Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Financement des partis“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Financement des partis"

1

JEON, Hakseon. „La législation sur les dons de financements politiques en France“. Korean Constitutional Law Association 28, Nr. 2 (30.06.2022): 469–507. http://dx.doi.org/10.35901/kjcl.2022.28.2.469.

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Le financement de la vie politique et électorale en France fait l’objet d'un cadre législatif depuis la fin des années 1980. Jusqu’en 1988, la lutte contre les atteintes à la déontologie de la vie politique repose essentiellement sur la répression pénale de délits tels que la concussion, la corruption, la prise illégale d’intérêts ou le favoritisme. Il n’existe pas de moyens de prévention. La loi du 19 janvier 1995 interdit les dons aux partis politiques français des personnes morales autres que les partis politiques, que ce soient les entreprises, les associations, les fondations, les syndicats ou les collectivités locales. Le remboursement par l'État des dépenses de campagne est augmenté jusqu’à 50 % du plafond de dépenses. En ce qui concerne le financement des campagnes électorales, les dons consentis par une personne physique, si elle est de nationalité française ou si elle réside en France, pour le financement de la campagne d’un ou plusieurs candidats lors des mêmes élections ne peuvent excéder 4,600€, ils peuvent donner lieu à une réduction d’impôt. Les personnes morales, à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent participer au financement de la campagne électorale d’un candidat. Les dons privés sont limités à 7,500€ annuels par personne physique de nationalité française ou résidant en France, et les personnes morales à l’exception des partis politiques ne peuvent contribuer au financement des partis politiques.
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2

Verdussen, Marc. „Le financement public des partis politiques en Belgique“. Colloque : L'État en marche, transparence et reddition de comptes 36, Nr. 4 (31.10.2014): 591–608. http://dx.doi.org/10.7202/1027161ar.

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Le 4 juillet 1989, la Belgique s’est dotée d’une loi fédérale mettant en place un dispositif de financement public direct des partis politiques, confirmant ainsi la transformation de leur nature et de leur rôle dans la démocratie contemporaine. Cette loi a été modifiée à plusieurs reprises. En contrepartie de ce financement, elle impose aux partis politiques des obligations précises : le plafonnement des dépenses de propagande électorale; la réglementation de l’utilisation de certains moyens de propagande électorale; l’interdiction des dons de personnes morales et d’associations de fait, ainsi que la limitation et l’identification des dons de personnes physiques; la transparence de la comptabilité des partis politiques; le respect des droits et libertés garantis par la Convention européenne des droits de l’homme.
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3

Cadranel, Benjamin, und Julie Ludmer. „La législation concernant le financement des partis liberticides“. Courrier hebdomadaire du CRISP 2001-2002, Nr. 16 (2008): 5. http://dx.doi.org/10.3917/cris.2001.0005.

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4

Göransson, Marie, und Jean Faniel. „Le financement et la comptabilité des partis politiques francophones“. Courrier hebdomadaire du CRISP 1989-1990, Nr. 4 (2008): 6. http://dx.doi.org/10.3917/cris.1989.0006.

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5

Marcilloux-Giummarra, Sandrine. „Droit constitutionnel et vie politique. Le financement des partis politiques“. Revue française de droit constitutionnel 85, Nr. 1 (2011): 163. http://dx.doi.org/10.3917/rfdc.085.0163.

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6

Iker - de Marchin, Laura. „Le financement et le contrôle des dépenses électorales des partis“. Courrier hebdomadaire du CRISP 1323-1324, Nr. 18 (1991): 1. http://dx.doi.org/10.3917/cris.1323.0001.

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7

Smulders, Jef. „Le financement et la comptabilité des partis politiques (2008-2013)“. Courrier hebdomadaire du CRISP N° 2238-2239, Nr. 33 (2014): 5. http://dx.doi.org/10.3917/cris.2238.0005.

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8

Smulders, Jef. „Le financement et la comptabilité des partis politiques (2008-2013)“. Courrier hebdomadaire du CRISP N° 2240-2241, Nr. 35 (2014): 5. http://dx.doi.org/10.3917/cris.2240.0005.

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9

Iker, Laura. „Évolution des règles de financement et de contrôle des partis politiques“. Courrier hebdomadaire du CRISP N° 1607-1608, Nr. 22 (1998): 1. http://dx.doi.org/10.3917/cris.1607.0001.

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10

Meyer, Alix. „« Prix à débattre » : financement des campagnes et partis politiques aux États-Unis“. Politique américaine N°35, Nr. 2 (2020): 9. http://dx.doi.org/10.3917/polam.035.0009.

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Dissertationen zum Thema "Financement des partis"

1

Tolini, Nicolas. „Le financement des partis politiques“. Paris 11, 2005. https://buadistant.univ-angers.fr/login?url=https://bibliotheque.lefebvre-dalloz.fr/secure/isbn/9782247175796.

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2

Doublet, Yves-Marie. „Le Financement des partis politiques en Allemagne fédérale“. Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37613346f.

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3

Faupin, Hervé. „Le contrôle du financement de la vie politique, partis et campagnes /“. Paris : LGDJ, 1998. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36990063h.

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4

Guiselin, Emmanuel-Pie. „Le régime juridique du financement de la vie politique“. Rennes 1, 1995. http://www.theses.fr/1995REN11005.

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Le regime juridique francais du financement de la vie politique a ete elabore a partir de 1988 lorsqu'il est apparu a la classe politique que la quasi-situation de non-droit ne pouvait perdurer plus longtemps sans risque majeur pour la democratie. Le parlement a donc legifere en 1988, puis en 1989 et en 1990, a l'initiative des gouvernements chirac et rocard. Resultat d'une demarche prudente, les lois du 11 mars 1988 sur la transparence financiere de la vie politique se sont revelees rapidement insuffisantes. Cependant, dans leur prolongement, les lois de 1990 ont dote la france d'une legislation coherente et complete. A titre principal, la mise en oeuvre de la legislation a demontre la pertinence et la logique de l'intervention de la commission pour la transparence financiere de la vie politique, instituee en 1988, et de la commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, creee par la loi du 15 janvier 1990. Respectivement competentes pour apprecier l'evolution des situations patrimoniales des hommes politiques et pour controler le financement des partis et des campagnes electorales, ces deux autorites administratives independantes n'ont pas pu assurer, toutefois, une parfaite regulation des cadres de financement ni
The french regulation related to the financing of political parties was elaborated from 1988 when the political class realised that a situation apart from law might endanger the democracy itself. Therefore different acts were passed in 1988, 1989 and 1990 on the initiative of the governments of mr. Chirac and mr. Rocard. As the acts of march 11th, 1988 which were related to the transparency of financial statements concerning political life, were the results of compromises, such acts proved rapidely to be inadequate. However the acts of 1990 constitute a regulation which is appropriate and complete. The application of this regulation has particularly enabled commissions to intervene in an appropriate way to favour the transparency of the financial statements concerning political life. The "commission pour la transparence financiere de la vie politique" created in 1988 is in charge of controlling the development of patrimonial situations of political men, whereas the "commission nationale des comptes de campagnes et des financements politiques" which was created by the act of january 15th, 1990, is in charge of controlling the ways of financing the parties and the accounts of electoral campaigns
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5

Neger, Gildas Robert. „L'évolution du système juridique de financement de la vie politique française : critiques des arguments dans le cadre de la recherche des voies de légitimation du régime juridique relatif au financement de la vie politique“. Nice, 1998. http://www.theses.fr/1998NICE0017.

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Doublet, Yves-Marie. „Le financement des partis politiques en République fédérale d'Allemagne“. Paris 2, 1988. http://www.theses.fr/1988PA020063.

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La reglementation du financement des partis politiques allemands est le fruit d'une longue evolution legislative et jurisprudentielle. Elle vise a la fois a garantir aux formations allemandes des ressources substantielles d'origine privee et publique et a assurer une transparence de leurs comptes. Cependant sur une longue periode, ces moyens se sont averes insuffisants pour couvrir des besoins croissants. En outre, malgre un net renforcement des obligations de publicite imposees aux partis par la loi du 22 decembre 1983, des zones d'ombre demeurent. Si ces objectifs de garantie de revenus et de transparence n'ont ete atteints que partiellement, c'est en raison des nombreux obstacles conceptuels et pratiques auxquels se heurte toute reglementation en la matiere
The systeme of funding of political parties in the german federal republic has been initiated by the constitutionnal court and reinforced by the legislator in 1967 and 1983. The parties get substantial public and private subsidies. The law encourages tax deductions to the parties and requires the identification of donors of gifts larger than 20. 000 dm. The law requires the annual disclosure of party income, expenditure and property at every level of its organization. However on a long term trend all theses financial contributions have been inadequate to provide a regular and sufficient funding. The parties have to face an increase of their expenditure and costs. Moreover in spite of the new rules concerning the disclosure of the accounts, the reports of these accounts the parties have to present each year don't cover all the funds they get. The purposes assigned to the legislation of fundraising and disclosure of the accounts have been reached in part but we have to admit that in that matter the legislation encounters many conceptual and practical obstacles
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Faupin, Hervé. „Le contrôle du financement de la vie politique, partis et campagnes“. Paris 2, 1997. http://www.theses.fr/1997PA020077.

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Si les conditions dans lesquelles les partis et les hommes politiques financent leurs activites n'ont longtemps fait l'objet d'aucune regle, la plupart des democraties ont, depuis annees, encadre le financement de la vie politique. La premiere partie compare les modalites du controle tel qu'il s'exerce dans les pays etrangers, etats-unis, allemagne federale, italie, canada, belgique. . . Elaborees en general recemment, les reglementations en la matiere sont fondees sur des principes souvent comparables. Malgre l'effort de transparence des financements qui a ete entrepris, le bilan du controle est plutot decevant. La legislation applicable en france est etudiee en seconde partie. Plusieurs etapes legislatives ont ete necessaires pour etablir un controle longtemps refuse par les hommes politiques francais. Le dispositif en vigueur est ambitieux : les conditions de financement aussi bien des campagnes electorales que des formations politiques sont surveillees; des controles administratifs et juridictionnels ont ete institues ; des sanctions sont prevues. La troisieme partie examine comment s'est exerce le controle en france depuis 1988. Les ameliorations trompeuses apportees par des regles compliquees et les insuffisances d'un dispositif de controle trop timide conduisent a s'interroger sur la pertinence de l'encadrement des financements politiques. La transparence serait-elle un vain combat? sans necessairement remettre en cause le principe du controle, encore faut-il lui donner une reelle portee
For years, governments have not set the rules to provide funds for the financing of the parties and the politicians in the electoral process. Nowadays, most democracies have enacted laws to regulate their national system of political finances. The first part of the thesis presents the comparison of the legal frameworks between several foreign countries : the united states, germany, italy, canada, belgium, etc. Due to a call for openness in the financing of political parties and politicians, these recent legislations are based on similar principles. Control of political finances seems rather deceptive. The second part deals with french legislation. Several laws have been passed so as to establish a control of political finances. Due to this, french lawmakers have devoted considerable attention to this area : funds used by parties and politicians are theoritically scrutinized; jurisdictions can impose sanctions on guilty candidates. The third part studies the effectivness ot the new laws enacted in france since 1988. Despite some improvements, several aspects of the system of legal control are still questionable. However, regulations is necessary and must be kept
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Augé, Philippe. „La législation française sur le financement des campagnes éléctorales : contribution aux recherches en droit électoral“. Montpellier 1, 1997. http://www.theses.fr/1997MON10010.

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La reglementation du financement des campagnes electorales, element indispensable de la democratie, a longtemps fait defaut en france. Cette longue absence s'explique par une tradition hostile a l'intervention du legislateur en la matiere. Elle ne s'est finalement concretise que sous la double pression des experiences etrangeres et d'un certain nombre d'"affaires". Le parlement n'a pu toutefois cantonner son action aux seules campagnes electorales. Il a du legiferer a plusieurs reprises (1988, 1990, 1993, 1995, 1996) sur cette question mais aussi sur celle du financement des partis politiques et de la transparence des patrimoines. L'etude vise a presenter les principes et les regles contenus dans ces divers textes (plafonnement des depenses, origine des recettes, instauration d'un mandataire financier, depot d'un compte de campagne, controles administratif et juridictionnel). Elle s'efforce egalement de juger de leur adequation aux objectifs poursuivis et de suggerer les modifications necessaires, en depit de la difficulte voire du caractere utopique d'une authentique moralisation de la vie politique
The regulation of the financing of electoral campaigns, an essential part to democraty, has long been inexistent in france. The reason for such a lack is to be found in a tradition hostile to the intervention of the law-makers in this area. The regulation eventually materialized under the pressure of both measures taken abroad and some domestic political scandals. Parliament, however, could no limit its action to electoral campaigns exclusively. It had to pass several law in 1988, 1990, 1993, 1995 and 1996 successively on this issue as well as on the question of the financing of political parties along with the openness of patrimony. This study aims at presenting the principles and rules provided for in these various texts. It equally strives on the one hand to give an assessment of their appropriateness to the goals pursued, and on the other hand to make suggestions as to necessary modifications regardless of the very difficulty or even the utopian view to genuinely moralize the political life
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9

Rudloff, Michel-Dominique. „Le Financement des campagnes électorales et des partis politiques en République fédérale d'Allemagne“. Lille : A.N.R.T, 1985. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36105749v.

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10

Balmelli, Tiziano. „Le financement des partis politiques et des campagnes électorales : entre exigences démocratiques et corruption /“. Fribourg, Suisse : Éd. Univ, 2001. http://www.gbv.de/dms/sub-hamburg/330739220.pdf.

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Bücher zum Thema "Financement des partis"

1

Tolini, Nicolas. Le financement des partis politiques. Paris: Dalloz, 2007.

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2

France. Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques. Financement des campagnes électorales et des partis politiques. 2. Aufl. Paris: Direction des Journaux officiels, 1997.

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3

Leslie, Seidle F., und Canada. Commission royale sur la réforme électorale et le financement des partis., Hrsg. Le financement des partis et des élections: Aspects comparatifs. Toronto, Ont: Dundurn Press, 1991.

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4

Doublet, Yves-Marie. Le financement des partis politiques en République fédérale d'Allemagne. Paris: Economica, 1991.

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5

Spano, Sebastian. Financement politique et réglementation des campagnes. [Ottawa, Ont.]: Service d'information et de recherche parlementaires, 2006.

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6

Leslie, Seidle F., und Canada. Commission royale sur la réforme électorale et le financement des partis., Hrsg. Aspects du financement des partis et des élections au Canada. Toronto, Ont: Dundurn Press, 1992.

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7

La vie politique: Financement et contrôle. Paris: Journal officiel, 1995.

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8

politiques, Quebec (Province) Groupe de reflexion sur le financement des parties. Rapport du Groupe de réflexion sur le financement des partis politiques. Québec: Le Directeur général des élections du Québec, 2007.

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9

Faupin, Hervé. Le contrôle du financement de la vie politique, partis et campagnes. Paris: L.G.D.J., 1998.

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10

Leslie, Seidle F., und Canada. Commission royale sur la réforme électorale et le financement des partis., Hrsg. Le financement des partis et des élections de niveau provincial au Canada. Toronto, Ont: Dundurn Press, 1991.

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Buchteile zum Thema "Financement des partis"

1

Souaré, Issaka K. „Financement de l’ouvrage“. In Les partis politiques de l'opposition en Afrique. Presses de l’Université de Montréal, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pum.23908.

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2

„Favoriser une culture de l'intégrité parmi les partis politiques, les agents publics et les donateurs“. In Le financement de la démocratie, 87–102. OECD, 2017. http://dx.doi.org/10.1787/9789264263994-6-fr.

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3

„Renforcer la transparence et la responsabilité par la divulgation du financement des partis politiques et des campagnes électorales“. In Le financement de la démocratie, 73–86. OECD, 2017. http://dx.doi.org/10.1787/9789264263994-5-fr.

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4

Lecadre, Renaud. „La République corrompue : la grande saga du financement occulte des partis politiques“. In Histoire secrète de la Ve République, 488–503. La Découverte, 2007. http://dx.doi.org/10.3917/dec.falig.2007.01.0488.

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5

Frétigny, Raphaël. „L’économie mixte et l’aménagement urbain“. In L’économie mixte et l’aménagement urbain, 17–32. Société française d'histoire urbaine, 2024. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.068.0017.

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La Caisse des dépôts et consignations (CDC) a créé en 1955 la Société centrale d’équipement du territoire (SCET), filiale spécialisée dans le service aux Sociétés d’économie mixte (SEM). Cette filiale a joué un rôle majeur dans le développement des SEM dans les années 1960-70 dans le cadre de la politique des grands ensembles. Si la SCET a été un acteur-clé d’une politique très centralisée, la société a également soutenu l’autonomisation des pouvoirs locaux, surtout dans les années 1970. En prenant notamment appui sur le cas de Nantes, cet article explique ce paradoxe en distinguant d’une part le rôle opérationnel de la SCET et d’autre part les circuits de financements que la CDC met à la disposition de sa filiale et des SEM. La libéralisation progressive des circuits de financement du développement urbain à partir du milieu des années 1960 a poussé la SCET à développer des dynamiques partenariales avec les pouvoirs locaux. Ce cas montre ainsi le poids des dynamiques financières dans les mutations de l’économie mixte et de la gouvernance urbaine en France.
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6

Bernard, Anna, Marco Gazel, Christophe Cariou, Fabrice Rochelandet, Mariannig Le Béchec, Sylvain Dejean, Camille Alloing und Jérôme Méric. „Seconde partie. Effets du financement participatif“. In Financement participatif : une voie d’avenir pour la culture ?, 103–218. Ministère de la Culture - DEPS, 2018. http://dx.doi.org/10.3917/deps.more.2018.01.0103.

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7

Constantinesco, Vlad. „Les partis politiques au niveau européen: vers un comblement du déficit démocratique? l’apport du Règlement (CE) n° 2004/2003 du Parlement européen et du Conseil du 4 novembre 2003, relatif au statut et au financement des partis politiques au niveau européen“. In Die Herausforderung von Grenzen - Le défi des frontières - Challenging boundaries, 93–103. Nomos, 2007. http://dx.doi.org/10.5771/9783845204802-93.

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8

„Introduction à la quatrième partie“. In Financements et Garanties dans le Commerce International, 221–22. Nations Unies, 2004. http://dx.doi.org/10.18356/6a558ee5-fr.

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9

Marchini, Geneviève. „Deuxième partie : La problématique du financement du développement“. In Mexique : crise d’un modèle économique ?, 75–76. Centro de estudios mexicanos y centroamericanos, 1997. http://dx.doi.org/10.4000/books.cemca.2858.

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10

Belleflamme, Paul, Thomas Lambert, Armin Schwienbacher, Aurélien Petit, Marianne Lumeau, Frédéric Mahé und Jordana Viotto da Cruz. „Première partie. Interactions sur les plateformes de financement participatif“. In Financement participatif : une voie d’avenir pour la culture ?, 21–101. Ministère de la Culture - DEPS, 2018. http://dx.doi.org/10.3917/deps.more.2018.01.0021.

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Konferenzberichte zum Thema "Financement des partis"

1

Schembri, Patrick. „Transition énergétique et défi climatique : quelle place pour l'hydrogène vert ?“ In MOlecules and Materials for the ENergy of TOMorrow. MSH Paris-Saclay Éditions, 2021. http://dx.doi.org/10.52983/ewus7854.

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Cet article a pour objet d’étudier les conditions du déploiement à l’échelle mondiale de l’hydrogène vert dans le contexte de la transition énergétique actuelle et de l’agenda de l’Accord de Paris sur le climat adopté en 2015. L’analyse économique proposée vise à mettre en lisibilité les différentes forces contribuant à ce déploiement. Elle interroge également les trajectoires futures de l’hydrogène au regard des politiques énergie-climat qui devraient être mises en œuvre, notamment par référence au coût de ces politiques et au financement de la transition énergétique. Dans un premier temps, nous proposons un cadre d’analyse pour étudier les effets volume, composition et qualité associés au déploiement. Ensuite, nous présentons les scénarios énergétiques proposés par le GIEC (2018) et l’évolution associée des sources énergétiques de production de l’hydrogène. Dans un troisième temps, nous évaluons quelles pourraient être le niveau et la composition de la demande mondiale d’hydrogène à l’horizon 2050.
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2

Catros, S., M. Fenelon, A. Rui, K. Ross, D. Marcio, B. Angel, M. D. S. Luis et al. „Création d’un site internet Européen de formation au sevrage tabagique“. In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603002.

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Introduction : Actuellement 208 millions de personnes consomment du tabac en Europe dont 12 millions en France. 650 000 décès sont attribuables au tabac en Europe et environ 60 000 décès par an sont imputables à cette consommation en France, ce qui en fait la première cause de décès évitable. Tous les acteurs de santé devraient être mobilisés pour lutter contre ce fléau. Le chirurgien dentiste doit se sentir concerné car il s’agit d’un enjeu général de santé publique mais aussi spécifique de santé bucco-dentaire. En effet le tabac est l’étiologie principale de certaines maladies graves de la muqueuse buccale : carcinomes épidermoïdes, leucoplasies, carcinome verruqueux (1). Le tabac est aussi un cofacteur favorisant les maladies parodontales (2). Enfin la consommation de tabac perturbe la cicatrisation après les actes de Chirurgie Orale et c’est une contre indication relative aux interventions chirurgie implantaire. Malgré ce constat, les chirurgiens dentistes restent peu impliqués dans l’accompagnement du sevrage tabagique (3). Les raisons sont probablement liées à un manque de formation et de connaissances qui limitent la mise en oeuvre du sevrage tabagique auprès de leurs patients. Pour pallier ce manque, un projet européen a été mis en place grâce à un financement du programme ERASMUS + (4). L’objectif de ce projet est de former les professionnels de santé européens au sevrage tabagique grâce à plusieurs outils. Matériels et Méthodes : Le principal outil de formation sera un site internet diffusé en langue Anglaise, Française, Italienne, Portugaise, et Espagnole. Ce site permettra de fournir un outil d’e-learning afin de promouvoir l’implication des professionnels de santé et notamment des chirurgiens dentistes dans le sevrage tabagique. Par ailleurs, un livre téléchargeable reprenant le contenu du site internet sera également diffusé. Enfin, plusieurs actions de diffusion de l’information seront menées tout au long du projet au travers de communications lors de congrès scientifiques et d’articles dans des revues professionnelles. Résultats : Le site et le livre électronique sont accessibles gratuitement à partir du lien : http://smokingcessationtraining.com/ en/home/ en langue anglaise. La version française sera publiée en ligne dans le premier semestre 2018. Le site a été réalisé sous la coordination de Rui Albuquerque (Birmingham Dental Hospital UK) avec la collaboration de Ross Keat (Birmingham Dental Hospital UK), Jean-Christophe Fricain et Sylvain Catros (Université de Bordeaux, France), Marcio Diniz Freitas (Universidade de Santiago de Compostela Espagne), Luis Monteiro (Universitaério de Ciências da Sauéde Portugal), Giovanni Lodi (Universita di Milano, Italy). Conclusions : Ce projet devrait permettre d’augmenter le niveau de compétence des utilisateurs et un certificat sera délivré à ceux qui complèteront l’évaluation en ligne. Ce projet devrait permettre d’avoir un impact éducatif en formant les chirurgiens dentistes, un impact sur la santé des patients et un impact économique en réduisant les couts sociétaux induits par le tabagisme.
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Berichte der Organisationen zum Thema "Financement des partis"

1

Vaillancourt, François, und Michel Magnan. Le partage du financement des services de l’agglomération de Montréal en 2020: État des lieux, analyse et éléments de comparaison. CIRANO, August 2022. http://dx.doi.org/10.54932/cvub5177.

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Ce texte se divise en quatre parties. La première présente l’agglomération de Montréal, ses dépenses et ses mécanismes de financement. L’agglomération crée en 2006 couvre le territoire administratif de l’île de Montréal. Ce territoire englobe la Ville de Montréal (qui regroupe 88% de la population) et 15 municipalités de banlieue. En 2020, les principales dépenses de l’agglomération comprennent les services policiers (28%), le transport en commun (25%), le service d’incendie (16%) et le service d’eau (10%). Son financement se fait par quotes-parts. Ces dernières reflètent à plus de 90 % la répartition de la richesse foncière entre les municipalités membres. Les municipalités de banlieue s’exprimant par leur association jugent leur contribution au financement des dépenses d’agglomération trop élevée. La deuxième partie du rapport présente les grands principes pouvant être utilisés pour choisir le mode de financement des services publics. On y examine comment les services de l’agglomération génèrent plus ou moins d’externalités et correspondent plus ou moins à la notion de bien collectif. La troisième partie présente des exemples de formule de partage des coûts entre municipalités pour cinq services publics : police, incendie, transport en commun, matières résiduelles et eau. La dernière partie indique que l’insatisfaction des banlieues ne s’explique pas par une détérioration de leur situation à travers le temps. L’utilisation de la population dans le calcul des quotes-parts ne constitue pas une pratique plus équitable que les valeurs foncières, mais peut représenter un compromis advenant un nouveau partage de la charge fiscale entre les municipalités.
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Roy, Réjean, Guillaume Macaux und Lyse Langlois. Mémoire de l'OBVIA présenté dans le cadre de la SQRI. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique, Mai 2021. http://dx.doi.org/10.61737/zrov7394.

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En vue de l’élaboration de la Stratégie québécoise de la recherche et de l’innovation (SQRI) 2022, le Ministère de l’Économie et de l’Innovation a lancé une consultation avec la communauté scientifique, les organismes de recherche et d’innovation, les entreprises et regroupements d’entreprises, les organismes de développement socio-économique et les sociétés de financement de l’innovation afin d’identifier les meilleures pratiques, les solutions novatrices et les avenues les plus porteuses, pour favoriser la création de richesse au Québec à partir des activités de recherche et d’innovation. Dans le cadre de l’appel à mémoire, l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique (OBVIA) a produit et déposé un mémoire visant à démontrer que le Québec ne réussira à tirer pleinement profit des investissements massifs qu’il réalise pour acquérir et implanter de nouvelles technologies comme l’IA qu’à condition de porter une très forte attention aux enjeux sociaux, politiques, économiques et culturels soulevés par la montée de ces outils et s’il s’assure d’élaborer et de déployer des innovations non techniques, comme des innovations managériales ou sociales, pour accompagner les innovations techniques. Le mémoire présente aussi les actions de l’OBVIA pour produire de nouvelles connaissances interdisciplinaires sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique en soutien de l’écosystème québécois et propose sept recommandations d’interventions pour le gouvernement du Québec dans les prochaines années.
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Catherine, Hugo. Étude comparative des services nationaux de données de recherche Facteurs de réussite. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, Januar 2021. http://dx.doi.org/10.52949/6.

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Ce travail a pour objectif de nourrir la réflexion en présentant un état des lieux de différents services nationaux de données. Il porte sur sept infrastructures de services qui se sont développées dans des contextes différents mais qui partagent un grand nombre de points communs, à commencer par offrir un accès à un service de données à l’ensemble des chercheurs, à l’échelle nationale. Que ce soit pour faciliter l’accès et le partage de l’information scientifique ou répondre aux exigences des bailleurs de fonds, les services nationaux de données qui font l’objet de cette étude se sont développés autour d’un noyau de fonctionnalités communes : - un service de dépôt, - un service d’archivage pérenne, - un service d’assistance et d’accompagnement à la gestion des données. La plupart d’entre eux ont aussi choisi de proposer un service de signalement et d’accès qui s’appuie soit sur un outil de découverte interne, soit sur un moteur de recherche fédérant l’accès à des données provenant de services externes à celles déposées dans leurs entrepôts. Fruit de projets au long cours, les services nationaux de données restent des initiatives plutôt récentes, l’une d’entre elles doit ouvrir ses services au début de l’année 2021. Compte tenu du contexte très dynamique qui voient se multiplier les projets d’entrepôts institutionnels, le “temps long” qui caractérise la mise en place de services nationaux incite les opérateurs à opter pour des solutions techniques et organisationnelles flexibles, de manière à pouvoir s’adapter à l’évolution des usages et des attentes des utilisateurs. Dès le stade du projet, la consultation des acteurs clés et représentatifs de la diversité des écosystèmes scientifiques s’avère incontournable pour construire l’offre de services au plus près des attentes des publics visés. Une fois le service mis en place, ce principe de co-construction prévaut tout autant : rôle déterminant des institutions partenaires au sein des comités consultatifs, appels à projets de service, implication des chercheurs pour développer de nouveaux outils (ex. retours exprimés par les utilisateurs, recueil des besoins, tests). De la même manière, les services de données inscrivent leur activité au sein de réseaux nationaux et internationaux, ce qui participe à définir et renforcer leur rôle. La majeure partie de ces infrastructures nationales s’appuie sur le financement structurel assuré par le ministère de la recherche ou un bailleur de fonds public. En s’appuyant sur la collaboration ou la fédération, l’objectif de ces initiatives nationales est aussi de réduire les coûts pour l’ensemble des partenaires. Ces économies d’échelle, l’évaluation continue des services, l'interopérabilité des outils avec les écosystèmes existants et la fiabilité des solutions techniques représentent des points d’attention déterminants pour l’ensemble de ces dispositifs car ils conditionnent leur pérennité.
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Dufour, Quentin, David Pontille und Didier Torny. Contracter à l’heure de la publication en accès ouvert. Une analyse systématique des accords transformants. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, April 2021. http://dx.doi.org/10.52949/2.

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Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.
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