Auswahl der wissenschaftlichen Literatur zum Thema „Famille – Ibérique, Péninsule – Antiquités“

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Zeitschriftenartikel zum Thema "Famille – Ibérique, Péninsule – Antiquités"

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Des Boscs-Plateaux, Françoise. „Épigraphie des amphores de la Bétique et épigraphie lapidaire : . l’apport d’une approche croisée à l’histoire socio-économique des élites : les dossiers des Stertinii et des Ocratii de Volubilis“. Revue des Études Anciennes 121, Nr. 2 (2019): 357–89. http://dx.doi.org/10.3406/rea.2019.6920.

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Dans les deux dossiers présentés ici, celui des Stertinii du sud de la péninsule Ibérique et celui des Ocratii de Volubilis, la confrontation de l’épigraphie lapidaire et de celle des amphores Dressel 20 peut permettre d’éclairer les processus de promotion et la trajectoire de certaines familles sur une longue durée. En s’appuyant sur la notion de génération et sur une chronologie, l’analyse montre comment, dans le cas des Stertinii, des investissements dans la production des amphores réalisés dans le premier tiers du Ier s. par les chargés d’affaires, affranchis ou descendants d’affranchis, d’une famille sénatoriale en vue ont permis l’ancrage des premiers en Bétique et leur progressive élévation dans la hiérarchie sociale. Le dossier des Ocratii montre aussi qu’au IIe s. pour une famille ambitieuse de la Tingitane voisine parvenue au sommet de la notabilité locale, des investissements dans la commercialisation de l’huile de Bétique, ont pu aider partiellement à atteindre le cens sénatorial.
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McCaa, Robert. „Marriageways in Mexico and Spain, 1500–1900“. Continuity and Change 9, Nr. 1 (Mai 1994): 11–43. http://dx.doi.org/10.1017/s026841600000415x.

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En quoi ce que j'appelle les diverses façons de se marier – mariage (en règie), cohabitation, concubinage – diffèrent-elles en Espagne et au Mexique au début de l'époque moderne? Les âges au moment de la formation du couple et les formes de cohabitation different plus grandement qu'on ne l'imaginait. Au début du XVIe siècle, le mode amérindien de formation du couple est la norme chez les indigènes américains: tout le monde se marie, et cela dès l'âge de la puberté. Dans la péninsule ibérique tout type d'union commence au contraire seulement entre 20 et 25 ans. Avec la conquête et la création de la colonie, la formation des couples doit tenir compte, en Nouvelle Espagne, de la race, du privilège et du sexe. Aussi les façons de s'y marier ne ressemblent que fort peu aux usages de la péninsule. Les prêtres catholiques imposent dans les villages indiens le mariage monogamique vers les 15 ou 20 ans et ne tolerent qu'un minimum d'illégitimité. Dans les villes hispaniques les unions ‘naturelles’, la cohabitation et le concubinage sont en plein essor. Vers la fin de la domination espagnole une convergence s'annonce, quoiqu'au Mexique les rapports sexuels prénuptiaux demeurent essentiels pour sceller le pacte nuptial. En 1803, les réformes juridiques donnent plus de pouvoir aux parents des jeunes gens en matière de choix du conjoint. Mais, en même temps, la capacité pour une femme d'obtenir reparation de la part d'un séducteur est fortement compromise. Les troubles politiques lors de l'lndépendance, la détérioration de l'économie et la sécularisation du mariage ébranlent encore davantage la famille mexicaine.
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Dissertationen zum Thema "Famille – Ibérique, Péninsule – Antiquités"

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Armani, Sabine. „Relations familiales, relations sociales en Hispanie sous le Haut-Empire : étude épigraphique“. Rennes 2, 2002. http://www.theses.fr/2002REN20054.

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@Jusqu'ici, c'est surtout la romanisation de l'Hispanie sous l'angle de l'urbanisation et de la municipalisation qui a retenu l'attention des chercheurs, comme en témoigne l'historiographie récente. Les relations familiales et sociales dans les provinces en général et dans la péninsule ibérique en particulier n'ont suscité chez les historiens qu'un intérêt poli peut-être parce que, pensait-on à tort, elles relevaient exclusivement de la sphère privée à ce titre considérée comme le conservatoire des pratiques pré-romaines. Pourtant, l'essor conjugué des études consacrées à l'anthropologie de la parente�� d'une part et à l'onomastique régionale, notamment celtique, d'autre part suggère que l'histoire de la famille est un champ d'investigation qui touche, certes, aux usages mais bien plus encore au politique. De ce point de vue, l'Hispanie dont le cadre juridique et urbain est de mieux en mieux connu, réunit toutes les conditions pour mener une enquête inédite sur les rapports qu'entretiennent relations familiales, sociales et romanisation : comment les sociétés hispano-romaines se sont-elles adaptées à l'introduction de la civitas et à son corollaire, le droit latin? Après avoir successivement étudié les ajustements de la terminologie romaine de la parenté à ces nouveaux territoires, observé l'interprétation des formules onomastiques romaines selon le statut des individus et son ancienneté et scruté les attitudes face à la redéfinition territoriale, on conclura que l'acculturation, à la fois lente et rapide, n'a pas été uniforme et encore moins unilatérale
@Up to now, it is mainly the romanization of Hispania through the aspect of urbanization and municipalization that has held the attention of searchers as is shown by recent historiography. Family and social relations in the provinces as a whole and in the Iberian peninsula particularly have merely aroused a polite interest with historians, perhaps because it was thought that they pertained essentially to the private filed often considered as the conservatory of the pre-Roman usages. Yet, the joint rising of the studies devoted to the anthropology of kinship, on one side, and regional onomastics. Celtic especially, on the other side, suggests that the history of the family is a field of investigation very near, indeed, to customs, but still nearer to the political. From that point of view, Hispania, whose legal and urban frame is better and better known, gathers every suitable condition to carry on an original investigation about the connection of family and social relationship with romanization : how did Hispano-roman communities adapt themselsves to the introduction of civitas and its corollary, Latin law. ? After successively studying the fitting of the Roman terminology about kinship to those new territories, noting the interpretation of Roman onomastic formulae according to the status of the individuals and its seniority, and closely examining the various attitudes in front of the neww territorial definition, we shall conclude that the acculturation, at once slow and quick, was not uniform and less one-sided
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Michel, Olivier. „Les formes de l'habitat groupé du bassin de l'Ebre, d'Auguste aux premières implantations wisigothiques“. Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070016.

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La thèse interroge la question de la morphologie de l'habitat groupé de la vallée de l'ebre, pris sous toutes ses formes, sur une période longue de près de six siècles. Après une première partie centrée sur les aspects conceptuels et historiographiques, le corpus d'agglomérations est analysé de façon systématique afin de mesurer les constantes et les variabilités fonctionnelles, spatiales et chronologiques. Dans un troisième temps, on se propose d'élaborer une typologie entre les agglomérations, fondée sur des critères variés. On constate qu'un grand nombre d'établissements échappe à la caractérisation du fait de leur caractère hybride et changeant, mais aussi en raison d'une documentation limitée. La quatrième partie adopte un point de vue intégré et aréolaire. Après avoir évalué l'intérêt (et les limites) des prospections systématiques pour l'identification des agglomérations rurales, on développe quelques exemples régionaux permettant de synthétiser, dans des espaces délimités et relativement bien documentés, l'ensemble des questionnements réalisés plus haut. Ce travail s'appuie sur un catalogue documentaire de 180 sites agglomérés (agglomérations avérées, possibles, hypothétiques et inconnues) et de 24 prospections systématiques synthétisées dans des fiches fournies en annexes
This work questions the morphology of urban and rural agglomerations located in the ebro valley, during a period of about six centuries (from auguste to the first settlments of the wisigoths). After a first part centred on the conceptual and historiographical aspects, the corpus of agglomerations is analyzed in a systematic way to measure functional, spatial, and chronological constants and variabilites. In the third part, we suggest elaborating a typology between the agglomerations, based on varied criteria. It appears that a large number of establishments escape the characterization, because they were hybrid and changeable, but also because of a limited documentation. The fourth part adopts an integrated point of view. Having estimated the interest (and the limits) of systematic land surveys for the identification of the rural agglomerations, we develop some regional examples allowing to synthetize, in bounded and relatively well informed spaces, all the questionings highter realized. This work leans on a documentary catalog composed of 180 agglomerated sites ( certain, possible, hypothetical and unknown agglomerations) and of 24 systematic prospections given in appendices
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Hiriart, Eneko. „Pratiques économiques et monétaires entre l'Èbre et la Charente (Ve s. - Ier s. a.C.)“. Thesis, Bordeaux 3, 2014. http://www.theses.fr/2014BOR30045.

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Du Ve s. au Ier s. a.C., l’espace transpyrénéen compris entre l’Èbre et la Garonne, reliant la Méditerranée à l’Atlantique, se situe au carrefour de différentes aires culturelles : la Gaule celtique, la péninsule Ibérique, l’Aquitaine, les cités grecques, mais aussi Rome. En raison du manque de sources littéraires ou de l’insuffisance des données archéologiques, notre connaissance des populations indigènes demeure fragmentaire. Cette lacune ne peut être comblée que par l’étude des vestiges matériels qu’elles nous ont laissés. Aussi, la monnaie peut fournir des données cruciales car elle représente non seulement un témoin privilégié des relations entre communautés protohistoriques, mais constitue également, du fait de sa valeur symbolique, le reflet même de ces sociétés. Il a semblé nécessaire d’aborder le fait monétaire sous un œil nouveau et de se démarquer des approches numismatiques traditionnelles (souvent cloisonnées à des considérations iconographiques et typologiques), dont les interprétations débouchent généralement sur un discours déconnecté des réalités humaines et historiques. La monnaie étant la manifestation d’un état social, ce travail propose d’appréhender sous un angle transdisciplinaire (archéologique, économique, numismatique, statistique et anthropologique) la complexité et la variété des pratiques monétaires. L’une des questions primordiales reste liée à l’apparition du monnayage. Dans cette perspective, il s’est avéré essentiel de déterminer les rythmes, les modalités, et les agents de sa diffusion. Répondant à des origines plurielles, l’introduction de la monnaie dans les échanges implique toute une série de changements structurels dont nous essayons de mesurer l’impact social, économique et politique. D’autre part, une analyse des différents monnayages, nous a mené à caractériser les réalités ethniques, les flux commerciaux, les changements politico-culturels, ainsi que les influences provenant d’environnements plus éloignés. Cette approche a également permis de distinguer des tendances historiques, ainsi que des domaines culturels singuliers. Plus largement, la réflexion se centre sur la place de la monnaie au sein de ces sociétés protohistoriques : quel est son rôle, son importance ? À qui et à quoi sert-elle ? Ces interrogations ont pour objectif de mieux saisir les modalités d’échanges au second âge du Fer. Pour la première fois, ce travail esquisse un panorama monétaire et économique intelligible entre l’apparition des premières espèces monnayées et la mise en place du système monétaire romain
From the fifth to the first century b.C., the space between the Ebro and the Garonne, which joins the Mediterranean to the Atlantic, is located at the crossroads of various cultural areas : the Celtic Gaul, the Iberian Peninsula, the Aquitaine, the greek cities, as well as Rome. Due to the lack of literary sources and archaeological data, our knowledge of indigenous peoples remains limited. This gap can be filled by the study of archeological materials. Among them, the coinage can provide crucial data because it represents a strong evidence of relations between the different protohistoric communities. In addition to that, owing to its symbolic value, money becomes a genuine expression of protohistoric societies. It seemed necessary to study the coinage in a new light so as to stand out from traditional numismatic approaches often restricted to iconographic and typological considerations. Those interpretations generally lead to a discourse too far from human and historical realities. The coins represent an evidence of a social reality. This work proposes a transdisciplinary point of view (archaeological, economic, numismatics, statistical and anthropological) to learn more about the complexity and the variety of monetary practices. One of the main issues remains the emergence of coinage. In this perspective, it was essential to define rhythms, modes, and also agents involved in its circulation. From various origins, the insertion of money within trade involves a series of structural changes : we try to measure their social, economic and political impacts. On the other hand, an analysis of different coinages drove us to characterize together ethnic realities, trade flows, political and cultural changes, as well as influences coming from more or less distant areas. This approach has also led us to distinguish historical trends and singular cultural fields. More generally, this approach focuses on the role of money in these protohistoric societies : which role does it play, what is its weight? What is it used for and whom does it serve? These questions aim to understand the features of trade during the second Iron Age. For the first time, this work outlines a monetary and economic panorama from the first coining to the advent of the Roman system
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