que é pensado, dito que ser e não ser não sejam iguais. Os seus conhecimentos são buscados entre um que é muitos[190]: ser e não ser e “ser de todo o ser”, na expressão de Giordano Bruno (1548 – 1600). Ruínas e salvação Um genial revolucionário, Giordano Bruno, foi o que retomara o ser, em On the infinite universe and worlds (“Sobre o infinito, o universo e os mundos”). Recordado num post scriptum[191], o opositor, Bruno, foi morto. Para mais escrevera “A ceia das cinzas”[192], em gritante contraste com o fogo da paixão. Deu-se ao desfecho inolvidável, à morte horrenda, após outra intrincada conjetura resistente à “ignorância” por dogmatismo e ceticismo do tempo. Bem além e aquém do “estar aí“, em substancial presença, o que resiste à fixação ao lugar encontra-se na imaginação, em múltiplas superfícies, no não linear, cujas diversas escalas se coloca Marina. Celso vive numa efetiva transição temporal, quando “o agora é um índice [indicador] da eternidade”[193]. Quando ainda se creia na “eternidade do mundo”[194], uma exceção. Enquanto nos insurgimos, Marina poderia “fixá-lo” ao passado em comum[195]. Na “correspondência” truncada, o narrador assumirá a perspetiva de “crer na eternidade do ser. Mundo sem fim e sem Deus. Essa é a ideia que me salva”[196]. Ademais, imaginar a “eternidade” não diz que não se “aclare a contingência” [197], o acaso, por contemplação intuitiva[198] e sensível. No perpétuo salto entre histos, reparo no ocaso do relacionamento, na paragem e esgotamento dum percurso: “[As cartas de Marina, “ibérica prudência”?] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo. Cartas inúteis e vazias! Abracem do não ser a eternidade!!”[199]. Creio no indecidível. Não cumpriremos todas as “promessas”, as coisas voltarão a ser as mesmas nas guerras e nos amores à beira mar: o “vestido azul”, a “pedra”, os “passeios” e as “bicicletas”[200]. Recordações e ilusões para “todas as cartas em princípio circular”[201]. “Quem sabe se…”[202], se “tudo se passa aquém da superfície”[203]? A verdade - domínio duplicado da aparência - agarra o “desvendamento”[204]. Da substância/essência não temos algo, além da aparência. E ainda que deixássemos há muito de atingir “as coisas em si”, vivemos demasiado no escuro em volta. Quanto muito, realizemos nova viragem às partes, quando “o passado é órfão do presente [índice de eternidade]”[205], no mundo compartimentado. Vivemos num “tempo inabordável”[206]. De forma paradoxal, deixámos o “museu”[207] e as “espécies” à solta, que diminuem com seres impreparados. Do ser e tempo[208] à nova hermenêutica, reatada “presença”, o que “aparece” no “compromisso metafísico” com o ser[209]? Numa filosofia para o século XX, o existencialismo ainda contou para O ser e o nada[210], no que importou o significado, o valor e o propósito da vida. Na época, avançado distanciamento/estranheza[211] face ao “teatro de sentimentos”. Na Europa, tanto “narrativa”, quanto “ficção” deram lugar ao “novo romance”[212], uma mistura de atores sociais e coletivos, de géneros misturados, uma “polifonia”[213]. A psicologia da vontade e a narrativa Na psicologia então emergente, William James[214] discriminara a “vontade de acreditar” do que queremos fazer “desacreditar” - o que seja convencionado para a época ou para a “troca” correspondida de “cartas” a e-mails, o que escape à explicação e/ou à compreensão[215]. Narrativa, na psicologia pós-racionalista, congregou a ideia de que “contadores de histórias” seriam os que estariam incrustados ao amor e ao sofrimento. Como sublinhado, nas teorias semânticas, havia outras “vozes” e “polifonias”, quando um discurso se enuncie. Fora enunciado. Ademais as (re)autorias e sensibilidades eram provenientes doutros domínios de saber, tomadas por empréstimo (nas teorias feministas, na narratologia, nas ciências sociais e humanas…). As temáticas ganharam sentidos segundos, o significado de ridículo e a ironia alcançou outra voz crítica, ainda com o romance de ideias. Com Laurence Stern[216] é possível “justificar” uns “resumos” dum Celso[217]. Os condensados foram ordenados, entre “ideias confusas”[218] dum amor límpido. Num modelo dos mundos emocionais e do “eu em processo”, as “organizações de significado pessoal” (OSP) remeteram, em fim de século, a "metáforas básicas da descrição do real”. Traduziram apreensões dinâmicas para “estrutura da personalidade” e consumaram “significados”, para formas de dar sentido à vida. O modelo OSP, de Vittorio Guidano Vittorio Guidano foi um psicoterapeuta romano, que viu a criatividade como possibilidade de transitarmos duma para outra organização de “significado pessoal”, da falta e perda à reorganização noutra emoção, talvez pelo receio da distanciação. Correu na margem de entendimentos do corpo e da culpa. Concebeu uma epistemologia, com Leslie Greenberg, Humberto Maturana, Michael Mahoney e Óscar Gonçalves. Numa visão emocional integradora, a faceta de experienciar a vida (I, em inglês; o nível de “eu experiencial”) nem se opôs mais a “significar” a experiência (a narrativa da experiência). Pode ser dado o exemplo buscado no que conheci em Guidano e num seu amigo, Leslie Greenberg, de saúde mental. Quando com eles estudei, partiram dde G. H. Mead[219], entre muitos outros. No sul africano Leslie Greenberg[220] senti a primazia conferida a existir, tão visceral, no âmago da experiência imediata, o "eu". Frente a frente ao vivido subjetivo, Vittorio Guidano[221] colocava-se noutro plano de conhecimento: o “mim reflexivo” (me, em inglês). Contrastava na relação à energia de Greenberg, uma “presença” por inteiro, uma conexão no momento, em níveis diversos (físico, emocional, cognitivo e espiritual), ou seja, havia uma consciência da plena experiência corporal e emocional, vontade de escuta ativa, busca de compreensão. Modelos para fazer mundo Na distância cavada, lemos que “a gota do mar é pequena, quando o tempo de ausência seja longo.” A memória nem se esvai na comparação e compreendido desgaste. O “piano – sobrenada”[222] … – voga à tona de água, assim sendo a memória[223], num “abismo líquido”[224]. Poderia ser a voz “atemporal”[225], inesquecível, aquela voz entretanto quebrada de Marina? Tendo lá permanecido uma presença, não se cravou… No incomensurável passar dos anos, quais “cardumes de palavras”[226], arrastaram “o vazio”[227]. A eternidade deixou de ser. Morreu um mundo terreno junto do mar. O eco imaginário de Marina, na ausência quedou-se. Existem as “rochas” [que] continuam imutáveis[228], fustigadas por ventos e marés. Do revolto mar à mata-bioma e às pedras encalhadas, sobressai o abandono, nas “correntes indomáveis”[229]. Celso, continente/recetáculo, sem mãos. Haja o que desapareça e volte com a “correnteza”[230]. Sem alcance do “mundo submarino”[231], as águas não brilham. Somente na “superfície” são “transparentes” [232] águas, para um mundo que foi desarticulado e fragmentado em partes. Como referido, no uno, teríamos um mundo total e eterno. Numa perspetiva particular, um amigo meu acentuou a condição física, metafórica e metafísica (“especulativa”) do ser. Sem ler Marina, António Maurício enfatizou o transitório – o humano para “ondas do mar” (o seu mundo parcial). Na expressão oral, coloquei as suas palavras de permeio, com parênteses retos, para elucidar o refletido do infinito: Em resumo, e metaforicamente, parece-me que [esse processo humano, dinâmico instável] tem semelhanças com o que acontece às ondas do mar[233] (…) configurações/formas locais e transitórias desse mar/suporte e alimento de todas as outras formas/configurações potencialmente possíveis do mesmo. Que podem nascer, crescer, viver/existir, reproduzir-se e morrer/deixar de ser/existir, porque são fenómenos/seres transitórios. (…) Mas não é por isso [por haver formas locais e transitórias de mar], que o mar/vácuo quântico/TAO/[234]o sem nome/... (pressuposto background/suporte/meio/ e fim de tudo o que é possível, e por isso intemporal, Total, global, cognoscível e/ou incognoscível), sem ser… seja redutível a qualquer aspeto antropomórfico[235] .... mas contendo-os... O meu amigo tem uma conceção física e de recipiente – o “vaso vazio”, o inamovível Uno[236]. Nessa substância, Maurício faz conter os mundos parciais contrastantes. Na “leitura desviante”, colocamos “entrelinhas”[237]. A “colocar parêntesis” no que se saiba ou julgue saber, houve um retorno ao mundo, no abalo cultural da consciência. Na aproximação a coisas[238], podemos condensar “cardumes de palavras”[239], no que sobreviveu unido, o par que se afastou: As “cartas deitam iodo [como o mar] e sal… [como lágrimas] [240]… novo sal”[241] Crescem as ondas que me arrastam para dentro [daquele mundo submerso]. Põe-se Celso “a nadar“[242]. [No mar] Haveria “… a correnteza“… e entretanto “as ondas sobem cada vez mais altas… Já não encontro salva-vidas. [Celso dirigindo-se a Marina, pede-lhe uma vez:] Nademos juntos”[243]… No relacionamento, terá havido … um “naufrágio e tempestade”[244]. Até no “perigo de [Celso] afogar-se na praia”[245]. Ergue-se, subleva-se ele, humano, que “não tem guelras nem escamas”[246] … No salva-vidas da terrena praia, onde não “para de chover” … “mal sei nadar em tanto azul… [Celso] Andava a saltar “nas rochas, acima do cinturão das algas”, mas mergulhara no mar, “quando é escassa a correnteza”[247]. “Caminho sobre a chuva, ondas revoltas [no mar], branca espuma”[248] … “nadar [para] tão longe” …[249]. Na deriva, as “leituras desviantes” de uma temática[250], colocam vários caminhos de leitura. Não fosse o vazio deixado de palavras… [Sempre permanecem] “As pedras [que] rugem no bater das ondas”[251] [instáveis]. [Muda o significado de] “Praia - Cadeia alimentar, baleias, pescadores”[252] … “Sinto no meu corpo a maresia [que muda também, após a vazante, de cheiro intenso do mar] e assim transformo o sal em novo sal”[253] [Em casa] O “relógio de areia” de Celso, quando se encontrava com Marina, no passado, “ficava na estante” … [porque o tempo era subjetivo]. “Um belo dia [a ampulheta] quebrou-se” … “Vinte anos” separaram [Celso e Marina] … quantos “grãos” de areia [na ampulheta] são necessário” para tanto tempo passado?[254] “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[255], sendo que o sal eliminado, baixe a pressão[256] [arterial] e “transformo o sal em novo sal”[257]. Nova vida. As palavras vão e vêm, na modernidade líquida. A tornarem-se as palavras “úmidas”, é o sinal de sofrimento no “sal” e na “lágrima” salgada. Qual garrafa que se joga ao mar? Flutuaram ambos num domínio intemporal, deram-se a palavras inevitavelmente “fartas de imprecisão, saudosas da beleza”[258]. E que “cartas” se virão a “salvar” do mar do esquecimento, com agrestes “ventos do Atlântico”? Na insana movimentação vital, Celso “decide [a dado momento] atravessar a maresia”[259] e quedou-se o mar de distância entre si e Marina[260], ao primeiro e-mail dela, seguido-das imagens coloridas, palavras dela. Marina aparecer-lhe-ia na imaginação dovbelo solilóquio de Molly Bloom[261], um encantatório eco. É dele o repente, quando não queira voltar ao passado: “Não me afasto deste mundo de areia… Passam navios à distância”[262]. Em terra firme, Celso, não sai de si mesmo. No final do livro, arredio, Celso dará conta do inesquecível mau tempo, em que se sentira “naufrago”, abraçado ao não-lugar[263]: “Passada a tempestade, me afogo nos teus olhos [verdes e do mar]”[264], olhos de luz fina e penetrante. Do repetido reparo no olhar de lince, o que ficamos cientes do passado na marinha de salinas, na praia e noutras paragens? A lembrança foi ter à imagem da “jovem” Lívia, sua prima e amiga de Marina… [Lívia] “deu-se às ondas”[265]. Deixou de ser. Condenado, Marcus, perdeu alguém; Celso perdeu Marina, não fossem as “fugas” intempestivas. Anunciado casamento ou “condenação”, na escuta de Grande Missa em Dó Menor, K 427[266], de Amadeus Mozart (1756 – 1791), o significado diverge, para o cineasta Robert Bresson[267]. A perda não justifica uma causa, que seja culpa de falta de pontualidade dela ou o atraso dele. Preso ao antecipado mito: “Cheguei tarde como o Rei Marcus”[268], já que a bela Isolda amava Tristão e vogariam num barco do amor à beira mar[269]. No enlevo por Isolda, Celso assumia encontrar-se na condição do rei[270]. Outro fora a lição de Orfeu[271], que olhou para trás… “Não se ergueu” (no existir). E como a palavra concretiza o pensamento (quando o alcance), em inumeráveis mundos atingimos a parte num ou noutro fator – o mar subterrâneo, o envelope na palavra, uma sinédoque. A crer na memória “líquida”, mais uma vez, em imaginação de Marina[272], Celso “lembrou-a” de que já teriam pisado as pedras até à onda, ao imenso mar[273] Quando o a sair último apaga a luz Na ausência de fundamentos externos e de princípios internos, temos o reino perdido do ser. No mundo abandonado, aliado no estranhamento, é o esquecimento (“o fundador”) uma implicação do recuo do ser[274]. Como constatado, em Heidegger[275], surgiu o ser, um dos seus dois temas constantes. Como ser nem seja fundamento, nem seja princípio, incorreria na dobra original “ser-ente”[276]. Donde, a possibilidade de “re-dobra” do ser em Marina. Para o incauto efeito, somente desviando-se um autor, poderá recuar o ser, em que as hierarquias da existência passam a ser independentes (ser e ente), deixando de fazer sentido o que veio primeiro. Nenhum deus alguma vez pode unir o disperso, nos tempos que correm. Em Heidegger (1986 [1982]), para quê escrever “Porquê poetas”. Andaria o filósofo nos caminhos da floresta obscura, no que recuaria e o conduziu a Hölderlin (1770 — 1843): “E porquê poetas em tempos atribulados?[277]” Além da destroçada condição de “autor-idade”, o autor deslocou-se à poesia de vestígios inacessíveis. Marco Lucchesi pode ter atendido ao segundo tema de Heidegger, quando foque o eterno, em Parménides[278]. Visado fundamento do enigmático “pensamento”: leu as primeiras descobertas nos fragmentos ou vestígios escritos. De Marina, Lucchesi arrasta já o leitor às primeiras interrogações, como nos ousados fragmentos pré-socráticos incompletos, desbravados e arredios a um ponto, excêntrico a linhagens ou a “influências”. Ocorre pensar noutro ângulo de visão criativa, sem articulação entre o próximo e o longínquo, alcançado um brilho lateral, que perpassa na contemporaneidade. Qual será o derradeiro lugar em que pulse o pensar? – Pergunte-se. Em Poema, de Parménides, fragmento de conceitos acutilantes. Possuímos além da “dobra” constitutiva do ser (nos limites entre ser e ente), a prerrogativa de interrogar, de hesitar, de duvidar e de afirmar. Em que mundos desaparece e reaparece a consciência? Resposta: Nos dias que se sucedem a noites, a alternância revela-se à consciência, no sonho e na realidade percetiva. Da diferença entre mundos, Marina, o que perdura na ausência? Memórias de palavras “recorrentes: o nada, a Morte, abismos e fantasmas”[279]. Perdura o “sonho” no eterno “menino”[280]. Em Marina, o coprotagonista Celso, um retirado fazedor de “não histórias”, afigura-se retirado, o que não significa derrotado. Noutra asserção crítica, quando não se bata em retirada, poderão ser dados saltos na compreensão duma obra de múltiplas leituras. Foi no Prefácio à segunda edição de Crítica da razão pura, que Kant alertou para o pensamento, cujos “saltos temerários” nem seriam escusados. Poder-se-ia ir mais longe, no arriscando, nas nossas frágeis sociedades, a ponto de nem ser dito o que se pense, nem ousar-se o criticar. [1] Lucchesi, Marco. Marina. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023, p. 89. Quanto à “romaria de formigas” (p. 78), a ser desfeita, “vivo em guerra contra os cupins…” (p. 23). “Só as cartas ficaram intactas. Desprezadas até pelos cupins” (p. 24). “Pobres cartas! Ai de nós! Indigestão de todos os cupins” (p. 28). Afinal, outra maçada, será o velho computador perder cartas, “perder tudo” (p. 89). [2] A crença no acesso à profundidade teve os seus dias melhores, quando se acreditou numa via única, uma dimensão da base ao topo, entretanto barrados os códigos e a exatidão, buscada na modernidade. [3] Marina, p. 73. [4] Marina, p. 56: Marina possui uma “beleza transitiva”. Marina, p. 60: “Sou trilho morto, intransitivo [que não chega a ela]. Se não te alcanço não me basto”. Marina, p. 71: o caráter transitivo, sendo o que muda, aproximou-se de “sinal de transição, deslocamento”. [5] Marina, p. 27. [6] Marina, p. 76. [7] Marina, p. 76. [8] Marina, p. 15. [9] Marina, p. 13. [10] Marina, p. 87. [11] Marina, p. 13, p. 17. [12] Marina, p. 67. [13] Marina, p. 85. [14] Marina, p. 85. [15] Marina, p. 91. [16] Marina, p. 55. [17] Marina, p. 87. [18] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [19] Marina, p. 86. [20] Marina, p. 72. [21] Marina, p. 69. [22] Marina, p. 84. [23] Marina, p. 33. [24] Na alusão do autor, a xilogravura de 1507, de Hans Schäufelein the Elder? Um idoso, “o mais velho” (the elder). Ou “Cristo diante de Anás, do espelho da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo”, também de 1507? [25] Marina, p. 22. Parménides é também referido na p. 35 e na p. 98. [26] Marina, p. 49). Ulisses representa o que enfrentou perigos e riscos do mar, explorando o mundo. Escritores foram “navegadores”, por caminhos sem guia e sem antecipação, como James Joyce (1882 – 1941). [27] Marina, p. 49. [28] Marina, p. 71. Celso efetua ainda um recuo, quando “uma janela abre-se ao vento” e se desfaz o enlevo com Marina. Concretamente, recuo terá o sentido militar, na guerra. [29] Marina, pp. 34-34. [30] O vaso é um recetáculo, um contentor para as coisas sensíveis, no Timeu de Platão, datado de 360 a.C. Identifica a chora, no que acolhe as coisas em devir. [31] Marina, p. 89. [32] Marina, p. 77. Nas folhas ímpares, são dados a ler “resumos”, como o da página 27: “Sobre a morte das cigarras e o motor imóvel. As garras do leão. Livre-arbítrio, borboleta e tempestade. Software e cálculo integral. Termina com um verso de Mallarmé.” Geralmente, os “resumos” são ampliados em textos de duas páginas. [33] Marina, p. 81. [34] Marina, p. 43. [35] Marina, p. 89. [36] Marina, p. 78. [37] Marina, p. 67, post scriptum: “Leitor de pássaros, sou como um áugure romano a decifrar tua mensagem”. Na Roma antiga, desde o século VIII a.C., os sacerdotes tornar-se-iam augures, tirando presságios, partindo dos voos, do canto e das entranhas de pássaros, entre outras aves. [38] Marina, p. 89. [39] Marina, p. 87. [40] Marina, post scriptum, p. 98. [41] Marina, p. 50. Na perspetiva computacional, disse-me um informático, a diferença é nítida entre significado e semântica: “fornece-se uma semântica para um argumento (ou seja lá o que for), quando se fornece um método de traduzir os símbolos, que contém para qualquer coisa que tenha significado: dar uma semântica para uma linguagem pressupõe, ou envolve, uma Teoria do Significado. Contrasta com a sintaxe, que é apenas a gramática formal do sistema, que determina que os símbolos estão corretamente juntos ou não. Pode assim seguir-se uma sintaxe do sistema sem ter a mínima ideia da sua semântica”. [42] Marina, p. 43. [43] Marina, p. 18. Na Ilíada, poema homérico, salienta-se o belo e valente Ájax, com que lutou Heitor, sem vencedor ou vencido. [44] Marina, p. 53. [45] Marina, p. 35. [46] Marina, p. 36. [47] Marina, p. 83. [48] Marina, p. 39. [49] Marina, p. 79. [50] Marina, p. 86. [51] Marina, p. 49. [52] Marina, p. 18. A Guerra Fria, tensão geopolítica, no final da Segunda Guerra Mundial (1945), abrangeu Os Estados Unidos da América e a União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (URSS), desde a Presidência de Truman, em 1947, tendo fim na dissolução da URSS. [53] Marina, p. 31. [54] Marina, p. 35. [55] Quando a alegoria apresenta dois significados, literal e figurado, as palavras, cujo significado seja literal, devem dar lugar ao significado alegórico (figurado). [56] Por extensão, ao mundo subaquático, Marina, p. 50: “… o abismo líquido”. Marina, p. 37: “um líquido destino terra adentro. Marina, p. 79: “Presumo que se lembre (ó, líquida memória!) da onda que das pedras nos levou ao mar.” [57] Imagino até mesmo O mundo à minha procura, de Ruben A, um relato autobiográfico em que o escritor dá conta da vida e da escola, que “esquece os livros”. [58] Marina, p. 49. [59] Marina, p.54. [60] Marina, p. 65. [61] Marina, p. 65. [62] Marina, p. 13. [63] Marina, p. 27, p. 29. Na mesma página 29: “de dez mil dias” …, após o “terremoto” - “uma “falha sísmica”. [64] Castro, Ruy. A vida por escrito: ciência e arte da biografia. Lisboa: Tinta da China, 2023., p. 16. A “literatice” passa pela ideia de um biógrafo atravessar a pessoa-personagem, para dela extrair o que não saiba de si mesma nos pormenores, para o efeito de conceção de episódios “inesquecíveis”. [65] Marina, p. 16. [66] Marina, p. 13. [67] Marina, p. 89. [68] Marina, p. 13. [69] Marina, p. 37. [70] O interminável percurso, é destacado na página 93. O texto continua com a presença do tempo, para “Zenão de Eleia: Aquiles corre com a tartaruga”, um paradoxo da verdade de Parménides, numa demonstração “por absurdo”. [71] Marina, p. 16. [72] Marina, p. 54. [73] Durante uma noite, após ter querido escrever insistentemente uma sonata, o compositor italiano Giuseppe Tartini compô-la a dormir e a sonhar. Intitulada O Trilo do Diabo, imaginou que o próprio maligno lhe apareceu em pessoa para tocar violino e o “ajudar”. Ele não era capaz de terminar a obra musical, mas quando acordou conseguiu acabá-la com a única parte da música de que se lembrava. [74] Jung, Carl. (1954 [1951], p. 123) [75] Marina, p. 73. [76] Marina, p. 56. [77] Marina, pp. 55-56: “A jovem [caveira sem carne] cedeu sua beleza ao brinquedo”, tratando-se de morta, que na urna funerária tinha a sua boneca de marfim, segundo Marco Lucchesi, preservada do Tempo dos antoninos, na Roma antiga, pelo autor. Portanto, aquilo, demarca a figura histórica, no achado brinquedo, que a acompanhou na urna. https://en.wikipedia.org/wiki/Crepereia_Tryphaena [78] Marina, p. 56. O “espelho inverso”, do aveso, passa o par a dois contrários ou simetricamente opostos. [79] Marina, p. 69. Quem diga a transformação dela alude à sua representação no quadro de outra. [80] Um poço é um recetáculo, a chora, em Platão. Um continente retém um conteúdo, as ideias sensíveis. [81] Marina, p. 50. [82] Marina, p. 96. Nessa página, é salientada a comunicação, quando gatos ronronam e cães latem. [83] Reis, Carlos, & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, pp. 152-155. [84] Idem, pp. 152-153. [85] Marina, p. 86. [86] Marina, p. 91. [87] Marina, p. 86. [88] Marina, p. 63. [89] Marina, p. 95. [90] Marina, p. 54. [91] Marina, p. 73. [92] Marina, p. 96. [93] Marina, post scriptum, p.97. [94] Reis, Carlos & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, p. 154. [95] Marina, p. 91. [96] Strauss, Anselm, & Corbin, Juliet. Basics for qualitative research: Grounded theory procedures and techniques. Newbury Park, CA: Sage, 1990, p. 96. [97] Marina, p. 95. Numa intercalação da história de Proteu com o mito de Orfeu, essa invenção do poeta romano Virgílio (70 a.C. — 19 a. C.), encontra-se nos versos de número 453 a 527 do Livro IV, das Geórgicas. [98] Marina, pp. 71-72. Vale ouvir a rádio Orfeu … Ouço distante a voz de Orfeu. [99] Marina, p. 80, p. 86. [100] Marina, pp. 79-80. [101] Marina, p. 80. [102] Marina, p. 49. [103] Marina, p. 91. [104] Marina, p. 91. [105] Marina, p. 49. [106] Neymeyer, Robert A. & Mahoney, Michael. Construtivismo em psicoterapia. Tradução de Mônica Giglio Armando e Fábio Appolinário. Porto Alegre, Rio Grande do Sul: Artes Médicas, 1997, p. 173. [107] Quem diga texto, poderia referir-se a trabalhos com que um texto se cruza, num filme, romance ou peça de teatro. [108] Forster, Eduard Morgan. Aspects of the novel. New York, NY: Harcourt, Brace and World, 1927. O “enredo” (plot) distingue-se da “história” (story), na medida em que o enredo ordena os acontecimentos de forma temporal e de forma causal, mas a “história” limita-se a ordená-los no tempo. [109] Scholes, Robert, & Kellogg, Robert. The nature of narrative. New York, NY: Oxford University Press, 1966, p. 207, pp. 238-239. [110] Angus, Lynne; Lewin, Jennifer; Boritz, Tali; Bryntwick, Emily; Carpenter, Naomi; Watson-Gaze, James, & Greenberg, Leslie. Narrative Processes Coding System: A Dialectical Constructivist Approach to Assessing Client Change Processes in Emotion-Focused Therapy of Depression. Research in Psychotherapy: Psychopathology, Process and Outcome 2012, 15(2), 54–61. DOI: 10.7411/RP.2012.006 [111] Marina, p. 23. [112] Marina, pp. 79-80. [113] Marina, p 83. [114] Marina, p. 94. [115] Marina, p. 71. [116] Marina, post scriptum, p. 76. [117] Marina, p. 23. [118] No risco de morte no mar bravo, noutro lugar: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração” (Lucchesi, 2023, p. 71). [119] Marina, p. 23. [120] Marina, p. 23. [121] Marina, p. 80. A expressão é atribuída pelo autor a um livre pensador, Lucilio Vanini (1585 – 1619), que se autodenominou outro, nas obras publicadas como Giulio Cesare Vanini. [122] Marina, p. 83. [123] Marina, p. 93. [124] Marina, p. 93. [125] Marina, p. 14, p. 79. As baleias primam nos seus “afetos radicais” (p. 79). [126] Marina, p. 93. [127] Marina, p. 93. [128] Marina, p. 93. [129] Marina, p. 95. [130] Marina, post scriptum, p. 99. [131] Marina, pp. 85-86. [132] Strauss, Anselm. Qualitative analysis for social scientists. New York, NY: Cambridge University Press, 1987, p. 32. [133] Marina, p. 91: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, num eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite”. [134] Marina, pp. 13-14. [135] Marina, p. 54. [136] Marina, p. 14. [137] Marina, p. 13. [138] Marina, p. 22. [139] A noção de “livre arbítrio contracausal” indica a decisão livre, não determinada por uma causa, um motor. [140] No cálculo integral, pensa-se na heurística, de Arquimedes (287 – 212 a.C.) , com a finalidade inicial de calcular áreas e volumes e seguir a pista e gravar o movimento dos corpos celestes, do sol, da lua e dos planetas, no que se partiu da aritmética e da geometria. [141] Concausa introduz a causa, que coexiste com outra causa, cujo efeito seja conjugado. [142] Marina, p. 27. [143] Marina, p. 27. [144] Marina, p. 13. A brevidade contrasta como o longo tempo que passou, após o encontro prolongado. [145] Marina, p. 43. [146] Marina, p. 69: “Teus olhos sabem narrativas”. [147] Marina, p. 87. [148] Marina, p. 91. [149] Marina, p. 91. [150] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, (1970 [1947]), p. 65. [151] Marina, p. 75. [152] “O acaso dá-nos os pensamentos, o acaso retira-no-los”. Esse é um pensamento de Blaise Pascal (1623 – 1662). [153] Bakhtin, Mikhail M. Speech genres and other late essays. Austin, Texas: University of Texas Press, 1986. Partindo de “géneros de fala”, certas vozes farão coisas diferentes. A noção de “voz” tornou-se um conceito adequado e útil para a caracterização do narrador num texto: “quem ‘fala’”. “Quem é ‘ouvido’”, “quem expressou algo” … A ser “dada uma voz”, a “voz”, conduziu à critica de uma só voz, com Bakhtin. Na conexão de “voz”, com as ciências sociais, avançamos entre “múltiplas vozes”. [154] Marina, p. 13. [155] A “intencionalidade” em Edmund Husserl (1859 – 1938) e) colocou-se em “Meditações cartesianas”, para a forma basilar da consciência e dos processos psíquicos: “consciência de alguma coisa”. Donde, a proximidade das coisas. [156] Lévêque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Publico, 2001, p. 13. [157] O mundo e a consciência veem em conjunto, dum único golpe: se o mundo é exterior/interior à consciência, o que escape é o ribombar de “tempestade”, o espanto perante uma explosão, o ribombar do trovão. [158] Marina, p. 75. [159] Marina, p. 91. [160] A ser retomado o sentido do ser (do ser em si mesmo, do ser do “homem” e do ser do pensamento), com Martin Heidegger (1889 – 1976), a “metafísica” ganhou terreno, na tradição filosófica. Ficou a crítica ao que tenha sido “esquecido” - o ser, com frequência, entre Platão (428/427 – 348/347 a.C.) e Nietzsche (1844 – 1900). [161] Na etimologia de “profundidade”, “pro” indica uma direção a, e “fundus” é o esvaziamento, por extensão de fundo. [162] Na especificidade, “coisa” denota o objeto natural. Acresce o tratamento dado ao objeto ou ao termo natural-artificial, ao real-irreal, ao mental-físico. Na filosofia, “coisa” incorre numa aparição, vaga presença, quando faltem as palavras, por incerteza na “errância”, falhado o alvo … Uma tempestade abrupta, uma explosão. Coisa chega a ser conhecimento, imaginação, vontade... [163] Marina, p. 81. [164] Num referencial da personalidade do adulto, adiante aludido, a psicologia pós-racionalista enquadra um modelo da realidade humana, que conjuga a experiência e o significado da experiência (“eu-mim reflexivo”). À superfície emocional da infância, estudada em John Bowlby, o psiquiatra Vittorio Guidano, aliou a “organização do significado pessoal” (OSP). [165] Uma assíntota, na geometria, para uma curva plana, é uma linha que explora uma distância infinita em relação a um ponto (P), quando esse ponto se distancia ao infinito, sem jamais encontrar a linha. [166] Marina, post scriptum, p. 76. [167] Marina, p. 91. [168] Galindo, Caetano W. Sim, eu digo sim: Uma visita guiada ao Ulysses de James Joyce. São Paulo: Companhia das Letras, 2016, pp. 1104-1106. [169] Marina, p. 43. [170] Parménides. Fragments du poème de Parménides. Paris: PUF, 1996. Na primeira parte do poema, foi concebido um saber puro, a “verdade”, que afeta a via dos jogos de aparência das coisas, vindo a duplicar as aparências, no “desvendamento” (a-letheia, no grego clássico). O Uno, em Parménides, deixou-nos a mensagem fragmentada, na “revelação”, a “abertura”, a verdade escrita, no poema Sobre a natureza. Tanto as diversidades do mundo exterior, quanto as “opiniões dos mortais” (referidas num décimo da segunda parte da obra – o mundo da aparência), foram distanciadas da contemplação. Parménides inspirou a noção de Platão, para a dialética (partindo de duas ideias opostas, gerada uma síntese). [171] Platón. Parménides. Tradução de Guillermo R. de Echandía. Madrid: Alianza, 1987, pp. 55-56. [172] Na circunstância, as tensões antagónicas, entre a unidade e a diversidade, haviam sido protagonizadas por Parménides e Heráclito (cerca de 500 – 450 a.C.). Forçada a ultrapassagem da disputa inicial? [173] Marina, p. 43. [174] Nicolau de Cusa manifestou a sua forma de pensar num mundo em transição, tendo defendido a necessidade de contingência (coincidentia oppositorum), por parte da natureza e aderiu à contemplação intuitiva, em que o conhecimento fosse a unidade dos contrários (no livro Docta ignorantia, “Sobre a ignorância aprendida/sobre a ignorância científica”). [175] Marina, p. 35. [176] Marina, p. 31. [177] Marina, pp. 27-36. Na página 27, assumido ter-se tornado “perigosos”, na página 35, Celso diz ter medo de si mesmo. [178] Marina, p. 71. [179] Marina, post scriptum, p. 97. [180] Marina, p. 87: “[As cartas] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo”. Catulo foi um poeta romano (87/84 a.C. – 57/54 a.C.), entre outros “modernos”, criticados por Marco Cícero, um contemporâneo, escritor e autor de cartas, mas que mudou a literatura europeia, com impacto no século XVIII. [181] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970 [1947]. Na parte final de Carta sobre humanismo, Heidegger esclareceu: “não eis-me aqui! mas sim, se posso expressar-me num francês obviamente impossível, ‘être le là’ e o ‘aí’ é precisamente a-letheia. Como esquecer que da-sein representa o “estar aí”, o “habitar”? [182] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [183] Uma ontologia dedicada ao ser, existência e realidade. [184] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970, p. 77. [185] Heidegger, Martin. Que veut dire penser? In Essais et conferences. Paris: Gallimard, 1958. [186] O ser foi abandonado, quando se colocou adiante o ousia. No saber dos ousiai, enfatizadas substâncias. [187] Goodman, Nelson. Ways of world making. Indianapolis, Indiana: Hackett, 1985, pp. 7-17. [188] Marina, p. 93. Na lógica clássica, uma proposição não pode ser, em simultâneo, “verdadeira” e “falsa” (princípio da não contradição). Uma proposição é falsa ou é verdadeira (princípio do terceiro excluído). [189] Marina, p. 89. Em De docta ignorantia, de 1449, Nicolau de Cusa criou três momentos do “espírito” no itinerário, uma hermenêutica, ora voltado para o “exterior”, ora para o “interior”. Importa para a coincidência de sorte, em não serem anulados pontos de vista diferentes (opostos), do ser humano ao infinito. [190] Marina, p. 89. [191] Marina, post scriptum, p. 62. [192] Marina, p. 89. [193] Marina, p. 73. [194] Marina, p. 35. [195] Marina, p. 35. [196] Marina, p. 93. “Salva-nos” pensar que a unidade primeira não torne a escamotear o ser, frente ao ente, em Deus. A base da metafísica, ciência do ser, foi por muitos anos o debate de “substâncias”, para o que se mantenha por baixo, o “elemento” permanente da coisa. Embora o ser tenha múltiplas aceções, formulam-se todas para um princípio (arché) único, material e definido. Na “correspondência”, o ser não pretende servir a ideia de “ser para Deus”, de ser a pessoa concreta, o que se mantém (ousia, “substância”, “no bem fundo”). [197] Marina, p. 96. [198] Como Nicolau de Cusa, que viu nesse acaso o conhecimento de Deus. [199] Marina, p. 87. [200] Marina, p. 93. [201] Marina, p. 98. [202] Marina, p. 17. [203] Marina, p. 18. [204] O “desvendamento” - aletheia, no remoto Poema de Parménides, um saber do Uno, entretanto desfeito,encontra-se antes de recolocada a ordem do vivido, ou seja, “todas as formas de presença afetivas e intelectuais”, em Jean Lévèque. Lévèque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Público, p. 114. [205] Marina, p. 73. [206] Marina, p. 95. [207] Marina, p. 73. [208] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [209] Marina, p. 22. [210] Marina, p. 93. “Não ser” tem no francês a palavra “néant”. E “nada” encontra-se em mè eon (“o não-ente”), em grego. Nem sendo a chora, o “nada”, o não-ente, nem chega a ser privação do ser, porque o “lugar” não tem qualquer objeto. O vazio de um contentor – o “vaso” - é diferente: possui forma, é chora. [211] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [212] Kundera, Milan. 1988. A arte do romance. Lisboa: Dom Quixote, 1988. Nessa obra, o “romance” é de ideias, a partir de Cervantes (1547 – 1616), por longo tempo “aguardada” a inspiração de Laurence Sterne (1713 – 1768), em D. Quixote. Ao romance de ideias foi dada outra linhagem, na marcação francesa: François Rabelais (1494 — 1553) e Denis Diderot (1713 — 1784), quando alcançaram liberdade crítica e ironia revolucionária, no renascimento e no século XVIII. O multifacetado Rabelais cruzou até as facetas na palavra, ora erudita, ora aventureira, percorrendo o lado festivo e o lado religioso e solene. [213] Marina, post scriptum, p. 76: “São minhas essas vozes: que me indagam, enlaçam, apertam, comprimem. Polifonia da gente que me habita. Mas todos querem, buscam, sonham com você”. [214] James, William. The will to believe and other essays in popular philosophy. New York, NY: Longmans, 1897. [215] Marina, p. 49. Para Carl Gustav Jung (1875 - 1961), a “humanidade” dividiu-se em duas partes: nos que “nadariam”, com James Joyce, no Ulisses, havendo quem se “afogasse” (numa autoridade, num qualquer saber dogmático). No Ulisses, é o monólogo de Molly Bloom condutor a um “sim”. [216] A obra de Lucchesi remete a Viktor Shklovsky. um crítico literário russo, em paralelo a Laurence Stern, autor de dissonantes observações, no que este último escreveu “A vida e as opiniões do cavalheiro Tristram Shandy”, um novo Quixote.” [217] Marina, p. 17: “Cada qual começa com um resumo”. [218] Marina, pp. 29-30. [219] Mead, George Herbert. Works of George Herbert Mead. Vol. 1 Mind, self and society from the standpoint of a social behaviourist. Chicago, Illinois: University of Chicago Press, 1967. A explicação das diferenças entre si e Greenberg, foi esclarecida por Guidano, que utilizou os termos de George Herbert Mead – I (“eu”) e me (“mim”), frente a Greenberg. Mead (1863 — 1931) concebeu o self social (Mead, 1913), no sentido de sermos a única espécie que usa a linguagem, aquisição a partir da qual planeamos, pensamos e comunicamos a experiência. A vida de uma pessoa não seria um atributo individual e privado em Mead, cuja narrativa seja uma autoexpressão, envolvendo o controlo da informação do self. [220] Geller, Shari M. & Greenberg, Leslie S. (2012). Therapeutic presence: A mindful approach to effective therapy. American Psychology Association. https://doi.org/10.1037/13485-000 [221] Guidano, Vittorio. The self in process: Towards a post-racionalist therapy. New York, NY: Guilford, 1991. [222] O que seja acima do nada, sobrenada num “lugar” das coisas sensíveis, que soam e ressoam. [223] Marina, p. 43. [224] Marina, p. 50. [225] Marina, p. 49. “Persegue os temporais”, os maus tempos de vendavais no passado-presente-futuro. [226] Marina, p. 18. [227] Marina, p. 49. [228] Marina, p. 73. [229] Marina, p. 73. [230] Marina, p. 18. [231] Marina, p. 49. [232] Marina, p. 73. [233] Tanto “mar” quanto o cérebro são “suportes físicos” e “alimentos”. A imensidão das “ondas do mar” e da mente em movimento configuram um fluxo movediço e inatingível, em que o ser é originariamente “bem-fundo”, a “substância” (no latim, ousia), para o que sejam variações e transformações das coisas. [234] Lao Tzu. Tao Te Ching. Capítulo 4, n.d. http://pt.wikisource.org/wiki/Tao_Te_Ching/IV. No mundo parcial ancestral chinês, pensar é agir. Reiterada a filosofia no T’ai Chi, a conexão ocorrida no Universo propicia a combinação de mente (li) e matéria (chi), “realidade última”, numa acomodação da unidade do Tao, à semelhança do “ancestral das dez-mil-coisas”: O Tao é um vaso vazio // Cujo uso nunca transborda. // Abismo! // Parece o ancestral das dez-mil-coisas! // Abranda o cume; Desfaz o emaranhado; Modera o brilho; Une o pó. // Profundo! // Parece existir algo! // Eu não sei de quem o Tao é filho. // Parece ser o anterior ao Ancestral. [235] Antropomorfismo para uma forma de pensamento em que elementos da natureza ou figuras de deuses alcançam características humanas. [236] O princípio da identidade, em Parménides, assumiu que todo o objeto é idêntico a si próprio. [237] Marina, p. 18. [238] Sartre, Jean-Paul. Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl, l’intentionalité. La Nouvelle Revue Française, 1939, 304(1), 129-132. Na medida em que a consciência traduz uma aproximação às coisas, poderá “ser algo que não ela própria”. [239] Marina, p. 18. [240] Marina, p. 18. [241] Marina, p. 37. [242] Marina, p. 18 [243] Marina, p. 18. [244] Marina, p. 21. [245] Marina, p. 23. [246] Marina, p. 23. [247] Marina, p. 23. [248] Marina, p. 26. [249] Marina, p. 28. [250] Marina, p. 28. [251] Marina, p. 28. [252] Marina, p. 29. [253] Marina, p. 37. [254] Marina, p. 42. [255] Marina, p. 71. [256] Marina, p. 37. [257] Marina, p. 37. [258] Marina, p. 49. [259] Marina, p. 16. [260] Marina, pp. 16-18. [261] Marina, p. 49. Na obra publicada em 1922, Molly Bloom, cujo nome verdadeiro era Marion, é a personagem de Ulisses, de James Joyce, uma cantora de ópera, reconhecida em Dublin, na Irlanda. No monólogo, é colocado um “fluxo de consciência”, sem parágrafos e sem pontuação de vírgulas e travessões. [262] Marina, p. 55. [263] Marina, p. 55. [264] Marina, p. 95. [265] Marina, p. 61. [266] Marina, p. 95. [267] Casar não foi contemplado por Mozart, tendo vivido poucos mais anos que Jesus. Bresson utilizou a música de Mozart, em 1956, no filme “Um condenado à morte escapou”, passado durante a Segunda Guerra Mundial (1939 a 1945), nomeadamente no Kyrie, de Mozart (caso vocativo da palavra grega kyrios, para “senhor”). No Antigo Testamento, utilizou-se Kyrie na mais antiga tradução grega (Septuaginta), para traduzir a palavra hebraica Yahweh. No Novo Testamento, Kyrie foi o título dado a Cristo, como em Filipenses 2:11. [268] Marina, p. 86. [269] Marina, p. 86. [270] Marina, p. 79. [271] Marina, p. 95. [272] Marina, p. 79. [273] Marina, p. 79. [274] Marina, p. 55: “Ao não lugar me abraço como um náufrago”. No recuo do ser, não será “dispensado” o ser, no que me recorda o protagonista e narrador de Marina, encontrado num não lugar, sob um batimento da “pressão”. [275] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980, pp. 88-89. [276] A dobra é franzida. “Eu-ente”, um depósito material insolúvel, na dobra existe o “sedimento”, em Ensaios e conferências, de Heidegger. [277] No Romantismo, após o Século das Luzes (século XVIII), Hölderlin viveria já ao “cair da noite”. Teriam deixado o mundo três deuses “fraternos” – “Héracles, Dionísio e Cristo”. Acresce dizer, sem romantismo, que alcançada a “noite”, perdermos as referências-guias, as linhagens e ficamos sós. Deixa-se de referir a autoridade (“quem sabe”) e configura-se um destino nem certo, nem seguro. Na incerteza da errância, falharia o alvo que seja excessivamente arriscado. [278] Marina, p. 22, p. 35 e p. 98. [279] Marina, p. 76. [280] Marina, p. 78.
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Margat, A., D. Naudin, C. Eymard, V. Berger, R. Zintchem, A. A. Sillet, N. Goutté und M. Rothan-Tondeur. „La Recherche Infirmière en France“. Index de enfermería digital, 09.03.2020, e32832f. http://dx.doi.org/10.58807/indexenferm20232723.

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Cet article se propose de présenter un état des lieux la recherche infirmière en France. Pour cela, il sera structuré selon trois grandes thématiques: l’activité de recherches à partir de 3 études originales, la promotion de la recherche, puis la gestion et le transfert de connaissances. En France, les enjeux de la recherche en Science infirmière sont riches et variés mais doivent susciter plusieurs points de réflexion. Alors qu’il y a de plus en plus d'infirmières française chercheuses, les thèmes de recherche sont encore principalement influencés par le financement des recherches. Par ailleurs, ils sont aussi choisis en fonction des intérêts personnels du chercheur. Pour finir, le fossé entre théorie et pratique existe comme dans tous les pays et le réinvestissement de la recherche dans la pratique semble être un problème général. Il semble que l’universitarisation et notamment la création de corps bi-appartenants devrait sans doute contribuer à réduire ce fossé entre théorie et pratique.
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Walter, Fernanda Omelczuk. „“E se o relatório fosse do Victor?” Pensando com o cinema a alteridade, a imaginação e a psicologia na formação de professores“. Pro-Posições 32 (2021). http://dx.doi.org/10.1590/1980-6248-2019-0015.

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Resumo O artigo compartilha uma experiência pedagógica com o cinema junto à disciplina psicologia da educação, oferecida para alunos de licenciaturas na Universidade Federal do Rio de Janeiro. Foram analisados dois trabalhos audiovisuais feitos após a proposta de imaginação sobre como seria o filme O garoto selvagem, de François Truffaut, se o relatório de inspiração para o roteiro fosse do personagem Victor e não do Dr. Itard. Para tanto, dialogamos com as contribuições recentes do campo de cinema-educação, do ensino de psicologia na formação de professores e do cinema. Neste contexto, a possibilidade de realizarmos experiências inventivas com o cinema no curso de psicologia se apresentou como práticas estéticas e políticas alternativas ao modelo curricular historicamente dominante nessa disciplina, o que nos permitiu identificar alguns impactos desse tipo de exercício na formação de professores, tais como a superação de apropriações pedagogistas do cinema, a legitimidade da imaginação na construção do conhecimento e articulações interdisciplinares.
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Paquet, Pierre-Luc, und Nina Woll. „À la croisée des chemins : modèle d’enseignement translinguistique-communicatif“. La Revue de l’AQEFLS 37, Nr. 1 (2024). http://dx.doi.org/10.7202/1111725ar.

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Cet article vise à offrir un aperçu d’un modèle d’enseignement qui repose sur l’interaction entre toutes les langues que les personnes apprenantes connaissent, afin de faciliter le développement de langues additionnelles. Le modèle comprend quatre étapes : une tâche basée sur l’input, une tâche de conscientisation translinguistique, une tâche basée sur l’output, et une étape récapitulative. Chacune de ces étapes se concentre sur une structure cible, où les personnes apprenantes peuvent établir des correspondances entre le français (la langue cible) et les autres langues de leur répertoire langagier. Dans le but de combler le fossé entre les approches dites communicatives et plurilingues, cet article présente en détail chaque étape du modèle, en fournissant les outils et les exemples nécessaires pour permettre au personnel enseignant d’adapter leurs propres matériels pédagogiques en fonction de ses principes fondamentaux.
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Sliwinski, Alicia. „Globalisation“. Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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