Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „France – 1870-1940 (3e République) – Dans la littérature“

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Dissertationen zum Thema "France – 1870-1940 (3e République) – Dans la littérature"

1

Olivier-Messonnier, Laurence. „Guerre et littérature de jeunesse française (1870-1919)“. Clermont-Ferrand 2, 2008. http://www.theses.fr/2008CLF20003.

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De 1870 à 1919, la littérature enfantine française se fait l'écho de mutations sociologiques, pédagogiques et idéologiques. Etudier l'impact de la guerre sur les publications de jeunesse implique une recherche en amont des décisions officielles, une observation en aval de leurs répercussions sur les livres scolaires, parascolaires et extrascolaires. Le coeur de la problématique réside dans la question de l'obédience ou de la déviance des ouvrages enfantins par rapport aux consignes étatiques. La décennie scolaire 1880-1890 constitue à cet egard un palier décisif dans l'orientation vers la morale en action. Les abécédaires, les albums illustrés, les livres de bibliothèque relaient l'idéologie officielle et transforment l'épanouissement civique en exaltation cocardière. L'iconographie s'allie aux romans nationaux sous la bannière tricolore. L'armature chronologique de notre étude, traumatisme de 1870, période transitoire, Grande Guerre, détermine des paradigmes littéraires et idéologiques. La consultation des textes officiels accuse une imprégnation patriobelliciste et germanophobe des esprits juvéniles. L'originalité du projet tient à la rareté des recherches actuelles en matière d'axiologie des livres enfantins de guerre. Les failles concernant la période 1914-1918 expliquent l'intérêt particulier accordé à la littérature contemporaine du conflit. En dépit de leur taxation propagandiste, les ouvrages découverts et la production imagière alors en plein essor révèlent des trésors insoupçonnés d'ingéniosité littéraire que seule une production substantielle peut restituer
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2

Gagné, Nicolas. „Les visages de la République dans l'œuvre d'Emile Zola“. Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. https://bsnum.sorbonne-nouvelle.fr/files/original/1338/6773/These_en_cours_de_traitement.pdf.

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La République telle que pensée par Zola est un objet étonnamment difficile à saisir. Étonnamment, car il a beaucoup écrit sur la politique tout au long de sa carrière ; sa défense du capitaine Dreyfus, qu’il voit comme une lutte contre les adversaires de la République telle qu’elle devrait exister, n’est pas un acte isolé. Par exemple, il a souvent et durement critiqué le personnel politique de la Troisième République et décrit la République « naturaliste » ou « scientifique » qu’il aurait voulu vu voir instaurée en France. Pourtant, l’œuvre critique est insuffisante ; la République naturaliste n’est définie que de façon floue, voire tautologique : le républicain scientifique est celui qui traite de façon scientifique les questions politiques, quiapplique en politique la méthode littéraire des écrivains naturalistes. L’idée est intéressante, mais elle a peu de suite ; c’est à peine si Zola nomme un homme politique capable d’incarner cet idéal. Il faut creuser plus loin. Nous postulons donc qu’il est nécessaire, pour faire le tour de la question, de chercher la notion de République au sein de l’œuvre romanesque. Zola, après tout, est romancier bien avant d’être philosophe. Ce qui ne signifie pas que cette œuvre ne soit pas intéressante à analyser dans sa dimension politique, au contraire : c’est notamment dans l’imaginaire que se cache un discours républicain. Une lecture croisée des textes fictifs et non fictifs s’avère ainsi nécessaire pour saisir la question dans toute sa complexité. L’objectif principal de cette recherche est donc de comprendre ce que représente la République pour Zola et comment il la représente, ce qui n’est pas forcément la même chose
The Republic as conceived by Zola is a surprisingly difficult object to grasp. Surprisingly, as he wrote extensively on politics throughout his career: his defense of Captain Dreyfus, which he saw as a struggle against the adversaries of the Republic as it should exist, was not an isolated act. For example, he often and harshly criticized the political personnel of the Third Republic and described the “naturalistic” or “scientific” Republic he wanted established in France. However, his critical work is insufficient; the naturalist Republic is defined only in a vague, even tautological way: the scientific republican is the one who treats politicalquestions in a scientific way, who applies in politics the literary method of naturalist writers. The idea is interesting, but it has little follow-up; Zola barely even goes far as to name a politician capable of embodying this ideal. We have to dig deeper. We therefore postulate that it is necessary, to get a full understanding of the question, to look for the Republic within Zola’s novels. He was after all a novelist and not a philosopher. This does not mean these novels are not interesting to analyze in their political dimension, on the contrary: it is in particular in the imaginary that they convey that a republican discourse can be found. A cross-reading of fiction and nonfiction is therefore necessary to grasp the question in all itscomplexity. The main objective of this research is therefore to understand what the Republic represents for Zola and how he represents it, which is not necessarily the same thing
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Allart, Marie-Noëlle. „L’enseignement général dans la formation initiale d’État des ouvriers et employés 1880-1959“. Caen, 2014. http://www.theses.fr/2014CAEN1001.

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Lorsque l’État organise le degré inférieur de l'enseignement technique post-élémentaire à partir de 1880, il met en place un enseignement général aux côtés de la formation au métier des jeunes gens et jeunes filles qui se destinent à des activités d’exécution. Ce sont les finalités de cet enseignement que nous interrogeons. Enseignement lié ou non avec plus ou moins de force à l’enseignement professionnel, il peut contribuer à développer la culture générale ou la culture technique naissante. Se construit alors une conception politique du rôle de la formation de l’ouvrier(-ère) et de l’employé(-e) tout au long des IIIe et IVe Républiques : est-il possible ou est-il souhaitable de construire ensemble le travailleur, le citoyen et l’homme ? L’étude des écoles manuelles d’apprentissage, mais surtout des écoles pratiques de commerce et d’industrie puis des centres d’apprentissage, nous montre que les choix en matière d’enseignement général influent sur le but de la formation dans son ensemble. Le rôle des différents acteurs, tant à l’échelle nationale que locale, se mesure à travers les discussions ou oppositions, les projets de réforme, les programmes, leur mise en place et leur interprétation en classe
When the State sets up the lower grades of the post primary technical schools from 1880, it also sets up a general education as well as a job training for young men and women. We are questioning the purposes of this general education. More or less linked to technical schooling, it promotes a general knowledge or encourages a technical culture. From then on, a political conscience of the workers or employees training is developed all along the third and fourth Republics: is it possible or is it recommended to shape together the worker, the citizen and the man? The focus on "écoles manuelles d’apprentissage", but above all on "écoles pratiques de commerce et d’industrie" and after on "centres d’apprentissage ", shows that choices made as far as general teaching is concerned, influence on a large scale, the purpose of the training. The part of the various agents can be rated both nationally and locally through debates, oppositions, reform projects, curriculum enforced and acted within the class
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Proust, Jean-Marc. „Racisme et nationalisme dans le roman populaire francais sous la iiie republique (1870-1940)“. Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100082.

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"ne" avec les mysteres de paris en 1842, le roman populaire connait rapidement un succes considerable - son apogee se situant sous la iiie republique. Or, les romans populaires sont parfois le reflet d'une ideologie aux accents fortement racistes et nationalistes. Les attitudes des personnages (boire et manger, rapports a l'amour et a la famille, au travail, a l'argent, a la religion. . . ) sont revelatrices et opposent irreductiblement les "bons" - ce sont en general des francais - aux "mauvais" - pour la plupart des etrangers. Une logique d'affrontement se met rapidement en place. L'obsession du complot temoigne d'un nationalisme ferme, replie sur lui-meme. L'agressivite qui emane de textes souvent belliqueux est avant tout l'expression d'un "deuil", celui de l'alsace et de la lorraine, perdues en 1870. Cela donne meme lieu a une veine bien particuliere du roman populaire: le roman revanchard. L'exaltation du colonialisme est egalement de nature inquiete et frileuse. Dans ces romans, la france jalouse l'angleterre meme si l'esprit cocardier des auteurs les amene a y afficher des valeurs republicaines typiquement francaises. De ces attitudes et confrontations decoule une typologie de peuples - on dit alors: "races" - fortement liee aux alliances diplomatiques de l'epoque. Le russe est un ami lorsque l'italien s'allie a l'allemand. Les notions de race, d'exotisme ou la figure du "sauvage" montrent combien les romanciers populaires ont use des prejuges de l'epoque pour les restituer sous forme de stereotypes. Leurs oeuvres s'inscrivent ainsi dans une forme de propagande insidieuse au service d'idees racistes et nationalistes
"born" in 1842 with les mysteres de paris, french popular novels experience quickly great success which reaches its very peack point during the third republic. French popular novelists highlight a racist and nationalist ideology. Characters behaviours, such as drinking and eating, or love, family, work, money and religion themes, are revealing to that respect. They always draw opposite features : "good" people (usually they are french) versus "bad" people - most of them are foreigners. The way they stand together highlight discrepancies between two worlds. Obsessed with plot, the novelists prove to belong to a narrow and anxious nationalism. Mourning the lost in 1870 of alsace and lorraine, french popular novels show warlike pulsions which generate a particular novel type, called "roman revanchard" (novels of revenge). The celebration of colonialism has twofold sides, as though it were emphasized to make up for the french inferior colonial stand. Jealousy to england appears quickly even though novelists often depicts typical french republican ideas. A people (one says then: "races") typology soon originates, which is closely tied to the diplomatic period unions. Russians are friends but italians and germans become allies - against french people. Races, exotism or the "savage" character highlight the way french popular novelists took bias in order to use them as the period stereotypes. So that they created a catchy propaganda serving racist and nationalist ideas
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Antonini, Bruno. „Philosophie et politique chez Jean Jaurès : le rôle de l'Etat dans la transmutation de la République en socialisme“. Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010610.

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Notre étude repose sur l'idée que l'action politique de Jean Jaurès (1859-1914) - philosophe de formation, journaliste fondateur de l'Humanité en 1904, historien, homme politique fondateur de la S. F. I. O. En 1905, pacifiste, grande figure du socialisme français et de la Deuxième Internationale - s'enracine dans sa réflexion philosophique certes inachevée: une métaphysique de l'unité de l'être inspiré de Plotin et une méthode de compénétration des contraires héritée de Leibniz et de Schelling. Cette métaphysique a commandé sa vision d'un développement politique de l'humanité qui débouche sur une " métaphysique sociale " lui permettant de penser une conversion au socialisme comme. Horizon de civilisation par l'avènement du collectivisme comme " République jusqu'au bout ", c' est -à- dire jusque: dans l' économie par la substitution de la propriété sociale à la propriété privée des moyens de production et d'échange. Cet avènement, sous les traits d'une quasi révélation religieuse, est. - avènement de la justice sociale par l'unité humaine, sous la forme d'une réalisation ontologique des valeurs dans l'histoire par une " Praxis d' État " du prolétariat (et de ses modes de représentations et d'actions: syndicats, Parti socialiste, coopératives ouvrières), qui opère un graduel dépérissement du capitalisme par l'État, ce " milieu où se meuvent les classes ". Notre recherche replace la pensée philosophique et politique de Jaurès dans le contexte politique, historique, philosophique et intellectuel de son temps, en ombre portée de la pensée de Marx et de , l'héritage des Lumières et de la Révolution française.
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Brémond, Kévin. „Une histoire politique des facultés de droit : l'image des facultés de droit dans la presse quotidienne d'information nationale sous la Troisième République (1870-1940)“. Thesis, Bordeaux, 2018. http://www.theses.fr/2018BORD0324.

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La Troisième République marque un tournant dans la réorganisation des Facultés de droit en France. Le champ institutionnel est révélateur des bouleversements que connaît l’enseignement juridique à l’aune du nouveau régime, alors qu’il était précédemment emprisonné dans les cadres napoléoniens du début du XIXe siècle. C’est ainsi que l’on assiste à la création, certes contenue, mais significative et inédite de nouveaux établissements publics d’enseignement juridique, comme à Bordeaux ou encore à Lyon. En outre cette province, acclimatée à l’ombre de sa grande sœur parisienne, commence alors à s’aventurer en pleine lumière, impulsant ainsi une nette évolution du paysage universitaire. Mais plus significative encore est une cascade de réformes qui portent sur les diplômes –licence et doctorat– ou encore la mutation des programmes, comme en témoigne l’irruption dans les facultés du droit public ainsi que de l’économie politique, et les nombreuses hésitations par rapport à la jeune sociologie. Les facultés de droit se doivent aussi de relever le défi de la fin du monopole public de l’enseignement juridique, avec la création des facultés libres. Cette brèche, voulue par les catholiques mais aussi par les protestants en quête d’assise dans une société de plus en plus anticléricale, fait voler en éclat le monolithe où l’Etat conservait un quasi-monopole pour enseigner son droit. Ces mutations institutionnelles se prolongent d’ailleurs sur le terrain social, avec la densification des acteurs de l’Université, tant du point de vue du personnel enseignant que de celui des effectifs estudiantins. Même si cette dernière n’est en rien comparable à la massification de l’après mai 1968, elle marque néanmoins une évolution importante dont les répercutions dépassent la simple augmentation des effectifs et ses conséquences logistiques. C’est le visage même de l’Université qui en prend la marque, et ceci est particulièrement vrai dans les Facultés de droit, très touchées par le phénomène. Ainsi l’enseignement est contraint de remédier au manque croissant de personnel et les établissements de faire face à des étudiants de plus en plus turbulents et prompts à la revendication, comme en témoignent par exemple les affaires Lyon-Caen, Scelle ou encore Jèze, qui attisent les tensions politiques au sein de la Faculté de droit de Paris, mais également de celles de provinces. Enfin c’est dans le champ de la culture universitaire que des changements significatifs se font sentir. Alors que la défaillance universitaire est pointée du doigt après la défaite de Sedan, que dans l’Entre deux Guerres, le professeur bordelais Julien Bonnecase souligne dans Qu’est-ce qu’une Faculté de droit ? (1929), que celles-ci sont souvent accusées de se situer « entre le ciel et la terre »1, l’heure est aussi à la réflexion sur l’enseignement juridique. Les pesanteurs d’un enseignement « vieux style » sont ainsi de plus en plus contestées, précipitant la faculté juridique dans une crise profonde qui n’aura pas trouvé de résolution à l’aube du second conflit mondial. L’histoire institutionnelle des facultés de droit, matière explorée depuis de nombreuses années, peut donner l’image d’une certaine vivacité puisqu’elle utilise en bonne part les sources internes aux établissements. D’autres travaux, notamment ceux de Marc Milet, prennent le parti d’étudier les débordements de l’institution vers le monde extérieur, dans le cas présent l’investissement des professeurs en politique. Mais on peut également se poser la question de la perception par la société de l’activité facultaire
The Third Republic marks a turning point in the reorganization of law schools in France. The institutional field is revealing of the upheavals in legal education under the new regime, when it was previously imprisoned in the Napoleonic cadres of the early nineteenth century. This is how we are witnessing the creation, admittedly contained, but significant and unprecedented, of new public legal education establishments, such as in Bordeaux and Lyon. In addition, this province, acclimatized to the shadow of its big Parisian sister, then began to venture into full light, thus spurring a clear change in the university landscape. But more significant still is a cascade of reforms which relate to the degrees - license and doctorate - or the transformation of the programs, as evidenced by the irruption in the faculties of public law as well as political economy, and the many hesitations compared to young sociology. Law schools also face the challenge of ending the public monopoly on legal education with the creation of free schools. This breach, wanted by Catholics but also by Protestants in search of a seat in an increasingly anticlerical society, shattered the monolith where the state retained a quasi-monopoly to teach its law. These institutional changes are also continuing in the social field, with the densification of University players, both from the point of view of teaching staff and that of student numbers. Even if the latter is in no way comparable to the massification of after May 1968, it still marks an important development whose achievements go beyond the simple increase in staff and its logistical consequences. It is the very face of the University that takes its mark, and this is particularly true in law faculties, which are very affected by the phenomenon. Thus, education is forced to remedy the growing lack of personnel and institutions to face students who are increasingly turbulent and quick to make demands, as evidenced for example by the Lyon-Caen, Scelle or Jèze cases, which fuel political tensions within the Faculty of Law of Paris, but also those of the provinces. Finally, it is in the field of university culture that significant changes are being felt. While the academic failure is pointed out after the defeat of Sedan, which in the Interwar period, the Bordeaux professor Julien Bonnecase underlines in What is a Faculty of Law? (1929), that these are often accused of being "between heaven and earth" 1, the time has also come for reflection on legal education. The burdens of "old-style" teaching are thus increasingly contested, plunging the legal faculty into a deep crisis which will not have been resolved at the dawn of the Second World War. The institutional history of law schools, a subject that has been explored for many years, can give the image of a certain liveliness since it largely uses sources internal to the institutions. Other works, notably those of Marc Milet, take the party to study the excesses of the institution towards the outside world, in this case the investment of professors in politics
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Grivel, Gilles. „Le parti républicain dans les Vosges de 1870 à 1914“. Nancy 2, 1997. http://www.theses.fr/1997NAN21004.

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De 1871 à 1914, les Vosges sont un département frontalier et dynamique. Le parti républicain y constitue la force politique dominante. C'est un courant de pensée , qui regroupe tous ceux qui sont attachés à l'héritage de la révolution de 1789 et qui ne se structure qu'au début du XXème siècle. Cette thèse, qui utilise principalement les rapports de l'administration et la presse locale, retrace, après avoir présenté les Vosges, l'évolution de ce parti. Alors qu'il ne bénéficie que d'une influence limitée sous le Second Empire, le parti républicain devient avec la guerre de 1870 la force politiqe prépondérante du département, car il incarne la résistance à l'ennemi et le redressement national. Composé essentiellement de modérés, il garde cette position dominante jusqu'à la fin du XIXème siècle. Ses chefs de file, Jules Ferry et Jules Méline, jouent un rôle national. Au tournant du siècle, sa prépondérance est remise en cause par la montée du nationalisme qui accompagne l'affaire Dreyfus. Mais un nouveau parti républicain, le parti républicain démocratique, se constitue alors et réussit à reconquérir le département entre 1906 et 1910. A la veille de la guerre de 1914, représentant une gauche très modérée, il occupe une position dominante semblable à maints égards à celle du parti républicain à la fin du XIXème siècle
In the period between 1871 and 1914 the Vosges can be described as a dynamic frontier area where the republican party represents a decisive political force. It is a stream of throught which gathered together all those who agreed with the ideas of the 1789 French revolution and turned into a structured organization at the beginning of the 20th century. After a brief description of the Vosges, this thesis analyses the evolution of the party, using mostly administrative and local newspapers sources. While the republican party had little influence during the Second Empire, after the 1870 war it was transformed into the dominant political force of the department, because it represented both resistance towards the enemy and national recovery. Mostly composed of moderates, it maintained its dominant position until the end of the 19th century. Its leaders, Jules Ferry and Jules Méline, were of national significance. At the end of the 19th century, its all importance was challenged by the surge of nationalism that accompanied the Dreyfus case. But a new republican party, the democratic republican party, emerged and managed to regain the department between 1906 and 1910. On the eve of the 1914 war representing a very moderate left wing, it exerted its political influence just like the republican party at the end of the 19th century
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Dancel, Brigitte. „L'histoire de l'enseignement de l'histoire à l'école publique de la IIIe République : le ministre, le maître et l'élève dans les écoles primaires élémentaires de la Somme,1880-1926“. Paris 5, 1994. http://www.theses.fr/1994PA05H038.

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L’objet de la recherche vise à faire l'histoire d'une discipline scolaire en allant en aval du discours prescriptif des ministres, des pédagogues, et des inspecteurs. C'est une histoire qui regarde du cote des maitres pour mesurer leur liberté d'action dans la définition de leurs pratiques individuelles qui doivent trouver une voie entre les lointaines directives ministérielles, les proches recommandations de l'inspecteur primaire et les réalités du terrain. L’observation se porte enfin du côté des élèves dont il convient de mettre en évidence les acquis et les compétences à travers l'analyse de leurs travaux. Dans le corpus de 4058 copies d'histoire produites dans le cadre du certificat d'études entre 1948 et 1926 dans la département de la Somme, la recherche traite 951 réponses a des questions relatives à la révolution française, aux institutions républicaines et à la guerre de 1914-1918. Ce long chemin que suit toute prescription ministérielle implique des écarts entre la volonté affichée initialement et la culture historique scolaire acquise par les bons élèves de l'école primaire élémentaire de la IIIe république qui, finalement, satisfait l'institution scolaire et la société
This research aims at giving an historical account of a content matter beyond the prescriptive discourse of ministers of education, educationists and the inspectorate. Primary teachers' professional freedom in the definition of their individual practice is viewed throughout history, threading its way between distant governmental guidelines, closer advice from inspectors and the reality of the classroom. Observation is finally focused on the pupils whose acquisitions and skills are made obvious through the analysis of their output. Within the body of 4058 "certificat d'etudes" * exam papers of the 1918-1926 period in the Somme region, a sample of 951 answers is processed in the research (concerned with the French revolution, republican institutions and W. W. I). This long track, followed by all the governmental prescriptions, implies discrepancies between their stated aims and the historical academic culture actually acquired by the successful primary pupils during the 3rd French republic which eventually fulfills the school system and society at large. * French primary school final test until the early 1970's
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Palewska, Marie. „Un romancier d'aventures à la Belle Epoque : paul d'Ivoi (1856-1915) et ses "Voyages excentriques"“. Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030013.

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Publiés en volumes chez l’ancienne librairie Furne entre 1894 et 1917, les « Voyages excentriques » de Paul d’Ivoi constituent une collection prisée par la jeunesse à la Belle Epoque. Ces romans d’aventures inscrits dans la lignée de Jules Verne sont très représentatifs de leur temps, avec des intrigues enracinées dans un contexte politique proche du moment de leur écriture. Soucieux de contribuer à la formation patriotique et morale de leurs lecteurs, ils s’appliquent à soutenir l’œuvre coloniale de la France, à promouvoir les valeurs de la République française et à célébrer le rayonnement du pays à travers le monde. L’action, qui présente souvent un enjeu diplomatique international, suscite le voyage en terre étrangère et la rencontre avec d’autres nationalités dont la vision est le reflet des relations amicales ou conflictuelles que la France entretient avec elles. Mais de la réalité, les « Voyages excentriques » basculent dans la fiction en usant des diverses ressources que leur offre le genre du roman d’aventures alors à son apogée. L’exotisme et la fantaisie scientifique sont les deux thèmes les plus représentés, parfois agrémentés d’une touche policière ou d’espionnage. Dans sa pratique du roman d’aventures, Paul d’Ivoi cultive l’art de la variation par rapport à ses prédécesseurs, affirmant sa propre manière dans l’inventivité de ses gadgets scientifiques merveilleux ou la place prépondérante qu’il donne aux femmes. Il connut un grand succès au début du XXème siècle comme cadeau d’étrennes, livre de prix, fascicule populaire, feuilleton de quotidien à un sou, adapté au théâtre et même au cinéma. Son originalité réside surtout dans la notion d’excentrique qui fédère sa collection de romans Belle Epoque
Published in volumes between 1894 and 1917 by the former bookshop Furne, Paul d’Ivoi’s "Voyages Excentriques" made up a collection which was very much valued by the youth of the Edwardian Era.These adventure novels, in the tradition of Jules Verne, were highly representative of their time with plots deeply rooted in the political ideas pervading then. They were anxious to contribute to the patriotic and moral moulding of their readers and applied to support the colonial work of France while promoting the values of the French Republic and celebrating its influence all over the world. The action, which often deals with international diplomatic stakes, sends the characters abroad to meet other nationalities whose visions reflect their relationships with France, whether friendly or of conflict.However the "Voyages Excentriques" swing from reality into fiction using the various means that adventure novels, then at their peak, offered them. Exotism and scientific extravagance are the main themes, often accompanied with detective stories or spy fiction as secondary sorts. When writing his adventure novels, Paul d’Ivoi carefully paid attention to differentiating himself from his predecessors, asserting his own manner by inventing wonderful scientific gadgets or giving a preponderant role to women. His books were a great success at the turn of the 20th century as New Year’s gifts, school prizes, popular manuals or cheap serials which were adapted on stage or even in movies.He is most original in his dealing with eccentricity which is to be found all through his collection of Belle Epoque novels
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Mole, Frédéric. „L'école laïque pour une République sociale ? : crises et controverses dans la politique scolaire française, 1900-1914“. Lyon 2, 2008. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2008/mole_f.

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L'oeuvre scolaire de la Troisième République, notamment le combat pour la laïcisation de l'école, a d'abord reposé sur un relatif consensus républicain. Mais au début du XXe siècle, cette unité et cette force, bien qu'à leur apogée, ne masquent plus les profondes dissensions internes au camp républicain. Face aux conservateurs, les socialistes, les radicaux-socialistes et les instituteurs syndicalistes développent, de différentes manières, l'idée que l'école laïque doit désormais être porteuse de nouvelles formes d'émancipation de nature sociale. À quelles mises en crise de l'idéal laïque les critiques républicaines de gauche procèdent-elles ? Comment la visée d'une République sociale a-t-elle suscité de nouvelles conceptions de l'école ? Comment sont nés l'espérance et le pari que cette institution pourrait contribuer à dépasser le conservatisme social et à réaliser la justice dans la société ? En se fondant sur un corpus composé principalement de périodiques pédagogiques, syndicaux et politiques, et de comptes rendus de congrès, la thèse analyse les tensions et les controverses mobilisant divers réseaux d'acteurs. Elle examine les différentes conceptions d'une école démocratique : 1. Une école de la critique qui préparerait des acteurs capables de penser et de refonder l'ordre social ; 2. Une école des producteurs visant une adaptation du curriculum scolaire au monde du travail et au local ; 3. Une école unique qui, rompant avec le cloisonnement des ordres d'enseignement, libèrerait l'individu de son origine sociale. Elle vise enfin à comprendre les fondements politiques et les visées sociales de ces conceptions, ainsi que leurs tensions
The school reforms of the Third Republic in France, in particular the secularisation of schools, initially rested on a relative consensus among the Republicans. But at the beginning of the 20th century, although this unity and strength was at their height, the deep internal dissensions within the republican camp could not be masked. Opposing the Conservatives, the Socialists, the Radical socialists and the primary school teacher trade unionists developed, in different ways, the idea that secular schooling from then on should convey new forms of social emancipation. In what ways did left-wing republican criticisms of the secular ideal contribute to this crisis ? How did the aim of a social Republic give rise to new conceptions of schooling ? How were hopes raised to believe that this institution could help overcome social conservatism and contribute to social justice ? The thesis, based mainly on a corpus of educational, unionist, and political periodicals as well as congress reports, explores the tensions and controversies within various networks. It examines the various conceptions of a democratic primary school: 1. An "école de la critique" – or a school of criticism – which would prepare pupils to be able to conceive and build a new social order ; 2. An "école des producteurs"– or a school for future production – which would adapt the school curriculum to the world of work and local realities; 3. An "école unique" or a unified school, which breaking away from the traditional divisions of primary and secondary schools, with would release the individual from his or her social origins. Finally, the thesis seeks to understand the political bases and the social aims of these conceptions, as well the inherent tensions
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